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Le futur China Belgium Technology Center de Louvain-la-Neuve

La première pierre a été posée le 20 juin 2016. « Mais l’idée de ce projet ne date pas d’hier, elle a mûri durant sept ans et demi », souligne Stephano Smars, attaché économique et commercial de l’Awex à Shanghai lors d’une conférence donnée sur le CBTC à la Weif (Wallonia Export Invest Fair) 2016 qui se tenait à Louvain-la-Neuve. C’est d’ailleurs au départ du poste de Shanghai que les premières relations avec la province du Hubei ont été initiées. Et c’est grâce au réseau et aux contacts de l’Awex que les Chinois ont décidé de s’installer à Louvain-la-Neuve. Tout est parti de cette province chinoise de 65 millions d’habitants avec laquelle la Wallonie développe depuis longtemps un partenariat et dont la capitale est Wuhan, 11 millions d’habitants. « Hubei compte 41 universités pour 1 million d’étudiants. Des échanges d’étudiants et de professeurs et des programmes culturels entre Hubei et la Wallonie sont déjà prévus. La croissance de la province de Hubei est constante  (12,5 % en 2012),7 villes sont en cours de développement. Les secteurs de l’économie les plus développés sont l’automobile et les TIC. En outre, Wuhan, une ville à haut potentiel de développement et d’investissement, est le bastion de la francophonie en Chine. » 

 

Intelligence Valley

Fruit de ce long partenariat, le China-Belgium Technology Center (CBTC) sera mis sur pied par quatre partenaires, l’Awex, l’UCL, la société Juxing International et l’IBW (Intercommunale du Brabant wallon). Il s’agira du premier complexe d’incubateurs chinois en Europe et il sera implanté dans le parc scientifique de Louvain-la-Neuve. « Pour le choix de l’implantation de l’incubateur chinois, le concept de Louvain-la-Neuve a beaucoup joué, ainsi que la présence du LLN Science Park pour la promotion à l’international, souligne Philippe Barras, directeur du développement régional de l’UCL. Le parc compte 236 sociétés, dont 80 % innovantes, 35 % d’entre elles sont étrangères et comptent 6100 emplois. Le parc fait partie du réseau des parcs scientifiques wallons, est membre du réseau mondial des parcs scientifiques (IASP). Les aspects internationaux pour la localisation de l’incubateur sont évidents. La proximité de cercles d’affaires, comme le Cercle du Lac, constitue un autre atout. » Avec le CBTC, Louvain-la-Neuve et l’UCL deviendront une Intelligence Valley pour les entreprises chinoises. Les travaux devraient durer huit ans. A terme, le CBTC comprendra cinq incubateurs pour accueillir des entreprises chinoises high-tech spécialisées dans les biotechnologies, les nanotechnologies, l’informatique et les télécommunications, l’optoélectronique et le développement durable (ingénierie verte et nouveaux matériaux). 

 

Accès plus facile au marché chinois

Pour les Chinois, l’objectif de cet ensemble d’incubateurs est évident. Il s’agit de permettre à leurs entreprises high-tech de s’inspirer du mode de fonctionnement des entreprises européennes afin de mieux appréhender ce marché tout en développant leurs technologies.

 

Pour les entrepreneurs wallons, l’incubateur favorisera des échanges de bonnes pratiques, des partenariats technologiques entre entreprises de taille moyenne pour le développement de nouveaux produits. Il permettra de côtoyer des entreprises chinoises aux profils similaires aux leurs dans une approche mutuellement profitable. Enfin, il facilitera la compréhension et l’accès au marché chinois. Les barrières linguistiques et culturelles rendent, en effet, difficile la prospection classique en Chine. En s’installant dans le CBTC, les entreprises belges souhaitant se lancer en Chine pourront activer leur réseau et ainsi accéder plus facilement au marché chinois. La structure permettra, en effet, de créer les collaborations nécessaires à un tel projet, tout en réduisant les risques liés à la prospection classique. Une véritable opportunité pour des entreprises belges souhaitant développer leur commerce en Chine.

 

En outre, les entrepreneurs belges bénéficieront de la large filière du réseau d’incubateurs de WHIBI (Wuhan East-Lake Hi-Tech Innovation Center) dans les cinq plus grandes villes chinoises. Cette approche qualitative avec davantage d’accompagnement et moins de risque financier devrait permettre d’aboutir plus facilement à des échanges commerciaux.

 

Au moins 1600 emplois créés d’ici huit à dix ans

Trois phases d’aménagement sur huit ans sont prévues. La première comprend la construction, sur 37 000 m², d’incubateurs, de bureaux, de laboratoires, de commerces de proximité et de locaux techniques. L’ouverture des premiers bâtiments est prévue pour fin 2018. Un premier immeuble de logements sera construit dans le centre de Louvain-la-Neuve et accessible aux Chinois et aux Belges dès la fin 2019. La deuxième phase verra la construction, sur 26 000 m², d’un hôtel de 160 chambres destiné à héberger les expatriés chinois en court séjour, d’un centre de services et de salles de conférences, d’autres incubateurs, de commerces et de locaux techniques, ainsi que la construction de deux autres immeubles de logements dans le centre de Louvain-la-Neuve. La troisième phase sera celle de la construction sur 34 000 m² des derniers incubateurs et de leurs parkings. Au total, le CBTC coûtera 200 millions d’euros (pris en charge par des investisseurs chinois privés). 

 

Progressivement, le site verra arriver entre 450 et 600 travailleurs chinois. D’ici huit à dix ans, le CBTC devrait fournir au moins 1 600 emplois, 40 % pour des Chinois et 60 % pour des Belges. Pour les entreprises chinoises, dans un premier temps, seuls quelques cadres détachés (expatriés court terme) se rendront à Louvain-la-Neuve pour lancer le business, analyser le marché et trouver des partenaires d’affaires.

 

La volonté est d’engager rapidement du personnel belge pour leur développement à l’instar d’autres entreprises chinoises ayant investi en Europe. Le CBTC sera ouvert aux entreprises belges qui ont déjà une présence, des relations d’affaires, des accords technologiques avec la Chine, ou encore une volonté d’investiguer le marché chinois.

 

Les critères de sélection

Le CBTC est un projet d’investissement chinois privé. Les deux actionnaires majoritaires sont le Hubei United Investment Group et JuXing International Technology Investment Co., Ltd, tous deux installés à Wuhan. La promotion du CBTC se fera via le réseau d’incubateurs JuXing et sa participation à des salons spécialisés de technologie ou de création d’entreprises.

