La conclusion de cette entente scelle une collaboration déjà bien établie entre les deux partenaires depuis la création du Créneau d’excellence ACCORD Écoconstruction au Bas-Saint-Laurent en 2010.
Cette convention vise à faciliter et à intensifier les échanges scientifiques et d’expériences entre le Cluster Éco-Construction de Wallonie et le Créneau Écoconstruction du Bas-Saint-Laurent (Québec) dans les domaines se rapportant à l'écoconstruction et au développement durable. Les deux partenaires conviennent de définir et de réaliser des programmes coordonnés de formation et de recherche dans ce domaine.
« Après quelques années de collaboration spontanée, le Cluster Éco-Construction de Wallonie et le Créneau Écoconstruction scellent officiellement une alliance qui encadrera la réalisation de projets communs. Déjà, grâce à deux missions du Créneau Écoconstruction en Belgique, quelques projets ont vu le jour au Québec. Ce partenariat facilitera la concrétisation de nos ambitions communes. Ensemble, nous travaillerons au rayonnement de l’écoconstruction sur deux continents », a souligné Mme Claire Sirois, directrice du Créneau Écoconstruction.
À propos des créneaux d’excellence ACCORD
La démarche ACCORD est une priorité de l’action gouvernementale pour développer l’économie des régions du Québec. Le ministère de L’économie, de la Science et de l’Innovation (MESI) est responsable de sa mise en oeuvre. ACCORD vise à positionner les régions du Québec comme sièges de compétences industrielles spécifiques reconnues dans le monde. Il s’appuie sur les forces, la mobilisation et le dynamisme des gens d’affaires en région.
Source
Claire Sirois
Directrice du Créneau Écoconstruction
418 750-8825
La conclusion de cette entente scelle une collaboration déjà bien établie entre les deux partenaires depuis la création du Créneau d’excellence ACCORD Écoconstruction au Bas-Saint-Laurent en 2010.
Cette convention vise à faciliter et à intensifier les échanges scientifiques et d’expériences entre le Cluster Éco-Construction de Wallonie et le Créneau Écoconstruction du Bas-Saint-Laurent (Québec) dans les domaines se rapportant à l'écoconstruction et au développement durable. Les deux partenaires conviennent de définir et de réaliser des programmes coordonnés de formation et de recherche dans ce domaine.
« Après quelques années de collaboration spontanée, le Cluster Éco-Construction de Wallonie et le Créneau Écoconstruction scellent officiellement une alliance qui encadrera la réalisation de projets communs. Déjà, grâce à deux missions du Créneau Écoconstruction en Belgique, quelques projets ont vu le jour au Québec. Ce partenariat facilitera la concrétisation de nos ambitions communes. Ensemble, nous travaillerons au rayonnement de l’écoconstruction sur deux continents », a souligné Mme Claire Sirois, directrice du Créneau Écoconstruction.
À propos des créneaux d’excellence ACCORD
La démarche ACCORD est une priorité de l’action gouvernementale pour développer l’économie des régions du Québec. Le ministère de L’économie, de la Science et de l’Innovation (MESI) est responsable de sa mise en oeuvre. ACCORD vise à positionner les régions du Québec comme sièges de compétences industrielles spécifiques reconnues dans le monde. Il s’appuie sur les forces, la mobilisation et le dynamisme des gens d’affaires en région.
Source
Claire Sirois
Directrice du Créneau Écoconstruction
418 750-8825
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Du 2 au 4 novembre se déroulera, à Namur, la 7e édition du KIKK Festival. Organisé chaque année en Wallonie, le KIKK Festival est un festival international des cultures numériques et créatives. À la croisée des arts visuels, de la musique, de l'architecture, du design et des médias interactifs, cet évènement unique explore les implications économiques et artistiques des nouvelles technologies.
Cette 7e édition du KIKK festival explore l’univers des « invisibles narratives » comme elle s’intéresse aux conteurs des temps modernes qui utilisent les nouveaux médias pour partager leurs récits de l’invisible. Pendant trois jours les visiteurs sont invités à découvrir cette thématique à travers un vaste choix d’activités comprenant des conférences en français et en anglais, des ateliers, un KIKK Market, des expositions, un parcours 100% kids, des remises de prix, des concerts et bien d’autres. Ce sont plus de 10 000 visiteurs venus du monde entier qui sont attendus à l’occasion de cet évènement.
À travers ce riche programme et grâce à un panel d’intervenants venus d'horizons divers, le KIKK Festival, vous donnera un aperçu des innovations de demain : immersion virtuelle, développements dans le secteur du textile et du design et une exploration des domaines artistiques encore inconnus, le tout dans un cadre convivial et festif, propice à la découverte et aux rencontres.
Dans la continuité de cet évènement se déroulera, du 6 au 7 novembre, la première édition du TEKK Tour Digital Wallonia 2017. Organisé à Mons et à Liège, il consiste en un programme de deux jours axé sur l’innovation et les collaboration d’affaires, qui met à l’honneur plus de trente technologies wallonnes et internationales de l’industrie 4.0, de l'Internet des objets et de la cyber sécurité.
Cet évènement, le premier du genre en Wallonie, donnera aux participants l’opportunité de prendre part à des B2B, de présenter des projets technologiques tout en s’informant sur les opportunités de collaboration au travers d’une approche d’innovation ouverte lors d’ateliers, et de nouer des liens avec les acteurs principaux de la recherche et l’innovation en Wallonie (universités, centres de recherche et entreprises).
Le TEKK Tour Digital Wallonia offre une occasion unique de faire des rencontres de qualité comme d’interagir avec des représentants industriels, académiques et les centres de recherche en sciences et technologies, ainsi qu’avec d’autres acteurs socio-économiques. À cette occasion des délégations étrangères venues d’Allemagne, de France, des Pays-Bas, des Pays Nordiques, de Suisse, du Canada, des États-Unis ou encore du Brésil, seront présentes.
Pour toute information complémentaire sur cet évènement, vous pouvez prendre contact avec :
Jessica Miclotte, Responsable de projets
Service Recherche & Innovation
Wallonie-Bruxelles International
Place Sainctelette, 2
B-1080 Bruxelles, Belgique
Tél : +32 2 421 86 31
e-mail : j.miclotte@wbi.be
http://www.wbi.be
Aurore Peteur, Chargée de projets
Service Recherche & Innovation
Wallonie-Bruxelles International
Place Sainctelette, 2
B-1080 Bruxelles, Belgique
Tél : +32 2 421 82 46
e-mail : a.peteur@wbi.be
http://www.wbi.be
Du 2 au 4 novembre se déroulera, à Namur, la 7e édition du KIKK Festival. Organisé chaque année en Wallonie, le KIKK Festival est un festival international des cultures numériques et créatives. À la croisée des arts visuels, de la musique, de l'architecture, du design et des médias interactifs, cet évènement unique explore les implications économiques et artistiques des nouvelles technologies.
