En s’appuyant sur une modélisation théorique issue du calcul quantique de haute performance, les équipes de recherche de l’Université Paris-Saclay, du CEA et du CNRS viennent de proposer un nouveau mode de désintégration radioactif spontanée. Les deux particules alphas sont simultanément émises par un noyau lourd, dans des directions opposées. Cette découverte scientifique intervient à plus de cent ans après l’identification des rayonnements alpha et béta par Ernest Rutherford.
Une émission simultanée de deux particules alphas par un noyau n’avait pas encore été détectée car généralement ce qu’on observe ce sont des chaînes séquentielles de décroissance alpha qui impliquent des noyaux lourds et superlourds. Le calcul mené par les scientifiques français a permis d’identifier également de nombreux noyaux candidats pour la radioactivité deux alphas. La désintégration avec des détecteurs de particules alphas, en coïncidence à 180 degrés, même si reste encore au stade expérimentale, elle ouvre la voie à des nouvelles découvertes dans le domaine de la physique.
Une émission simultanée de deux particules alphas par un noyau n’avait pas encore été détectée car généralement ce qu’on observe ce sont des chaînes séquentielles de décroissance alpha qui impliquent des noyaux lourds et superlourds. Le calcul mené par les scientifiques français a permis d’identifier également de nombreux noyaux candidats pour la radioactivité deux alphas. La désintégration avec des détecteurs de particules alphas, en coïncidence à 180 degrés, même si reste encore au stade expérimentale, elle ouvre la voie à des nouvelles découvertes dans le domaine de la physique.
Dernière mise à jour
28.07.2021 - 12:23
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