Le Laboratoire de Morphologie fonctionnelle et évolutive de l'Université de Liège, dirigé par le professeur Eric Parmentier, a réalisé il y a quelques mois une étude en collaboration avec une équipe de scientifiques italiens sur la famille des Gobiidae, la famille de poissons possédant le plus d'espèces au monde. Dans le cadre de l'accord de coopération scientifique avec l'Italie, WBI a participé à la mise en place de cette mission, notamment pour la mobilité des équipes scientifiques.
Les données les plus récentes indiquent que quelque 120 familles de poissons (sur les 800 répertoriées) possèdent des espèces capables de produire des sons pour communiquer dans différents contextes comportementaux (défense du territoire, reproduction, etc.). Cependant, les mécanismes utilisés restent peu connus. C’est notamment le cas pour la famille des Gobiidae.
L'étude réalisée est basée sur des spécimens récoltés à marée basse à Saint-Malo (France) et dans les canaux à Venise (Italie). Des poissons mâles issus de la population française ont d’abord été isolés dans des aquariums le temps pour eux de se constituer un territoire. Une femelle était ensuite introduite dans l’aquarium, déclenchant l’émission de sons de la part du résidant. Cette émission de sons s’accompagnait d’une posture tout à fait particulière : le poisson se dresse sur ses nageoires et réalise de rapides mouvements de tête. Différentes expérimentations utilisant notamment la caméra à haute vitesse (500 images/seconde) n’ont cependant pas permis de comprendre clairement le mécanisme utilisé.
Il a alors été décidé de se rendre à Venise pour travailler avec un scientifique (le Dr Malavasi) spécialisé dans les émissions de sons chez les Gobiidae. Avec son aide, de nouveaux spécimens ont pu être filmés et enregistrés pour comparaison avec la population française. D’autres spécimens ont en plus été conditionnés pour des études ultérieures en Belgique. Sur ces spécimens des études de microscopie électronique et d’électromyographie ont permis de proposer une hypothèse quant au mécanisme de production de son. Elle résulterait de mouvements rapides réalisés par la ceinture pectorale et amplifiés par les nageoires pectorales. De plus, la comparaison des poissons français et italiens montre que les sons ne sont pas entièrement identiques et qu’il pourrait exister des dialectes. Comme le comportement de reproduction demande d’abord d’avoir une identification correcte du partenaire, l’existence de dialecte peut laisser supposer que cette espèce pourrait se différencier, fournissant à terme deux espèces différentes.
Le Laboratoire de Morphologie fonctionnelle et évolutive de l'Université de Liège, dirigé par le professeur Eric Parmentier, a réalisé il y a quelques mois une étude en collaboration avec une équipe de scientifiques italiens sur la famille des Gobiidae, la famille de poissons possédant le plus d'espèces au monde. Dans le cadre de l'accord de coopération scientifique avec l'Italie, WBI a participé à la mise en place de cette mission, notamment pour la mobilité des équipes scientifiques.
Les données les plus récentes indiquent que quelque 120 familles de poissons (sur les 800 répertoriées) possèdent des espèces capables de produire des sons pour communiquer dans différents contextes comportementaux (défense du territoire, reproduction, etc.). Cependant, les mécanismes utilisés restent peu connus. C’est notamment le cas pour la famille des Gobiidae.
L'étude réalisée est basée sur des spécimens récoltés à marée basse à Saint-Malo (France) et dans les canaux à Venise (Italie). Des poissons mâles issus de la population française ont d’abord été isolés dans des aquariums le temps pour eux de se constituer un territoire. Une femelle était ensuite introduite dans l’aquarium, déclenchant l’émission de sons de la part du résidant. Cette émission de sons s’accompagnait d’une posture tout à fait particulière : le poisson se dresse sur ses nageoires et réalise de rapides mouvements de tête. Différentes expérimentations utilisant notamment la caméra à haute vitesse (500 images/seconde) n’ont cependant pas permis de comprendre clairement le mécanisme utilisé.
