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44ème Festival international de la Bande Dessinée d'Angoulême

Le jury du festival, présidé par l’auteure britannique Posy Simmonds, a fait preuve d'audace en décernant le Fauve d'Or à Eric Lambé (dessin) et Philippe de Pierpont (scénario). Leur album, épais de 400 pages, raconte la peine endurée par une mère ayant perdu sa fille suite à un accident. Le rythme du récit est lent, les couleurs peu présentes, les éléments graphiques s'entremêlent dans un style minimaliste, proche de l'abstrait.

 

Il aura fallu 4 ans de travail à Eric Lambé, dont 2 ans de recherche graphique, pour dessiner "Paysage après la bataille", écrit par Philippe de Pierpont en 2008. Pour l'occasion, la maison d'édition de bande dessinée d'avant-garde Frémok a collaboré avec Actes Sud.

 

Au palmarès de cette édition, notons également le Prix du polar pour "L'Eté diabolik" (Dargaud) d'Alexandre Clérisse et du scénariste belge Thierry Smolderen.

 

Découvrez le palmarès complet sur le site du festival.

Le jury du festival, présidé par l’auteure britannique Posy Simmonds, a fait preuve d'audace en décernant le Fauve d'Or à Eric Lambé (dessin) et Philippe de Pierpont (scénario). Leur album, épais de 400 pages, raconte la peine endurée par une mère ayant perdu sa fille suite à un accident. Le rythme du récit est lent, les couleurs peu présentes, les éléments graphiques s'entremêlent dans un style minimaliste, proche de l'abstrait.

 

Il aura fallu 4 ans de travail à Eric Lambé, dont 2 ans de recherche graphique, pour dessiner "Paysage après la bataille", écrit par Philippe de Pierpont en 2008. Pour l'occasion, la maison d'édition de bande dessinée d'avant-garde Frémok a collaboré avec Actes Sud.

 

Au palmarès de cette édition, notons également le Prix du polar pour "L'Eté diabolik" (Dargaud) d'Alexandre Clérisse et du scénariste belge Thierry Smolderen.

 

Découvrez le palmarès complet sur le site du festival.

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(c) BIJ

L'objectif général est de permettre aux animateurs et aux travailleurs de jeunesse d'explorer, de partager et d'adapter les outils qui peuvent être utilisés pour améliorer leurs échanges de jeunes.

 

Ces outils sont conçus en fonction des objectifs suivants:

  • Accroître la sensibilisation aux processus et aux outils du groupe qui facilitent le développement du groupe lors des échanges de jeunes
  • Explorer des outils axés sur les processus d'apprentissage et l'apprentissage interculturel
  • Explorer différents outils qui motivent les jeunes à participer activement aux projets d'échanges de jeunes
  • Comprendre comment les différents outils permettent aux jeunes d'évaluer leur expérience de projet et de participer à la diffusion des résultats
  • Etre conscient de la manière d'intégrer les priorités thématiques dans les échanges de jeunes

 

Profil des participants

  • Vous êtes un jeune francophone d’au moins 18 ans résidant en Wallonie ou à Bruxelles
  • Vous êtes travailleur de jeunesse et vous avez déjà organisé ou participé à l’organisation d’un échange de jeunes E+/JEA et vous souhaitez découvrir des outils liés à cette action
  • Vous êtes capable de travailler en anglais

 

Lieu et dates

Finlande (Virrat) , du 6 au 12 mars

 

Langue de travail

Anglais

 

Conditions de participation

Le Bureau International Jeunesse et les organisateurs prennent en charge les frais de transports internationaux, de séjour et de programme des participants FWB sélectionnés.

 

Comment procéder

Inscrivez-vous via le site de Salto (+ copie à Thierry Dufour: thierry.dufour@cfwb.be ou fax: 02 218 81 08) pour le 7 février.

 

Des questions

N’hésitez pas à contacter Thierry Dufourthierry.dufour@cfwb.be ou 02 548 38 81.

L'objectif général est de permettre aux animateurs et aux travailleurs de jeunesse d'explorer, de partager et d'adapter les outils qui peuvent être utilisés pour améliorer leurs échanges de jeunes.

 

Ces outils sont conçus en fonction des objectifs suivants:

  • Accroître la sensibilisation aux processus et aux outils du groupe qui facilitent le développement du groupe lors des échanges de jeunes
  • Explorer des outils axés sur les processus d'apprentissage et l'apprentissage interculturel
  • Explorer différents outils qui motivent les jeunes à participer activement aux projets d'échanges de jeunes
  • Comprendre comment les différents outils permettent aux jeunes d'évaluer leur expérience de projet et de participer à la diffusion des résultats
  • Etre conscient de la manière d'intégrer les priorités thématiques dans les échanges de jeunes

 

Profil des participants

  • Vous êtes un jeune francophone d’au moins 18 ans résidant en Wallonie ou à Bruxelles
  • Vous êtes travailleur de jeunesse et vous avez déjà organisé ou participé à l’organisation d’un échange de jeunes E+/JEA et vous souhaitez découvrir des outils liés à cette action
  • Vous êtes capable de travailler en anglais

 

Lieu et dates

Finlande (Virrat) , du 6 au 12 mars

 

Langue de travail

Anglais

 

Conditions de participation

Le Bureau International Jeunesse et les organisateurs prennent en charge les frais de transports internationaux, de séjour et de programme des participants FWB sélectionnés.

 

Comment procéder

Inscrivez-vous via le site de Salto (+ copie à Thierry Dufour: thierry.dufour@cfwb.be ou fax: 02 218 81 08) pour le 7 février.