 

Vu l’ampleur du marché chinois, le défi résidera dans la sélection des entreprises. Les critères de sélection seront une activité significative d’innovation ou de R&D, une collaboration potentielle avec l’UCL et une maturité suffisante pour envisager sérieusement une implantation en Europe. Les entreprises retenues seront invitées à visiter la Belgique pour un séminaire économique de plusieurs jours.

 

Dans l’attente de la construction du CBTC, les Chinois disposent déjà de 3 000 m² de bureaux dans le parc scientifique pour accueillir les premières sociétés chinoises. Plusieurs d’entre elles ont déjà fait le choix de s’installer à Louvain-la-Neuve.

 

Jacqueline Remits

 

Cet article est issu de la Revue W+B 133.

La première pierre a été posée le 20 juin 2016. « Mais l’idée de ce projet ne date pas d’hier, elle a mûri durant sept ans et demi », souligne Stephano Smars, attaché économique et commercial de l’Awex à Shanghai lors d’une conférence donnée sur le CBTC à la Weif (Wallonia Export Invest Fair) 2016 qui se tenait à Louvain-la-Neuve. C’est d’ailleurs au départ du poste de Shanghai que les premières relations avec la province du Hubei ont été initiées. Et c’est grâce au réseau et aux contacts de l’Awex que les Chinois ont décidé de s’installer à Louvain-la-Neuve. Tout est parti de cette province chinoise de 65 millions d’habitants avec laquelle la Wallonie développe depuis longtemps un partenariat et dont la capitale est Wuhan, 11 millions d’habitants. « Hubei compte 41 universités pour 1 million d’étudiants. Des échanges d’étudiants et de professeurs et des programmes culturels entre Hubei et la Wallonie sont déjà prévus. La croissance de la province de Hubei est constante  (12,5 % en 2012),7 villes sont en cours de développement. Les secteurs de l’économie les plus développés sont l’automobile et les TIC. En outre, Wuhan, une ville à haut potentiel de développement et d’investissement, est le bastion de la francophonie en Chine. » 

 

Intelligence Valley

Fruit de ce long partenariat, le China-Belgium Technology Center (CBTC) sera mis sur pied par quatre partenaires, l’Awex, l’UCL, la société Juxing International et l’IBW (Intercommunale du Brabant wallon). Il s’agira du premier complexe d’incubateurs chinois en Europe et il sera implanté dans le parc scientifique de Louvain-la-Neuve. « Pour le choix de l’implantation de l’incubateur chinois, le concept de Louvain-la-Neuve a beaucoup joué, ainsi que la présence du LLN Science Park pour la promotion à l’international, souligne Philippe Barras, directeur du développement régional de l’UCL. Le parc compte 236 sociétés, dont 80 % innovantes, 35 % d’entre elles sont étrangères et comptent 6100 emplois. Le parc fait partie du réseau des parcs scientifiques wallons, est membre du réseau mondial des parcs scientifiques (IASP). Les aspects internationaux pour la localisation de l’incubateur sont évidents. La proximité de cercles d’affaires, comme le Cercle du Lac, constitue un autre atout. » Avec le CBTC, Louvain-la-Neuve et l’UCL deviendront une Intelligence Valley pour les entreprises chinoises. Les travaux devraient durer huit ans. A terme, le CBTC comprendra cinq incubateurs pour accueillir des entreprises chinoises high-tech spécialisées dans les biotechnologies, les nanotechnologies, l’informatique et les télécommunications, l’optoélectronique et le développement durable (ingénierie verte et nouveaux matériaux). 

 

Accès plus facile au marché chinois

Pour les Chinois, l’objectif de cet ensemble d’incubateurs est évident. Il s’agit de permettre à leurs entreprises high-tech de s’inspirer du mode de fonctionnement des entreprises européennes afin de mieux appréhender ce marché tout en développant leurs technologies.

 

Pour les entrepreneurs wallons, l’incubateur favorisera des échanges de bonnes pratiques, des partenariats technologiques entre entreprises de taille moyenne pour le développement de nouveaux produits. Il permettra de côtoyer des entreprises chinoises aux profils similaires aux leurs dans une approche mutuellement profitable. Enfin, il facilitera la compréhension et l’accès au marché chinois. Les barrières linguistiques et culturelles rendent, en effet, difficile la prospection classique en Chine. En s’installant dans le CBTC, les entreprises belges souhaitant se lancer en Chine pourront activer leur réseau et ainsi accéder plus facilement au marché chinois. La structure permettra, en effet, de créer les collaborations nécessaires à un tel projet, tout en réduisant les risques liés à la prospection classique. Une véritable opportunité pour des entreprises belges souhaitant développer leur commerce en Chine.

 

En outre, les entrepreneurs belges bénéficieront de la large filière du réseau d’incubateurs de WHIBI (Wuhan East-Lake Hi-Tech Innovation Center) dans les cinq plus grandes villes chinoises. Cette approche qualitative avec davantage d’accompagnement et moins de risque financier devrait permettre d’aboutir plus facilement à des échanges commerciaux.

 

Au moins 1600 emplois créés d’ici huit à dix ans

Trois phases d’aménagement sur huit ans sont prévues. La première comprend la construction, sur 37 000 m², d’incubateurs, de bureaux, de laboratoires, de commerces de proximité et de locaux techniques. L’ouverture des premiers bâtiments est prévue pour fin 2018. Un premier immeuble de logements sera construit dans le centre de Louvain-la-Neuve et accessible aux Chinois et aux Belges dès la fin 2019. La deuxième phase verra la construction, sur 26 000 m², d’un hôtel de 160 chambres destiné à héberger les expatriés chinois en court séjour, d’un centre de services et de salles de conférences, d’autres incubateurs, de commerces et de locaux techniques, ainsi que la construction de deux autres immeubles de logements dans le centre de Louvain-la-Neuve. La troisième phase sera celle de la construction sur 34 000 m² des derniers incubateurs et de leurs parkings. Au total, le CBTC coûtera 200 millions d’euros (pris en charge par des investisseurs chinois privés). 

 

Progressivement, le site verra arriver entre 450 et 600 travailleurs chinois. D’ici huit à dix ans, le CBTC devrait fournir au moins 1 600 emplois, 40 % pour des Chinois et 60 % pour des Belges. Pour les entreprises chinoises, dans un premier temps, seuls quelques cadres détachés (expatriés court terme) se rendront à Louvain-la-Neuve pour lancer le business, analyser le marché et trouver des partenaires d’affaires.

