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© Luc Boegly

Les attentas barbares commis ce vendredi à Paris suscitent l’effroi, l’indignation et la tristesse profonde.

 

La Délégation générale Wallonie-Bruxelles à Paris a adressé un courrier aux autorités françaises, en son nom et celui de Wallonie-Bruxelles International, pour réaffirmer notre soutien indéfectible à la défense des libertés démocratiques, au premier rang desquelles figurent le principe de tolérance et les respect des valeurs humaines fondamentales.

 

Au-delà de l’horreur du moment , il est important que nous continuions à diffuser nos valeurs, qui nous sont chères : liberté, égalité, fraternité, tolérance. C’est le cas de nos actions au quotidien, souligne Pascale Delcomminette, Administratrice générale de WBI. Il y a toujours eu – heureusement – des hommes et des femmes de bonne volonté qui se sont dressés contre l’obscurantisme, à toute époque. A nous de lutter contre l’ombre afin de retrouver la lumière.
 

Les attentas barbares commis ce vendredi à Paris suscitent l’effroi, l’indignation et la tristesse profonde.

 

La Délégation générale Wallonie-Bruxelles à Paris a adressé un courrier aux autorités françaises, en son nom et celui de Wallonie-Bruxelles International, pour réaffirmer notre soutien indéfectible à la défense des libertés démocratiques, au premier rang desquelles figurent le principe de tolérance et les respect des valeurs humaines fondamentales.

 

Au-delà de l’horreur du moment , il est important que nous continuions à diffuser nos valeurs, qui nous sont chères : liberté, égalité, fraternité, tolérance. C’est le cas de nos actions au quotidien, souligne Pascale Delcomminette, Administratrice générale de WBI. Il y a toujours eu – heureusement – des hommes et des femmes de bonne volonté qui se sont dressés contre l’obscurantisme, à toute époque. A nous de lutter contre l’ombre afin de retrouver la lumière.
 

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L’autorité de gestion et le Secrétariat conjoint sont responsables de la mise en œuvre administrative et financière du programme de coopération. 

 

Les membres du GECT sont le Conseil régional de Lorraine et le Ministère du Développement durable et des Infrastructures du Grand-Duché de Luxembourg. 

 

Les postes suivants sont à pourvoir:

  • 4 chargés de mission "Gestion de projets",
  • 1 informaticien.

La date limite du dépôt des candidatures est prévue le 4 décembre à 17 heures.

 

Description détaillée des postes à pourvoir.
 

L’autorité de gestion et le Secrétariat conjoint sont responsables de la mise en œuvre administrative et financière du programme de coopération. 

 

Les membres du GECT sont le Conseil régional de Lorraine et le Ministère du Développement durable et des Infrastructures du Grand-Duché de Luxembourg. 

 

Les postes suivants sont à pourvoir:

  • 4 chargés de mission "Gestion de projets",
  • 1 informaticien.

La date limite du dépôt des candidatures est prévue le 4 décembre à 17 heures.

 

Description détaillée des postes à pourvoir.
 

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David Mazur, du KTD du CERN

Le Conseil Européen pour la Recherche Nucléaire (CERN) constitue, avec ses 6000 chercheurs issus de plus de 500 universités dans 80 pays, un partenaire stratégique de taille pour la mise en place de partenariats de recherche internationaux. Travaillant dans une logique partenariale, le CERN a d’ailleurs pour mission de valoriser les résultats de ses recherches et de disséminer de nouvelles technologies auprès des pays-membres. 

 

Pour cela, l’organisation a mis en place un réseau de transfert de technologie (« Knowledge Transfer Department  », KTD) qui se réunit régulièrement afin d’informer les représentants des pays membres des dernières avancées dans le domaine des accélérateurs, aimants, cryogénie, détecteurs, électronique, mécanique, sciences des matériaux, ICT, etc

 

L’occasion fut donc saisie par WBI et le pôle Mécatech d’inviter le CERN à présenter aux experts du secteur de l’ingénierie mécanique de la Wallonie les offres technologiques qu’il développe en vue de futures collaborations. C’est dans ce cadre qu’a été organisée le 28 octobre à Namur une séance d’information sur les opportunités en termes de transfert technologique du CERN.

 

Les participants ont pu prendre connaissance du portefeuille technologique de l’organisation dans 6 catégories définies au préalable : Accelerators, Magnets, Cryogenic Technology ; Detectors, Instrumentation ; Electronics ; Information Technology ; Materials Science ; Mechanics. En suivi de ces présentations, une session sur les achats complétait le programme de visite des experts du KTD en Wallonie.

