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Journée internationale de la Francophonie

Chaque année, à la date du 20 mars, est célébrée la Journée internationale de la Francophonie.

 

Les 220 millions de francophones sur les 5 continents fêtent leur langue en partage et la diversité de la Francophonie, à travers des concours de mots, des spectacles, des festivals de films, des rencontres littéraires, des rendez-vous gastronomiques, des expositions artistiques...

 

Découvrez tous les événements soutenus par Wallonie-Bruxelles International ! 

 

 

 

Chaque année, à la date du 20 mars, est célébrée la Journée internationale de la Francophonie.

 

Les 220 millions de francophones sur les 5 continents fêtent leur langue en partage et la diversité de la Francophonie, à travers des concours de mots, des spectacles, des festivals de films, des rencontres littéraires, des rendez-vous gastronomiques, des expositions artistiques...

 

Découvrez tous les événements soutenus par Wallonie-Bruxelles International ! 

 

 

 

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(c) Playtime Films/Entre Chien et Loup

Le MipTV, qui bat son plein actuellement à Cannes, a inauguré son nouvel événement sélectif: les MipDrama Screenings. 

 

"Cet événement est le fruit d’une demande des acheteurs qui ont émis le besoin d’un filtre, face à la quantité de séries qui se créent dans le monde", explique Laurine Garaude, la directrice de la division télé de Reed Midem.

 

Près de 350 acheteurs et une poignée de journalistes sont réunis pour découvrir en avant-première 12 séries à l’envergure internationale sélectionnées par un jury prestigieux composé notamment de Chris Long (Mentalist).

 

Parmi ces 12 séries, Ennemi Public, la nouvelle création télévisuelle issue du "fond série" de la Fédération Wallonie Bruxelles/RTBF, a remporté le "Coup de coeur" du jury.

 

Plus d'infos

 

Retrouvez Wallonie-Bruxelles Images au MIPTV du 4 au 7 avril à Cannes.

 

Découvrez également les aides et services de Wallonie-Bruxelles.  

Le MipTV, qui bat son plein actuellement à Cannes, a inauguré son nouvel événement sélectif: les MipDrama Screenings. 

 

"Cet événement est le fruit d’une demande des acheteurs qui ont émis le besoin d’un filtre, face à la quantité de séries qui se créent dans le monde", explique Laurine Garaude, la directrice de la division télé de Reed Midem.

 

Près de 350 acheteurs et une poignée de journalistes sont réunis pour découvrir en avant-première 12 séries à l’envergure internationale sélectionnées par un jury prestigieux composé notamment de Chris Long (Mentalist).

 

Parmi ces 12 séries, Ennemi Public, la nouvelle création télévisuelle issue du "fond série" de la Fédération Wallonie Bruxelles/RTBF, a remporté le "Coup de coeur" du jury.

 

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Retrouvez Wallonie-Bruxelles Images au MIPTV du 4 au 7 avril à Cannes.

 

Découvrez également les aides et services de Wallonie-Bruxelles.  

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Cette formation vise à développer les compétences des travailleurs de jeunesse pour encourager et soutenir la participation active des jeunes dans les questions environnementales. Des places sont disponibles pour les participants de la Fédération Wallonie-Bruxelles !

 

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Profil des participants

  • Vous avez au moins 18 ans et vous résidez en Fédération Wallonie-Bruxelles,
  • Vous êtes travailleur de jeunesse, animateur, responsable de projets et vous êtes intéressé à utiliser les questions environnementales pour soutenir la participation des jeunes dans les projets E+/JEA,
  • Vous êtes capable de travailler en anglais.
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Comment postuler ?

Inscrivez-vous via le site de Salto (+ copie à thierry.dufour@cfwb.be ou fax: 02 218 81 08) avant le 17 avril.  

 

Le Bureau International Jeunesse et les organisateurs prendront en charge les frais de transports internationaux, de séjour et de programme des participants de la Fédération W-B sélectionnés.

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Cette formation vise à développer les compétences des travailleurs de jeunesse pour encourager et soutenir la participation active des jeunes dans les questions environnementales. Des places sont disponibles pour les participants de la Fédération Wallonie-Bruxelles !

