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Copyright J. Van Belle - WBI

Une expérience théâtrale à l’image des personnes autistes qui bousculent en permanence nos codes et nous confrontent à nos propres modes de fonctionnement.

 

"Is there life on Mars ?" sonne comme une question existentielle: y a-t-il une autre forme d’existence, une autre façon d’être au monde ?

 

La nouvelle création de la Compagnie "What’s Up ?!" se présente comme un voyage dans l’univers déroutant de l’autisme.

 

La metteuse en scène a effectué un long travail de rencontres et d'interviews auprès de personnes autistes et de leur entourage. Ce spectacle veut leur donner la parole. Comment rendre compte de ces vécus multiples et complexes, souvent méconnus ?

 

Porté par quatre comédiens, cette pièce se veut une expérience théâtrale à l’image des personnes autistes qui bousculent en permanence les codes que nous connaissons et nous confrontent à nos propres modes de fonctionnement.

 

Mise en scène: Héloïse Meire
Scénographie: Cécile Hupin
Avec: Muriel Clairembourg, Jean-Michel D’Hoop, Léonore Frenois, François Regout
Assistante: Esther Sfez
Lumière: Jerôme Dejean
Environnement sonore: Guillaume Istace
Vidéo: Matthieu Bourdon
Assistante vidéo: Emily Brassier
Mouvement: Sandrine Heyraud
Assistante scénographie: Laura Erba
Régie générale: Benoît Ausloos
Régies: Didier Covassin, Simon Pirson, Matthieu Bourdon
Régie son: Jérôme Mylonas
Construction du décor: Les ateliers du Théâtre National Wallonie-Bruxelles

Un spectacle de la compagnie What’s Up ?!
Production: Théâtre National Wallonie-Bruxelles
Coproduction: Festival de Liège Avec l’aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles, service Théâtre et du Prix Henri Goethals, Fondation l’Estacade.

 

Une expérience théâtrale à l’image des personnes autistes qui bousculent en permanence nos codes et nous confrontent à nos propres modes de fonctionnement.

 

"Is there life on Mars ?" sonne comme une question existentielle: y a-t-il une autre forme d’existence, une autre façon d’être au monde ?

 

La nouvelle création de la Compagnie "What’s Up ?!" se présente comme un voyage dans l’univers déroutant de l’autisme.

 

La metteuse en scène a effectué un long travail de rencontres et d'interviews auprès de personnes autistes et de leur entourage. Ce spectacle veut leur donner la parole. Comment rendre compte de ces vécus multiples et complexes, souvent méconnus ?

 

Porté par quatre comédiens, cette pièce se veut une expérience théâtrale à l’image des personnes autistes qui bousculent en permanence les codes que nous connaissons et nous confrontent à nos propres modes de fonctionnement.

 

Mise en scène: Héloïse Meire
Scénographie: Cécile Hupin
Avec: Muriel Clairembourg, Jean-Michel D’Hoop, Léonore Frenois, François Regout
Assistante: Esther Sfez
Lumière: Jerôme Dejean
Environnement sonore: Guillaume Istace
Vidéo: Matthieu Bourdon
Assistante vidéo: Emily Brassier
Mouvement: Sandrine Heyraud
Assistante scénographie: Laura Erba
Régie générale: Benoît Ausloos
Régies: Didier Covassin, Simon Pirson, Matthieu Bourdon
Régie son: Jérôme Mylonas
Construction du décor: Les ateliers du Théâtre National Wallonie-Bruxelles

Un spectacle de la compagnie What’s Up ?!
Production: Théâtre National Wallonie-Bruxelles
Coproduction: Festival de Liège Avec l’aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles, service Théâtre et du Prix Henri Goethals, Fondation l’Estacade.

 

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Piletta ReMix est une fiction radiophonique live.

 

C’est un conte initiatique qui voit son héroïne braver tous les dangers d’un monde qui lui est inconnu, le monde des adultes, pour sauver sa grand-mère malade.

 

C’est une histoire à écouter et à voir, pour découvrir les coulisses d’une création radiophonique; une fable noire et pourtant drôle qui se joue des peurs d’enfants et du monde des grands.

 

C’est une performance d’acteurs, bruiteurs, électro-musiciens, mixeurs qui donnent vie à 13 personnages sous les aléas du direct.

 

De et avec: Florent Barat, Michel Bystranowski, Émilie Praneuf, Benoît Randaxhe et Sébastien Schmitz.

 

Production: Le Collectif Wow! en collaboration avec MoDul asbl, structure d'accompagnement.

Avec l’aide du Ministère la Fédération Wallonie-Bruxelles, direction du Théâtre et du Fonds d’Aide à la Création Radiophonique. Avec le soutien du Centre culturel Jacques Franck, de Woluculture, de la Compagnie Victor B, et de Wallonie-Bruxelles International.

 

Piletta ReMix est une fiction radiophonique live.

 

C’est un conte initiatique qui voit son héroïne braver tous les dangers d’un monde qui lui est inconnu, le monde des adultes, pour sauver sa grand-mère malade.

