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Liege Airport

Reconnaissance internationale pour Liege Airport

 

 

Lors du Congrès mondial de la FIATA (Fédération internationale des transitaires et assimilés) qui se tenait à Singapour, les magazines spécialisés "Payload Asia" et "Logistics Insight Asia" ont organisé leur 2e concours "Payload Asia Awards" La concurrence était rude : Atlanta et Changi (Singapour) étaient des concurrents de poids pour Liège.

 

La récompense a été attribuée à Liege Airport dans la catégorie "Aéroport de l'année". Les critères de sélection et primordiaux incluaient l'implication dans le support des activité cargo, la performance opérationnelle, le service au client et des coûts compétitifs.

 

Les lecteurs du magazine Air Cargo World avaient déjà récompensé Liège d'un "Air Cargo Award of Excellence". Une nouvelle récompense conforte le modèle et la stratégie de Liege Airport.

 

Il a connu une croissance exceptionnelle au cours des dernières années. Ouvert 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, il est reconnu comme réseau régonial  logistique au coeur d l'Europe et  comme connexion internationale  entre l'Europe, l'Afrique, la Région Asie/Pacifique, les Etats-Unis et le Moyen-Orient.

Reconnaissance internationale pour Liege Airport

 

 

Lors du Congrès mondial de la FIATA (Fédération internationale des transitaires et assimilés) qui se tenait à Singapour, les magazines spécialisés "Payload Asia" et "Logistics Insight Asia" ont organisé leur 2e concours "Payload Asia Awards" La concurrence était rude : Atlanta et Changi (Singapour) étaient des concurrents de poids pour Liège.

 

La récompense a été attribuée à Liege Airport dans la catégorie "Aéroport de l'année". Les critères de sélection et primordiaux incluaient l'implication dans le support des activité cargo, la performance opérationnelle, le service au client et des coûts compétitifs.

 

Les lecteurs du magazine Air Cargo World avaient déjà récompensé Liège d'un "Air Cargo Award of Excellence". Une nouvelle récompense conforte le modèle et la stratégie de Liege Airport.

 

Il a connu une croissance exceptionnelle au cours des dernières années. Ouvert 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, il est reconnu comme réseau régonial  logistique au coeur d l'Europe et  comme connexion internationale  entre l'Europe, l'Afrique, la Région Asie/Pacifique, les Etats-Unis et le Moyen-Orient.

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Julien de Wit lors d'une conférence
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De l'ULg au MIT

Né à Verviers le 18 janvier 1988, Julien de Wit termine sa thèse de doctorat sur la caractérisation d’exoplanètes au "Department of Earth, Atmospheric, and Planetary Sciences (EAPS)” du Massachussetts Institute of Technology (MIT). Son parcours a débuté à l'Université de Liège (ULg) et s’est internationalisé dès 2008. Il a intégré l'Institut supérieur de l'Aéronautique et l'Espace-ISAE deToulouse au sein du réseau d’échange d’étudiant Ingénieurs T.I.M.E.  En avril 2010, son parcours le conduit de l’autre côte de l’Atlantique, en Nouvelle-Angleterre, pour un travail de fin d’étude au réputé MIT. Après un retour à Liège (Alma Mater) pour un Master Ingénieur Civil en Aérospatiale, il retourne au MIT en août 2011.

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Des exoplanètes 

Dans le cadre de sa thèse, il développe/utilise diverses méthodes pour caractériser des exoplanètes, à savoir des planètes se trouvant en orbite d’autres étoiles que le Soleil. Ces méthodes sont ensuite directement mises en pratique sur des données obtenues avec des télescopes spatiaux, Spitzer et Kepler (NASA), ou terrestres comme les télescopes Magellan (Carnegie Institute for Science). L’une de ces méthodes consiste à contraindre les propriétés de l’atmosphère (ex. sa composition) d’une exoplanète sur base de son spectre de transmission. Le spectre de transmission d’une exoplanète est une information obtenue lorsque cette planète transite (passe entre son étoile et la Terre) puisque une partie de la lumière de l’étoile hôte traverse son atmosphère avant d’atteindre la Terre. En traversant l’atmosphère de l’exoplanète en transit, le spectre de l’étoile est marqué par les bandes d’absorption des molécules présentent dans cette dernière, ce qui permet de retrouver sa composition. Les spectres de transmission d’exoplanètes sont fondamentaux pour le domaine des sciences planétaires, notamment car ils nous permettront à moyen terme l’habitabilité d’une exoplanète, voir d’y détecter la présence d’une biomasse.  Une autre de ces méthodes lui permet de cartographier les exoplanètes et a récemment permis de détecter la première couverture nuageuse d'une exoplanète.

 

Cette première, publiée  dans The Astrophysical Journal Letters, a bénéficié d’une présentation de la NASA et d’une large couverture médiatique (Time Magazine, BBC, NBC, Le Monde…). Cartographier une planète en dehors du système solaire est un vrai challenge car elles ne peuvent pas être résolues spatialement, contrairement aux planètes du système solaire.  Cela signifie que si l’on pouvait les distinguer de leur étoile (procédé équivalent en complexité à celui consistant à distinguer un vers luisant à cote d’un phare maritime à une distance supérieure à 5000km), elles apparaitraient comme un point, tout comme leur étoile hôte. Il n’y a donc a priori pas d’information concernant la distribution spatiale de brillance tant pour une étoile hôte que pour sa (ses) planète(s). Bien que les planètes soient plus de 100 fois plus petite (en terme de surface projetée) que leur étoile, des méthodes on été développées pour les "cartographier"(Knutson et al. 2007, de Wit et al. 2012). En décembre 2013, il a publié un article dans le magazine américain Science.

