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La Fondation Anna Lindh (FAL) favorise des échanges interculturels et des projets communs entre organisations de la société civile des 42 pays de la région euro-méditerranéenne. Ce réseau regroupe des organisations actives dans les domaines de l’enseignement, la culture et les médias.

 

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Au programme

  • Activités festives
    Différents espaces publiques seront investi pour permettre aux artistes venus des réseaux participants d'exposer leurs productions et d'interagir avec la population. Au menu et selon propositions des réseaux, du théâtre, de la vidéo, du cinéma, des expositions d'arts plastiques, des spectacles de rue, du chant et autres. En parallèle seront proposés des ateliers d'initiation au bénéfice de la population et des associations locales.
     
  • Activités de réflexion
    Espace dédié à la pensée : les artistes, les critiques d'art et autres hommes et femmes des sciences sociales seront invité à réfléchir sur la place de l'art dans la conduite des changements sociaux et de l'émergence d'une citoyenneté active. 
     
  • Networking
    Nos réseaux recèlent de richesses inégalées d'expériences produites par nos membres respectifs qui ont besoin à la fois d'ouverture et de visibilité. L'action commune inter réseaux est de nature à produire l'opportunité de rencontres et l'occasion d'échanges. Un espace sera dédié au réseautage permettant d'aider à l'amorce de synergies entre les membres des réseaux partenaires de l'action. 

 

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Dates et lieu

L’arrivée est prévue pour le 9 avril et le départ le 14 avril. L’action commune Inter Réseaux a lieu du 10 au 13 Avril 2014, à Taroudant au Maroc.

 

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Objectifs de l'action commune

  • Promouvoir le multiculturalisme à travers l'art ; 
  • Encourager le networking et les co-productions entre membres respectifs des réseaux FAL; 
  • Promouvoir les formes et les expressions d'art euro-méditerranéen; 
  • Engager les populations dans une citoyenneté active; 
  • Donner de la visibilité aux actions de la FAL; 
  • Développer et partager les meilleures pratiques en ce qui concerne le rôle de l'art dans les processus de changement social dans les pays euro-méditerranéens.

 

Le formulaire d'inscription doit être envoyé à l'adresse mail suivante m.goetinck@medea.be pour le 22 janvier.

 

Pour en savoir plus : Réseau belge Fondation Anna Lindh

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La Fondation Anna Lindh (FAL) favorise des échanges interculturels et des projets communs entre organisations de la société civile des 42 pays de la région euro-méditerranéenne. Ce réseau regroupe des organisations actives dans les domaines de l’enseignement, la culture et les médias.

 

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Au programme

  • Activités festives
    Différents espaces publiques seront investi pour permettre aux artistes venus des réseaux participants d'exposer leurs productions et d'interagir avec la population. Au menu et selon propositions des réseaux, du théâtre, de la vidéo, du cinéma, des expositions d'arts plastiques, des spectacles de rue, du chant et autres. En parallèle seront proposés des ateliers d'initiation au bénéfice de la population et des associations locales.
     
  • Activités de réflexion
    Espace dédié à la pensée : les artistes, les critiques d'art et autres hommes et femmes des sciences sociales seront invité à réfléchir sur la place de l'art dans la conduite des changements sociaux et de l'émergence d'une citoyenneté active. 
     
  • Networking
    Nos réseaux recèlent de richesses inégalées d'expériences produites par nos membres respectifs qui ont besoin à la fois d'ouverture et de visibilité. L'action commune inter réseaux est de nature à produire l'opportunité de rencontres et l'occasion d'échanges. Un espace sera dédié au réseautage permettant d'aider à l'amorce de synergies entre les membres des réseaux partenaires de l'action. 

 

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Dates et lieu

L’arrivée est prévue pour le 9 avril et le départ le 14 avril. L’action commune Inter Réseaux a lieu du 10 au 13 Avril 2014, à Taroudant au Maroc.

 

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Objectifs de l'action commune

  • Promouvoir le multiculturalisme à travers l'art ; 
  • Encourager le networking et les co-productions entre membres respectifs des réseaux FAL; 
  • Promouvoir les formes et les expressions d'art euro-méditerranéen; 
  • Engager les populations dans une citoyenneté active; 
  • Donner de la visibilité aux actions de la FAL; 
  • Développer et partager les meilleures pratiques en ce qui concerne le rôle de l'art dans les processus de changement social dans les pays euro-méditerranéens.

 

Le formulaire d'inscription doit être envoyé à l'adresse mail suivante m.goetinck@medea.be pour le 22 janvier.

 

Pour en savoir plus : Réseau belge Fondation Anna Lindh

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La revue l'Année francophone internationale 2013-2014

La 22ème édition de "L’Année Francophone Internationale"  (AFI) a été présentée le 10 janvier 2014 à Wallonie-Bruxelles International en présence de Charles Moumouni son directeur. Cet ouvrage apporte chaque année une information complète, détaillée et actualisée des 77 Etats et gouvernements membres de l’espace francophone. A partir du travail d'une centaine de collaborateurs dans le monde, L’Année francophone internationale présente également des tableaux comparatifs synthétiques sur l’espace francophone par zone géographique : Afrique subsaharienne, Amérique du Nord, Asie du sud-est, Caraïbes, Europe, Maghreb, Océan Indien, Proche-Orient et Zone Pacifique. Ils portent sur la politique, l'économie, la société, la culture – avec une section littérature - et sur la science.
Ces 370 pages s'adressent aux professionnels qui œuvrent dans les relations internationales, aux enseignants, aux chercheurs, aux étudiants, aux décideurs politiques et au grand public qui cherchent à s'informer sur l'évolution du monde contemporain. Un indispensable outil d'information sur la francophonie vivante et unique en son genre.

