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(c) Inès Bartel

Environ 1000 élèves de primaire ont pu profiter d’un cours dans une des langues de l’Union et ceci au sein du grand réseau des bibliothèques de Berlin. Les cours étaient donnés par des professeurs de langue et des collaborateurs des Instituts culturels, Ambassades et Délégations.

 

L’après-midi du 25 septembre était consacré à une action dans les rues de Berlin. D’après le slogan « on pédale pour le multilinguisme », les trois partenaires ont questionné les passants sur leurs connaissances linguistiques et les ont fait jouer à des jeux de langues. Le groupe se déplaçait dans des vélotaxis labellisés et à vélo, et passait du Breitscheidplatz (à côté de l’église du souvenir) à la Potsdamer Platz et à la Friedrichbrücke, près de l’île des musées. Un scrabble géant permettait d’assortir les langues des passants et un quiz mettait le point sur les spécificités linguistiques peu connues des 24 langues officielles de l’Union.

 

L’intérêt du public et des médias était énorme. Les organisateurs se félicitent de cette action réussie qui reflète l’unité européenne dans la diversité linguistique. Une vidéo de l’action est disponible.

Environ 1000 élèves de primaire ont pu profiter d’un cours dans une des langues de l’Union et ceci au sein du grand réseau des bibliothèques de Berlin. Les cours étaient donnés par des professeurs de langue et des collaborateurs des Instituts culturels, Ambassades et Délégations.

 

L’après-midi du 25 septembre était consacré à une action dans les rues de Berlin. D’après le slogan « on pédale pour le multilinguisme », les trois partenaires ont questionné les passants sur leurs connaissances linguistiques et les ont fait jouer à des jeux de langues. Le groupe se déplaçait dans des vélotaxis labellisés et à vélo, et passait du Breitscheidplatz (à côté de l’église du souvenir) à la Potsdamer Platz et à la Friedrichbrücke, près de l’île des musées. Un scrabble géant permettait d’assortir les langues des passants et un quiz mettait le point sur les spécificités linguistiques peu connues des 24 langues officielles de l’Union.

 

L’intérêt du public et des médias était énorme. Les organisateurs se félicitent de cette action réussie qui reflète l’unité européenne dans la diversité linguistique. Une vidéo de l’action est disponible.

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Catherine Deneuve, Jaco Van Dormael, Anna Tenta et Daniel Marquet © Filmfest Hamburg – Martin Kunze

1800 personnes enthousiastes dans trois salles ont pu assister à cette première allemande, en présence du réalisateur et des actrices Catherine Deneuve et Anna Tenta, ainsi que du coproducteur Daniel Marquet. 

 

Le festival était officiellement inauguré par le Bourgmestre-Ministre-Président d’Hambourg, Monsieur Olaf Scholz, actuellement Plénipotentiaire de la République fédérale d’Allemagne, chargé des relations culturelles franco-allemandes.

1800 personnes enthousiastes dans trois salles ont pu assister à cette première allemande, en présence du réalisateur et des actrices Catherine Deneuve et Anna Tenta, ainsi que du coproducteur Daniel Marquet. 

 

Le festival était officiellement inauguré par le Bourgmestre-Ministre-Président d’Hambourg, Monsieur Olaf Scholz, actuellement Plénipotentiaire de la République fédérale d’Allemagne, chargé des relations culturelles franco-allemandes.

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Les 8 lauréats entourent Guy De Munck, Directeur de l’école Porta Mosana, Marc Clairbois, Délégué Wallonie-Bruxelles, Jacky Lamoré, Membre de la direction des écoles LVO et Jacqueline Deprins, Enseignante détachée par le Ministère de la FWB (c) DGWB La Haye

Cette cérémonie a eu lieu en présence de plusieurs représentants de la direction de l’école, dont le Directeur Guy De Munck et Jacky Lamoré, et du Délégué Wallonie-Bruxelles à La Haye, Marc Clairbois. Il s’agit du premier groupe d’élèves ayant participé à ce type de cours, conclu par un diplôme en langue française internationalement reconnu.

 

Le développement de ce programme est soutenu par une enseignante détachée du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Jacqueline Deprins. L’objectif étant d’arriver à terme à un vrai programme d’enseignement bilingue français-néerlandais, ce qui serait une première aux Pays-Bas. Pendant cette année scolaire, deux modules d’histoire et d’art seront donnés en langue française. En plus, un nombre croissant d’élèves effectueront leur « stage professionnel » en Belgique francophone. 