Il a alors été décidé de se rendre à Venise pour travailler avec un scientifique (le Dr Malavasi) spécialisé dans les émissions de sons chez les Gobiidae. Avec son aide, de nouveaux spécimens ont pu être filmés et enregistrés pour comparaison avec la population française. D’autres spécimens ont en plus été conditionnés pour des études ultérieures en Belgique. Sur ces spécimens des études de microscopie électronique et d’électromyographie ont permis de proposer une hypothèse quant au mécanisme de production de son. Elle résulterait de mouvements rapides réalisés par la ceinture pectorale et amplifiés par les nageoires pectorales. De plus, la comparaison des poissons français et italiens montre que les sons ne sont pas entièrement identiques et qu’il pourrait exister des dialectes. Comme le comportement de reproduction demande d’abord d’avoir une identification correcte du partenaire, l’existence de dialecte peut laisser supposer que cette espèce pourrait se différencier, fournissant à terme deux espèces différentes.
Documents liés
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Chaque année le Bureau International Jeunesse (BIJ) organise une formation inscrite dans le cadre du Programme Axes Sud. Celle-ci s’adresse aux responsables de projets, animateurs de jeunesse, organisateurs d’échanges avec la Fédération Wallonie-Bruxelles et les pays éligibles du programme (Maroc, Algérie, Tunisie, Sénégal, Burkina Faso, Bénin, RDC).
La formation est destinée à améliorer la qualité des projets d’échanges interculturels Sud/Nord, à faciliter la recherche de partenaires ou à permettre la rencontre entre les partenaires déjà identifiés pour travailler ensemble un projet concret. Elle donne également l’occasion aux participants d’avoir une réflexion sur une thématique commune.
Cette année privilégie les projets qui s’inscrivent dans le thème des créativités sociales, c’est-à-dire des actions (projets) menées par des jeunes dans lesquelles ils s’expriment sur leur vécu, sur la société qui les entoure et à travers lesquelles ils développent des initiatives originales.
La formation abordera aussi les outils médias sociaux et radio susceptibles de valoriser ces démarches créatives.
Retour au début
Profil des participants
- Vous avez au moins 18 ans et vous résidez en Fédération Wallonie-Bruxelles ou dans un pays éligibles du programme Axes Sud (Algérie, Bénin, Burkina-Faso, Burundi, Maroc, République démocratique du Congo, Rwanda, Sénégal, Tunisie)
- Vous êtes animateur, professionnel ou volontaire, ou membre d’un groupe informel de jeunes et vous avez le désir de monter un projet d’échange dans le cadre du programme Axes Sud
- Vous êtes disponible pour l’entièreté de la formation
- Nombre de participants : 10 participants issus des pays éligibles du continent africain et 10 participants de Fédération Wallonie-Bruxelles
Conditions de participation
- Les frais directement liés à la formation (hébergement, repas, déplacements locaux et programme) des participants sélectionnés sont pris en charge par le BIJ
- Pour les participants de Fédération Wallonie-Bruxelles uniquement, les frais de participation sont de 20 euros.
- Les frais de transports internationaux des participants africains sont pris en charge par les accords de coopération.
Comment participer?
- Si vous habitez en Fédération Wallonie-Bruxelles, vous pouvez envoyer votre formulaire de candidature à Pascale Samyn avant le 15 septembre 2013
- Si vous habitez dans un pays éligibles du programme Axes Sud (Algérie, Bénin, Burkina-Faso, Burundi, Maroc, République démocratique du Congo, Rwanda, Sénégal, Tunisie), les participants doivent faire parvenir leur formulaire de candidature avant le 1er septembre 2013 à la représentation de la Fédération Wallonie-Bruxelles de leur pays (l'ensemble des coordonnées sont reprises dans le formulaire)
Pour en savoir plus : Pascale Samyn ou au 02 227 52 80
Retour au débutChaque année le Bureau International Jeunesse (BIJ) organise une formation inscrite dans le cadre du Programme Axes Sud. Celle-ci s’adresse aux responsables de projets, animateurs de jeunesse, organisateurs d’échanges avec la Fédération Wallonie-Bruxelles et les pays éligibles du programme (Maroc, Algérie, Tunisie, Sénégal, Burkina Faso, Bénin, RDC).