 

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Profil des participants

  • Vous avez au moins 18 ans et vous résidez en Fédération Wallonie-Bruxelles,
  • Vous êtes travailleur de jeunesse, animateur, responsable de projets et vous êtes intéressé à utiliser les questions environnementales pour soutenir la participation des jeunes dans les projets E+/JEA,
  • Vous êtes capable de travailler en anglais.
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Inscrivez-vous via le site de Salto (+ copie à thierry.dufour@cfwb.be ou fax: 02 218 81 08) avant le 17 avril.  

 

Le Bureau International Jeunesse et les organisateurs prendront en charge les frais de transports internationaux, de séjour et de programme des participants de la Fédération W-B sélectionnés.

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Créée à Lisbonne en 1956, la Fondation Calouste Gulbenkian a pour objectif de contribuer à la promotion de la connaissance et à l'amélioration de la qualité de vie des personnes à travers les arts, les oeuvres de bienfaisance, la science et l'éducation. 

 

Dans le cadre des commémorations du 60è anniversaire de sa création, la Fondation remettra à Lisbonne, le 20 juillet, le Prix Calouste Gulbenkian. 

 

Le Prix a pour but de distinguer des personnes ou des institutions dont la réflexion ou les activités ont apporté une contribution significative ou on eu un impact important dans la défense ou dans la promotion des valeurs universelles de la condition humaine, notamment par le respect de la diversité et de la différence, de la culture de la tolérance et dans la relation de l'homme avec la nature, à travers la conservation de l'environnement. 

 

Ce prix, d'une valeur de 250.000 euros, est décidé par le Conseil d'Administration de la Fondation sous proposition d'un jury international présidé par l'ancien Président de la République, Jorge Sampaio; et dont font aussi partie l'ancien Président du Cap-Vert, Pedro Pires, et la Princesse Rym Ali de Jordanie. 

 

Les candidatures peuvent être soumises jusqu'au 15 avril.

 

Plus d'infos

 

 

Créée à Lisbonne en 1956, la Fondation Calouste Gulbenkian a pour objectif de contribuer à la promotion de la connaissance et à l'amélioration de la qualité de vie des personnes à travers les arts, les oeuvres de bienfaisance, la science et l'éducation. 

 

Dans le cadre des commémorations du 60è anniversaire de sa création, la Fondation remettra à Lisbonne, le 20 juillet, le Prix Calouste Gulbenkian. 

 

Le Prix a pour but de distinguer des personnes ou des institutions dont la réflexion ou les activités ont apporté une contribution significative ou on eu un impact important dans la défense ou dans la promotion des valeurs universelles de la condition humaine, notamment par le respect de la diversité et de la différence, de la culture de la tolérance et dans la relation de l'homme avec la nature, à travers la conservation de l'environnement. 

 

Ce prix, d'une valeur de 250.000 euros, est décidé par le Conseil d'Administration de la Fondation sous proposition d'un jury international présidé par l'ancien Président de la République, Jorge Sampaio; et dont font aussi partie l'ancien Président du Cap-Vert, Pedro Pires, et la Princesse Rym Ali de Jordanie. 

 

Les candidatures peuvent être soumises jusqu'au 15 avril.

 

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Blacksheep Bench © Wim Tellier

Une nouvelle journée de travail commence. Routine ou exploration ?

 

D’abord : exploration ! Je ne cherche pas à être un spécialiste de tel ou tel type d’objet. Au contraire, chaque projet est pour moi l’occasion d’aborder une autre fonction ou une autre matière, d’en intégrer toutes les données pour se poser la question : « comment puis-je traduire ce que l’objet et la matière peuvent nous donner de mieux ? ». J’aime revisiter les évidences. Par contre, habitudes et découvertes ne sont pas incompatibles. Je nourris une certaine routine que je nommerais plutôt méthodologie. Elle se construit et s’enrichit chaque jour par l’exploration qu’induisent naturellement les nouveaux projets.

 

Et quelle est cette méthodologie ?

