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Denis Stokkink, Paul Kuimet, S.E.M. Gert Antsu, Alexandre Christiaens, Denis Rottenberg

Dans le cadre de l’accord de coopération entre Wallonie-Bruxelles et l’Estonie, le photographe wallon Alexandre Christiaens a séjourné à quatre reprises (entre décembre 2012 et décembre 2015) en Estonie, dans le cadre d’une résidence d’artiste, avec l’aide de Wallonie-Bruxelles International. Une série de ses œuvres est à présent exposée sous le titre "Estonia" à l’Espace photographique Contretype.

 

Le photographe estonien Paul Kuimet y présente aussi des installations, dans le cadre du Programme des Résidences d’artistes à Bruxelles-Contretype, initié en 1997 par Contretype avec le soutien de la Commission Communautaire française (COCOF) et de l’accord entre Wallonie-Bruxelles et l’Estonie.

 

Enfin Beata Szparagowska y montre des photographies "Entre chien et loup" réalisées en Finlande en 2013 et 2015. Son travail a été remarqué par le jury des "Propositions d’artistes" 2015 organisé par Contretype et a été initié lors d’une résidence sur l’Ile de Comacina, avec le soutien de WBI.

 

Le vernissage s’est déroulé le 12 avril dernier. Le Président de Contretype, Denis Stokkink, y a accueilli les artistes, en présence de S.E.M. Gert Antsu, Ambassadeur de la République d’Estonie à Bruxelles.

 

A découvrir jusqu'au 5 juin (Espace photographique Contretype - 4A Cité Fontainas à 1060 Bruxelles).

Dans le cadre de l’accord de coopération entre Wallonie-Bruxelles et l’Estonie, le photographe wallon Alexandre Christiaens a séjourné à quatre reprises (entre décembre 2012 et décembre 2015) en Estonie, dans le cadre d’une résidence d’artiste, avec l’aide de Wallonie-Bruxelles International. Une série de ses œuvres est à présent exposée sous le titre "Estonia" à l’Espace photographique Contretype.

 

Le photographe estonien Paul Kuimet y présente aussi des installations, dans le cadre du Programme des Résidences d’artistes à Bruxelles-Contretype, initié en 1997 par Contretype avec le soutien de la Commission Communautaire française (COCOF) et de l’accord entre Wallonie-Bruxelles et l’Estonie.

 

Enfin Beata Szparagowska y montre des photographies "Entre chien et loup" réalisées en Finlande en 2013 et 2015. Son travail a été remarqué par le jury des "Propositions d’artistes" 2015 organisé par Contretype et a été initié lors d’une résidence sur l’Ile de Comacina, avec le soutien de WBI.

 

Le vernissage s’est déroulé le 12 avril dernier. Le Président de Contretype, Denis Stokkink, y a accueilli les artistes, en présence de S.E.M. Gert Antsu, Ambassadeur de la République d’Estonie à Bruxelles.

 

A découvrir jusqu'au 5 juin (Espace photographique Contretype - 4A Cité Fontainas à 1060 Bruxelles).

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ORG: Monument pour une société ouverte

Le commissaire de la Biennale, l’architecte chilien Alejandro Aravena, a pour ambition de rassembler des projets d’architecture, qui, dans un équilibre d’intelligence et d’intuition, sont capables d’échapper au statu quo et de se confronter à la réalité de manière proactive par l’élaboration de propositions et la concrétisation d’actions. Le projet urbain pour le quartier des Abattoirs d'Anderlecht et pour le nouveau marché alimentaire réalisé par ORG a été sélectionné dans cette optique. Dans une économie de moyens, il a pour objectif de donner forme à de nouveaux espaces de coexistence et de former le support d’appropriations multiples, un monument au pluralisme.

 

La participation du bureau bruxellois comprend la réalisation de portiques en béton préfabriqué qui forment la structure du marché alimentaire à Anderlecht. Ces portiques sont assemblés afin de former une structure ouverte et un lieu délimité. Ils forment une sculpture monumentale mais offrent également des opportunités pour exposer le matériel lié à la conception et à la construction du marché alimentaire et du plan urbain pour le quartier des Abattoirs. Ces plans, coupes et maquettes sont mis en relation avec des éléments concrets (tables des échoppes, détails de réalisation, matériaux) et avec le processus de conception et de participation à la base du projet. Une installation audio-visuelle reprenant des vues et des sons du quartier et du marché alimentaire plonge de plus les visiteurs dans les atmosphères et les dynamiques du lieu réel. Ce matériel mettra en avant la richesse sociale de Bruxelles, les questions de pluralisme, de diversité et les modes de vivre ensemble qui s’y pensent.

 

L’installation sera accompagnée d’une série d’événements permettant de présenter le projet, son contexte et ses enjeux à un public international. Le projet sera présenté au sein de l’exposition "Reporting from the front" qui prend place dans le Padiglione Centrale des Giardini et dans l’Arsenale. 

 

Avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International et Wallonie-Bruxelles Architectures

Le commissaire de la Biennale, l’architecte chilien Alejandro Aravena, a pour ambition de rassembler des projets d’architecture, qui, dans un équilibre d’intelligence et d’intuition, sont capables d’échapper au statu quo et de se confronter à la réalité de manière proactive par l’élaboration de propositions et la concrétisation d’actions. Le projet urbain pour le quartier des Abattoirs d'Anderlecht et pour le nouveau marché alimentaire réalisé par ORG a été sélectionné dans cette optique. Dans une économie de moyens, il a pour objectif de donner forme à de nouveaux espaces de coexistence et de former le support d’appropriations multiples, un monument au pluralisme.

 

La participation du bureau bruxellois comprend la réalisation de portiques en béton préfabriqué qui forment la structure du marché alimentaire à Anderlecht. Ces portiques sont assemblés afin de former une structure ouverte et un lieu délimité. Ils forment une sculpture monumentale mais offrent également des opportunités pour exposer le matériel lié à la conception et à la construction du marché alimentaire et du plan urbain pour le quartier des Abattoirs. Ces plans, coupes et maquettes sont mis en relation avec des éléments concrets (tables des échoppes, détails de réalisation, matériaux) et avec le processus de conception et de participation à la base du projet. Une installation audio-visuelle reprenant des vues et des sons du quartier et du marché alimentaire plonge de plus les visiteurs dans les atmosphères et les dynamiques du lieu réel. Ce matériel mettra en avant la richesse sociale de Bruxelles, les questions de pluralisme, de diversité et les modes de vivre ensemble qui s’y pensent.