 

La volonté est d’engager rapidement du personnel belge pour leur développement à l’instar d’autres entreprises chinoises ayant investi en Europe. Le CBTC sera ouvert aux entreprises belges qui ont déjà une présence, des relations d’affaires, des accords technologiques avec la Chine, ou encore une volonté d’investiguer le marché chinois.

 

Les critères de sélection

Le CBTC est un projet d’investissement chinois privé. Les deux actionnaires majoritaires sont le Hubei United Investment Group et JuXing International Technology Investment Co., Ltd, tous deux installés à Wuhan. La promotion du CBTC se fera via le réseau d’incubateurs JuXing et sa participation à des salons spécialisés de technologie ou de création d’entreprises.

 

Vu l’ampleur du marché chinois, le défi résidera dans la sélection des entreprises. Les critères de sélection seront une activité significative d’innovation ou de R&D, une collaboration potentielle avec l’UCL et une maturité suffisante pour envisager sérieusement une implantation en Europe. Les entreprises retenues seront invitées à visiter la Belgique pour un séminaire économique de plusieurs jours.

 

Dans l’attente de la construction du CBTC, les Chinois disposent déjà de 3 000 m² de bureaux dans le parc scientifique pour accueillir les premières sociétés chinoises. Plusieurs d’entre elles ont déjà fait le choix de s’installer à Louvain-la-Neuve.

 

Jacqueline Remits

 

Cet article est issu de la Revue W+B 133.

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(c) Fotolia

Dans le cadre de sa coopération avec le Conseil de l’Europe, le Bureau International Jeunesse (BIJ) porte une attention particulière à la thématique des Droits des jeunes, Droits de l’Homme et Droits Sociaux (expression,  participation, éducation, culture, logement, santé, emploi…), en particulier des jeunes en difficulté. Car même si leurs droits sociaux existent, leur accès est rendu extrêmement difficile pour les jeunes en temps de crise, aggravant les situations d’exclusion.

 

Le BIJ lance un appel à projets 2017 sur le thème de l’accès et du respect des Droits Sociaux et des Droits de l’Homme pour tous les jeunes, pour des activités internationales de mobilité. Une mobilité pour découvrir, comprendre la situation des droits en dehors de sa ville, de sa région, de son pays et initier des projets communs touchant à l’information, la solidarité, et surtout la lutte contre l’exclusion… Bref, l’accès à une vie digne et juste dans et par delà les frontières.

 

Cette année à nouveau, une attention particulière sera accordée aux projets qui abordent la thématique des migrations et des réfugiés.

 

Public cible

Cet appel à projets vise des activités impliquant des jeunes âgés de 15 à 30 ans ou des animateurs, travailleurs et responsables de jeunesse travaillant avec des jeunes sur ces thématiques.

 

Qui peut bénéficier d'un financement

  • Toute structure, association ou organisation légalement constituée implantée à Bruxelles ou en Wallonie : organisation de jeunesse, centre de jeunes, AMO, asbl travaillant avec un public jeune, échevinat, CPAS…
  • Tout groupe informel de minimum 4 jeunes résidant en Wallonie ou à Bruxelles
  • Les ONG internationales NE peuvent PAS participer à cet appel

 

Intervention

Projets transnationaux de rencontre créatives, mini-échanges, visites de découvertes…

Ces projets d’échanges entre minimum 2 groupes de jeunes visent à favoriser, dans une dimension internationale (un groupe de FWB et un groupe d’un autre pays minimum), les activités créatives ou de découverte autour du thème de l’appel (mini-échanges de jeunes, visites d’un groupe à l’étranger ou accueil d’un groupe en Fédération Wallonie-Bruxelles, visites d’étude, séminaires créatifs, production de matériel ou création d’outil, lancement d’une campagne commune…).

 

Ils doivent avoir lieu entre le 1er avril et le 31 octobre 2017.

 

Ces projets visent à susciter l’échange, la réflexion et la créativité des jeunes ou des travailleurs sociaux ou de jeunesse sur les thèmes mentionnés plus haut et à comparer des situations ou des pratiques.

 

Ces rencontres devront déboucher sur des activités de suivi (campagne, autre projet dans le cadre d’autres programmes de subvention, notamment le programme européen Erasmus +/Jeunesse en Action…).

 

Financement : 5.500 € maximum, avec un cofinancement obligatoire de 10% (si vous demandez 3.000€, vous devez apporter 300). Attention : les coûts salariaux ne sont pas éligibles. Au niveau du coût de certains achats, ils ne seront éligibles que sur base d’une justification et d’une acceptation préalable par le BIJ.

 

Critères de sélection

Un jury sélectionnera les dossiers en analysant :

  • la pertinence du projet en lien avec les objectifs et thèmes définis dans le présent appel à projets
  • le lien avec le véritable travail de terrain
  • le respect des critères et du type d’activité définis
  • la valeur ajoutée par rapport à l’éducation aux Droits de l’Homme, en particulier dans le domaine des Droits Sociaux et de la lutte contre l’exclusion
  • les retombées escomptées et l’impact au niveau de la communauté locale et du public cible, et le suivi éventuel des rencontres
  • l’originalité et la créativité des supports et des méthodes employés

 

Les projets qui ne peuvent être financés

Seuls seront financés les projets spécifiques et non commerciaux répondant aux objectifs du présent appel et qui se déroulent dans une période déterminée et non une activité habituelle de l’association ou du groupe de jeunes.

 

Comment procéder

  • Faites parvenir votre projet sur le formulaire Droits de l’Homme 2017 (en pièce jointe) à thierry.dufour@cfwb.be (+ copie papier au BIJ, 18 rue du commerce 1000 Bruxelles) avant le 28 février 2017
  • Le rapport final devra parvenir au BIJ le 30 novembre 2017 au plus tard. Ce rapport est un rapport narratif de quelques pages, illustré de photos ou vidéos, et avec une explication de ce que la subvention a couvert.

 

Des questions

N’hésitez pas à contacter Thierry Dufour (02 548 38 81 ou thierry.dufour@cfwb.be ), chargé du suivi de cet appel.

Dans le cadre de sa coopération avec le Conseil de l’Europe, le Bureau International Jeunesse (BIJ) porte une attention particulière à la thématique des Droits des jeunes, Droits de l’Homme et Droits Sociaux (expression,  participation, éducation, culture, logement, santé, emploi…), en particulier des jeunes en difficulté. Car même si leurs droits sociaux existent, leur accès est rendu extrêmement difficile pour les jeunes en temps de crise, aggravant les situations d’exclusion.