 

Elle tient du tableau d’inspiration ou du « moodboard », qui était par ailleurs le nom de l’exposition consacrée à mon travail et réalisée en 2013 par le Grand Hornu Images (ndlr : depuis rebaptisé CID). Lorsque j’entame un projet, je me documente énormément. J’ai l’envie un peu irréaliste de tout savoir sur le sujet. Ces recherches créent un champ lexical, un réservoir d’inspiration dans lequel je puise les éléments pour raconter une histoire à travers le futur objet. C’est ma façon de lui donner une richesse intérieure, un supplément d’âme, en amont de son apparence. Je commence chaque projet par écrire plutôt que dessiner. L’approche strictement formelle de l’objet ne m’intéresse pas.

 

Un exemple concret pour illustrer cette méthode ?

 

Bien sûr ! Récemment, j’ai dessiné une série de bancs pour MMood au sein de l’entreprise Mintjens, spécialiste du mobilier en chêne. Avec d’autres designers, j’ai été invité par l’entreprise pour créer une gamme de mobilier contemporain. Je me suis intéressé au banc. Le résultat est une collection modulaire et empilable déclinée pour 1, 2 ou 3 personnes. Les bancs sont disponibles en différentes teintes, dont le chêne noir qui a donné le nom à la série : Black Sheep. J’ai abordé ce travail à travers une juxtaposition d’impressions provenant du lieu de production, de la thématique du banc et d’intuitions personnelles. Un aspect ludique, le jeu du saute-mouton, est apparu dans la succession des éléments de différentes tailles. Le banc noir fait un peu figure d’exception, c’est le « mouton noir » de la série. L’authenticité de l’objet « banc » a aussi été de pair avec une recherche de rationalisation poussée des formes et des assemblages. Derrière la simplification extrême du projet, son aspect formel donne les indices de l’histoire que je tente de lui faire raconter. Cette volonté se retrouve dans chacune de mes créations.

 

Loudordesign Studio existe depuis 2003, quels changements remarquez-vous dans votre démarche ?

 

En 2003, tout était à construire. Les projets étaient là mais, pour les faire exister, il a fallu démarcher, aller vers les entreprises. Avec l’expérience, ce sont les marques, les maisons d’édition, parfois même les galeries qui viennent vous trouver. Ce qui change le plus, c’est la géométrie de cette relation en triangle entre le client, l’usager final et le designer. La liberté de création initiale doit s’accorder aux contraintes de production, à l’emploi d’une matière spécifique, aux questions de rentabilité. Les grandes marques ont leur habitudes, leur histoire, leurs exigences. Le designer doit parvenir à répondre aux objectifs tout en inscrivant sa propre vision du produit tout en anticipant les scénarios d’usage du futur objet et son dialogue avec son utilisateur...

 

Un souhait pour l’avenir ?

 

Mon choix de devenir designer était lié à l’envie de voyager. Ce souhait est toujours d’actualité. L’exposition au Grand Hornu Images a beaucoup fait parler de mon travail. Je suis régulièrement présent sur des expositions et des salons internationaux. Paradoxalement, j’ai actuellement beaucoup de collaborations avec des entreprises belges : Vervloet, Vika, Cruso,… La créativité belge se porte et s’exporte bien et c’est tant mieux. Les produits circulent partout dans le monde et créent de nouvelles possibilités de collaborations. Finalement, c’est à travers la vitalité des marques que l’on rencontre son public. Je collabore beaucoup avec les français de Ligne Roset. Inévitablement, la distribution internationale de mes créations m’échappe un peu et l’utilisateur final m’est inconnu. Un souhait serait d’entendre les impressions, de voir l’appropriation des objets par le public.

 

Interview: Sylvie Reversez

Une nouvelle journée de travail commence. Routine ou exploration ?

 

D’abord : exploration ! Je ne cherche pas à être un spécialiste de tel ou tel type d’objet. Au contraire, chaque projet est pour moi l’occasion d’aborder une autre fonction ou une autre matière, d’en intégrer toutes les données pour se poser la question : « comment puis-je traduire ce que l’objet et la matière peuvent nous donner de mieux ? ». J’aime revisiter les évidences. Par contre, habitudes et découvertes ne sont pas incompatibles. Je nourris une certaine routine que je nommerais plutôt méthodologie. Elle se construit et s’enrichit chaque jour par l’exploration qu’induisent naturellement les nouveaux projets.

