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Crédit photo : Maison d’édition Claroscuro, Paulina Myślińska

L’anthologie "Bruksela Noir" : Qui connaît les multiples visages de Bruxelles, une capitale cosmopolite où se croisent au quotidien des dizaines de cultures ? Assurément les treize auteurs de ce recueil. Stars du polar ou jeunes plumes prometteuses, scénaristes de bande dessinée ou journalistes, tous ont Bruxelles dans le cœur et tous entraînent les lecteurs dans les rues et quartiers de Bruxelles où ils vivent. A chaque histoire, son quartier. Bienvenue dans les méandres du Palais de justice ou dans les serres du Palais royal, dans les Marolles et à la rue d’Aerschot, à Saint-Gilles et au boulevard Reyers…

 

Avec des nouvelles inédites de Barbara Abel, Ayerdhal, Émilie de Béco, Paul Colize, Jean-Luc Cornette, Patrick Delperdange, Sara Doke, Kenan Görgün, Edgar Kosma, Katia Lanero Zamora, Nadine Monfils, Alfredo Noriega et Bob van Laerhoven.

 

Traducteurs de l’anthologie "Bruksela Noir" : Elżbieta Derelkowska, Agnieszka Fijałkowska-Żydok et Michał Przybysz.

 

Cette publication est soutenue par la Fédération Wallonie-Bruxelles.

 

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L’anthologie "Bruksela Noir" : Qui connaît les multiples visages de Bruxelles, une capitale cosmopolite où se croisent au quotidien des dizaines de cultures ? Assurément les treize auteurs de ce recueil. Stars du polar ou jeunes plumes prometteuses, scénaristes de bande dessinée ou journalistes, tous ont Bruxelles dans le cœur et tous entraînent les lecteurs dans les rues et quartiers de Bruxelles où ils vivent. A chaque histoire, son quartier. Bienvenue dans les méandres du Palais de justice ou dans les serres du Palais royal, dans les Marolles et à la rue d’Aerschot, à Saint-Gilles et au boulevard Reyers…

 

Avec des nouvelles inédites de Barbara Abel, Ayerdhal, Émilie de Béco, Paul Colize, Jean-Luc Cornette, Patrick Delperdange, Sara Doke, Kenan Görgün, Edgar Kosma, Katia Lanero Zamora, Nadine Monfils, Alfredo Noriega et Bob van Laerhoven.

 

Traducteurs de l’anthologie "Bruksela Noir" : Elżbieta Derelkowska, Agnieszka Fijałkowska-Żydok et Michał Przybysz.

 

Cette publication est soutenue par la Fédération Wallonie-Bruxelles.

 

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De gauche à droite : L’artiste Camille Carbonaro, les galeristes Annabel Werbrouck et Fabrice Havenne, le Délégué général Alexander Homann © Fotofabrik

Les résidences photographiques à Fotofabrik BLN BXL : un projet pilote lancé en 2017

En 2017, WBI a soutenu un projet pilote de résidences photographiques à la galerie Fotofabrik BLN BXL à Berlin. Dans ce cadre, trois artistes de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) ont été sélectionnés et ont eu l’opportunité de développer un projet photographique pendant une résidence de deux mois à la Fotofabrik BLN BXL à Berlin. Ces trois projets sont par la suite exposés 4 à 6 semaines dans la galerie en y associant le travail d'un(e) photographe allemand(e) similaire. Les artistes sélectionnés cette année sont Camille Carbonaro, Matthieu Marre et France Dubois.

 

Trois nouvelles résidences et expositions seront soutenues par WBI pour l’année 2018-2019.

 

La première exposition : « Exil » de Camille Carbonaro et Katrin Streicher

L’artiste Camille Carbonaro a été la première à bénéficier de la bourse WBI lors de sa résidence en février-mars 2017. Pendant son séjour berlinois, elle a pu développer son projet photographique et graphique « Immigration – violence de l’âme » portant sur la notion « d’étranger » et la construction de soi dans un territoire inconnu. Comme l’explique Camille Carbonaro, « Photographies, récits et documents brodent divers scénarios au fil des rencontres. La dimension documentaire de ce projet s’allie à une recherche plastique et une réinterprétation des images. Qui est l’étranger? Pourquoi délaisser ses racines à la frontière ? En quoi l’exode est une violence humaine? Cette approche collaborative permet de définir avec sensibilité, la notion d’immigration de nos jours. »

 

Son projet a été présenté au public lors du vernissage le 9 novembre dernier à la Fotofabrik BLN BXL à Berlin. Son travail a été mis en perspective avec l’exposition « home is in my imagination »  de la photographe allemande Katrin Streicher, portant aussi sur l’immigration. La Délégation générale d’Ostbelgien, de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Wallonie s'est associée à cet événement. Le nouveau Délégué général, Alexander Homann, y a accueilli les invités.

 

A vos agendas! L’exposition « Exil » se tiendra à Berlin jusqu’au 10 décembre. Plus d’informations.

 

Vous pouvez aussi noter les dates des prochaines expositions prévues à la Fotofabrik BLN BXL à Berlin :

  • 5 avril – 6 mai 2018 : Exposition du photographe Matthieu Marre
  • Automne 2018 (dates à confirmer) : Exposition de la photographe France Dubois

 

Zoom sur Fotofabrik BLN BXL

En avril 2016, les deux belges Annabel Werbrouck et Fabrice Havenne ont ouvert la galerie Fotofabrik Bln-Bxl à Berlin. L’objectif de ce projet est d'associer le travail de photographes basés en Allemagne et en Belgique à travers cinq à six expositions par an. Le travail de photographes belges est ainsi mis en valeur en utilisant le réseau des photographes allemands, en y exposant conjointement. La galerie se situe dans le quartier Berlin-Neuköln près de l’aéroport de Tempelhof, un des quartiers les plus attractifs à Berlin pour les jeunes et les artistes. 

Les résidences photographiques à Fotofabrik BLN BXL : un projet pilote lancé en 2017

En 2017, WBI a soutenu un projet pilote de résidences photographiques à la galerie Fotofabrik BLN BXL à Berlin. Dans ce cadre, trois artistes de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) ont été sélectionnés et ont eu l’opportunité de développer un projet photographique pendant une résidence de deux mois à la Fotofabrik BLN BXL à Berlin. Ces trois projets sont par la suite exposés 4 à 6 semaines dans la galerie en y associant le travail d'un(e) photographe allemand(e) similaire. Les artistes sélectionnés cette année sont Camille Carbonaro, Matthieu Marre et France Dubois.

 

Trois nouvelles résidences et expositions seront soutenues par WBI pour l’année 2018-2019.