 

L’installation sera accompagnée d’une série d’événements permettant de présenter le projet, son contexte et ses enjeux à un public international. Le projet sera présenté au sein de l’exposition "Reporting from the front" qui prend place dans le Padiglione Centrale des Giardini et dans l’Arsenale. 

 

Avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International et Wallonie-Bruxelles Architectures

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Copyright Délégation générale W-B à Paris

A l'initiative du Ministre du Budget, de la Fonction publique et de la Simplification administrative de la Wallonie, Christophe Lacroix,  la Délégation générale Wallonie-Bruxelles à Paris et le Service Public de Wallonie, en collaboration avec Cap’Com, ont organisé une journée d’échanges et de débats pour la revalorisation de la fonction publique.

 

Deux tables rondes ont été organisées: l'une axée sur les services publics territoriaux, avait pour intervenant la responsable du service communication interne de la Ville de Paris, les intervenants de la seconde, consacrée à la fonction publique d’Etat, étaient le Ministre wallon Christophe Lacroix et Jean-Daniel Lévy, Directeur du département politique d’Harris interactive.

 

Cette journée a été clôturée par le vernissage de l’exposition de photos "De l’Autre Côté du Cliché", réalisée par huit étudiants lauréats d’un concours organisé par le Service Public de Wallonie, et destinée, grâce à la technologie de la réalité augmentée, à l’aide de tablettes numériques, à démonter les stéréotypes de l’image du fonctionnaire et à promouvoir un fonction publique attrayante, au travers de quelques 40 photos présentant la diversité et la richesse des métiers du fonctionnaire. La Ministre française en charge de la Fonction publique, Annick Girardin, présente au vernissage à côté de son collègue wallon a découvert cette exposition avec beaucoup d'intérêt et apprécié la justesse et la pertinence du regard des étudiants.

A l'initiative du Ministre du Budget, de la Fonction publique et de la Simplification administrative de la Wallonie, Christophe Lacroix,  la Délégation générale Wallonie-Bruxelles à Paris et le Service Public de Wallonie, en collaboration avec Cap’Com, ont organisé une journée d’échanges et de débats pour la revalorisation de la fonction publique.

 

Deux tables rondes ont été organisées: l'une axée sur les services publics territoriaux, avait pour intervenant la responsable du service communication interne de la Ville de Paris, les intervenants de la seconde, consacrée à la fonction publique d’Etat, étaient le Ministre wallon Christophe Lacroix et Jean-Daniel Lévy, Directeur du département politique d’Harris interactive.

 

Cette journée a été clôturée par le vernissage de l’exposition de photos "De l’Autre Côté du Cliché", réalisée par huit étudiants lauréats d’un concours organisé par le Service Public de Wallonie, et destinée, grâce à la technologie de la réalité augmentée, à l’aide de tablettes numériques, à démonter les stéréotypes de l’image du fonctionnaire et à promouvoir un fonction publique attrayante, au travers de quelques 40 photos présentant la diversité et la richesse des métiers du fonctionnaire. La Ministre française en charge de la Fonction publique, Annick Girardin, présente au vernissage à côté de son collègue wallon a découvert cette exposition avec beaucoup d'intérêt et apprécié la justesse et la pertinence du regard des étudiants.

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"Le court en dit long"

Depuis 1993, "Le Court en dit long", festival de court métrage à Paris, présente chaque année, en compétition, une quarantaine de courts métrages belges francophones et franco-belges produits en Wallonie et à Bruxelles dans l’année. Films d’écoles, films d’ateliers, films indépendants, fictions, animations ou expérimentaux, tous les genres sont représentés.

 

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Programme 1: des réalisatrices

Lundi 30 mai 20h30 (Ouverture) et 2 juin à 14h
Durée totale : 87 min.

  • De longues vacances réalisé par Caroline Nugues-Bourchat (Zorobabel, animation, 16 min.),
  • Les Saisons réalisé par Coline Grando (Mediadiffusion – IAD, 13 min.),
  • Le Flan réalisé par Odile d'Oultremont (Artémis Productions /Liaison cinématographique, 12 min.),
  • Les Amoureuses réalisé par Catherine Cosme (Helicotronc /La Mer à boire productions, 27 min.),
  • The Hidden Part réalisé par Monique Marnette & Caroline D'Hondt (Man's Films, 19 min.).

 

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Programme 2: de l'amour

Mardi 31 mai à 16h et Jeudi 2 juin à 20h30
Durée totale : 89 min.

  • M'aime pas en rêve réalisé par Anthony Nion (autoproduction, 13 min.),
  • Jean-Michel le Caribou des bois réalisé par Mathieu Auvray (Panique! / Autour de Minuit, animation, 10 min.),
  • Nelson réalisé par Thomas Xhignesse & Juliette Klinke (Mediadiffusion – IAD, 11 min.),
  • Entre-Deux réalisé par Maxime Bultot (INSAS, 19 min.),
  • Petits pas réalisé par Arthur Lecouturier (Roue Libre production, 13 min.),
  • Aquabike réalisé par Jean-Baptiste Saurel (Need Productions/Kazak Productions, 23 min.).

 

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Programme 3: de l'étrange

Mardi 31 mai à 18h et Jeudi 2 juin à 16h
Durée totale : 91 min.30

  • Zoufs réalisé par Tom Boccara, Noé Reutenauer, Emilien Vekemans (Frakas Productions , 20 min.),
  • Dernière porte au Sud réalisé par Sacha Feiner (Take Five, animation, 14 min.30),
  • Ice Scream réalisé par Vincent Schmitz (Artémis Productions, 20 min.),
  • Totems réalisé par Paul Jadoul (La Boîte Production/Les Films du Nord, animation, 9 min.),
  • L'Ombre d'un autre réalisé par Léo Médard (Sténola Productions, 28 min.).