Lancement de l'AFI 2013-2014

Philippe Suinen, administrateur général de WBI, en préambule a rappelé l'ambition de WBI : promouvoir la langue française, la diversité culturelle, la paix et la démocratie, l'éducation ou encore le développement durable et la coopération économique.  Ensuite, Charles Moumouni, directeur   de l'AFI, a rappelé l'origine de la revue et a évoqué ses 20 ans d'existence. Claude Condé, directeur AUF-bureau Europe de l'Ouest a défini les missions de l'Agence universitaire de la Francophonie. Jean-François Raskin, administrateur général de l'Institut des Hautes Etudes des communications sociales (IHECS) Bruxelles a présenté le Réseau Théophraste (réseau de centres francophones de formation au jounalisme). Arnaud Galy, directeur du magazine français ZigZag, rédacteur en chef de l'AFI a présenté les défis de chaque responsable d'articles, de dossiers.

Laurence Boudart a représenté les Archives et Musée de la Littérature (AML) plus particulièrement son directeur Marc Quaghebeur retenu à l'étranger, qui collabore à la revue depuis 23 ans. Edgar Fonck, président de l'Association pour la Promotion de la Francophonie en Flandre a fait le point sur la question. Anicet Mobe, membre du conseil d'administration de l'AFI et par ailleurs coordonnateur des dossiers Césaire et Universités francophones a évoqué la composition des dossiers thématiques.  Un dossier important est consacré aux 30 ans de coopération entre Wallonie-Bruxelles et le Québec.

 

Pour se procurer l'ouvrage :  L'année francophone internationale" est disponible auprès de l'École supérieure de journalisme de Lille (ESJ PRO) et le sera prochainement chez le distributeur "La documentation française".

La 22ème édition de "L’Année Francophone Internationale"  (AFI) a été présentée le 10 janvier 2014 à Wallonie-Bruxelles International en présence de Charles Moumouni son directeur. Cet ouvrage apporte chaque année une information complète, détaillée et actualisée des 77 Etats et gouvernements membres de l’espace francophone. A partir du travail d'une centaine de collaborateurs dans le monde, L’Année francophone internationale présente également des tableaux comparatifs synthétiques sur l’espace francophone par zone géographique : Afrique subsaharienne, Amérique du Nord, Asie du sud-est, Caraïbes, Europe, Maghreb, Océan Indien, Proche-Orient et Zone Pacifique. Ils portent sur la politique, l'économie, la société, la culture – avec une section littérature - et sur la science.
Ces 370 pages s'adressent aux professionnels qui œuvrent dans les relations internationales, aux enseignants, aux chercheurs, aux étudiants, aux décideurs politiques et au grand public qui cherchent à s'informer sur l'évolution du monde contemporain. Un indispensable outil d'information sur la francophonie vivante et unique en son genre.

Lancement de l'AFI 2013-2014

Philippe Suinen, administrateur général de WBI, en préambule a rappelé l'ambition de WBI : promouvoir la langue française, la diversité culturelle, la paix et la démocratie, l'éducation ou encore le développement durable et la coopération économique.  Ensuite, Charles Moumouni, directeur   de l'AFI, a rappelé l'origine de la revue et a évoqué ses 20 ans d'existence. Claude Condé, directeur AUF-bureau Europe de l'Ouest a défini les missions de l'Agence universitaire de la Francophonie. Jean-François Raskin, administrateur général de l'Institut des Hautes Etudes des communications sociales (IHECS) Bruxelles a présenté le Réseau Théophraste (réseau de centres francophones de formation au jounalisme). Arnaud Galy, directeur du magazine français ZigZag, rédacteur en chef de l'AFI a présenté les défis de chaque responsable d'articles, de dossiers.

Laurence Boudart a représenté les Archives et Musée de la Littérature (AML) plus particulièrement son directeur Marc Quaghebeur retenu à l'étranger, qui collabore à la revue depuis 23 ans. Edgar Fonck, président de l'Association pour la Promotion de la Francophonie en Flandre a fait le point sur la question. Anicet Mobe, membre du conseil d'administration de l'AFI et par ailleurs coordonnateur des dossiers Césaire et Universités francophones a évoqué la composition des dossiers thématiques.  Un dossier important est consacré aux 30 ans de coopération entre Wallonie-Bruxelles et le Québec.

 

Pour se procurer l'ouvrage :  L'année francophone internationale" est disponible auprès de l'École supérieure de journalisme de Lille (ESJ PRO) et le sera prochainement chez le distributeur "La documentation française".

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Prix annuel Louis d'Hainaut 2014

 

L’université de Mons et l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF), à travers son Institut de la Francophonie pour l’ingénierie de la connaissance et la formation à distance (IFIC), s’associent pour décerner le Prix Louis D’Hainaut de la meilleure thèse de doctorat en technologie éducative. Ce prix est annuel et sera délivré pour la première fois au mois de mai 2014. Il est réservé à un docteur ressortissant d’un pays du Sud dont la thèse a été soutenue il y a moins de 3 ans. Le Prix a une vocation internationale et est ouvert à tout chercheur du Sud ayant obtenu une thèse de doctorat au sein d’une institution membre du réseau de l’AUF (du Nord comme du Sud).