 

La première exposition : « Exil » de Camille Carbonaro et Katrin Streicher

L’artiste Camille Carbonaro a été la première à bénéficier de la bourse WBI lors de sa résidence en février-mars 2017. Pendant son séjour berlinois, elle a pu développer son projet photographique et graphique « Immigration – violence de l’âme » portant sur la notion « d’étranger » et la construction de soi dans un territoire inconnu. Comme l’explique Camille Carbonaro, « Photographies, récits et documents brodent divers scénarios au fil des rencontres. La dimension documentaire de ce projet s’allie à une recherche plastique et une réinterprétation des images. Qui est l’étranger? Pourquoi délaisser ses racines à la frontière ? En quoi l’exode est une violence humaine? Cette approche collaborative permet de définir avec sensibilité, la notion d’immigration de nos jours. »

 

Son projet a été présenté au public lors du vernissage le 9 novembre dernier à la Fotofabrik BLN BXL à Berlin. Son travail a été mis en perspective avec l’exposition « home is in my imagination »  de la photographe allemande Katrin Streicher, portant aussi sur l’immigration. La Délégation générale d’Ostbelgien, de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Wallonie s'est associée à cet événement. Le nouveau Délégué général, Alexander Homann, y a accueilli les invités.

 

A vos agendas! L’exposition « Exil » se tiendra à Berlin jusqu’au 10 décembre. Plus d’informations.

 

Vous pouvez aussi noter les dates des prochaines expositions prévues à la Fotofabrik BLN BXL à Berlin :

  • 5 avril – 6 mai 2018 : Exposition du photographe Matthieu Marre
  • Automne 2018 (dates à confirmer) : Exposition de la photographe France Dubois

 

Zoom sur Fotofabrik BLN BXL

En avril 2016, les deux belges Annabel Werbrouck et Fabrice Havenne ont ouvert la galerie Fotofabrik Bln-Bxl à Berlin. L’objectif de ce projet est d'associer le travail de photographes basés en Allemagne et en Belgique à travers cinq à six expositions par an. Le travail de photographes belges est ainsi mis en valeur en utilisant le réseau des photographes allemands, en y exposant conjointement. La galerie se situe dans le quartier Berlin-Neuköln près de l’aéroport de Tempelhof, un des quartiers les plus attractifs à Berlin pour les jeunes et les artistes. 

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Ce programme permet d’enseigner des matières en français (dans une école d’immersion), ou le français (en tant que français langue étrangère - FLE), aux niveaux maternel, primaire et secondaire inférieur, durant une à trois années scolaires dans l’Etat de Louisiane aux États-Unis.

 

Critères de recevabilité

  • avoir le français comme langue maternelle ou, à défaut avoir une connaissance approfondie de la langue française (pouvoir prouver un niveau C2+); 
  • se prévaloir obligatoirement d’une expérience de minimum 27 mois au moment du dépôt de candidature: 18 mois d’expérience dans l’enseignement en tant que professeur à temps plein (c. à d. 2 années scolaires complètes) + 9 mois d’expérience en relation avec l’enseignement (stages, école de devoirs, etc.) et au moment du dépôt de la candidature, soit être toujours en fonction soit suivre une formation complémentaire pour devenir professeur (formation en FLE, formation pédagogique par ex.) ;
  • être en possession d’un diplôme délivré par une institution d’enseignement supérieur organisée ou subventionnée par la Fédération Wallonie-Bruxelles provenant d’une Haute école de catégorie pédagogique : instituteur maternel ou primaire, agrégés (AESI) en sciences, mathématiques, géographie, histoire ou français avec spécialisation en FLE. 

 

Dépôt des candidatures pour le 31 janvier 2023 au plus tard à l’aide du formulaire à envoyer par voie électronique à bourses@wbi.be  

 

Plus d'infos

Ce programme permet d’enseigner des matières en français (dans une école d’immersion), ou le français (en tant que français langue étrangère - FLE), aux niveaux maternel, primaire et secondaire inférieur, durant une à trois années scolaires dans l’Etat de Louisiane aux États-Unis.

 

Critères de recevabilité

  • avoir le français comme langue maternelle ou, à défaut avoir une connaissance approfondie de la langue française (pouvoir prouver un niveau C2+); 
  • se prévaloir obligatoirement d’une expérience de minimum 27 mois au moment du dépôt de candidature: 18 mois d’expérience dans l’enseignement en tant que professeur à temps plein (c. à d. 2 années scolaires complètes) + 9 mois d’expérience en relation avec l’enseignement (stages, école de devoirs, etc.) et au moment du dépôt de la candidature, soit être toujours en fonction soit suivre une formation complémentaire pour devenir professeur (formation en FLE, formation pédagogique par ex.) ;
  • être en possession d’un diplôme délivré par une institution d’enseignement supérieur organisée ou subventionnée par la Fédération Wallonie-Bruxelles provenant d’une Haute école de catégorie pédagogique : instituteur maternel ou primaire, agrégés (AESI) en sciences, mathématiques, géographie, histoire ou français avec spécialisation en FLE. 

 

Dépôt des candidatures pour le 31 janvier 2023 au plus tard à l’aide du formulaire à envoyer par voie électronique à bourses@wbi.be  

 

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(c) J. Van Belle - WBI

À la croisée des arts visuels, de la musique, de l'architecture, du design et des médias interactifs, le KIKK Festival explore les implications économiques et artistiques des nouvelles technologies. Pour cette 7e édition, l’évènement offrait une programmation autour des « invisibles narratives », s’intéressant ainsi aux conteurs des temps modernes qui utilisent les nouveaux médias pour partager leurs récits de l’invisible. Pendant trois jours, plus de 10 000 visiteurs venus du monde entier se sont pressés dans les rues de Namur pour découvrir cette thématique à travers un vaste de choix d’activités.  

 

Comme chaque année, le KIKK Festival proposait une multitude d’évènements et de rencontres un peu partout dans le centre de la capitale wallonne. Le cœur de tout cet écosystème était indéniablement le KIKK Market, qui se profilait comme une « vitrine de projets innovants et technologiques développés par des startups, artistes, makers ou entrepreneurs belges et internationaux, […] un espace de démonstration et de vente ». Tant les participants et exposants belges que les délégations étrangères invitées par Wallonie-Bruxelles International (WBI) – notamment bordelaises et bavaroises – étaient mis à l’honneur dans cet espace dynamique.  

 

Parallèlement au KIKK Market, des workshops, des panels de discussions, un Little KIKK – espace dédié aux enfants –, des conférences, des KIKK parties et des expositions ont ponctué et transformé la ville de Namur, devenue pour l’occasion un véritable musée à ciel ouvert. Parmi ces dernières, on retiendra les installations de Lawrence Malstaf, un artiste belge qui a particulièrement marqué les esprits en emballant des figurants sous cellophane et en les alignant dans des lieux inédits, comme l’église Notre-Dame d’Harscamp. 

 

Pour la seconde fois dans l’histoire du festival namurois se sont déroulés les KIKK Belfius Awards. Cette remise de prix, présidé par l’Administratrice générale de l’AWEX, Madame Pascale Delcomminette, était l’occasion pour le KIKK Festival et ses six partenaires actifs dans le domaine des startups de récompenser des startups wallonnes et internationales. Les KIKK Belfius Awards récompensent les startups digitales les plus innovantes et créatives en leur accordant un prix, un label de qualité et une visibilité. 

