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Le site du Grand Hornu fait partie des 4 sites miniers wallons qui figurent sur la liste du Patrimoine mondial de l'Unesco (c) Wallonia

Cet appel est destiné à toutes les organisations et institutions intéressées. De plus, il offre la possibilité de proposer des projets non seulement pour un cycle d'une année, mais également pour un cycle de deux ans, dans le but d'encourager l'engagement des jeunes en faveur du patrimoine mondial.

 

Qu'est-ce que l’Initiative de Volontariat pour le patrimoine mondial ?

L'Initiative de Volontariat pour le patrimoine mondial a été lancée en 2008 afin d’encourager les jeunes à entreprendre des actions concrètes et à jouer un rôle actif dans la protection, la préservation et la promotion des sites du patrimoine mondial. L’initiative consiste en l’organisation de chantiers d’action par des organisations de jeunesse et/ou des institutions, en coopération avec de multiples acteurs et partenaires, œuvrant en faveur de l’état de conservation des sites du patrimoine mondial. L’initiative mobilise des volontaires nationaux et internationaux à travers des activités pratiques et de sensibilisation pour la conservation de notre patrimoine culturel et naturel commun.

 

Dans le cadre du programme d’éducation des jeunes au patrimoine mondial, cette initiative est menée par le Centre pour le patrimoine mondial de l’UNESCO, en collaboration avec le Comité de Coordination du Service Volontaire International (CCSVI), European Heritage Volunteers (en tant que branche d’Open Houses) et Better World.

 

Rejoignez la campagne !

Pour renforcer l’engagement en faveur du patrimoine mondial, le Centre du patrimoine mondial invite toutes les organisations de jeunesse, les ONG, les institutions et autorités publiques qui souhaitent impliquer les jeunes dans la préservation du patrimoine mondial grâce à la mise en œuvre de chantiers d'action dans les sites du patrimoine mondial en 2018.

 

Pour cela, veuillez-vous référer à l’appel à projets (pdf en pièce jointe) pour plus d'informations sur les critères de sélection, le calendrier ainsi que le processus du cycle de deux ans.

 

Afin de participer ou renouveler votre engagement à l’Initiative de Volontariat pour le patrimoine mondial, veuillez remplir la candidature en ligne.

 

Veuillez soumettre votre candidature au plus tard le 14 janvier 2018 à minuit (heure de Paris).

 

Pour toute question relative à la campagne de Volontariat pour le patrimoine mondial 2018, veuillez contacter Mme Sonia Zerroualy (courriel : s.zerroualy@unesco.org, tel.: 00.33.1.45.68.12.57) et Mme lnes Yousfi (courriel : i.yousfi@unesco.org, tel.: 00.33.1.45.68.18.82). 

 

Cet appel est destiné à toutes les organisations et institutions intéressées. De plus, il offre la possibilité de proposer des projets non seulement pour un cycle d'une année, mais également pour un cycle de deux ans, dans le but d'encourager l'engagement des jeunes en faveur du patrimoine mondial.

 

Qu'est-ce que l’Initiative de Volontariat pour le patrimoine mondial ?

L'Initiative de Volontariat pour le patrimoine mondial a été lancée en 2008 afin d’encourager les jeunes à entreprendre des actions concrètes et à jouer un rôle actif dans la protection, la préservation et la promotion des sites du patrimoine mondial. L’initiative consiste en l’organisation de chantiers d’action par des organisations de jeunesse et/ou des institutions, en coopération avec de multiples acteurs et partenaires, œuvrant en faveur de l’état de conservation des sites du patrimoine mondial. L’initiative mobilise des volontaires nationaux et internationaux à travers des activités pratiques et de sensibilisation pour la conservation de notre patrimoine culturel et naturel commun.

 

Dans le cadre du programme d’éducation des jeunes au patrimoine mondial, cette initiative est menée par le Centre pour le patrimoine mondial de l’UNESCO, en collaboration avec le Comité de Coordination du Service Volontaire International (CCSVI), European Heritage Volunteers (en tant que branche d’Open Houses) et Better World.

 

Rejoignez la campagne !

Pour renforcer l’engagement en faveur du patrimoine mondial, le Centre du patrimoine mondial invite toutes les organisations de jeunesse, les ONG, les institutions et autorités publiques qui souhaitent impliquer les jeunes dans la préservation du patrimoine mondial grâce à la mise en œuvre de chantiers d'action dans les sites du patrimoine mondial en 2018.

 

Pour cela, veuillez-vous référer à l’appel à projets (pdf en pièce jointe) pour plus d'informations sur les critères de sélection, le calendrier ainsi que le processus du cycle de deux ans.

 

Afin de participer ou renouveler votre engagement à l’Initiative de Volontariat pour le patrimoine mondial, veuillez remplir la candidature en ligne.

 

Veuillez soumettre votre candidature au plus tard le 14 janvier 2018 à minuit (heure de Paris).

 

Pour toute question relative à la campagne de Volontariat pour le patrimoine mondial 2018, veuillez contacter Mme Sonia Zerroualy (courriel : s.zerroualy@unesco.org, tel.: 00.33.1.45.68.12.57) et Mme lnes Yousfi (courriel : i.yousfi@unesco.org, tel.: 00.33.1.45.68.18.82). 

 

Documents liés

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Thierry Michel (c) Délégation Générale Wallonie-Bruxelles à Varsovie

Internationalement connu et reconnu pour son engagement pour la défense des droits de l’homme dans ses productions, ce réalisateur de Wallonie-Bruxelles reçoit le « Prix Marek Nowicki » de la Fondation Helsinki, organisateur du Festival, en reconnaissance de cet engagement.

 

Le 14 décembre, Thierry Michel reçoit le « Prix Marek Nowicki » lors de la cérémonie de clôture du festival, qui commence à 19h au cinéma Muranów (rue Andersa 5). A cette occasion, son dernier film Enfants du Hazard est également projeté.  
 

Au programme du festival, il y a la rétrospective des films de ce réalisateur, avec des œuvres telles que Iran, sous le voile des apparences, Congo River, Mobutu, roi du Zaïre, L’Homme qui répare les femmes et Enfants du Hazard. Thierry Michel sera également membre du jury du festival.
 