Cette 7e édition du KIKK festival explore l’univers des « invisibles narratives » comme elle s’intéresse aux conteurs des temps modernes qui utilisent les nouveaux médias pour partager leurs récits de l’invisible. Pendant trois jours les visiteurs sont invités à découvrir cette thématique à travers un vaste choix d’activités comprenant des conférences en français et en anglais, des ateliers, un KIKK Market, des expositions, un parcours 100% kids, des remises de prix, des concerts et bien d’autres. Ce sont plus de 10 000 visiteurs venus du monde entier qui sont attendus à l’occasion de cet évènement.
À travers ce riche programme et grâce à un panel d’intervenants venus d'horizons divers, le KIKK Festival, vous donnera un aperçu des innovations de demain : immersion virtuelle, développements dans le secteur du textile et du design et une exploration des domaines artistiques encore inconnus, le tout dans un cadre convivial et festif, propice à la découverte et aux rencontres.
Dans la continuité de cet évènement se déroulera, du 6 au 7 novembre, la première édition du TEKK Tour Digital Wallonia 2017. Organisé à Mons et à Liège, il consiste en un programme de deux jours axé sur l’innovation et les collaboration d’affaires, qui met à l’honneur plus de trente technologies wallonnes et internationales de l’industrie 4.0, de l'Internet des objets et de la cyber sécurité.
Cet évènement, le premier du genre en Wallonie, donnera aux participants l’opportunité de prendre part à des B2B, de présenter des projets technologiques tout en s’informant sur les opportunités de collaboration au travers d’une approche d’innovation ouverte lors d’ateliers, et de nouer des liens avec les acteurs principaux de la recherche et l’innovation en Wallonie (universités, centres de recherche et entreprises).
Le TEKK Tour Digital Wallonia offre une occasion unique de faire des rencontres de qualité comme d’interagir avec des représentants industriels, académiques et les centres de recherche en sciences et technologies, ainsi qu’avec d’autres acteurs socio-économiques. À cette occasion des délégations étrangères venues d’Allemagne, de France, des Pays-Bas, des Pays Nordiques, de Suisse, du Canada, des États-Unis ou encore du Brésil, seront présentes.
Pour toute information complémentaire sur cet évènement, vous pouvez prendre contact avec :
Jessica Miclotte, Responsable de projets
Service Recherche & Innovation
Wallonie-Bruxelles International
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B-1080 Bruxelles, Belgique
Tél : +32 2 421 86 31
e-mail : j.miclotte@wbi.be
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Aurore Peteur, Chargée de projets
Service Recherche & Innovation
Wallonie-Bruxelles International
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Tél : +32 2 421 82 46
e-mail : a.peteur@wbi.be
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50 experts étrangers ont reçu ce prix, parmi lesquels Monsieur Rolot, pour leur contribution au développement et à l'ouverture de la Chine.
La cérémonie de remise des médailles du "Prix de l'Amitié" s'est déroulée à Pékin.
Le Vice-Premier Ministre chinois, Ma Kai, a expliqué lors de cette cérémonie que la Chine oeuvre pour attirer les experts étrangers, afin d'aider à son développement et à sa modernisation.
Dans les années 1950, pour encourager les experts de l'ex-Union soviétique, de Europe de l'Est et d'autres pays à travailler en Chine, le Premier Ministre Zhou Enlai et Chen Yi, Ministre des Affaires étrangères, ont envoyé une lettre de remerciement pour la contribution spéciale des experts étrangers à la veille de la fête nationale.
Après la réforme et l'ouverture, en 1991, le Conseil d'Etat a autorisé le Bureau national d'experts étrangers à reprendre officiellement la création du «Prix de l'amitié». De 1991 à 2014, 1399 experts étrangers de 68 pays ont reçu ce prix.
Monsieur Rolot a bénéficié du soutien de WBI dans le cadre des programmes bilatéraux de mobilité en partenariat avec la Chine (Ministère des Sciences et Technologies).
50 experts étrangers ont reçu ce prix, parmi lesquels Monsieur Rolot, pour leur contribution au développement et à l'ouverture de la Chine.
La cérémonie de remise des médailles du "Prix de l'Amitié" s'est déroulée à Pékin.
Le Vice-Premier Ministre chinois, Ma Kai, a expliqué lors de cette cérémonie que la Chine oeuvre pour attirer les experts étrangers, afin d'aider à son développement et à sa modernisation.
Dans les années 1950, pour encourager les experts de l'ex-Union soviétique, de Europe de l'Est et d'autres pays à travailler en Chine, le Premier Ministre Zhou Enlai et Chen Yi, Ministre des Affaires étrangères, ont envoyé une lettre de remerciement pour la contribution spéciale des experts étrangers à la veille de la fête nationale.
Après la réforme et l'ouverture, en 1991, le Conseil d'Etat a autorisé le Bureau national d'experts étrangers à reprendre officiellement la création du «Prix de l'amitié». De 1991 à 2014, 1399 experts étrangers de 68 pays ont reçu ce prix.
Monsieur Rolot a bénéficié du soutien de WBI dans le cadre des programmes bilatéraux de mobilité en partenariat avec la Chine (Ministère des Sciences et Technologies).
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Nos 16 jeunes de moins de 23 ans défendaient nos couleurs dans 14 métiers, sur 51 en compétition.
Malgré un système de cotation encore plus exigeant cette année, ce qui rend la performance de nos jeunes encore plus admirable, la Belgique a récolté 7 médaillons d'excellence. Sur ces 7 médaillons, 6 ont été obtenus par des candidats wallons.
Les gagnants
- Fashion Technology (29 concurrents) : Loïc GLUCKMANN, 22 ans, Province de Liège (Lambermont), formé et diplômé à HELMo Mode à Liège, étudiant en communication à la Haute Ecole de la Province de Liège, coaché par l’Experte Christelle Cormann, HELMo Mode Liège.
- Installations électriques (36 concurrents) : Paul VAN DEN HEEDE, 20 ans, Province du Hainaut (Vezon), étudiant à la Haute Ecole Provinciale de Hainaut Condorcet à Tournai, coaché par l’Expert Denis Devos, Forem — Tournai.
- Menuiserie (26 concurrents) : Julien NEULENS, 22 ans, Province du Luxembourg (Vielsalm), travaille à son compte comme indépendant — coaché par l’Expert Patrick Bergenhuizen, Don Bosco Verviers.
- Service en salle (36 concurrents) : Clément JACQMAIN, 20 ans, Province de Namur (Blaimont), étudiant à l’Ecole hôtelière provinciale de Namur, coaché par Dominique Bal, Ecole hôtelière provinciale de Namur (EHPN).
- Cuisine (41 concurrents) : Lionel VAN ROYEN, 20 ans, Province de Namur (Ciney), étudiant en alternance au Centre IFAPME de Villers-le-Bouillet, travaille depuis peu au Naxhelet à Wanze, coaché par l’Expert Frédéric Deroppe, Epicuris Villers-le-Bouillet.