La formation est destinée à améliorer la qualité des projets d’échanges interculturels Sud/Nord, à faciliter la recherche de partenaires ou à permettre la rencontre entre les partenaires déjà identifiés pour travailler ensemble un projet concret. Elle donne également l’occasion aux participants d’avoir une réflexion sur une thématique commune.
Cette année privilégie les projets qui s’inscrivent dans le thème des créativités sociales, c’est-à-dire des actions (projets) menées par des jeunes dans lesquelles ils s’expriment sur leur vécu, sur la société qui les entoure et à travers lesquelles ils développent des initiatives originales.
La formation abordera aussi les outils médias sociaux et radio susceptibles de valoriser ces démarches créatives.
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- Vous êtes animateur, professionnel ou volontaire, ou membre d’un groupe informel de jeunes et vous avez le désir de monter un projet d’échange dans le cadre du programme Axes Sud
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- Pour les participants de Fédération Wallonie-Bruxelles uniquement, les frais de participation sont de 20 euros.
- Les frais de transports internationaux des participants africains sont pris en charge par les accords de coopération.
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- Si vous habitez en Fédération Wallonie-Bruxelles, vous pouvez envoyer votre formulaire de candidature à Pascale Samyn avant le 15 septembre 2013
- Si vous habitez dans un pays éligibles du programme Axes Sud (Algérie, Bénin, Burkina-Faso, Burundi, Maroc, République démocratique du Congo, Rwanda, Sénégal, Tunisie), les participants doivent faire parvenir leur formulaire de candidature avant le 1er septembre 2013 à la représentation de la Fédération Wallonie-Bruxelles de leur pays (l'ensemble des coordonnées sont reprises dans le formulaire)
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Appel à Projets
Le Programme européen INTERREG IV A Grande Région soutient financièrement des projets transfrontaliers menés en commun par des opérateurs de la Grande Région grâce aux fonds FEDER (Fonds européen de développement régional).
Sur les 106 millions d’euros de FEDER gérés par le programme, plus de 98% sont aujourd’hui engagés dans des domaines très divers tels que l’économie, l’aménagement du territoire, la mobilité, le social, l’éducation, la santé, l’économie touristique et culturelle. Près de 2 millions d’euros de subventions FEDER sont encore disponibles !
Lors de sa réunion du 12 juin 2013 à Orscholz (Sarre), le comité de suivi du programme INTERREG IV A Grande Région a approuvé une procédure de dépôt des projets au fil de l’eau pour la fin de la période de programmation, afin d’assurer une programmation optimale des fonds FEDER restants.
Contact WBI : Delphine Goderniaux
Appel à Projets
Le Programme européen INTERREG IV A Grande Région soutient financièrement des projets transfrontaliers menés en commun par des opérateurs de la Grande Région grâce aux fonds FEDER (Fonds européen de développement régional).
Sur les 106 millions d’euros de FEDER gérés par le programme, plus de 98% sont aujourd’hui engagés dans des domaines très divers tels que l’économie, l’aménagement du territoire, la mobilité, le social, l’éducation, la santé, l’économie touristique et culturelle. Près de 2 millions d’euros de subventions FEDER sont encore disponibles !
Lors de sa réunion du 12 juin 2013 à Orscholz (Sarre), le comité de suivi du programme INTERREG IV A Grande Région a approuvé une procédure de dépôt des projets au fil de l’eau pour la fin de la période de programmation, afin d’assurer une programmation optimale des fonds FEDER restants.
Contact WBI : Delphine Goderniaux
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Lors des Rencontres du Jeune Théâtre Européen qui se déroulaient à Grenoble en juilllet 2013, une lectrice de WBI accompagnait les étudiants d'une université indienne. Il s'agissait du Collectif Theatramayur de l’Université Jawaharlal Nehru, représenté par 11 étudiants. Julie David, lectrice Wallonie-Bruxelles à Delhi les a mis en scène. Le spectacle "Partir" est une création collective. Le spectacle est tiré d’une réflexion sur les œuvres de trois auteurs belges : Henry Bauchau, Marguerite Yourcenar et Henri Michaux.
16 compagnies étaient présentes à la 25e édition de ses Rencontres. Elles sont formées de jeunes comédiens affirmés, de membres de collectifs universitaires et autres. Tous ces jeunes rivalisaient d’ingéniosité, de cet amour du théâtre pour ne former qu’un groupe homogène pour la présentation du spectacle de clôture "Révolution" le 13 juillet.