Le sujet de cette thèse doit impérativement porter sur l’usage des technologies en éducation, indépendamment de la discipline d’appartenance, et doit constituer un apport à l’évolution des connaissances scientifiques dans le domaine.

 

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Les récompenses :

  • une somme de 2 500 €, versée par le Fonds Louis D’Hainaut créé à l’Université de Mons ;
  • la prise en charge par l’IFIC d’un voyage et d’un séjour de 5 jours au moment de la remise du Prix. Ce dernier est décerné à l’occasion d’une manifestation scientifique durant laquelle le lauréat sera honoré.
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Les conditions de candidature  :

  •  Etre ressortissant d’un pays du Sud (vous pouvez résider dans un pays du Nord) ;
  •  Avoir obtenu sa thèse depuis au plus 3 ans (entre le 1er janvier 2011 et la date de clôture de cet appel) ;
  •  Avoir rédigé sa thèse en français ;
  • formulaire de candidature.

 

La date de clôture de l’appel est fixée au 1er février 2014. Cette initiative a pour objet à la fois d’honorer la mémoire du professeur Louis D’Hainaut et de stimuler la recherche en technologie de l’éducation dans les pays du Sud. Le professeur Louis D’Hainaut a consacré sa carrière à diffuser dans le monde francophone les concepts et les méthodologies de la recherche en technologie éducative. Il a en outre été un acteur important sur la scène internationale en matière d’appui éducatif aux pays en développement et, a participé, à ce titre, à de nombreuses initiatives en vue d’améliorer l’éducation en Afrique.

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Prix annuel Louis d'Hainaut 2014

 

L’université de Mons et l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF), à travers son Institut de la Francophonie pour l’ingénierie de la connaissance et la formation à distance (IFIC), s’associent pour décerner le Prix Louis D’Hainaut de la meilleure thèse de doctorat en technologie éducative. Ce prix est annuel et sera délivré pour la première fois au mois de mai 2014. Il est réservé à un docteur ressortissant d’un pays du Sud dont la thèse a été soutenue il y a moins de 3 ans. Le Prix a une vocation internationale et est ouvert à tout chercheur du Sud ayant obtenu une thèse de doctorat au sein d’une institution membre du réseau de l’AUF (du Nord comme du Sud).

Le sujet de cette thèse doit impérativement porter sur l’usage des technologies en éducation, indépendamment de la discipline d’appartenance, et doit constituer un apport à l’évolution des connaissances scientifiques dans le domaine.

 

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Les récompenses :

  • une somme de 2 500 €, versée par le Fonds Louis D’Hainaut créé à l’Université de Mons ;
  • la prise en charge par l’IFIC d’un voyage et d’un séjour de 5 jours au moment de la remise du Prix. Ce dernier est décerné à l’occasion d’une manifestation scientifique durant laquelle le lauréat sera honoré.
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Les conditions de candidature  :

  •  Etre ressortissant d’un pays du Sud (vous pouvez résider dans un pays du Nord) ;
  •  Avoir obtenu sa thèse depuis au plus 3 ans (entre le 1er janvier 2011 et la date de clôture de cet appel) ;
  •  Avoir rédigé sa thèse en français ;
  • formulaire de candidature.

 

La date de clôture de l’appel est fixée au 1er février 2014. Cette initiative a pour objet à la fois d’honorer la mémoire du professeur Louis D’Hainaut et de stimuler la recherche en technologie de l’éducation dans les pays du Sud. Le professeur Louis D’Hainaut a consacré sa carrière à diffuser dans le monde francophone les concepts et les méthodologies de la recherche en technologie éducative. Il a en outre été un acteur important sur la scène internationale en matière d’appui éducatif aux pays en développement et, a participé, à ce titre, à de nombreuses initiatives en vue d’améliorer l’éducation en Afrique.

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Marcel Mariën : l'Introuvable
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Un surréalisme différent

 

 

 

 

L'exposition "Abécédaire du Surréalisme" témoigne de l'originalité d'un mouvement aux ressources infinies à travers la valorisation inédite en France de la richesse et de la diversité des collections de la Province de Hainaut, de la ville de La Louvière et du Centre de la Gravure et de l'Image imprimée. Xavier Canonne assure le Commissariat de l'exposition présentée au Centre Wallonie-Bruxelles à Paris.

 

En octobre 1935, la petite cité industrielle de La Louvière accueillit durant 15 jours l'Exposition surréaliste , manifestation de caractère international qui marqua profondément le milieu artistique de la ville, la liant définitivement au mouvement surréaliste, à l'égal de Paris ou de Bruxelles. Un an auparavant, La Louvière avait connu la fondation du groupe Rupture, premier groupe surréaliste né hors d'une capitale. Il était composé d'Achille Chavée, André Lorent, Albert Ludé et Marcel Parfondry. Ce collectif recevra l'aide de René Magritte et de E.L.T.Mesens plus particulièrement, pour organiser cette Exposition surréaliste qui vit exposées parmi les plus belles oeuvres d'artistes aujourd'hui renommés, tels Dali, Mirõ, Ernst, Magritte ou Man Ray.