Cette cérémonie a eu lieu en présence de plusieurs représentants de la direction de l’école, dont le Directeur Guy De Munck et Jacky Lamoré, et du Délégué Wallonie-Bruxelles à La Haye, Marc Clairbois. Il s’agit du premier groupe d’élèves ayant participé à ce type de cours, conclu par un diplôme en langue française internationalement reconnu.

 

Le développement de ce programme est soutenu par une enseignante détachée du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Jacqueline Deprins. L’objectif étant d’arriver à terme à un vrai programme d’enseignement bilingue français-néerlandais, ce qui serait une première aux Pays-Bas. Pendant cette année scolaire, deux modules d’histoire et d’art seront donnés en langue française. En plus, un nombre croissant d’élèves effectueront leur « stage professionnel » en Belgique francophone. 

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Le Tout Nouveau Testament - Jaco Van Dormael (Terra Incognita)

Prix de la meilleure comédie pour "Le Tout Nouveau Testament" au Austin Fantastic Fest. Prix spécial du jury pour "Les Oiseaux de Passage" au Buster International Film Festival de Copenhague. Joachim Lafosse sacré meilleur réalisateur au Festival de San Sebastian pour "Les Chevaliers Blancs". Prix Jeune au Festival du Film français d’Helvétie pour "Keeper". De nombreuses nominations au Festival du Nouveau Cinéma à Montréal, au Festival de Hambourg… Les films de Wallonie-Bruxelles cartonnent dans les festivals !

 

 

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Le Tout Nouveau Testament

Sacré "Meilleure comédie" au Austin Fantastic Fest, le dernier film de Jaco Van Dormael, mettant en scène Benoît Poelvoorde, Yolande Moreau, François Damiens et Catherine Deneuve, est à l'affiche du Festival de Hambourg le 1er octobre et fait l'ouverture du Festival du Nouveau Cinéma de Montréal le 7 octobre. Il est également en lice pour les European Films Awards et représente la Belgique à l’Oscar du meilleur film en langue étrangère.

 

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Les Oiseaux de Passage

Au Buster International Film Festival de Copenhague,"Les Oiseaux de Passage" d'Olivier et Yves Ringer a reçu le Prix spécial du jury. Cette récompense s'ajoute aux nombreuses autres reçues au Festival du Zlin (République tchèque), Festival International du Film pour Enfants de Montréal, Kineko Film Festival de Tokyo et Giffoni (Italie).

 

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Les Chevaliers Blancs

Lors du 63ème Festival de San Sebastian, le jury international a remis le Coquillage d'argent du Meilleur Réalisateur à Joachim Lafosse pour son film "Les Chevaliers Blancs".

 

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Keeper

Déjà récompensé à Locarno cet été, le film "Keeper" de Guillaume Senez continue de séduire le public suisse: il vient de remporter le prix du Jury Jeune au Festival du Film français d’Helvétie (Bienne).

 

 

De nombreuses autres productions sont présentes à l'affiche du Festival du Nouveau Cinéma de Montréal: "La Tierra Roja" de Diego Martinez Vignati, "Sanctuaire" d'Olivier Masset-Depasse, "Standard, le film" de Benjamin Marquet. Du côté des courts métrages, on retrouve "Dernière Porte au Sud" de Sacha Feiner, "Vita Brevis" de Thierry Knauff et "Deep Space" de Bruno Tondeur.

 

Au Festival de Hambourg, outre "Le Tout Nouveau Testament" et "Keeper", on note les projections de "Parasol" de Valery Rosier et du "Chant de la Mer" de Tomm Moore dans la section Michel consacrée aux films pour enfants.

 

 

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Prix de la meilleure comédie pour "Le Tout Nouveau Testament" au Austin Fantastic Fest. Prix spécial du jury pour "Les Oiseaux de Passage" au Buster International Film Festival de Copenhague. Joachim Lafosse sacré meilleur réalisateur au Festival de San Sebastian pour "Les Chevaliers Blancs". Prix Jeune au Festival du Film français d’Helvétie pour "Keeper". De nombreuses nominations au Festival du Nouveau Cinéma à Montréal, au Festival de Hambourg… Les films de Wallonie-Bruxelles cartonnent dans les festivals !