 

Contact: Vassil KOLAROV, Agent de liaison scientifique de WBI pour la Suisse – v.kolarov@wbi.be

Le Conseil Européen pour la Recherche Nucléaire (CERN) constitue, avec ses 6000 chercheurs issus de plus de 500 universités dans 80 pays, un partenaire stratégique de taille pour la mise en place de partenariats de recherche internationaux. Travaillant dans une logique partenariale, le CERN a d’ailleurs pour mission de valoriser les résultats de ses recherches et de disséminer de nouvelles technologies auprès des pays-membres. 

 

Pour cela, l’organisation a mis en place un réseau de transfert de technologie (« Knowledge Transfer Department  », KTD) qui se réunit régulièrement afin d’informer les représentants des pays membres des dernières avancées dans le domaine des accélérateurs, aimants, cryogénie, détecteurs, électronique, mécanique, sciences des matériaux, ICT, etc

 

L’occasion fut donc saisie par WBI et le pôle Mécatech d’inviter le CERN à présenter aux experts du secteur de l’ingénierie mécanique de la Wallonie les offres technologiques qu’il développe en vue de futures collaborations. C’est dans ce cadre qu’a été organisée le 28 octobre à Namur une séance d’information sur les opportunités en termes de transfert technologique du CERN.

 

Les participants ont pu prendre connaissance du portefeuille technologique de l’organisation dans 6 catégories définies au préalable : Accelerators, Magnets, Cryogenic Technology ; Detectors, Instrumentation ; Electronics ; Information Technology ; Materials Science ; Mechanics. En suivi de ces présentations, une session sur les achats complétait le programme de visite des experts du KTD en Wallonie.

 

Contact: Vassil KOLAROV, Agent de liaison scientifique de WBI pour la Suisse – v.kolarov@wbi.be

Documents liés

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Copyright J. Van Belle

Ils sont étudiants en art. Ils viennent de Belgique, de France, d’Allemagne, du Royaume-Uni. Ils se sont réunis durant 15 jours en résidence au Mons Memorial Museum pour créer des oeuvres communes sur la thématique de la Première Guerre mondiale. Le résultat – très original - de ce travail invite le visiteur à s’interroger sur sa propre vision de la Grande Guerre, en parallèle du parcours permanent du musée.

 

Ces jeunes artistes ont été sélectionnés suite à un concours par un jury de professionnels qui a tenu compte de leurs qualités artistiques, mais aussi de leur motivation à travailler avec des artistes d’autres pays, explique Laurence Hermand, Directrice du Bureau International Jeunesse (BIJ), initiatrice du projet, avec WBI, la Ville de Mons et le Mons Memorial MuseumEn effet, le but du projet est avant tout de permettre à ces jeunes de se rencontrer et de créer ensemble dans le respect de leurs différentes cultures.

 

Felix Lindner (23 ans) et Cajetan  Scheliga (23 ans) sont allemands. Ils expliquent : Le projet d’installation vidéo "Wetteleuchten" (éclair de chaleur) est un mémorial multidimensionnel. Il met en avant les souvenirs d’Ernst Jünger. Hors des ombres du temps, les séquences des images vidéo trilingues illuminent l’exposition d’une humanité dévastée.

 

Martin Schadron (25 ans) est Belge francophone. C’est la marche d’un siècle troublé auréolé d’espoirs fugaces qu’il représente en 99 pièces. Le casque du soldat  traverse les époques, et se fait bleu, porteur d’une nouvelle dimension. Le jeune artiste cite Camus : L’âme du meurtrier est aveugle. Il n’y a pas de vraie bonté ni de bel amour sans toute la clairvoyance possible.

 

Anouk Van Hooydonk (23 ans) vient de Gand. Elle raconte : Un soir, en me promenant au parc du Cinquantenaire, l’idée m’est venue de rendre tous ces monuments visibles. J’ai récolté de la terre, symbole des tranchées et de la Patrie, au pied de monuments de Bruxelles liés à 14-18, et je l’ai mise sur la toile avec du liant et de la peinture acrylique. Cette terre est fertile. J’ai appelé la série de peintures La Récolte.

Hélène Bleys (23 ans) est française. Elle vient des Ardennes. Son  outil d’expression, c’est le dessin. Son travail se construit en trois temps précis de l’histoire de la guerre, dont l’un évoque l’horreur du massacre sous une forme organique. Je voulais offrir une image qui soit comprise par le regard de chacun, quelle que soit sa génération.

 

Valentin Capony (25 ans) est français. L’œuvre que je représente est dérivée de mes recherches de monotype, explique-t-il. Les gestes des soldats, le rampement dans les tranchées sont rendus de manière forte, concrète et fantomatique. J’essaie de rendre possible une proximité entre cette période que je ne connais qu’à travers des documents et la réalité des hommes qui ont connu cette expérience.