 

Cet état d'esprit surréaliste a marqué les collections  des institutions publiques  à la Louvière qui en ont gardé la trace, conservant ainsi des oeuvres et des documents importants, témoignages d'une activité artistique régionale autant qu'internationale.

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Cinéma et surréalisme 

En parallèle, un programme d'événements rend hommage au surréalisme : projections, ciné-concerts, lecture de textes, conférence.
Dès la fin des années 1920, le cinéma belge connaît des débuts éclatants grâce aux deux pionniers, qui seront aussi virtuoses du cinéma surréaliste et d’avant-garde: Henri Storck et Charles Dekeukeleire. Suivront bientôt des œuvres uniques, majeures, d’artistes surréalistes tels que Henri d’Ursel, Ernst Moerman ou plus tard Marcel Mariën.

Le Centre Wallonie-Bruxelles est heureux de présenter à Paris ces chefs-d’oeuvre du cinéma surréaliste muet, en ciné-concert. D’abord, en février, accompagnés par Daniel Schell à la tape-guitare et Tomonori Takeda à la clarinette puis, en mars, au piano, par cinq élèves de la classe d’improvisation de Jean-François Zygel au Conservatoire de Paris.

Cette programmation est complétée par des films d’art et sur l’art, autour d’artistes tels que René Magritte, Pierre Alechinsky et Pol Bury, avec un film inédit. En outre, cet état d’esprit surréaliste se prolonge encore dans la création contemporaine, à l’image d’Hélène Cattet et Bruno Forzani.

 

Dossier de presse

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Un surréalisme différent

 

 

 

 

L'exposition "Abécédaire du Surréalisme" témoigne de l'originalité d'un mouvement aux ressources infinies à travers la valorisation inédite en France de la richesse et de la diversité des collections de la Province de Hainaut, de la ville de La Louvière et du Centre de la Gravure et de l'Image imprimée. Xavier Canonne assure le Commissariat de l'exposition présentée au Centre Wallonie-Bruxelles à Paris.

 

En octobre 1935, la petite cité industrielle de La Louvière accueillit durant 15 jours l'Exposition surréaliste , manifestation de caractère international qui marqua profondément le milieu artistique de la ville, la liant définitivement au mouvement surréaliste, à l'égal de Paris ou de Bruxelles. Un an auparavant, La Louvière avait connu la fondation du groupe Rupture, premier groupe surréaliste né hors d'une capitale. Il était composé d'Achille Chavée, André Lorent, Albert Ludé et Marcel Parfondry. Ce collectif recevra l'aide de René Magritte et de E.L.T.Mesens plus particulièrement, pour organiser cette Exposition surréaliste qui vit exposées parmi les plus belles oeuvres d'artistes aujourd'hui renommés, tels Dali, Mirõ, Ernst, Magritte ou Man Ray.

 

Cet état d'esprit surréaliste a marqué les collections  des institutions publiques  à la Louvière qui en ont gardé la trace, conservant ainsi des oeuvres et des documents importants, témoignages d'une activité artistique régionale autant qu'internationale.

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Cinéma et surréalisme 

En parallèle, un programme d'événements rend hommage au surréalisme : projections, ciné-concerts, lecture de textes, conférence.
Dès la fin des années 1920, le cinéma belge connaît des débuts éclatants grâce aux deux pionniers, qui seront aussi virtuoses du cinéma surréaliste et d’avant-garde: Henri Storck et Charles Dekeukeleire. Suivront bientôt des œuvres uniques, majeures, d’artistes surréalistes tels que Henri d’Ursel, Ernst Moerman ou plus tard Marcel Mariën.

Le Centre Wallonie-Bruxelles est heureux de présenter à Paris ces chefs-d’oeuvre du cinéma surréaliste muet, en ciné-concert. D’abord, en février, accompagnés par Daniel Schell à la tape-guitare et Tomonori Takeda à la clarinette puis, en mars, au piano, par cinq élèves de la classe d’improvisation de Jean-François Zygel au Conservatoire de Paris.

Cette programmation est complétée par des films d’art et sur l’art, autour d’artistes tels que René Magritte, Pierre Alechinsky et Pol Bury, avec un film inédit. En outre, cet état d’esprit surréaliste se prolonge encore dans la création contemporaine, à l’image d’Hélène Cattet et Bruno Forzani.

 

Dossier de presse

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(c) Fotolia
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Objectif de l'aide

Wallonie-Bruxelles International (WBI) permet à un jeune diplômé ou encore étudiant de la Fédération Wallonie-Bruxelles de suivre un stage linguistique organisé durant l’été en vue de se familiariser ou de se perfectionner dans une langue étrangère. Ces bourses sont allouées dans le cadre de la mise en œuvre d'accords de coopération intergouvernementaux.

 

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Profil des candidats

Etre diplômé d'un établissement de l’enseignement supérieur universitaire ou non universitaire organisé ou subventionné par la Fédération Wallonie-Bruxelles

OU

Avoir accompli avec succès au minimum deux années dans un établissement de l’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles au moment du départ

 

Ne sont donc concernés que les personnes issues de l'enseignement de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

 

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Pays concernés

Tunisie, Turquie, Hongrie, Pologne, Slovaquie, Slovénie et Moldavie uniquement

 

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Modalités d'inscription

Les dossiers de candidatures doivent être rentrés pour le 1er février au plus tard.

