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Conditions

  • Vous avez entre 18 et 30 ans et vous résidez en Wallonie
  • Vous avez terminé une formation en rapport avec le secteur d’activité proposé

 

Offres de stages en Istrie

12 offres sont actuellement publiées sur le site Eurodyssée

 

Période de stage

  • Arrivée: 01/06
  • Formation linguistique: 02/06 – 30/06
  • Formation professionnelle: 03/07 – 01/09

 

Soutien offert

  • une bourse pour couvrir les frais relatifs au séjour (transport, hébergement…)
  • une formation linguistique sur place
  • un accompagnement dans la recherche d’un logement et dans les démarches administratives
  • une protection sociale durant votre séjour (assurance accident de travail, responsabilité civile, rapatriement…)

 

Comment procéder

 

Des questions

N’hésitez pas à contacter Amélie Francq, chargée de projets Eurodyssée: amelie.francq@cfwb.be ou 02 548 38 88.

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  • Vous avez terminé une formation en rapport avec le secteur d’activité proposé

 

Offres de stages en Istrie

12 offres sont actuellement publiées sur le site Eurodyssée

 

Période de stage

  • Arrivée: 01/06
  • Formation linguistique: 02/06 – 30/06
  • Formation professionnelle: 03/07 – 01/09

 

Soutien offert

  • une bourse pour couvrir les frais relatifs au séjour (transport, hébergement…)
  • une formation linguistique sur place
  • un accompagnement dans la recherche d’un logement et dans les démarches administratives
  • une protection sociale durant votre séjour (assurance accident de travail, responsabilité civile, rapatriement…)

 

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La fille au poisson rouge (c) Harry Fayt

L'émotion. Un fil conducteur dans la vie et le travail d'Harry Fayt, Carolo d'origine installé à Liège et qui a fait de l’eau son studio photo de prédilection. Ses photographies subaquatiques ont été exposées à Bruxelles, ont servi dans des campagnes publicitaires internationales et trônent chez certains particuliers au goût sûr. Et si ses précédents projets ont connu un vif intérêt, ceux sur lesquels il travaille actuellement et qui feront l’objet de prochains événements, façonneront encore un peu sa renommée.

 

Harry Fayt, c’est d’abord un parcours atypique. Le jeune homme est diplômé en 1998 de l’Institut Technique Félicien Rops de Namur. A l’époque, c’est à la photo de mode qu’il se destine. « Mais des amis étaient dans la musique et je me suis laissé embarquer », s’amuse-t-il. « Jusqu’en 2003, j’ai photographié des concerts en Belgique, en Allemagne, en France, en Hollande… Mes photos étaient publiées dans quelques magazines mais je faisais des intérim pour payer les factures ». Sa volonté de photographier la mode le reprend. Il se rend à Paris, va solliciter les agences. « Un désenchantement », avoue-t-il. « Ce n’était pas tant le vêtement qui m’intéressait, mais la femme qui le portait ». Un premier signe, déjà, de cet amour pour les courbes féminines qui l’emmènera sous l’eau…

 

De retour en Belgique, pour subvenir à ses besoins, il photographie des voitures pour un site internet. « Ce n’était pas du tout artistique. Avant, arrière, intérieur, clic-clac. Et suivante… J’avais besoin d’autre chose ». Alors, il se lance dans les photographies d’accouchement et de grossesse, pour immortaliser ces moments si précieux pour les femmes. Au fil des mois, cette activité prend le pas sur son travail dans l’automobile. Il photographie aussi les bébés, parce que « ces petits êtres fragiles étaient juste les modèles parfaits pour mon style épuré, loin des standards du genre de l’époque ».

 

Mais en 2008, titillé par le rêve américain, il plaque tout et part pour ouvrir son studio à New York. « C’était superbe, mais un problème administratif m’a forcé à rentrer et à tout abandonner sur place ». Une déception de courte durée, car Harry n’est pas du genre à baisser les bras. Après quelques semaines, c’est la révélation : il lance ses séances photos subaquatiques. « J’ai voulu photographier les bébés nageurs. Certains disent que c’est la couverture de l’album de Nirvana qui m’a inspiré. D’autres la pub de l’eau Evian… ». Il enchaîne alors les séances photos sous l’eau avec des bébés, des familles, des femmes enceintes… 

 

C’est un contact avec une agence de modèles ukrainienne qui va donner une autre direction à son travail. Avec elles, Harry Fayt ose la nudité. Nous sommes en septembre 2011. Et cette série de photographies va être exposées en 2013 à Bruxelles, puis Anvers, Paris, Berlin, Londres, Monaco… Des images qui interpellent et suscitent la curiosité tant il est parfois difficile d’imaginer que le cliché a été pris sous l’eau.