 

Moira Agius (23 ans) est citoyenne maltaise et professeur d’art et d’histoire au Royaume-Uni. Dans ma sculpture, explique-t-elle, j’ai voulu rendre hommage au cactus qui, pendant la guerre, servait à guérir les blessures des soldats, en le connectant à une paire de pieds qui évoque la contribution de Malte, alors colonie de l’Empire britannique, à la guerre 14-18 et la loyauté des soldats.

 

Benjamin Ayling (24 ans) vient du Royaume-Uni. Je suis actuellement dans un processus d’exploration en profondeur de tout ce qui touche la Première Guerre Mondiale. Mon travail est articulé autour d’un concept fort : échanger avec des jeunes artistes venus d’autres pays qui ont connu ce conflit, ne peut qu’avoir une influence très positive sur mon travail. La guerre étant par nature éminemment politique, prendre artistiquement position sur cette question m’intéresse tout particulièrement.

 

Exposition à voir au Mons Memorial Museum  Avenue Dolez, 51.  Jusqu’au 3 janvier 2016.

 

Ils sont étudiants en art. Ils viennent de Belgique, de France, d’Allemagne, du Royaume-Uni. Ils se sont réunis durant 15 jours en résidence au Mons Memorial Museum pour créer des oeuvres communes sur la thématique de la Première Guerre mondiale. Le résultat – très original - de ce travail invite le visiteur à s’interroger sur sa propre vision de la Grande Guerre, en parallèle du parcours permanent du musée.

 

Ces jeunes artistes ont été sélectionnés suite à un concours par un jury de professionnels qui a tenu compte de leurs qualités artistiques, mais aussi de leur motivation à travailler avec des artistes d’autres pays, explique Laurence Hermand, Directrice du Bureau International Jeunesse (BIJ), initiatrice du projet, avec WBI, la Ville de Mons et le Mons Memorial MuseumEn effet, le but du projet est avant tout de permettre à ces jeunes de se rencontrer et de créer ensemble dans le respect de leurs différentes cultures.

 

Felix Lindner (23 ans) et Cajetan  Scheliga (23 ans) sont allemands. Ils expliquent : Le projet d’installation vidéo "Wetteleuchten" (éclair de chaleur) est un mémorial multidimensionnel. Il met en avant les souvenirs d’Ernst Jünger. Hors des ombres du temps, les séquences des images vidéo trilingues illuminent l’exposition d’une humanité dévastée.

 

Martin Schadron (25 ans) est Belge francophone. C’est la marche d’un siècle troublé auréolé d’espoirs fugaces qu’il représente en 99 pièces. Le casque du soldat  traverse les époques, et se fait bleu, porteur d’une nouvelle dimension. Le jeune artiste cite Camus : L’âme du meurtrier est aveugle. Il n’y a pas de vraie bonté ni de bel amour sans toute la clairvoyance possible.

 

Anouk Van Hooydonk (23 ans) vient de Gand. Elle raconte : Un soir, en me promenant au parc du Cinquantenaire, l’idée m’est venue de rendre tous ces monuments visibles. J’ai récolté de la terre, symbole des tranchées et de la Patrie, au pied de monuments de Bruxelles liés à 14-18, et je l’ai mise sur la toile avec du liant et de la peinture acrylique. Cette terre est fertile. J’ai appelé la série de peintures La Récolte.

Hélène Bleys (23 ans) est française. Elle vient des Ardennes. Son  outil d’expression, c’est le dessin. Son travail se construit en trois temps précis de l’histoire de la guerre, dont l’un évoque l’horreur du massacre sous une forme organique. Je voulais offrir une image qui soit comprise par le regard de chacun, quelle que soit sa génération.

 

Valentin Capony (25 ans) est français. L’œuvre que je représente est dérivée de mes recherches de monotype, explique-t-il. Les gestes des soldats, le rampement dans les tranchées sont rendus de manière forte, concrète et fantomatique. J’essaie de rendre possible une proximité entre cette période que je ne connais qu’à travers des documents et la réalité des hommes qui ont connu cette expérience.

 

Moira Agius (23 ans) est citoyenne maltaise et professeur d’art et d’histoire au Royaume-Uni. Dans ma sculpture, explique-t-elle, j’ai voulu rendre hommage au cactus qui, pendant la guerre, servait à guérir les blessures des soldats, en le connectant à une paire de pieds qui évoque la contribution de Malte, alors colonie de l’Empire britannique, à la guerre 14-18 et la loyauté des soldats.

 

Benjamin Ayling (24 ans) vient du Royaume-Uni. Je suis actuellement dans un processus d’exploration en profondeur de tout ce qui touche la Première Guerre Mondiale. Mon travail est articulé autour d’un concept fort : échanger avec des jeunes artistes venus d’autres pays qui ont connu ce conflit, ne peut qu’avoir une influence très positive sur mon travail. La guerre étant par nature éminemment politique, prendre artistiquement position sur cette question m’intéresse tout particulièrement.