 

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N’hésitez pas à contacter Thierry Dufourthierry.dufour@cfwb.be ou 02 548 38 81.

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Copyright Fotolia

Le Bureau International Jeunesse est un service public en Fédération Wallonie-Bruxelles,  qui est chargé de différents programmes de mobilité internationale pour les jeunes de 15 à 30 ans. Chaque année, le BIJ apporte un soutien financier à plus de 5000 jeunes pour réaliser des projets internationaux.

 

Les artistes sélectionnés travailleront ensemble pendant 10 jours sur le thème "Libres Ensemble" et leurs créations seront présentées en spectacle à Bruxelles le 20 mars.

 

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Qui peut participer ?

Le projet est ouvert à tout jeune:

  • âgé de 18 à 30 ans et résidant dans un pays de la Francophonie,
  • pratiquant le slam,
  • motivé par la rencontre de jeunes issus d’horizons différents, engagé et motivé par la thématique "Libres Ensemble".

Il reste des places pour des jeunes francophones européens y compris des jeunes slammeurs de FWB !

 

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Le projet

Il s’agit avant tout d’une résidence d’artistes qui privilégie la rencontre, les échanges et bien sûr les moments de création artistique. Au tout début de la rencontre, les participants sont invités à préparer une démo live (10 minutes max) pour présenter leurs créations et leur univers artistique. L’objectif de ce moment est de se présenter aux autres et pouvoir créer des duos, trios ou plus de création. Le projet reposera sur des créations collectives et non sur l’enchaînement de prestations personnelles.

 

La coordination du projet a été confiée à JOY, slammeuse confirmée, qui facilitera les moments de création et s’assurera de l’enchaînement des slams pour la présentation publique. Le spectacle sera présenté au public dans des conditions techniques professionnelles.

 

Si le travail artistique et la présentation du spectacle sont un objectif, les contacts, la communication entre les jeunes et l’opportunité d’apprendre les uns des autres restent la priorité. Des activités sont donc organisées durant le séjour pour favoriser les échanges entre participants de régions et de cultures différentes. La langue de travail sera le français. 

 

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Comment participer ?

  • Les candidatures doivent être envoyées au BIJ pour le 8 février au plus tard sous la forme d’une lettre de motivation et d’une démo (cd, lien web…),
  • Les candidats seront avertis du résultat de la sélection le 15 février.

Infos pratiques:

  • Tous les coûts des candidats sélectionnés (transport, visa, hébergement, repas, activités,  encadrement artistique) sont couverts par le BIJ,
  • Les participants seront logés dans des studios de 2 ou 3 personnes,
  • Des informations complémentaires sur le lieu et ses facilités seront communiquées ultérieurement,
  • Les participants seront couverts par une assurance de type assistance (responsabilité civile et accidents corporels) pendant toute la durée du séjour,
  • Les participants ne sont pas rémunérés.

 

Plus d'infos auprès de laurence.hermand@cfwb.be

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Le Bureau International Jeunesse est un service public en Fédération Wallonie-Bruxelles,  qui est chargé de différents programmes de mobilité internationale pour les jeunes de 15 à 30 ans. Chaque année, le BIJ apporte un soutien financier à plus de 5000 jeunes pour réaliser des projets internationaux.

 

Les artistes sélectionnés travailleront ensemble pendant 10 jours sur le thème "Libres Ensemble" et leurs créations seront présentées en spectacle à Bruxelles le 20 mars.

 

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Qui peut participer ?

Le projet est ouvert à tout jeune:

  • âgé de 18 à 30 ans et résidant dans un pays de la Francophonie,
  • pratiquant le slam,
  • motivé par la rencontre de jeunes issus d’horizons différents, engagé et motivé par la thématique "Libres Ensemble".

Il reste des places pour des jeunes francophones européens y compris des jeunes slammeurs de FWB !

 

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Le projet

Il s’agit avant tout d’une résidence d’artistes qui privilégie la rencontre, les échanges et bien sûr les moments de création artistique. Au tout début de la rencontre, les participants sont invités à préparer une démo live (10 minutes max) pour présenter leurs créations et leur univers artistique. L’objectif de ce moment est de se présenter aux autres et pouvoir créer des duos, trios ou plus de création. Le projet reposera sur des créations collectives et non sur l’enchaînement de prestations personnelles.

 

La coordination du projet a été confiée à JOY, slammeuse confirmée, qui facilitera les moments de création et s’assurera de l’enchaînement des slams pour la présentation publique. Le spectacle sera présenté au public dans des conditions techniques professionnelles.

 

Si le travail artistique et la présentation du spectacle sont un objectif, les contacts, la communication entre les jeunes et l’opportunité d’apprendre les uns des autres restent la priorité. Des activités sont donc organisées durant le séjour pour favoriser les échanges entre participants de régions et de cultures différentes. La langue de travail sera le français. 

 

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Comment participer ?

  • Les candidatures doivent être envoyées au BIJ pour le 8 février au plus tard sous la forme d’une lettre de motivation et d’une démo (cd, lien web…),
  • Les candidats seront avertis du résultat de la sélection le 15 février.

Infos pratiques:

  • Tous les coûts des candidats sélectionnés (transport, visa, hébergement, repas, activités,  encadrement artistique) sont couverts par le BIJ,
  • Les participants seront logés dans des studios de 2 ou 3 personnes,
  • Des informations complémentaires sur le lieu et ses facilités seront communiquées ultérieurement,
  • Les participants seront couverts par une assurance de type assistance (responsabilité civile et accidents corporels) pendant toute la durée du séjour,
  • Les participants ne sont pas rémunérés.