 

Son programme s'intègre bien dans le cadre des pôles de compétitivité du Plan Marshall 2.vert : l'aéronautique et spatial.

 

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Le parcours de Julien de Wit 

 

Formation académique :

  •  2005-2008, Bachelier en Science de l'Ingénieur, Université de Liège ;
  •  2009-2010, Master de Recherche en Astrophysique, Sciences de l'Espace et Planétologie, Université de Toulouse - ISAE (Institut supérieur de l'Aéronautique et l'Espace) ;
  •  2008-2010, Diplôme de Formation d'Ingénieur SUPAERO, ISAE ;
  •  2008-2011, Master Ingénieur Civil en Aérospatiale, Université de Liège ;
  •  2011-2014, Doctorant au MIT Cambridge (USA).
     


En 2008 et 2009, il a reçu une bourse de mobilité du Legs Fernand Pisart. En 2009, la Fondation Dusberg-Baily-Thil Lorrrain le distinguait. Les bourses Duesberg-Baily-Thil Lorrain sont destinées à l'octroi, chaque année académique, d'une bourse d'étude à un(e) jeune diplômé(e) de l'Université de Liège sorti(e) de l'Athénée Royal Thil Lorrain de Verviers, afin de l'aider à effectuer une année d'études dans un établissement universitaire de renom à l'étranger. En 2011, il a reçu le Prix Odissea du Sénat de Belgique pour son mémoire sur l’analyse de l’ensemble des observations de la Jupiter chaude HD189733b obtenue avec le télescope spatiale Spitzer (NASA/JPL).  Julien de Wit a reçu l'aide de la Belgian American Educational Foundation-BAEF pour l’année académique de 2012 (9 mois).

 

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De l'ULg au MIT

Né à Verviers le 18 janvier 1988, Julien de Wit termine sa thèse de doctorat sur la caractérisation d’exoplanètes au "Department of Earth, Atmospheric, and Planetary Sciences (EAPS)” du Massachussetts Institute of Technology (MIT). Son parcours a débuté à l'Université de Liège (ULg) et s’est internationalisé dès 2008. Il a intégré l'Institut supérieur de l'Aéronautique et l'Espace-ISAE deToulouse au sein du réseau d’échange d’étudiant Ingénieurs T.I.M.E.  En avril 2010, son parcours le conduit de l’autre côte de l’Atlantique, en Nouvelle-Angleterre, pour un travail de fin d’étude au réputé MIT. Après un retour à Liège (Alma Mater) pour un Master Ingénieur Civil en Aérospatiale, il retourne au MIT en août 2011.

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Des exoplanètes 

Dans le cadre de sa thèse, il développe/utilise diverses méthodes pour caractériser des exoplanètes, à savoir des planètes se trouvant en orbite d’autres étoiles que le Soleil. Ces méthodes sont ensuite directement mises en pratique sur des données obtenues avec des télescopes spatiaux, Spitzer et Kepler (NASA), ou terrestres comme les télescopes Magellan (Carnegie Institute for Science). L’une de ces méthodes consiste à contraindre les propriétés de l’atmosphère (ex. sa composition) d’une exoplanète sur base de son spectre de transmission. Le spectre de transmission d’une exoplanète est une information obtenue lorsque cette planète transite (passe entre son étoile et la Terre) puisque une partie de la lumière de l’étoile hôte traverse son atmosphère avant d’atteindre la Terre. En traversant l’atmosphère de l’exoplanète en transit, le spectre de l’étoile est marqué par les bandes d’absorption des molécules présentent dans cette dernière, ce qui permet de retrouver sa composition. Les spectres de transmission d’exoplanètes sont fondamentaux pour le domaine des sciences planétaires, notamment car ils nous permettront à moyen terme l’habitabilité d’une exoplanète, voir d’y détecter la présence d’une biomasse.  Une autre de ces méthodes lui permet de cartographier les exoplanètes et a récemment permis de détecter la première couverture nuageuse d'une exoplanète.

 

Cette première, publiée  dans The Astrophysical Journal Letters, a bénéficié d’une présentation de la NASA et d’une large couverture médiatique (Time Magazine, BBC, NBC, Le Monde…). Cartographier une planète en dehors du système solaire est un vrai challenge car elles ne peuvent pas être résolues spatialement, contrairement aux planètes du système solaire.  Cela signifie que si l’on pouvait les distinguer de leur étoile (procédé équivalent en complexité à celui consistant à distinguer un vers luisant à cote d’un phare maritime à une distance supérieure à 5000km), elles apparaitraient comme un point, tout comme leur étoile hôte. Il n’y a donc a priori pas d’information concernant la distribution spatiale de brillance tant pour une étoile hôte que pour sa (ses) planète(s). Bien que les planètes soient plus de 100 fois plus petite (en terme de surface projetée) que leur étoile, des méthodes on été développées pour les "cartographier"(Knutson et al. 2007, de Wit et al. 2012). En décembre 2013, il a publié un article dans le magazine américain Science.

 

Son programme s'intègre bien dans le cadre des pôles de compétitivité du Plan Marshall 2.vert : l'aéronautique et spatial.