- Technologie automobile (36 concurrents) : Yohann KRINGS, 22 ans, Province de Liège — Communauté germanophone (Heppenbach), étudiant à l’IFAPME Autoform (Liège), travaille dans l’entreprise Volvo JC Cars (Waimes), coaché par l’Expert Philippe Kever, EFP Bruxelles.
C'est Julien Neulens qui a obtenu le meilleur résultat belge, ce qui lui a valu de monter sur le podium avec les autres champions nationaux lors de la cérémonie de clôture.
Le prochain grand rendez-vous sera l'EuroSkills de Budapest, en septembre 2018, pour lequel les inscriptions sont déjà ouvertes sur le site de WorldSkills Belgium.
Nos 16 jeunes de moins de 23 ans défendaient nos couleurs dans 14 métiers, sur 51 en compétition.
Malgré un système de cotation encore plus exigeant cette année, ce qui rend la performance de nos jeunes encore plus admirable, la Belgique a récolté 7 médaillons d'excellence. Sur ces 7 médaillons, 6 ont été obtenus par des candidats wallons.
Les gagnants
- Fashion Technology (29 concurrents) : Loïc GLUCKMANN, 22 ans, Province de Liège (Lambermont), formé et diplômé à HELMo Mode à Liège, étudiant en communication à la Haute Ecole de la Province de Liège, coaché par l’Experte Christelle Cormann, HELMo Mode Liège.
- Installations électriques (36 concurrents) : Paul VAN DEN HEEDE, 20 ans, Province du Hainaut (Vezon), étudiant à la Haute Ecole Provinciale de Hainaut Condorcet à Tournai, coaché par l’Expert Denis Devos, Forem — Tournai.
- Menuiserie (26 concurrents) : Julien NEULENS, 22 ans, Province du Luxembourg (Vielsalm), travaille à son compte comme indépendant — coaché par l’Expert Patrick Bergenhuizen, Don Bosco Verviers.
- Service en salle (36 concurrents) : Clément JACQMAIN, 20 ans, Province de Namur (Blaimont), étudiant à l’Ecole hôtelière provinciale de Namur, coaché par Dominique Bal, Ecole hôtelière provinciale de Namur (EHPN).
- Cuisine (41 concurrents) : Lionel VAN ROYEN, 20 ans, Province de Namur (Ciney), étudiant en alternance au Centre IFAPME de Villers-le-Bouillet, travaille depuis peu au Naxhelet à Wanze, coaché par l’Expert Frédéric Deroppe, Epicuris Villers-le-Bouillet.
- Technologie automobile (36 concurrents) : Yohann KRINGS, 22 ans, Province de Liège — Communauté germanophone (Heppenbach), étudiant à l’IFAPME Autoform (Liège), travaille dans l’entreprise Volvo JC Cars (Waimes), coaché par l’Expert Philippe Kever, EFP Bruxelles.
C'est Julien Neulens qui a obtenu le meilleur résultat belge, ce qui lui a valu de monter sur le podium avec les autres champions nationaux lors de la cérémonie de clôture.
Le prochain grand rendez-vous sera l'EuroSkills de Budapest, en septembre 2018, pour lequel les inscriptions sont déjà ouvertes sur le site de WorldSkills Belgium.
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WBDM présentera 5 marques de prêt-à-porter et/ou accessoires pour femme pour l’Automne/Hiver 2018-19. L’objectif de cette présence, outre le développement commercial des entreprises à l’international, est de toucher les leaders d’opinion et les prescripteurs internationaux avec une sélection pointue et de qualité.
Si vous souhaitez y participer, envoyez votre candidature. Le choix des participants se fera en collaboration avec les organisateurs du Salon White, qui analysera les dossiers selon les critères suivants:
- Etre basé en Wallonie ou à Bruxelles (pas nécessairement être belge)
- Produire des collections de prêt-à-porter femme, homme ou accessoires
- Avoir un positionnement haut de gamme et créateur
- Avoir une stratégie à l’exportation
- Avoir réalisé au moins 3 collections
- Avoir au moins 3 points de vente (en Belgique ou à l’international, l’international est un atout)
- Etre associé à un conseiller financier
- Avoir une stratégie de communication
Comment participer
- Lisez attentivement les conditions de participation et l’engagement de participation
- Remplissez le formulaire en ligne avant le 6/11
- Envoyer par www.wetransfer.com vos 2 derniers lookbooks + engagement de participation à l’adresse info@wbdm.be
Plus d'infos
White Milano se positionne depuis quelques années comme le salon italien dédié au design de mode d’avant-garde et l’édition de septembre 2017 a été très positive :
- 26.611 visiteurs (+20% par rapport à Septembre 2016)
- +40% d’acheteurs internationaux (principalement Asie, USA et Europe du Nord)
- +22% d’acheteurs italiens
Contact
Giorgia Morero
giorgia.morero@wbdm.be / T 02 421 87 08
WBDM présentera 5 marques de prêt-à-porter et/ou accessoires pour femme pour l’Automne/Hiver 2018-19. L’objectif de cette présence, outre le développement commercial des entreprises à l’international, est de toucher les leaders d’opinion et les prescripteurs internationaux avec une sélection pointue et de qualité.
Si vous souhaitez y participer, envoyez votre candidature. Le choix des participants se fera en collaboration avec les organisateurs du Salon White, qui analysera les dossiers selon les critères suivants:
- Etre basé en Wallonie ou à Bruxelles (pas nécessairement être belge)
- Produire des collections de prêt-à-porter femme, homme ou accessoires
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- Avoir réalisé au moins 3 collections
- Avoir au moins 3 points de vente (en Belgique ou à l’international, l’international est un atout)
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Le commissaire européen Günther Oettinger, le ministre délégué à l'Enseignement supérieur et à la Recherche du Grand-Duché de Luxembourg Marc Hansen, le ministre aux Affaires européennes du Bade-Wurtemberg Guido Wolf, et la vice-présidente en charge de l’Innovation et de la Recherche de la Région Grand Est, Lilla Merabet, expriment leur soutien aux initiatives pilotes de coopération universitaire transfrontalière renforcée telle que l’Université de la Grande Région et le campus européen EUCOR dans le Rhin Supérieur.