 

Plus d'infos auprès de laurence.hermand@cfwb.be

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30è FIPA

Montré en première mondiale, le documentaire "Inkotanyi" de Christophe Cotteret (prod: Wrong Men) concourt dans la section "Documentaire de création".

 

Toujours dans cette section, nous retrouvons deux documentaires présentés hors compétition (Création européenne): "Burning Out - Dans le ventre de l’hôpital" de Jérôme le Maire (prod: AT DOC), qui avait fait sa première mondiale à l’IDFA, et "L’eau sacrée" d’Olivier Jourdain (prod: Nameless Productions), qui, lui, l’avait fait à DOK Leipzig.

 

Plusieurs courts métrages de jeunes réalisateurs belges sont également mis à l’honneur.

 

"Angelika" de Léopold Legrand (prod: INSAS) est, lui aussi, présenté dans la section "Documentaire de création (Jeune création)", tandis que "Cadillac" de Pauline Roque, "Créatures" de Camille Mol, "Les Dauphines" de Juliette Klinke, ainsi que "Nelson" de Juliette Klinke et Thomas Xhignesse (prod: IAD) sont présentés dans la section "Fiction (Jeune création)".

 

Le Festival International de Programmes Audiovisuels est l’un des festivals audiovisuels les plus novateurs en terme de contenu, axant se programmation sur les nouveaux langages (vidéo, web, transmédia), les mutations technologiques (réalité augmentée, fiction à 360°) et la création mondiale.

Montré en première mondiale, le documentaire "Inkotanyi" de Christophe Cotteret (prod: Wrong Men) concourt dans la section "Documentaire de création".

 

Toujours dans cette section, nous retrouvons deux documentaires présentés hors compétition (Création européenne): "Burning Out - Dans le ventre de l’hôpital" de Jérôme le Maire (prod: AT DOC), qui avait fait sa première mondiale à l’IDFA, et "L’eau sacrée" d’Olivier Jourdain (prod: Nameless Productions), qui, lui, l’avait fait à DOK Leipzig.

 

Plusieurs courts métrages de jeunes réalisateurs belges sont également mis à l’honneur.

 

"Angelika" de Léopold Legrand (prod: INSAS) est, lui aussi, présenté dans la section "Documentaire de création (Jeune création)", tandis que "Cadillac" de Pauline Roque, "Créatures" de Camille Mol, "Les Dauphines" de Juliette Klinke, ainsi que "Nelson" de Juliette Klinke et Thomas Xhignesse (prod: IAD) sont présentés dans la section "Fiction (Jeune création)".

 

Le Festival International de Programmes Audiovisuels est l’un des festivals audiovisuels les plus novateurs en terme de contenu, axant se programmation sur les nouveaux langages (vidéo, web, transmédia), les mutations technologiques (réalité augmentée, fiction à 360°) et la création mondiale.

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Copyright Fotolia

Prométhéa a pour mission le développement du mécénat d’entreprise dans le domaine de la Culture et du Patrimoine. Principale référence en Belgique en matière de mécénat, Prométhéa favorise les échanges entre les différents acteurs du mécénat issus des mondes politique, économique et culturel et accompagne les entreprises dans leur stratégie de mécénat. Son objectif est d’augmenter le nombre d’entreprises mécènes ainsi que les ressources de mécénat et ce, principalement en Belgique, tout en étant un acteur de la réflexion européenne dans ce cadre.

 

La formation

Si le mécénat d’entreprise est un mystère pour vous, que vous cherchez à diversifier vos sources de financement, que vous cherchez à développer votre apprentissage sur le lien entre secteur privé et secteur culturel, cette formation est faite pour vous.

Concrètement, les sujets abordés sont les suivants:

  • Le Mécénat, c’est quoi ?
  • Fiscalité et solutions légales
  • Comment se préparer à la démarche vers le privé ?
  • Se mettre dans la peau d’une entreprise mécène (+ témoignage d’une entreprise mécène)
  • Comment construire un dossier de partenariat ? (forme et contenu)
  • Crowdfunding et mécénat
  • Quelles entreprises contacter ?  Comment les contacter ? Comment gérer la relation de partenariat ?

Dates de la formation:

  • Le 9 février à Bruxelles
  • Le 20 avril en Wallonie
  • Le 8 juin à Bruxelles
  • Le 14 septembre en Wallonie
  • Le 16 novembre à Bruxelles

Nouveauté de cette année, plus de date limite de dépôt de dossier, l’offre d’aide s’arrête dès que les 10 places ont été remplies.

 

Critères d'inscription, de sélection et informations concernant les dépôts de candidature

 

Plus d'infos sur Wallonie-Bruxelles Théâtre/Danse

Prométhéa a pour mission le développement du mécénat d’entreprise dans le domaine de la Culture et du Patrimoine. Principale référence en Belgique en matière de mécénat, Prométhéa favorise les échanges entre les différents acteurs du mécénat issus des mondes politique, économique et culturel et accompagne les entreprises dans leur stratégie de mécénat. Son objectif est d’augmenter le nombre d’entreprises mécènes ainsi que les ressources de mécénat et ce, principalement en Belgique, tout en étant un acteur de la réflexion européenne dans ce cadre.

 

La formation

Si le mécénat d’entreprise est un mystère pour vous, que vous cherchez à diversifier vos sources de financement, que vous cherchez à développer votre apprentissage sur le lien entre secteur privé et secteur culturel, cette formation est faite pour vous.