 

Les deux premières récompenses, le Prix Digital Startup (10.000 euros) et le Prix Startup Wallonia (7500 euros), ont été décernées respectivement aux startups MySkillCamp et ALX Systems, tandis que le troisième prix, le Wallonia Export, était attribué à cinq startups – Abrakam, Osimis, Phasya, Selinko et ThingsPlay – leur offrant la prise en charge de leur participation à un salon AWEX ou une consultance auprès d’un spécialiste en commerce extérieur ou des Hotspots Digital Wallonia International. Les deux derniers prix, le Prix Maker (5000 euros) et le Prix Music Tech, ont quant à eux été accordés aux startups Wattsonyou et Mod Duo. 

 

L’édition 2017 du KIKK Festival innovait également en présentant un KIKK Pro Village pour la toute première fois. Cet espace de networking VIP donnait l’occasion de résauter avec des personnes triées sur le volet. Le Pro Village offrait aux participants la chance de côtoyer de manière plus personnelle, aux travers de rendez-vous B2B coordonnés par le réseau EEN et de moments de réseautage, des invités venus de pas moins de quarante-huit pays différents.  

 

Cette édition du KIKK Festival s’est aussi démarquée des éditions précédentes en organisant un KIKK Reboot à Liège le 7 novembre. Cette soirée, basée sur la thématique des Smart Cities, a permis aux participants de revivre l’expérience inspirante du KIKK à travers des conférences et des débats avec, notamment, l’intervention de l’architecte belge Vincent Callebaut

 

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À la croisée des arts visuels, de la musique, de l'architecture, du design et des médias interactifs, le KIKK Festival explore les implications économiques et artistiques des nouvelles technologies. Pour cette 7e édition, l’évènement offrait une programmation autour des « invisibles narratives », s’intéressant ainsi aux conteurs des temps modernes qui utilisent les nouveaux médias pour partager leurs récits de l’invisible. Pendant trois jours, plus de 10 000 visiteurs venus du monde entier se sont pressés dans les rues de Namur pour découvrir cette thématique à travers un vaste de choix d’activités.  

 

Comme chaque année, le KIKK Festival proposait une multitude d’évènements et de rencontres un peu partout dans le centre de la capitale wallonne. Le cœur de tout cet écosystème était indéniablement le KIKK Market, qui se profilait comme une « vitrine de projets innovants et technologiques développés par des startups, artistes, makers ou entrepreneurs belges et internationaux, […] un espace de démonstration et de vente ». Tant les participants et exposants belges que les délégations étrangères invitées par Wallonie-Bruxelles International (WBI) – notamment bordelaises et bavaroises – étaient mis à l’honneur dans cet espace dynamique.  

 

Parallèlement au KIKK Market, des workshops, des panels de discussions, un Little KIKK – espace dédié aux enfants –, des conférences, des KIKK parties et des expositions ont ponctué et transformé la ville de Namur, devenue pour l’occasion un véritable musée à ciel ouvert. Parmi ces dernières, on retiendra les installations de Lawrence Malstaf, un artiste belge qui a particulièrement marqué les esprits en emballant des figurants sous cellophane et en les alignant dans des lieux inédits, comme l’église Notre-Dame d’Harscamp. 

 

Pour la seconde fois dans l’histoire du festival namurois se sont déroulés les KIKK Belfius Awards. Cette remise de prix, présidé par l’Administratrice générale de l’AWEX, Madame Pascale Delcomminette, était l’occasion pour le KIKK Festival et ses six partenaires actifs dans le domaine des startups de récompenser des startups wallonnes et internationales. Les KIKK Belfius Awards récompensent les startups digitales les plus innovantes et créatives en leur accordant un prix, un label de qualité et une visibilité. 

 

Les deux premières récompenses, le Prix Digital Startup (10.000 euros) et le Prix Startup Wallonia (7500 euros), ont été décernées respectivement aux startups MySkillCamp et ALX Systems, tandis que le troisième prix, le Wallonia Export, était attribué à cinq startups – Abrakam, Osimis, Phasya, Selinko et ThingsPlay – leur offrant la prise en charge de leur participation à un salon AWEX ou une consultance auprès d’un spécialiste en commerce extérieur ou des Hotspots Digital Wallonia International. Les deux derniers prix, le Prix Maker (5000 euros) et le Prix Music Tech, ont quant à eux été accordés aux startups Wattsonyou et Mod Duo. 

 

L’édition 2017 du KIKK Festival innovait également en présentant un KIKK Pro Village pour la toute première fois. Cet espace de networking VIP donnait l’occasion de résauter avec des personnes triées sur le volet. Le Pro Village offrait aux participants la chance de côtoyer de manière plus personnelle, aux travers de rendez-vous B2B coordonnés par le réseau EEN et de moments de réseautage, des invités venus de pas moins de quarante-huit pays différents.  

 

Cette édition du KIKK Festival s’est aussi démarquée des éditions précédentes en organisant un KIKK Reboot à Liège le 7 novembre. Cette soirée, basée sur la thématique des Smart Cities, a permis aux participants de revivre l’expérience inspirante du KIKK à travers des conférences et des débats avec, notamment, l’intervention de l’architecte belge Vincent Callebaut

 

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(c) J. Van Belle - WBI

Les 6 et 7 novembre derniers, s’est déroulée la toute première édition du TEKK Tour Digital Wallonia 2017. Cet évènement de deux jours, organisé à Mons et Liège, offrait une programmation axée sur l’innovation et les collaborations d’affaires, comme elle mettait à l’honneur plus de trente technologies wallonnes et internationales de l’Industrie 4.0, de l'Internet des Objets et de la cybersécurité.

 

La première journée du TEKK Tour, à Mons, était consacrée à une série de séminaires techniques sur les thématiques de l’Industrie 4.0, de l'Internet des Objets et de la cybersécurité. C’est devant un public constitué de chercheurs et professionnels venus d’horizons divers que les intervenants, étrangers et belges, ont pu présenter leurs institutions et leurs projets. Cette journée chargée mais néanmoins dynamique et interactive, s’est clôturée par une réception au Mundaneum, un espace d'exposition et centre d'archives situé en plein cœur de Mons. Les participants ont pu y assister à une conférence-débat sur la cryptographie, profiter de visites guidées de l’exposition « Top Secret ! », organisée en collaboration avec l’Université catholique de Louvain (UCL), sous le commissariat scientifique de Jean-Jacques Quisquater, qui explore un monde méconnu, celui des écritures secrètes et des casseurs de codes.

 

La deuxième journée du TEKK Tour amenait les délégations étrangères, venues d’Allemagne, de France, des Pays-Bas, des Pays Nordiques, de Suisse, du Canada, des États-Unis ou encore du Brésil, à Liège, où elles ont pu découvrir le parc scientifique du Sart-Tilman. Par groupes, elles ont pu visiter tour à tour le Wallonia Space Logistics (WSL), Lasea, le Sirris et Technifutur. C’est avec cet aperçu de ce que la Wallonie a à offrir dans les secteurs technologiques et scientifiques que les invités étrangers se sont rendus au centre de la Cité ardente pour une après-midi de B2B et de workshops consacrés aux appels H2020 dans le numérique. La journée s’est clôturée avec le KIKK Reboot, évènement capsule du KIKK Festival, qui célébrait cette année les cultures digitales et créatives.  