 

C’est une histoire à écouter et à voir, pour découvrir les coulisses d’une création radiophonique; une fable noire et pourtant drôle qui se joue des peurs d’enfants et du monde des grands.

 

C’est une performance d’acteurs, bruiteurs, électro-musiciens, mixeurs qui donnent vie à 13 personnages sous les aléas du direct.

 

De et avec: Florent Barat, Michel Bystranowski, Émilie Praneuf, Benoît Randaxhe et Sébastien Schmitz.

 

Production: Le Collectif Wow! en collaboration avec MoDul asbl, structure d'accompagnement.

Avec l’aide du Ministère la Fédération Wallonie-Bruxelles, direction du Théâtre et du Fonds d’Aide à la Création Radiophonique. Avec le soutien du Centre culturel Jacques Franck, de Woluculture, de la Compagnie Victor B, et de Wallonie-Bruxelles International.

 

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(c) Fotolia

Le présent avis s’adresse aux candidats externes qui souhaitent se présenter en 2017 au concours du Programme Jeunes Administrateurs dans le réseau professionnel « Gestion et Administration » (MAGNET). Il ne s’adresse pas aux fonctionnaires du Secrétariat de l’ONU.

 

Les critères d’admissibilité au concours sont les suivants:

  • Etre en possession au minimum d’un diplôme universitaire de premier cycle (trois années d’études ou plus) en rapport avec l’une des « principales matières étudiées » énoncés dans le chapitre « Formation » de cet appel à candidature
  • Etre né(e) le 1er janvier 1985 ou avant cette date
  • Maîtriser l’anglais ou le français (être « courant »)
  • Etre ressortissant(e) de l’un des Etats membres qui participent au concours

 

Les dossiers de candidature incomplets ou reçus après la date limite indiquée ci-dessus (à 23h59, heure de New York) ne seront pas examinés. Les candidats sont vivement encouragés à envoyer leurs dossiers le plus tôt possible afin d’éviter tout problème lié à la saturation du site Web juste avant l’expiration du délai. 

 

Les postes sont à pourvoir principalement au sein du Département de la Gestion au siège des Nations Unies à New York, des divisions administratives dans les bureaux hors Siège, des services/sections similaires dans les bureaux sur le terrain, ou de tout autre bureau présentant un besoin pour ce type de profils.

 

Le spécialiste MAGNET (adjoint de 1re classe) est généralement placé sous l’autorité d’un spécialiste hors classe c’est-à-dire du chef de service ou du chef de section. 

 

Les principales attributions attachées au poste de spécialiste MAGNET (adjoint de 1re classe) sont les suivantes, (ces attributions sont génériques et tous les spécialistes MAGNET, adjoints de 1re classe, ne sont pas nécessairement appelés à les exercer) : 

  • gestion des ressources humaines
  • administration générale
  • comptabilité
  • gestion de la paie
  • finance
  • budget
  • approvisionnement
  • audit
  • enquêtes
  • évaluation et gestion de l'analyse
  • analyse de données et intelligence d'affaires
  • gestion des programmes

 

Compétences

  • professionnalisme
  • esprit d'équipe
  • aptitude à planifier et à organiser

 

Formation

Être titulaire au minimum d’un diplôme universitaire du premier cycle (c’est-à-dire un diplôme de licence ou bien un diplôme équivalent correspondant à au moins 3 années d’étude) dans un des domaines suivants:

  • Business & Administration
  • Computing
  • Education
  • Environmental Protection
  • Humanities
  • Law
  • Mathematics & Statistics
  • Security Services
  • Social & Behavioural ScienceSocial Services
  • Transport Services

 

Les candidatures doivent être rentrées pour le 22 août à 23h59, heure de New-York, au plus tard.

 

Offre d'emploi complète

Le présent avis s’adresse aux candidats externes qui souhaitent se présenter en 2017 au concours du Programme Jeunes Administrateurs dans le réseau professionnel « Gestion et Administration » (MAGNET). Il ne s’adresse pas aux fonctionnaires du Secrétariat de l’ONU.

 

Les critères d’admissibilité au concours sont les suivants:

  • Etre en possession au minimum d’un diplôme universitaire de premier cycle (trois années d’études ou plus) en rapport avec l’une des « principales matières étudiées » énoncés dans le chapitre « Formation » de cet appel à candidature
  • Etre né(e) le 1er janvier 1985 ou avant cette date
  • Maîtriser l’anglais ou le français (être « courant »)
  • Etre ressortissant(e) de l’un des Etats membres qui participent au concours

 

Les dossiers de candidature incomplets ou reçus après la date limite indiquée ci-dessus (à 23h59, heure de New York) ne seront pas examinés. Les candidats sont vivement encouragés à envoyer leurs dossiers le plus tôt possible afin d’éviter tout problème lié à la saturation du site Web juste avant l’expiration du délai. 