 

Exposition à voir au Mons Memorial Museum  Avenue Dolez, 51.  Jusqu’au 3 janvier 2016.

 

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(c) Fotolia

Le CERN (Conseil Européen pour la Recherche Nucléaire) est le plus grand centre de recherche en physique des particules du monde. Il est situé à la frontière franco-suisse à quelques kilomètres de Genève. Les chercheurs travaillant pour cette organisation sont en grande majorité des physiciens et ils représentent environ la moitié de la communauté mondiale d’experts en physique des particules.

 

Dans ce contexte, deux représentants du CERN se sont rendus en Wallonie les 29 et 30 octobre pour aller à la rencontre des étudiants intéressés par la carrière d’ingénieur ou de physicien. Ainsi, plus de 350 étudiants ont participé à ces présentations réalisées dans des établissements académiques à Namur, Louvain-la-Neuve, Mons, Bruxelles et Liège. 

 

Ces séances ont notamment permis d’apprendre qu’il existe 4 programmes de recrutement différents au CERN : TECH, DOC, FELLOWS, STAFF. Parmi ceux-ci, le programme TECH vise essentiellement les jeunes ingénieurs et informaticiens et le programme DOC offre la possibilité d’effectuer un doctorat auprès du CERN dans différentes disciplines (sciences de l’ingénieur, contrôle de gestion, médecine, etc.). Il existe également de nombreux programmes de stages.

 

Plus d'infos

 

Contact: Vassil KOLAROV, Agent de liaison scientifique de WBI pour la Suisse – v.kolarov@wbi.be

Le CERN (Conseil Européen pour la Recherche Nucléaire) est le plus grand centre de recherche en physique des particules du monde. Il est situé à la frontière franco-suisse à quelques kilomètres de Genève. Les chercheurs travaillant pour cette organisation sont en grande majorité des physiciens et ils représentent environ la moitié de la communauté mondiale d’experts en physique des particules.

 

Dans ce contexte, deux représentants du CERN se sont rendus en Wallonie les 29 et 30 octobre pour aller à la rencontre des étudiants intéressés par la carrière d’ingénieur ou de physicien. Ainsi, plus de 350 étudiants ont participé à ces présentations réalisées dans des établissements académiques à Namur, Louvain-la-Neuve, Mons, Bruxelles et Liège. 

 

Ces séances ont notamment permis d’apprendre qu’il existe 4 programmes de recrutement différents au CERN : TECH, DOC, FELLOWS, STAFF. Parmi ceux-ci, le programme TECH vise essentiellement les jeunes ingénieurs et informaticiens et le programme DOC offre la possibilité d’effectuer un doctorat auprès du CERN dans différentes disciplines (sciences de l’ingénieur, contrôle de gestion, médecine, etc.). Il existe également de nombreux programmes de stages.

 

Plus d'infos

 

Contact: Vassil KOLAROV, Agent de liaison scientifique de WBI pour la Suisse – v.kolarov@wbi.be

Documents liés

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La délégation Wallonie-Bruxelles (c) Issymedia

Une mission exploratoire pour s’inspirer 

Pour la première fois, l’AWEX et WBI ont organisé conjointement une mission exploratoire sur la thématique des « Villes intelligentes (« Smart Cities ») ». C’est très naturellement la France, premier marché de la Wallonie et éminemment proche par la langue et la culture, qui a été choisie pour tester ce type d’action pilote. Au total, 4 villes françaises ont été sélectionnées: Strasbourg et Issy-les-Moulineaux (première étape du 18 au 23 octobre) et  Bordeaux et Nantes (seconde étape, du 23 au 27 novembre).

 

Les objectifs visés par la mission AWEX-WBI intitulée « Cap sur les villes intelligentes françaises » sont multiples. Il s’agit d’abord de s’informer sur les stratégies et les projets urbains des 4 villes françaises en question, mais également d’échanger des bonnes pratiques et d’encourager des partenariats  technologiques, commerciaux et scientifiques dans les domaines visés. Enfin, la mission a pour but d’initier la réflexion sur un secteur qui sera le marché-cible prioritaire de l’AWEX en 2016 : le numérique. 

 

Un atelier de travail scientifique et technologique à l’Université de Strasbourg

Outre les présentations des stratégies urbaines en séance plénière, les visites de terrain et les moments d’échange plus informels, une partie de la délégation de Wallonie-Bruxelles s’est rendue à l’Université de Strasbourg le 20 octobre pour prendre connaissance des projets de recherche menés par le Laboratoire Image Ville Environnement (LIVE) et l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Strasbourg (ENSAS). Ce fut également l’occasion pour les universités de Wallonie-Bruxelles de présenter leurs compétences et projets de recherche dans des thèmes repris sous le concept de « Smart cities » : la mobilité, l’aménagement du territoire, ainsi que les bâtiments intelligents et durables.

