La régulation du gène NTRK2 réduit le risque de traumatisme psychologique

 
Des expériences traumatisantes, comme un accident, un viol ou la torture, peuvent s’enraciner profondément dans la mémoire d’une personne et provoquer des symptômes de syndrome de stress post-traumatique (TSPT) même des années plus tard. Dans ce contexte, une équipe dirigée par le professeur de l'Université de Bâle Dominique de Quervain a récemment publié une étude suggérant qu'une régulation accrue du gène NTRK2 réduit la formation de la mémoire, ce qui fait que les expériences traumatiques ne deviennent pas aussi ancrées dans la mémoire, réduisant ainsi le risque de développer le SSPT.
 
Les chercheurs espèrent que les résultats de cette étude contribueront au développement de nouvelles thérapies, qui pourraient également aider dans les cas de SSPT existant en empêchant les souvenirs désagréables récurrents de cimenter davantage la mémoire traumatique.
 
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Dernière mise à jour
27.10.2020 - 15:13

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