 

« On trouble les frontières, pour revenir à la beauté originelle. J’adore le côté surréaliste, huileux, et le jeu de lumière qu’apporte l’eau. Pour les photos mises en scène, c’est une vraie réflexion avant le shooting. J’ajoute très peu de choses via Photoshop, mais il arrive par contre qu’il faille effacer une corde par exemple, qui retenait le mannequin dans une position précise. Les photos peuvent aussi être prises à l’envers, sans que le spectateur ne s’en rende compte ».

 

Artistes et mythologie

Depuis plusieurs mois, Harry Fayt s’est lancé un nouveau défi. Photographier les artistes représentatifs de la richesse belge. « J’aimerais avoir Virginie Efira, Benoît Poelvoorde, Arno, Stromae… ». Sa photo du DJ carolo Kid Noize donne déjà un avant-goût de cette série.

 

En parallèle, il travaille sur sa prochaine exposition : « Modern Icons ». « C’est une réinterprétation des grands thèmes de la peinture et de la mythologie », explique-t-il. « Je veux que ce soit une exposition qui sorte de la 2D. Il y aura de la sculpture, des hologrammes, de la vidéo… » Il y aura La Madone, La dame à la Licorne de Raphaël, le mythe de Pygmalion et Galatée…

 

Enfin, Harry Fayt veut relancer ses séances subaquatiques pour les futures mamans et les bébés nageurs, qu’il avait quelque peu délaissées. Il sera donc sur tous les fronts en 2017 et il compte nous emmener avec lui pour une bouffée d’art frais.

 

Laurence Piret

 

Cet article est issu de la Revue W+B n° 135.

L'émotion. Un fil conducteur dans la vie et le travail d'Harry Fayt, Carolo d'origine installé à Liège et qui a fait de l’eau son studio photo de prédilection. Ses photographies subaquatiques ont été exposées à Bruxelles, ont servi dans des campagnes publicitaires internationales et trônent chez certains particuliers au goût sûr. Et si ses précédents projets ont connu un vif intérêt, ceux sur lesquels il travaille actuellement et qui feront l’objet de prochains événements, façonneront encore un peu sa renommée.

 

Harry Fayt, c’est d’abord un parcours atypique. Le jeune homme est diplômé en 1998 de l’Institut Technique Félicien Rops de Namur. A l’époque, c’est à la photo de mode qu’il se destine. « Mais des amis étaient dans la musique et je me suis laissé embarquer », s’amuse-t-il. « Jusqu’en 2003, j’ai photographié des concerts en Belgique, en Allemagne, en France, en Hollande… Mes photos étaient publiées dans quelques magazines mais je faisais des intérim pour payer les factures ». Sa volonté de photographier la mode le reprend. Il se rend à Paris, va solliciter les agences. « Un désenchantement », avoue-t-il. « Ce n’était pas tant le vêtement qui m’intéressait, mais la femme qui le portait ». Un premier signe, déjà, de cet amour pour les courbes féminines qui l’emmènera sous l’eau…

 

De retour en Belgique, pour subvenir à ses besoins, il photographie des voitures pour un site internet. « Ce n’était pas du tout artistique. Avant, arrière, intérieur, clic-clac. Et suivante… J’avais besoin d’autre chose ». Alors, il se lance dans les photographies d’accouchement et de grossesse, pour immortaliser ces moments si précieux pour les femmes. Au fil des mois, cette activité prend le pas sur son travail dans l’automobile. Il photographie aussi les bébés, parce que « ces petits êtres fragiles étaient juste les modèles parfaits pour mon style épuré, loin des standards du genre de l’époque ».

 

Mais en 2008, titillé par le rêve américain, il plaque tout et part pour ouvrir son studio à New York. « C’était superbe, mais un problème administratif m’a forcé à rentrer et à tout abandonner sur place ». Une déception de courte durée, car Harry n’est pas du genre à baisser les bras. Après quelques semaines, c’est la révélation : il lance ses séances photos subaquatiques. « J’ai voulu photographier les bébés nageurs. Certains disent que c’est la couverture de l’album de Nirvana qui m’a inspiré. D’autres la pub de l’eau Evian… ». Il enchaîne alors les séances photos sous l’eau avec des bébés, des familles, des femmes enceintes… 

 

C’est un contact avec une agence de modèles ukrainienne qui va donner une autre direction à son travail. Avec elles, Harry Fayt ose la nudité. Nous sommes en septembre 2011. Et cette série de photographies va être exposées en 2013 à Bruxelles, puis Anvers, Paris, Berlin, Londres, Monaco… Des images qui interpellent et suscitent la curiosité tant il est parfois difficile d’imaginer que le cliché a été pris sous l’eau.

 

« On trouble les frontières, pour revenir à la beauté originelle. J’adore le côté surréaliste, huileux, et le jeu de lumière qu’apporte l’eau. Pour les photos mises en scène, c’est une vraie réflexion avant le shooting. J’ajoute très peu de choses via Photoshop, mais il arrive par contre qu’il faille effacer une corde par exemple, qui retenait le mannequin dans une position précise. Les photos peuvent aussi être prises à l’envers, sans que le spectateur ne s’en rende compte ».