 

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Le parcours de Julien de Wit 

 

Formation académique :

  •  2005-2008, Bachelier en Science de l'Ingénieur, Université de Liège ;
  •  2009-2010, Master de Recherche en Astrophysique, Sciences de l'Espace et Planétologie, Université de Toulouse - ISAE (Institut supérieur de l'Aéronautique et l'Espace) ;
  •  2008-2010, Diplôme de Formation d'Ingénieur SUPAERO, ISAE ;
  •  2008-2011, Master Ingénieur Civil en Aérospatiale, Université de Liège ;
  •  2011-2014, Doctorant au MIT Cambridge (USA).
     


En 2008 et 2009, il a reçu une bourse de mobilité du Legs Fernand Pisart. En 2009, la Fondation Dusberg-Baily-Thil Lorrrain le distinguait. Les bourses Duesberg-Baily-Thil Lorrain sont destinées à l'octroi, chaque année académique, d'une bourse d'étude à un(e) jeune diplômé(e) de l'Université de Liège sorti(e) de l'Athénée Royal Thil Lorrain de Verviers, afin de l'aider à effectuer une année d'études dans un établissement universitaire de renom à l'étranger. En 2011, il a reçu le Prix Odissea du Sénat de Belgique pour son mémoire sur l’analyse de l’ensemble des observations de la Jupiter chaude HD189733b obtenue avec le télescope spatiale Spitzer (NASA/JPL).  Julien de Wit a reçu l'aide de la Belgian American Educational Foundation-BAEF pour l’année académique de 2012 (9 mois).

 

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Philippe Suinen, Administrateur général de WBI
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WBI et le défi de la gestion des conflits

 

Dans le cadre des 30 ans des Relations internationales de Wallonie-Bruxelles, et des Commémorations du Centenaire de la Première Guerre Mondiale, WBI a organisé une matinée de réflexions sur la Paix par la valorisation de la complexité. Introduits par l'Administrateur général, Philippe Suinen, les défis à relever pour le futur de notre monde complexe passent par la solidarité internationale, le dialogue, le respect de l'autre et de sa langue.  Créer une boîte à outils de bonnes pratiques pour un partenariat porteur grâce aux valeurs universelles est une condition indispensable au maitien de la Paix.

 

Les ambassadeurs présents (Bolivie, Costa Rica, Burundi, Macédoine) ont présenté leurs pays, les conditions historiques et politiques de l'existence de leurs minorités, la pratique d'inclusion de celles-ci. Les professeurs d'Université, notamment de la Chaire Unesco en éducation à la paix et en résolution pacifique des conflits (CERFOPAX)  ont fourni un témoignage argumenté de la nécessaire persévérance des négociations. Un journaliste en charge de la politique internationale au sein de la RTBF a proposé une conclusion à l'issue de chacune des interventions. Il a insisté sur la richesse de la réflexion sur la Paix, sur la valorisation de la complexité. Les processus expérimentés témoignent des choix démocratiques, du Droit, de la Bonne Gouvernance, de la reconnaissance de l'identité multiple, du respect des Droits de l'Homme, de la reconnaissance des genres.  Le Dr. Pascal Montoisy - Administrateur de Programme pour l'APEFE fort de ses 14 ans d'expérience en Bolivie a présenté l'importance et l'originalité du système éducatif, l'usage de l'ethnomathématique. 

 

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Les pays choisis:  

  • La Bolivie et la richesse de son système éducatif ;
  • Le Costa Rica et son absence d'armée ;
  • Le Burundi et les négociations de paix ;
  • La Nouvelle Zélande et la reconnnaissance de la richesse de la culture maorie, présenté par une déléguée de l'Ambassadeur ;
  • La Macédoine et son souhait d'intégrer l'UE et l'OTAN.

 

L'Administrateur général a rappelé l'utilité et la force des réseaux. Il a appelé au renouvellement de ce type d'événement hors des frontières de Wallonie-Bruxelles.

 

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WBI et le défi de la gestion des conflits

 

Dans le cadre des 30 ans des Relations internationales de Wallonie-Bruxelles, et des Commémorations du Centenaire de la Première Guerre Mondiale, WBI a organisé une matinée de réflexions sur la Paix par la valorisation de la complexité. Introduits par l'Administrateur général, Philippe Suinen, les défis à relever pour le futur de notre monde complexe passent par la solidarité internationale, le dialogue, le respect de l'autre et de sa langue.  Créer une boîte à outils de bonnes pratiques pour un partenariat porteur grâce aux valeurs universelles est une condition indispensable au maitien de la Paix.

 

Les ambassadeurs présents (Bolivie, Costa Rica, Burundi, Macédoine) ont présenté leurs pays, les conditions historiques et politiques de l'existence de leurs minorités, la pratique d'inclusion de celles-ci. Les professeurs d'Université, notamment de la Chaire Unesco en éducation à la paix et en résolution pacifique des conflits (CERFOPAX)  ont fourni un témoignage argumenté de la nécessaire persévérance des négociations. Un journaliste en charge de la politique internationale au sein de la RTBF a proposé une conclusion à l'issue de chacune des interventions. Il a insisté sur la richesse de la réflexion sur la Paix, sur la valorisation de la complexité. Les processus expérimentés témoignent des choix démocratiques, du Droit, de la Bonne Gouvernance, de la reconnaissance de l'identité multiple, du respect des Droits de l'Homme, de la reconnaissance des genres.  Le Dr. Pascal Montoisy - Administrateur de Programme pour l'APEFE fort de ses 14 ans d'expérience en Bolivie a présenté l'importance et l'originalité du système éducatif, l'usage de l'ethnomathématique. 