 

Attention: les dossiers doivent absolument être complets. Les dossiers incomplets ne seront pas pris en compte.

 

Le dossier doit être transmis par courrier postal à l'adresse suivante:

Pascaline VAN BOL - Directrice du service des bourses d'études, formateurs et lecteurs

Wallonie-Bruxelles International

Place Sainctelette, 2

1080 - Bruxelles

 

Ou par courriel: p.vanbol@wbi.be

 

Personne de contact: Pascaline Van Bol - Directrice du service des bourses d'études, formateurs et lecteurs

 

 

Si vous êtes intéressés, vous trouverez toutes les informations nécessaires, ainsi que le formulaire d'inscription, sur la page suivante: http://www.wbi.be/fr/services/service/apprendre-ou-se-perfectionner-langue-etrangere-wbi

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Objectif de l'aide

Wallonie-Bruxelles International (WBI) permet à un jeune diplômé ou encore étudiant de la Fédération Wallonie-Bruxelles de suivre un stage linguistique organisé durant l’été en vue de se familiariser ou de se perfectionner dans une langue étrangère. Ces bourses sont allouées dans le cadre de la mise en œuvre d'accords de coopération intergouvernementaux.

 

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Profil des candidats

Etre diplômé d'un établissement de l’enseignement supérieur universitaire ou non universitaire organisé ou subventionné par la Fédération Wallonie-Bruxelles

OU

Avoir accompli avec succès au minimum deux années dans un établissement de l’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles au moment du départ

 

Ne sont donc concernés que les personnes issues de l'enseignement de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

 

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Pays concernés

Tunisie, Turquie, Hongrie, Pologne, Slovaquie, Slovénie et Moldavie uniquement

 

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Modalités d'inscription

Les dossiers de candidatures doivent être rentrés pour le 1er février au plus tard.

 

Attention: les dossiers doivent absolument être complets. Les dossiers incomplets ne seront pas pris en compte.

 

Le dossier doit être transmis par courrier postal à l'adresse suivante:

Pascaline VAN BOL - Directrice du service des bourses d'études, formateurs et lecteurs

Wallonie-Bruxelles International

Place Sainctelette, 2

1080 - Bruxelles

 

Ou par courriel: p.vanbol@wbi.be

 

Personne de contact: Pascaline Van Bol - Directrice du service des bourses d'études, formateurs et lecteurs

 

 

Si vous êtes intéressés, vous trouverez toutes les informations nécessaires, ainsi que le formulaire d'inscription, sur la page suivante: http://www.wbi.be/fr/services/service/apprendre-ou-se-perfectionner-langue-etrangere-wbi

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Lors de la 17e édition du Japan Media Arts Festival, en décembre dernier, le film de Laurent Boileau et Jung Henin, Couleur de peau: miel, a obtenu le Grand Prix dans la catégorie Film d'animation. Il s'agit seulement du deuxième film étranger à recevoir cette prestigieuse distinction, remise par la Japan's Agency for Cultural Affairs.

 

Synopsis

Ils sont 200 000 adoptés, disséminés à travers le monde depuis la fin de la guerre de Corée. Auteur de Couleur de peau : miel (ed. Quadrants), Jung est l’un d’entre eux. Il revient sur sa vie passée et nous raconte les événements qui l’ont conduit progressivement à prendre en main son destin, tout en acceptant ses mixités. Le déracinement, l’identité, l’intégration, l’amour maternel, tout comme la famille recomposée et métissée sont autant de thèmes abordés avec poésie, humour et émotion... Basé sur un mélange d’animations et de prises de vues réelles, Couleur de peau : miel, écrit et réalisé par Jung et Laurent Boileau, raconte le destin de ce déraciné et sa quête pour se réconcilier avec ses origines.

 

http://couleurdepeaumiel-lefilm.com

 

 

Couleur de peau: miel est le premier film de Laurent Boileau et Jung Henin.

 

 

Bande-annonce 

 

 

 

 

Lors de la 17e édition du Japan Media Arts Festival, en décembre dernier, le film de Laurent Boileau et Jung Henin, Couleur de peau: miel, a obtenu le Grand Prix dans la catégorie Film d'animation. Il s'agit seulement du deuxième film étranger à recevoir cette prestigieuse distinction, remise par la Japan's Agency for Cultural Affairs.

 

Synopsis

Ils sont 200 000 adoptés, disséminés à travers le monde depuis la fin de la guerre de Corée. Auteur de Couleur de peau : miel (ed. Quadrants), Jung est l’un d’entre eux. Il revient sur sa vie passée et nous raconte les événements qui l’ont conduit progressivement à prendre en main son destin, tout en acceptant ses mixités. Le déracinement, l’identité, l’intégration, l’amour maternel, tout comme la famille recomposée et métissée sont autant de thèmes abordés avec poésie, humour et émotion... Basé sur un mélange d’animations et de prises de vues réelles, Couleur de peau : miel, écrit et réalisé par Jung et Laurent Boileau, raconte le destin de ce déraciné et sa quête pour se réconcilier avec ses origines.

 

http://couleurdepeaumiel-lefilm.com

 

 

Couleur de peau: miel est le premier film de Laurent Boileau et Jung Henin.