 

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Programme 4: de la violence

Mardi 31 mai à 20h30 et jeudi 2 juin à 18h
Durée totale : 90 min.

  • Les Garçons clignotants réalisé par Pascale Brischoux (Novsky Films, 11 min.),
  • Le Bruit du gris réalisé par Vincent Patar & Stéphane Aubier (Panique ! / Autour de Minuit, animation, 3 min.),
  • Caïds réalisé par François Troukens (Versus Production, 9 min.),
  • La Graine réalisé par Barney Frydman (Scarfilm, 20 min.),
  • A l'arraché réalisé par Emmanuelle Nicot (Helicotronc, 20 min.),
  • Collabeur réalisé par Fahem Abes (Chouette Production, 12 min.),
  • Vengance réalisé par Isabelle Nouzha (PBC Pictures, 15 min.).

 

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Programme 5: en version originale

Mercredi 1er juin à 14h et vendredi 3 juin à 16h
Durée totale : 91 min.

  • Vous avez vos papiers ? réalisé par Mathieu Labaye (Caméra etc., animation, 9 min.30),
  • Estate réalisé par Ronny Trocker (Stempel / Autour de Minuit, 7 min.30),
  • Renaître réalisé par Jean-François Ravagnan (Les Films du Fleuve, 24 min.),
  • No-Go Zone réalisé par l’Atelier Collectif (Zorobabel, animation, 10 min.),
  • Les Hauts-Pays réalisé par Jérémy van der Haegen (Néon Rouge Production, 40 min.).

 

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Programme 6: enfants et nature

Mercredi 1er juin à 16h et vendredi 3 juin 18h
Durée totale : 75 min.

  • Rapaces réalisé par Aude Verbiguié (RepliCa Production, 16 min.30),
  • Regain réalisé par Carline Albert (INSAS, 18 min.30),
  • Vita Brevis réalisé par Thierry Knauff (Les Films du Sablier/Les Films du Nord/Inti Films, 40 min.).

 

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Programme 7: nouveau départ

Mercredi 1er juin à 18h et Vendredi 3 juin à 20h30
Durée totale : 87 min.

  • Ritournelle réalisé par Camille De Leu (Sokan Productions, 19 min.),
  • Réplique réalisé par Antoine Giorgini (Wrong Men North / Premières lignes, 19 min.),
  • Tout va bien réalisé par Laurent Scheid (Dragons Films / Produits frais, 20 min.),
  • Un grand silence réalisé par Julie Gourdain (Urzzia Films / Offshore, 29 min.).

 

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Programme 8: pour adultes

Mercredi 1er juin à 20h30 et Vendredi 3 juin à 14h
Durée totale : 79 min.

  • Toutes nuancées réalisé par Chloé Alliez (Atelier de production de la Cambre, animation, 6 min.),
  • Putain réalisé par Cypria Donato (Atelier de production de la Cambre, animation, 5 min.),
  • Pornography réalisé par Eric Ledune (Got ! oh my Got/Lardux Films/ Tchack, animation, 24 min.),
  • L'Œil silencieux réalisé par Karim Ouelhaj (Okayss Prod., 29 min.),
  • Le Plombier réalisé par Xavier Seron & Méryl Fortunat-Rossi (Helicotronc, 15 min.).  

 

Rendez-vous dans la salle de cinéma du Centre Wallonie-Bruxelles à Paris, du 30 mai au 4 juin pour vivre la 24è édition du Festival. 

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Depuis 1993, "Le Court en dit long", festival de court métrage à Paris, présente chaque année, en compétition, une quarantaine de courts métrages belges francophones et franco-belges produits en Wallonie et à Bruxelles dans l’année. Films d’écoles, films d’ateliers, films indépendants, fictions, animations ou expérimentaux, tous les genres sont représentés.

 

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Programme 1: des réalisatrices

Lundi 30 mai 20h30 (Ouverture) et 2 juin à 14h
Durée totale : 87 min.

  • De longues vacances réalisé par Caroline Nugues-Bourchat (Zorobabel, animation, 16 min.),
  • Les Saisons réalisé par Coline Grando (Mediadiffusion – IAD, 13 min.),
  • Le Flan réalisé par Odile d'Oultremont (Artémis Productions /Liaison cinématographique, 12 min.),
  • Les Amoureuses réalisé par Catherine Cosme (Helicotronc /La Mer à boire productions, 27 min.),
  • The Hidden Part réalisé par Monique Marnette & Caroline D'Hondt (Man's Films, 19 min.).

 

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Programme 2: de l'amour

Mardi 31 mai à 16h et Jeudi 2 juin à 20h30
Durée totale : 89 min.

  • M'aime pas en rêve réalisé par Anthony Nion (autoproduction, 13 min.),
  • Jean-Michel le Caribou des bois réalisé par Mathieu Auvray (Panique! / Autour de Minuit, animation, 10 min.),
  • Nelson réalisé par Thomas Xhignesse & Juliette Klinke (Mediadiffusion – IAD, 11 min.),
  • Entre-Deux réalisé par Maxime Bultot (INSAS, 19 min.),
  • Petits pas réalisé par Arthur Lecouturier (Roue Libre production, 13 min.),
  • Aquabike réalisé par Jean-Baptiste Saurel (Need Productions/Kazak Productions, 23 min.).

 

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Programme 3: de l'étrange

Mardi 31 mai à 18h et Jeudi 2 juin à 16h
Durée totale : 91 min.30

  • Zoufs réalisé par Tom Boccara, Noé Reutenauer, Emilien Vekemans (Frakas Productions , 20 min.),
  • Dernière porte au Sud réalisé par Sacha Feiner (Take Five, animation, 14 min.30),
  • Ice Scream réalisé par Vincent Schmitz (Artémis Productions, 20 min.),
  • Totems réalisé par Paul Jadoul (La Boîte Production/Les Films du Nord, animation, 9 min.),
  • L'Ombre d'un autre réalisé par Léo Médard (Sténola Productions, 28 min.).