 

Les postes sont à pourvoir principalement au sein du Département de la Gestion au siège des Nations Unies à New York, des divisions administratives dans les bureaux hors Siège, des services/sections similaires dans les bureaux sur le terrain, ou de tout autre bureau présentant un besoin pour ce type de profils.

 

Le spécialiste MAGNET (adjoint de 1re classe) est généralement placé sous l’autorité d’un spécialiste hors classe c’est-à-dire du chef de service ou du chef de section. 

 

Les principales attributions attachées au poste de spécialiste MAGNET (adjoint de 1re classe) sont les suivantes, (ces attributions sont génériques et tous les spécialistes MAGNET, adjoints de 1re classe, ne sont pas nécessairement appelés à les exercer) : 

  • gestion des ressources humaines
  • administration générale
  • comptabilité
  • gestion de la paie
  • finance
  • budget
  • approvisionnement
  • audit
  • enquêtes
  • évaluation et gestion de l'analyse
  • analyse de données et intelligence d'affaires
  • gestion des programmes

 

Compétences

  • professionnalisme
  • esprit d'équipe
  • aptitude à planifier et à organiser

 

Formation

Être titulaire au minimum d’un diplôme universitaire du premier cycle (c’est-à-dire un diplôme de licence ou bien un diplôme équivalent correspondant à au moins 3 années d’étude) dans un des domaines suivants:

  • Business & Administration
  • Computing
  • Education
  • Environmental Protection
  • Humanities
  • Law
  • Mathematics & Statistics
  • Security Services
  • Social & Behavioural ScienceSocial Services
  • Transport Services

 

Les candidatures doivent être rentrées pour le 22 août à 23h59, heure de New-York, au plus tard.

 

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L’amour, c’est… c’est… c’est compliqué. Daisy Tambour. Ça sonne comme un désir. Et comme un battement de cœur.

 

Vous voyez ? Vous sentez ? Cette chose qu'on ne peut nommer et qui pourtant jaillit du-corps-de-la-pensée-de-la-voix-des-envies-des-rêves-des-angoisses-du-vide de tous les jours.

 

Comment vivre ? À fond ? À moitié ? Sur le plan comptable, à moitié c’est plus rentable. Mais quand l'amour s'en mêle (s'emmêle ?)...

 

Après "Antifreeze solution" (accueilli en 2013), Olivier Thomas, recycleur de petits riens et de lectures en biais, déploie sa petite musique singulière à portée universelle, détricote le sens et le non-sens avec la même gourmandise, entre fête champêtre et infinie poésie. Et la poésie, sur le plateau comme dans la vie, c’est un peu le sourire des minutes qui passent.Un orchestre de poche pour musique de chambre pas bien rangée…

 

A voir jusqu'au 26 juillet ! 

 

Avec: Catherine Delaunay, clarinettes, piano poche, conserve / Laurent Rousseau, guitares, conserve / Olivier Thomas, chant, bidon
Œil extérieur: Véronique Dumont et Vital Schraenen
Création lumière: Vital Schraenen
Création vidéo: Nicolas Marchant
Costume: Odile Dubucq
Production: Rideau de Bruxelles / Tomas&co asbl
Avec l’aide du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Service général de la création artistique
Soutien et diffusion: La Charge du Rhinocéros

L’amour, c’est… c’est… c’est compliqué. Daisy Tambour. Ça sonne comme un désir. Et comme un battement de cœur.

 

Vous voyez ? Vous sentez ? Cette chose qu'on ne peut nommer et qui pourtant jaillit du-corps-de-la-pensée-de-la-voix-des-envies-des-rêves-des-angoisses-du-vide de tous les jours.

 

Comment vivre ? À fond ? À moitié ? Sur le plan comptable, à moitié c’est plus rentable. Mais quand l'amour s'en mêle (s'emmêle ?)...

 

Après "Antifreeze solution" (accueilli en 2013), Olivier Thomas, recycleur de petits riens et de lectures en biais, déploie sa petite musique singulière à portée universelle, détricote le sens et le non-sens avec la même gourmandise, entre fête champêtre et infinie poésie. Et la poésie, sur le plateau comme dans la vie, c’est un peu le sourire des minutes qui passent.Un orchestre de poche pour musique de chambre pas bien rangée…

 

A voir jusqu'au 26 juillet ! 

 

Avec: Catherine Delaunay, clarinettes, piano poche, conserve / Laurent Rousseau, guitares, conserve / Olivier Thomas, chant, bidon
Œil extérieur: Véronique Dumont et Vital Schraenen
Création lumière: Vital Schraenen
Création vidéo: Nicolas Marchant
Costume: Odile Dubucq
Production: Rideau de Bruxelles / Tomas&co asbl
Avec l’aide du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Service général de la création artistique
Soutien et diffusion: La Charge du Rhinocéros

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Si l’on décèle chez Greg des fragments de Mathieu Boogaerts, de Louis Chedid ou encore de Chet Baker, on lui remarquera une tendre singularité et une manière élégante et chaloupée de raconter sa propre histoire.

 

Greg Houben, c’est LA révélation belge de la chanson française en 2017 !