 

Artistes et mythologie

Depuis plusieurs mois, Harry Fayt s’est lancé un nouveau défi. Photographier les artistes représentatifs de la richesse belge. « J’aimerais avoir Virginie Efira, Benoît Poelvoorde, Arno, Stromae… ». Sa photo du DJ carolo Kid Noize donne déjà un avant-goût de cette série.

 

En parallèle, il travaille sur sa prochaine exposition : « Modern Icons ». « C’est une réinterprétation des grands thèmes de la peinture et de la mythologie », explique-t-il. « Je veux que ce soit une exposition qui sorte de la 2D. Il y aura de la sculpture, des hologrammes, de la vidéo… » Il y aura La Madone, La dame à la Licorne de Raphaël, le mythe de Pygmalion et Galatée…

 

Enfin, Harry Fayt veut relancer ses séances subaquatiques pour les futures mamans et les bébés nageurs, qu’il avait quelque peu délaissées. Il sera donc sur tous les fronts en 2017 et il compte nous emmener avec lui pour une bouffée d’art frais.

 

Laurence Piret

 

Cet article est issu de la Revue W+B n° 135.

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Le programme Interreg Europe propose des co-financements pour des projets d’échange d’expérience et de bonnes pratiques en lien avec l’amélioration des instruments politiques régionaux dans les quatre axes suivants: recherche et innovation, compétitivité des PME, économie à bas-carbone ou encore environnement et efficacité énergétique. 

 

En soutenant ce type de projets de coopération interrégionale, Interreg Europe vient en aide aux autorités publiques et aux gouvernements locaux, régionaux et nationaux de toute l’Europe pour qu’ils élaborent et mettent en oeuvre de meilleures politiques, s’inspirant de solutions testées et avérées existant dans d’autres régions. Les projets soutenus doivent réunir des organismes en charge de politiques régionales issus d’au minimum 3 pays différents, et peuvent durer de 3 à 5 ans.

 

Le taux de co-financement du programme peut atteindre 85% pour des activités comme des visites d’études, des examens par les pairs et l’élaboration d’un plan d’action. Selon le nombre de partenaires impliqués et la durée des échanges, le budget moyen d’un projet avoisine en général 1 à 2 millions d’euros. Pour être éligible dans le cadre d’Interreg Europe, au moins la moitié des partenaires du projet doivent travailler à l’amélioration des programmes opérationnels des Fonds structurels de leur propre région. Pour la Wallonie, vous trouverez le programme opérationnel FEDER 2014-2020 ici.

 

Vous trouverez nombre de documents et de liens utiles sur la page suivante. Vous y découvrirez également les différentes formes d’aide proposées par le Secrétariat conjoint du programme, qui comprennent des outils de recherche de partenaires, des événements organisés à l’intention des candidats et même des retours individualisés sur vos idées de projets. Sauf rares exceptions, le Secrétariat organise chaque vendredi des sessions en ligne de questions-réponses.

 

L’appel se clôture le 30 juin à 12h, heure de Bruxelles.

 

Les dossiers de candidature se déposent en ligne.

 

La langue de travail du programme est uniquement l’anglais.

 

Personne de contact à WBI: M. Stéphane COOLS, +32 2 421 85 12 – s.cools@wbi.be

 

Facebook - Twitter - Tweets sur le 3ème appel à projets

 

 

Le programme Interreg Europe propose des co-financements pour des projets d’échange d’expérience et de bonnes pratiques en lien avec l’amélioration des instruments politiques régionaux dans les quatre axes suivants: recherche et innovation, compétitivité des PME, économie à bas-carbone ou encore environnement et efficacité énergétique. 

 

En soutenant ce type de projets de coopération interrégionale, Interreg Europe vient en aide aux autorités publiques et aux gouvernements locaux, régionaux et nationaux de toute l’Europe pour qu’ils élaborent et mettent en oeuvre de meilleures politiques, s’inspirant de solutions testées et avérées existant dans d’autres régions. Les projets soutenus doivent réunir des organismes en charge de politiques régionales issus d’au minimum 3 pays différents, et peuvent durer de 3 à 5 ans.

 

Le taux de co-financement du programme peut atteindre 85% pour des activités comme des visites d’études, des examens par les pairs et l’élaboration d’un plan d’action. Selon le nombre de partenaires impliqués et la durée des échanges, le budget moyen d’un projet avoisine en général 1 à 2 millions d’euros. Pour être éligible dans le cadre d’Interreg Europe, au moins la moitié des partenaires du projet doivent travailler à l’amélioration des programmes opérationnels des Fonds structurels de leur propre région. Pour la Wallonie, vous trouverez le programme opérationnel FEDER 2014-2020 ici.