Lors de la manifestation « l'Europe dans une coquille de noix - expériences autour de la mise en œuvre de groupements universitaires transfrontaliers » (Europe in a nutshell - Experiences with the implementation of cross-border groupings of higher education institutions) qui s’est déroulée le 11 octobre dans les locaux de la représentation du Land du Bade-Wurtemberg auprès de l’Union européenne à Bruxelles, Günther Oettinger, commissaire européen au budget et aux ressources humaines, et Marc Hansen, ministre délégué à l’Enseignement supérieur et la Recherche du Grand-Duché de Luxembourg, ont mis en lumière le rôle particulier des territoires frontaliers et de leurs acteurs scientifiques dans le renforcement de l’espace d’enseignement supérieur et de recherche européen. Pour Lilla Merabet, vice-présidente de la Région Grand Est, « le Grand Est, région française la plus européenne et transfrontalière (Allemagne, Suisse, Luxembourg et Belgique), a de toute évidence un rôle d’impulsion, de proposition et de coordination à jouer pour favoriser la cohésion et la coopération transfrontalières notamment en matière d’enseignement supérieur. » L’Université de la Grande Région, dont la coopération structurée a démarré en 2008 et a connu depuis un véritable essor, fait figure de modèle pilote dans ce contexte.
« La coopération scientifique transfrontalière est un élément clé pour assurer l’intégration des régions à l’espace européen », a déclaré le commissaire européen Günther Oettinger. « Notre attention doit à l’avenir se concentrer particulièrement sur les échanges scientifiques. Une étroite interconnexion permet aux différentes universités d’apporter chacune ses propres forces pour atteindre en commun le poids nécessaire pour rester concurrentielles au niveau des grands projets de la recherche de pointe également. »
« Les universités membres défendent un message fort à travers l’Université de la Grande Région : l’ouverture et les échanges facilités dans les territoires transfrontaliers représentent une richesse indispensable pour l’ensemble du spectre des activités des établissements d’enseignement supérieur et de recherche, au service des avancées scientifiques, de l’innovation, et de la jeunesse en Europe et au-delà », a déclaré Pierre Mutzenhardt, président de l’Université de la Grande Région - UniGR. « Le développement de la filière scientifique « Border Studies » (Etudes des frontières et de leurs spécificités) est une parfaite illustration de la contribution de la coopération scientifique à l’essor des territoires frontaliers. En effet, quoi de plus pertinent pour les universités que de joindre leurs forces afin de faire profiter la Grande Région d’une recherche d’excellence et innovante au service de son développement. La coopération renforcée des universités de l’UniGR dans les domaines de la science des matériaux et de la biomédecine répondent à la même logique ».
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche du Grand-Duché de Luxembourg, Marc Hansen, a réitéré son soutien à l’UniGR : « Au travers de l’Université de la Grande Région, la Présidence luxembourgeoise du Sommet de la Grande Région souhaite augmenter la mobilité des étudiants, des scientifiques et des doctorants et étoffer les cursus transfrontaliers de même que la coopération scientifique transfrontalière. ».
À l’occasion de la manifestation, représentants politiques et acteurs de la coopération universitaire européenne ont échangé sur les défis et opportunités qu’offre la proximité géographique transfrontalière dans le contexte européen pour les établissements d’enseignement supérieur et de recherche. En cette période de préparation du nouveau programme-cadre européen pour la recherche, du prochain programme Erasmus+ et des programmes de coopération transfrontalière Interreg, leviers financiers essentiels pour le développement de la coopération scientifique européenne, les universités des espaces transfrontaliers ont souhaité faire reconnaître l’exceptionnel potentiel que leurs coopérations représentent au service de l’espace européen d’enseignement supérieur et de recherche et des territoires.
La manifestation était organisée par le Land du Bade-Wurtemberg conjointement avec ses partenaires, la région espagnole d’Aragon, la Région Grand Est en France et le Grand-Duché de Luxembourg, qui assure en ce moment la présidence du Sommet de la Grande Région. De nombreuses coopérations académiques transfrontalières étaient représentées et ont mis en lumière à la fois la disparité des situations et les défis communs à surmonter : l’Université de la Grande Région (France, Allemagne, Belgique, Luxembourg), Eucor – Le Campus européen (France, Allemagne, Suisse) ainsi que le Campus Iberus (Espagne) et l’Université de Pau et des Pays de l’Adour (France).
La manifestation a reçu le soutien du projet Interreg VA Région Métropolitaine Trinationale du Rhin supérieur (RMT).
L'Université de la Grande Région
L’Université de la Grande Région est un groupement universitaire innovant regroupant les universités de Kaiserslautern (D), Liège (B), Lorraine (F), Luxembourg (LU), Sarre (D) et Trèves (D). La coopération entre les six établissements d’enseignement supérieur et de recherche de la Grande Région, débutée en 2008 grâce à une subvention attribuée par l’Union européenne, s’est poursuivie à l’issue du projet et s’est matérialisée en 2015 par le création d’une forme juridique propre pour le groupement, lui permettant ainsi de porter des projets au service de ses membres et d’assurer une coordination conjointe de la coopération.
D’un point de vue géographique, la distance séparant les universités de Kaiserslautern, Liège, Lorraine, du Luxembourg, de Trèves et de Sarre n’est pas très importante. Il est possible de se rendre d’une université à l’autre en seulement quelques heures. Néanmoins, il y a encore quelques années, d’importantes barrières administratives séparaient ces universités, qui ont progressivement été levées. Lorsque des étudiant(e)s s’inscrivent aujourd’hui dans une des universités partenaires de l’ « Université de la Grande Région » (UniGR), ils bénéficient gratuitement de l’offre des cinq autres. Grâce au statut étudiant UniGR, il est en effet possible de suivre des cours, de se présenter à des examens et de bénéficier de prêts gratuits auprès des bibliothèques ainsi que du tarif étudiant dans les restaurants universitaires des cinq autres universités du réseau. Les étudiants enrichissent leur quotidien universitaire d’expériences interculturelles et de la découverte des différentes méthodes d’enseignement des pays voisins.
La mise en réseau des chercheurs dans la Grande Région est également une activité centrale mise en œuvre par l’UniGR, particulièrement au sein des domaines-phares de l’UniGR : études des espaces frontaliers (« Border Studies »), science des matériaux & utilisation rationnelle des ressources et biomédecine. De nombreux projets transfrontaliers ont été développés ou sont actuellement dans une phase de conception grâce aux séminaires, ateliers scientifiques ou conférences au cours desquels les scientifiques de la Grande Région ont l’opportunité de se rencontrer.
Contact : Frédérique Seidel
Bureau central de l'UniGR a.s.b.l.
Frederique.seidel@uni-gr.eu
0049 681 30140 802
Le commissaire européen Günther Oettinger, le ministre délégué à l'Enseignement supérieur et à la Recherche du Grand-Duché de Luxembourg Marc Hansen, le ministre aux Affaires européennes du Bade-Wurtemberg Guido Wolf, et la vice-présidente en charge de l’Innovation et de la Recherche de la Région Grand Est, Lilla Merabet, expriment leur soutien aux initiatives pilotes de coopération universitaire transfrontalière renforcée telle que l’Université de la Grande Région et le campus européen EUCOR dans le Rhin Supérieur.