Les Rencontres du Jeune Théâtre Européen s’inscrivent dans la grande tradition des manifestations culturelles et artistiques dont le Festival d’Avignon de Jean Vilar est à ce jour un des exemples les plus aboutis.
Elles ne sont pas seulement un Festival de Jeune Théâtre Européen mais un lieu d’échanges et de dialogue, lieu théâtral, et lieu citoyen, lieu de rencontres.
Elles sont les héritières des Lumières, aussi bien celles de la Raison que de l’Esprit. Elles se placent dans la tradition de la résistance à l’oppression et aux totalitarismes. Elles affirment la dimension universelle de la culture et son caractère irréductible à toute marchandisation. Respectueuses de la richesse et de la valeur des différents patrimoines, elles croient en la liberté de l’être humain et en sa capacité à se transformer et transformer le monde.
Lors des Rencontres du Jeune Théâtre Européen qui se déroulaient à Grenoble en juilllet 2013, une lectrice de WBI accompagnait les étudiants d'une université indienne. Il s'agissait du Collectif Theatramayur de l’Université Jawaharlal Nehru, représenté par 11 étudiants. Julie David, lectrice Wallonie-Bruxelles à Delhi les a mis en scène. Le spectacle "Partir" est une création collective. Le spectacle est tiré d’une réflexion sur les œuvres de trois auteurs belges : Henry Bauchau, Marguerite Yourcenar et Henri Michaux.
16 compagnies étaient présentes à la 25e édition de ses Rencontres. Elles sont formées de jeunes comédiens affirmés, de membres de collectifs universitaires et autres. Tous ces jeunes rivalisaient d’ingéniosité, de cet amour du théâtre pour ne former qu’un groupe homogène pour la présentation du spectacle de clôture "Révolution" le 13 juillet.
Les Rencontres du Jeune Théâtre Européen s’inscrivent dans la grande tradition des manifestations culturelles et artistiques dont le Festival d’Avignon de Jean Vilar est à ce jour un des exemples les plus aboutis.
Elles ne sont pas seulement un Festival de Jeune Théâtre Européen mais un lieu d’échanges et de dialogue, lieu théâtral, et lieu citoyen, lieu de rencontres.
Elles sont les héritières des Lumières, aussi bien celles de la Raison que de l’Esprit. Elles se placent dans la tradition de la résistance à l’oppression et aux totalitarismes. Elles affirment la dimension universelle de la culture et son caractère irréductible à toute marchandisation. Respectueuses de la richesse et de la valeur des différents patrimoines, elles croient en la liberté de l’être humain et en sa capacité à se transformer et transformer le monde.
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Avec l'aide de WBI, Gaël Turine photographe et Chiquinquira Garcia graphiste ont animé un atelier en avril 2013. Durant 10 jours, au sein de la Fondation Connaissance et Liberté/Fokal à Port- au - Prince, ils ont travaillé avec 12 jeunes photographes et journalistes haïtiens. Le résultat est une publication virtuelle "Notre Regard".
En début d’atelier, chacun a choisi un thème de travail lié à la ville de Port-au-Prince. Cimetière, vie de quartier, art urbain, travail des artisans, accès à l’eau, vie nocturne, vie familiale, portraits, commerce, vaudou, usine à bonbon, médecine traditionnelle. Chaque jour, le travail des uns et des autres était analysé en groupe, ce qui a permis un apprentissage par la pratique, qu’il s’agisse de la bonne distance à créer avec son sujet, du travail de la lumière, de la composition photographique tout comme celle du récit. Ce travail sur le concret a permis à plusieurs des photographes de faire un réel bond en avant dans ce métier qui s’apprend, comme tant d’autres, par la pratique et les échanges sur le travail de tous.
Il s’agissait de construire son discours en amont, en sachant ce qu’on veut raconter et en imaginant les images indispensables pour ce faire, mais il s’agissait également de construire son propos en aval, en réalisant la difficile sélection des photos et leur mise en page. Les photographes ont pu percevoir comment valoriser leurs photographies et leur discours via les techniques graphiques, et comment celles-ci existent, au-delà de critères esthétiques, pour renforcer le sens du propos.