 

 

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Le Tout Nouveau Testament

Sacré "Meilleure comédie" au Austin Fantastic Fest, le dernier film de Jaco Van Dormael, mettant en scène Benoît Poelvoorde, Yolande Moreau, François Damiens et Catherine Deneuve, est à l'affiche du Festival de Hambourg le 1er octobre et fait l'ouverture du Festival du Nouveau Cinéma de Montréal le 7 octobre. Il est également en lice pour les European Films Awards et représente la Belgique à l’Oscar du meilleur film en langue étrangère.

 

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Les Oiseaux de Passage

Au Buster International Film Festival de Copenhague,"Les Oiseaux de Passage" d'Olivier et Yves Ringer a reçu le Prix spécial du jury. Cette récompense s'ajoute aux nombreuses autres reçues au Festival du Zlin (République tchèque), Festival International du Film pour Enfants de Montréal, Kineko Film Festival de Tokyo et Giffoni (Italie).

 

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Les Chevaliers Blancs

Lors du 63ème Festival de San Sebastian, le jury international a remis le Coquillage d'argent du Meilleur Réalisateur à Joachim Lafosse pour son film "Les Chevaliers Blancs".

 

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Keeper

Déjà récompensé à Locarno cet été, le film "Keeper" de Guillaume Senez continue de séduire le public suisse: il vient de remporter le prix du Jury Jeune au Festival du Film français d’Helvétie (Bienne).

 

 

De nombreuses autres productions sont présentes à l'affiche du Festival du Nouveau Cinéma de Montréal: "La Tierra Roja" de Diego Martinez Vignati, "Sanctuaire" d'Olivier Masset-Depasse, "Standard, le film" de Benjamin Marquet. Du côté des courts métrages, on retrouve "Dernière Porte au Sud" de Sacha Feiner, "Vita Brevis" de Thierry Knauff et "Deep Space" de Bruno Tondeur.

 

Au Festival de Hambourg, outre "Le Tout Nouveau Testament" et "Keeper", on note les projections de "Parasol" de Valery Rosier et du "Chant de la Mer" de Tomm Moore dans la section Michel consacrée aux films pour enfants.

 

 

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Les participants au colloque (c) F.-M. Arndt

Ce colloque s'est tenu dans les locaux du Musée des Sciences naturelles, avec le concours de l’ALS Mathieu QUINTYN et en présence du chef de pupitre de WBI Sylvain GROSJEAN.  

 

20 partenaires issus du monde de l’enseignement supérieur et de la recherche de la FWB et d’Allemagne ont présenté les aides qu’ils offrent en matière de mobilité des chercheurs aux doctorants et post-doctorants.

 

Après une brève allocution d‘ouverture par le Délégué Olaf H. BODEM, sont intervenus respectivement :

 

• Pour la Fédération Wallonie-Bruxelles : les représentants de WBI, du FNRS, d’ADISIF, du SPW DG 06, de l’ULB, de l’ULg, de l’UNamur, de l’UMons et de l’USaint-Louis
• Pour l’Allemagne : les représentants du DAAD, de la DFG, de la Fondation Humboldt, de la communauté Leibniz, de la FU Berlin, de la HUB Berlin, de la TU Berlin et de l’Université de Potsdam

 

Un document de synthèse a été établi et un networking organisé avant la Fête de la Fédération Wallonie-Bruxelles à laquelle ont assisté les participants du colloque en soirée.
 

Ce colloque s'est tenu dans les locaux du Musée des Sciences naturelles, avec le concours de l’ALS Mathieu QUINTYN et en présence du chef de pupitre de WBI Sylvain GROSJEAN.  

 

20 partenaires issus du monde de l’enseignement supérieur et de la recherche de la FWB et d’Allemagne ont présenté les aides qu’ils offrent en matière de mobilité des chercheurs aux doctorants et post-doctorants.