 

Vous trouverez nombre de documents et de liens utiles sur la page suivante. Vous y découvrirez également les différentes formes d’aide proposées par le Secrétariat conjoint du programme, qui comprennent des outils de recherche de partenaires, des événements organisés à l’intention des candidats et même des retours individualisés sur vos idées de projets. Sauf rares exceptions, le Secrétariat organise chaque vendredi des sessions en ligne de questions-réponses.

 

L’appel se clôture le 30 juin à 12h, heure de Bruxelles.

 

Les dossiers de candidature se déposent en ligne.

 

La langue de travail du programme est uniquement l’anglais.

 

Personne de contact à WBI: M. Stéphane COOLS, +32 2 421 85 12 – s.cools@wbi.be

 

Facebook - Twitter - Tweets sur le 3ème appel à projets

 

 

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(c) Fotolia

L’édition 2017 portait sur le thème de la protection de l’environnement et du développement durable : “J’ai carte blanche pour embellir mon quartier/mon village/ ma ville”.

 

Le concours était ouvert aux jeunes âgés de 15 à 25 ans et résidents en Algérie.

 

Les critères d'évaluation étaient les suivants: 

  • respect de la thématique et du format attendu
  • respect des règles syntaxiques et orthographiques de la langue française
  • originalité de l’approche et qualité de l’écriture

 

Une première sélection a été proposée par les responsables et des enseignants du Département de langue française de l’IFA. La sélection définitive et le choix des lauréats ont été effectués par un jury regroupant les représentants officiels des pays participants.

 

Les lauréats

  • M.Hammou ISSAD: 22 ans - Tizi Ouzou -> 1er prix ex aequo
  • Mme Nabila RABAH: 21 ans - Ain Témouchent (Oran) -> 1er prix ex aequo
  • M. Djamil CHAKALI: 23 ans - Blida -> 2ème prix
  • Mme Alyssa BOUTNAF: 15 ans - Bir Khadem Alger -> 3ème prix
  • M. Aïmen LAIHEM: 18 ans - Kouba Alger -> 4ème prix
  • Mme Daya Fatma-Zohra ABED: 16 ans - Bach Djerrah Alger -> 5ème prix
  • Mme Hala FENNOUCHE: 17 ans - Annaba -> « prix du jury »

 

Les gagnants du concours d’écriture se voient offrir un prix d’une valeur conséquente de la part de chaque ambassade et délégation représentées.

 

La cérémonie officielle de remise des prix a lieu à l’Institut Français d’Alger le samedi 25 mars à 11h, en présence des lauréats et de leurs familles.

L’édition 2017 portait sur le thème de la protection de l’environnement et du développement durable : “J’ai carte blanche pour embellir mon quartier/mon village/ ma ville”.

 

Le concours était ouvert aux jeunes âgés de 15 à 25 ans et résidents en Algérie.

 

Les critères d'évaluation étaient les suivants: 

  • respect de la thématique et du format attendu
  • respect des règles syntaxiques et orthographiques de la langue française
  • originalité de l’approche et qualité de l’écriture

 

Une première sélection a été proposée par les responsables et des enseignants du Département de langue française de l’IFA. La sélection définitive et le choix des lauréats ont été effectués par un jury regroupant les représentants officiels des pays participants.

 

Les lauréats

  • M.Hammou ISSAD: 22 ans - Tizi Ouzou -> 1er prix ex aequo
  • Mme Nabila RABAH: 21 ans - Ain Témouchent (Oran) -> 1er prix ex aequo
  • M. Djamil CHAKALI: 23 ans - Blida -> 2ème prix
  • Mme Alyssa BOUTNAF: 15 ans - Bir Khadem Alger -> 3ème prix
  • M. Aïmen LAIHEM: 18 ans - Kouba Alger -> 4ème prix
  • Mme Daya Fatma-Zohra ABED: 16 ans - Bach Djerrah Alger -> 5ème prix
  • Mme Hala FENNOUCHE: 17 ans - Annaba -> « prix du jury »

 

Les gagnants du concours d’écriture se voient offrir un prix d’une valeur conséquente de la part de chaque ambassade et délégation représentées.

 

La cérémonie officielle de remise des prix a lieu à l’Institut Français d’Alger le samedi 25 mars à 11h, en présence des lauréats et de leurs familles.

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Anne Lenoir, Directrice du Centre Wallonie-Bruxelles, Renette Désir, Fabian Fiorini, Fabienne Reuter, Déléguée générale Wallonie-Bruxelles

A l’initiative du Centre culturel Wallonie-Bruxelles à Paris et en collaboration avec la Délégation générale Wallonie-Bruxelles, un superbe concert de Renette DESIR et Fabian FIORINI a marqué la Journée internationale de la Francophonie et le 20è anniversaire des relations bilatérales entre la Wallonie, la Fédération Wallonie-Bruxelles et la République d’Haïti.