Lors de la manifestation « l'Europe dans une coquille de noix - expériences autour de la mise en œuvre de groupements universitaires transfrontaliers » (Europe in a nutshell - Experiences with the implementation of cross-border groupings of higher education institutions) qui s’est déroulée le 11 octobre dans les locaux de la représentation du Land du Bade-Wurtemberg auprès de l’Union européenne à Bruxelles, Günther Oettinger, commissaire européen au budget et aux ressources humaines, et Marc Hansen, ministre délégué à l’Enseignement supérieur et la Recherche du Grand-Duché de Luxembourg, ont mis en lumière le rôle particulier des territoires frontaliers et de leurs acteurs scientifiques dans le renforcement de l’espace d’enseignement supérieur et de recherche européen. Pour Lilla Merabet, vice-présidente de la Région Grand Est, « le Grand Est, région française la plus européenne et transfrontalière (Allemagne, Suisse, Luxembourg et Belgique), a de toute évidence un rôle d’impulsion, de proposition et de coordination à jouer pour favoriser la cohésion et la coopération transfrontalières notamment en matière d’enseignement supérieur. » L’Université de la Grande Région, dont la coopération structurée a démarré en 2008 et a connu depuis un véritable essor, fait figure de modèle pilote dans ce contexte.
« La coopération scientifique transfrontalière est un élément clé pour assurer l’intégration des régions à l’espace européen », a déclaré le commissaire européen Günther Oettinger. « Notre attention doit à l’avenir se concentrer particulièrement sur les échanges scientifiques. Une étroite interconnexion permet aux différentes universités d’apporter chacune ses propres forces pour atteindre en commun le poids nécessaire pour rester concurrentielles au niveau des grands projets de la recherche de pointe également. »
« Les universités membres défendent un message fort à travers l’Université de la Grande Région : l’ouverture et les échanges facilités dans les territoires transfrontaliers représentent une richesse indispensable pour l’ensemble du spectre des activités des établissements d’enseignement supérieur et de recherche, au service des avancées scientifiques, de l’innovation, et de la jeunesse en Europe et au-delà », a déclaré Pierre Mutzenhardt, président de l’Université de la Grande Région - UniGR. « Le développement de la filière scientifique « Border Studies » (Etudes des frontières et de leurs spécificités) est une parfaite illustration de la contribution de la coopération scientifique à l’essor des territoires frontaliers. En effet, quoi de plus pertinent pour les universités que de joindre leurs forces afin de faire profiter la Grande Région d’une recherche d’excellence et innovante au service de son développement. La coopération renforcée des universités de l’UniGR dans les domaines de la science des matériaux et de la biomédecine répondent à la même logique ».
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche du Grand-Duché de Luxembourg, Marc Hansen, a réitéré son soutien à l’UniGR : « Au travers de l’Université de la Grande Région, la Présidence luxembourgeoise du Sommet de la Grande Région souhaite augmenter la mobilité des étudiants, des scientifiques et des doctorants et étoffer les cursus transfrontaliers de même que la coopération scientifique transfrontalière. ».
À l’occasion de la manifestation, représentants politiques et acteurs de la coopération universitaire européenne ont échangé sur les défis et opportunités qu’offre la proximité géographique transfrontalière dans le contexte européen pour les établissements d’enseignement supérieur et de recherche. En cette période de préparation du nouveau programme-cadre européen pour la recherche, du prochain programme Erasmus+ et des programmes de coopération transfrontalière Interreg, leviers financiers essentiels pour le développement de la coopération scientifique européenne, les universités des espaces transfrontaliers ont souhaité faire reconnaître l’exceptionnel potentiel que leurs coopérations représentent au service de l’espace européen d’enseignement supérieur et de recherche et des territoires.
La manifestation était organisée par le Land du Bade-Wurtemberg conjointement avec ses partenaires, la région espagnole d’Aragon, la Région Grand Est en France et le Grand-Duché de Luxembourg, qui assure en ce moment la présidence du Sommet de la Grande Région. De nombreuses coopérations académiques transfrontalières étaient représentées et ont mis en lumière à la fois la disparité des situations et les défis communs à surmonter : l’Université de la Grande Région (France, Allemagne, Belgique, Luxembourg), Eucor – Le Campus européen (France, Allemagne, Suisse) ainsi que le Campus Iberus (Espagne) et l’Université de Pau et des Pays de l’Adour (France).
La manifestation a reçu le soutien du projet Interreg VA Région Métropolitaine Trinationale du Rhin supérieur (RMT).
L'Université de la Grande Région
L’Université de la Grande Région est un groupement universitaire innovant regroupant les universités de Kaiserslautern (D), Liège (B), Lorraine (F), Luxembourg (LU), Sarre (D) et Trèves (D). La coopération entre les six établissements d’enseignement supérieur et de recherche de la Grande Région, débutée en 2008 grâce à une subvention attribuée par l’Union européenne, s’est poursuivie à l’issue du projet et s’est matérialisée en 2015 par le création d’une forme juridique propre pour le groupement, lui permettant ainsi de porter des projets au service de ses membres et d’assurer une coordination conjointe de la coopération.
D’un point de vue géographique, la distance séparant les universités de Kaiserslautern, Liège, Lorraine, du Luxembourg, de Trèves et de Sarre n’est pas très importante. Il est possible de se rendre d’une université à l’autre en seulement quelques heures. Néanmoins, il y a encore quelques années, d’importantes barrières administratives séparaient ces universités, qui ont progressivement été levées. Lorsque des étudiant(e)s s’inscrivent aujourd’hui dans une des universités partenaires de l’ « Université de la Grande Région » (UniGR), ils bénéficient gratuitement de l’offre des cinq autres. Grâce au statut étudiant UniGR, il est en effet possible de suivre des cours, de se présenter à des examens et de bénéficier de prêts gratuits auprès des bibliothèques ainsi que du tarif étudiant dans les restaurants universitaires des cinq autres universités du réseau. Les étudiants enrichissent leur quotidien universitaire d’expériences interculturelles et de la découverte des différentes méthodes d’enseignement des pays voisins.
La mise en réseau des chercheurs dans la Grande Région est également une activité centrale mise en œuvre par l’UniGR, particulièrement au sein des domaines-phares de l’UniGR : études des espaces frontaliers (« Border Studies »), science des matériaux & utilisation rationnelle des ressources et biomédecine. De nombreux projets transfrontaliers ont été développés ou sont actuellement dans une phase de conception grâce aux séminaires, ateliers scientifiques ou conférences au cours desquels les scientifiques de la Grande Région ont l’opportunité de se rencontrer.
Contact : Frédérique Seidel
Bureau central de l'UniGR a.s.b.l.
Frederique.seidel@uni-gr.eu
0049 681 30140 802
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Cette réserve de recrutement pourra être consultée pour divers emplois de niveau C au sein de WBI (à titre exemplatif : le département des relations bilatérales, le service comptabilité (aide-comptable), le service des marchés publics, …).