 

De par la diversité du public venu en nombre et la pertinence des projets présentés, cet atelier a connu un franc succès et a pu mettre en lumière les nombreuses collaborations possibles entre les participants. 

 

Des rencontres de haut niveau à Issy-les-Moulineaux

Les nombreuses actions de qualité prévues au programme d’Issy-les-Moulineaux ont également contribué au succès de la mission. 

 

Parmi elles, on retiendra l’accueil chaleureux de la Mairie d’Issy-les-Moulineaux, la visite au Cube (le Centre de création d’art numérique), l’éco-quartier du Fort d’Issy – avec la rencontre d’acteurs, notamment sur l’équipement dédié à la culture et au numérique, la géothermie et la collecte pneumatique des déchets –, le consortium Issygrid de Bouygues immobilier, la présentation du projet du Grand Paris Express (le métro le plus numérique au monde), ou encore l’usine de traitement des déchets Isséane. 

 

Le déplacement à Issy-les-Moulineaux a également permis à la délégation de rencontrer Cap Digital, le pôle de compétitivité et de transformation numérique comptant plus de 1000 membres. Lors de cette rencontre, les participants ont pu assister à une présentation du Festival Futur en Seine, auquel l’association de Wallonie-Bruxelles est envisagée.

 

Contact :

Jessica MICLOTTE, Chargée de projets
Service Recherche & Innovation
j.miclotte@wbi.be

Une mission exploratoire pour s’inspirer 

Pour la première fois, l’AWEX et WBI ont organisé conjointement une mission exploratoire sur la thématique des « Villes intelligentes (« Smart Cities ») ». C’est très naturellement la France, premier marché de la Wallonie et éminemment proche par la langue et la culture, qui a été choisie pour tester ce type d’action pilote. Au total, 4 villes françaises ont été sélectionnées: Strasbourg et Issy-les-Moulineaux (première étape du 18 au 23 octobre) et  Bordeaux et Nantes (seconde étape, du 23 au 27 novembre).

 

Les objectifs visés par la mission AWEX-WBI intitulée « Cap sur les villes intelligentes françaises » sont multiples. Il s’agit d’abord de s’informer sur les stratégies et les projets urbains des 4 villes françaises en question, mais également d’échanger des bonnes pratiques et d’encourager des partenariats  technologiques, commerciaux et scientifiques dans les domaines visés. Enfin, la mission a pour but d’initier la réflexion sur un secteur qui sera le marché-cible prioritaire de l’AWEX en 2016 : le numérique. 

 

Un atelier de travail scientifique et technologique à l’Université de Strasbourg

Outre les présentations des stratégies urbaines en séance plénière, les visites de terrain et les moments d’échange plus informels, une partie de la délégation de Wallonie-Bruxelles s’est rendue à l’Université de Strasbourg le 20 octobre pour prendre connaissance des projets de recherche menés par le Laboratoire Image Ville Environnement (LIVE) et l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Strasbourg (ENSAS). Ce fut également l’occasion pour les universités de Wallonie-Bruxelles de présenter leurs compétences et projets de recherche dans des thèmes repris sous le concept de « Smart cities » : la mobilité, l’aménagement du territoire, ainsi que les bâtiments intelligents et durables.

 

De par la diversité du public venu en nombre et la pertinence des projets présentés, cet atelier a connu un franc succès et a pu mettre en lumière les nombreuses collaborations possibles entre les participants. 

 

Des rencontres de haut niveau à Issy-les-Moulineaux

Les nombreuses actions de qualité prévues au programme d’Issy-les-Moulineaux ont également contribué au succès de la mission. 

 

Parmi elles, on retiendra l’accueil chaleureux de la Mairie d’Issy-les-Moulineaux, la visite au Cube (le Centre de création d’art numérique), l’éco-quartier du Fort d’Issy – avec la rencontre d’acteurs, notamment sur l’équipement dédié à la culture et au numérique, la géothermie et la collecte pneumatique des déchets –, le consortium Issygrid de Bouygues immobilier, la présentation du projet du Grand Paris Express (le métro le plus numérique au monde), ou encore l’usine de traitement des déchets Isséane. 

 

Le déplacement à Issy-les-Moulineaux a également permis à la délégation de rencontrer Cap Digital, le pôle de compétitivité et de transformation numérique comptant plus de 1000 membres. Lors de cette rencontre, les participants ont pu assister à une présentation du Festival Futur en Seine, auquel l’association de Wallonie-Bruxelles est envisagée.