 

Premier du genre en Wallonie, ce TEKK Tour a ainsi permis aux participants de prendre part à des B2B, de présenter des projets technologiques tout en s’informant sur les opportunités de collaboration partenariales dans le numérique au travers d’une approche d’innovation ouverte. Il les a également aidé à nouer des liens privilégiés avec les acteurs principaux de la recherche et l’innovation en Wallonie (universités, centres de recherche et entreprises).  

 

Au final, le TEKK Tour Digital Wallonia 2017 offrait une occasion unique de faire des rencontres de qualité et d’interagir avec des représentants industriels ou académiques, les centres de recherche en sciences et technologies, ainsi qu’avec d’autres acteurs socio-économiques. C’est avec de nouvelles idées, de l’inspiration et de nouvelles opportunités de collaboration que les participants ont clôturé leur expérience du TEKK Tour. 

 

Plus d'infos

 

Contact : Pour toute information complémentaire sur cet évènement, vous pouvez prendre contact avec :

 

Jessica Miclotte, Responsable de projets
Service Recherche & Innovation
Wallonie-Bruxelles International
Place Sainctelette, 2
B-1080 Bruxelles, Belgique
Tél : +32 2 421 86 31
e-mail : j.miclotte@wbi.be
http://www.wbi.be

 

Aurore Peteur, Chargée de projets
Service Recherche & Innovation
Wallonie-Bruxelles International
Place Sainctelette, 2
B-1080 Bruxelles, Belgique
Tél : +32 2 421 82 46
e-mail : a.peteur@wbi.be
http://www.wbi.be
 

Les 6 et 7 novembre derniers, s’est déroulée la toute première édition du TEKK Tour Digital Wallonia 2017. Cet évènement de deux jours, organisé à Mons et Liège, offrait une programmation axée sur l’innovation et les collaborations d’affaires, comme elle mettait à l’honneur plus de trente technologies wallonnes et internationales de l’Industrie 4.0, de l'Internet des Objets et de la cybersécurité.

 

La première journée du TEKK Tour, à Mons, était consacrée à une série de séminaires techniques sur les thématiques de l’Industrie 4.0, de l'Internet des Objets et de la cybersécurité. C’est devant un public constitué de chercheurs et professionnels venus d’horizons divers que les intervenants, étrangers et belges, ont pu présenter leurs institutions et leurs projets. Cette journée chargée mais néanmoins dynamique et interactive, s’est clôturée par une réception au Mundaneum, un espace d'exposition et centre d'archives situé en plein cœur de Mons. Les participants ont pu y assister à une conférence-débat sur la cryptographie, profiter de visites guidées de l’exposition « Top Secret ! », organisée en collaboration avec l’Université catholique de Louvain (UCL), sous le commissariat scientifique de Jean-Jacques Quisquater, qui explore un monde méconnu, celui des écritures secrètes et des casseurs de codes.

 

La deuxième journée du TEKK Tour amenait les délégations étrangères, venues d’Allemagne, de France, des Pays-Bas, des Pays Nordiques, de Suisse, du Canada, des États-Unis ou encore du Brésil, à Liège, où elles ont pu découvrir le parc scientifique du Sart-Tilman. Par groupes, elles ont pu visiter tour à tour le Wallonia Space Logistics (WSL), Lasea, le Sirris et Technifutur. C’est avec cet aperçu de ce que la Wallonie a à offrir dans les secteurs technologiques et scientifiques que les invités étrangers se sont rendus au centre de la Cité ardente pour une après-midi de B2B et de workshops consacrés aux appels H2020 dans le numérique. La journée s’est clôturée avec le KIKK Reboot, évènement capsule du KIKK Festival, qui célébrait cette année les cultures digitales et créatives.  

 

Premier du genre en Wallonie, ce TEKK Tour a ainsi permis aux participants de prendre part à des B2B, de présenter des projets technologiques tout en s’informant sur les opportunités de collaboration partenariales dans le numérique au travers d’une approche d’innovation ouverte. Il les a également aidé à nouer des liens privilégiés avec les acteurs principaux de la recherche et l’innovation en Wallonie (universités, centres de recherche et entreprises).  

 

Au final, le TEKK Tour Digital Wallonia 2017 offrait une occasion unique de faire des rencontres de qualité et d’interagir avec des représentants industriels ou académiques, les centres de recherche en sciences et technologies, ainsi qu’avec d’autres acteurs socio-économiques. C’est avec de nouvelles idées, de l’inspiration et de nouvelles opportunités de collaboration que les participants ont clôturé leur expérience du TEKK Tour. 

 

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Contact : Pour toute information complémentaire sur cet évènement, vous pouvez prendre contact avec :

 

Jessica Miclotte, Responsable de projets
Service Recherche & Innovation
Wallonie-Bruxelles International
Place Sainctelette, 2
B-1080 Bruxelles, Belgique
Tél : +32 2 421 86 31
e-mail : j.miclotte@wbi.be
http://www.wbi.be

 

Aurore Peteur, Chargée de projets
Service Recherche & Innovation
Wallonie-Bruxelles International
Place Sainctelette, 2
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Tél : +32 2 421 82 46
e-mail : a.peteur@wbi.be
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(c) J. Van Belle - WBI

L’objectif ? Travailler à l’élaboration de solutions numériques utiles à l’opérationnalisation d’une boîte à outils dédiée au « Libres Ensemble ». Retour sur cette aventure hors du commun !

 

« Libres Ensemble » : une priorité pour la Francophonie et Wallonie-Bruxelles International

Initiative de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), « Libres Ensemble » est un mouvement citoyen de la jeunesse francophone pour promouvoir la paix comme un droit inaliénable, la diversité comme une richesse à chérir et le vivre « Libres Ensemble » comme un choix irrévocable. Lancée en 2016, face au phénomène croissant de radicalisation violente et à l’instrumentalisation de nombreux jeunes, il vise à la libre expression et à l’engagement massif des jeunes francophones des cinq continents dans la manifestation de leur attachement au vivre ensemble, à la diversité, à la liberté, à la vie. Avec plus de 100 000 membres, libresensemble.com est aujourd’hui une plateforme pour exprimer, échanger et promouvoir des projets et bonnes pratiques autour de ces valeurs. 

 

Dans le cadre de cette initiative, WBI, via le Bureau International Jeunesse (BIJ), a organisé plusieurs actions. Ainsi, le BIJ organisait un Agora Jeunes Citoyens sur la thématique en mai 2017, à Tournai. Cette manifestation avait rassemblé une cinquantaine de jeunes porteurs de projets innovants dans l’entreprenariat social afin de renforcer leurs capacités comme agents de développement et de changement au sein de leur communauté, mais aussi d’impulser plusieurs projets collectifs internationaux.