La Délégation Générale Wallonie-Bruxelles à Varsovie soutient cet événement.
 

Thierry Michel est une légende du film documentaire belge. Né en 1952 à Charleroi, il consacre ses premiers films à sa région industrielle surnommée « Le Pays Noir ». Vite, il devient un des réalisateurs les plus importants du nouveau cinéma wallon. Pendant toute sa carrière, il reste fidèle au film documentaire socio-politique. Dans les années 70, il tourne des films avec des techniques documentaires et celles du long-métrage. Dans les années 80, le réalisateur s’intéresse à d’autres continents et il tourne des films au Brésil, en Iran, au Maroc, en Somalie et, avant tout, au Congo. Ce sont ses documentaires sur le Congo qui le font connaître au grand public. Parmi les héros de ses films, il y a des personnes qui sont au pouvoir (dictateur Mobutu Sese Seko ou Moise Katumbi, gouverneur de la plus grande province du Congo) et celles qui font l’opposition au pouvoir (Floribert Chebeya, militant des droits de l'homme en République démocratique du Congo, assassiné en juin 2010, et le docteur Denis Mukwege, gynécologue et militant des droits humains congolais, lauréat du Prix Sakharov en 2014). Le dernier film de Thierry Michel, Enfants du Hasard, présente une jeune génération issue de l’immigration qui habite dans la région industrielle de Charleroi.
 

Le Festival du Film documentaire WATCH DOCS est un des plus importants festivals du film consacrés aux droits de l’homme. Chaque année, plus de 100 000 personnes participent aux éditions varsovienne et régionale du Festival avec la tournée des films documentaires dans 40 villes polonaises. Ce festival a aussi son édition internet. Cet événement présente au public les documentaires les plus importants et ses réalisateurs, d’un côté, et les militants des droits de l’homme, de l’autre. Au programme du 17ème Festival international du Film documentaire « WATCH DOCS », il y a plus de 60 documentaires qui ont été déjà présentés aux festivals tels que Berlinale, Cannes, Sundance et Karlovy Vary.
 

L’entrée à toutes les projections du Festival WATCH DOCS est gratuite !

Internationalement connu et reconnu pour son engagement pour la défense des droits de l’homme dans ses productions, ce réalisateur de Wallonie-Bruxelles reçoit le « Prix Marek Nowicki » de la Fondation Helsinki, organisateur du Festival, en reconnaissance de cet engagement.

 

Le 14 décembre, Thierry Michel reçoit le « Prix Marek Nowicki » lors de la cérémonie de clôture du festival, qui commence à 19h au cinéma Muranów (rue Andersa 5). A cette occasion, son dernier film Enfants du Hazard est également projeté.  
 

Au programme du festival, il y a la rétrospective des films de ce réalisateur, avec des œuvres telles que Iran, sous le voile des apparences, Congo River, Mobutu, roi du Zaïre, L’Homme qui répare les femmes et Enfants du Hazard. Thierry Michel sera également membre du jury du festival.
 

La Délégation Générale Wallonie-Bruxelles à Varsovie soutient cet événement.
 

Thierry Michel est une légende du film documentaire belge. Né en 1952 à Charleroi, il consacre ses premiers films à sa région industrielle surnommée « Le Pays Noir ». Vite, il devient un des réalisateurs les plus importants du nouveau cinéma wallon. Pendant toute sa carrière, il reste fidèle au film documentaire socio-politique. Dans les années 70, il tourne des films avec des techniques documentaires et celles du long-métrage. Dans les années 80, le réalisateur s’intéresse à d’autres continents et il tourne des films au Brésil, en Iran, au Maroc, en Somalie et, avant tout, au Congo. Ce sont ses documentaires sur le Congo qui le font connaître au grand public. Parmi les héros de ses films, il y a des personnes qui sont au pouvoir (dictateur Mobutu Sese Seko ou Moise Katumbi, gouverneur de la plus grande province du Congo) et celles qui font l’opposition au pouvoir (Floribert Chebeya, militant des droits de l'homme en République démocratique du Congo, assassiné en juin 2010, et le docteur Denis Mukwege, gynécologue et militant des droits humains congolais, lauréat du Prix Sakharov en 2014). Le dernier film de Thierry Michel, Enfants du Hasard, présente une jeune génération issue de l’immigration qui habite dans la région industrielle de Charleroi.
 

Le Festival du Film documentaire WATCH DOCS est un des plus importants festivals du film consacrés aux droits de l’homme. Chaque année, plus de 100 000 personnes participent aux éditions varsovienne et régionale du Festival avec la tournée des films documentaires dans 40 villes polonaises. Ce festival a aussi son édition internet. Cet événement présente au public les documentaires les plus importants et ses réalisateurs, d’un côté, et les militants des droits de l’homme, de l’autre. Au programme du 17ème Festival international du Film documentaire « WATCH DOCS », il y a plus de 60 documentaires qui ont été déjà présentés aux festivals tels que Berlinale, Cannes, Sundance et Karlovy Vary.
 

L’entrée à toutes les projections du Festival WATCH DOCS est gratuite !

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L’appel à projets est ouvert sur tous les axes du programme et tous les objectifs programme à l’exception de l’objectif n°6 (anticiper et gérer les risques naturels, technologiques et industriels ainsi que les situations d'urgence), lequel est clôturé (engagement de la totalité de l’enveloppe budgétaire).

 

Les opérateurs sont invités à déposer leurs projets selon les objectifs suivants.

 

Seuls 12,8 % du budget initial sont encore disponibles, soit une enveloppe de 20,4 millions d’euros FEDER. La concurrence sera donc forte et les projets sélectionnés peu nombreux. La priorité sera donc donnée aux projets qui répondent le mieux à la stratégie et aux grands principes du programme, telle que la plus-value transfrontalière.

 

Une attention particulière sera également portée aux projets déposés sur l’objectif programme n°9 (Favoriser l'emploi et la mobilité transfrontalière des travailleurs et intégrer les marchés de l'emploi), afin que les résultats attendus par le programme sur cette thématique puissent être atteints.