 

 

Bande-annonce 

 

 

 

 

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Dinant et le saxophone
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Naissance à Dinant (Wallonie)

 

Antoine-Joseph Sax mieux connu sous le nom d'Adolphe Sax (6 novembre 1814 à Dinant -7 février 1894 à Paris) est un facteur d'instrument de musique, surtout connu pour avoir inventé le saxophone.

 

Adolphe Sax commence à fabriquer ses propres instruments très jeune, en présentant deux flûtes et une clarinette à un concours dès l'âge de 15 ans. Il étudie ensuite ces deux instruments à l'École Royale de chant de Bruxelles (Conservatoire Royal de Bruxelles). Il devient un maître de la clarinette à tel point qu'il est interdit de concours dans son pays.

Après avoir quitté l'école, Sax commence à expérimenter de nouveaux types d'instruments, pendant que son père continue à produire des instruments conventionnels afin de subsister.

Les premières inventions importantes d'Adolphe Sax concernent la clarinette. Dès 1835, Sax propose une clarinette à 24 clés, puis dépose un brevet sur une amélioration de la clarinette basse en 1838. Il dépose un autre brevet deux ans plus tard sur l'extension du registre grave.

En 1841, il déménage à Paris et commence à travailler sur un nouvel ensemble d'instruments qui y seront présentés en 1844. Il y a des bugles à touches et, bien qu'il n'ait pas inventé l'instrument lui-même, ses exemplaires sont tellement supérieurs à ceux de ses rivaux qu'ils commencent à être connus sous le nom de cors de Sax ou saxhorn. Ils sont aujourd'hui couramment utilisés dans les fanfares et les orchestres d'harmonie.

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Invention du saxophone


Adolphe Sax s'occupe aussi de l'invention d'un instrument qui le rendra célèbre : le saxophone. Il spécifie ses intentions dans son brevet : "On sait que, en général, les instruments à vent sont ou trop durs ou trop mous dans leurs sonorités". Il voulut créer "Un instrument qui par le caractère de sa voix pût se rapprocher des instruments à cordes, mais qui possédât plus de force et d'intensité que ces derniers" (Brevet français n° 3226 du 21 mars 1846). Les dossiers originaux des brevets déposés par Sax sont conservés à l'Institut national de la propriété industrielle (INPI)).

Son grand ami Jules Demersseman, flûtiste de renom et compositeur fécond, compose de nombreuses pièces pour saxophone. Grâce à lui, ce nouvel instrument est mis en valeur et est peu à peu reconnu.

Le compositeur Hector Berlioz écrit favorablement sur ce nouvel instrument en 18424. Berlioz, en outre, compose la toute première œuvre avec saxophone, il s'agit de Chant Sacré pour sextuor à vent. L'instrument n'est breveté qu'en 1846, après que Sax a dessiné et exposé une série complète de saxophones — du saxophone soprano au saxophone baryton. Ces instruments font sa réputation et lui assurent un poste d'enseignant au conservatoire de Paris en 1857.

Il invente le tuba wagnérien 1876, à la demande de Richard Wagner qui souhaite un instrument ayant une sonorité entre le cor français et le saxhorn afin de jouer le thème de Walhalla dans sa tétralogie L'Anneau du Nibelung. Sax aurait lui-même donné le nom de tuba wagnérien à son instrument, bien que cette appellation soit peu représentative de l'instrument qui provient plutôt d'une déformation du cor que du tuba.

Sax continue par la suite à fabriquer des instruments, en même temps qu'il dirige la nouvelle classe de saxophone au conservatoire de Paris. Il meurt en 1894 à Paris et est enterré au cimetière de Montmartre.
 

 

A noter que  la Conférence générale de l’UNESCO a officiellement retenu la proposition d'inscrire le « 200ème Anniversaire de la naissance d'Adolphe Sax (1814-1894) » au calendrier des célébrations d’anniversaires auxquelles l’Organisation  s’associera en 2014-2015.

 

 

Plus d'infos :

 

Adolphe Sax 2014

 

Visite virtuelle de la Maison de Sax

 

MIM Musée des instruments de musique à Bruxelles : expo Sax du 08/02/14 - 11/01/15.

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Naissance à Dinant (Wallonie)

 

Antoine-Joseph Sax mieux connu sous le nom d'Adolphe Sax (6 novembre 1814 à Dinant -7 février 1894 à Paris) est un facteur d'instrument de musique, surtout connu pour avoir inventé le saxophone.

 

Adolphe Sax commence à fabriquer ses propres instruments très jeune, en présentant deux flûtes et une clarinette à un concours dès l'âge de 15 ans. Il étudie ensuite ces deux instruments à l'École Royale de chant de Bruxelles (Conservatoire Royal de Bruxelles). Il devient un maître de la clarinette à tel point qu'il est interdit de concours dans son pays.

Après avoir quitté l'école, Sax commence à expérimenter de nouveaux types d'instruments, pendant que son père continue à produire des instruments conventionnels afin de subsister.

Les premières inventions importantes d'Adolphe Sax concernent la clarinette. Dès 1835, Sax propose une clarinette à 24 clés, puis dépose un brevet sur une amélioration de la clarinette basse en 1838. Il dépose un autre brevet deux ans plus tard sur l'extension du registre grave.