A consulter
La publication virtuelle Notre Regard : http://issuu.com/beltza/docs/notre_regard
Avec l'aide de WBI, Gaël Turine photographe et Chiquinquira Garcia graphiste ont animé un atelier en avril 2013. Durant 10 jours, au sein de la Fondation Connaissance et Liberté/Fokal à Port- au - Prince, ils ont travaillé avec 12 jeunes photographes et journalistes haïtiens. Le résultat est une publication virtuelle "Notre Regard".
En début d’atelier, chacun a choisi un thème de travail lié à la ville de Port-au-Prince. Cimetière, vie de quartier, art urbain, travail des artisans, accès à l’eau, vie nocturne, vie familiale, portraits, commerce, vaudou, usine à bonbon, médecine traditionnelle. Chaque jour, le travail des uns et des autres était analysé en groupe, ce qui a permis un apprentissage par la pratique, qu’il s’agisse de la bonne distance à créer avec son sujet, du travail de la lumière, de la composition photographique tout comme celle du récit. Ce travail sur le concret a permis à plusieurs des photographes de faire un réel bond en avant dans ce métier qui s’apprend, comme tant d’autres, par la pratique et les échanges sur le travail de tous.
Il s’agissait de construire son discours en amont, en sachant ce qu’on veut raconter et en imaginant les images indispensables pour ce faire, mais il s’agissait également de construire son propos en aval, en réalisant la difficile sélection des photos et leur mise en page. Les photographes ont pu percevoir comment valoriser leurs photographies et leur discours via les techniques graphiques, et comment celles-ci existent, au-delà de critères esthétiques, pour renforcer le sens du propos.
A consulter
La publication virtuelle Notre Regard : http://issuu.com/beltza/docs/notre_regard
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Le Festival "Moving in november" est le plus ancien festival d'Helsinki. C'est un ode à la danse contemporaine qui présente cet art total, entre danse, théâtre et performance.
3 compagnies de Wallonie-Bruxelles y présenteront leurs créations : Zoo Cie Thomas Hauert, Olga de Soto, Pierrre Droulers de Charleroi Danses.
Au programme :
- Olga de Soto présente le spectacle, une performance documentaire "Une Introduction" au Kiasma Museum of Contemporary Art, les 1er et 2 novembre 2013 ;
- Pierre Droulers/Charleroi Danses présente le spectacle Soleils au Stoa Cultural Centre, les 5 et 6 novembre 2013 ;
- Cie Zoo/Thomas Hauert , artiste en résidence au sein de Charleroi Danses, propose un atelier au Zodiak - Center for New Dance, du 6 au 10 novembre 2013, il donnera aussi une conférence le 8 novembre au Theater Academy d'Helsinki.
Interview d'Olga de Soto
Le Festival "Moving in november" est le plus ancien festival d'Helsinki. C'est un ode à la danse contemporaine qui présente cet art total, entre danse, théâtre et performance.
3 compagnies de Wallonie-Bruxelles y présenteront leurs créations : Zoo Cie Thomas Hauert, Olga de Soto, Pierrre Droulers de Charleroi Danses.
Au programme :
- Olga de Soto présente le spectacle, une performance documentaire "Une Introduction" au Kiasma Museum of Contemporary Art, les 1er et 2 novembre 2013 ;
- Pierre Droulers/Charleroi Danses présente le spectacle Soleils au Stoa Cultural Centre, les 5 et 6 novembre 2013 ;
- Cie Zoo/Thomas Hauert , artiste en résidence au sein de Charleroi Danses, propose un atelier au Zodiak - Center for New Dance, du 6 au 10 novembre 2013, il donnera aussi une conférence le 8 novembre au Theater Academy d'Helsinki.
Interview d'Olga de Soto
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Participation de Wallonie-Bruxelles
Les travaux de 5 architectes de Wallonie et de Bruxelles sont présentés lors de la manifestation : Vincent Callebaut, Carnoy-Crayon, Alain Richard, Philippe Samyn et Luc Schuiten.