 

Contact :

Jessica MICLOTTE, Chargée de projets
Service Recherche & Innovation
j.miclotte@wbi.be

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Les 4 instituts à l’honneur sont :

 

  • Fraunhofer IGB - Interfacial Engineering and Biotechnology
    Units:  Cell and tissue engineering, Molecular Biotechnology, Regenerative Therapies
  • Fraunhofer IME - Molecular Biology and Applied Ecology
  • Fraunhofer ITEM - Toxicology and Experimental Medicine
  • Fraunhofer IVV - Process Engineering and Packaging IVV

 

Cet atelier a lieu le 26 Novembre de 9h00 à 18h00, au Point Centre de Gosselies -  Avenue Georges Lemaître 19B, 6041 Charleroi.

 

L’événement donne l’opportunité aux scientifiques et industriels wallons présents d’échanger avec une quinzaine de scientifiques allemands.

 

Outre les orateurs du Fraunhofer, nous avons l’honneur d’accueillir et de suivre les interventions des industriels et opérateurs wallons suivants

 

  • CELABOR
  • PURATOS sa
  • OVIZIO sa
  • CELYAD sa
  • PROMETHERA Biosciences sa
  • GALEPHAR sa

 

L’après-midi est quant à lui consacré à des BtoB et l’initiation des premiers contacts pour la mise en place de futurs consortia susceptibles de répondre aux appels HORIZON 2020 et ERA-Nets : présentation des futurs appels européens 2016–2017 + Elevator Pitches + rencontres B2B entre entreprises, CRA et universités.

 

Vous trouverez le programme complet en pièce jointe.

 

La participation est gratuite mais nécessite une inscription en ligne pour le 20 novembre au plus tard en cliquant ici.

 

Points de contact:
Inscriptions : Jessica Miclotte – j.miclotte@wbi.be 
Informations générales : Mathieu Quintyn (ALS-Allemagne) – m.quintyn@wbi.be
 

Les 4 instituts à l’honneur sont :

 

  • Fraunhofer IGB - Interfacial Engineering and Biotechnology
    Units:  Cell and tissue engineering, Molecular Biotechnology, Regenerative Therapies
  • Fraunhofer IME - Molecular Biology and Applied Ecology
  • Fraunhofer ITEM - Toxicology and Experimental Medicine
  • Fraunhofer IVV - Process Engineering and Packaging IVV

 

Cet atelier a lieu le 26 Novembre de 9h00 à 18h00, au Point Centre de Gosselies -  Avenue Georges Lemaître 19B, 6041 Charleroi.

 

L’événement donne l’opportunité aux scientifiques et industriels wallons présents d’échanger avec une quinzaine de scientifiques allemands.

 

Outre les orateurs du Fraunhofer, nous avons l’honneur d’accueillir et de suivre les interventions des industriels et opérateurs wallons suivants

 

  • CELABOR
  • PURATOS sa
  • OVIZIO sa
  • CELYAD sa
  • PROMETHERA Biosciences sa
  • GALEPHAR sa

 

L’après-midi est quant à lui consacré à des BtoB et l’initiation des premiers contacts pour la mise en place de futurs consortia susceptibles de répondre aux appels HORIZON 2020 et ERA-Nets : présentation des futurs appels européens 2016–2017 + Elevator Pitches + rencontres B2B entre entreprises, CRA et universités.

 

Vous trouverez le programme complet en pièce jointe.

 

La participation est gratuite mais nécessite une inscription en ligne pour le 20 novembre au plus tard en cliquant ici.

 

Points de contact:
Inscriptions : Jessica Miclotte – j.miclotte@wbi.be 
Informations générales : Mathieu Quintyn (ALS-Allemagne) – m.quintyn@wbi.be
 

Documents liés

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Copyright François Lichtle

L'exposition présente cinq réalisations récentes, reflets de la diversité de la production architecturale contemporaine en Wallonie et à Bruxelles, à découvrir au cours d'une déambulation visuelle et sonore.

 

Ces réalisations – intramuros ou en dehors en de la ville, équipements publics pour la plupart – témoignent toutes de démarches engagées des architectes et de leurs commanditaires, avec la volonté de mettre l'architecture au service d'une meilleure qualité de vie pour les citoyens. Cinq réalisations qui changent l'usage, le vécu: reconquête urbaine par la reconversion d'une friche industrielle à usage mixte culture et commerces, réhabilitation patrimoniale pour un projet de mémoire d'œuvres d'art, métamorphose d'un espace public, équipement sportif en osmose avec le paysage dans un environnement exceptionnel et enfin commande privée pour un petit pavillon destiné à abriter et mettre en valeur les œuvres d'un collectionneur.

 

Audrey Contesse, commissaire, a invité le photographe Maxime Delvaux et le concepteur sonore Christophe Rault à partager leurs analyses sur les cinq réalisations. Deux analyses sous la forme d'une vidéo et d'un montage sonore indépendants qui complètent une collection d'objets glanés et sélectionnés par la commissaire sur chaque lieu et dans les bureaux d'architecture pour signifier la matérialité et la pertinence des projets.