 

Les appels à projets du Programme s’articulent en deux phases :

  • Premièrement, le dépôt d’un pré-projet ;
  • Dans le cas où le pré-projet est sélectionné par le Comité de Pilotage du Programme, les opérateurs seront invités à déposer, dans un second temps, un projet.

 

Un guide de l’opérateur détaillant toutes les modalités de dépôt, les critères d’instruction, les dépenses éligibles est également à votre disposition.

 

Pour compléter votre pré-projet, la procédure à suivre sur l’application de gestion est décrite. 

 

Attention : la date limite de dépôt des pré-projets est fixée au mercredi 28 février 2018 à midi. Tout pré-projet déposé après cette échéance sera déclaré irrecevable.

L’appel à projets est ouvert sur tous les axes du programme et tous les objectifs programme à l’exception de l’objectif n°6 (anticiper et gérer les risques naturels, technologiques et industriels ainsi que les situations d'urgence), lequel est clôturé (engagement de la totalité de l’enveloppe budgétaire).

 

Les opérateurs sont invités à déposer leurs projets selon les objectifs suivants.

 

Seuls 12,8 % du budget initial sont encore disponibles, soit une enveloppe de 20,4 millions d’euros FEDER. La concurrence sera donc forte et les projets sélectionnés peu nombreux. La priorité sera donc donnée aux projets qui répondent le mieux à la stratégie et aux grands principes du programme, telle que la plus-value transfrontalière.

 

Une attention particulière sera également portée aux projets déposés sur l’objectif programme n°9 (Favoriser l'emploi et la mobilité transfrontalière des travailleurs et intégrer les marchés de l'emploi), afin que les résultats attendus par le programme sur cette thématique puissent être atteints.

 

Les appels à projets du Programme s’articulent en deux phases :

  • Premièrement, le dépôt d’un pré-projet ;
  • Dans le cas où le pré-projet est sélectionné par le Comité de Pilotage du Programme, les opérateurs seront invités à déposer, dans un second temps, un projet.

 

Un guide de l’opérateur détaillant toutes les modalités de dépôt, les critères d’instruction, les dépenses éligibles est également à votre disposition.

 

Pour compléter votre pré-projet, la procédure à suivre sur l’application de gestion est décrite. 

 

Attention : la date limite de dépôt des pré-projets est fixée au mercredi 28 février 2018 à midi. Tout pré-projet déposé après cette échéance sera déclaré irrecevable.

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Cette initiative vise à accroître la mobilité des jeunes professionnels et entrepreneurs francophones à l’occasion d’évènements internationaux sur l’innovation numérique et les nouvelles technologies. Elle doit aussi permettre de consolider les réseaux de coopération francophones dans les champs du numérique, de l’entrepreneuriat et de l’insertion professionnelle durable, et de valoriser la Francophonie en tant qu’espace d’opportunités dans ces domaines.

 

« Avec le développement de l’économie numérique, les grandes réussites se fondent sur l’éducation et le savoir, mais aussi sur la maîtrise du savoir-faire, sur la créativité, sur l’innovation, sur les échanges et les rencontres. A travers ce parcours numérique, nous contribuons à ce que les jeunes francophones soient les acteurs et les moteurs du développement, de leur développement » a souligné l’Administrateur de l’OIF, Adama Ouane.

 

Après son lancement officiel, en mars 2018, à l’occasion du mois de la Francophonie, le "Parcours numérique francophone" va s’articuler autour de plusieurs temps fort au cours de l’année à venir : la Semaine numérique de Québec en avril, les Web2day de Nantes en juin, le Kikk festival de Namur en novembre, l’Africa web festival d’Abidjan fin novembre et, bien sûr, le prochain Sommet de la Francophonie, en octobre, à Erevan (Arménie).

 

Autant d’occasions de permettre à de jeunes francophones de découvrir différents écosystèmes numériques, de présenter leurs projets et entreprises à des investisseurs, de participer à des activités de réseautage, etc.

 

Le "Parcours numérique francophone" est le fruit d’un partenariat entre l’OIF, l’Office franco-québécois pour la jeunesse - section française (OFQJ), les Offices jeunesse internationaux du Québec (LOJIQ), le Bureau international Jeunesse (BIJ), Québec numérique, Atlantic 2.0 (La Cantine), le Kikk Festival et l’Africa Web Festival.

Cette initiative vise à accroître la mobilité des jeunes professionnels et entrepreneurs francophones à l’occasion d’évènements internationaux sur l’innovation numérique et les nouvelles technologies. Elle doit aussi permettre de consolider les réseaux de coopération francophones dans les champs du numérique, de l’entrepreneuriat et de l’insertion professionnelle durable, et de valoriser la Francophonie en tant qu’espace d’opportunités dans ces domaines.

 

« Avec le développement de l’économie numérique, les grandes réussites se fondent sur l’éducation et le savoir, mais aussi sur la maîtrise du savoir-faire, sur la créativité, sur l’innovation, sur les échanges et les rencontres. A travers ce parcours numérique, nous contribuons à ce que les jeunes francophones soient les acteurs et les moteurs du développement, de leur développement » a souligné l’Administrateur de l’OIF, Adama Ouane.

 

Après son lancement officiel, en mars 2018, à l’occasion du mois de la Francophonie, le "Parcours numérique francophone" va s’articuler autour de plusieurs temps fort au cours de l’année à venir : la Semaine numérique de Québec en avril, les Web2day de Nantes en juin, le Kikk festival de Namur en novembre, l’Africa web festival d’Abidjan fin novembre et, bien sûr, le prochain Sommet de la Francophonie, en octobre, à Erevan (Arménie).

 

Autant d’occasions de permettre à de jeunes francophones de découvrir différents écosystèmes numériques, de présenter leurs projets et entreprises à des investisseurs, de participer à des activités de réseautage, etc.

 

Le "Parcours numérique francophone" est le fruit d’un partenariat entre l’OIF, l’Office franco-québécois pour la jeunesse - section française (OFQJ), les Offices jeunesse internationaux du Québec (LOJIQ), le Bureau international Jeunesse (BIJ), Québec numérique, Atlantic 2.0 (La Cantine), le Kikk Festival et l’Africa Web Festival.