 

Le BIJ lance un appel à projets 2017 sur le thème de l’accès et du respect des Droits Sociaux et des Droits de l’Homme pour tous les jeunes, pour des activités internationales de mobilité. Une mobilité pour découvrir, comprendre la situation des droits en dehors de sa ville, de sa région, de son pays et initier des projets communs touchant à l’information, la solidarité, et surtout la lutte contre l’exclusion… Bref, l’accès à une vie digne et juste dans et par delà les frontières.

 

Cette année à nouveau, une attention particulière sera accordée aux projets qui abordent la thématique des migrations et des réfugiés.

 

Public cible

Cet appel à projets vise des activités impliquant des jeunes âgés de 15 à 30 ans ou des animateurs, travailleurs et responsables de jeunesse travaillant avec des jeunes sur ces thématiques.

 

Qui peut bénéficier d'un financement

  • Toute structure, association ou organisation légalement constituée implantée à Bruxelles ou en Wallonie : organisation de jeunesse, centre de jeunes, AMO, asbl travaillant avec un public jeune, échevinat, CPAS…
  • Tout groupe informel de minimum 4 jeunes résidant en Wallonie ou à Bruxelles
  • Les ONG internationales NE peuvent PAS participer à cet appel

 

Intervention

Projets transnationaux de rencontre créatives, mini-échanges, visites de découvertes…

Ces projets d’échanges entre minimum 2 groupes de jeunes visent à favoriser, dans une dimension internationale (un groupe de FWB et un groupe d’un autre pays minimum), les activités créatives ou de découverte autour du thème de l’appel (mini-échanges de jeunes, visites d’un groupe à l’étranger ou accueil d’un groupe en Fédération Wallonie-Bruxelles, visites d’étude, séminaires créatifs, production de matériel ou création d’outil, lancement d’une campagne commune…).

 

Ils doivent avoir lieu entre le 1er avril et le 31 octobre 2017.

 

Ces projets visent à susciter l’échange, la réflexion et la créativité des jeunes ou des travailleurs sociaux ou de jeunesse sur les thèmes mentionnés plus haut et à comparer des situations ou des pratiques.

 

Ces rencontres devront déboucher sur des activités de suivi (campagne, autre projet dans le cadre d’autres programmes de subvention, notamment le programme européen Erasmus +/Jeunesse en Action…).

 

Financement : 5.500 € maximum, avec un cofinancement obligatoire de 10% (si vous demandez 3.000€, vous devez apporter 300). Attention : les coûts salariaux ne sont pas éligibles. Au niveau du coût de certains achats, ils ne seront éligibles que sur base d’une justification et d’une acceptation préalable par le BIJ.

 

Critères de sélection

Un jury sélectionnera les dossiers en analysant :

  • la pertinence du projet en lien avec les objectifs et thèmes définis dans le présent appel à projets
  • le lien avec le véritable travail de terrain
  • le respect des critères et du type d’activité définis
  • la valeur ajoutée par rapport à l’éducation aux Droits de l’Homme, en particulier dans le domaine des Droits Sociaux et de la lutte contre l’exclusion
  • les retombées escomptées et l’impact au niveau de la communauté locale et du public cible, et le suivi éventuel des rencontres
  • l’originalité et la créativité des supports et des méthodes employés

 

Les projets qui ne peuvent être financés

Seuls seront financés les projets spécifiques et non commerciaux répondant aux objectifs du présent appel et qui se déroulent dans une période déterminée et non une activité habituelle de l’association ou du groupe de jeunes.

 

Comment procéder

  • Faites parvenir votre projet sur le formulaire Droits de l’Homme 2017 (en pièce jointe) à thierry.dufour@cfwb.be (+ copie papier au BIJ, 18 rue du commerce 1000 Bruxelles) avant le 28 février 2017
  • Le rapport final devra parvenir au BIJ le 30 novembre 2017 au plus tard. Ce rapport est un rapport narratif de quelques pages, illustré de photos ou vidéos, et avec une explication de ce que la subvention a couvert.

 

Des questions

N’hésitez pas à contacter Thierry Dufour (02 548 38 81 ou thierry.dufour@cfwb.be ), chargé du suivi de cet appel.

Documents liés

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Le Forum Mondial de la langue française, qui s’est déroulé du 20 au 23 juillet 2015 à Liège (Belgique), a réuni plusieurs centaines de jeunes porteurs de projets francophones du monde entier. Dans les mois qui ont suivi, l’Organisation Internationale de la Francophonie a lancé sa campagne « Libres ensemble » qui vise à ce que les jeunes puissent s’exprimer et s’épanouir dans un monde empreint du respect de l’autre.

 

Suite au succès de ces deux événements, l’OIF et la Fédération Wallonie-Bruxelles ont décidé d’organiser une activité de suivi, sous la forme d’une « Agora Jeunes Citoyens LIBRES ENSEMBLE : Créer, s’engager, entreprendre pour un meilleur vivre ensemble».

Cette AJC se déroulera du 26 au 31 mai 2017 et réunira une soixantaine de participants francophones, dont une bonne partie sera composée de personnes ayant participé au Forum Mondial en 2015. Ils viendront des pays de l’OIF sur les cinq continents. Une autre partie sera composée de nouvelles personnes d’Europe et de Belgique francophone.

 

Vous avez entre 18 et 35 ans ? Vous êtes porteur de projets, actif sur votre territoire en tant qu’acteur de changements, à travers de projets créatifs ou entrepreneuriat social en faveur d’un meilleur vivre ensemble et de la lutte contre les discriminations ? Alors, venez présenter vos pratiques, les discuter, les comparer, les améliorer et arriver, en fin d’activité, à une éventuelle mise en réseau permettant des collaborations internationales.