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Conditions d'engagement
- Etre titulaire d’un diplôme permettant d’accéder à une fonction du niveau C au moins telle que définie dans l’arrêté des Gouvernement wallon et de la Fédération Wallonie-Bruxelles portant statut administratif et pécuniaire des membres du personnel de Wallonie Bruxelles International(WBI) (ainsi que l’attestation d’équivalence dans le cas d’un diplôme autre que belge.
Procédure : Fédération Wallonie-Bruxelles - 02/690.89.00 - http://www.equivalences.cfwb.be/).
- Etre de bonne conduite et de bonne moralité ;
- Jouir des droits civils et politiques ;
- Posséder les aptitudes requises pour la fonction.
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Description de la fonction
Missions
Wallonie-Bruxelles International (WBI) est l’agence chargée des relations internationales Wallonie-Bruxelles. Elle est l'instrument de la politique internationale menée par la Wallonie, la Fédération Wallonie-Bruxelles et la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale.
Dans le cadre d’accords avec 70 pays et régions, WBI soutient les créateurs et entrepreneurs de Wallonie-Bruxelles. WBI fait la promotion des composantes de Wallonie-Bruxelles en tant qu'entités dotées d'une capacité d'action internationale et défend les valeurs et intérêts de chacune des parties, dans un esprit de coopération et d'entraide mutuelle.
- de la coopération au développement,
- des droits de l'homme,
- de la culture,
- de la santé et des affaires sociales,
- de l'environnement,
- des échanges de jeunes,
- de l'enseignement et de la formation,
- de l'enseignement supérieur,
- de la recherche scientifique.
Activités correspondantes : Fonctions de gestionnaire de dossiers / support administratif.
- traitez des dossiers administratifs/comptables dans le respect des dispositions légales et réglementaires ainsi que des procédures en vigueur à WBI ;
- êtes le point de contact interne / externe pour toutes les informations liées aux dossiers que vous gérez ;
- représentez occasionnellement WBI, à la demande du supérieur hiérarchique ; cette représentation peut être locale ou à l‘étranger ;
- entretenez, alimentez le réseau de contacts (opérateurs, institutions, prestataires ou autres) tant au niveau local qu’à l’étranger ;
- organisez pratiquement avec les partenaires internes et externes la réalisation des projets WBI (visites, réunions, missions, rencontres etc.) ;
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Connaissances / Compétences pratiques et techniques / Aptitudes comportementales
Connaissances / Compétences pratiques et techniques génériques
- Maîtriser parfaitement, tant à l’oral qu’à l’écrit, la langue française ;
- Bonne capacité à rédiger ;
- Expérience de gestion administrative ;
- Bonne maîtrise de Microsoft Office (Word, Excel, Outlook, …) ;
- Bonne capacité à acquérir toutes les connaissances nécessaires au bon exercice de la fonction ;
- Bonne connaissance du paysage institutionnel belge.
Et, en fonction des offres d’emplois pour lesquelles la réserve sera consultée (compétences spécifiques):
- connaissances de base (équivalent niveaux A2.2/B1 en anglais dans le Cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL) de la langue anglaise à l’écrit et à l’oral sera un atout pour certaines fonctions) : http://europass.cedefop.europa.eu/fr/resources/european-language-levels-cefr).
- une connaissance générale de la législation des marchés publics ou une expérience professionnelle dans la gestion de marchés publics est un sérieux atout.
- le diplôme d’aide comptable est un atout.
Aptitudes comportementales
- Travailler aisément en équipe ;
- Ajuster sa méthode de travail à l’évolution des circonstances et des exigences de la situation.
- Accompagner les clients internes et/ou externes de manière transparente, intègre et objective, leur fournir un service personnalisé.
- Démontrer de l'assertivité. Défendre un point de vue ou l’application d’une règle par un échange positif en préservant la qualité des relations professionnelles.
- Organiser son propre travail en tenant compte des délais et des priorités.
- Accomplir son travail avec rigueur et en autonomie, dans le respect des normes et procédures.
- Adopter une attitude et une communication professionnelle et respectueuse de son interlocuteur tant dans le fond que dans la forme.
- Adopter systématiquement une communication cohérente, exempte de contradiction, précise et citant ses sources.
- Agir de manière intègre et équitable.
- Demeurer efficace en situation de stress en conservant sa capacité à prendre des décisions réfléchies et en maîtrisant ses émotions.
- Respecter la confidentialité et éviter toute forme de partialité (conflits d'intérêts etc.).
- Entretenir activement des relations formelles et informelles et/ou établir des réseaux professionnels avec des personnes ressources.
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Sélection
1. Epreuve écrite
Cette épreuve sera destinée à évaluer les connaissances et compétences pratiques/techniques génériques des candidats.
Les candidats ayant obtenu les 20 meilleurs résultats à l’épreuve écrite (60% des points minimum) sont consultés en fonction des offres d’emplois et invités à une épreuve finale.
2. Epreuve finale en fonction des offres d’emploi
Une épreuve orale, assortie le cas échéant, d’une préparation écrite, sous forme d’un entretien visant à évaluer le profil du candidat en accord avec les connaissances, les compétences pratiques/techniques (génériques et spécifiques), les aptitudes comportementales, la motivation et les affinités avec le travail sur le terrain.
Les épreuves se déroulent à Bruxelles.
Dossier de candidature
Le dossier de candidature est envoyé par courriel (recrutement@wbi.be) ou par courrier postal (cachet de la poste faisant foi), au plus tard le 10 novembre à minuit, à l’attention de :
Madame Pascale Delcomminette
c/o Service des Ressources Humaines
Administratrice générale de WBI
Place Sainctelette, 2
B-1080 Bruxelles
Le dossier de candidature comprend :
- une copie du/des diplôme(s) [accompagnée(s) de l’équivalence dans le cas de diplôme(s) non belge(s)]. INDISPENSABLE ;
- une lettre de motivation ;
- un curriculum vitae détaillé.
Un dossier incomplet ou envoyé hors délai n’est pas pris en compte.
Retour au débutCette réserve de recrutement pourra être consultée pour divers emplois de niveau C au sein de WBI (à titre exemplatif : le département des relations bilatérales, le service comptabilité (aide-comptable), le service des marchés publics, …).
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Conditions d'engagement
- Etre titulaire d’un diplôme permettant d’accéder à une fonction du niveau C au moins telle que définie dans l’arrêté des Gouvernement wallon et de la Fédération Wallonie-Bruxelles portant statut administratif et pécuniaire des membres du personnel de Wallonie Bruxelles International(WBI) (ainsi que l’attestation d’équivalence dans le cas d’un diplôme autre que belge.
Procédure : Fédération Wallonie-Bruxelles - 02/690.89.00 - http://www.equivalences.cfwb.be/).
- Etre de bonne conduite et de bonne moralité ;
- Jouir des droits civils et politiques ;
- Posséder les aptitudes requises pour la fonction.