 

Une boîte à outils en quête d’instruments numériques 

Dans cette dynamique, deux ateliers de réflexion et de co-création ont également été organisés par le BIJ et de la Direction Éducation et Jeunesse (DEJ) de l’OIF (mars et juin 2017, Bruxelles) afin d’élaborer une boîte à outils à destination des personnes qui aimeraient promouvoir les valeurs « Libres Ensemble ». Constituée d’une charte des valeurs et d’un référentiel de compétences, elle se compose également d’une série de fiches pratiques et pédagogiques, proposant des outils divers et variés comme la « bibliothèque vivante » – pour laquelle les livres sont des personnes et la lecture prend la forme d’une conversation – ou encore la fiche « Et alors ? » – exercice de simulation à partir d’une phrase choc pour apprendre à respecter l’avis et les opinions d’autrui. Aussi, cette boîte à outils est conçue pour des jeunes ayant idéalement une première expérience de formateur, afin de les préparer à animer des sessions de sensibilisation sur le respect, la solidarité, la liberté, à destination d’autres jeunes, dans le but de susciter leur engagement pour vivre ensemble dans la diversité. 

 

Une première formation à destination de ces animateurs « Libres Ensemble » s’est d’ailleurs tenue début juillet 2017 à Abidjan, en amont des Jeux de la Francophonie. Elle comptait une trentaine de jeunes issus de 16 pays différents et proposait plusieurs ateliers thématiques. Mais si les contenus de cette boîte à outils ont déjà été testés sur le terrain, se posait encore la question des différents canaux de sa diffusion au plus grand nombre ; un questionnement auquel le numérique propose des solutions diverses et variées.

 

« Liège, Tendances numériques » comme champ d’action 

En tant que partenaire de Liège Together, WBI a participé à la programmation du projet collectif 2017 dédié au monde digital : « Liège, Tendances numériques ». Partant du constat de la transformation de notre quotidien par le numérique et de notre nécessité de nous y adapter, cette initiative propose un ensemble d’activités d’éveil, de sensibilisation et de promotion du digital au sein de la métropole liégeoise. Ainsi, d’octobre à décembre 2017, près de 75 rendez-vous – spectacles, conférences, workshops, expositions, démonstrations… – destinés tant aux néophytes qu’aux professionnels, aux jeunes ou aux adultes, invitent à découvrir les potentialités qu’offre le numérique et à réfléchir à son impact sur notre société. 

 

C’est dans le cadre de cette initiative et face aux questions et challenges relevés par le BIJ que WBI et idcampus ont décidé de collaborer dans l’organisation d’une activité commune : un idsprint à dimension internationale, associant jeunes francophones belges et étrangers, dédié à la recherche de solutions numériques utiles à l’opérationnalisation de la boîte à outils dédiée au « Libres Ensemble ». La machine était lancée…

 

Idsprint, une initiative d’idéation créative encadrée

Outil d’accélération d’idées et de projets d’innovation conçu et réalisé par l’équipe d’idcampus – une structure dédiée à la stimulation de projets créatifs, en lien avec HEC-Liège, et acteur incontournable de l’innovation en Cité ardente –, l’idsprint est un processus créatif intensif de trois jours qui permet de générer des solutions créatives et innovantes en réponse à un défi. Inspiré du Design Thinking, il se déroule sur six phases structurées et successives : inspiration, clarification, idéation, développement, motivation et enfin, action. Le cœur de cette approche est de stimuler la créativité d’une équipe pour la conception d’une solution qui répond à de réels besoins. 

 

Un panel de participants diversifié

Immédiatement associée au projet, l’OIF a mobilisé les lauréats du Fonds francophone pour l’innovation numérique (FFIN) qui, aux travers de ses actions, propose de mettre la créativité numérique au service de l’innovation sociale, en réponse aux besoins socio-économiques des pays en développement francophones. Les participants étrangers de l’idsprint ont ainsi été sélectionnés parmi les différents lauréats des innovathons menés ces dernières années en Francophonie, en provenance du Togo, du Bénin, de Tunisie, de Côte d’Ivoire, du Sénégal mais également du Vietnam !

 

Côté belge, WBI, le BIJ et idcampus ont lancé un appel à candidature, leur permettant de sélectionner une dizaine de candidats aux profils divers et variés : étudiants, demandeurs d’emplois, employés, entrepreneurs… Ce sont ainsi des ingénieurs, des informaticiens mais aussi des acteurs des secteurs créatif, commercial, social et de la santé qui ont été amenés à travailler ensemble ; ce qui renforce l’approche multidisciplinaire et ouverte de la démarche.

 

Social et digital : une rencontre au-delà des espérances

Mobilisés du 3 au 7 novembre dans les locaux d’idcampus, ces participants ont eu l’occasion de travailler, en cinq équipes, à la recherche de solutions pratiques et numériques pour la boîte à outils du BIJ. Les ateliers étaient animés par deux coaches énergiques d’idcampus et entrecoupés de visites et moments de réseautage et de découvertes, comme la visite de l’exposition « J’aurai 20 ans en 2030 », organisée dans le cadre du bicentenaire de l’Université de Liège (ULiège). Les participants ont également eu la possibilité d’aller à la rencontre de leur public-cible. Une demi-journée a ainsi été consacrée à la tenue d’entretiens sur le KIKK festival, à Namur, afin de comprendre les représentations et les besoins du public concernant les thématiques abordées par l’idsprint. Ces interviews ont servi de base d’inspiration aux solutions élaborées par les candidats. 

 

Le dernier jour de l’idsprint, les participants ont pu présenter les résultats de leurs travaux devant une assemblée avertie, rehaussée de la présence de Laurence Hermand, Directrice du BIJ, Jean-Christophe Peterkenne, Directeur de Liège Together, Frédéric Ooms, Directeur d’idcampus, mais aussi Arame Diaw, Spécialiste de programme de la Direction de la Francophonie Économique et Numérique (DFEN), notamment en charge du FFIN.

 

Les solutions numériques mises en avant par les participants étaient aussi pratiques que surprenantes. Par exemple, l’équipe travaillant à la fiche « Et alors ? » imaginait la mise en place d’un assistant virtuel, intitulé « TOVIX », installé sur les smartphones équipés d’un clavier virtuel. Ce dernier lirait les phrases saisies et informerait son utilisateur du respect – ou non – de son discours. Le dispositif comporterait également un jeu éducatif, sous forme de quizz, qui apprendrait les bons comportements à adopter sur internet. Son usager gagnerait ainsi des points à échanger contre des lots chez des partenaires. 

 

Un autre groupe de participants, qui travaillait sur la fiche « Alter-Naratif » – processus en deux phases par lequel le public est amené à analyser un discours de haine puis à réfléchir à la manière de concevoir une réaction appropriée – proposait de une application de géolocalisation, nommée « CRACCS » (pour Cyber Citoyens Responsables, Actifs, Critiques, Créatifs et Solidaires), permettant aux personnes témoins ou victimes de discours haineux et de discrimination de témoigner ainsi que de localiser des boîtes d’immersion de réalité virtuelle. Ces dernières, placées dans des lieux stratégiques d’une ville, elles permettraient, grâce à des lunettes de réalité virtuelle et une combinaison intelligente, de vivre des situations de discrimination en faisant ressentir à ses utilisateurs les sensations physiques liées aux situations de rejet social. 