 

Objectifs

  • Rassembler des porteurs de projets francophones actifs dans le domaine de la création et de l’entreprenariat social pour un meilleur vivre ensemble et en faveur de la lutte contre toute forme de discrimination
  • Les faire présenter, discuter et échanger leurs pratiques d’engagement au travers de leurs projets
  • Leur fournir encadrement et conseils pour améliorer ces pratiques et leurs résultats
  • Leur permettre un réseautage afin d’arriver à l’élaboration de projets novateurs à dimension internationale en vue de favoriser le vivre ensemble

 

Profil des participants

  • Vous résidez en Fédération Wallonie-Bruxelles et vous avez entre 18 et 35 ans
  • Votre projet et vos perspectives sont en adéquation avec cet appel
  • Votre projet a un réel impact sur une communauté locale donnée
  • Votre projet est effectivement appelé à durer dans le temps
  • Vous pouvez démontrer une réelle motivation ainsi qu’une envie de réseautage avec les autres participants
  • L’AJC réunira 25 participants du Forum Mondial de 2015, 25 participants extérieurs (belges et européens), une équipe d’une dizaine de personnes dont six facilitateurs et un conseiller pour dynamiser votre projet

 

Lieu et dates

Tournai, du 26 (arrivée le soir) au 31 mai 2017 (départ le matin)

 

Langue de travail

Français

 

Conditions de participation

Le Bureau International Jeunesse (BIJ) prend en charge pour les participants FWB sélectionnés les frais de séjour et d’organisation ainsi qu’une assurance.

 

Comment procéder

Faites parvenir votre candidature motivée sur le formulaire ajc 2017 (en pièce jointe) à thierry.dufour@cfwb.be avant le 10 mars 2017.

 

Des questions

N’hésitez pas à contacter Thierry Dufour, chargé du suivi de ce dossier: thierry.dufour@cfwb.be ou 02 548 38 81.

Le Forum Mondial de la langue française, qui s’est déroulé du 20 au 23 juillet 2015 à Liège (Belgique), a réuni plusieurs centaines de jeunes porteurs de projets francophones du monde entier. Dans les mois qui ont suivi, l’Organisation Internationale de la Francophonie a lancé sa campagne « Libres ensemble » qui vise à ce que les jeunes puissent s’exprimer et s’épanouir dans un monde empreint du respect de l’autre.

 

Suite au succès de ces deux événements, l’OIF et la Fédération Wallonie-Bruxelles ont décidé d’organiser une activité de suivi, sous la forme d’une « Agora Jeunes Citoyens LIBRES ENSEMBLE : Créer, s’engager, entreprendre pour un meilleur vivre ensemble».

Cette AJC se déroulera du 26 au 31 mai 2017 et réunira une soixantaine de participants francophones, dont une bonne partie sera composée de personnes ayant participé au Forum Mondial en 2015. Ils viendront des pays de l’OIF sur les cinq continents. Une autre partie sera composée de nouvelles personnes d’Europe et de Belgique francophone.

 

Vous avez entre 18 et 35 ans ? Vous êtes porteur de projets, actif sur votre territoire en tant qu’acteur de changements, à travers de projets créatifs ou entrepreneuriat social en faveur d’un meilleur vivre ensemble et de la lutte contre les discriminations ? Alors, venez présenter vos pratiques, les discuter, les comparer, les améliorer et arriver, en fin d’activité, à une éventuelle mise en réseau permettant des collaborations internationales.

 

Objectifs

  • Rassembler des porteurs de projets francophones actifs dans le domaine de la création et de l’entreprenariat social pour un meilleur vivre ensemble et en faveur de la lutte contre toute forme de discrimination
  • Les faire présenter, discuter et échanger leurs pratiques d’engagement au travers de leurs projets
  • Leur fournir encadrement et conseils pour améliorer ces pratiques et leurs résultats
  • Leur permettre un réseautage afin d’arriver à l’élaboration de projets novateurs à dimension internationale en vue de favoriser le vivre ensemble

 

Profil des participants

  • Vous résidez en Fédération Wallonie-Bruxelles et vous avez entre 18 et 35 ans
  • Votre projet et vos perspectives sont en adéquation avec cet appel
  • Votre projet a un réel impact sur une communauté locale donnée
  • Votre projet est effectivement appelé à durer dans le temps
  • Vous pouvez démontrer une réelle motivation ainsi qu’une envie de réseautage avec les autres participants
  • L’AJC réunira 25 participants du Forum Mondial de 2015, 25 participants extérieurs (belges et européens), une équipe d’une dizaine de personnes dont six facilitateurs et un conseiller pour dynamiser votre projet

 

Lieu et dates

Tournai, du 26 (arrivée le soir) au 31 mai 2017 (départ le matin)

 

Langue de travail

Français

 

Conditions de participation

Le Bureau International Jeunesse (BIJ) prend en charge pour les participants FWB sélectionnés les frais de séjour et d’organisation ainsi qu’une assurance.

 

Comment procéder

Faites parvenir votre candidature motivée sur le formulaire ajc 2017 (en pièce jointe) à thierry.dufour@cfwb.be avant le 10 mars 2017.

 

Des questions

N’hésitez pas à contacter Thierry Dufour, chargé du suivi de ce dossier: thierry.dufour@cfwb.be ou 02 548 38 81.

Documents liés

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Les villes ont toutes des pratiques qui peuvent en intéresser d’autres pour réussir à dépasser les obstacles auxquels elles sont confrontées comme les changements démographiques, les enjeux climatiques et environnementaux, le chômage ou encore la pauvreté urbaine. Le programme URBACT est fortement concerné par ces problèmes et a décidé d’aider les villes à identifier de nouvelles pratiques, à les adapter, les tester et les appliquer. 

 

URBACT définit une bonne pratique comme une pratique qui a prouvé son bon fonctionnement en assurant les résultats souhaités. C’est une expérience réussie qui mérite d’être partagée. Ces pratiques doivent tenter de résoudre les problèmes des villes européennes et proposer des solutions concrètes. Cela peut aller de la mobilité urbaine à la problématique des migrants, de la qualité de l’air à la question du travail et des compétences. Peu importe le sujet des pratiques, le programme souhaite toutes les entendre. L’objectif est de réussir à identifier les pratiques abordables et durables que d’autres villes pourront facilement adapter à leurs niveaux. 

 

Les bonnes pratiques sélectionnées obtiendront un label URBACT permettant l’intégration et le partage d’expériences dans des nouveaux réseaux de transfert, qui seront créés lors d’un prochain appel à candidatures à l’automne 2017. 

 

L’appel à candidatures pour l’identification des bonnes pratiques se déroule du 5/12/16 au 31/03/17.

 

Comment participer? Vouc trouverez toutes les infos nécessaires ici!

Les villes ont toutes des pratiques qui peuvent en intéresser d’autres pour réussir à dépasser les obstacles auxquels elles sont confrontées comme les changements démographiques, les enjeux climatiques et environnementaux, le chômage ou encore la pauvreté urbaine. Le programme URBACT est fortement concerné par ces problèmes et a décidé d’aider les villes à identifier de nouvelles pratiques, à les adapter, les tester et les appliquer. 