 

Les 5 réalisations:

  • L'Artothèque de Mons, dans une ancienne chapelle, architectes Atelier Gigogne architectures+L'Escaut,
  • Un centre sportif, le Centre Adeps La Fraineuse à Spa, architectes Baukunst,
  • Interlac, l'alliance de la culture et du commerce dans une ancienne laiterie à Dison, architectes Baumans-Deffet,
  • L'aménagement en espace public de la Place de la Cage aux ours à Bruxelles, architectes MSA & Ney&Partners,
  • M garden, le pavillon d'un collectionneur à Renaix, architectes Vers.A.

La saison 2015 à Paris

Une saison consacrée à l'architecture belge contemporaine s'ouvre à l'automne 2015. Elle se déroule en trois temps:

  • 5 novembre de 9h à 14h au Centre Wallonie-Bruxelles à Paris: Table ronde sur "L'évolution de la commande architecturale française ces dix dernières années", modérée par Jean-Louis Violeau. Elle met en présence des architectes belges et français avec des représentants des cinq bureaux exposés et de la maîtrise d'ouvrage publique et privée françaises.
  • 24 novembre 2015 à 19h au Pavillon de l'Arsenal: Conférence au Pavillon de l'Arsenal sur le thème "Comment modifier le contexte pour le rendre plus durable: cinq exemples belges". Cette conférence réunit les bureaux Baukunst, Baumans-Deffet, L'Escaut, MSA et Vers.A et est modérée par Audrey Contesse.
  • 10 décembre 2015 à 19h à la librairie Volume: [exposition du 3 au 31 décembre] Parallèlement à l'exposition "entrer", la librairie parisienne Volume organise une exposition-vente d'une sélection de photographies de Maxime Delvaux pendant le mois de décembre. À l'occasion du vernissage de cet événement, une discussion est organisée entre les bureaux belges présentés dans "entrer" autour de la question de la photographie d'architecture et de son utilisation par les architectes.

La saison continuera en 2016 avec une série d'événements organisés en collaboration avec les écoles d'architectures parisiennes. 

 

L'exposition présente cinq réalisations récentes, reflets de la diversité de la production architecturale contemporaine en Wallonie et à Bruxelles, à découvrir au cours d'une déambulation visuelle et sonore.

 

Ces réalisations – intramuros ou en dehors en de la ville, équipements publics pour la plupart – témoignent toutes de démarches engagées des architectes et de leurs commanditaires, avec la volonté de mettre l'architecture au service d'une meilleure qualité de vie pour les citoyens. Cinq réalisations qui changent l'usage, le vécu: reconquête urbaine par la reconversion d'une friche industrielle à usage mixte culture et commerces, réhabilitation patrimoniale pour un projet de mémoire d'œuvres d'art, métamorphose d'un espace public, équipement sportif en osmose avec le paysage dans un environnement exceptionnel et enfin commande privée pour un petit pavillon destiné à abriter et mettre en valeur les œuvres d'un collectionneur.

 

Audrey Contesse, commissaire, a invité le photographe Maxime Delvaux et le concepteur sonore Christophe Rault à partager leurs analyses sur les cinq réalisations. Deux analyses sous la forme d'une vidéo et d'un montage sonore indépendants qui complètent une collection d'objets glanés et sélectionnés par la commissaire sur chaque lieu et dans les bureaux d'architecture pour signifier la matérialité et la pertinence des projets.

 

Les 5 réalisations:

  • L'Artothèque de Mons, dans une ancienne chapelle, architectes Atelier Gigogne architectures+L'Escaut,
  • Un centre sportif, le Centre Adeps La Fraineuse à Spa, architectes Baukunst,
  • Interlac, l'alliance de la culture et du commerce dans une ancienne laiterie à Dison, architectes Baumans-Deffet,
  • L'aménagement en espace public de la Place de la Cage aux ours à Bruxelles, architectes MSA & Ney&Partners,
  • M garden, le pavillon d'un collectionneur à Renaix, architectes Vers.A.

La saison 2015 à Paris

Une saison consacrée à l'architecture belge contemporaine s'ouvre à l'automne 2015. Elle se déroule en trois temps:

  • 5 novembre de 9h à 14h au Centre Wallonie-Bruxelles à Paris: Table ronde sur "L'évolution de la commande architecturale française ces dix dernières années", modérée par Jean-Louis Violeau. Elle met en présence des architectes belges et français avec des représentants des cinq bureaux exposés et de la maîtrise d'ouvrage publique et privée françaises.
  • 24 novembre 2015 à 19h au Pavillon de l'Arsenal: Conférence au Pavillon de l'Arsenal sur le thème "Comment modifier le contexte pour le rendre plus durable: cinq exemples belges". Cette conférence réunit les bureaux Baukunst, Baumans-Deffet, L'Escaut, MSA et Vers.A et est modérée par Audrey Contesse.
  • 10 décembre 2015 à 19h à la librairie Volume: [exposition du 3 au 31 décembre] Parallèlement à l'exposition "entrer", la librairie parisienne Volume organise une exposition-vente d'une sélection de photographies de Maxime Delvaux pendant le mois de décembre. À l'occasion du vernissage de cet événement, une discussion est organisée entre les bureaux belges présentés dans "entrer" autour de la question de la photographie d'architecture et de son utilisation par les architectes.