 

Greg a le cœur qui balance. Entre Belgique et Brésil, entre musique et théâtre, entre jazz et chanson française…

 

Alors qu’il roule sa bosse aux quatre coins du monde, il accumule, comme des pépites, des idées de chansons, des mélodies, chacune associée à une rencontre, un voyage, un sentiment… La chanson lui apparaît alors comme une évidence, comme l’élément permettant d’unir son amour pour les mots, pour les mélodies et les histoires.

 

C'est lors d'une tournée au Brésil qu’il saisit l'occasion d'enregistrer ses premières chansons en français.

 

Il invite ses amis musiciens et notamment ceux de la "vieille garde de Portela", école de samba monumentale pour les amener à deux blocs de Copacabana, au studio "Compania dos técnicos", lieu mythique qui a vu défiler les plus grands noms de la musique brésilienne tels que Chico Buarque, Arlindo Cruz, Caetano Veloso, Beth Carvalho… C’est là que la magie s’opère et révèle une série de morceaux délicieux remplis de joie de vivre.

 

De retour à Bruxelles et conscient du joyau qu’il a entre les mains, Greg façonne la matière première à l'image de son univers, unique, loin des exercices de style. C’est dans une formule intime à quatre musiciens qu’il vous présente en primeur ses chansons, ne le ratez surtout pas!

 

A l'AJMI (en face des Doms) jusqu'au 26 juillet !

 

Greg Houben, chant, trompette
Cédric Raymond, basse
Lorenzo Di Maio, guitares
Osman Martins, percussions, cavaquinho, guitare

Production: Allume la mèche
Coproduction: Wooha 

 

Plus d'images : https://www.facebook.com/pg/wallonie.bruxelles.international/photos/?ta…

Si l’on décèle chez Greg des fragments de Mathieu Boogaerts, de Louis Chedid ou encore de Chet Baker, on lui remarquera une tendre singularité et une manière élégante et chaloupée de raconter sa propre histoire.

 

Greg Houben, c’est LA révélation belge de la chanson française en 2017 !

 

Greg a le cœur qui balance. Entre Belgique et Brésil, entre musique et théâtre, entre jazz et chanson française…

 

Alors qu’il roule sa bosse aux quatre coins du monde, il accumule, comme des pépites, des idées de chansons, des mélodies, chacune associée à une rencontre, un voyage, un sentiment… La chanson lui apparaît alors comme une évidence, comme l’élément permettant d’unir son amour pour les mots, pour les mélodies et les histoires.

 

C'est lors d'une tournée au Brésil qu’il saisit l'occasion d'enregistrer ses premières chansons en français.

 

Il invite ses amis musiciens et notamment ceux de la "vieille garde de Portela", école de samba monumentale pour les amener à deux blocs de Copacabana, au studio "Compania dos técnicos", lieu mythique qui a vu défiler les plus grands noms de la musique brésilienne tels que Chico Buarque, Arlindo Cruz, Caetano Veloso, Beth Carvalho… C’est là que la magie s’opère et révèle une série de morceaux délicieux remplis de joie de vivre.

 

De retour à Bruxelles et conscient du joyau qu’il a entre les mains, Greg façonne la matière première à l'image de son univers, unique, loin des exercices de style. C’est dans une formule intime à quatre musiciens qu’il vous présente en primeur ses chansons, ne le ratez surtout pas!

 

A l'AJMI (en face des Doms) jusqu'au 26 juillet !

 

Greg Houben, chant, trompette
Cédric Raymond, basse
Lorenzo Di Maio, guitares
Osman Martins, percussions, cavaquinho, guitare

Production: Allume la mèche
Coproduction: Wooha 

 

Plus d'images : https://www.facebook.com/pg/wallonie.bruxelles.international/photos/?ta…

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Tout a commencé autour d’une table.

 

Comme souvent débutent les histoires de famille. Et les histoires de famille se ressemblent toutes. Et pire même, elles se répètent. Ça, c’est une chose qu’on ne s’explique pas.

 

Quatre acteurs, accompagnés d’une mystérieuse narratrice, dressent sous nos yeux sur un mode tantôt grinçant, tantôt drôle, une multitude de tables familiales. Des tables de repas, des tables de rencontre, de réunion, de travail… Chacune d’entre elles questionne à sa façon la place que l’on occupe au sein de la famille, mais aussi, plus largement, au sein du groupe et de la collectivité. 

 

Mise en scène: Violette Pallaro
Écriture: Violette Pallaro, avec la complicité des comédiens
Jeu: Laura Fautré, Clément Goethals, Thierry Hellin, Lara Persain
Scénographie: Vincent Lemaire
Création lumières: Xavier Lauwers
Création sonore: Félix Mulhenbach
Arrangements vocaux: Fabian Fiorini
Direction vocale: Alberto Di Lena
Régie lumières et plateau: Hadrien Jeangette et Baudouin Lefebvre
Conseil dramaturgique: Mathias Simons
Assistanat à la mise en scène: Alfredo Canavate

Coproduction: Festival de Liège, Théâtre National Wallonie-Bruxelles et Mars, Mons Arts de la Scène.
Avec le soutien de Théâtre et Publics, du Théâtre des Doms à Avignon et du Théâtre de la Cité à Marseille dans le cadre du projet "Résidence croisée-Écritures du Réel" et de la SACD.
Avec l’aide du Théâtre du Public et du Centre Culturel des Riches Claires.
Un projet développé et soutenu dans le cadre de la Chaufferie-Acte1/Liège.  