 

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Programme 4: de la violence

Mardi 31 mai à 20h30 et jeudi 2 juin à 18h
Durée totale : 90 min.

  • Les Garçons clignotants réalisé par Pascale Brischoux (Novsky Films, 11 min.),
  • Le Bruit du gris réalisé par Vincent Patar & Stéphane Aubier (Panique ! / Autour de Minuit, animation, 3 min.),
  • Caïds réalisé par François Troukens (Versus Production, 9 min.),
  • La Graine réalisé par Barney Frydman (Scarfilm, 20 min.),
  • A l'arraché réalisé par Emmanuelle Nicot (Helicotronc, 20 min.),
  • Collabeur réalisé par Fahem Abes (Chouette Production, 12 min.),
  • Vengance réalisé par Isabelle Nouzha (PBC Pictures, 15 min.).

 

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Programme 5: en version originale

Mercredi 1er juin à 14h et vendredi 3 juin à 16h
Durée totale : 91 min.

  • Vous avez vos papiers ? réalisé par Mathieu Labaye (Caméra etc., animation, 9 min.30),
  • Estate réalisé par Ronny Trocker (Stempel / Autour de Minuit, 7 min.30),
  • Renaître réalisé par Jean-François Ravagnan (Les Films du Fleuve, 24 min.),
  • No-Go Zone réalisé par l’Atelier Collectif (Zorobabel, animation, 10 min.),
  • Les Hauts-Pays réalisé par Jérémy van der Haegen (Néon Rouge Production, 40 min.).

 

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Programme 6: enfants et nature

Mercredi 1er juin à 16h et vendredi 3 juin 18h
Durée totale : 75 min.

  • Rapaces réalisé par Aude Verbiguié (RepliCa Production, 16 min.30),
  • Regain réalisé par Carline Albert (INSAS, 18 min.30),
  • Vita Brevis réalisé par Thierry Knauff (Les Films du Sablier/Les Films du Nord/Inti Films, 40 min.).

 

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Programme 7: nouveau départ

Mercredi 1er juin à 18h et Vendredi 3 juin à 20h30
Durée totale : 87 min.

  • Ritournelle réalisé par Camille De Leu (Sokan Productions, 19 min.),
  • Réplique réalisé par Antoine Giorgini (Wrong Men North / Premières lignes, 19 min.),
  • Tout va bien réalisé par Laurent Scheid (Dragons Films / Produits frais, 20 min.),
  • Un grand silence réalisé par Julie Gourdain (Urzzia Films / Offshore, 29 min.).

 

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Programme 8: pour adultes

Mercredi 1er juin à 20h30 et Vendredi 3 juin à 14h
Durée totale : 79 min.

  • Toutes nuancées réalisé par Chloé Alliez (Atelier de production de la Cambre, animation, 6 min.),
  • Putain réalisé par Cypria Donato (Atelier de production de la Cambre, animation, 5 min.),
  • Pornography réalisé par Eric Ledune (Got ! oh my Got/Lardux Films/ Tchack, animation, 24 min.),
  • L'Œil silencieux réalisé par Karim Ouelhaj (Okayss Prod., 29 min.),
  • Le Plombier réalisé par Xavier Seron & Méryl Fortunat-Rossi (Helicotronc, 15 min.).  

 

Rendez-vous dans la salle de cinéma du Centre Wallonie-Bruxelles à Paris, du 30 mai au 4 juin pour vivre la 24è édition du Festival. 

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Copyright Fotolia

Des révolutions Twitter à Instagram, WhatsApp, et Snapchat, notre monde a profondément changé en l’espace de dix ans, depuis la montée des réseaux sociaux. Ces réseaux ont également modifié nos comportements sociaux, nos routines, nos habitudes.

 

Constamment connectés, nous sommes accessibles et repérables à tout instant. Les corporations vendent au prix fort nos profils virtuels et informations privées. Leurs publicités sont ciblées. Elles savent prédire nos préférences, ce que nous pensons, achetons. Les réseaux sociaux offrent aussi d’immenses opportunités. Ils favorisent l’émergence de nouveaux modes de communication et de transmission des savoirs. Tout comme de nouvelles formes de dépendance. Ils peuvent servir de plateforme à la manipulation et radicalisation des jeunes, et au cyber-harcèlement.

 

Afin de stimuler la création de fiction radiophonique, l’Etablissement de Radiodiffusion Socioculturelle Luxembourg, l’opérateur de la radio 100,7, invite et encourage les auteurs et créateurs du Grand-Duché et de la Grande Région à lui soumettre des manuscrits dans le cadre du concours de fiction radiophonique qu’elle organise pour la deuxième fois en 2016. Nous invitons des contributions fortes qui exploitent les atouts du médium radio.

 

La deuxième édition du prix radiophonique se veut proche des pratiques socioculturelles actuelles. Le concours est placé sous le thème "Un monde façonné par les réseaux sociaux"Les œuvres soumises au jury porteront un regard original sur l’individu hyper-connecté, et devront obligatoirement tisser des liens avec les réalités de la Grande Région. 

 

Les participants seront libres d’apporter de multiples lectures au sujet: des phénomènes de contestation politique ou religieuse nés sur les réseaux sociaux dont les répercussions se manifestent dans la Grande Région, jusqu’aux nouvelles formes de dépendances, en passant par des retraits et cures de sevrage digital, de nombreuses options sont ouvertes. Tout style littéraire est permis: science-fiction, satire, polar, documentaire. 

 

Participez jusqu'au 1er octobre ! 

 

Plus d'infos dans la pièce jointe ci-dessous.  

 

Des révolutions Twitter à Instagram, WhatsApp, et Snapchat, notre monde a profondément changé en l’espace de dix ans, depuis la montée des réseaux sociaux. Ces réseaux ont également modifié nos comportements sociaux, nos routines, nos habitudes.