 

En quelques jours seulement, les cinq équipes ont su apporter des réponses non seulement créatives et innovantes mais également tangibles, concrètes et effectives en réponse à la question qui leur était posée. Les représentants du BIJ et de l’OIF ont été séduits par les résultats présentés pour renforcer, par le numérique, l’impact potentiel de la boîte à outils. Tous ont été impressionnés par les solutions apportées qui, selon eux, répondaient aux questions posées et respectaient les valeurs du « Libres Ensemble » tout en apportant un regard neuf sur la façon de gérer la problématique. 

 

En conclusion, au-delà des richesses d’une aventure humaine hors du commun, cet idsprint aura été une expérience pleine d’enseignements : celui amené par la diversité des nationalités mobilisées, celui du travail en équipes multidisciplinaires et enfin, celui du paysage créatif et entrepreneurial wallon, et plus particulièrement celui de la métropole liégeoise. Autant de perspectives que WBI, en collaboration avec l’OIF, entend valoriser au travers d’initiatives connexes de la stratégie numérique pour la Francophonie et de la campagne « Libres Ensemble ».

L’objectif ? Travailler à l’élaboration de solutions numériques utiles à l’opérationnalisation d’une boîte à outils dédiée au « Libres Ensemble ». Retour sur cette aventure hors du commun !

 

« Libres Ensemble » : une priorité pour la Francophonie et Wallonie-Bruxelles International

Initiative de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), « Libres Ensemble » est un mouvement citoyen de la jeunesse francophone pour promouvoir la paix comme un droit inaliénable, la diversité comme une richesse à chérir et le vivre « Libres Ensemble » comme un choix irrévocable. Lancée en 2016, face au phénomène croissant de radicalisation violente et à l’instrumentalisation de nombreux jeunes, il vise à la libre expression et à l’engagement massif des jeunes francophones des cinq continents dans la manifestation de leur attachement au vivre ensemble, à la diversité, à la liberté, à la vie. Avec plus de 100 000 membres, libresensemble.com est aujourd’hui une plateforme pour exprimer, échanger et promouvoir des projets et bonnes pratiques autour de ces valeurs. 

 

Dans le cadre de cette initiative, WBI, via le Bureau International Jeunesse (BIJ), a organisé plusieurs actions. Ainsi, le BIJ organisait un Agora Jeunes Citoyens sur la thématique en mai 2017, à Tournai. Cette manifestation avait rassemblé une cinquantaine de jeunes porteurs de projets innovants dans l’entreprenariat social afin de renforcer leurs capacités comme agents de développement et de changement au sein de leur communauté, mais aussi d’impulser plusieurs projets collectifs internationaux.

 

Une boîte à outils en quête d’instruments numériques 

Dans cette dynamique, deux ateliers de réflexion et de co-création ont également été organisés par le BIJ et de la Direction Éducation et Jeunesse (DEJ) de l’OIF (mars et juin 2017, Bruxelles) afin d’élaborer une boîte à outils à destination des personnes qui aimeraient promouvoir les valeurs « Libres Ensemble ». Constituée d’une charte des valeurs et d’un référentiel de compétences, elle se compose également d’une série de fiches pratiques et pédagogiques, proposant des outils divers et variés comme la « bibliothèque vivante » – pour laquelle les livres sont des personnes et la lecture prend la forme d’une conversation – ou encore la fiche « Et alors ? » – exercice de simulation à partir d’une phrase choc pour apprendre à respecter l’avis et les opinions d’autrui. Aussi, cette boîte à outils est conçue pour des jeunes ayant idéalement une première expérience de formateur, afin de les préparer à animer des sessions de sensibilisation sur le respect, la solidarité, la liberté, à destination d’autres jeunes, dans le but de susciter leur engagement pour vivre ensemble dans la diversité. 

 

Une première formation à destination de ces animateurs « Libres Ensemble » s’est d’ailleurs tenue début juillet 2017 à Abidjan, en amont des Jeux de la Francophonie. Elle comptait une trentaine de jeunes issus de 16 pays différents et proposait plusieurs ateliers thématiques. Mais si les contenus de cette boîte à outils ont déjà été testés sur le terrain, se posait encore la question des différents canaux de sa diffusion au plus grand nombre ; un questionnement auquel le numérique propose des solutions diverses et variées.

 

« Liège, Tendances numériques » comme champ d’action 

En tant que partenaire de Liège Together, WBI a participé à la programmation du projet collectif 2017 dédié au monde digital : « Liège, Tendances numériques ». Partant du constat de la transformation de notre quotidien par le numérique et de notre nécessité de nous y adapter, cette initiative propose un ensemble d’activités d’éveil, de sensibilisation et de promotion du digital au sein de la métropole liégeoise. Ainsi, d’octobre à décembre 2017, près de 75 rendez-vous – spectacles, conférences, workshops, expositions, démonstrations… – destinés tant aux néophytes qu’aux professionnels, aux jeunes ou aux adultes, invitent à découvrir les potentialités qu’offre le numérique et à réfléchir à son impact sur notre société. 

 

C’est dans le cadre de cette initiative et face aux questions et challenges relevés par le BIJ que WBI et idcampus ont décidé de collaborer dans l’organisation d’une activité commune : un idsprint à dimension internationale, associant jeunes francophones belges et étrangers, dédié à la recherche de solutions numériques utiles à l’opérationnalisation de la boîte à outils dédiée au « Libres Ensemble ». La machine était lancée…

 

Idsprint, une initiative d’idéation créative encadrée

Outil d’accélération d’idées et de projets d’innovation conçu et réalisé par l’équipe d’idcampus – une structure dédiée à la stimulation de projets créatifs, en lien avec HEC-Liège, et acteur incontournable de l’innovation en Cité ardente –, l’idsprint est un processus créatif intensif de trois jours qui permet de générer des solutions créatives et innovantes en réponse à un défi. Inspiré du Design Thinking, il se déroule sur six phases structurées et successives : inspiration, clarification, idéation, développement, motivation et enfin, action. Le cœur de cette approche est de stimuler la créativité d’une équipe pour la conception d’une solution qui répond à de réels besoins. 

 

Un panel de participants diversifié

Immédiatement associée au projet, l’OIF a mobilisé les lauréats du Fonds francophone pour l’innovation numérique (FFIN) qui, aux travers de ses actions, propose de mettre la créativité numérique au service de l’innovation sociale, en réponse aux besoins socio-économiques des pays en développement francophones. Les participants étrangers de l’idsprint ont ainsi été sélectionnés parmi les différents lauréats des innovathons menés ces dernières années en Francophonie, en provenance du Togo, du Bénin, de Tunisie, de Côte d’Ivoire, du Sénégal mais également du Vietnam !

 

Côté belge, WBI, le BIJ et idcampus ont lancé un appel à candidature, leur permettant de sélectionner une dizaine de candidats aux profils divers et variés : étudiants, demandeurs d’emplois, employés, entrepreneurs… Ce sont ainsi des ingénieurs, des informaticiens mais aussi des acteurs des secteurs créatif, commercial, social et de la santé qui ont été amenés à travailler ensemble ; ce qui renforce l’approche multidisciplinaire et ouverte de la démarche.