Tout a commencé autour d’une table.

 

Comme souvent débutent les histoires de famille. Et les histoires de famille se ressemblent toutes. Et pire même, elles se répètent. Ça, c’est une chose qu’on ne s’explique pas.

 

Quatre acteurs, accompagnés d’une mystérieuse narratrice, dressent sous nos yeux sur un mode tantôt grinçant, tantôt drôle, une multitude de tables familiales. Des tables de repas, des tables de rencontre, de réunion, de travail… Chacune d’entre elles questionne à sa façon la place que l’on occupe au sein de la famille, mais aussi, plus largement, au sein du groupe et de la collectivité. 

 

Mise en scène: Violette Pallaro
Écriture: Violette Pallaro, avec la complicité des comédiens
Jeu: Laura Fautré, Clément Goethals, Thierry Hellin, Lara Persain
Scénographie: Vincent Lemaire
Création lumières: Xavier Lauwers
Création sonore: Félix Mulhenbach
Arrangements vocaux: Fabian Fiorini
Direction vocale: Alberto Di Lena
Régie lumières et plateau: Hadrien Jeangette et Baudouin Lefebvre
Conseil dramaturgique: Mathias Simons
Assistanat à la mise en scène: Alfredo Canavate

Coproduction: Festival de Liège, Théâtre National Wallonie-Bruxelles et Mars, Mons Arts de la Scène.
Avec le soutien de Théâtre et Publics, du Théâtre des Doms à Avignon et du Théâtre de la Cité à Marseille dans le cadre du projet "Résidence croisée-Écritures du Réel" et de la SACD.
Avec l’aide du Théâtre du Public et du Centre Culturel des Riches Claires.
Un projet développé et soutenu dans le cadre de la Chaufferie-Acte1/Liège.  

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Après le succès de "Liebman Renégat" au Festival d’Avignon 2016, Riton nous raconte ses débuts triomphants au cinéma puis la jungle du "showbiz" avec toujours autant d’humour belge et d’autodérision !

 

1977, Riton a 13 ans. Au désespoir de sa mère, il est choisi pour tourner dans "Préparez vos mouchoirs" de Bertrand Blier avec Patrick Dewaere et Gérard Depardieu. La scène où il finit dans le lit de Carole Laure fera de lui la vedette du quartier. Fort de cette nouvelle notoriété, il quitte alors l’école à 16 ans et tente sa chance pour devenir acteur. Entre sorties et castings, c’est le Paris des années 80 qu’il découvre aux côtés des stars de l’époque. Mais le rêve initial a du mal à atteindre la réalité.

 

Avec "La Vedette du quartier", Riton nous offre autant l’histoire d’un mec qui se prend les pieds dans les portes du paradis, que celle d’un enfant perdu dans un monde de grands.

 

Au Théâtre des Doms jusqu'au 26 juillet !

 

Texte et interprétation: Riton Liebman
Collaboration artistique à la mise en scène: Jean-Michel Van den Eeyden, assisté de Yannick Duret et Aurélie Alessandroni
Lumières: Xavier Lauwers
Scénographie: Olivier Wiame
Création sonore: Vincent Cahay
Collaboration vidéo: Simon Delecosse

Coproduction: Le Théâtre de Poche (Bruxelles) et L'Ancre (Charleroi)

 

Plus d'images sur : https://www.facebook.com/pg/wallonie.bruxelles.international/photos/?ta…

 

Après le succès de "Liebman Renégat" au Festival d’Avignon 2016, Riton nous raconte ses débuts triomphants au cinéma puis la jungle du "showbiz" avec toujours autant d’humour belge et d’autodérision !

 

1977, Riton a 13 ans. Au désespoir de sa mère, il est choisi pour tourner dans "Préparez vos mouchoirs" de Bertrand Blier avec Patrick Dewaere et Gérard Depardieu. La scène où il finit dans le lit de Carole Laure fera de lui la vedette du quartier. Fort de cette nouvelle notoriété, il quitte alors l’école à 16 ans et tente sa chance pour devenir acteur. Entre sorties et castings, c’est le Paris des années 80 qu’il découvre aux côtés des stars de l’époque. Mais le rêve initial a du mal à atteindre la réalité.

 

Avec "La Vedette du quartier", Riton nous offre autant l’histoire d’un mec qui se prend les pieds dans les portes du paradis, que celle d’un enfant perdu dans un monde de grands.

 

Au Théâtre des Doms jusqu'au 26 juillet !