 

Ce concert, placé sous le haut patronage de la Secrétaire Générale de la Francophonie, a bénéficié de la présence de S.E. Madame Vanessa LAMOTHE MATIGNON, Ambassadeur d’Haïti en France.

A l’initiative du Centre culturel Wallonie-Bruxelles à Paris et en collaboration avec la Délégation générale Wallonie-Bruxelles, un superbe concert de Renette DESIR et Fabian FIORINI a marqué la Journée internationale de la Francophonie et le 20è anniversaire des relations bilatérales entre la Wallonie, la Fédération Wallonie-Bruxelles et la République d’Haïti.

 

Ce concert, placé sous le haut patronage de la Secrétaire Générale de la Francophonie, a bénéficié de la présence de S.E. Madame Vanessa LAMOTHE MATIGNON, Ambassadeur d’Haïti en France.

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Monsieur Christian Carette et Madame Françoise Wuilmart (c) J. Van Belle - WBI

La Faculté ‘Blaze Koneski’ de l’université ‘Saints Cyrille et Méthode’ à Skopje (Macédoine) a remis à Mme Françoise Wuilmart, ambassadrice WBI, une plaque d'honneur et de mérite pour la contribution de WBI au développement des études de langue française et de littératures française et francophone auprès du Département de langues et littératures romanes.

 

Cette reconnaissance a été attribuée à WBI lors d'un colloque international ayant pour thème "Le même, le semblable et le différent au sein de la langue, de la littérature et de la culture dans les pays francophones".

 

Mme Wuilmart, professeur retraité de l'ISTI, était invitée à ce colloque en tant que membre du jury scientifique, ainsi que comme oratrice de la séance plénière. Elle est en outre une représentante de la langue française au niveau de l'UE et de la Francophonie.

 

Après avoir réceptionné cette plaque d'honneur au nom de WBI en Macédoine, Mme Wuilmart est venue la remettre dans les locaux de WBI, aux mains de Mr Christian Carette, en janvier dernier.

La Faculté ‘Blaze Koneski’ de l’université ‘Saints Cyrille et Méthode’ à Skopje (Macédoine) a remis à Mme Françoise Wuilmart, ambassadrice WBI, une plaque d'honneur et de mérite pour la contribution de WBI au développement des études de langue française et de littératures française et francophone auprès du Département de langues et littératures romanes.

 

Cette reconnaissance a été attribuée à WBI lors d'un colloque international ayant pour thème "Le même, le semblable et le différent au sein de la langue, de la littérature et de la culture dans les pays francophones".

 

Mme Wuilmart, professeur retraité de l'ISTI, était invitée à ce colloque en tant que membre du jury scientifique, ainsi que comme oratrice de la séance plénière. Elle est en outre une représentante de la langue française au niveau de l'UE et de la Francophonie.

 

Après avoir réceptionné cette plaque d'honneur au nom de WBI en Macédoine, Mme Wuilmart est venue la remettre dans les locaux de WBI, aux mains de Mr Christian Carette, en janvier dernier.

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20 ans de coopération avec Haïti

Le contexte difficile lié à des crises politiques et des catastrophes naturelles qui ont traversé le pays - dont le terrible séisme de 2010 - rendent les besoins des citoyens criants. Grâce au soutien de la communauté internationale dont celui de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Wallonie, plusieurs programmes ont pu être concrétisés avec succès au profit de la population haïtiennes qui se relève doucement de ces terribles épreuves.

 

Pour la Fédération Wallonie-Bruxelles, les projets soutenus ont essentiellement porté sur:

  • Le renforcement des capacités de l’Etat, particulièrement en matière de politiques en faveur de la Jeunesse,
  • Le développement local à travers la formation de fonctionnaires appelés à soutenir et encadrer les initiatives de développement,
  • Les échanges culturels, le soutien aux artistes haïtiens, la fourniture d’ouvrages dans les bibliothèques,
  • Un échange d’expertise portant sur l'organisation de services médicaux de proximité,
  • Le soutien apporté à l’Université d’Etat d’Haïti pour la relance de ses activités et des unités de recherche.


Pour la Wallonie:

  • La protection de l’environnement dont la formation et l’encadrement à la gestion biologique des décharges (avec le concours de l’APEFE), les énergies renouvelables,
  • Le secteur des transports, mise en place de formation pour agents publics orientés vers le contrôle des chantiers et des installations et la sécurité routière,
  • La formation professionnelle et technique et l’insertion des jeunes,
  • La mise en place d’un programme de formation d’artisans pour la réhabilitation de maisons traditionnelles en bois en collaboration avec l’Institut du Patrimoine wallon,
  • Le soutien à un programme de formation en santé sexuelle et reproductive.