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(c) J. Van Belle - WBI

En exécution des Accords de coopération signés le 26 octobre 1999 par le Gouvernement du Royaume du Maroc et par les Gouvernements de la Région wallonne et de la Communauté française Wallonie-Bruxelles et le 16 juillet 2002 par le Gouvernement du Royaume du Maroc et le Collège de la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale, la 7è session de la Commission Mixte Permanente s’est tenue à Bruxelles du 27 au 29 novembre dernier.

 

Sa présidence fut assurée par Madame Pascale DELCOMMINETTE, Administratrice générale de Wallonie-Bruxelles International, et par Madame Nadia EL HNOT, Directrice de la Coopération et de l’Action culturelles au Ministère des Affaires étrangères et de la Coopération du Royaume du Maroc.

 

Depuis près de 20 ans, la série ininterrompue des Commissions mixtes permanentes avec le Royaume du Maroc illustre parfaitement la place importante de ce pays dans notre politique de coopération.

 

L’année 2018, que Wallonie-Bruxelles consacre au Maroc, permettra de mettre en évidence, ici et au Maroc, un grand nombre de nos réalisations et de nos ambitions conjointes. Par ailleurs, l’année 2019 sera l’occasion de commémorer les 20 ans de l’implantation d’une délégation générale à Rabat.

 

Wallonie-Bruxelles se réjouit de l’implication de ses opérateurs et des administrations partenaires dans la nouvelle stratégie communément adoptée dans ce nouveau programme de travail. Ce dernier se concentre sur quatre axes prioritaires :

  • La formation (continue) des enseignants ;
  • La place de la femme dans la société et son employabilité ;
  • La culture solidaire et le patrimoine ;
  • Le suivi de la COP 22 et singulièrement, les propositions qui présentent des technologies et solutions durables pour le climat.

 

Cette nouvelle coopération se décline en 25 projets, prévus pour une durée maximale de cinq années.

Il est aussi envisagé de réaliser des actions conjointes de diplomatie culturelle, comme par exemple lors du Festival panafricain de cinéma de Ouagadougou (FESPACO) ou lors de la Biennale des Arts de Dakar. La Commission a aussi travaillé en encourageant le plus souvent possible un soutien aux Services publics ou aux universités qui font également partie de ces services.

 

En complément, la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale (COCOF) et le Conseil de la Région de l’Oriental se sont engagés à favoriser et à développer leurs relations dans les domaines suivants : la mixité sociale et culturelle, l’approche genre, les activités génératrices de revenu, l’économie sociale et solidaire, la parentalité et l’accrochage scolaire, l’accueil aux primo-arrivants.

En exécution des Accords de coopération signés le 26 octobre 1999 par le Gouvernement du Royaume du Maroc et par les Gouvernements de la Région wallonne et de la Communauté française Wallonie-Bruxelles et le 16 juillet 2002 par le Gouvernement du Royaume du Maroc et le Collège de la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale, la 7è session de la Commission Mixte Permanente s’est tenue à Bruxelles du 27 au 29 novembre dernier.

 

Sa présidence fut assurée par Madame Pascale DELCOMMINETTE, Administratrice générale de Wallonie-Bruxelles International, et par Madame Nadia EL HNOT, Directrice de la Coopération et de l’Action culturelles au Ministère des Affaires étrangères et de la Coopération du Royaume du Maroc.

 

Depuis près de 20 ans, la série ininterrompue des Commissions mixtes permanentes avec le Royaume du Maroc illustre parfaitement la place importante de ce pays dans notre politique de coopération.

 

L’année 2018, que Wallonie-Bruxelles consacre au Maroc, permettra de mettre en évidence, ici et au Maroc, un grand nombre de nos réalisations et de nos ambitions conjointes. Par ailleurs, l’année 2019 sera l’occasion de commémorer les 20 ans de l’implantation d’une délégation générale à Rabat.

 

Wallonie-Bruxelles se réjouit de l’implication de ses opérateurs et des administrations partenaires dans la nouvelle stratégie communément adoptée dans ce nouveau programme de travail. Ce dernier se concentre sur quatre axes prioritaires :

  • La formation (continue) des enseignants ;
  • La place de la femme dans la société et son employabilité ;
  • La culture solidaire et le patrimoine ;
  • Le suivi de la COP 22 et singulièrement, les propositions qui présentent des technologies et solutions durables pour le climat.

 

Cette nouvelle coopération se décline en 25 projets, prévus pour une durée maximale de cinq années.

Il est aussi envisagé de réaliser des actions conjointes de diplomatie culturelle, comme par exemple lors du Festival panafricain de cinéma de Ouagadougou (FESPACO) ou lors de la Biennale des Arts de Dakar. La Commission a aussi travaillé en encourageant le plus souvent possible un soutien aux Services publics ou aux universités qui font également partie de ces services.

 

En complément, la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale (COCOF) et le Conseil de la Région de l’Oriental se sont engagés à favoriser et à développer leurs relations dans les domaines suivants : la mixité sociale et culturelle, l’approche genre, les activités génératrices de revenu, l’économie sociale et solidaire, la parentalité et l’accrochage scolaire, l’accueil aux primo-arrivants.

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"Casablanca" | Crédit: Ben Freeman (CC BY-NC 2.0)

Les destinations pour lesquelles le fonds de mobilité Maghreb est ouvert sont les suivantes: Algérie, Maroc et Tunisie.

 

Tout projet – qu’il soit administratif, d’enseignement, de recherche ou de service à la collectivité – qui contribue au développement de nouvelles collaborations ou au renforcement de collaborations existantes auprès d’un ou de plusieurs établissements des pays visés, est éligible.

 

Le Fonds de mobilité Maghreb permet également de soutenir financièrement la mobilité des membres du personnel académique, scientifique ou administratif des établissements d’enseignement supérieur du Maghreb vers leurs partenaires de la Fédération Wallonie-Bruxelles, dans la poursuite des objectifs précités. 