En 1841, il déménage à Paris et commence à travailler sur un nouvel ensemble d'instruments qui y seront présentés en 1844. Il y a des bugles à touches et, bien qu'il n'ait pas inventé l'instrument lui-même, ses exemplaires sont tellement supérieurs à ceux de ses rivaux qu'ils commencent à être connus sous le nom de cors de Sax ou saxhorn. Ils sont aujourd'hui couramment utilisés dans les fanfares et les orchestres d'harmonie.

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Invention du saxophone


Adolphe Sax s'occupe aussi de l'invention d'un instrument qui le rendra célèbre : le saxophone. Il spécifie ses intentions dans son brevet : "On sait que, en général, les instruments à vent sont ou trop durs ou trop mous dans leurs sonorités". Il voulut créer "Un instrument qui par le caractère de sa voix pût se rapprocher des instruments à cordes, mais qui possédât plus de force et d'intensité que ces derniers" (Brevet français n° 3226 du 21 mars 1846). Les dossiers originaux des brevets déposés par Sax sont conservés à l'Institut national de la propriété industrielle (INPI)).

Son grand ami Jules Demersseman, flûtiste de renom et compositeur fécond, compose de nombreuses pièces pour saxophone. Grâce à lui, ce nouvel instrument est mis en valeur et est peu à peu reconnu.

Le compositeur Hector Berlioz écrit favorablement sur ce nouvel instrument en 18424. Berlioz, en outre, compose la toute première œuvre avec saxophone, il s'agit de Chant Sacré pour sextuor à vent. L'instrument n'est breveté qu'en 1846, après que Sax a dessiné et exposé une série complète de saxophones — du saxophone soprano au saxophone baryton. Ces instruments font sa réputation et lui assurent un poste d'enseignant au conservatoire de Paris en 1857.

Il invente le tuba wagnérien 1876, à la demande de Richard Wagner qui souhaite un instrument ayant une sonorité entre le cor français et le saxhorn afin de jouer le thème de Walhalla dans sa tétralogie L'Anneau du Nibelung. Sax aurait lui-même donné le nom de tuba wagnérien à son instrument, bien que cette appellation soit peu représentative de l'instrument qui provient plutôt d'une déformation du cor que du tuba.

Sax continue par la suite à fabriquer des instruments, en même temps qu'il dirige la nouvelle classe de saxophone au conservatoire de Paris. Il meurt en 1894 à Paris et est enterré au cimetière de Montmartre.
 

 

A noter que  la Conférence générale de l’UNESCO a officiellement retenu la proposition d'inscrire le « 200ème Anniversaire de la naissance d'Adolphe Sax (1814-1894) » au calendrier des célébrations d’anniversaires auxquelles l’Organisation  s’associera en 2014-2015.

 

 

Plus d'infos :

 

Adolphe Sax 2014

 

Visite virtuelle de la Maison de Sax

 

MIM Musée des instruments de musique à Bruxelles : expo Sax du 08/02/14 - 11/01/15.

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©JL Dubois, minières néolithiques de Spiennes
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 Biens culturels de Wallonie-Bruxelles

 Le Comité de l'UNESCO a décidé d’inscrire sur la Liste des biens culturels sous protection renforcée trois biens culturels présentés par la Belgique (2 en Wallonie-Bruxelles, un en Flandre)  . C’est l’aboutissement d’un travail de longue haleine entamé au sein du Groupe de travail Biens culturels de la Commission interministérielle belge de Droit humanitaire, qui a permis à la Belgique d’être le premier Etat à déposer successivement une Liste indicative des biens culturels pouvant être proposés pour la protection renforcée, composée des 11 biens immobiliers belges repris sur la Liste du Patrimoine mondial, et ensuite 3 dossiers de biens culturels pour l’octroi de la protection renforcée.

 

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Les biens culturels qui ont obtenu le statut de protection renforcée

 

 La maison et atelier de Victor Horta, pour la Région de Bruxelles-Capitale

 

Le Musée Horta est établi dans la maison personnelle et l’atelier de l’architecte Victor Horta (1861-1947). Construit entre 1898 et 1901 et situé  rue Américaine à Saint-Gilles, cet ensemble est particulièrement caractéristique de l’Art Nouveau et témoigne du génie créateur de son auteur. Œuvre d’art totale, la maison a conservé son décor (mosaïques, boiserie, vitraux, ferronnerie) et abrite une collection de mobilier et des archives. Parmi les 4 maisons de Victor Horta inscrites au patrimoine mondial de l’Unesco en 2000, le Musée qui appartient à la Commune de Saint-Gilles est le seul immeuble ouvert au public et qui dispose d’un système de gestion efficace. C’est pourquoi la Région Bruxelloise a choisi de le présenter prioritairement à la protection renforcée.

 

Les minières néolithiques de silex de Spiennes, pour la Région wallonne

 

Cet important site archéologique s’étend sur plus de 100 hectares situés sur le territoire de la commune de Mons. Il est classé depuis le 7 novembre 2001, figure sur la liste du patrimoine immobilier exceptionnel de Wallonie et est inscrit sur la liste du patrimoine depuis 2000. Ce site témoigne de manière exceptionnelle de l’exploitation du silex à l’époque néolithique. Il se distingue par la diversité et la durée de l’exploitation du silex. Des ateliers de taille et un site d’habitation complètent le site d’exploitation. L’aspect le plus remarquable du site est constitué de puits d’exploitation dont les plus profonds atteignent 16 mètres. Le site est géré comme réserve archéologique et fait l’objet d’un dispositif de surveillance très spécifique.