 

Et quelle est cette méthodologie ?

 

Elle tient du tableau d’inspiration ou du « moodboard », qui était par ailleurs le nom de l’exposition consacrée à mon travail et réalisée en 2013 par le Grand Hornu Images (ndlr : depuis rebaptisé CID). Lorsque j’entame un projet, je me documente énormément. J’ai l’envie un peu irréaliste de tout savoir sur le sujet. Ces recherches créent un champ lexical, un réservoir d’inspiration dans lequel je puise les éléments pour raconter une histoire à travers le futur objet. C’est ma façon de lui donner une richesse intérieure, un supplément d’âme, en amont de son apparence. Je commence chaque projet par écrire plutôt que dessiner. L’approche strictement formelle de l’objet ne m’intéresse pas.

 

Un exemple concret pour illustrer cette méthode ?

 

Bien sûr ! Récemment, j’ai dessiné une série de bancs pour MMood au sein de l’entreprise Mintjens, spécialiste du mobilier en chêne. Avec d’autres designers, j’ai été invité par l’entreprise pour créer une gamme de mobilier contemporain. Je me suis intéressé au banc. Le résultat est une collection modulaire et empilable déclinée pour 1, 2 ou 3 personnes. Les bancs sont disponibles en différentes teintes, dont le chêne noir qui a donné le nom à la série : Black Sheep. J’ai abordé ce travail à travers une juxtaposition d’impressions provenant du lieu de production, de la thématique du banc et d’intuitions personnelles. Un aspect ludique, le jeu du saute-mouton, est apparu dans la succession des éléments de différentes tailles. Le banc noir fait un peu figure d’exception, c’est le « mouton noir » de la série. L’authenticité de l’objet « banc » a aussi été de pair avec une recherche de rationalisation poussée des formes et des assemblages. Derrière la simplification extrême du projet, son aspect formel donne les indices de l’histoire que je tente de lui faire raconter. Cette volonté se retrouve dans chacune de mes créations.

 

Loudordesign Studio existe depuis 2003, quels changements remarquez-vous dans votre démarche ?

 

En 2003, tout était à construire. Les projets étaient là mais, pour les faire exister, il a fallu démarcher, aller vers les entreprises. Avec l’expérience, ce sont les marques, les maisons d’édition, parfois même les galeries qui viennent vous trouver. Ce qui change le plus, c’est la géométrie de cette relation en triangle entre le client, l’usager final et le designer. La liberté de création initiale doit s’accorder aux contraintes de production, à l’emploi d’une matière spécifique, aux questions de rentabilité. Les grandes marques ont leur habitudes, leur histoire, leurs exigences. Le designer doit parvenir à répondre aux objectifs tout en inscrivant sa propre vision du produit tout en anticipant les scénarios d’usage du futur objet et son dialogue avec son utilisateur...

 

Un souhait pour l’avenir ?

 

Mon choix de devenir designer était lié à l’envie de voyager. Ce souhait est toujours d’actualité. L’exposition au Grand Hornu Images a beaucoup fait parler de mon travail. Je suis régulièrement présent sur des expositions et des salons internationaux. Paradoxalement, j’ai actuellement beaucoup de collaborations avec des entreprises belges : Vervloet, Vika, Cruso,… La créativité belge se porte et s’exporte bien et c’est tant mieux. Les produits circulent partout dans le monde et créent de nouvelles possibilités de collaborations. Finalement, c’est à travers la vitalité des marques que l’on rencontre son public. Je collabore beaucoup avec les français de Ligne Roset. Inévitablement, la distribution internationale de mes créations m’échappe un peu et l’utilisateur final m’est inconnu. Un souhait serait d’entendre les impressions, de voir l’appropriation des objets par le public.

 

Interview: Sylvie Reversez

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En raison des événements qui se sont produits aujourd’hui à Bruxelles, la soirée de ce 22 mars est reportée.