 

Les candidats doivent être membres du personnel académique, scientifique permanent/enseignant ou administratif, d’un établissement d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles et rémunérés à temps plein, à durée indéterminée par celui-ci. Les chercheurs qualifiés du F.R.S.-FNRS sont également éligibles.

 

Retrouvez les informations complètes sur la page Fonds de mobilité WBI.

Les destinations pour lesquelles le fonds de mobilité Maghreb est ouvert sont les suivantes: Algérie, Maroc et Tunisie.

 

Tout projet – qu’il soit administratif, d’enseignement, de recherche ou de service à la collectivité – qui contribue au développement de nouvelles collaborations ou au renforcement de collaborations existantes auprès d’un ou de plusieurs établissements des pays visés, est éligible.

 

Le Fonds de mobilité Maghreb permet également de soutenir financièrement la mobilité des membres du personnel académique, scientifique ou administratif des établissements d’enseignement supérieur du Maghreb vers leurs partenaires de la Fédération Wallonie-Bruxelles, dans la poursuite des objectifs précités. 

 

Les candidats doivent être membres du personnel académique, scientifique permanent/enseignant ou administratif, d’un établissement d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles et rémunérés à temps plein, à durée indéterminée par celui-ci. Les chercheurs qualifiés du F.R.S.-FNRS sont également éligibles.

 

Retrouvez les informations complètes sur la page Fonds de mobilité WBI.

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© A+Z Design

 

Innovations techniques appliquées au textile, travail artisanal sur base de matériaux nobles, approche éco-responsable du design... Bien qu'inconnu du grand public, ce studio belge à l'identité très marquée s'apprête à ouvrir un nouveau chapitre de son histoire. Rencontre avec Geneviève Levivier, sa fondatrice.

 

Comment pourrait-on résumer votre parcours ?

Pour rassurer mes parents – plutôt opposés à ce que j'entreprenne des études artistiques –, j'ai d'abord opté pour un cursus académique. Par la suite, j'ai étudié la sérigraphie à la Cambre et j'ai suivi des cours de peinture dans une académie pendant 11 ans. Il y a environ dix ans, j'ai toutefois choisi de m'accomplir dans la création. Avec, d'emblée, une soif d'innover tant dans le domaine artistique que sur le plan technologique. L'aspect recherche et développement figure au centre de ma démarche.

 

Au premier abord, votre projet peut sembler assez abstrait. Pourtant, il vous a ouvert les portes des plus grandes maisons de mode.

Sur base de mon premier projet – un tissu composite contemporain basé sur une dentelle de Calais traditionnelle réinventée grâce à l'ajout de polymères –, j'ai frappé aux portes des grandes marques de luxe. L'une d'elles – peut-être la plus connue de toutes – m'a répondu tout de suite. Dans la foulée, j'ai signé un contrat de confidentialité avec cette maison. Notre collaboration a duré huit ans. Chaque saison, je leur proposais de nouvelles matières en phase avec le thème de leurs collections. Toujours dans l'ombre. Ça faisait partie du contrat. J'ai également collaboré, de manière plus épisodique, avec Dior, Balenciaga, Alaïa...

 

Aujourd'hui, vous avez pris de la distance par rapport à ce secteur. Pourquoi ?

La mode est un secteur très exigent. Vous travaillez dans l'ombre, à un rythme extrêmement soutenu. Aucune approximation n'est possible. Comme mes produits étaient très spécifiques et que rien de ce que je créais ne portait ma signature, je risquais, un jour ou l'autre, de tout perdre et ne plus pouvoir rebondir. Je voulais me repositionner avant qu'il ne soit trop tard. Neuf ans après le démarrage de mon activité, j'ai donc choisi de plancher à nouveau sur mon business plan. Lorsque j'ai envisagé de changer de registre, j'ai capitalisé sur les tapisseries contemporaines que j'avais pu présenter, en marge de ma première activité, dans le cadre d'expositions internationales organisées, entre autres, par WBDM.

 

Vous avez toutefois gardé un pied dans le milieu de la mode. En toute franchise, entre mode et design, avez-vous une préférence ?

En 2016, j'ai en effet lancé une collection d'écharpes en laine et cachemire. En tout, j'ai créé une petite quarantaine de motifs. Il s'agit de réinterprétations abstraites de mon travail sur les matières et les textures. En soi, ce produit cadre avec mes autres projets puisqu'il repose sur une recherche technique très précise. Pour éviter que la matière ne se distende, j'ai notamment fait en sorte que la soie – déclinée en deux mètres de long – ait le même poids que la doublure en cachemire. Et pour que le résultat soit optimal, les deux faces sont assemblées à la main. J'ai mis des mois à  trouver la personne capable de réaliser ce travail.

 

Malgré votre enthousiasme manifeste à l'égard de cette ligne de foulards, vous avez décidé de faire du design votre priorité.

Je viens de participer au salon parisien Maison & Objet. Ce fut l’occasion de présenter mes produits aux prescripteurs du secteur (designers, architectes d'intérieur...), mais aussi à des galeries, espaces d'art et à des particuliers. À l'heure actuelle, mes tissus opaques et translucides peuvent être déclinés en revêtements muraux ou de colonnes, en paravents et en une foule d'autres applications. Nous gérons nos projets dans une idée de sur-mesure, le plus souvent in situ.

 

Quand vous évoquez votre travail, on sent que votre créativité et votre désir d'innovation ne connaissent aucune limite.

Au studio, nous accordons une importance toute particulière au rendu esthétique de nos produits, mais aussi à la qualité textile. D'autant que le processus créatif et de recherches techniques est élaboré en interne. À ce niveau, je collabore d'ailleurs étroitement avec Pierre-Yves Herzé, mon mari, un ingénieur chimiste passionné, tout comme moi, par cette recherche sur la matière et les couleurs. Dés le début de cette aventure, j'ai travaillé sur base de polymères ‘ecofriendly’ garantis sans solvant. Nos matières sont en outre d'une grande souplesse et dotées d'un touché peau très agréable.

 

Parlez-nous de l'Eggshell, votre nouveau bébé. Lui aussi repose sur un long processus de recherche et développement.