 

URBACT définit une bonne pratique comme une pratique qui a prouvé son bon fonctionnement en assurant les résultats souhaités. C’est une expérience réussie qui mérite d’être partagée. Ces pratiques doivent tenter de résoudre les problèmes des villes européennes et proposer des solutions concrètes. Cela peut aller de la mobilité urbaine à la problématique des migrants, de la qualité de l’air à la question du travail et des compétences. Peu importe le sujet des pratiques, le programme souhaite toutes les entendre. L’objectif est de réussir à identifier les pratiques abordables et durables que d’autres villes pourront facilement adapter à leurs niveaux. 

 

Les bonnes pratiques sélectionnées obtiendront un label URBACT permettant l’intégration et le partage d’expériences dans des nouveaux réseaux de transfert, qui seront créés lors d’un prochain appel à candidatures à l’automne 2017. 

 

L’appel à candidatures pour l’identification des bonnes pratiques se déroule du 5/12/16 au 31/03/17.

 

Comment participer? Vouc trouverez toutes les infos nécessaires ici!

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(c) Fotolia

Une nouvelle édition de l’appel à projets a démarré le 8 novembre. A la clé : des financements de 40.000€ pour favoriser la mise sur le marché d’innovations. 

 

La participation se fait en plusieurs étapes, dont la première est un formulaire à remplir en ligne, avant le 15 janvier.

Vous trouverez ici toutes les infos pour participer.

 

Boost-Up/Industries Créatives une initiative du programme Creative Wallonia.

 

 

Une nouvelle édition de l’appel à projets a démarré le 8 novembre. A la clé : des financements de 40.000€ pour favoriser la mise sur le marché d’innovations. 

 

La participation se fait en plusieurs étapes, dont la première est un formulaire à remplir en ligne, avant le 15 janvier.

Vous trouverez ici toutes les infos pour participer.

 

Boost-Up/Industries Créatives une initiative du programme Creative Wallonia.

 

 

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"Le Tout Nouveau Testament" de Jaco Van Dormael (c) Terra Incognita

Samedi soir s'est tenue la 4ème édition des Trophées Francophones du Cinéma, qui célèbrent le cinéma francophone. Présidée par Abderrahmane Sissako, cette 4ème édition mettait le cinéma belge à l’honneur avec 8 nominations au compteur.

 

Quatre fois nominé, Le Tout Nouveau Testament de Jaco Van Dormael est revenu avec deux Trophées: le Trophée du meilleur comédien, décerné à Benoît Poelvoorde pour son interprétation de Dieu, mais aussi le Trophée du Meilleur Scénario, remis à Thomas Gunzig, présent à Beyrouth, qui a co-écrit le film avec Jaco Van Dormael.

 

A noter également la nomination des deux jeunes acteurs de Keeper de Guillaume Senez, Galatea Bellugi (également présélectionnée pour le César du meilleur espoir en France pour ce rôle) et Kacey Mottet-Klein. 

 

Autre film belge à l’honneur, Tous les chats sont gris de Savina Dellicour, nommée en tant que meilleure réalisatrice et Bouli Lanners nommé dans la catégorie Meilleur Second Rôle Masculin.

 

Enfin, le Trophée francophone du meilleur film a été remis à A peine j’ouvre les yeux de la réalisatrice Leyla Bouzid, coproduit par Hélicotronc.

 

Retrouvez toute l'actualité du cinéma de Wallonie-Bruxelles sur le site de Wallonie-Bruxelles Images.

Samedi soir s'est tenue la 4ème édition des Trophées Francophones du Cinéma, qui célèbrent le cinéma francophone. Présidée par Abderrahmane Sissako, cette 4ème édition mettait le cinéma belge à l’honneur avec 8 nominations au compteur.

 

Quatre fois nominé, Le Tout Nouveau Testament de Jaco Van Dormael est revenu avec deux Trophées: le Trophée du meilleur comédien, décerné à Benoît Poelvoorde pour son interprétation de Dieu, mais aussi le Trophée du Meilleur Scénario, remis à Thomas Gunzig, présent à Beyrouth, qui a co-écrit le film avec Jaco Van Dormael.

 

A noter également la nomination des deux jeunes acteurs de Keeper de Guillaume Senez, Galatea Bellugi (également présélectionnée pour le César du meilleur espoir en France pour ce rôle) et Kacey Mottet-Klein. 

 

Autre film belge à l’honneur, Tous les chats sont gris de Savina Dellicour, nommée en tant que meilleure réalisatrice et Bouli Lanners nommé dans la catégorie Meilleur Second Rôle Masculin.

 

Enfin, le Trophée francophone du meilleur film a été remis à A peine j’ouvre les yeux de la réalisatrice Leyla Bouzid, coproduit par Hélicotronc.

 

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(c) Fotolia

Vous et votre organisation souhaitez participer à un projet international Erasmus +, mais vous estimez que votre faiblesse dans la communication et la pratique de l'anglais est un obstacle? Ce stage est ce dont vous avez besoin!

 

Cette formation n'est pas un cours de langue, mais une occasion de renforcer la confiance dans l'utilisation de l'anglais pour développer des projets européens, d'améliorer vos compétences en communication dans des environnements internationaux. Pendant le cours, vous pratiquez des exercices liés au travail de jeunesse international (par exemple: présentation de votre organisation, élaboration d'un programme d'échange de jeunes, appels téléphoniques avec un partenaire, etc.), afin de vous habituer au vocabulaire du programme européen Erasmus +.

 

Vous trouverez plus d'infos sur le site de Salto.

 

Profil des participants

  • Vous avez au moins 18 ans et vous résidez en Fédération Wallonie-Bruxelles
  • Vous souhaitez mettre en place un projet Erasmus+/JEA mais ne vous sentez pas à l’aise pour communiquer en anglais dans ce cadre: présenter votre association, élaborer le programme, téléphoner à votre partenaire…
  • Attention, cette formation ne s’adresse pas aux débutants en anglais. Une base minimale est indispensable !

 

Lieu et dates

Espagne (Mollina), du 6 au 12 février 2017

 

Langue de travail

Anglais

 

Conditions de participation

Le Bureau International Jeunesse et les organisateurs prennent en charge les frais de transports internationaux, de séjour et de programme des participants FWB sélectionnés.