Le spectacle Pulsion vitale s'inspire de danses traditionnelles burkinabé et burundaise au travers d'une écriture contemporaine du mouvement. Il est le fruit d'une collaboration entre Zam Ebale, danseur et chorégraphe, et Laurent Blondiau, musicien. Ces deux artistes sont soutenus par Wallonie-Bruxelles International dans le cadre de la coopération avec le Burkina Faso.

Le spectacle a lieu au Centre culturel Wolubilis (Cours Paul-Henri Spaak, 1 à 1200 Wolume-Saint-Lambert) le mardi 22 mars à 19h30. La soirée est suivie d'une réception.

ATTENTION: il absolument nécessaire de s'inscrire à l'adresse c.monnom@wbi.be en renvoyant le carton-réponse ci-joint (ou au 02/421.83.30 ou 83.51). L'entrée est ouverte à tous sous réserve des places disponibles car le nombre de places est limité.

En raison des événements qui se sont produits aujourd’hui à Bruxelles, la soirée de ce 22 mars est reportée.

Le spectacle Pulsion vitale s'inspire de danses traditionnelles burkinabé et burundaise au travers d'une écriture contemporaine du mouvement. Il est le fruit d'une collaboration entre Zam Ebale, danseur et chorégraphe, et Laurent Blondiau, musicien. Ces deux artistes sont soutenus par Wallonie-Bruxelles International dans le cadre de la coopération avec le Burkina Faso.

Le spectacle a lieu au Centre culturel Wolubilis (Cours Paul-Henri Spaak, 1 à 1200 Wolume-Saint-Lambert) le mardi 22 mars à 19h30. La soirée est suivie d'une réception.

ATTENTION: il absolument nécessaire de s'inscrire à l'adresse c.monnom@wbi.be en renvoyant le carton-réponse ci-joint (ou au 02/421.83.30 ou 83.51). L'entrée est ouverte à tous sous réserve des places disponibles car le nombre de places est limité.

Documents liés

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Ces postes sont à pourvoir auprès du Département de l’Assemblée générale et de la gestion des conférences de l'ONU, au Siège de New-York, à Genève, à Nairobi et à Vienne, ainsi que dans les commissions régionales, le cas échéant. Ces postes sont placés sous la supervision générale du chef de la section ou du service d’interprétation ou de la section ou du service linguistique, selon le cas. 

 

Les dossiers de candidatures doivent être rentrés pour le 7 avril.

 

Le concours de recrutement aura lieu, en principe, les 8 et 9 juin 2016 à New York, Genève et dans d’autres villes, en fonction du nombre de candidats qualifiés et de leur lieu de résidence.

 

Responsabilités

Dans la limite des pouvoirs qui lui sont délégués, l’interprète sera amené à accomplir les tâches suivantes :

  • Assurer le service de sept séances (huit exceptionnellement) par semaine au maximum, généralement d’une durée de trois heures au plus, pour divers organes de l’Organisation des Nations Unies
  • Assurer l’interprétation vers le français de discours prononcés en anglais et en espagnol et/ou russe
  • Assurer occasionnellement le service de réunions délicates
  • Assumer la direction de l’ensemble de l’équipe d’interprètes affectée à une réunion donnée
  • S’acquitter éventuellement d’autres tâches connexes

 

Compétences

  • Professionnalisme : Grande capacité de concentration et aptitude à travailler sous pression constante. Connaissance des questions très diverses (politiques, sociales, juridiques, économiques, financières, administratives, scientifiques et techniques) dont s’occupe l’Organisation des Nations Unies
  • Aptitude à la communication : Savoir bien s’exprimer oralement et par écrit; aptitude à écouter les autres, à bien les comprendre et à donner suite comme il convient
  • Esprit d’équipe : Collaborer avec ses collègues afin d’atteindre les objectifs de l’Organisation; solliciter les apports, apprécier à leur juste valeur les idées et la compétence de chacun; être disposé à apprendre d’autrui; aptitude à faire passer l’intérêt de l’équipe avant son avantage personnel
  • Aptitude à planifier et à organiser : Aptitude à définir clairement des buts compatibles avec les stratégies convenues; aptitude à hiérarchiser les activités et tâches prioritaires et réaménager les priorités en fonction des besoins; aptitude à prévoir suffisamment de temps et de ressources pour mener sa tâche à bien; aptitude à tenir compte des risques et des imprévus dans la planification