Les Belges de Rotor sont les commissaires de la 5eme édition de la Triennale d'architecture d'Oslo (OAT). La Triennale 2013 s' intitule "Behind the Green Door" - "Architecture et le désir de durabilité".
Les experts de Rotor ont rassemblé plus de 600 objets portant sur la durabilité. Ceux-ci proviennent de plus de 200 bureaux d'architectes, d'entreprises et d'organisations environnementales à travers le monde. Ils forment ainsi un cabinet de curiosités, qui sera exposé au DogA (Norwegian Centre for design and Architecture) du 19 septembre au 1er décembre 2013. La conférence inaugurale est confiée à l'équipe de la revue française spécialisée en architecture Criticat.
Retour au débutArchitecture et développement durable
L'exposition explore la "durabilité" dans l'architecture et la planification urbaine presque 30 ans après que la Commission Brundtland, du nom de la femme politique norvégienne Gro Harlem Brundland, directrice générale de l'OMS, qui initia, dès 1987, les principes du développement durable. Rotor souhaite interroger les projets et les produits du couple paradoxal "croissance + durabilité = développement durable".
Dans l'exposition, on trouve : des coupures de presse, des échantillons de matériaux, des maquettes, des jeux, des photos, des vidéos et des prototypes - une collection impressionnante qui montre comment l'architecture, l'urbanisme, la pratique scientifique, les opportunités d'affaires et le pouvoir politique sont étroitement liés dans le cadre du développement durable.
L'exposition principale invite à un voyage approfondi, critique et ludique à travers l'impact et l'influence de la durabilité sur la culture architecturale des 30 dernières années. Alors que certains prétendent aujourd'hui que la notion de durabilité a perdu son sens, d'autres diront qu'il n'a jamais été aussi important.
En plus de l'exposition principale, l'OAT présente 25 projets élaborés en partenariat avec des architectes locaux et internationaux , programmés à Oslo et dans sa région (visites guidées, débats, ateliers..)
Participation de Wallonie-Bruxelles
Les travaux de 5 architectes de Wallonie et de Bruxelles sont présentés lors de la manifestation : Vincent Callebaut, Carnoy-Crayon, Alain Richard, Philippe Samyn et Luc Schuiten.
Les Belges de Rotor sont les commissaires de la 5eme édition de la Triennale d'architecture d'Oslo (OAT). La Triennale 2013 s' intitule "Behind the Green Door" - "Architecture et le désir de durabilité".
Les experts de Rotor ont rassemblé plus de 600 objets portant sur la durabilité. Ceux-ci proviennent de plus de 200 bureaux d'architectes, d'entreprises et d'organisations environnementales à travers le monde. Ils forment ainsi un cabinet de curiosités, qui sera exposé au DogA (Norwegian Centre for design and Architecture) du 19 septembre au 1er décembre 2013. La conférence inaugurale est confiée à l'équipe de la revue française spécialisée en architecture Criticat.
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L'exposition explore la "durabilité" dans l'architecture et la planification urbaine presque 30 ans après que la Commission Brundtland, du nom de la femme politique norvégienne Gro Harlem Brundland, directrice générale de l'OMS, qui initia, dès 1987, les principes du développement durable. Rotor souhaite interroger les projets et les produits du couple paradoxal "croissance + durabilité = développement durable".
Dans l'exposition, on trouve : des coupures de presse, des échantillons de matériaux, des maquettes, des jeux, des photos, des vidéos et des prototypes - une collection impressionnante qui montre comment l'architecture, l'urbanisme, la pratique scientifique, les opportunités d'affaires et le pouvoir politique sont étroitement liés dans le cadre du développement durable.
L'exposition principale invite à un voyage approfondi, critique et ludique à travers l'impact et l'influence de la durabilité sur la culture architecturale des 30 dernières années. Alors que certains prétendent aujourd'hui que la notion de durabilité a perdu son sens, d'autres diront qu'il n'a jamais été aussi important.
En plus de l'exposition principale, l'OAT présente 25 projets élaborés en partenariat avec des architectes locaux et internationaux , programmés à Oslo et dans sa région (visites guidées, débats, ateliers..)