 

Constamment connectés, nous sommes accessibles et repérables à tout instant. Les corporations vendent au prix fort nos profils virtuels et informations privées. Leurs publicités sont ciblées. Elles savent prédire nos préférences, ce que nous pensons, achetons. Les réseaux sociaux offrent aussi d’immenses opportunités. Ils favorisent l’émergence de nouveaux modes de communication et de transmission des savoirs. Tout comme de nouvelles formes de dépendance. Ils peuvent servir de plateforme à la manipulation et radicalisation des jeunes, et au cyber-harcèlement.

 

Afin de stimuler la création de fiction radiophonique, l’Etablissement de Radiodiffusion Socioculturelle Luxembourg, l’opérateur de la radio 100,7, invite et encourage les auteurs et créateurs du Grand-Duché et de la Grande Région à lui soumettre des manuscrits dans le cadre du concours de fiction radiophonique qu’elle organise pour la deuxième fois en 2016. Nous invitons des contributions fortes qui exploitent les atouts du médium radio.

 

La deuxième édition du prix radiophonique se veut proche des pratiques socioculturelles actuelles. Le concours est placé sous le thème "Un monde façonné par les réseaux sociaux"Les œuvres soumises au jury porteront un regard original sur l’individu hyper-connecté, et devront obligatoirement tisser des liens avec les réalités de la Grande Région. 

 

Les participants seront libres d’apporter de multiples lectures au sujet: des phénomènes de contestation politique ou religieuse nés sur les réseaux sociaux dont les répercussions se manifestent dans la Grande Région, jusqu’aux nouvelles formes de dépendances, en passant par des retraits et cures de sevrage digital, de nombreuses options sont ouvertes. Tout style littéraire est permis: science-fiction, satire, polar, documentaire. 

 

Participez jusqu'au 1er octobre ! 

 

Plus d'infos dans la pièce jointe ci-dessous.  

 

Documents liés

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WediActivists

Depuis mars 2013, activistes et comités de campagne mènent des actions de sensibilisation dans près de 50 pays.

 

Une partie dure environ 2 heures (introduction et débriefing inclus) et est facilitée par un animateur. WediActivists vise à stimuler l’esprit critique, encourager l’empathie, susciter un comportement responsable et ce, aussi bien en ligne qu’hors ligne.

 

WediActivists

 

Testez le jeu le mardi 19 avril de 13h30 à 16h30 au Bureau International Jeunesse (18 rue du commerce 18, 1000 Bruxelles).

 

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Programme de la matinée

  • Présentation du Mouvement contre le discours de haine,
  • Aperçu des actions menées dans les États adhérant au Mouvement,
  • Focus sur les actions belges et présentation des outils existants,
  • Clip "Sur le fil du rasoir" de Billy Joe,
  • Perspectives de développement du Mouvement,
  • Présentation de l’outil, règles du jeu et suggestions d’animation,
  • Simulation d’une partie,
  • Questions/réponses
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Comment participer ?

C’est gratuit à condition de s'inscrire ou d'envoyer un mail à wediactivists@gmail.com avant le 18 avril.

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Depuis mars 2013, activistes et comités de campagne mènent des actions de sensibilisation dans près de 50 pays.

 

Une partie dure environ 2 heures (introduction et débriefing inclus) et est facilitée par un animateur. WediActivists vise à stimuler l’esprit critique, encourager l’empathie, susciter un comportement responsable et ce, aussi bien en ligne qu’hors ligne.

 

WediActivists

 

Testez le jeu le mardi 19 avril de 13h30 à 16h30 au Bureau International Jeunesse (18 rue du commerce 18, 1000 Bruxelles).

 

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Programme de la matinée

  • Présentation du Mouvement contre le discours de haine,
  • Aperçu des actions menées dans les États adhérant au Mouvement,
  • Focus sur les actions belges et présentation des outils existants,
  • Clip "Sur le fil du rasoir" de Billy Joe,
  • Perspectives de développement du Mouvement,
  • Présentation de l’outil, règles du jeu et suggestions d’animation,
  • Simulation d’une partie,
  • Questions/réponses
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Comment participer ?

C’est gratuit à condition de s'inscrire ou d'envoyer un mail à wediactivists@gmail.com avant le 18 avril.

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"Paradis Express" à Liège

Le MIPIM, le plus grand marché international des professionnels de l'immobilier, réunit les acteurs les plus influents de tous les secteurs de l'immobilier (bureaux, résidentiel, commerces, santé, sport, logistique et industriel), offrant un accès inégalé aux plus grands projets de développement immobiliers et aux sources de capitaux à l’international.

 

Sa 27è édition était concentrée sur 4 jours intensifs: une exposition internationale, considérée comme la plus grande, sur l'immobilier, un networking (plateforme de rencontres exclusive), un programme de conférences de haut niveau ainsi qu'une remise d'Awards, la reconnaissance prestigieuse du secteur.

 

Deux récompenses pour Wallonie-Bruxelles

  • Le projet de bureaux Treurenberg, mené par Assar Architects, a gagné un MIPIM Award dans la catégorie "Projet écologique le plus innovant". La durabilité était un enjeu important, avec l'objectif d'un projet à consommation énergétique nette zero. Parmi les caractéristiques durables et écoénergétiques mises en place, nous pouvons citer le triple-vitrage et l'installation de 1134 m² de cellules photovoltaïques.
  • Le projet Paradis Express, réalisé entre autres par BAGreisch/A2M, a remporté un MIPIM Award dans la catégorie "Meilleur projet futur". Paradis Express est un ensemble polyvalent équipé d'une promenade paysagère, offrant 162 unités résidentielles, 21 000 m² d'espace de bureaux mais aussi des espaces de commerce et de service supplémentaires. L'aspect ouvert du site, offrant de larges points de vue, une accessibilité et une continuité forte avec l'espace public, s'intègre particulèrement bien dans son environnement et le tissu urbain. Paradis Express suit le standard passif et a reçu le statut de "Nearly Zero Energy"; le projet rencontre également les critères environnmentaux reconnus BREEAM.

 

Wallonie-Bruxelles Architectures soutient ces projets.