 

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Les pays choisis:  

  • La Bolivie et la richesse de son système éducatif ;
  • Le Costa Rica et son absence d'armée ;
  • Le Burundi et les négociations de paix ;
  • La Nouvelle Zélande et la reconnnaissance de la richesse de la culture maorie, présenté par une déléguée de l'Ambassadeur ;
  • La Macédoine et son souhait d'intégrer l'UE et l'OTAN.

 

L'Administrateur général a rappelé l'utilité et la force des réseaux. Il a appelé au renouvellement de ce type d'événement hors des frontières de Wallonie-Bruxelles.

 

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Le concours est réservé aux chantants lyriques nés après le 1er janvier 1977 de toutes nationalités et confessions religieuses. Avec ce concours, l'Académie musicale européenne a pour objectif d'élever et d'encourager la connaissance de la musique sacrée, mais aussi la compréhension et la fraternité entre les peuples.

 

Les demandes de participation sont attendues pour le 30 octobre 2013. Le concours, quant à lui, se tient du 5 au 9 novembre 2013. Il comprend 3 épreuves: les éliminatoires, les demi-finales et la finale, accompagnée d'un concert de gala. Plusieurs prix sont attribués, consistant chacun en une bourse d'études.

 

Modalités d'inscription

Toute demande de participation doit être envoyée avant le 30 octobre 2013 (cachet de la poste faisant foi), à l'adresse suivante:

Accademia Musicale Europea
Secrétariat Concours International "Musica Sacra" 2013
Prof. Daniela de Marco Dir. Art.
Via Crescenzio, 103 - 00193 Roma (Italia)

 

Les demandes doivent être accompagnées des documents suivants:

  • Le formulaire d'inscription complété et signé (téléchargeable sur le site du concours)
  • Le CV artistique et universitaire en deux exemplaires
  • Une copie de la carte d'identité valide (ou du passeport pour les concurrents de nationalité étrangère)
  • Deux photos: un portrait ou une photo en pied et une photo d'identité
  • Une copie du versement de l'inscription
  • La photocopie du diplôme éventuel de premier, deuxième ou troisième prix remis à l'occasion de concours internationaux de chant lyrique pour une admission directe en demi-finales
  • Une partition de chacun des morceaux présentés, piano et voix
  • Une partition d'orchestre des morceaux présentés

 

Les demandes de participation sans le justificatif du versement des frais d'inscription ne seront pas prises en compte

 

Pour en savoir plus : www.sacredmusicinternationalcompetition.org

Le concours est réservé aux chantants lyriques nés après le 1er janvier 1977 de toutes nationalités et confessions religieuses. Avec ce concours, l'Académie musicale européenne a pour objectif d'élever et d'encourager la connaissance de la musique sacrée, mais aussi la compréhension et la fraternité entre les peuples.

 

Les demandes de participation sont attendues pour le 30 octobre 2013. Le concours, quant à lui, se tient du 5 au 9 novembre 2013. Il comprend 3 épreuves: les éliminatoires, les demi-finales et la finale, accompagnée d'un concert de gala. Plusieurs prix sont attribués, consistant chacun en une bourse d'études.

 

Modalités d'inscription

Toute demande de participation doit être envoyée avant le 30 octobre 2013 (cachet de la poste faisant foi), à l'adresse suivante:

Accademia Musicale Europea
Secrétariat Concours International "Musica Sacra" 2013
Prof. Daniela de Marco Dir. Art.
Via Crescenzio, 103 - 00193 Roma (Italia)

 

Les demandes doivent être accompagnées des documents suivants:

  • Le formulaire d'inscription complété et signé (téléchargeable sur le site du concours)
  • Le CV artistique et universitaire en deux exemplaires
  • Une copie de la carte d'identité valide (ou du passeport pour les concurrents de nationalité étrangère)
  • Deux photos: un portrait ou une photo en pied et une photo d'identité
  • Une copie du versement de l'inscription
  • La photocopie du diplôme éventuel de premier, deuxième ou troisième prix remis à l'occasion de concours internationaux de chant lyrique pour une admission directe en demi-finales
  • Une partition de chacun des morceaux présentés, piano et voix
  • Une partition d'orchestre des morceaux présentés

 

Les demandes de participation sans le justificatif du versement des frais d'inscription ne seront pas prises en compte

 

Pour en savoir plus : www.sacredmusicinternationalcompetition.org

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Wallonie-Bruxelles International appuie, par le biais d’une enseignante détachée par le Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles, deux projets d’enseignement bilingue dans la région Zuid-Limburg aux Pays-Bas à partir dela rentrée scolaire 2013-2014.

 


Il s’agit des projets "Euregioschool", piloté par la Talenacademie Nederland, et  "Enseignement bilingue Français/Néerlandais à Maastricht", organisé par le Collège Porta Mosana. Le premier projet vise à renforcer l'apprentissage des langues voisines dans l’Eurégio Meuse-Rhin, à savoir le français, l’allemand et le néerlandais. Il s’agit d'organiser des classes bilingues pour les élèves des écoles primaires, et de favoriser cet apprentissage dès le plus jeune âge. Le deuxième projet vise à renforcer la présence de la langue française à l’école secondaire. L'organisation de cours généraux en français, dans le cursus normal des élèves néerlandais, est préconisée. Le Collège Porta Mosana fera office de précurseur, car le projet sera élargi à d’autres écoles secondaires à Maastricht à partir de 2015.