Concrètement, les sujets abordés sont les suivants:

  • Le Mécénat, c’est quoi ?
  • Fiscalité et solutions légales
  • Comment se préparer à la démarche vers le privé ?
  • Se mettre dans la peau d’une entreprise mécène (+ témoignage d’une entreprise mécène)
  • Comment construire un dossier de partenariat ? (forme et contenu)
  • Crowdfunding et mécénat
  • Quelles entreprises contacter ?  Comment les contacter ? Comment gérer la relation de partenariat ?

Dates de la formation:

  • Le 9 février à Bruxelles
  • Le 20 avril en Wallonie
  • Le 8 juin à Bruxelles
  • Le 14 septembre en Wallonie
  • Le 16 novembre à Bruxelles

Nouveauté de cette année, plus de date limite de dépôt de dossier, l’offre d’aide s’arrête dès que les 10 places ont été remplies.

 

Critères d'inscription, de sélection et informations concernant les dépôts de candidature

 

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Copyright J. Van Belle - WBI

La Fédération Wallonie-Bruxelles, l'Université Libre de Bruxelles, l'Université Catholique de Louvain et BOZAR ont uni leurs forces pour rendre hommage au poète Mahmoud Darwich, décédé en 2008.

 

Cette Chaire universitaire et culturelle vise à perpétuer la mémoire et l'oeuvre de l'un des plus grands auteurs arabes, qui a su toucher des problématiques universelles telles que l'absence, la perte ou l'errance, par la sanctuarisation d'un langage et une musicalité des mots qui en font l'un des grands poètes du 20è siècle, et qui résonnent dans l'exil intérieur qui habite chacun d'entre nous. 

 

En créant la Chaire Mahmoud Darwich, la Fédération Wallonie-Bruxelles réaffirme ses liens de coopération avec la Palestine, dans la continuation de la saison artistique "Masarat" qui fut, durant plusieurs mois en 2008, une vitrine de la créativité des artistes palestiniens. 

 

Le Ministre-Président souligne que "la Fédération Wallonie-Bruxelles a choisi de cibler son action sur neuf pays partenaires prioritaires. Parmi eux, se trouve la Palestine, qui occupe une place essentielle, avec déjà près de 22 années de coopération".

 

La Chaire s'inscrit également dans la dynamique de promotion des cultures contemporaines du Maghreb et du Moyen-Orient initiée par Wallonie-Bruxelles International et la Fédération W-B. Elle est aussi une manière d'encourager la création, au sein des universités francophones, de chaires consacrées à cette région du monde d'où est issue la plus importante diaspora de l'immigration à Bruxelles et en Wallonie. 

 

"Cette journée est très particulière pour moi. Elle m’offre le privilège de vous rencontrer autour d’un projet qui, au delà d’honorer la mémoire d’une immense personnalité, entend jeter des ponts entre Orient et Occident. Rien que cela souligne l’importance de cette rencontre. Une importance que je serais enclin à qualifier de vitale dans un monde en proie à de multiples facteurs de déstabilisation. Avec, bien sûr, l’obsédante montée en puissance des radicalismes violents et de leur cortège d’actes barbares, et avec la multiplication des conflits, générant drames et déplacements de populations, mais aussi, plus largement, avec la mondialisation qui n’a pas produit l’humanisme planétaire espéré, avec la crise économique qui n’en finit plus, entraînant chômage et régression sociale et opposant les précaires entre eux, avec la montée en puissance des idées réactionnaires dans une opposition de plus en plus ouvertement déclarée aux idées des Lumières et avec la recrudescence du fait religieux charriant son lot de dérives sectaires. Ces différents éléments s’imbriquent, s’entremêlent et s’entrechoquent, produisant un cocktail détonnant dont les conséquences sont, au-delà même des actes sanglants, une exaspération des frustrations, une résurgence des égoïsmes, une montée du racisme et de l’antisémitisme et une réduction des droits sociaux, qui nourrissent, à leur tour, de nouvelles frustrations. Bref, c’est directement notre "vivre ensemble" qui est remis en cause par une minorité de personnes qui, en se radicalisant, ébranlent nos valeurs démocratiques comme les droits humains les plus élémentaires", rappelle Rudy Demotte. 

 

L'objectif est donc de faire connaître l'oeuvre et la pensée du poète et, plus généralement, de faire la promotion de la culture arabe contemporaine en dialogue avec les cultures du monde. Via cette Chaire, il s'agira:

  • d'organiser des colloques et autres activités académiques, d'encourager la rédaction de travaux de fin d'études, etc afin d'impulser une dynamique dans les milieux étudiants et de la recherche,
  • d'organiser des événements culturels visant un large public,
  • de labelliser des initiatives de qualité se situant dans l'esprit de la pensée de Darwich et des objectifs de la Chaire.

Dans ce cadre, la "Chaire mahmoud Darwich" créera le "Prix International Mahmoud Darwich" récompensant un travail de fin d'études de niveau master ou une thèse de doctorat. 

 

La Présidente d'honneur de la Chaire est Leila Shahid, ancienne ambassadrice de Palestine en Belgique et auprès de l'Union européenne. Les activités sont coordonnées par un Comité d'accompagnement composé d'experts arabophones et francophones et de représentants de la Fédération Wallonie-Bruxelles. 

 

Cette journée inaugurale a réuni des critiques littéraires, des chercheurs, des intellectuels, des artistes et journalistes, qui, à travers leurs analyses et leurs témoignages, vont permettre de mieux cerner la pensée, l'oeuvre et l'engagement pour la Palestine de Darwich. L'après-midi s'est achevée avec un court métrage inédit de Simone Bitton "Darwich à Tolède" et le film qu'ont consacré au poète Simone Bitton et Elias Sanbar "Et la terre comme une langue". Enfin, la soirée se clôturera par un concert du chanteur et multi-instrumentiste palestinien Tamer Abu Ghazaleh. 