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Description de la fonction
Missions
Wallonie-Bruxelles International (WBI) est l’agence chargée des relations internationales Wallonie-Bruxelles. Elle est l'instrument de la politique internationale menée par la Wallonie, la Fédération Wallonie-Bruxelles et la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale.
Dans le cadre d’accords avec 70 pays et régions, WBI soutient les créateurs et entrepreneurs de Wallonie-Bruxelles. WBI fait la promotion des composantes de Wallonie-Bruxelles en tant qu'entités dotées d'une capacité d'action internationale et défend les valeurs et intérêts de chacune des parties, dans un esprit de coopération et d'entraide mutuelle.
- de la coopération au développement,
- des droits de l'homme,
- de la culture,
- de la santé et des affaires sociales,
- de l'environnement,
- des échanges de jeunes,
- de l'enseignement et de la formation,
- de l'enseignement supérieur,
- de la recherche scientifique.
Activités correspondantes : Fonctions de gestionnaire de dossiers / support administratif.
- traitez des dossiers administratifs/comptables dans le respect des dispositions légales et réglementaires ainsi que des procédures en vigueur à WBI ;
- êtes le point de contact interne / externe pour toutes les informations liées aux dossiers que vous gérez ;
- représentez occasionnellement WBI, à la demande du supérieur hiérarchique ; cette représentation peut être locale ou à l‘étranger ;
- entretenez, alimentez le réseau de contacts (opérateurs, institutions, prestataires ou autres) tant au niveau local qu’à l’étranger ;
- organisez pratiquement avec les partenaires internes et externes la réalisation des projets WBI (visites, réunions, missions, rencontres etc.) ;
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Connaissances / Compétences pratiques et techniques / Aptitudes comportementales
Connaissances / Compétences pratiques et techniques génériques
- Maîtriser parfaitement, tant à l’oral qu’à l’écrit, la langue française ;
- Bonne capacité à rédiger ;
- Expérience de gestion administrative ;
- Bonne maîtrise de Microsoft Office (Word, Excel, Outlook, …) ;
- Bonne capacité à acquérir toutes les connaissances nécessaires au bon exercice de la fonction ;
- Bonne connaissance du paysage institutionnel belge.
Et, en fonction des offres d’emplois pour lesquelles la réserve sera consultée (compétences spécifiques):
- connaissances de base (équivalent niveaux A2.2/B1 en anglais dans le Cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL) de la langue anglaise à l’écrit et à l’oral sera un atout pour certaines fonctions) : http://europass.cedefop.europa.eu/fr/resources/european-language-levels-cefr).
- une connaissance générale de la législation des marchés publics ou une expérience professionnelle dans la gestion de marchés publics est un sérieux atout.
- le diplôme d’aide comptable est un atout.
Aptitudes comportementales
- Travailler aisément en équipe ;
- Ajuster sa méthode de travail à l’évolution des circonstances et des exigences de la situation.
- Accompagner les clients internes et/ou externes de manière transparente, intègre et objective, leur fournir un service personnalisé.
- Démontrer de l'assertivité. Défendre un point de vue ou l’application d’une règle par un échange positif en préservant la qualité des relations professionnelles.
- Organiser son propre travail en tenant compte des délais et des priorités.
- Accomplir son travail avec rigueur et en autonomie, dans le respect des normes et procédures.
- Adopter une attitude et une communication professionnelle et respectueuse de son interlocuteur tant dans le fond que dans la forme.
- Adopter systématiquement une communication cohérente, exempte de contradiction, précise et citant ses sources.
- Agir de manière intègre et équitable.
- Demeurer efficace en situation de stress en conservant sa capacité à prendre des décisions réfléchies et en maîtrisant ses émotions.
- Respecter la confidentialité et éviter toute forme de partialité (conflits d'intérêts etc.).
- Entretenir activement des relations formelles et informelles et/ou établir des réseaux professionnels avec des personnes ressources.
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Sélection
1. Epreuve écrite
Cette épreuve sera destinée à évaluer les connaissances et compétences pratiques/techniques génériques des candidats.
Les candidats ayant obtenu les 20 meilleurs résultats à l’épreuve écrite (60% des points minimum) sont consultés en fonction des offres d’emplois et invités à une épreuve finale.
2. Epreuve finale en fonction des offres d’emploi
Une épreuve orale, assortie le cas échéant, d’une préparation écrite, sous forme d’un entretien visant à évaluer le profil du candidat en accord avec les connaissances, les compétences pratiques/techniques (génériques et spécifiques), les aptitudes comportementales, la motivation et les affinités avec le travail sur le terrain.
Les épreuves se déroulent à Bruxelles.
Dossier de candidature
Le dossier de candidature est envoyé par courriel (recrutement@wbi.be) ou par courrier postal (cachet de la poste faisant foi), au plus tard le 10 novembre à minuit, à l’attention de :
Madame Pascale Delcomminette
c/o Service des Ressources Humaines
Administratrice générale de WBI
Place Sainctelette, 2
B-1080 Bruxelles
Le dossier de candidature comprend :
- une copie du/des diplôme(s) [accompagnée(s) de l’équivalence dans le cas de diplôme(s) non belge(s)]. INDISPENSABLE ;
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Un dossier incomplet ou envoyé hors délai n’est pas pris en compte.
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En présence du Président du Parlement, Philippe Courard, la Déléguée générale, le Conseiller, la Directrice du Centre ont accueilli le 26 septembre plus de 260 invités dont de nombreux Ambassadeurs et Représentants d’organisations internationales, des parlementaires, des représentants d’entreprises ainsi que les partenaires de la délégation générale.
Le Ministre des Finances et du Budget du Gouvernement wallon, Jean-Luc Crucke était présent. Par sa présence exceptionnelle, le Président Diouf a tenu à montrer son attachement à la Fédération Wallonie-Bruxelles. Malgré un agenda chargé, la Directrice générale de l’Unesco, Irina Bokova, était également présente.
Dans son discours d’accueil, la Déléguée générale, Fabienne Reuter, a évoqué les valeurs qui sont à la base de la coopération de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Wallonie avec la France : démocratie, diversité culturelles, droits de l’homme, lutte contre l’extrémisme et la radicalisation.
Le Président Courard a évoqué la récente crise politique dans la Belgique francophone et présenté quelques actions de coopération internationale du Parlement de la FWB, il a également souligné les liens étroits entre la Fédération Wallonie-Bruxelles et Haîti, à l’occasion du 20ème anniversaire de l’Accord de coopération.
La Fête de la Fédération s’est poursuivie le soir au Centre Wallonie-Bruxelles avec l’ouverture du "Festival Francophonie métissée" et le magnifique concert de la chanteuse haïtienne Emeline Michel, qui a fait vibrer toute la salle. Cette très belle soirée a bénéficié du soutien de l’OIF, représentée par Madame Youma Fall, Directrice de la langue française, culture et diversités.