 

Comment procéder

Faites parvenir votre candidature via le site de Salto (+ copie à  Thierry Dufour ou fax: 02 218 81 08) avant le 18 décembre.

 

Des questions

N’hésitez pas à contacter Thierry Dufour: thierry.dufour@cfwb.be ou 02 538 48 81.

Vous et votre organisation souhaitez participer à un projet international Erasmus +, mais vous estimez que votre faiblesse dans la communication et la pratique de l'anglais est un obstacle? Ce stage est ce dont vous avez besoin!

 

Cette formation n'est pas un cours de langue, mais une occasion de renforcer la confiance dans l'utilisation de l'anglais pour développer des projets européens, d'améliorer vos compétences en communication dans des environnements internationaux. Pendant le cours, vous pratiquez des exercices liés au travail de jeunesse international (par exemple: présentation de votre organisation, élaboration d'un programme d'échange de jeunes, appels téléphoniques avec un partenaire, etc.), afin de vous habituer au vocabulaire du programme européen Erasmus +.

 

Vous trouverez plus d'infos sur le site de Salto.

 

Profil des participants

  • Vous avez au moins 18 ans et vous résidez en Fédération Wallonie-Bruxelles
  • Vous souhaitez mettre en place un projet Erasmus+/JEA mais ne vous sentez pas à l’aise pour communiquer en anglais dans ce cadre: présenter votre association, élaborer le programme, téléphoner à votre partenaire…
  • Attention, cette formation ne s’adresse pas aux débutants en anglais. Une base minimale est indispensable !

 

Lieu et dates

Espagne (Mollina), du 6 au 12 février 2017

 

Langue de travail

Anglais

 

Conditions de participation

Le Bureau International Jeunesse et les organisateurs prennent en charge les frais de transports internationaux, de séjour et de programme des participants FWB sélectionnés.

 

Comment procéder

Faites parvenir votre candidature via le site de Salto (+ copie à  Thierry Dufour ou fax: 02 218 81 08) avant le 18 décembre.

 

Des questions

N’hésitez pas à contacter Thierry Dufour: thierry.dufour@cfwb.be ou 02 538 48 81.

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Arrivée au numéro 173 en 46 années de publication, la Revue ‘Književna Smotra’ est liée à la Faculté des Lettres de Zagreb et à la Société Philologique Croate.  

Le caractère de la revue, composée d’articles scientifiques traitant des littératures du monde, est pratiquement exclusivement académique. Elle est répertoriée dans des bases de données telles que Current Contents, MLA, WoS et Scopus. Sur un tirage de 500 exemplaires par numéro, la plus grande partie est distribuée à des bibliothèques croates, mais aussi à différentes universités et institutions croates et internationales (Boston College, Stanford, Université Jagiellonski, Université de Belgrade –Facultés des Lettres et de Dramaturgie-,  Université de Ljubljana, etc).

 

Etant donné le nombre réduit de traductions croates d’auteurs belges francophones, ce numéro se propose d’apporter en complément une réflexion sur la traduction de la littérature belge vers le croate et une série de traductions inédites de textes littéraires courts. Il s’agit de poser des bases solides pour les études de la littérature belge de la langue française en Croatie et par là-même de stimuler les traductions littéraires francophones vers le croate, en regroupant 3 catégories d’articles scientifiques :

  • articles panoramiques retraçant l’histoire des Lettres belges
  • articles spécifiques traitant des spécificités de cette littérature et/ou de certains de ses écrivains-phares
  • articles spécifiques sur les problèmes de traduction des auteurs francophones vers le croate
  • elle comprend par ailleurs des traductions inédites d’une série de textes brefs d’auteurs belges francophones

 

Mme Vanda Miksic, Maître de conférence à l’Université de Zadar et traductrice réputée, assure la coordination et la supervision du travail d’une belle équipe de jeunes traductrices au palmarès impressionnant : Mirna Šimat, Marija Spajić et Ursula Burger, accompagnées de l’appui étroit de l’expertise dans le domaine de la littérature de MM Sorin Stan et Marc Quaghebeur, Directeur des Archives et Musée de littérature de Bruxelles.

 

En parallèle, le Festival BOOKSA (éditeur notamment de la revue éponyme), bien établi sur la scène culturelle zagreboise, se consacre cette année aux pays du Benelux. Lectures et rencontres avec les écrivains, publication d’un volume de traductions inédites, débats et rencontres avec les éditeurs seront au programme. L’action du festival se consacre essentiellement à promouvoir et soutenir les petites maisons d’éditions. L’inauguration du Festival BOOKSA est prévue pour le 15 décembre, et la revue sera parue entretemps. 

 

Vanda Miksic et Sorin Stan, en tant que co-directeurs du numéro spécial de la revue, sont invités à présenter le travail en deux endroits différents :

  • Le 15 décembre, au "Festival des petites littératures" organisé par BOOKSA. A cette invitation s'ajoute la participation de M Grégoire Polet, écrivain de la FWB, dont les communications portent sur la littérature belge, en général, et sur son œuvre, en particulier. L'Ambassade de Belgique participe à l'évènement.
  • Le 16 décembre, à l'Institut Français de Zagreb, M Grégoire Polet participe également à l'évènement.

 

A l’occasion du mois de la Francophonie, l'Université de Zadar (membre de l’AUF) sollicite déjà une présentation de la revue en mars 2017. Par ailleurs, on étudie également la possibilité d'un cours de littérature belge construit sur la base des textes inédits intégrés dans le numéro. 

 

La confection de la revue a lieu avec l’appui également du Service de la Promotion des Lettres (FWB) ainsi que de l’Agence universitaire francophone (AUF).

Arrivée au numéro 173 en 46 années de publication, la Revue ‘Književna Smotra’ est liée à la Faculté des Lettres de Zagreb et à la Société Philologique Croate.  

Le caractère de la revue, composée d’articles scientifiques traitant des littératures du monde, est pratiquement exclusivement académique. Elle est répertoriée dans des bases de données telles que Current Contents, MLA, WoS et Scopus. Sur un tirage de 500 exemplaires par numéro, la plus grande partie est distribuée à des bibliothèques croates, mais aussi à différentes universités et institutions croates et internationales (Boston College, Stanford, Université Jagiellonski, Université de Belgrade –Facultés des Lettres et de Dramaturgie-,  Université de Ljubljana, etc).