 

Après une brève allocution d‘ouverture par le Délégué Olaf H. BODEM, sont intervenus respectivement :

 

• Pour la Fédération Wallonie-Bruxelles : les représentants de WBI, du FNRS, d’ADISIF, du SPW DG 06, de l’ULB, de l’ULg, de l’UNamur, de l’UMons et de l’USaint-Louis
• Pour l’Allemagne : les représentants du DAAD, de la DFG, de la Fondation Humboldt, de la communauté Leibniz, de la FU Berlin, de la HUB Berlin, de la TU Berlin et de l’Université de Potsdam

 

Un document de synthèse a été établi et un networking organisé avant la Fête de la Fédération Wallonie-Bruxelles à laquelle ont assisté les participants du colloque en soirée.
 

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L’ensemble « Laterna magica » (c) F.-M. Arndt

La séance s'est tenue dans la « salle des dinosaures » du Musée des Sciences naturelles de Berlin, à l’ombre d’un brachiosaure de 13 m de haut (voir photographies) devant un parterre de 130 invités.

 

Après une allocution de circonstance prononcée par le Délégué Olaf H. BODEM, l’ensemble « Laterna magica » a livré un concert baroque de qualité, après quoi le vin d’honneur fut offert aux invités.

La séance s'est tenue dans la « salle des dinosaures » du Musée des Sciences naturelles de Berlin, à l’ombre d’un brachiosaure de 13 m de haut (voir photographies) devant un parterre de 130 invités.

 

Après une allocution de circonstance prononcée par le Délégué Olaf H. BODEM, l’ensemble « Laterna magica » a livré un concert baroque de qualité, après quoi le vin d’honneur fut offert aux invités.

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Les participants à la rencontre à Utrecht (c) Netherlands Film Commission

Ces rencontres témoignent de la volonté de renforcer les relations entre les Pays-Bas et la Fédération Wallonie-Bruxelles en matière de production cinématographique.

 

A cet égard, le Nederlands Film Fonds et le Centre du Cinéma et de l’Audiovisuel de la FWB ont coopéré à la rédaction d’un accord de coproduction cinématographique, qui sera signé à court terme par les Ministres compétentes. Cet accord vise à faciliter la coproduction des films entre des partenaires néerlandais et belges francophones. En guise d’illustration, le film d’ouverture au prochain Festival International du Film Francophone à Namur, Préjudice, du réalisateur belge Antoine Cuypers, est d’ailleurs le fruit d’une coproduction avec les Pays-Bas. 

Ces rencontres témoignent de la volonté de renforcer les relations entre les Pays-Bas et la Fédération Wallonie-Bruxelles en matière de production cinématographique.

 

A cet égard, le Nederlands Film Fonds et le Centre du Cinéma et de l’Audiovisuel de la FWB ont coopéré à la rédaction d’un accord de coproduction cinématographique, qui sera signé à court terme par les Ministres compétentes. Cet accord vise à faciliter la coproduction des films entre des partenaires néerlandais et belges francophones. En guise d’illustration, le film d’ouverture au prochain Festival International du Film Francophone à Namur, Préjudice, du réalisateur belge Antoine Cuypers, est d’ailleurs le fruit d’une coproduction avec les Pays-Bas. 

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Showroom Les Belges

Leurs points communs? Une identité forte, l'envie de réussir et un désir profond d'éviter les compromis.

 

Ce sont des créateurs qui veulent non seulement professionnaliser leur projet de marque, mais aussi d'avoir une stratégie de développement sur le marché international.

 

Le but du Showroom [Les Belges] est de toucher les leaders d'opinion et les acheteurs avec une sélection de stylistes pointus représentant le meilleur de la mode belge contemporaine.

 

Pour cette édition, 4 stylistes ont été sélectionnés.

 

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a.Knackfuss

Inspirée par le concept des colonies humaines à travers l’histoire, la nouvelle collection d’Alice Knackfuss est ambitieuse et avant-gardiste, embrassant les différences culturelles de façon inattendue et ludique. Elle juxtapose tribalisme et futurisme, conciliant instinct et raison, nature et structure. À la confluence de l’impulsivité et de la structuration créatives, Knackfuss excelle dans la création de combinaisons et de rencontres inattendues, qui passent à travers le prisme de son regard unique et de son utilisation subtile de la confection. Des broderies graphiques contrastées sur des maillages éthérés rappellent les rituels ethniques alors que des tissus transparents, très présents dans la collection, créent une nouvelle sensation de légèreté. Le blanc domine la collection, sans oublier le noir et l’utilisation d’imprimés exclusifs, ludiques et optimistes.