Une année Haïti

Pour célébrer ce 20è anniversaire, des activités seront programmées en Wallonie, à Bruxelles mais également en Haïti afin de souligner l’importance de cette coopération, au travers notamment de rencontres artistiques, d’un forum sur la problématique de l’insertion scolaire des enfants en situation de rue, d’une rencontre sur les médias et la démocratie, ou encore un colloque sur le rôle des organisations civiles sur le devenir du pays.

 

Découvrez le programme complet des festivités ci-dessous !

 


 

Le contexte difficile lié à des crises politiques et des catastrophes naturelles qui ont traversé le pays - dont le terrible séisme de 2010 - rendent les besoins des citoyens criants. Grâce au soutien de la communauté internationale dont celui de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Wallonie, plusieurs programmes ont pu être concrétisés avec succès au profit de la population haïtiennes qui se relève doucement de ces terribles épreuves.

 

Pour la Fédération Wallonie-Bruxelles, les projets soutenus ont essentiellement porté sur:

  • Le renforcement des capacités de l’Etat, particulièrement en matière de politiques en faveur de la Jeunesse,
  • Le développement local à travers la formation de fonctionnaires appelés à soutenir et encadrer les initiatives de développement,
  • Les échanges culturels, le soutien aux artistes haïtiens, la fourniture d’ouvrages dans les bibliothèques,
  • Un échange d’expertise portant sur l'organisation de services médicaux de proximité,
  • Le soutien apporté à l’Université d’Etat d’Haïti pour la relance de ses activités et des unités de recherche.


Pour la Wallonie:

  • La protection de l’environnement dont la formation et l’encadrement à la gestion biologique des décharges (avec le concours de l’APEFE), les énergies renouvelables,
  • Le secteur des transports, mise en place de formation pour agents publics orientés vers le contrôle des chantiers et des installations et la sécurité routière,
  • La formation professionnelle et technique et l’insertion des jeunes,
  • La mise en place d’un programme de formation d’artisans pour la réhabilitation de maisons traditionnelles en bois en collaboration avec l’Institut du Patrimoine wallon,
  • Le soutien à un programme de formation en santé sexuelle et reproductive.

Une année Haïti

Pour célébrer ce 20è anniversaire, des activités seront programmées en Wallonie, à Bruxelles mais également en Haïti afin de souligner l’importance de cette coopération, au travers notamment de rencontres artistiques, d’un forum sur la problématique de l’insertion scolaire des enfants en situation de rue, d’une rencontre sur les médias et la démocratie, ou encore un colloque sur le rôle des organisations civiles sur le devenir du pays.

 

Découvrez le programme complet des festivités ci-dessous !

 


 

Documents liés

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(c) Krjst

Gribouillages artistiques

A peine sorties de la Cambre, Erika Schillebeeckx et Justine de Moriamé lancent Krjst, une marque de vêtements qui, d'emblée, joue la carte du croisement des genres, des prints inspirés et des ponts vers l'art contemporain.

 

Dès 2012, le duo s'inscrit dans le système des collections et des présentations saisonnières lors des fashion weeks avant de finalement prendre un autre chemin, davantage en phase avec leurs aspirations profondes. En s'écartant des modèles rigides imposés par le secteur, Erika et Justine auraient pu se fermer toutes les portes. C'est le contraire qui se produit. Par la magie des réseaux sociaux, leur petit studio bruxellois séduit des marques aussi différentes que Eastpak, Mc Alson ou encore Huawei. De ces rencontres naissent des produits de consommation atypiques et ludiques: prints pour sacs à dos et dessous masculins ou encore fond d'écran pour téléphone portable. Le point commun entre ces projets: une identité forte incarnée par un duo de "gribouilleuses" bien décidées à pousser toujours plus loin leurs recherches graphiques et techniques en y intégrant l'art, l'artisanat et les nouvelles technologies.

 

En 5 ans, soutenues par des artistes free lance (dont le photographe Sebastien Delahaye qui signe les images du studio et Carol Laurent, en charge du développement de projets), Erika et Justine ont construit un concept cohérent. Regrettent-elles leur passage par la filière classique du secteur textile? Visiblement non. Elles voient cette parenthèse d'environ 2 ans comme une expérience de vie, une  occasion de redéfinir leur concept et de se rapprocher de leurs aspirations premières.

 

Bouchery & Inri

Parce qu'elles se laissent le temps de créer et d'explorer de nouvelles pistes (l'impression, le tissage, la création d'images, la scénographie...), les filles de Krjst ont croisé la route d'ateliers ou de signatures en phase avec leur approche durable du produit. Derniers exemples en date: une collaboration avec N. Vrouyr, un fabricant de tapis artisanal basé à Anvers qui a donné naissance à deux modèles sublimes, préludes - on l'espère - à une collaboration pérenne ou encore une installation sous la forme d'un triptyque tissé imaginée pour le restaurant bruxellois Bouchery.