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Les 19 et 20 septembre prochains se tient un colloque ayant pour thème "Les Dialogues francophones en Europe". Organisé par l'Université française de Szeged, en Hongrie, le colloque est destiné aux étudiants en master et doctorants provenant des universités partenaires (Lille, Louvain-la-Neuve, Lyon, Tours, Montpellier, Sofia, Cluj-Napoca).
Un appel à participation est lancé. Les étudiants qui le souhaitent peuvent rentrer une proposition de communication. Toutes les propsitions sont les bienvenues, pour autant qu'elles aient comme axe de réflexion les dialogues francophones en Europe.
A titre d'exemple, voici quelques suggestions:
- Etudier l'identité francophone de votre pays d'origine
- Proposer une approche globalisante du dialogue des différentes cultures composant un territoire ou un espace en Europe
- Analyser la civilisation et l'intégration francophone ou européenne
- Questionner le modèle francophone et son influence en Europe centrale et orientale
- La thématique de la littérature transnationale francophone en Europe
- La place de la langue française dans les institutions européennes
- La francophonie comme élément fédérateur
Les textes de communication doivent être envoyés pour le 20 août 2013 au plus tard à l'adresse suivante: carine.guemar@irsi.u-szeged.hu.
Les textes définitifs doivent être livrés pour le 2 novembre 2013, date à laquelle un acte de publication peut être émis.
Coordonnées de la personne de contact:
Carine Guemar
carine.guemar@irsi.u-szeged.hu
Téléphone: +36 62 546 752 - Mobile: +36 70 675 65 36
Adresse: Feketesas utca, 28 - H-6720 Szeged (Hongrie)
Pour plus d'informations: Appel à communication pour le colloque du 19-20 septembre 2013
Les 19 et 20 septembre prochains se tient un colloque ayant pour thème "Les Dialogues francophones en Europe". Organisé par l'Université française de Szeged, en Hongrie, le colloque est destiné aux étudiants en master et doctorants provenant des universités partenaires (Lille, Louvain-la-Neuve, Lyon, Tours, Montpellier, Sofia, Cluj-Napoca).
Un appel à participation est lancé. Les étudiants qui le souhaitent peuvent rentrer une proposition de communication. Toutes les propsitions sont les bienvenues, pour autant qu'elles aient comme axe de réflexion les dialogues francophones en Europe.
A titre d'exemple, voici quelques suggestions:
- Etudier l'identité francophone de votre pays d'origine
- Proposer une approche globalisante du dialogue des différentes cultures composant un territoire ou un espace en Europe
- Analyser la civilisation et l'intégration francophone ou européenne
- Questionner le modèle francophone et son influence en Europe centrale et orientale
- La thématique de la littérature transnationale francophone en Europe
- La place de la langue française dans les institutions européennes
- La francophonie comme élément fédérateur
Les textes de communication doivent être envoyés pour le 20 août 2013 au plus tard à l'adresse suivante: carine.guemar@irsi.u-szeged.hu.
Les textes définitifs doivent être livrés pour le 2 novembre 2013, date à laquelle un acte de publication peut être émis.
Coordonnées de la personne de contact:
Carine Guemar
carine.guemar@irsi.u-szeged.hu
Téléphone: +36 62 546 752 - Mobile: +36 70 675 65 36
Adresse: Feketesas utca, 28 - H-6720 Szeged (Hongrie)
Pour plus d'informations: Appel à communication pour le colloque du 19-20 septembre 2013
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A l’automne 2013, le Théâtre de la Place, rebaptisé Théâtre de Liège, prendra ses quartiers dans le bâtiment prestigieux de la Société Libre d’Émulation, emblème du patrimoine de la Ville de Liège, entièrement rénové par les architectes Pierre Hebbelinck et Pierre De Wit.
Situé au coeur historique de la ville, le Théâtre de Liège s’inscrit désormais dans une nouvelle dynamique et optimise ainsi son rayonnement sur le territoire local, national, eurégional (Belgique, Allemagne, Pays-Bas, Luxembourg) ainsi que sur l’échiquier culturel international.
La grande salle du Théâtre de Liège est dotée de 557 fauteuils.
Les particuliers et les entreprises se voient dès aujourd’hui offrir la possibilité de les "acquérir".