 

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Emmanuelle Lebas

Dans sa quête de formes originales et de contrastes inattendus entre les matières, Emmanuelle Lebas parfait ses styles signatures dans cette troisième collection qui puise son inspiration dans l’Antiquité et son architecture remarquable. Les points forts de cette styliste belge sont la réinterprétation du minimalisme et sa capacité à créer des lignes séduisantes en diable. En recourant à des découpes complexes sur plusieurs chaussures – clin d’oeil à l’architecture grecque et romaine, Emmanuelle insuffle une belle énergie dans des articles du quotidien comme des mocassins, sandales, richelieus et bottines. Même ses semelles compensées ont une identité graphique cette fois, soulignant la qualité sculpturale de ses créations. Dans un entrelacs de blanc et de noir des plus saisissants, elle jongle également avec les formes traditionnelles des chaussures pour homme, en y greffant une touche de fun et de féminité.

 

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Gioia Seghers

En concentrant son propos sur une palette de couleurs limitées - blanc, beige et noir – et sur des créations très près du corps, Gioia Seghers réinterprète la simplicité en recherchant un subtil équilibre entre confort et esthétique. S’inspirant de l’oeuvre Dance de la chorégraphe Lucinda Childs, une performance réalisée en 1979 avec la participation des artistes Philip Glass et Sol LeWitt, Gioia explore l’attrait de la fluidité dans des environnements structurés en créant une dynamique gracieuse tout autour des formes de la femme.

 

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Léo

Inspiré par les films de sciencefiction rétro et leur esthétique confinant au kitsch, Léo imagine une collection jeune et polyvalente, placée sous le signe du confort, sans oublier de petits détails qui font toute la différence. Baptisée « Altaira », cette collection explore l’idée d’un étonnant voyage dans l’espace, de la découverte des fabuleux trésors de la voie lactée et d’un périple extraordinaire vers une planète secrète. Son égérie voyage de galaxie en galaxie, à la poursuite des OVNI et séduisant les robots. Réinterprétations de l’optimisme et des silhouettes dynamiques des années soixante, ses créations ont un petit côté géométrique, avec ces découpes habilement ménagées dans les robes et les jupes, alors que vestes et manteaux jonglent avec les courbes, révélant ainsi sa nostalgie des « vêtements élaborés ».

 

 


 

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Leurs points communs? Une identité forte, l'envie de réussir et un désir profond d'éviter les compromis.

 

Ce sont des créateurs qui veulent non seulement professionnaliser leur projet de marque, mais aussi d'avoir une stratégie de développement sur le marché international.

 

Le but du Showroom [Les Belges] est de toucher les leaders d'opinion et les acheteurs avec une sélection de stylistes pointus représentant le meilleur de la mode belge contemporaine.

 

Pour cette édition, 4 stylistes ont été sélectionnés.

 

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a.Knackfuss

Inspirée par le concept des colonies humaines à travers l’histoire, la nouvelle collection d’Alice Knackfuss est ambitieuse et avant-gardiste, embrassant les différences culturelles de façon inattendue et ludique. Elle juxtapose tribalisme et futurisme, conciliant instinct et raison, nature et structure. À la confluence de l’impulsivité et de la structuration créatives, Knackfuss excelle dans la création de combinaisons et de rencontres inattendues, qui passent à travers le prisme de son regard unique et de son utilisation subtile de la confection. Des broderies graphiques contrastées sur des maillages éthérés rappellent les rituels ethniques alors que des tissus transparents, très présents dans la collection, créent une nouvelle sensation de légèreté. Le blanc domine la collection, sans oublier le noir et l’utilisation d’imprimés exclusifs, ludiques et optimistes.

 

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Emmanuelle Lebas

Dans sa quête de formes originales et de contrastes inattendus entre les matières, Emmanuelle Lebas parfait ses styles signatures dans cette troisième collection qui puise son inspiration dans l’Antiquité et son architecture remarquable. Les points forts de cette styliste belge sont la réinterprétation du minimalisme et sa capacité à créer des lignes séduisantes en diable. En recourant à des découpes complexes sur plusieurs chaussures – clin d’oeil à l’architecture grecque et romaine, Emmanuelle insuffle une belle énergie dans des articles du quotidien comme des mocassins, sandales, richelieus et bottines. Même ses semelles compensées ont une identité graphique cette fois, soulignant la qualité sculpturale de ses créations. Dans un entrelacs de blanc et de noir des plus saisissants, elle jongle également avec les formes traditionnelles des chaussures pour homme, en y greffant une touche de fun et de féminité.