 

Social et digital : une rencontre au-delà des espérances

Mobilisés du 3 au 7 novembre dans les locaux d’idcampus, ces participants ont eu l’occasion de travailler, en cinq équipes, à la recherche de solutions pratiques et numériques pour la boîte à outils du BIJ. Les ateliers étaient animés par deux coaches énergiques d’idcampus et entrecoupés de visites et moments de réseautage et de découvertes, comme la visite de l’exposition « J’aurai 20 ans en 2030 », organisée dans le cadre du bicentenaire de l’Université de Liège (ULiège). Les participants ont également eu la possibilité d’aller à la rencontre de leur public-cible. Une demi-journée a ainsi été consacrée à la tenue d’entretiens sur le KIKK festival, à Namur, afin de comprendre les représentations et les besoins du public concernant les thématiques abordées par l’idsprint. Ces interviews ont servi de base d’inspiration aux solutions élaborées par les candidats. 

 

Le dernier jour de l’idsprint, les participants ont pu présenter les résultats de leurs travaux devant une assemblée avertie, rehaussée de la présence de Laurence Hermand, Directrice du BIJ, Jean-Christophe Peterkenne, Directeur de Liège Together, Frédéric Ooms, Directeur d’idcampus, mais aussi Arame Diaw, Spécialiste de programme de la Direction de la Francophonie Économique et Numérique (DFEN), notamment en charge du FFIN.

 

Les solutions numériques mises en avant par les participants étaient aussi pratiques que surprenantes. Par exemple, l’équipe travaillant à la fiche « Et alors ? » imaginait la mise en place d’un assistant virtuel, intitulé « TOVIX », installé sur les smartphones équipés d’un clavier virtuel. Ce dernier lirait les phrases saisies et informerait son utilisateur du respect – ou non – de son discours. Le dispositif comporterait également un jeu éducatif, sous forme de quizz, qui apprendrait les bons comportements à adopter sur internet. Son usager gagnerait ainsi des points à échanger contre des lots chez des partenaires. 

 

Un autre groupe de participants, qui travaillait sur la fiche « Alter-Naratif » – processus en deux phases par lequel le public est amené à analyser un discours de haine puis à réfléchir à la manière de concevoir une réaction appropriée – proposait de une application de géolocalisation, nommée « CRACCS » (pour Cyber Citoyens Responsables, Actifs, Critiques, Créatifs et Solidaires), permettant aux personnes témoins ou victimes de discours haineux et de discrimination de témoigner ainsi que de localiser des boîtes d’immersion de réalité virtuelle. Ces dernières, placées dans des lieux stratégiques d’une ville, elles permettraient, grâce à des lunettes de réalité virtuelle et une combinaison intelligente, de vivre des situations de discrimination en faisant ressentir à ses utilisateurs les sensations physiques liées aux situations de rejet social. 

 

En quelques jours seulement, les cinq équipes ont su apporter des réponses non seulement créatives et innovantes mais également tangibles, concrètes et effectives en réponse à la question qui leur était posée. Les représentants du BIJ et de l’OIF ont été séduits par les résultats présentés pour renforcer, par le numérique, l’impact potentiel de la boîte à outils. Tous ont été impressionnés par les solutions apportées qui, selon eux, répondaient aux questions posées et respectaient les valeurs du « Libres Ensemble » tout en apportant un regard neuf sur la façon de gérer la problématique. 

 

En conclusion, au-delà des richesses d’une aventure humaine hors du commun, cet idsprint aura été une expérience pleine d’enseignements : celui amené par la diversité des nationalités mobilisées, celui du travail en équipes multidisciplinaires et enfin, celui du paysage créatif et entrepreneurial wallon, et plus particulièrement celui de la métropole liégeoise. Autant de perspectives que WBI, en collaboration avec l’OIF, entend valoriser au travers d’initiatives connexes de la stratégie numérique pour la Francophonie et de la campagne « Libres Ensemble ».

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Rudy Demotte, Ministre-Président de la Fédération Wallonie-Bruxelles, et Jovenel Moïse, Président de la République d’Haïti

Dans le cadre du 20ème anniversaire de l’accord de coopération, signé le 30 septembre 1997, entre la République d’Haïti, la Wallonie et la Fédération Wallonie-Bruxelles, le Ministre-Président de la Fédération Wallonie-Bruxelles Rudy Demotte s’est rendu à Port-au-Prince, où il a rencontré le Président de la République d’Haïti Jovenel Moïse, des responsables politiques, des membres de la société civile et de nombreux acteurs culturels.

 

A cette occasion, il a signé avec son homologue haïtien une déclaration d'intention posant les bases du programme de travail pour la période 2018-2023, qui sera discuté lors de la 5e Commission mixte permanente prévue en juin 2018. La formation professionnelle et technique, l'éducation et la culture ont été retenus comme secteurs prioritaires.

Dans le cadre du 20ème anniversaire de l’accord de coopération, signé le 30 septembre 1997, entre la République d’Haïti, la Wallonie et la Fédération Wallonie-Bruxelles, le Ministre-Président de la Fédération Wallonie-Bruxelles Rudy Demotte s’est rendu à Port-au-Prince, où il a rencontré le Président de la République d’Haïti Jovenel Moïse, des responsables politiques, des membres de la société civile et de nombreux acteurs culturels.

 

A cette occasion, il a signé avec son homologue haïtien une déclaration d'intention posant les bases du programme de travail pour la période 2018-2023, qui sera discuté lors de la 5e Commission mixte permanente prévue en juin 2018. La formation professionnelle et technique, l'éducation et la culture ont été retenus comme secteurs prioritaires.

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"Unité 42" (c) Left Field Ventures

Le jury a expliqué son choix par quelques phrases : "
Nous aimerions également octroyer une mention spéciale aux créateurs de la série Unité 42 qui sont parvenus à créer une série classique aussi profonde du point de vue psychologique qu’elle est palpitante du point de vue du scénario. Le jeu d’acteur et la réalisation subliment encore plus une narration de grande qualité."

 

Cette série policière est portée par un duo de policiers, Sam Leroy (Patrick Ridremont) et Billie Vebber (Constance Gay).

 

Encore dévasté par la récente mort de sa femme, Samuel Leroy change de département pour intégrer la Cyber Crime Unit de Bruxelles. Il est confronté à de nouveaux codes et doit apprendre à collaborer avec la jeune idéaliste Billie Vebber, hackeuse fraîchement recrutée qui poursuit clandestinement ses propres objectifs.

 

Sur base d’un scénario d’Annie Carels, Charlotte Joulia, Julie Bertrand, Sammy Fransquet et Anne-Charlotte Hassab, la série Unité 42 est réalisée par Indra Siera, Roel Mondelaers et Hendrik Moonen. Elle est produite par John Engel (Left Field Ventures) et la RTBF avec l’aide du Fonds Fédération Wallonie-Bruxelles – RTBF pour les séries belges, en coproduction avec Proximus, Casa Cafka Pictures Movie Tax Shelter Empowered by Belfius et avec la participation de la Région Bruxelles-Capitale.