Le point de départ de cette ligne, c'est l'Exposition universelle de Milan en 2015. J'ai été sélectionnée dans le cadre d'un appel à projets sur le thème du recyclage des reliquats de l'agro-alimentaire. J'ai imaginé, à base de coquilles d'œufs recyclées, une matière à la fois souple et résistante aux UV. Pour susciter la curiosité des visiteurs, je l'avais présentée sous forme d'une grande robe très spectaculaire. Ce prototype a attiré l'attention de la Délégation française qui l'a empruntée pour animer le pavillon de la France pendant toute la durée de l'Expo. Ce choix étonnant m’a particulièrement honorée. Lorsque j'ai décroché une bourse d'innovation de la Région wallonne pour ce projet, j'ai compris que l'Eggshell constituait une opportunité unique de me repositionner en dehors de mon créneau mode.

 

Vous aimez brouiller les pistes. En témoigne la série de poufs que vous venez de présenter au salon Maison&Objet.

Je joue volontiers avec le concept de trompe-l'œil. J'adore quand on croit apercevoir du métal, mais qu'il s'agit en fait de laine ou qu'on puisse confondre un tissu et un polymère. Cette magie créée par des matières inconnues et surprenantes, c'est un peu ma signature. Une signature que j'ai, cette fois, bien l'intention d'exploiter au maximum.

 

Par Marie Honnay

 

Plus d'infos

 

WBDM s'associe à TLmagazine pour promouvoir et diffuser la créativité et le talent belges à l'international. Pour découvrir plus d'articles sur la créativité belge, rendez-vous sur TL Magazine.

 

Innovations techniques appliquées au textile, travail artisanal sur base de matériaux nobles, approche éco-responsable du design... Bien qu'inconnu du grand public, ce studio belge à l'identité très marquée s'apprête à ouvrir un nouveau chapitre de son histoire. Rencontre avec Geneviève Levivier, sa fondatrice.

 

Comment pourrait-on résumer votre parcours ?

Pour rassurer mes parents – plutôt opposés à ce que j'entreprenne des études artistiques –, j'ai d'abord opté pour un cursus académique. Par la suite, j'ai étudié la sérigraphie à la Cambre et j'ai suivi des cours de peinture dans une académie pendant 11 ans. Il y a environ dix ans, j'ai toutefois choisi de m'accomplir dans la création. Avec, d'emblée, une soif d'innover tant dans le domaine artistique que sur le plan technologique. L'aspect recherche et développement figure au centre de ma démarche.

 

Au premier abord, votre projet peut sembler assez abstrait. Pourtant, il vous a ouvert les portes des plus grandes maisons de mode.

Sur base de mon premier projet – un tissu composite contemporain basé sur une dentelle de Calais traditionnelle réinventée grâce à l'ajout de polymères –, j'ai frappé aux portes des grandes marques de luxe. L'une d'elles – peut-être la plus connue de toutes – m'a répondu tout de suite. Dans la foulée, j'ai signé un contrat de confidentialité avec cette maison. Notre collaboration a duré huit ans. Chaque saison, je leur proposais de nouvelles matières en phase avec le thème de leurs collections. Toujours dans l'ombre. Ça faisait partie du contrat. J'ai également collaboré, de manière plus épisodique, avec Dior, Balenciaga, Alaïa...

 

Aujourd'hui, vous avez pris de la distance par rapport à ce secteur. Pourquoi ?

La mode est un secteur très exigent. Vous travaillez dans l'ombre, à un rythme extrêmement soutenu. Aucune approximation n'est possible. Comme mes produits étaient très spécifiques et que rien de ce que je créais ne portait ma signature, je risquais, un jour ou l'autre, de tout perdre et ne plus pouvoir rebondir. Je voulais me repositionner avant qu'il ne soit trop tard. Neuf ans après le démarrage de mon activité, j'ai donc choisi de plancher à nouveau sur mon business plan. Lorsque j'ai envisagé de changer de registre, j'ai capitalisé sur les tapisseries contemporaines que j'avais pu présenter, en marge de ma première activité, dans le cadre d'expositions internationales organisées, entre autres, par WBDM.

 

Vous avez toutefois gardé un pied dans le milieu de la mode. En toute franchise, entre mode et design, avez-vous une préférence ?

En 2016, j'ai en effet lancé une collection d'écharpes en laine et cachemire. En tout, j'ai créé une petite quarantaine de motifs. Il s'agit de réinterprétations abstraites de mon travail sur les matières et les textures. En soi, ce produit cadre avec mes autres projets puisqu'il repose sur une recherche technique très précise. Pour éviter que la matière ne se distende, j'ai notamment fait en sorte que la soie – déclinée en deux mètres de long – ait le même poids que la doublure en cachemire. Et pour que le résultat soit optimal, les deux faces sont assemblées à la main. J'ai mis des mois à  trouver la personne capable de réaliser ce travail.

 

Malgré votre enthousiasme manifeste à l'égard de cette ligne de foulards, vous avez décidé de faire du design votre priorité.

Je viens de participer au salon parisien Maison & Objet. Ce fut l’occasion de présenter mes produits aux prescripteurs du secteur (designers, architectes d'intérieur...), mais aussi à des galeries, espaces d'art et à des particuliers. À l'heure actuelle, mes tissus opaques et translucides peuvent être déclinés en revêtements muraux ou de colonnes, en paravents et en une foule d'autres applications. Nous gérons nos projets dans une idée de sur-mesure, le plus souvent in situ.

 

Quand vous évoquez votre travail, on sent que votre créativité et votre désir d'innovation ne connaissent aucune limite.

Au studio, nous accordons une importance toute particulière au rendu esthétique de nos produits, mais aussi à la qualité textile. D'autant que le processus créatif et de recherches techniques est élaboré en interne. À ce niveau, je collabore d'ailleurs étroitement avec Pierre-Yves Herzé, mon mari, un ingénieur chimiste passionné, tout comme moi, par cette recherche sur la matière et les couleurs. Dés le début de cette aventure, j'ai travaillé sur base de polymères ‘ecofriendly’ garantis sans solvant. Nos matières sont en outre d'une grande souplesse et dotées d'un touché peau très agréable.