 

 

Le MIPIM, le plus grand marché international des professionnels de l'immobilier, réunit les acteurs les plus influents de tous les secteurs de l'immobilier (bureaux, résidentiel, commerces, santé, sport, logistique et industriel), offrant un accès inégalé aux plus grands projets de développement immobiliers et aux sources de capitaux à l’international.

 

Sa 27è édition était concentrée sur 4 jours intensifs: une exposition internationale, considérée comme la plus grande, sur l'immobilier, un networking (plateforme de rencontres exclusive), un programme de conférences de haut niveau ainsi qu'une remise d'Awards, la reconnaissance prestigieuse du secteur.

 

Deux récompenses pour Wallonie-Bruxelles

  • Le projet de bureaux Treurenberg, mené par Assar Architects, a gagné un MIPIM Award dans la catégorie "Projet écologique le plus innovant". La durabilité était un enjeu important, avec l'objectif d'un projet à consommation énergétique nette zero. Parmi les caractéristiques durables et écoénergétiques mises en place, nous pouvons citer le triple-vitrage et l'installation de 1134 m² de cellules photovoltaïques.
  • Le projet Paradis Express, réalisé entre autres par BAGreisch/A2M, a remporté un MIPIM Award dans la catégorie "Meilleur projet futur". Paradis Express est un ensemble polyvalent équipé d'une promenade paysagère, offrant 162 unités résidentielles, 21 000 m² d'espace de bureaux mais aussi des espaces de commerce et de service supplémentaires. L'aspect ouvert du site, offrant de larges points de vue, une accessibilité et une continuité forte avec l'espace public, s'intègre particulèrement bien dans son environnement et le tissu urbain. Paradis Express suit le standard passif et a reçu le statut de "Nearly Zero Energy"; le projet rencontre également les critères environnmentaux reconnus BREEAM.

 

Wallonie-Bruxelles Architectures soutient ces projets.

 

 

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Copyright CWB

La lecture d’extraits du livre par Didier Flamand a été suivie d’un dialogue entre Raymond Bellour et Jean-Luc Outers.

 

"Je cherche une secrétaire qui sache pour moi de quarante à cinquante façons écrire non". Cette imploration, presque désespérée, résume à elle seule les lettres d’Henri Michaux réunies par Jean-Luc Outers.

 

Il n’y est question que de refus: demandes d’interview, adaptations scéniques de ses textes, anthologies, colloques ou numéros de revue qui lui sont consacrés, rééditions, y compris en livre de poche ou dans la Bibliothèque de la Pléiade, conférences et commémorations, prix littéraires, publications de photos…

 

C’est à tout cela, qui n’est plus la littérature mais son institution sinon son décorum ou le carnaval médiatique qui l’agite, qu’Henri Michaux n’a cessé de s’opposer sa vie durant.

 

Jean-Luc Outers est notamment l’auteur de "L’Ordre du jour" (Gallimard), "Corps de métier" (La Différence, Prix Victor Rossel), "La Place du mort" (La Différence), "De jour comme de nuit" (Actes Sud), "De Courte mémoire", dessins d’Hugo Claus (La Pierre d’Alun). Il est co-commissaire avec Jacques Carillon de l’exposition "Henri Michaux. Face à face" (Bruxelles, Bibliotheca Wittockiana, du 2 mars au 21 juin et Paris, Centre Wallonie-Bruxelles en 2017).

 

Ecrivain, critique, théoricien du cinéma, Raymond Bellour est l’auteur, entre autres, de "Henri Michaux ou une mesure de l’être" (1965 édition augmentée, Henri Michaux, Folio Essais, 1986) et de "Lire Michaux" (2011) chez Gallimard. Il a édité avec la collaboration d’Ysé Tran les trois tomes des oeuvres complètes d’Henri Michaux dans la Pléiade (Gallimard).

 

Didier Flamand a travaillé notamment avec Marguerite Duras, Raoul Ruiz, Wim Wenders, Michael Hanneke, Claire Denis. Il a signé des mises en scène et interprété de nombreux rôles au théâtre. Il joue actuellement dans "Bettencourt Boulevard", de Michel Vinaver au Théâtre de la Colline.

 

L’auteur a dialogué avec Raymond Bellour, éditeur de "Michaux dans la Pléiade" après une lecture d’une grande subtilité d’extraits de l’ouvrage par Didier Flamand. L’événement, organisé en collaboration avec l’association Textes et Voix, a suscité l’enthousiasme d’une centaine de personnes.  

La lecture d’extraits du livre par Didier Flamand a été suivie d’un dialogue entre Raymond Bellour et Jean-Luc Outers.

 

"Je cherche une secrétaire qui sache pour moi de quarante à cinquante façons écrire non". Cette imploration, presque désespérée, résume à elle seule les lettres d’Henri Michaux réunies par Jean-Luc Outers.

 

Il n’y est question que de refus: demandes d’interview, adaptations scéniques de ses textes, anthologies, colloques ou numéros de revue qui lui sont consacrés, rééditions, y compris en livre de poche ou dans la Bibliothèque de la Pléiade, conférences et commémorations, prix littéraires, publications de photos…

 

C’est à tout cela, qui n’est plus la littérature mais son institution sinon son décorum ou le carnaval médiatique qui l’agite, qu’Henri Michaux n’a cessé de s’opposer sa vie durant.

 

Jean-Luc Outers est notamment l’auteur de "L’Ordre du jour" (Gallimard), "Corps de métier" (La Différence, Prix Victor Rossel), "La Place du mort" (La Différence), "De jour comme de nuit" (Actes Sud), "De Courte mémoire", dessins d’Hugo Claus (La Pierre d’Alun). Il est co-commissaire avec Jacques Carillon de l’exposition "Henri Michaux. Face à face" (Bruxelles, Bibliotheca Wittockiana, du 2 mars au 21 juin et Paris, Centre Wallonie-Bruxelles en 2017).

 

Ecrivain, critique, théoricien du cinéma, Raymond Bellour est l’auteur, entre autres, de "Henri Michaux ou une mesure de l’être" (1965 édition augmentée, Henri Michaux, Folio Essais, 1986) et de "Lire Michaux" (2011) chez Gallimard. Il a édité avec la collaboration d’Ysé Tran les trois tomes des oeuvres complètes d’Henri Michaux dans la Pléiade (Gallimard).