La Fédération Wallonie-Bruxelles, l'Université Libre de Bruxelles, l'Université Catholique de Louvain et BOZAR ont uni leurs forces pour rendre hommage au poète Mahmoud Darwich, décédé en 2008.

 

Cette Chaire universitaire et culturelle vise à perpétuer la mémoire et l'oeuvre de l'un des plus grands auteurs arabes, qui a su toucher des problématiques universelles telles que l'absence, la perte ou l'errance, par la sanctuarisation d'un langage et une musicalité des mots qui en font l'un des grands poètes du 20è siècle, et qui résonnent dans l'exil intérieur qui habite chacun d'entre nous. 

 

En créant la Chaire Mahmoud Darwich, la Fédération Wallonie-Bruxelles réaffirme ses liens de coopération avec la Palestine, dans la continuation de la saison artistique "Masarat" qui fut, durant plusieurs mois en 2008, une vitrine de la créativité des artistes palestiniens. 

 

Le Ministre-Président souligne que "la Fédération Wallonie-Bruxelles a choisi de cibler son action sur neuf pays partenaires prioritaires. Parmi eux, se trouve la Palestine, qui occupe une place essentielle, avec déjà près de 22 années de coopération".

 

La Chaire s'inscrit également dans la dynamique de promotion des cultures contemporaines du Maghreb et du Moyen-Orient initiée par Wallonie-Bruxelles International et la Fédération W-B. Elle est aussi une manière d'encourager la création, au sein des universités francophones, de chaires consacrées à cette région du monde d'où est issue la plus importante diaspora de l'immigration à Bruxelles et en Wallonie. 

 

"Cette journée est très particulière pour moi. Elle m’offre le privilège de vous rencontrer autour d’un projet qui, au delà d’honorer la mémoire d’une immense personnalité, entend jeter des ponts entre Orient et Occident. Rien que cela souligne l’importance de cette rencontre. Une importance que je serais enclin à qualifier de vitale dans un monde en proie à de multiples facteurs de déstabilisation. Avec, bien sûr, l’obsédante montée en puissance des radicalismes violents et de leur cortège d’actes barbares, et avec la multiplication des conflits, générant drames et déplacements de populations, mais aussi, plus largement, avec la mondialisation qui n’a pas produit l’humanisme planétaire espéré, avec la crise économique qui n’en finit plus, entraînant chômage et régression sociale et opposant les précaires entre eux, avec la montée en puissance des idées réactionnaires dans une opposition de plus en plus ouvertement déclarée aux idées des Lumières et avec la recrudescence du fait religieux charriant son lot de dérives sectaires. Ces différents éléments s’imbriquent, s’entremêlent et s’entrechoquent, produisant un cocktail détonnant dont les conséquences sont, au-delà même des actes sanglants, une exaspération des frustrations, une résurgence des égoïsmes, une montée du racisme et de l’antisémitisme et une réduction des droits sociaux, qui nourrissent, à leur tour, de nouvelles frustrations. Bref, c’est directement notre "vivre ensemble" qui est remis en cause par une minorité de personnes qui, en se radicalisant, ébranlent nos valeurs démocratiques comme les droits humains les plus élémentaires", rappelle Rudy Demotte. 

 

L'objectif est donc de faire connaître l'oeuvre et la pensée du poète et, plus généralement, de faire la promotion de la culture arabe contemporaine en dialogue avec les cultures du monde. Via cette Chaire, il s'agira:

  • d'organiser des colloques et autres activités académiques, d'encourager la rédaction de travaux de fin d'études, etc afin d'impulser une dynamique dans les milieux étudiants et de la recherche,
  • d'organiser des événements culturels visant un large public,
  • de labelliser des initiatives de qualité se situant dans l'esprit de la pensée de Darwich et des objectifs de la Chaire.

Dans ce cadre, la "Chaire mahmoud Darwich" créera le "Prix International Mahmoud Darwich" récompensant un travail de fin d'études de niveau master ou une thèse de doctorat. 

 

La Présidente d'honneur de la Chaire est Leila Shahid, ancienne ambassadrice de Palestine en Belgique et auprès de l'Union européenne. Les activités sont coordonnées par un Comité d'accompagnement composé d'experts arabophones et francophones et de représentants de la Fédération Wallonie-Bruxelles. 

 

Cette journée inaugurale a réuni des critiques littéraires, des chercheurs, des intellectuels, des artistes et journalistes, qui, à travers leurs analyses et leurs témoignages, vont permettre de mieux cerner la pensée, l'oeuvre et l'engagement pour la Palestine de Darwich. L'après-midi s'est achevée avec un court métrage inédit de Simone Bitton "Darwich à Tolède" et le film qu'ont consacré au poète Simone Bitton et Elias Sanbar "Et la terre comme une langue". Enfin, la soirée se clôturera par un concert du chanteur et multi-instrumentiste palestinien Tamer Abu Ghazaleh. 

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"Le gamin au vélo"

En leur présence, ainsi que celles de Christine Plenus, Olivier Gourmet, Déborah François, Émilie Dequenne, Arta Dobroshi, Anne Lenoir, Alice Fargier, Fabrizio Rongione, Benoît Dervaux, Jean-Pierre Duret, Alain Marcoen, Denis Freyd, Louis Héliot, Jean-Michel Frodon, Serge Toubiana, Michel Ciment, Nicole Foucher (et sous réserve Adèle Haenel et Jérémie Renier).