En présence du Président du Parlement, Philippe Courard, la Déléguée générale, le Conseiller, la Directrice du Centre ont accueilli le 26 septembre plus de 260 invités dont de nombreux Ambassadeurs et Représentants d’organisations internationales, des parlementaires, des représentants d’entreprises ainsi que les partenaires de la délégation générale.
Le Ministre des Finances et du Budget du Gouvernement wallon, Jean-Luc Crucke était présent. Par sa présence exceptionnelle, le Président Diouf a tenu à montrer son attachement à la Fédération Wallonie-Bruxelles. Malgré un agenda chargé, la Directrice générale de l’Unesco, Irina Bokova, était également présente.
Dans son discours d’accueil, la Déléguée générale, Fabienne Reuter, a évoqué les valeurs qui sont à la base de la coopération de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Wallonie avec la France : démocratie, diversité culturelles, droits de l’homme, lutte contre l’extrémisme et la radicalisation.
Le Président Courard a évoqué la récente crise politique dans la Belgique francophone et présenté quelques actions de coopération internationale du Parlement de la FWB, il a également souligné les liens étroits entre la Fédération Wallonie-Bruxelles et Haîti, à l’occasion du 20ème anniversaire de l’Accord de coopération.
La Fête de la Fédération s’est poursuivie le soir au Centre Wallonie-Bruxelles avec l’ouverture du "Festival Francophonie métissée" et le magnifique concert de la chanteuse haïtienne Emeline Michel, qui a fait vibrer toute la salle. Cette très belle soirée a bénéficié du soutien de l’OIF, représentée par Madame Youma Fall, Directrice de la langue française, culture et diversités.
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La remise du Prix, qui s’est déroulée le 9 octobre par Monsieur Armel Job, Président du Jury, est devenu un rendez-vous incontournable de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles.
A cette occasion, une conférence-débat a été organisée le 9 octobre ayant pour thème “La police, de Maigret à aujourd’hui" sous la direction de Monsieur Pierre BEYLAU, Président du Festival Simenon avec comme orateurs, François PERILLEUX, ex-Patron de la Police Judiciaire (PJ) de Liège, Renaud VAN RUYMBEKE, Juge d'instruction au pôle financier du Tribunal de Grande Instance de Paris, Martine MONTEIL, ancienne Directrice centrale de la PJ française, ex-Cheffe du 36 quai des Orfèvres, Julie MALAURE, Journaliste au "Point" spécialiste du roman policier, Dominique RIZET, Chroniqueur judiciaire à BFMTV, Xavier RAUFER, Criminologue, universitaire, écrivain.
La remise du Prix, qui s’est déroulée le 9 octobre par Monsieur Armel Job, Président du Jury, est devenu un rendez-vous incontournable de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles.
A cette occasion, une conférence-débat a été organisée le 9 octobre ayant pour thème “La police, de Maigret à aujourd’hui" sous la direction de Monsieur Pierre BEYLAU, Président du Festival Simenon avec comme orateurs, François PERILLEUX, ex-Patron de la Police Judiciaire (PJ) de Liège, Renaud VAN RUYMBEKE, Juge d'instruction au pôle financier du Tribunal de Grande Instance de Paris, Martine MONTEIL, ancienne Directrice centrale de la PJ française, ex-Cheffe du 36 quai des Orfèvres, Julie MALAURE, Journaliste au "Point" spécialiste du roman policier, Dominique RIZET, Chroniqueur judiciaire à BFMTV, Xavier RAUFER, Criminologue, universitaire, écrivain.
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Dans le cadre du 20ème anniversaire de la signature de l'accord de coopération entre les Gouvernements de Wallonie, de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la République d'Haïti, une table-ronde sur les "Enjeux et difficultés du journalisme dans les Etats fragiles : Focus Haïti" s’est tenue le 6 octobre à l'ULB - Faculté d'Architecture.
La séance d'ouverture a eu lieu en présence de Madame Pascale Delcomminette, Administratrice générale de WBI, de Monsieur Paolo Fontani, Directeur du Bureau de liaison de l'UNESCO à Bruxelles ainsi que de Madame Marie-Soleil Frère, Vice-rectrice aux relations internationales et à la coopération au développement de l'ULB.
La table-ronde, animée par Marie-Soleil Frère, a réuni Monsieur Godson Pierre, Editeur d'Alterpresse en Haïti, Monsieur Ernest Sagaga, Chargé des Droits de l'Homme et de la Sécurité (FIJ) et de Monsieur Manu Klimis, Politologue (Université Saint-Louis) ainsi que deux journalistes haïtiens, Peguy Flore Pierre (le Nouvelliste) et Kendi Zidor (Le National).
Cette table-ronde a clôturé le séjour des douze journalistes haïtiens invités, dont 2 lauréats de la 3e édition du Prix du jeune journaliste organisé par l’OIF en Haïti, dans le cadre de ce 20ème anniversaire, pendant lequel ils ont réalisé 2 semaines de stage dans des médias de la Fédération Wallonie-Bruxelles, ainsi que plusieurs journées de mise en pratique du fact-checking et de midi d’échanges avec les étudiants en sciences de l’information et de la communication de l’ULB.
Dans le cadre du 20ème anniversaire de la signature de l'accord de coopération entre les Gouvernements de Wallonie, de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la République d'Haïti, une table-ronde sur les "Enjeux et difficultés du journalisme dans les Etats fragiles : Focus Haïti" s’est tenue le 6 octobre à l'ULB - Faculté d'Architecture.
La séance d'ouverture a eu lieu en présence de Madame Pascale Delcomminette, Administratrice générale de WBI, de Monsieur Paolo Fontani, Directeur du Bureau de liaison de l'UNESCO à Bruxelles ainsi que de Madame Marie-Soleil Frère, Vice-rectrice aux relations internationales et à la coopération au développement de l'ULB.
La table-ronde, animée par Marie-Soleil Frère, a réuni Monsieur Godson Pierre, Editeur d'Alterpresse en Haïti, Monsieur Ernest Sagaga, Chargé des Droits de l'Homme et de la Sécurité (FIJ) et de Monsieur Manu Klimis, Politologue (Université Saint-Louis) ainsi que deux journalistes haïtiens, Peguy Flore Pierre (le Nouvelliste) et Kendi Zidor (Le National).
Cette table-ronde a clôturé le séjour des douze journalistes haïtiens invités, dont 2 lauréats de la 3e édition du Prix du jeune journaliste organisé par l’OIF en Haïti, dans le cadre de ce 20ème anniversaire, pendant lequel ils ont réalisé 2 semaines de stage dans des médias de la Fédération Wallonie-Bruxelles, ainsi que plusieurs journées de mise en pratique du fact-checking et de midi d’échanges avec les étudiants en sciences de l’information et de la communication de l’ULB.