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 Biens culturels de Wallonie-Bruxelles

 Le Comité de l'UNESCO a décidé d’inscrire sur la Liste des biens culturels sous protection renforcée trois biens culturels présentés par la Belgique (2 en Wallonie-Bruxelles, un en Flandre)  . C’est l’aboutissement d’un travail de longue haleine entamé au sein du Groupe de travail Biens culturels de la Commission interministérielle belge de Droit humanitaire, qui a permis à la Belgique d’être le premier Etat à déposer successivement une Liste indicative des biens culturels pouvant être proposés pour la protection renforcée, composée des 11 biens immobiliers belges repris sur la Liste du Patrimoine mondial, et ensuite 3 dossiers de biens culturels pour l’octroi de la protection renforcée.

 

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La nouvelle édition de la Revue W+B n°122 est sortie. Le dossier de ce numéro hivernal vous invite à découvrir la Wallonie sous l'angle de la qualité! Et qui mieux que Sang-Hoon Degeimbre, chef étoilé, symbole d'excellence, pour en témoigner!

 

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Au programme

  • Dossier: La Wallonie, label de qualité
  • Un wallon à l'étranger: Xavier Damman: un entrepreneur wallon à San Fransisco
  • Portrait d'entreprise: Beal, success story wallonne à la grande exportation
  • Gastronomie: L'Impératif, à Maisières: de mer et de terre
  • Mode: Une nouvelle vague au sein de la Fashion Week
  • Innovation: IDDI, acteur de référence mondiale dans la bio-statistique clinique / CluePoints traque les erreurs dans les bases de données
  • Coopération au développement: 2013-2016: place aux marocaines entrepreneures
  • Jeunesse: La bibliothèque vivante du BIJ
  • 30e anniversaire: La paix par la valorisation de la complexité
  • Coin BD: Les Ombres de toute la misère du monde
  • Survols

Téléchargez-la sur notre site ou visualisez-la ici

 

 

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Namur
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Plan Marshall 2022 : premières étapes de mise en œuvre


Pour mémoire, le Plan Marshall 2022 c’est :

  • Un plan de développement économique de la Wallonie, intégrant la dimension durable, riche en opportunités ;
  • Un plan qui capitalise sur les acquis et points forts des Plan Marshall et Plan Marshall 2.vert tout en proposant de nouvelles mesures porteuses pour le développement économique (dont l'enseignement et la transition énergétique).
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2e version du Plan Marshall 2022

 
Cette 2e version du Plan Marshall 2022 tient compte des avis et premières contributions émis par un peu plus de 100 acteurs clés: partenaires sociaux, instances d’avis et de concertation, administrations et organismes d’intérêt public (OIP) de Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles, experts universitaires …



Le Plan Marshall 2022 est dès lors un véritable plan co-construit afin de prendre en considération l’ensemble des variables clés pour le développement économique de la Wallonie de demain. Ainsi, le Plan Marshall 2022 entend positionner la Wallonie face aux nouveaux défis que sont :

  • les transferts de compétences ;
  • la crise économique et financière ;
  • les décisions européennes qui ont des conséquences sur la discipline budgétaire de nos entités ;
  • les enjeux démographiques et de santé ;
  • la crise environnementale et des ressources naturelles.

Au-delà de ces avis et propositions, les Gouvernements de la Wallonie et la Fédération Wallonie-Bruxelles ont décidé de mobiliser l’ensemble des administrations et OIP concernés par les mesures du Plan afin de proposer les premières étapes réalisées, en cours de réalisation et/ou prochainement lancées par les Ministres de tutelles afin de véritablement donner vie au Plan Marshall 2022.

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Pour mémoire, le Plan Marshall 2022 c’est :

  • Un plan de développement économique de la Wallonie, intégrant la dimension durable, riche en opportunités ;
  • Un plan qui capitalise sur les acquis et points forts des Plan Marshall et Plan Marshall 2.vert tout en proposant de nouvelles mesures porteuses pour le développement économique (dont l'enseignement et la transition énergétique).
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Cette 2e version du Plan Marshall 2022 tient compte des avis et premières contributions émis par un peu plus de 100 acteurs clés: partenaires sociaux, instances d’avis et de concertation, administrations et organismes d’intérêt public (OIP) de Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles, experts universitaires …



Le Plan Marshall 2022 est dès lors un véritable plan co-construit afin de prendre en considération l’ensemble des variables clés pour le développement économique de la Wallonie de demain. Ainsi, le Plan Marshall 2022 entend positionner la Wallonie face aux nouveaux défis que sont :

  • les transferts de compétences ;
  • la crise économique et financière ;
  • les décisions européennes qui ont des conséquences sur la discipline budgétaire de nos entités ;
  • les enjeux démographiques et de santé ;
  • la crise environnementale et des ressources naturelles.

Au-delà de ces avis et propositions, les Gouvernements de la Wallonie et la Fédération Wallonie-Bruxelles ont décidé de mobiliser l’ensemble des administrations et OIP concernés par les mesures du Plan afin de proposer les premières étapes réalisées, en cours de réalisation et/ou prochainement lancées par les Ministres de tutelles afin de véritablement donner vie au Plan Marshall 2022.

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