 

Formation

Diplôme universitaire de premier cycle, de trois ans, délivré par une école d’interprétation reconnue et sanctionnant au moins une année universitaire complète consacrée à l’interprétation. À défaut, diplôme de premier cycle de trois ans (ou un titre équivalent) délivré par une université (ou un établissement de statut équivalent) dont la langue d’enseignement est le français, assorti de 200 jours d’expérience en tant qu’interprète de conférence ou de 200 jours d’expérience dans les domaines de la traduction, de l’édition ou de la rédaction de procès-verbaux de séance.

 

Connaissances linguistiques

  • Parfaite maîtrise du français, qui doit être la langue principale du titulaire (Par « langue principale », on entend la langue vers laquelle le candidat est le plus apte à interpréter)
  • Excellente connaissance dans l’une des combinaisons suivantes: anglais et espagnol; anglais et russe; anglais, espagnol et russe

 

Vous trouverez l'appel à candidature complet ici.

Ces postes sont à pourvoir auprès du Département de l’Assemblée générale et de la gestion des conférences de l'ONU, au Siège de New-York, à Genève, à Nairobi et à Vienne, ainsi que dans les commissions régionales, le cas échéant. Ces postes sont placés sous la supervision générale du chef de la section ou du service d’interprétation ou de la section ou du service linguistique, selon le cas. 

 

Les dossiers de candidatures doivent être rentrés pour le 7 avril.

 

Le concours de recrutement aura lieu, en principe, les 8 et 9 juin 2016 à New York, Genève et dans d’autres villes, en fonction du nombre de candidats qualifiés et de leur lieu de résidence.

 

Responsabilités

Dans la limite des pouvoirs qui lui sont délégués, l’interprète sera amené à accomplir les tâches suivantes :

  • Assurer le service de sept séances (huit exceptionnellement) par semaine au maximum, généralement d’une durée de trois heures au plus, pour divers organes de l’Organisation des Nations Unies
  • Assurer l’interprétation vers le français de discours prononcés en anglais et en espagnol et/ou russe
  • Assurer occasionnellement le service de réunions délicates
  • Assumer la direction de l’ensemble de l’équipe d’interprètes affectée à une réunion donnée
  • S’acquitter éventuellement d’autres tâches connexes

 

Compétences

  • Professionnalisme : Grande capacité de concentration et aptitude à travailler sous pression constante. Connaissance des questions très diverses (politiques, sociales, juridiques, économiques, financières, administratives, scientifiques et techniques) dont s’occupe l’Organisation des Nations Unies
  • Aptitude à la communication : Savoir bien s’exprimer oralement et par écrit; aptitude à écouter les autres, à bien les comprendre et à donner suite comme il convient
  • Esprit d’équipe : Collaborer avec ses collègues afin d’atteindre les objectifs de l’Organisation; solliciter les apports, apprécier à leur juste valeur les idées et la compétence de chacun; être disposé à apprendre d’autrui; aptitude à faire passer l’intérêt de l’équipe avant son avantage personnel
  • Aptitude à planifier et à organiser : Aptitude à définir clairement des buts compatibles avec les stratégies convenues; aptitude à hiérarchiser les activités et tâches prioritaires et réaménager les priorités en fonction des besoins; aptitude à prévoir suffisamment de temps et de ressources pour mener sa tâche à bien; aptitude à tenir compte des risques et des imprévus dans la planification

 

Formation

Diplôme universitaire de premier cycle, de trois ans, délivré par une école d’interprétation reconnue et sanctionnant au moins une année universitaire complète consacrée à l’interprétation. À défaut, diplôme de premier cycle de trois ans (ou un titre équivalent) délivré par une université (ou un établissement de statut équivalent) dont la langue d’enseignement est le français, assorti de 200 jours d’expérience en tant qu’interprète de conférence ou de 200 jours d’expérience dans les domaines de la traduction, de l’édition ou de la rédaction de procès-verbaux de séance.