 

En partenariat avec Wallonie-Bruxelles International et le Centre Wallonie-Bruxelles de Paris.

 

Depuis la fin des années 70, les Frères Dardenne livrent, ensemble, le portrait d'une classe ouvrière belge en proie à de profondes mutations. Fidèle à la région liégeoise, en particulier à Seraing qui sert de décor à la quasi-totalité de leurs fictions, le duo effectue un premier travail de mémoire avec une série de documentaires, méconnus et pourtant essentiels pour comprendre l'évolution de leur cinéma, sur le passé résistant ou militant de ses habitants (Le Chant du rossignol, Leçons d'une université volante, …).

 

Après un détour par le théâtre (Regarde Jonathan. Jean Louvet, son oeuvre; Falsch), dont ils héritent de l'esprit de troupe, c'est à travers la fiction – et au fruit de quelques désillusions (Je pense à vous) – qu'ils mettent en place leur propre système de tournage. Depuis La Promesse, qui révèle en outre le talent de Jérémie Renier et Olivier Gourmet, on retrouve la même constance de leur mise en scène : épure, caméra à l'épaule, environnement sonore imposant, présence d'acteurs jusqu'alors anonymes... Ce film inaugure ainsi les thèmes majeurs de l'oeuvre des Dardenne : des conflits générationnels sur fond de paysages industriels sinistrés (Le Fils, L'Enfant) aux personnages exclus de la communauté en quête d'humanité (Rosetta, Le Silence de Lorna). Dernier tournant en date de la part des cinéastes les plus récompensés de l'histoire du Festival de Cannes, l'incarnation de leurs personnages par des comédiennes célèbres : Cécile de France (Le Gamin au vélo), Marion Cotillard (Deux jours, une nuit), Adèle Haenel (La Fille inconnue).

 

  • "Sur les plateaux des Dardenne" : exposition photos de Christine Plenus - Centre de Congrès, Espace Culturel, Grand Théâtre
  • Rencontre avec Jean-Pierre et Luc Dardenne - Lundi 23 janvier
  • "Tenues et gestes dans le cinéma des Dardenne" par Nicole Foucher - Mercredi 25 janvier

 

Le 29ème Festival Premiers Plans à Angers a lieu jusqu'au 29 janvier.

 

Programme de la rétrospective des Frères Dardenne.

En leur présence, ainsi que celles de Christine Plenus, Olivier Gourmet, Déborah François, Émilie Dequenne, Arta Dobroshi, Anne Lenoir, Alice Fargier, Fabrizio Rongione, Benoît Dervaux, Jean-Pierre Duret, Alain Marcoen, Denis Freyd, Louis Héliot, Jean-Michel Frodon, Serge Toubiana, Michel Ciment, Nicole Foucher (et sous réserve Adèle Haenel et Jérémie Renier).

 

En partenariat avec Wallonie-Bruxelles International et le Centre Wallonie-Bruxelles de Paris.

 

Depuis la fin des années 70, les Frères Dardenne livrent, ensemble, le portrait d'une classe ouvrière belge en proie à de profondes mutations. Fidèle à la région liégeoise, en particulier à Seraing qui sert de décor à la quasi-totalité de leurs fictions, le duo effectue un premier travail de mémoire avec une série de documentaires, méconnus et pourtant essentiels pour comprendre l'évolution de leur cinéma, sur le passé résistant ou militant de ses habitants (Le Chant du rossignol, Leçons d'une université volante, …).

 

Après un détour par le théâtre (Regarde Jonathan. Jean Louvet, son oeuvre; Falsch), dont ils héritent de l'esprit de troupe, c'est à travers la fiction – et au fruit de quelques désillusions (Je pense à vous) – qu'ils mettent en place leur propre système de tournage. Depuis La Promesse, qui révèle en outre le talent de Jérémie Renier et Olivier Gourmet, on retrouve la même constance de leur mise en scène : épure, caméra à l'épaule, environnement sonore imposant, présence d'acteurs jusqu'alors anonymes... Ce film inaugure ainsi les thèmes majeurs de l'oeuvre des Dardenne : des conflits générationnels sur fond de paysages industriels sinistrés (Le Fils, L'Enfant) aux personnages exclus de la communauté en quête d'humanité (Rosetta, Le Silence de Lorna). Dernier tournant en date de la part des cinéastes les plus récompensés de l'histoire du Festival de Cannes, l'incarnation de leurs personnages par des comédiennes célèbres : Cécile de France (Le Gamin au vélo), Marion Cotillard (Deux jours, une nuit), Adèle Haenel (La Fille inconnue).

 

  • "Sur les plateaux des Dardenne" : exposition photos de Christine Plenus - Centre de Congrès, Espace Culturel, Grand Théâtre
  • Rencontre avec Jean-Pierre et Luc Dardenne - Lundi 23 janvier
  • "Tenues et gestes dans le cinéma des Dardenne" par Nicole Foucher - Mercredi 25 janvier

 

Le 29ème Festival Premiers Plans à Angers a lieu jusqu'au 29 janvier.

 

Programme de la rétrospective des Frères Dardenne.

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Réception des vœux du Commissaire européen à la Délégation générale à Paris

Après une année 2016 marquée par la tentation du populisme et du repli sur soi, le Commissaire a rappelé qu’il ne faut pas oublier que la paix et la sécurité sont une conquête incontestable de l’Europe.