Cette initiative souligne l’intérêt de Wallonie-Bruxelles International et de la Délégation à La Haye aux projets encourageant l’apprentissage de la langue française. Tout cela dans une région stratégique, aux portes de la Wallonie. Le développement du multilinguisme est d’ailleurs soutenu par la Province de Limbourg néerlandais qui est sur le point de finaliser un agenda stratégique pour les langues voisines.

 

Wallonie-Bruxelles International appuie, par le biais d’une enseignante détachée par le Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles, deux projets d’enseignement bilingue dans la région Zuid-Limburg aux Pays-Bas à partir dela rentrée scolaire 2013-2014.

 


Il s’agit des projets "Euregioschool", piloté par la Talenacademie Nederland, et  "Enseignement bilingue Français/Néerlandais à Maastricht", organisé par le Collège Porta Mosana. Le premier projet vise à renforcer l'apprentissage des langues voisines dans l’Eurégio Meuse-Rhin, à savoir le français, l’allemand et le néerlandais. Il s’agit d'organiser des classes bilingues pour les élèves des écoles primaires, et de favoriser cet apprentissage dès le plus jeune âge. Le deuxième projet vise à renforcer la présence de la langue française à l’école secondaire. L'organisation de cours généraux en français, dans le cursus normal des élèves néerlandais, est préconisée. Le Collège Porta Mosana fera office de précurseur, car le projet sera élargi à d’autres écoles secondaires à Maastricht à partir de 2015.


Cette initiative souligne l’intérêt de Wallonie-Bruxelles International et de la Délégation à La Haye aux projets encourageant l’apprentissage de la langue française. Tout cela dans une région stratégique, aux portes de la Wallonie. Le développement du multilinguisme est d’ailleurs soutenu par la Province de Limbourg néerlandais qui est sur le point de finaliser un agenda stratégique pour les langues voisines.

 

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© DR

Ce nouveau concours, "Archidéelles", vise à faire émerger de nouveaux talents pour la région du Nord (Nord de la France et Belgique).

 

Les candidats doivent être diplômés des écoles de Villeneuve d'Ascq et de Saint-Luc depuis 2008 ou avoir été formés ailleurs mais être installés dans la région. Ils ont jusqu'au 15 octobre 2013 pour monter un projet et rentrer leur candidature.

 

La thématique de cette première édition est "Construire la ville sur la ville, reconversion et changements d'usage". Ce thème est propice à l'innovation et à la créativité, deux dimensions particulièrement recherchées par les organisateurs du concours.

 

Ce concours permet aux jeunes diplômés d'être remarqués par la profession, d'être exposés et de gagner un voyage architecturale en Europe.

 

Pour en savoir plusRèglement du concours

Ce nouveau concours, "Archidéelles", vise à faire émerger de nouveaux talents pour la région du Nord (Nord de la France et Belgique).

 

Les candidats doivent être diplômés des écoles de Villeneuve d'Ascq et de Saint-Luc depuis 2008 ou avoir été formés ailleurs mais être installés dans la région. Ils ont jusqu'au 15 octobre 2013 pour monter un projet et rentrer leur candidature.

 

La thématique de cette première édition est "Construire la ville sur la ville, reconversion et changements d'usage". Ce thème est propice à l'innovation et à la créativité, deux dimensions particulièrement recherchées par les organisateurs du concours.

 

Ce concours permet aux jeunes diplômés d'être remarqués par la profession, d'être exposés et de gagner un voyage architecturale en Europe.

 

Pour en savoir plusRèglement du concours

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Pékin

Le symposium se tient du 14 au 16 octobre 2013. Les intervenants francophones sont le critique d'art Michel Baudson, Maria Gilissen, veuve de l'artiste Marcel Broodthaers qui présentera un choix des films de l’artiste, Marie Godet, enseignante à l’Université libre de Bruxelles et spécialiste de l’oeuvre de Christian Dotremont, Georges Roque, auteur entre autres de Magritte et la publicité, directeur de recherches au CNRS Paris.


Le symposium sera ouvert par YU Hui, Directeur de recherche au Palace Museum (Cité interdite). Outre ZHU Qingshen, citons également LU Mingjun de l’université du Sichuan, HU Yirong de l’université de Guilin. Le professeur CHEN Jiaying de la Capital Normal University de Pékin dirigera les travaux de conclusion. Les actes du symposium, illustrés entre autres par des vues de l’exposition, feront l’objet d’une importante publication trilingue (français, chinois, anglais). L'édition conclura l’exposition et les travaux du symposium.

 

L’exposition "Images et Mots" : depuis Magritte" a été organisée au NAMOC (Musée national de Chine – Pékin) par Wallonie-Bruxelles international du 21 décembre 2012 au 14 janvier 2013 dans le cadre de l’accord culturel liant la Chine et la Fédération Wallonie-Bruxelles. Une première version dréduite (en raison de l’espace imparti) avait été organisée au Wuhan Art Museum du 23 octobre au 18 novembre 2012.

L'exposition mettait en évidence une des spécificités de l’art moderne et contemporain : les développements et les évolutions des rencontres ou des relations entre les mots et l’écriture ainsi que les différentes recherches formelles et artistiques qui s’en inspirent.