 

Connaissances linguistiques

  • Parfaite maîtrise du français, qui doit être la langue principale du titulaire (Par « langue principale », on entend la langue vers laquelle le candidat est le plus apte à interpréter)
  • Excellente connaissance dans l’une des combinaisons suivantes: anglais et espagnol; anglais et russe; anglais, espagnol et russe

 

Vous trouverez l'appel à candidature complet ici.

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Festival International du Film Francophone de Namur

Depuis 1986, le Festival International du Film Francophone de Namur, promeut et diffuse des courts et longs métrages (fiction, animation, documentaire, clip), reflets de la diversité de la Francophonie.

 

Le FIFF accueille tous les acteurs de la création cinématographique francophone: réalisateurs, producteurs, scénaristes, comédiens et distributeurs.

 

Il est réellement un lieu de réflexion et de rendez-vous pour les professionnels, notamment grâce aux rencontres et ateliers organisés tout au long de la semaine. Le Festival contribue également à l’éducation des jeunes, via le volet FIFFCampus, en proposant des activités pédagogiques pour les jeunes de 3 à 25 ans.

 

Depuis 1989, les Bayard d'Or récompensent les heureux lauréats des différentes compétitions.

 

Du 30 septembre au 7 octobre, le FIFF vivra sa 31ème édition ! Mais que serait-elle sans les 150 films de qualité qui peupleront les salles?

 

Vous êtes réalisateur ou producteur d'un long ou court métrage issu du monde francophone ? Vous avez réalisé un clip et pensez qu'il mérite une place dans notre compétition ? Alors n'attendez plus et inscrivez vos films en ligne avant le 15 juin

Depuis 1986, le Festival International du Film Francophone de Namur, promeut et diffuse des courts et longs métrages (fiction, animation, documentaire, clip), reflets de la diversité de la Francophonie.

 

Le FIFF accueille tous les acteurs de la création cinématographique francophone: réalisateurs, producteurs, scénaristes, comédiens et distributeurs.

 

Il est réellement un lieu de réflexion et de rendez-vous pour les professionnels, notamment grâce aux rencontres et ateliers organisés tout au long de la semaine. Le Festival contribue également à l’éducation des jeunes, via le volet FIFFCampus, en proposant des activités pédagogiques pour les jeunes de 3 à 25 ans.

 

Depuis 1989, les Bayard d'Or récompensent les heureux lauréats des différentes compétitions.

 

Du 30 septembre au 7 octobre, le FIFF vivra sa 31ème édition ! Mais que serait-elle sans les 150 films de qualité qui peupleront les salles?

 

Vous êtes réalisateur ou producteur d'un long ou court métrage issu du monde francophone ? Vous avez réalisé un clip et pensez qu'il mérite une place dans notre compétition ? Alors n'attendez plus et inscrivez vos films en ligne avant le 15 juin

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Qu’est ce que le SVE ?

  • Expérience de volontariat dans un autre pays pour contribuer au travail quotidien d’organisations et d’institutions publiques dans tous les domaines: culture, loisirs, sport, aide à la personne, inclusion, environnement,
  • Expression d’un engagement personnel,
  • Le SVE vous offre la possibilité de partir comme volontaire dans un autre pays dans le cadre d’un projet proposé par une association locale. De nombreuses possibilités existent dans des domaines très variés: art, culture, environnement, animation, santé, action sociale.

Cette formation s’adresse à toutes les organisations d’accueil et d’envoi du SVE pour les aider à mettre en place leur plan de dissémination et augmenter l’impact de leurs projets. Des places sont disponibles pour des participants de la Fédération Wallonie-Bruxelles !

 

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Profil des participants

  • Vous avez au moins 18 ans et vous résidez en Fédération Wallonie-Bruxelles,
  • Vous êtes organisation d’envoi ou d’accueil SVE, tuteur, travailleur de jeunesse et vous êtes intéressé par le thème de la formation,
  • Vous êtes capable de travailler en anglais.
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Comment postuler ?