 

Pour 2017, il souhaite une Europe plus démocratique en renforçant le rôle du parlement et plus de transparence de l’Eurogroupe, une Europe aussi plus protectrice des citoyens. Une Europe d'ouverture et de solidarité. Il a appelé à être fier de nos sociétés ouvertes et à agir en faveur de l’Europe en se basant sur ses succès notamment dans la lutte contre la fraude et l’optimisation fiscale. A cette occasion, le Commissaire européen a réitéré son attachement à la Belgique et à la Wallonie.

 

 

Après une année 2016 marquée par la tentation du populisme et du repli sur soi, le Commissaire a rappelé qu’il ne faut pas oublier que la paix et la sécurité sont une conquête incontestable de l’Europe.

 

Pour 2017, il souhaite une Europe plus démocratique en renforçant le rôle du parlement et plus de transparence de l’Eurogroupe, une Europe aussi plus protectrice des citoyens. Une Europe d'ouverture et de solidarité. Il a appelé à être fier de nos sociétés ouvertes et à agir en faveur de l’Europe en se basant sur ses succès notamment dans la lutte contre la fraude et l’optimisation fiscale. A cette occasion, le Commissaire européen a réitéré son attachement à la Belgique et à la Wallonie.

 

 

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Copyright J. Van Belle - WBI

Aujourd’hui, à travers le thème "Formation et métiers du cinéma et de l’audiovisuel", le FESPACO invite les professionnels et experts du secteur à la cogitation. Il s’agit de faire un état des lieux pertinent des formations, des filières enseignées, des performances obtenues, des défis existants ainsi que des orientations nouvelles à amorcer pour atteindre résolument les cimes du professionnalisme et de l’excellence.

 

Cette année, avec son statut de pays invité d’honneur, la Côte d’Ivoire entend montrer la vivacité et le dynamisme de sa politique cinématographique.

 

La 25è édition ouvre de nouveau sa compétition officielle aux films de tout genre. Point de mire du festival, elle concerne les sections suivantes:

  • La compétition long métrage fiction, réservée aux films de long métrage fiction des réalisateurs africains et ceux de la diaspora africaine,
  • La compétition court métrage et Série, réservée aux films de court métrage fiction et aux productions télévisuelles professionnelles africaines et de la diaspora,
  • La compétition documentaires et Films d’écoles, réservée aux documentaires des réalisateurs africains et de la diaspora ainsi qu’aux films d’écoles africaines de cinéma et celles de la diaspora.

 

Wallonie-Bruxelles représentée

Le documentaire Les hirondelles de l’amour de Jawad Rhalib concourt dans la section « Films documentaires » aux côtés de 20 autres films. 

 

Karin Trappel a en mémoire une insulte lancée par un voisin ou un camarade d’école. “Poupée bougnoule”, “rentre dans ton pays”, “sale Marocaine”... Les soldats marocains de l’armée française qui ont occupé le Vorarlberg, le Land le plus occidental de l'Autriche, pendant l’été 1945, ont engendré, sans le savoir, des centaines d’enfants. Contrairement aux autres Kriegskinder (enfants de la guerre), ces enfants, 200 à 300, avaient le teint trop brun ou les cheveux trop frisés pour passer inaperçus. Dans une Autriche encore marquée par la propagande Nazie et dans le Vorarlberg, une région rurale et très catholique, il n’en fallait pas plus pour être rejeté par la société. Avoir un enfant hors mariage et plus est avec un marocain, a valu à ces mères autrichiennes injures et humiliations, au point que beaucoup d’entre elles se sont suicidé, d’autres ont refusé, jusqu’à la fin de leur vie, de parler de ce fameux été 1945. L’été des Marocains, l’été des Hirondelles de l’amour. Aujourd'hui, Karin Trappel a entreprit de se réconcilier avec ses racines paternelles.

 

Les hirondelles de l’amour est produit par R&R Productions, coproduit par Wallonie Image Production (WIP) et le CCM - Centre cinématographique marocain, avec l’aide de Creative Europe – Media Programme of the European Union.  

 

Kolwezi on air d’Idriss Gabel et L’Homme qui répare les femmes - la colère d’Hippocrate de Thierry Michel sont quant à eux présentés hors compétition dans la section « L’Afrique vue par… ».

 

Aux quatre coins de la République Démocratique du Congo prolifèrent de petites radio télévisions locales. Indépendantes du pouvoir, proches des habitants et de leurs difficultés de vie, elles connaissent une large audience. Au Katanga, la chaîne RTM est particulièrement appréciée. Ses journalistes y font courageusement leur métier. Chaque jour, ils racontent ce qu’est la vie dans l’une des villes minières les plus riches du pays, Kolwezi.

 

Kolwezi on air est produit par Nameless Productions, coproduit par la RTBF et le CBA, avec l’aide du Centre du Cinéma et de l’Audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles, de Voo et de la Région Bruxelles Capitale. 

 

En 1989, le gynécologue congolais Denis Mukwege renonce à une brillante carrière en France pour rentrer avec sa famille dans son Kivu natal y soigner les femmes victimes des pires violences sexuelles. Indigné par ces 15 années de guerre, Denis Mukwege dénonce le manque de volonté politique pour y mettre fin et demande à qui profite cette guerre. « Les populations du Kivu seraient-elles sacrifiées pour des mines de coltan ? ». En novembre 2012, "l’homme qui répare les femmes" échappe à une sixième tentative d’assassinat. Pourquoi ? Qui veut sa mort ? Ce film est le portrait d’un homme d’exception, pasteur, médecin, père de famille, dont les choix de vie et l’incessant combat contre la barbarie nous interpellent, nous renvoient à nous même et à notre société en crise, en recherche de valeurs et de repères.