 

Etant donné le nombre réduit de traductions croates d’auteurs belges francophones, ce numéro se propose d’apporter en complément une réflexion sur la traduction de la littérature belge vers le croate et une série de traductions inédites de textes littéraires courts. Il s’agit de poser des bases solides pour les études de la littérature belge de la langue française en Croatie et par là-même de stimuler les traductions littéraires francophones vers le croate, en regroupant 3 catégories d’articles scientifiques :

  • articles panoramiques retraçant l’histoire des Lettres belges
  • articles spécifiques traitant des spécificités de cette littérature et/ou de certains de ses écrivains-phares
  • articles spécifiques sur les problèmes de traduction des auteurs francophones vers le croate
  • elle comprend par ailleurs des traductions inédites d’une série de textes brefs d’auteurs belges francophones

 

Mme Vanda Miksic, Maître de conférence à l’Université de Zadar et traductrice réputée, assure la coordination et la supervision du travail d’une belle équipe de jeunes traductrices au palmarès impressionnant : Mirna Šimat, Marija Spajić et Ursula Burger, accompagnées de l’appui étroit de l’expertise dans le domaine de la littérature de MM Sorin Stan et Marc Quaghebeur, Directeur des Archives et Musée de littérature de Bruxelles.

 

En parallèle, le Festival BOOKSA (éditeur notamment de la revue éponyme), bien établi sur la scène culturelle zagreboise, se consacre cette année aux pays du Benelux. Lectures et rencontres avec les écrivains, publication d’un volume de traductions inédites, débats et rencontres avec les éditeurs seront au programme. L’action du festival se consacre essentiellement à promouvoir et soutenir les petites maisons d’éditions. L’inauguration du Festival BOOKSA est prévue pour le 15 décembre, et la revue sera parue entretemps. 

 

Vanda Miksic et Sorin Stan, en tant que co-directeurs du numéro spécial de la revue, sont invités à présenter le travail en deux endroits différents :

  • Le 15 décembre, au "Festival des petites littératures" organisé par BOOKSA. A cette invitation s'ajoute la participation de M Grégoire Polet, écrivain de la FWB, dont les communications portent sur la littérature belge, en général, et sur son œuvre, en particulier. L'Ambassade de Belgique participe à l'évènement.
  • Le 16 décembre, à l'Institut Français de Zagreb, M Grégoire Polet participe également à l'évènement.

 

A l’occasion du mois de la Francophonie, l'Université de Zadar (membre de l’AUF) sollicite déjà une présentation de la revue en mars 2017. Par ailleurs, on étudie également la possibilité d'un cours de littérature belge construit sur la base des textes inédits intégrés dans le numéro. 

 

La confection de la revue a lieu avec l’appui également du Service de la Promotion des Lettres (FWB) ainsi que de l’Agence universitaire francophone (AUF).

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"Baden Baden" (c) Tarantula Belgique

Baden Baden, réalisé par Rachel Lang et produit par Tarantula Belgique, remporte le Prix du scénario de Stuttgart. C’est a l’unanimité que s’est prononcé le jury, "pour la finesse d’écriture de ses scènes et l’intelligence de ses dialogues". En outre, la réalisatrice a reçu 1000€ de la ville de Stuttgart pour ce prix. 

 

Produit par Hélicotronc, le court-métrage A l’arraché d’Emmanuelle Nicot est le co-lauréat de la compétition des courts-métrages du festival, aux côté de Panthéon Discount de Stephan Castang. A l’arraché a conquis le jury par sa sincérité et son énergie. Les deux films, ex-aequo, ont chacun reçu un prix de 500€ offert par la Caisse d’épargne de Tübingen. 

 

Retrouvez toute l'actualité du cinéma de Wallonie-Bruxelles sur le site de Wallonie-Bruxelles Images.

Baden Baden, réalisé par Rachel Lang et produit par Tarantula Belgique, remporte le Prix du scénario de Stuttgart. C’est a l’unanimité que s’est prononcé le jury, "pour la finesse d’écriture de ses scènes et l’intelligence de ses dialogues". En outre, la réalisatrice a reçu 1000€ de la ville de Stuttgart pour ce prix. 

 

Produit par Hélicotronc, le court-métrage A l’arraché d’Emmanuelle Nicot est le co-lauréat de la compétition des courts-métrages du festival, aux côté de Panthéon Discount de Stephan Castang. A l’arraché a conquis le jury par sa sincérité et son énergie. Les deux films, ex-aequo, ont chacun reçu un prix de 500€ offert par la Caisse d’épargne de Tübingen. 

 

Retrouvez toute l'actualité du cinéma de Wallonie-Bruxelles sur le site de Wallonie-Bruxelles Images.

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Pascale Peeters, lectrice de langue et littérature françaises de Wallonie-Bruxelles à Varsovie

Pour récompenser les enseignants contribuant au rayonnement de l’Université par leur engagement et l’utilisation de méthodes d’enseignement hors pair, le Recteur de l’Université de Varsovie, Monsieur le Professeur Marcin Pałys, a créé le Prix du meilleur enseignant décerné dans les catégories des sciences dures, des sciences sociales et des siences humaines.

 

Pour cette première édition, dans la catégorie des sciences humaines, cette récompense a été attribuée à Pascale Peeters, lectrice de langue et littérature françaises de Wallonie-Bruxelles, en poste depuis 7 ans à l’Institut des Etudes romanes de l’Université de Varsovie. Le jury a particulièrement apprécié ses méthodes de travail innovatrices (atelier de jeux), les nombreuses activités réalisées en dehors du cadre des cours (théâtre, expositions, cinéma, ...), ses rapports privilégiés avec les étudiants et son grand engagement dans l’amélioration des compétences linguistiques des étudiants.

Pour récompenser les enseignants contribuant au rayonnement de l’Université par leur engagement et l’utilisation de méthodes d’enseignement hors pair, le Recteur de l’Université de Varsovie, Monsieur le Professeur Marcin Pałys, a créé le Prix du meilleur enseignant décerné dans les catégories des sciences dures, des sciences sociales et des siences humaines.

 

Pour cette première édition, dans la catégorie des sciences humaines, cette récompense a été attribuée à Pascale Peeters, lectrice de langue et littérature françaises de Wallonie-Bruxelles, en poste depuis 7 ans à l’Institut des Etudes romanes de l’Université de Varsovie. Le jury a particulièrement apprécié ses méthodes de travail innovatrices (atelier de jeux), les nombreuses activités réalisées en dehors du cadre des cours (théâtre, expositions, cinéma, ...), ses rapports privilégiés avec les étudiants et son grand engagement dans l’amélioration des compétences linguistiques des étudiants.

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