 

Didier Flamand a travaillé notamment avec Marguerite Duras, Raoul Ruiz, Wim Wenders, Michael Hanneke, Claire Denis. Il a signé des mises en scène et interprété de nombreux rôles au théâtre. Il joue actuellement dans "Bettencourt Boulevard", de Michel Vinaver au Théâtre de la Colline.

 

L’auteur a dialogué avec Raymond Bellour, éditeur de "Michaux dans la Pléiade" après une lecture d’une grande subtilité d’extraits de l’ouvrage par Didier Flamand. L’événement, organisé en collaboration avec l’association Textes et Voix, a suscité l’enthousiasme d’une centaine de personnes.  

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Copyright Kasia Stanczyk

Alice on The Roof est une jeune artiste belge francophone. Elle a conquis la Belgique avec sa chanson "Easy Come, Easy Go". Après un Extended play (EP) ou mini album sorti au printemps dernier où elle expose sa pop aérienne, la lauréate de 3 D6bels Music Awards vient de sortir en janvier son premier album intitulé "Higher" qui s’est directement classé à la première place de l’Ultratop.

 

Sur cet album, il y a 3 chansons de l’EP ("Easy Come Easy Go", "Monopoly Loser", "Like A Dying Rose") et neuf nouvelles chansons.

 

"Je chante en anglais car il m’est plus facile d’exprimer mes émotions dans cette langue que dans ma langue maternelle, en français. La poésie que j’exprime dans mes chansons me laisse de la place pour une interprétation personnelle, la musique des paroles me permet d’exprimer mes émotions et c’est le plus important".

 

L'artiste s'est produite le mercredi 6 avril à 20h au club d’étudiants Stodoła, en vedette américaine du concert d’Ania Dabrowska.

 

La salle du Stodola était sold-out. Plus de 1000 personnes s'étaient données rendez-vous pour l'écouter. Alice a joué 30 minutes, soit 7 chansons, seule au piano, et a été très bien reçue par le public polonais pour qui c'était une réelle découverte. 

 

Alice on The Roof est une jeune artiste belge francophone. Elle a conquis la Belgique avec sa chanson "Easy Come, Easy Go". Après un Extended play (EP) ou mini album sorti au printemps dernier où elle expose sa pop aérienne, la lauréate de 3 D6bels Music Awards vient de sortir en janvier son premier album intitulé "Higher" qui s’est directement classé à la première place de l’Ultratop.

 

Sur cet album, il y a 3 chansons de l’EP ("Easy Come Easy Go", "Monopoly Loser", "Like A Dying Rose") et neuf nouvelles chansons.

 

"Je chante en anglais car il m’est plus facile d’exprimer mes émotions dans cette langue que dans ma langue maternelle, en français. La poésie que j’exprime dans mes chansons me laisse de la place pour une interprétation personnelle, la musique des paroles me permet d’exprimer mes émotions et c’est le plus important".

 

L'artiste s'est produite le mercredi 6 avril à 20h au club d’étudiants Stodoła, en vedette américaine du concert d’Ania Dabrowska.

 

La salle du Stodola était sold-out. Plus de 1000 personnes s'étaient données rendez-vous pour l'écouter. Alice a joué 30 minutes, soit 7 chansons, seule au piano, et a été très bien reçue par le public polonais pour qui c'était une réelle découverte. 

 

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Myriam Ullens

Quand on passe la porte de l'appartement clair, plafond haut et parquet de bois, où s'aligne la collection d'été, elle est occupée à choisir les pièces qu'elle-même glissera dans sa valise. Logique puisqu'à l'origine, l'idée de la Maison Ullens, projet initié voici quatre ans, était d'étoffer sa garde-robe de vêtements faciles, au chic adapté à la grande voyageuse qu'elle est. « Je me déplace beaucoup, et je trouvais difficilement de quoi faire mes bagages. A savoir, des vêtements dans un état impeccable à l'arrivée et prêts à être enfilés immédiatement ». De série confidentielle de vingt pièces, elle passe rapidement à quarante, puis quatre-vingt; et c'est finalement d'une véritable collection dont il sera question. Une collection façon travel kit de luxe, à l'esprit sportswear chic et urbain. L'élégance en maître mot, au modernisme affirmé, facile à porter, et ludique aussi, avec des pièces souvent réversibles.

 

Pour réaliser ses premières collections, la baronne Ullens fera appel à l'esprit créatif de Véronique Leroy. D'emblée, la première aime chez la seconde le sens de l'élégance, de la qualité, la rigueur et le perfectionnisme. Durant quatre ans, la designer mettra ses qualités au service de la marque, avant de céder sa place à Kim Laursen, danois ayant fait ses classes chez Lacroix, passé par Cacharel, Kenzo, Azzaro ou Elie Saab, et régnant désormais sur le studio bruxellois, lui impulsant exigence et classe absolue. Et respectant l'ADN de la marque, travail des matières de prédilection de Myriam Ullens en tête, douceur cachemire de la maille, ou sensualité des peaux, daim et cuir, pour des pantalons en coupe droite oversized, blousons inspiration bomber au tombé franc, jupes coroles féminissimes ou tops en maille à l'élégante simplicité.

 

Reconnaissance sans frontière

Si ce travail de création se fait à Bruxelles, de même que les activités comptables du groupe, une partie des bureaux se nichent à Paris - Myriam Ullens n'envisageait pas de démarrer son histoire de mode autre part que dans la capitale du style. Une implantation à l'étranger dans laquelle on pourrait voir la volonté d'un développement international. C'est pourtant le hasard - sous-tendu de talent - qui a fait là son oeuvre. « Ce sont les clientes qui sont venues du monde entier », affirme la baronne. Pour répondre à la demande, la maison a d'abord ouvert une boutique à Aspen, dans le Colorado, avant de se doter d'une seconde enseigne parisienne puis d'un pop up store londonien. Cette année, un corner au Ritz et une boutique new-yorkaise sont prévus. Et si les pièces Maison Ullens plaisent aussi largement, c'est grâce à la classe raffinée et contemporaine des coupes, mais aussi, surtout, au confort qu'elles procurent « Essayer Maison Ullens, c'est l'adopter », sourit sa fondatrice, qui souligne que toutes ses pièces sont fabriquées en Europe, Italie du Nord pour l'essentiel, France pour la maroquinerie.