 

L’exposition, connut un grand succès public autant à Wuhan qu’à Pékin. Le dossier des articles de presse qui lui ont été consacrées compte près de 400 pages et le Board of Trustee du Namoc l’a consacrée "meilleure exposition de l’année 2012". Son renom s’étendit également aux milieux spécialisés des conservateurs de musées ainsi que des professeurs et étudiants des universités et des écoles des Beaux-Arts.

 

A l’initiative du Professeur Zhu Qingshen qui dirige le Département Art de Beida et son Centre des études visuelles (Peking University), de Michel Baudson, Commissaire de l’exposition, et de Philippe Nayer, Délégué Wallonie-Bruxelles en Chine, le symposium international rassemble des spécialistes chinois et européen. Il est organisé par Beida afin d’interroger  et d’approfondir les divers types de croisements de pensées dans l’Histoire des Arts de la Chine et de l’Occident que cette exposition mit en évidence.

 

Le symposium se tient du 14 au 16 octobre 2013. Les intervenants francophones sont le critique d'art Michel Baudson, Maria Gilissen, veuve de l'artiste Marcel Broodthaers qui présentera un choix des films de l’artiste, Marie Godet, enseignante à l’Université libre de Bruxelles et spécialiste de l’oeuvre de Christian Dotremont, Georges Roque, auteur entre autres de Magritte et la publicité, directeur de recherches au CNRS Paris.


Le symposium sera ouvert par YU Hui, Directeur de recherche au Palace Museum (Cité interdite). Outre ZHU Qingshen, citons également LU Mingjun de l’université du Sichuan, HU Yirong de l’université de Guilin. Le professeur CHEN Jiaying de la Capital Normal University de Pékin dirigera les travaux de conclusion. Les actes du symposium, illustrés entre autres par des vues de l’exposition, feront l’objet d’une importante publication trilingue (français, chinois, anglais). L'édition conclura l’exposition et les travaux du symposium.

 

L’exposition "Images et Mots" : depuis Magritte" a été organisée au NAMOC (Musée national de Chine – Pékin) par Wallonie-Bruxelles international du 21 décembre 2012 au 14 janvier 2013 dans le cadre de l’accord culturel liant la Chine et la Fédération Wallonie-Bruxelles. Une première version dréduite (en raison de l’espace imparti) avait été organisée au Wuhan Art Museum du 23 octobre au 18 novembre 2012.

L'exposition mettait en évidence une des spécificités de l’art moderne et contemporain : les développements et les évolutions des rencontres ou des relations entre les mots et l’écriture ainsi que les différentes recherches formelles et artistiques qui s’en inspirent.

 

L’exposition, connut un grand succès public autant à Wuhan qu’à Pékin. Le dossier des articles de presse qui lui ont été consacrées compte près de 400 pages et le Board of Trustee du Namoc l’a consacrée "meilleure exposition de l’année 2012". Son renom s’étendit également aux milieux spécialisés des conservateurs de musées ainsi que des professeurs et étudiants des universités et des écoles des Beaux-Arts.

 

A l’initiative du Professeur Zhu Qingshen qui dirige le Département Art de Beida et son Centre des études visuelles (Peking University), de Michel Baudson, Commissaire de l’exposition, et de Philippe Nayer, Délégué Wallonie-Bruxelles en Chine, le symposium international rassemble des spécialistes chinois et européen. Il est organisé par Beida afin d’interroger  et d’approfondir les divers types de croisements de pensées dans l’Histoire des Arts de la Chine et de l’Occident que cette exposition mit en évidence.

 

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Benoît Rutten - Délégué Wallonie-Bruxelles à Bucarest

Le 24 septembre 2013, Benoît Rutten, Délégué Wallonie-Bruxelles à Bucarest, a succédé à Maja Wawrzyk, Directeur de l’Institut Polonais de Bucarest, pour occuper la présidence du Cluster EUNIC de Bucarest.

 

EUNIC (European Union National Institutes for Culture) regroupe les organismes des Etats membres de l’Union européenne chargés de l’action culturelle à l’étranger. Constitué en 2006, il compte 32 membres, représentant 26 pays. Dans différents pays du monde, les organismes membres sont regroupés en pôles afin de développer des activités au niveau local. 85 pôles sont aujourd’hui actifs.

La présidence d’EUNIC est assurée pour la période 2013-2014 par Charles-Etienne Lagasse de Wallonie-Bruxelles International.

EUNIC a pour but de créer des réseaux de travail et des partenariats efficaces entre les organisations membres, afin de promouvoir le respect et la diversité culturelle dans la société européenne et d’améliorer le dialogue culturel et la coopération avec les pays hors-Europe.

 

Le Cluster EUNIC en Roumanie a été créé en automne 2008. Parmi les projets qui ont eu le plus de succès, rappelons la Nuit des Instituts Culturels, la Nuit de la Littérature Européenne, la Journée Européenne des Langues et le Salon Européen de la Bande Dessinée.