 

Ces pas de côté ont-ils définitivement détourné Erika et Justine du vêtement? Pas tout à fait. Sur le site du studio, une petite dizaine de modèles d'archive (manteaux tissés, chemise ou foulard imprimé) sont proposés sur commande uniquement et en éditions limitées. Une manière de souligner le caractère non-éphémère de ces bijoux textiles et de préparer, sur la pointe des pieds, le lancement en avril prochain d'Inri, une capsule de vêtements mixtes et 'no season'. Quant au mode de distribution de ce projet, le trio souhaite le limiter à une boutique en ligne et à une présence dans quelques boutiques "vitrine" tant en Belgique qu'à l'étranger.

 

Le mot d'ordre du studio: authenticité, une valeur qui se traduit par un savant jeu d'équilibriste entre art et mode, artisanat et innovation. Si ce positionnement n'est pas toujours compris par le public et les professionnels du secteur, Erika et Justine ne s'en inquiètent pas vraiment. Le moins que l'on puisse dire, c'est que la lenteur - et surtout la patience - sont des valeurs qui leur vont comme un gant.

 

Par Marie Honnay

 

Retrouvez les services offerts par WBDM.

Gribouillages artistiques

A peine sorties de la Cambre, Erika Schillebeeckx et Justine de Moriamé lancent Krjst, une marque de vêtements qui, d'emblée, joue la carte du croisement des genres, des prints inspirés et des ponts vers l'art contemporain.

 

Dès 2012, le duo s'inscrit dans le système des collections et des présentations saisonnières lors des fashion weeks avant de finalement prendre un autre chemin, davantage en phase avec leurs aspirations profondes. En s'écartant des modèles rigides imposés par le secteur, Erika et Justine auraient pu se fermer toutes les portes. C'est le contraire qui se produit. Par la magie des réseaux sociaux, leur petit studio bruxellois séduit des marques aussi différentes que Eastpak, Mc Alson ou encore Huawei. De ces rencontres naissent des produits de consommation atypiques et ludiques: prints pour sacs à dos et dessous masculins ou encore fond d'écran pour téléphone portable. Le point commun entre ces projets: une identité forte incarnée par un duo de "gribouilleuses" bien décidées à pousser toujours plus loin leurs recherches graphiques et techniques en y intégrant l'art, l'artisanat et les nouvelles technologies.

 

En 5 ans, soutenues par des artistes free lance (dont le photographe Sebastien Delahaye qui signe les images du studio et Carol Laurent, en charge du développement de projets), Erika et Justine ont construit un concept cohérent. Regrettent-elles leur passage par la filière classique du secteur textile? Visiblement non. Elles voient cette parenthèse d'environ 2 ans comme une expérience de vie, une  occasion de redéfinir leur concept et de se rapprocher de leurs aspirations premières.

 

Bouchery & Inri

Parce qu'elles se laissent le temps de créer et d'explorer de nouvelles pistes (l'impression, le tissage, la création d'images, la scénographie...), les filles de Krjst ont croisé la route d'ateliers ou de signatures en phase avec leur approche durable du produit. Derniers exemples en date: une collaboration avec N. Vrouyr, un fabricant de tapis artisanal basé à Anvers qui a donné naissance à deux modèles sublimes, préludes - on l'espère - à une collaboration pérenne ou encore une installation sous la forme d'un triptyque tissé imaginée pour le restaurant bruxellois Bouchery.

 

Ces pas de côté ont-ils définitivement détourné Erika et Justine du vêtement? Pas tout à fait. Sur le site du studio, une petite dizaine de modèles d'archive (manteaux tissés, chemise ou foulard imprimé) sont proposés sur commande uniquement et en éditions limitées. Une manière de souligner le caractère non-éphémère de ces bijoux textiles et de préparer, sur la pointe des pieds, le lancement en avril prochain d'Inri, une capsule de vêtements mixtes et 'no season'. Quant au mode de distribution de ce projet, le trio souhaite le limiter à une boutique en ligne et à une présence dans quelques boutiques "vitrine" tant en Belgique qu'à l'étranger.

 

Le mot d'ordre du studio: authenticité, une valeur qui se traduit par un savant jeu d'équilibriste entre art et mode, artisanat et innovation. Si ce positionnement n'est pas toujours compris par le public et les professionnels du secteur, Erika et Justine ne s'en inquiètent pas vraiment. Le moins que l'on puisse dire, c'est que la lenteur - et surtout la patience - sont des valeurs qui leur vont comme un gant.

 

Par Marie Honnay

 

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(c) Fotolia

Les citoyens de 38 pays d'Europe, d'Amérique, d'Asie et d'Asie centrale peuvent se porter candidats pour obtenir des bourses d'études ou de recherches dans des établissements d'enseignement supérieur ou des institutions scientifiques lettones. Un certain nombre de programmes d'enseignement supérieur sont disponibles en anglais et en letton.