Inscrivez-vous via le site de Salto (+ copie à thierry.dufour@cfwb.be ou fax: 02 218 81 08) avant le 4 avril.

 

Le Bureau International Jeunesse et les organisateurs prendront en charge les frais de transports internationaux, de séjour et de programme des participants de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

 

 

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Qu’est ce que le SVE ?

  • Expérience de volontariat dans un autre pays pour contribuer au travail quotidien d’organisations et d’institutions publiques dans tous les domaines: culture, loisirs, sport, aide à la personne, inclusion, environnement,
  • Expression d’un engagement personnel,
  • Le SVE vous offre la possibilité de partir comme volontaire dans un autre pays dans le cadre d’un projet proposé par une association locale. De nombreuses possibilités existent dans des domaines très variés: art, culture, environnement, animation, santé, action sociale.

Cette formation s’adresse à toutes les organisations d’accueil et d’envoi du SVE pour les aider à mettre en place leur plan de dissémination et augmenter l’impact de leurs projets. Des places sont disponibles pour des participants de la Fédération Wallonie-Bruxelles !

 

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Profil des participants

  • Vous avez au moins 18 ans et vous résidez en Fédération Wallonie-Bruxelles,
  • Vous êtes organisation d’envoi ou d’accueil SVE, tuteur, travailleur de jeunesse et vous êtes intéressé par le thème de la formation,
  • Vous êtes capable de travailler en anglais.
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Inscrivez-vous via le site de Salto (+ copie à thierry.dufour@cfwb.be ou fax: 02 218 81 08) avant le 4 avril.

 

Le Bureau International Jeunesse et les organisateurs prendront en charge les frais de transports internationaux, de séjour et de programme des participants de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

 

 

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Les Prix Jeunesse de la Francophonie 35<35 entendent célébrer 35 jeunes personnalités en dessous de 35 ans qui font bouger l’espace francophone. Ces prix récompensent des jeunes francophones âgés de 18 à 35 ans, qui ont fait des réalisations exceptionnelles dans l'année considérée de 2015.

 

Le 29 Octobre, une cérémonie de récompense réunira des décideurs du monde francophone qui servira à dévoiler les grands gagnants à Abidjan. Plusieurs nominés auront aussi l'opportunité de partager leurs idées ou innovations devant un public de 1500 participants à l’occasion d’un des plus grands évènements intellectuels dans l’espace francophone.

 

Les 10 catégories primées sont:

  • agriculture,
  • appui à l'entrepreunariat,
  • art et divertissement,
  • blog et innovation média,
  • entrepreunariat,
  • entrepreunariat social,
  • plaidoyer et activisme,
  • service public,
  • technologie,
  • jeune personnalité de l'année (super prix).

 

L’appel à candidatures est ouvert jusqu'au 31 mai. Suivant cet appel, 3 finalistes, dans chaque catégorie, se rendront à Abidjan pour la cérémonie de récompense.

 

Bonne chance !

 


 

Les Prix Jeunesse de la Francophonie 35<35 entendent célébrer 35 jeunes personnalités en dessous de 35 ans qui font bouger l’espace francophone. Ces prix récompensent des jeunes francophones âgés de 18 à 35 ans, qui ont fait des réalisations exceptionnelles dans l'année considérée de 2015.

 

Le 29 Octobre, une cérémonie de récompense réunira des décideurs du monde francophone qui servira à dévoiler les grands gagnants à Abidjan. Plusieurs nominés auront aussi l'opportunité de partager leurs idées ou innovations devant un public de 1500 participants à l’occasion d’un des plus grands évènements intellectuels dans l’espace francophone.

 

Les 10 catégories primées sont:

  • agriculture,
  • appui à l'entrepreunariat,
  • art et divertissement,
  • blog et innovation média,
  • entrepreunariat,
  • entrepreunariat social,
  • plaidoyer et activisme,
  • service public,
  • technologie,
  • jeune personnalité de l'année (super prix).

 

L’appel à candidatures est ouvert jusqu'au 31 mai. Suivant cet appel, 3 finalistes, dans chaque catégorie, se rendront à Abidjan pour la cérémonie de récompense.

 

Bonne chance !

 


 

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