 

Texte et interprétation: Riton Liebman
Collaboration artistique à la mise en scène: Jean-Michel Van den Eeyden, assisté de Yannick Duret et Aurélie Alessandroni
Lumières: Xavier Lauwers
Scénographie: Olivier Wiame
Création sonore: Vincent Cahay
Collaboration vidéo: Simon Delecosse

Coproduction: Le Théâtre de Poche (Bruxelles) et L'Ancre (Charleroi)

 

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Ce qui aurait pu être un fait divers au temps court se révèle une tragédie contemporaine…

 

Le 16 novembre 1980, Louis Althusser, célèbre philosophe marxiste, communiste convaincu, professeur à l’École normale supérieure de Paris, étrangle sa femme, Hélène.

 

Louis Althusser est reconnu "non responsable" de son acte, selon l’article 64 du Code Pénal qui permet aux criminels atteints de démence de "profiter" de soins psychiatriques, plutôt que de suivre le circuit judiciaire et pénitentiaire habituel. En 1985, Louis Althusser écrit une autobiographie qui sera publiée après sa mort. Son besoin est vital: écrire cet avenir-là, c’est avant tout tenter de redevenir responsable de sa vie. Retrouver une identité. Être à nouveau un sujet devant le tribunal de ses lecteurs.

 

Pourtant l’interrogation reste totale: pourquoi a-t-il tué Hélène ?

 

"Comment la pensée peut-elle être adossée à la folie sans en être simplement l’otage ou le prurit monstrueux ? Comment l’histoire d’une vie peut-elle ainsi glisser dans la folie, et son narrateur en être à ce point conscient ? Comment penser l’auteur d’une telle œuvre ? Le "cas Althusser" peut-il être abandonné aux médecins, aux juges, aux bien-pensants du partage entre la pensée publique et le désir privé ? " (Olivier Corpet)

 

D’après "L’Avenir dure longtemps" de Louis Althusser
Adaptation & mise en scène: Michel Bernard
Avec: Angelo Bison
Scénographie: Thomas Delord
Création Lumière & Vidéo: Marie Kasemierczak
Musique: Christian Coppin (The Social Sanity)
Assistant mise en scène: François Saussus
Construction: Benoît Francart
Régie: Lily Danhaive

Producteur délégué: Le Poème 2
Coproduction: Unités/nomade et Le Poème 2
Avec le soutien de la COCOF
Adaptation non éditée
Texte original: Éditions Stock & IMEC, 1992

 

Plus d'images sur : https://www.facebook.com/pg/wallonie.bruxelles.international/photos/?tab=album&album_id=1566852740044411

Ce qui aurait pu être un fait divers au temps court se révèle une tragédie contemporaine…

 

Le 16 novembre 1980, Louis Althusser, célèbre philosophe marxiste, communiste convaincu, professeur à l’École normale supérieure de Paris, étrangle sa femme, Hélène.

 

Louis Althusser est reconnu "non responsable" de son acte, selon l’article 64 du Code Pénal qui permet aux criminels atteints de démence de "profiter" de soins psychiatriques, plutôt que de suivre le circuit judiciaire et pénitentiaire habituel. En 1985, Louis Althusser écrit une autobiographie qui sera publiée après sa mort. Son besoin est vital: écrire cet avenir-là, c’est avant tout tenter de redevenir responsable de sa vie. Retrouver une identité. Être à nouveau un sujet devant le tribunal de ses lecteurs.

 

Pourtant l’interrogation reste totale: pourquoi a-t-il tué Hélène ?

 

"Comment la pensée peut-elle être adossée à la folie sans en être simplement l’otage ou le prurit monstrueux ? Comment l’histoire d’une vie peut-elle ainsi glisser dans la folie, et son narrateur en être à ce point conscient ? Comment penser l’auteur d’une telle œuvre ? Le "cas Althusser" peut-il être abandonné aux médecins, aux juges, aux bien-pensants du partage entre la pensée publique et le désir privé ? " (Olivier Corpet)

 

D’après "L’Avenir dure longtemps" de Louis Althusser
Adaptation & mise en scène: Michel Bernard
Avec: Angelo Bison
Scénographie: Thomas Delord
Création Lumière & Vidéo: Marie Kasemierczak
Musique: Christian Coppin (The Social Sanity)
Assistant mise en scène: François Saussus
Construction: Benoît Francart
Régie: Lily Danhaive

Producteur délégué: Le Poème 2
Coproduction: Unités/nomade et Le Poème 2
Avec le soutien de la COCOF
Adaptation non éditée
Texte original: Éditions Stock & IMEC, 1992

 

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(c) Courage mon amour Films

Paris pieds nus, de Dominique Abel et Fiona Gordon, est présenté dans la section Variety Critics’ Choice. 

 

Fiona, bibliothécaire canadienne, débarque à Paris, à la rescousse de sa vieille tante Martha, menacée d’internement dans une maison de retraite. Mais Martha a disparu. En chemin, Fiona croise Dom, SDF opportuniste, frimeur et collant qui lui pourrit la vie. Paris pieds nus, le destin drôle et chahuté de trois personnes perdues dans Paris. 