 

La date limite de dépôt des candidatures est le 1er avril.

 

Attention: l'Agence nationale de développement de l'éducation a mis au point un système d'application électronique, les candidatures ne peuvent être soumises que par ce biais.

 

Tous les renseignements pertinents sont disponibles sur le site web de l'Agence nationale de développement de l'éducation.

 

L'information sur les programmes d'étude disponibles en Lettonie est énumérée ici.

 

Si vous avez des questions, n'hésitez pas à nous contacter par e-mail: scholarships@viaa.gov.lv 

Les citoyens de 38 pays d'Europe, d'Amérique, d'Asie et d'Asie centrale peuvent se porter candidats pour obtenir des bourses d'études ou de recherches dans des établissements d'enseignement supérieur ou des institutions scientifiques lettones. Un certain nombre de programmes d'enseignement supérieur sont disponibles en anglais et en letton.

 

La date limite de dépôt des candidatures est le 1er avril.

 

Attention: l'Agence nationale de développement de l'éducation a mis au point un système d'application électronique, les candidatures ne peuvent être soumises que par ce biais.

 

Tous les renseignements pertinents sont disponibles sur le site web de l'Agence nationale de développement de l'éducation.

 

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(c) J. Van Belle - WBI

Etudiants, jeunes engagés dans la vie active, professionnelle, associative. Peu importe. ce numéro spécial, nous l'avons conçu pour vous.

En ces temps où l'histoire semble avoir enclenché la marche arrière, où les discours de repli sur soi et d'intolérance - voire de racisme et de haine - paraissent devenir la norme, nous avons voulu partager, au contraire, des témoignages d'espoir, de générosité, d'ouverture aux autres et de foi dans le progrès humain. Ce sont aussi vos aspirations. Cela tombe bien.

Comme Francophones, un espace - celui de la Fédération Wallonie-Bruxelles - vous est ouvert, à travers notamment le foisonnement d'une vie culturelle et sportive faite d'échanges et de découvertes.

Mais - le saviez-vous? - cet espace est bien plus large. Le monde francophone s'étend sur tous les continents, offre un champ de possibilités méconnu. La pratique commune d'une langue - le français - ouvre en effet un univers de rencontres et d'expériences dont vous n'aviez peut-être pas connaissance. Au sein de la Francophonie, à travers sa participation à nombre de programmes visant, par exemple, au développement éducatif, la Fédération Wallonie-Bruxelles joue un rôle majeur. Elle est ainsi très attentive à la condition de la femme et notamment à son implication dans les processus de production économiques.

Vous l'avez compris: vous ne trouverez ici aucune incitation à construire des murs entre les peuples ni les cultures. Au sein du monde francophone, c'est à la connaissance des autres que nous vous invitons. 

 

Au programme

  • Introduction
  • Repères
  • Génération citoyenne: Pour les jeunes et par les jeunes
  • Langue française: Pour que le français se renforce et rayonne
  • Développement durable: Le développement durable au service de la paix
  • Carte de la Francophonie
  • Culture: La Culture (et le sport), au coeur de la Francophonie depuis toujours
  • Enseignement et recherche: Enseignement supérieur: une chaîne Nord-Sud
  • Entreprenariat des jeunes: L'entreprenariat des jeunes, pivot de l'avenir
  • Formation technique et professionnelle: Miser sur les savoir-faire locaux
  • Brèves

 

 

 

Etudiants, jeunes engagés dans la vie active, professionnelle, associative. Peu importe. ce numéro spécial, nous l'avons conçu pour vous.

En ces temps où l'histoire semble avoir enclenché la marche arrière, où les discours de repli sur soi et d'intolérance - voire de racisme et de haine - paraissent devenir la norme, nous avons voulu partager, au contraire, des témoignages d'espoir, de générosité, d'ouverture aux autres et de foi dans le progrès humain. Ce sont aussi vos aspirations. Cela tombe bien.

Comme Francophones, un espace - celui de la Fédération Wallonie-Bruxelles - vous est ouvert, à travers notamment le foisonnement d'une vie culturelle et sportive faite d'échanges et de découvertes.

Mais - le saviez-vous? - cet espace est bien plus large. Le monde francophone s'étend sur tous les continents, offre un champ de possibilités méconnu. La pratique commune d'une langue - le français - ouvre en effet un univers de rencontres et d'expériences dont vous n'aviez peut-être pas connaissance. Au sein de la Francophonie, à travers sa participation à nombre de programmes visant, par exemple, au développement éducatif, la Fédération Wallonie-Bruxelles joue un rôle majeur. Elle est ainsi très attentive à la condition de la femme et notamment à son implication dans les processus de production économiques.

Vous l'avez compris: vous ne trouverez ici aucune incitation à construire des murs entre les peuples ni les cultures. Au sein du monde francophone, c'est à la connaissance des autres que nous vous invitons. 

 

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