La saison continuera en 2016 avec une série d'événements organisés en collaboration avec les écoles d'architectures parisiennes. 

 

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Stephan Georis

Stéphane Georis a été sélectionné et invité par Wallonie-Bruxelles International pour représenter Wallonie-Bruxelles au 4ème Festival international des marionnettes de Hanoi 2015.

 

Il a donné un spectacle à Hanoi devant le Jury international mais également pour 1000 spectateurs dans la province de Ha Nam.

 

Pour rappel, ce Festival de marionnettes a réuni la participation des 14 théâtres venus de 10 pays. Ils ont présenté 17 spectacles de marionnettes de toutes formes et matières (sur l’eau, de l’ombre, avec bâtons, avec les mains, papiers ...).
 

Stéphane Georis a été sélectionné et invité par Wallonie-Bruxelles International pour représenter Wallonie-Bruxelles au 4ème Festival international des marionnettes de Hanoi 2015.

 

Il a donné un spectacle à Hanoi devant le Jury international mais également pour 1000 spectateurs dans la province de Ha Nam.

 

Pour rappel, ce Festival de marionnettes a réuni la participation des 14 théâtres venus de 10 pays. Ils ont présenté 17 spectacles de marionnettes de toutes formes et matières (sur l’eau, de l’ombre, avec bâtons, avec les mains, papiers ...).
 

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Copyright J. Van Belle

Le pop-up store mettra en avant les créations de designers de Wallonie-Bruxelles, dans le but de leur permettre de tester le marché:

  • a.Knackfuss,
  • Delphine Dénéréaz,
  • Delphine Quirin,
  • Linadura,
  • Filles a Papa,
  • Fredereik Delbart,
  • Jean-François d’Or,
  • Krjst,
  • Atelier 365,
  • Louise Kopij,
  • No More Twist.

Programmée du 29 novembre au 6 décembre, cette initiative sera reprise dans le programme Detour de la BODW. Nouveauté pour 2015, la danse fera partie des disciplines promues par Belgian Spirit puisque le pop-up store sera inauguré le 29 novembre avec une performance du danseur belge, Gilles Polet.

 

Belgian Spirit est un projet visant à renforcer à long terme les liens créatifs, culturels et économiques entre les professionnels belges de la danse, du design et de la mode et leurs homologues en Asie. Né en 2011, ce label est une initiative belge, qui a choisi la BODW à Hong Kong comme point d’entrée sur le continent asiatique. La BODW est un événement annuel majeur organisé par le Hong Kong Design Center, dont l’objectif est de positionner la ville comme centre névralgique du design en Asie. Outre son forum de conférences, référence en matière de tendances globales de design, il compte aussi le Detour, programmation ‘off’ destinée au grand public et aux professionnels.

 

Avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International et Wallonie-Bruxelles Design/Mode.

Le pop-up store mettra en avant les créations de designers de Wallonie-Bruxelles, dans le but de leur permettre de tester le marché:

  • a.Knackfuss,
  • Delphine Dénéréaz,
  • Delphine Quirin,
  • Linadura,
  • Filles a Papa,
  • Fredereik Delbart,
  • Jean-François d’Or,
  • Krjst,
  • Atelier 365,
  • Louise Kopij,
  • No More Twist.

Programmée du 29 novembre au 6 décembre, cette initiative sera reprise dans le programme Detour de la BODW. Nouveauté pour 2015, la danse fera partie des disciplines promues par Belgian Spirit puisque le pop-up store sera inauguré le 29 novembre avec une performance du danseur belge, Gilles Polet.

 

Belgian Spirit est un projet visant à renforcer à long terme les liens créatifs, culturels et économiques entre les professionnels belges de la danse, du design et de la mode et leurs homologues en Asie. Né en 2011, ce label est une initiative belge, qui a choisi la BODW à Hong Kong comme point d’entrée sur le continent asiatique. La BODW est un événement annuel majeur organisé par le Hong Kong Design Center, dont l’objectif est de positionner la ville comme centre névralgique du design en Asie. Outre son forum de conférences, référence en matière de tendances globales de design, il compte aussi le Detour, programmation ‘off’ destinée au grand public et aux professionnels.

 

Avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International et Wallonie-Bruxelles Design/Mode.

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