 

Paris pieds nus est produit par Courage mon amour, distribué par Cinéart, vendu à l’internationale par MK2.

 

Le film Une vie de Stéphane Brizé est, quant à lui, présenté dans la section Horizons. 

 

C’est un morceau de vie. La vie de Jeanne du Perthuis des Vauds, entre sa dix-huitième et sa quarante- cinquième année dans la Normandie de la première moitié du XIXe siècle. L’histoire d’une femme hypersensible, trop protégée et en quête d’absolu, incapable de faire face à la brutale réalité du monde. C’est l’histoire d’un deuil impossible, celui du paradis perdu de l’enfance. 

 

Une vie est coproduit en Belgique par Versus Production et en France par TS Productions, distribué en Belgique par O’Brother Distribution et en France par Diaphana Films et également vendu à l’internationale par MK2.  

 

A noter aussi la présence de Blue Silence de Bülent Öztürk dans la compétition East of the West. Ce long métrage est coproduit chez nous par Daylight Films.

 

Ces trois films ont été soutenus par le Centre du Cinéma et de l’Audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles. 

 

La 52ème édition du Festival International du Film de Karlovy Vary se tient du 30 juin au 8 juillet. 

Paris pieds nus, de Dominique Abel et Fiona Gordon, est présenté dans la section Variety Critics’ Choice. 

 

Fiona, bibliothécaire canadienne, débarque à Paris, à la rescousse de sa vieille tante Martha, menacée d’internement dans une maison de retraite. Mais Martha a disparu. En chemin, Fiona croise Dom, SDF opportuniste, frimeur et collant qui lui pourrit la vie. Paris pieds nus, le destin drôle et chahuté de trois personnes perdues dans Paris. 

 

Paris pieds nus est produit par Courage mon amour, distribué par Cinéart, vendu à l’internationale par MK2.

 

Le film Une vie de Stéphane Brizé est, quant à lui, présenté dans la section Horizons. 

 

C’est un morceau de vie. La vie de Jeanne du Perthuis des Vauds, entre sa dix-huitième et sa quarante- cinquième année dans la Normandie de la première moitié du XIXe siècle. L’histoire d’une femme hypersensible, trop protégée et en quête d’absolu, incapable de faire face à la brutale réalité du monde. C’est l’histoire d’un deuil impossible, celui du paradis perdu de l’enfance. 

 

Une vie est coproduit en Belgique par Versus Production et en France par TS Productions, distribué en Belgique par O’Brother Distribution et en France par Diaphana Films et également vendu à l’internationale par MK2.  

 

A noter aussi la présence de Blue Silence de Bülent Öztürk dans la compétition East of the West. Ce long métrage est coproduit chez nous par Daylight Films.

 

Ces trois films ont été soutenus par le Centre du Cinéma et de l’Audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles. 

 

La 52ème édition du Festival International du Film de Karlovy Vary se tient du 30 juin au 8 juillet. 

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Le maire de Montréal, M. Denis Coderre, la bourgmestre en fonction de Namur, Mme Anne Barzin, et le président du conseil d'administration de la STM, M. Philippe Schnobb, sont fiers d'annoncer la remise du legs de Namur pour souligner les 375 ans de la fondation de Montréal. Ce legs consiste en une série de panneaux mettant en valeur les liens historiques unissant les deux villes, installés le long des quais de la station Namur du métro de Montréal.

 

« L'année 2017 est une année de festivités. Le 50e anniversaire de i'Expo 67, le 150e anniversaire de la Confédération canadienne et le 375e anniversaire de Montréal : tant d'occasions de célébrer et de nous réapproprier notre histoire. Le legs que nous offre aujourd'hui la Ville de Namur vient consolider cette longue histoire d'amitié qu'entretient la capitale wallonne avec Montréal. Je tiens donc à remercier Namur de prendre part à la fête, mais aussi la STM de solidifier les ponts qui unissent nos deux villes depuis longtemps déjà », a déclaré le maire de Montréal, M. Denis Coderre.

 

« La Ville de Namur est très heureuse de pouvoir s'associer au 375e anniversaire de la Ville de Montréal, avec laquelle elle partage une part d'histoire et des valeurs communes. Nous avons souhaité que le citoyen soit au cœur de notre démarche dans le cadre du legs que nous formalisons aujourd'hui », a ajouté Mme Anne Barzin, bourgmestre en fonction de Namur.

 

« Notre collaboration avec la Ville de Namur remonte à 2007. À cette occasion, nous avions accueilli une délégation namuroise pour le dévoilement d'une plaque commémorative à l'entrée de la station Namur, rappelant l'origine du nom de celle-ci. L'ajout de panneaux historiques le long des quais de la station vient raffermir cette collaboration et s'inscrit parfaitement dans le cadre de notre mission de mettre en valeur notre patrimoine auprès de la clientèle », a expliqué le président du conseil d'administration de la STM, M. Philippe Schnobb.