 

La mode, mais pas que

Ce serait pourtant ne rendre pas totalement hommage à la femme multiple qu'est Myriam Ullens de la restreindre à sa seule activité modeuse. Celle qui est aujourd'hui à la tête d'une vingtaine d'employés « Maison Ullens » fut en effet tour à tour, par besoin autant que par goût, à la tête d'un restaurant avenue Louise, puis d'un atelier de gâteaux dans la capitale belge. Mue, toujours, par la passion, elle qui fut touchée par un cancer voici quelques années a également créé une fondation à son (sur)nom, qui aide ceux comme elle concernés par ce fléau. Fondation Mimi soutenue chaque année par la Maison Ullens, qui lui reverse une partie de ses bénéfices. Et alors qu'on évoque son parcours, qui compte aussi un pan caritatif au Népal – activité qu'elle poursuit avec son mari, baron et collectionneur d'art - elle sourit. Car « Ce n'est pas fini », puisqu'un projet états-unien, mais hors mode, est en gestation pour fin d'année. Car, luxueux ou voyageurs, les sacs de Myriam Ullens recèlent de bien de trésors.

 

 

Par Isabelle Plumhans

 

 

Retrouvez toutes les aides pour le design et la mode en Fédération Wallonie-Bruxelles sur le site de Wallonie-Bruxelles Design/Mode.

Quand on passe la porte de l'appartement clair, plafond haut et parquet de bois, où s'aligne la collection d'été, elle est occupée à choisir les pièces qu'elle-même glissera dans sa valise. Logique puisqu'à l'origine, l'idée de la Maison Ullens, projet initié voici quatre ans, était d'étoffer sa garde-robe de vêtements faciles, au chic adapté à la grande voyageuse qu'elle est. « Je me déplace beaucoup, et je trouvais difficilement de quoi faire mes bagages. A savoir, des vêtements dans un état impeccable à l'arrivée et prêts à être enfilés immédiatement ». De série confidentielle de vingt pièces, elle passe rapidement à quarante, puis quatre-vingt; et c'est finalement d'une véritable collection dont il sera question. Une collection façon travel kit de luxe, à l'esprit sportswear chic et urbain. L'élégance en maître mot, au modernisme affirmé, facile à porter, et ludique aussi, avec des pièces souvent réversibles.

 

Pour réaliser ses premières collections, la baronne Ullens fera appel à l'esprit créatif de Véronique Leroy. D'emblée, la première aime chez la seconde le sens de l'élégance, de la qualité, la rigueur et le perfectionnisme. Durant quatre ans, la designer mettra ses qualités au service de la marque, avant de céder sa place à Kim Laursen, danois ayant fait ses classes chez Lacroix, passé par Cacharel, Kenzo, Azzaro ou Elie Saab, et régnant désormais sur le studio bruxellois, lui impulsant exigence et classe absolue. Et respectant l'ADN de la marque, travail des matières de prédilection de Myriam Ullens en tête, douceur cachemire de la maille, ou sensualité des peaux, daim et cuir, pour des pantalons en coupe droite oversized, blousons inspiration bomber au tombé franc, jupes coroles féminissimes ou tops en maille à l'élégante simplicité.

 

Reconnaissance sans frontière

Si ce travail de création se fait à Bruxelles, de même que les activités comptables du groupe, une partie des bureaux se nichent à Paris - Myriam Ullens n'envisageait pas de démarrer son histoire de mode autre part que dans la capitale du style. Une implantation à l'étranger dans laquelle on pourrait voir la volonté d'un développement international. C'est pourtant le hasard - sous-tendu de talent - qui a fait là son oeuvre. « Ce sont les clientes qui sont venues du monde entier », affirme la baronne. Pour répondre à la demande, la maison a d'abord ouvert une boutique à Aspen, dans le Colorado, avant de se doter d'une seconde enseigne parisienne puis d'un pop up store londonien. Cette année, un corner au Ritz et une boutique new-yorkaise sont prévus. Et si les pièces Maison Ullens plaisent aussi largement, c'est grâce à la classe raffinée et contemporaine des coupes, mais aussi, surtout, au confort qu'elles procurent « Essayer Maison Ullens, c'est l'adopter », sourit sa fondatrice, qui souligne que toutes ses pièces sont fabriquées en Europe, Italie du Nord pour l'essentiel, France pour la maroquinerie.

 

La mode, mais pas que

Ce serait pourtant ne rendre pas totalement hommage à la femme multiple qu'est Myriam Ullens de la restreindre à sa seule activité modeuse. Celle qui est aujourd'hui à la tête d'une vingtaine d'employés « Maison Ullens » fut en effet tour à tour, par besoin autant que par goût, à la tête d'un restaurant avenue Louise, puis d'un atelier de gâteaux dans la capitale belge. Mue, toujours, par la passion, elle qui fut touchée par un cancer voici quelques années a également créé une fondation à son (sur)nom, qui aide ceux comme elle concernés par ce fléau. Fondation Mimi soutenue chaque année par la Maison Ullens, qui lui reverse une partie de ses bénéfices. Et alors qu'on évoque son parcours, qui compte aussi un pan caritatif au Népal – activité qu'elle poursuit avec son mari, baron et collectionneur d'art - elle sourit. Car « Ce n'est pas fini », puisqu'un projet états-unien, mais hors mode, est en gestation pour fin d'année. Car, luxueux ou voyageurs, les sacs de Myriam Ullens recèlent de bien de trésors.

 

 

Par Isabelle Plumhans

 

 

Retrouvez toutes les aides pour le design et la mode en Fédération Wallonie-Bruxelles sur le site de Wallonie-Bruxelles Design/Mode.

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