 

Parlez-nous de l'Eggshell, votre nouveau bébé. Lui aussi repose sur un long processus de recherche et développement.

Le point de départ de cette ligne, c'est l'Exposition universelle de Milan en 2015. J'ai été sélectionnée dans le cadre d'un appel à projets sur le thème du recyclage des reliquats de l'agro-alimentaire. J'ai imaginé, à base de coquilles d'œufs recyclées, une matière à la fois souple et résistante aux UV. Pour susciter la curiosité des visiteurs, je l'avais présentée sous forme d'une grande robe très spectaculaire. Ce prototype a attiré l'attention de la Délégation française qui l'a empruntée pour animer le pavillon de la France pendant toute la durée de l'Expo. Ce choix étonnant m’a particulièrement honorée. Lorsque j'ai décroché une bourse d'innovation de la Région wallonne pour ce projet, j'ai compris que l'Eggshell constituait une opportunité unique de me repositionner en dehors de mon créneau mode.

 

Vous aimez brouiller les pistes. En témoigne la série de poufs que vous venez de présenter au salon Maison&Objet.

Je joue volontiers avec le concept de trompe-l'œil. J'adore quand on croit apercevoir du métal, mais qu'il s'agit en fait de laine ou qu'on puisse confondre un tissu et un polymère. Cette magie créée par des matières inconnues et surprenantes, c'est un peu ma signature. Une signature que j'ai, cette fois, bien l'intention d'exploiter au maximum.

 

Par Marie Honnay

 

Plus d'infos

 

WBDM s'associe à TLmagazine pour promouvoir et diffuser la créativité et le talent belges à l'international. Pour découvrir plus d'articles sur la créativité belge, rendez-vous sur TL Magazine.

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Le "Groupement européen de coopération territoriale (GECT) – Autorité de gestion du programme INTERREG V A Grande Région", basé à Luxembourg, recrute un(e) nouveau / nouvelle chargé(e) de mission "gestion informatique" pour son équipe du Secrétariat Conjoint. L’autorité de gestion et le Secrétariat conjoint sont responsables de la mise en œuvre administrative et financière du programme de coopération. Les membres du GECT sont le Conseil régional Grand Est et le Ministère du Développement durable et des Infrastructures du Grand-Duché de Luxembourg.

 

La description détaillée du poste à pourvoir est disponible ici.

 

La date limite de dépôt des candidatures est le 22 décembre 2017 à 17 heures.

Le "Groupement européen de coopération territoriale (GECT) – Autorité de gestion du programme INTERREG V A Grande Région", basé à Luxembourg, recrute un(e) nouveau / nouvelle chargé(e) de mission "gestion informatique" pour son équipe du Secrétariat Conjoint. L’autorité de gestion et le Secrétariat conjoint sont responsables de la mise en œuvre administrative et financière du programme de coopération. Les membres du GECT sont le Conseil régional Grand Est et le Ministère du Développement durable et des Infrastructures du Grand-Duché de Luxembourg.

 

La description détaillée du poste à pourvoir est disponible ici.

 

La date limite de dépôt des candidatures est le 22 décembre 2017 à 17 heures.

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Résidence d'artiste sur l'Ile de Comacina

Ces bourses sont proposées à tout artiste de la Fédération Wallonie-Bruxelles issu du théâtre, de la danse, de la littérature, des arts plastiques et de la musique

 

L’Isola Comacina a été offerte par son propriétaire italien Auguste Caprini au Roi Albert en 1918, en récompense du comportement héroïque de la Belgique durant la Première Guerre mondiale. En 1920, le Roi Albert rétrocède l’île à l’Italie à condition qu’elle contribue aux échanges culturels entre les deux pays et en favorisant la création artistique, par le biais de résidences d’artistes. Trois villas-ateliers y furent construites.  Située sur le Lac de Côme, à une centaine de mètres du rivage de la commune d’Ossuccio, l’île recèle de ruines romaines et médiévales, et est accessible uniquement à la belle saison, de mars à octobre (www.isola-comacina.it).

 

Les trois villas sont destinées à accueillir en résidence des artistes de la Fédération Wallonie-Bruxelles, des artistes de la Communauté flamande et des artistes italiens, pour un travail de réflexion et de création. Le thème de ce travail est laissé à la libre appréciation des artistes. 

 

Chaque résidence aura une durée de 21 jours maximum. Pour l’année 2018, les dates proposées sont les suivantes : 

  • du 14 mai au 3 juin ;
  • du 4 juin au 24 juin ;
  • du 25 juin au 15 juillet ;
  • du 16 juillet au 7 aout ;
  • du 6 août au 26 août ;
  • du 27 août au 16 septembre.

 

Chaque bourse a pour montant la somme de 1.000 euros et inclut la mise à disposition d’une villa.

 

Conditions à respecter impérativement dans le cadre du présent appel :

a) Relativement au dépôt du dossier de candidature :

- Cet appel est destiné à tout artiste pouvant démontrer un lien avec la Fédération Wallonie-Bruxelles et étant domicilié en FWB, ayant achevé son cursus de formation (diplôme de l’enseignement supérieur artistique) ou pouvant témoigner d’une expérience significative et d’une diffusion de son travail (exposition, catalogue,..), faisant état d’une certaine notoriété (cv, exposition, bourses, prix, …), et n’ayant jamais participé à une résidence sur l’Ile de Comacina.

 

Les projets de groupe ne seront pas pris en compte, la résidence étant réservée à des projets individuels.

 

La date ultime du dépôt des dossiers de candidature est fixée au 21 décembre 2017. Aucune candidature ne pourra être reçue postérieurement à cette date. Le dossier doit impérativement avoir été envoyé par voie électronique (maximum 5 Mo par courriel) à s.nicouleau@wbi.be.

Des éléments complémentaires (catalogues, etc.) peuvent être envoyés par voie postale à l’adresse suivante : WBI - A l’attention de Sandra Nicouleau - 2 Place Sainctelette - 1080 Bruxelles, au plus tard pour la date ultime du 21 décembre 2017 également. 