 

À propos des panneaux

Sur chaque quai, une série de quatre panneaux permet de découvrir les origines du nom de la station. Le premier panneau résume la démarche adoptée par la Ville de Namur dans la réalisation du projet. Le second panneau raconte l'histoire du toponyme « Namur » à Montréal. Le troisième panneau est consacré à la Ville de Namur en Belgique, capitale de la Wallonie. Le quatrième et dernier panneau présente symboliquement les villes de Namur en Outaouais et au Wisconsin, fondées par des immigrants belges. Sur chaque panneau, un portrait d'homme ou de femme illustre concrètement la longue relation d'amitié qui existe entre les Namur d'ici et d'ailleurs.

 

Les habitués de la station Namur, ainsi que les clients de passage, sont invités à examiner de plus près ce legs qui embellira la station pour les années à venir.

 

Renseignements :

  • Frédéric Laloux, Commissaire aux Relations Internationales, Ville de Namur, Tel. + 32 81 24 11 33, frederic.laloux@namur.be
  • Noémie Brière-Marquez, Attachée de presse, Cabinet du maire et du comité exécutif, Ville de Montréal, 514 872-9998, 514 243-1268, noemie.briere-marquez@ville.montreal.qc.ca
  • Isabelle A. Tremblay, Conseillère corporative, Affaires publiques, Société de transport de Montréal, 514 350.0800, poste 84940, isabelle.tremblay@stm.info

 

Source: Société de transport de Montréal

Le maire de Montréal, M. Denis Coderre, la bourgmestre en fonction de Namur, Mme Anne Barzin, et le président du conseil d'administration de la STM, M. Philippe Schnobb, sont fiers d'annoncer la remise du legs de Namur pour souligner les 375 ans de la fondation de Montréal. Ce legs consiste en une série de panneaux mettant en valeur les liens historiques unissant les deux villes, installés le long des quais de la station Namur du métro de Montréal.

 

« L'année 2017 est une année de festivités. Le 50e anniversaire de i'Expo 67, le 150e anniversaire de la Confédération canadienne et le 375e anniversaire de Montréal : tant d'occasions de célébrer et de nous réapproprier notre histoire. Le legs que nous offre aujourd'hui la Ville de Namur vient consolider cette longue histoire d'amitié qu'entretient la capitale wallonne avec Montréal. Je tiens donc à remercier Namur de prendre part à la fête, mais aussi la STM de solidifier les ponts qui unissent nos deux villes depuis longtemps déjà », a déclaré le maire de Montréal, M. Denis Coderre.

 

« La Ville de Namur est très heureuse de pouvoir s'associer au 375e anniversaire de la Ville de Montréal, avec laquelle elle partage une part d'histoire et des valeurs communes. Nous avons souhaité que le citoyen soit au cœur de notre démarche dans le cadre du legs que nous formalisons aujourd'hui », a ajouté Mme Anne Barzin, bourgmestre en fonction de Namur.

 

« Notre collaboration avec la Ville de Namur remonte à 2007. À cette occasion, nous avions accueilli une délégation namuroise pour le dévoilement d'une plaque commémorative à l'entrée de la station Namur, rappelant l'origine du nom de celle-ci. L'ajout de panneaux historiques le long des quais de la station vient raffermir cette collaboration et s'inscrit parfaitement dans le cadre de notre mission de mettre en valeur notre patrimoine auprès de la clientèle », a expliqué le président du conseil d'administration de la STM, M. Philippe Schnobb.

 

À propos des panneaux

Sur chaque quai, une série de quatre panneaux permet de découvrir les origines du nom de la station. Le premier panneau résume la démarche adoptée par la Ville de Namur dans la réalisation du projet. Le second panneau raconte l'histoire du toponyme « Namur » à Montréal. Le troisième panneau est consacré à la Ville de Namur en Belgique, capitale de la Wallonie. Le quatrième et dernier panneau présente symboliquement les villes de Namur en Outaouais et au Wisconsin, fondées par des immigrants belges. Sur chaque panneau, un portrait d'homme ou de femme illustre concrètement la longue relation d'amitié qui existe entre les Namur d'ici et d'ailleurs.

 

Les habitués de la station Namur, ainsi que les clients de passage, sont invités à examiner de plus près ce legs qui embellira la station pour les années à venir.

 

Renseignements :

  • Frédéric Laloux, Commissaire aux Relations Internationales, Ville de Namur, Tel. + 32 81 24 11 33, frederic.laloux@namur.be
  • Noémie Brière-Marquez, Attachée de presse, Cabinet du maire et du comité exécutif, Ville de Montréal, 514 872-9998, 514 243-1268, noemie.briere-marquez@ville.montreal.qc.ca
  • Isabelle A. Tremblay, Conseillère corporative, Affaires publiques, Société de transport de Montréal, 514 350.0800, poste 84940, isabelle.tremblay@stm.info

 

Source: Société de transport de Montréal

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