 

L’homme qui répare les femmes est une coproduction Les Films de la Passerelle, Ryva Production, RTBF Secteur Documentaires, Public Senat, Lichtpunt, Wallonie Image Production (WIP), produite avec l’aide du Centre du Cinéma et de l’Audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles, de Voo, RTS, TV5 Monde, de la Coopération belge au développement - DGD, du Tax shelter Bisanga, de Creative Europe – Media Programme of the European Union, du Parlement Européen. Les Films de la Passerelle s’occupe de la distribution du film tandis que Cat&Docs s’occupe des ventes internationales.

 

Découvrez toute la programmation du Festival

Aujourd’hui, à travers le thème "Formation et métiers du cinéma et de l’audiovisuel", le FESPACO invite les professionnels et experts du secteur à la cogitation. Il s’agit de faire un état des lieux pertinent des formations, des filières enseignées, des performances obtenues, des défis existants ainsi que des orientations nouvelles à amorcer pour atteindre résolument les cimes du professionnalisme et de l’excellence.

 

Cette année, avec son statut de pays invité d’honneur, la Côte d’Ivoire entend montrer la vivacité et le dynamisme de sa politique cinématographique.

 

La 25è édition ouvre de nouveau sa compétition officielle aux films de tout genre. Point de mire du festival, elle concerne les sections suivantes:

  • La compétition long métrage fiction, réservée aux films de long métrage fiction des réalisateurs africains et ceux de la diaspora africaine,
  • La compétition court métrage et Série, réservée aux films de court métrage fiction et aux productions télévisuelles professionnelles africaines et de la diaspora,
  • La compétition documentaires et Films d’écoles, réservée aux documentaires des réalisateurs africains et de la diaspora ainsi qu’aux films d’écoles africaines de cinéma et celles de la diaspora.

 

Wallonie-Bruxelles représentée

Le documentaire Les hirondelles de l’amour de Jawad Rhalib concourt dans la section « Films documentaires » aux côtés de 20 autres films. 

 

Karin Trappel a en mémoire une insulte lancée par un voisin ou un camarade d’école. “Poupée bougnoule”, “rentre dans ton pays”, “sale Marocaine”... Les soldats marocains de l’armée française qui ont occupé le Vorarlberg, le Land le plus occidental de l'Autriche, pendant l’été 1945, ont engendré, sans le savoir, des centaines d’enfants. Contrairement aux autres Kriegskinder (enfants de la guerre), ces enfants, 200 à 300, avaient le teint trop brun ou les cheveux trop frisés pour passer inaperçus. Dans une Autriche encore marquée par la propagande Nazie et dans le Vorarlberg, une région rurale et très catholique, il n’en fallait pas plus pour être rejeté par la société. Avoir un enfant hors mariage et plus est avec un marocain, a valu à ces mères autrichiennes injures et humiliations, au point que beaucoup d’entre elles se sont suicidé, d’autres ont refusé, jusqu’à la fin de leur vie, de parler de ce fameux été 1945. L’été des Marocains, l’été des Hirondelles de l’amour. Aujourd'hui, Karin Trappel a entreprit de se réconcilier avec ses racines paternelles.

 

Les hirondelles de l’amour est produit par R&R Productions, coproduit par Wallonie Image Production (WIP) et le CCM - Centre cinématographique marocain, avec l’aide de Creative Europe – Media Programme of the European Union.  

 

Kolwezi on air d’Idriss Gabel et L’Homme qui répare les femmes - la colère d’Hippocrate de Thierry Michel sont quant à eux présentés hors compétition dans la section « L’Afrique vue par… ».

 

Aux quatre coins de la République Démocratique du Congo prolifèrent de petites radio télévisions locales. Indépendantes du pouvoir, proches des habitants et de leurs difficultés de vie, elles connaissent une large audience. Au Katanga, la chaîne RTM est particulièrement appréciée. Ses journalistes y font courageusement leur métier. Chaque jour, ils racontent ce qu’est la vie dans l’une des villes minières les plus riches du pays, Kolwezi.

 

Kolwezi on air est produit par Nameless Productions, coproduit par la RTBF et le CBA, avec l’aide du Centre du Cinéma et de l’Audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles, de Voo et de la Région Bruxelles Capitale. 

 

En 1989, le gynécologue congolais Denis Mukwege renonce à une brillante carrière en France pour rentrer avec sa famille dans son Kivu natal y soigner les femmes victimes des pires violences sexuelles. Indigné par ces 15 années de guerre, Denis Mukwege dénonce le manque de volonté politique pour y mettre fin et demande à qui profite cette guerre. « Les populations du Kivu seraient-elles sacrifiées pour des mines de coltan ? ». En novembre 2012, "l’homme qui répare les femmes" échappe à une sixième tentative d’assassinat. Pourquoi ? Qui veut sa mort ? Ce film est le portrait d’un homme d’exception, pasteur, médecin, père de famille, dont les choix de vie et l’incessant combat contre la barbarie nous interpellent, nous renvoient à nous même et à notre société en crise, en recherche de valeurs et de repères.

 

L’homme qui répare les femmes est une coproduction Les Films de la Passerelle, Ryva Production, RTBF Secteur Documentaires, Public Senat, Lichtpunt, Wallonie Image Production (WIP), produite avec l’aide du Centre du Cinéma et de l’Audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles, de Voo, RTS, TV5 Monde, de la Coopération belge au développement - DGD, du Tax shelter Bisanga, de Creative Europe – Media Programme of the European Union, du Parlement Européen. Les Films de la Passerelle s’occupe de la distribution du film tandis que Cat&Docs s’occupe des ventes internationales.

 

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