 

- Composition du dossier : 

  • Formulaire ci-joint au présent appel complété ;
  • Lettre de motivation ou note d’intention ;
  • Curriculum vitae ;
  • Présentation du travail artistique réalisé à ce jour (visuels, extraits de presse…) ;
  • Projet détaillé à développer durant la résidence ;

 

b) Pour les candidats dont la candidature a été retenue par Wallonie-Bruxelles International :

- Les bourses sont octroyées exclusivement à titre professionnel et individuel. L’artiste lauréat ne peut donc en aucun cas être accompagné sur l’île (collaborateur, proche, membre de la famille, etc.). Le non-respect de cette condition pourra entraîner la déchéance du droit à la bourse.

 

- L’artiste est tenu de respecter strictement le règlement d’ordre intérieur d’application sur l’île qui lui sera communiqué lors de la notification de sa sélection. Toute dégradation et/ou non-respect du règlement d’ordre intérieur entrainera une sanction pécuniaire correspondant aux frais supplémentaires en résultant. Le montant dû sera directement prélevé sur le montant de la bourse octroyée ou sera facturé directement à l’artiste si celui-ci a déjà perçu le montant de sa bourse.

 

- A la fin du séjour, l’artiste rédigera un rapport circonstancié de la résidence accompagné des visuels utiles. Une partie de ce rapport sera destinée à alimenter le carnet de bord électronique sur le site de WBI.

 

Les dossiers de candidature seront analysés par une instance d’avis. 

 

Tout artiste présentant un dossier de candidature à Wallonie-Bruxelles International est supposé avoir pris bonne connaissance et accepté les conditions mentionnées dans le présent appel.

Ces bourses sont proposées à tout artiste de la Fédération Wallonie-Bruxelles issu du théâtre, de la danse, de la littérature, des arts plastiques et de la musique

 

L’Isola Comacina a été offerte par son propriétaire italien Auguste Caprini au Roi Albert en 1918, en récompense du comportement héroïque de la Belgique durant la Première Guerre mondiale. En 1920, le Roi Albert rétrocède l’île à l’Italie à condition qu’elle contribue aux échanges culturels entre les deux pays et en favorisant la création artistique, par le biais de résidences d’artistes. Trois villas-ateliers y furent construites.  Située sur le Lac de Côme, à une centaine de mètres du rivage de la commune d’Ossuccio, l’île recèle de ruines romaines et médiévales, et est accessible uniquement à la belle saison, de mars à octobre (www.isola-comacina.it).

 

Les trois villas sont destinées à accueillir en résidence des artistes de la Fédération Wallonie-Bruxelles, des artistes de la Communauté flamande et des artistes italiens, pour un travail de réflexion et de création. Le thème de ce travail est laissé à la libre appréciation des artistes. 

 

Chaque résidence aura une durée de 21 jours maximum. Pour l’année 2018, les dates proposées sont les suivantes : 

  • du 14 mai au 3 juin ;
  • du 4 juin au 24 juin ;
  • du 25 juin au 15 juillet ;
  • du 16 juillet au 7 aout ;
  • du 6 août au 26 août ;
  • du 27 août au 16 septembre.

 

Chaque bourse a pour montant la somme de 1.000 euros et inclut la mise à disposition d’une villa.

 

Conditions à respecter impérativement dans le cadre du présent appel :

a) Relativement au dépôt du dossier de candidature :

- Cet appel est destiné à tout artiste pouvant démontrer un lien avec la Fédération Wallonie-Bruxelles et étant domicilié en FWB, ayant achevé son cursus de formation (diplôme de l’enseignement supérieur artistique) ou pouvant témoigner d’une expérience significative et d’une diffusion de son travail (exposition, catalogue,..), faisant état d’une certaine notoriété (cv, exposition, bourses, prix, …), et n’ayant jamais participé à une résidence sur l’Ile de Comacina.

 

Les projets de groupe ne seront pas pris en compte, la résidence étant réservée à des projets individuels.

 

La date ultime du dépôt des dossiers de candidature est fixée au 21 décembre 2017. Aucune candidature ne pourra être reçue postérieurement à cette date. Le dossier doit impérativement avoir été envoyé par voie électronique (maximum 5 Mo par courriel) à s.nicouleau@wbi.be.

Des éléments complémentaires (catalogues, etc.) peuvent être envoyés par voie postale à l’adresse suivante : WBI - A l’attention de Sandra Nicouleau - 2 Place Sainctelette - 1080 Bruxelles, au plus tard pour la date ultime du 21 décembre 2017 également. 

 

- Composition du dossier : 

  • Formulaire ci-joint au présent appel complété ;
  • Lettre de motivation ou note d’intention ;
  • Curriculum vitae ;
  • Présentation du travail artistique réalisé à ce jour (visuels, extraits de presse…) ;
  • Projet détaillé à développer durant la résidence ;

 

b) Pour les candidats dont la candidature a été retenue par Wallonie-Bruxelles International :

- Les bourses sont octroyées exclusivement à titre professionnel et individuel. L’artiste lauréat ne peut donc en aucun cas être accompagné sur l’île (collaborateur, proche, membre de la famille, etc.). Le non-respect de cette condition pourra entraîner la déchéance du droit à la bourse.

 

- L’artiste est tenu de respecter strictement le règlement d’ordre intérieur d’application sur l’île qui lui sera communiqué lors de la notification de sa sélection. Toute dégradation et/ou non-respect du règlement d’ordre intérieur entrainera une sanction pécuniaire correspondant aux frais supplémentaires en résultant. Le montant dû sera directement prélevé sur le montant de la bourse octroyée ou sera facturé directement à l’artiste si celui-ci a déjà perçu le montant de sa bourse.

 

- A la fin du séjour, l’artiste rédigera un rapport circonstancié de la résidence accompagné des visuels utiles. Une partie de ce rapport sera destinée à alimenter le carnet de bord électronique sur le site de WBI.

 

Les dossiers de candidature seront analysés par une instance d’avis. 

 

Tout artiste présentant un dossier de candidature à Wallonie-Bruxelles International est supposé avoir pris bonne connaissance et accepté les conditions mentionnées dans le présent appel.

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