Les membres EUNIC du Cluster EUNIC en Roumanie sont :  le British Council, le Centre Tchèque, l’Institut Balassi – Centre culturel de Hongrie, la Délégation Wallonie-Bruxelles, le Forum Culturel Autrichien, l’Institut Camões/Ambassade du Portugal, l’Institut Cervantes, l’Institut Culturel Roumain, le Goethe-Institut, l’Institut français, l’Institut Italien de Culture "Vito Grasso", l’Institut Polonais, la Fondation Culturelle Grecque, l’Ambassade des Pays-Bas en Roumanie, le Centre Culturel et d’Information de l’Ukraine et le Centre Culturel Turque "Yunus Emre".

 

Depuis juin 2013, Benoît Rutten est également président du GADIF en Roumanie. Le GADIF est le Groupe des Ambassades, Délégations et Institutions francophones de Roumanie, qui réunit les représentants des membres de l’Organisation Internationale de la Francophonie et qui a pour objectif la défense et la promotion de la langue française, qu’ils ont en partage, et les valeurs qu’ils portent : diversité culturelle et linguistique, droits de l’homme, etc.

 

Personne de contact à la Délégation Wallonie-Bruxelles de Bucarest:

Gabriela Dobre

gabrielawbb@rdsmail.ro

Tél.: +40 21 314 06 65

Le 24 septembre 2013, Benoît Rutten, Délégué Wallonie-Bruxelles à Bucarest, a succédé à Maja Wawrzyk, Directeur de l’Institut Polonais de Bucarest, pour occuper la présidence du Cluster EUNIC de Bucarest.

 

EUNIC (European Union National Institutes for Culture) regroupe les organismes des Etats membres de l’Union européenne chargés de l’action culturelle à l’étranger. Constitué en 2006, il compte 32 membres, représentant 26 pays. Dans différents pays du monde, les organismes membres sont regroupés en pôles afin de développer des activités au niveau local. 85 pôles sont aujourd’hui actifs.

La présidence d’EUNIC est assurée pour la période 2013-2014 par Charles-Etienne Lagasse de Wallonie-Bruxelles International.

EUNIC a pour but de créer des réseaux de travail et des partenariats efficaces entre les organisations membres, afin de promouvoir le respect et la diversité culturelle dans la société européenne et d’améliorer le dialogue culturel et la coopération avec les pays hors-Europe.

 

Le Cluster EUNIC en Roumanie a été créé en automne 2008. Parmi les projets qui ont eu le plus de succès, rappelons la Nuit des Instituts Culturels, la Nuit de la Littérature Européenne, la Journée Européenne des Langues et le Salon Européen de la Bande Dessinée.

Les membres EUNIC du Cluster EUNIC en Roumanie sont :  le British Council, le Centre Tchèque, l’Institut Balassi – Centre culturel de Hongrie, la Délégation Wallonie-Bruxelles, le Forum Culturel Autrichien, l’Institut Camões/Ambassade du Portugal, l’Institut Cervantes, l’Institut Culturel Roumain, le Goethe-Institut, l’Institut français, l’Institut Italien de Culture "Vito Grasso", l’Institut Polonais, la Fondation Culturelle Grecque, l’Ambassade des Pays-Bas en Roumanie, le Centre Culturel et d’Information de l’Ukraine et le Centre Culturel Turque "Yunus Emre".

 

Depuis juin 2013, Benoît Rutten est également président du GADIF en Roumanie. Le GADIF est le Groupe des Ambassades, Délégations et Institutions francophones de Roumanie, qui réunit les représentants des membres de l’Organisation Internationale de la Francophonie et qui a pour objectif la défense et la promotion de la langue française, qu’ils ont en partage, et les valeurs qu’ils portent : diversité culturelle et linguistique, droits de l’homme, etc.

 

Personne de contact à la Délégation Wallonie-Bruxelles de Bucarest:

Gabriela Dobre

gabrielawbb@rdsmail.ro

Tél.: +40 21 314 06 65

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Trophées 2013 Interreg 4

La Wallonie et les autorités partenaires du Programme INTERREG IV France-Wallonie-Vlaanderen ont dressé le bilan du Programme INTERREG IV dans la perspective de la période de programmation 2014-2020.

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Le Programme INTERREG IV 2007-2013 France-Wallonie-Vlaanderen : 

est un programme de coopération transfrontalière entre la France et la Belgique qui vise à améliorer le quotidien des populations. Au travers des 197 projets développés et financés à hauteur de près de 300 millions d’euros (financés pour moitié par le Fonds Européen de Développement Régional), le Programme contribue à effacer les frontières et les barrières existant entre la France et la Belgique.

 

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Personnalités présentes :


Lors de l’évènement de clôture du 8 octobre 2013, plusieurs personnalités ont dressé le bilan des réalisations du programme France-Wallonie-Vlaanderen :

  • Rudy Demotte, Ministre-Président de la Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles était représenté par l'un de ses Chefs de Cabinet ;
  • Jean-Paul Bachy, Président du Conseil régional Champagne-Ardenne ;
  • Marleen Titeca-Decraene, Députée honoraire de la Province de Flandre occidentale ;
  • Manuela Passos,  Programme Manager, Commission européenne.

 

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L’objectif de cette journée :

 

Il a été pleinement atteint : les bonnes pratiques issues de 18 projets emblématiques ont permis de susciter un échange d’expériences avec l’ensemble des 400 participants. Les discussions ont porté sur la capitalisation des acquis et ont mis en exergue les résultats d’une coopération transfrontalière de qualité. Ces échanges ont également permis d’identifier des pistes de coopération pour la prochaine période de programmation. À l’occasion de cet évènement de clôture, un ouvrage reprenant l’ensemble des 197 projets et leurs résultats a en outre fait l’objet d’une présentation.