 

Plus d'infos sur le Geneva International Film Festival.

 

Retrouvez l'actualité du cinéma et des séries de Wallonie-Bruxelles sur le site de Wallonie-Bruxelles Images.

Le jury a expliqué son choix par quelques phrases : "
Nous aimerions également octroyer une mention spéciale aux créateurs de la série Unité 42 qui sont parvenus à créer une série classique aussi profonde du point de vue psychologique qu’elle est palpitante du point de vue du scénario. Le jeu d’acteur et la réalisation subliment encore plus une narration de grande qualité."

 

Cette série policière est portée par un duo de policiers, Sam Leroy (Patrick Ridremont) et Billie Vebber (Constance Gay).

 

Encore dévasté par la récente mort de sa femme, Samuel Leroy change de département pour intégrer la Cyber Crime Unit de Bruxelles. Il est confronté à de nouveaux codes et doit apprendre à collaborer avec la jeune idéaliste Billie Vebber, hackeuse fraîchement recrutée qui poursuit clandestinement ses propres objectifs.

 

Sur base d’un scénario d’Annie Carels, Charlotte Joulia, Julie Bertrand, Sammy Fransquet et Anne-Charlotte Hassab, la série Unité 42 est réalisée par Indra Siera, Roel Mondelaers et Hendrik Moonen. Elle est produite par John Engel (Left Field Ventures) et la RTBF avec l’aide du Fonds Fédération Wallonie-Bruxelles – RTBF pour les séries belges, en coproduction avec Proximus, Casa Cafka Pictures Movie Tax Shelter Empowered by Belfius et avec la participation de la Région Bruxelles-Capitale.

 

Plus d'infos sur le Geneva International Film Festival.

 

Retrouvez l'actualité du cinéma et des séries de Wallonie-Bruxelles sur le site de Wallonie-Bruxelles Images.

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(c) Fotolia

Il s'agit du 8ème appel à projets de l'ERA-NET CHIST-ERA (Recherche européenne coordonnée sur les défis à long-terme dans les STIC).

 

L’appel à projet 2017 porte sur deux thématiques:

  • La reconnaissance et manipulation d'objets par des robots : partage de données et reproductibilité expérimentale (ORMR)
  • Les masses de données et modélisation des processus pour l'usine du futur (BDSI)

 

Pour soumettre un projet, les chercheurs devront s'associer avec des partenaires issus de trois pays participants au minimum (dont le Québec). Il s’agit donc d’une opportunité pour développer des projets avec des partenaires québécois dans les STIC. En ce qui concerne les modalités financières, le FNRS prévoit un financement maximum de 150.000€ par projet pour une période totale de 3 années (voir règlement PINT-MULTI pour les règles d’éligibilité spécifiques au F.R.S.-FNRS).

 

Le dépôt des projets se fera en deux temps:

  • 11 janvier 2018: date limite pour les pré-propositions
  • Mi-mai 2018: date limite pour les propositions complètes

 

Les lauréats seront informés en octobre 2018, avant le démarrage des projets prévus en décembre 2018.

 

Vous souhaitez plus de renseignements? N’hésitez pas à contacter Mme Florence Quist, en charge de l’appel au FNRS: florence.quist@frs-fnrs.be 

Il s'agit du 8ème appel à projets de l'ERA-NET CHIST-ERA (Recherche européenne coordonnée sur les défis à long-terme dans les STIC).

 

L’appel à projet 2017 porte sur deux thématiques:

  • La reconnaissance et manipulation d'objets par des robots : partage de données et reproductibilité expérimentale (ORMR)
  • Les masses de données et modélisation des processus pour l'usine du futur (BDSI)

 

Pour soumettre un projet, les chercheurs devront s'associer avec des partenaires issus de trois pays participants au minimum (dont le Québec). Il s’agit donc d’une opportunité pour développer des projets avec des partenaires québécois dans les STIC. En ce qui concerne les modalités financières, le FNRS prévoit un financement maximum de 150.000€ par projet pour une période totale de 3 années (voir règlement PINT-MULTI pour les règles d’éligibilité spécifiques au F.R.S.-FNRS).

 

Le dépôt des projets se fera en deux temps:

  • 11 janvier 2018: date limite pour les pré-propositions
  • Mi-mai 2018: date limite pour les propositions complètes

 

Les lauréats seront informés en octobre 2018, avant le démarrage des projets prévus en décembre 2018.

 

Vous souhaitez plus de renseignements? N’hésitez pas à contacter Mme Florence Quist, en charge de l’appel au FNRS: florence.quist@frs-fnrs.be 

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Ces bourses permettent :

  • La réalisation d'un prototype, d'une série limitée d'objets, d'une collection, ou encore d'une recherche spécifique qui, sur le long terme, aboutira à l'élaboration d'un prototype
  • Les demandes doivent être introduites dans le cadre de l'un des appels annoncés sur le site du Service des Arts plastiques de la FWB.

 

Des soutiens pour l'organisation d'un événement, d'une résidence à l'étranger et l'acquisition de matériel peuvent également être sollicités.

 

Le Comité examine les dossiers en tenant compte des critères suivants :

  • Le caractère novateur du projet. L'objectif premier des aides aux prototypages est de soutenir la création. La recherche de matières, de formes, d'esthétiques nouvelles et les sources d'inspiration doivent faire l'objet d'une explication pour permettre au Comité de pénétrer l'univers des projets;
  • La qualité technique, matérielle et esthétique du projet. La qualité fonctionnelle du projet est particulièrement examinée pour les projets relevant du Design;
  • La cohérence entre le propos, les intentions du designer/styliste et le projet en lui-même. En effet, le projet doit comporter une unité, un fil conducteur.

 

Cet appel concerne les créateurs et designers des secteurs mode et design

 

Plus d'infos

 

Formulaires d'inscription

Ces bourses permettent :

  • La réalisation d'un prototype, d'une série limitée d'objets, d'une collection, ou encore d'une recherche spécifique qui, sur le long terme, aboutira à l'élaboration d'un prototype
  • Les demandes doivent être introduites dans le cadre de l'un des appels annoncés sur le site du Service des Arts plastiques de la FWB.

 

Des soutiens pour l'organisation d'un événement, d'une résidence à l'étranger et l'acquisition de matériel peuvent également être sollicités.

 

Le Comité examine les dossiers en tenant compte des critères suivants :

  • Le caractère novateur du projet. L'objectif premier des aides aux prototypages est de soutenir la création. La recherche de matières, de formes, d'esthétiques nouvelles et les sources d'inspiration doivent faire l'objet d'une explication pour permettre au Comité de pénétrer l'univers des projets;
  • La qualité technique, matérielle et esthétique du projet. La qualité fonctionnelle du projet est particulièrement examinée pour les projets relevant du Design;
  • La cohérence entre le propos, les intentions du designer/styliste et le projet en lui-même. En effet, le projet doit comporter une unité, un fil conducteur.

 

Cet appel concerne les créateurs et designers des secteurs mode et design

 

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