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En image et communication
Le nom de l’acheteur sera inscrit :
-
sur le dossier de son siège,
-
dans le portfolio édité et offert aux spectateurs à l’occasion de l’inauguration du Théâtre
-
sur le site Internet du Théâtre de Liège
-
sur un panneau à l’accueil.
En contreparties valorisantes
- une invitation pour deux personnes à l’une des soirées du week-end d’inauguration du Théâtre (2 personnes/siège acquis),
- une visite privée des nouveaux espaces du Théâtre de Liège, pour 50 personnes, dans les 3 ans (visite de 45 minutes). L’organisation d’un cocktail est possible, à charge du Partenaire,
- durant les 3 premières saisons, le Partenaire disposera de 5 x 2 invitations par saison, à répartir sur l’ensemble de la programmation,
- durant les 3 premières saisons, un tarif préférentiel sur tous les spectacles sera accordé aux membres du personnel du Partenaire ou aux membres de sa famille : le ticket individuel au tarif de groupe,
- un accès privilégié aux espaces du Théâtre de Liège et une réduction de 25% sur leur prix de location,
- un exemplaire dédicacé de l’ouvrage de la photographe Marie-Françoise Plissart qui a suivi, durant deux ans, le chantier de l’Emulation (1 exemplaire/siège acquis, remis dès sa parution, à l’automne 2014).
Pour en savoir plus : www.theatredelaplace.be
Retour au débutA l’automne 2013, le Théâtre de la Place, rebaptisé Théâtre de Liège, prendra ses quartiers dans le bâtiment prestigieux de la Société Libre d’Émulation, emblème du patrimoine de la Ville de Liège, entièrement rénové par les architectes Pierre Hebbelinck et Pierre De Wit.
Situé au coeur historique de la ville, le Théâtre de Liège s’inscrit désormais dans une nouvelle dynamique et optimise ainsi son rayonnement sur le territoire local, national, eurégional (Belgique, Allemagne, Pays-Bas, Luxembourg) ainsi que sur l’échiquier culturel international.
La grande salle du Théâtre de Liège est dotée de 557 fauteuils.
Les particuliers et les entreprises se voient dès aujourd’hui offrir la possibilité de les "acquérir".
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En image et communication
Le nom de l’acheteur sera inscrit :
-
sur le dossier de son siège,
-
dans le portfolio édité et offert aux spectateurs à l’occasion de l’inauguration du Théâtre
-
sur le site Internet du Théâtre de Liège
-
sur un panneau à l’accueil.
En contreparties valorisantes
- une invitation pour deux personnes à l’une des soirées du week-end d’inauguration du Théâtre (2 personnes/siège acquis),
- une visite privée des nouveaux espaces du Théâtre de Liège, pour 50 personnes, dans les 3 ans (visite de 45 minutes). L’organisation d’un cocktail est possible, à charge du Partenaire,
- durant les 3 premières saisons, le Partenaire disposera de 5 x 2 invitations par saison, à répartir sur l’ensemble de la programmation,
- durant les 3 premières saisons, un tarif préférentiel sur tous les spectacles sera accordé aux membres du personnel du Partenaire ou aux membres de sa famille : le ticket individuel au tarif de groupe,
- un accès privilégié aux espaces du Théâtre de Liège et une réduction de 25% sur leur prix de location,
- un exemplaire dédicacé de l’ouvrage de la photographe Marie-Françoise Plissart qui a suivi, durant deux ans, le chantier de l’Emulation (1 exemplaire/siège acquis, remis dès sa parution, à l’automne 2014).
Pour en savoir plus : www.theatredelaplace.be
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Ce prix prestigieux qui récompense 10 % des meilleurs établissements au monde sur TripAdvisor est décerné aux établissements qui reçoivent régulièrement d'excellentes notes de la part des voyageurs TripAdvisor.
Le Musée royal de Mariemont de la Fédération Wallonie-Bruxelles est située en Wallonie dans le Hainaut, au coeur d'un parc magnifique aux espèces d'arbres et de plantes rares. Les amateurs des chefs-d'oeuvre de l'Antiquité classique, d'Extrême-Orient, des arts décoratifs et les bibliophiles sont parmi les plus heureux visiteurs.
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