 

La coopération territoriale montre concrètement et en termes visibles ce que fait l’Union européenne pour ses citoyens. Ce qui importe c’est la volonté des gens de vivre ensemble et de travailler ensemble au-delà des frontières politiques et économiques. La coopération nous aide à surmonter ces frontières, les frontières réelles tout comme celles qui existent dans l’esprit des gens. Pour cette raison, la coopération est l’idée européenne mise en pratique.

 

 

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La Wallonie et les autorités partenaires du Programme INTERREG IV France-Wallonie-Vlaanderen ont dressé le bilan du Programme INTERREG IV dans la perspective de la période de programmation 2014-2020.

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Le Programme INTERREG IV 2007-2013 France-Wallonie-Vlaanderen : 

est un programme de coopération transfrontalière entre la France et la Belgique qui vise à améliorer le quotidien des populations. Au travers des 197 projets développés et financés à hauteur de près de 300 millions d’euros (financés pour moitié par le Fonds Européen de Développement Régional), le Programme contribue à effacer les frontières et les barrières existant entre la France et la Belgique.

 

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Personnalités présentes :


Lors de l’évènement de clôture du 8 octobre 2013, plusieurs personnalités ont dressé le bilan des réalisations du programme France-Wallonie-Vlaanderen :

  • Rudy Demotte, Ministre-Président de la Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles était représenté par l'un de ses Chefs de Cabinet ;
  • Jean-Paul Bachy, Président du Conseil régional Champagne-Ardenne ;
  • Marleen Titeca-Decraene, Députée honoraire de la Province de Flandre occidentale ;
  • Manuela Passos,  Programme Manager, Commission européenne.

 

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L’objectif de cette journée :

 

Il a été pleinement atteint : les bonnes pratiques issues de 18 projets emblématiques ont permis de susciter un échange d’expériences avec l’ensemble des 400 participants. Les discussions ont porté sur la capitalisation des acquis et ont mis en exergue les résultats d’une coopération transfrontalière de qualité. Ces échanges ont également permis d’identifier des pistes de coopération pour la prochaine période de programmation. À l’occasion de cet évènement de clôture, un ouvrage reprenant l’ensemble des 197 projets et leurs résultats a en outre fait l’objet d’une présentation.

 

La coopération territoriale montre concrètement et en termes visibles ce que fait l’Union européenne pour ses citoyens. Ce qui importe c’est la volonté des gens de vivre ensemble et de travailler ensemble au-delà des frontières politiques et économiques. La coopération nous aide à surmonter ces frontières, les frontières réelles tout comme celles qui existent dans l’esprit des gens. Pour cette raison, la coopération est l’idée européenne mise en pratique.

 

 

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François Englert

Le Boson expliqué aux enfants, mais les parents sont bienvenus.

 

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Université libre de Bruxelles (ULB)

 

François Englert est né à Etterbeek le 6 novembre 1932. Il est diplômé de l'Université libre de Bruxelles (ULB) en 1956. Il a travaillé aux Etats-Unis, particulièrement à l'Université Cornell. Il est actuellement professeur émérite de physique théorique de l'ULB. La physique des particules, la théorie des cordes et l'inflation cosmique constituent ces domaines de spécialisation.

 

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Nobel de Physique 2013

 

Le professeur Englert est le 11ème Prix Nobel Belge depuis la création du prix. Belle récompense pour la science fondamentale. En 1965, le physicien Ecossais Peter Higgs lance les premières recherches,  les travaux conjugués des Belges Robert Brout et de François Englert aboutissent. On parle dorénavant de Boson scalaireC'est le mécanisme de Brout-Englert-Higgs (BEH) a été proposé pour la première fois en 1964. Il s'agit d'une théorie d'une remarquable efficacité, confirmée par l'expérience au fil des ans. Le Boson scalaire désormais observé, dorénavant, les expériences du Cern de Genève où travaillent 10 000 physiciens, se tournent vers la recherche d'une physique au-delà du Modèle standard. La compréhension de l'Univers pourrait en être changée.

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Le Boson expliqué aux enfants, mais les parents sont bienvenus.

 

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Université libre de Bruxelles (ULB)

 

François Englert est né à Etterbeek le 6 novembre 1932. Il est diplômé de l'Université libre de Bruxelles (ULB) en 1956. Il a travaillé aux Etats-Unis, particulièrement à l'Université Cornell. Il est actuellement professeur émérite de physique théorique de l'ULB. La physique des particules, la théorie des cordes et l'inflation cosmique constituent ces domaines de spécialisation.

 

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Nobel de Physique 2013

 

Le professeur Englert est le 11ème Prix Nobel Belge depuis la création du prix. Belle récompense pour la science fondamentale. En 1965, le physicien Ecossais Peter Higgs lance les premières recherches,  les travaux conjugués des Belges Robert Brout et de François Englert aboutissent. On parle dorénavant de Boson scalaireC'est le mécanisme de Brout-Englert-Higgs (BEH) a été proposé pour la première fois en 1964. Il s'agit d'une théorie d'une remarquable efficacité, confirmée par l'expérience au fil des ans. Le Boson scalaire désormais observé, dorénavant, les expériences du Cern de Genève où travaillent 10 000 physiciens, se tournent vers la recherche d'une physique au-delà du Modèle standard. La compréhension de l'Univers pourrait en être changée.

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