Les particules d'origine anthropique sont les plus nocives

 
 
Bien que les particules (PM) constituent l'un des plus grands risques pour la santé liés à la pollution atmosphérique, on ne sait pas encore précisément ce qui les rend si dangereux. Dans ce contexte, des chercheurs de l'Institut Paul Scherrer ont récemment découvert que la quantité de particules à elle seule n'est pas le plus grand risque pour la santé, mais plutôt le potentiel dit oxydant, qui est principalement généré par les feux de bois et la circulation routière.
 
Comme l'explique le scientifique du PSI Kaspar Dällenbach, ces résultats démontrent donc que «la régulation de la quantité de particules seule pourrait ne pas être efficace», une conclusion qui a également été reflétée dans les résultats d'une étude menée par l'Université de Berne, qui suggère que les groupes de population atteints de maladies préexistantes pourraient en particulier bénéficier de mesures appropriées pour réduire la pollution par les particules.
 
 

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Dernière mise à jour
17.12.2020 - 16:06

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