 

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Gioia Seghers

En concentrant son propos sur une palette de couleurs limitées - blanc, beige et noir – et sur des créations très près du corps, Gioia Seghers réinterprète la simplicité en recherchant un subtil équilibre entre confort et esthétique. S’inspirant de l’oeuvre Dance de la chorégraphe Lucinda Childs, une performance réalisée en 1979 avec la participation des artistes Philip Glass et Sol LeWitt, Gioia explore l’attrait de la fluidité dans des environnements structurés en créant une dynamique gracieuse tout autour des formes de la femme.

 

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Léo

Inspiré par les films de sciencefiction rétro et leur esthétique confinant au kitsch, Léo imagine une collection jeune et polyvalente, placée sous le signe du confort, sans oublier de petits détails qui font toute la différence. Baptisée « Altaira », cette collection explore l’idée d’un étonnant voyage dans l’espace, de la découverte des fabuleux trésors de la voie lactée et d’un périple extraordinaire vers une planète secrète. Son égérie voyage de galaxie en galaxie, à la poursuite des OVNI et séduisant les robots. Réinterprétations de l’optimisme et des silhouettes dynamiques des années soixante, ses créations ont un petit côté géométrique, avec ces découpes habilement ménagées dans les robes et les jupes, alors que vestes et manteaux jonglent avec les courbes, révélant ainsi sa nostalgie des « vêtements élaborés ».

 

 


 

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Charline Van Snick (c) Belga

Pour cette édition automnale, la Revue W+B vous propose d'éclaircir quelque peu un concept à la mode: les smart cities.

Smart city, ville intelligente... mais encore? Que recouvre cette expression, d'où vient-elle, quels sont les exemples concrets en Wallonie et à Bruxelles? Autant de questions auxquelles nous allons tenter d'apporter des réponses.

Ce numéro 129 nous emmène également à la rencontre de Benoît Paulis, artisan stavelotain à Taïwan, et de Charline Van Snick, judokate liégeoise à la carrière de renom. Nous nous attarderons chez Benuts, société spécialisée dans la création d'effets visuels qui a travaillé avec Stromae, et nous serons entraînés au coeur de l'histoire de la faïence wallonne avec le Centre Keramis de La Louvière.

Sommaire

Dossier: Des villes intelligentes pour demain
Culture: De Stavelot à Taïwan, pour l'amour de la musique
Portrait: Charline Van Snick, la guerrière
Tourisme: Au coeur de notre histoire faïencière, le Centre Keramis ouvre ses portes à La Louvière
Entreprise: Benuts: ils truquent les films et font danser Stromae
Innovation: Une goutte de sang wallon pour éviter le cancer
Société: Au boulot, le handicap n'en est pas un
Design: RECIPROCITY LIEGE: le design en capitales
Gastronomie: Aux petits Oignons: du beau, du bon, du local...
Coopération au développement: Kinésithérapie: l'Afrique en mouvement
Jeunesse: La mobilité des acteurs de jeunesse
Coin BD: Les années atome de Modeste et Pompon
Survols
 

 

Vous souhaitez vous abonner gratuitement à la Revue W+B? Rien de plus simple, inscrivez-vous en quelques secondes!

 

 

Pour cette édition automnale, la Revue W+B vous propose d'éclaircir quelque peu un concept à la mode: les smart cities.

Smart city, ville intelligente... mais encore? Que recouvre cette expression, d'où vient-elle, quels sont les exemples concrets en Wallonie et à Bruxelles? Autant de questions auxquelles nous allons tenter d'apporter des réponses.

Ce numéro 129 nous emmène également à la rencontre de Benoît Paulis, artisan stavelotain à Taïwan, et de Charline Van Snick, judokate liégeoise à la carrière de renom. Nous nous attarderons chez Benuts, société spécialisée dans la création d'effets visuels qui a travaillé avec Stromae, et nous serons entraînés au coeur de l'histoire de la faïence wallonne avec le Centre Keramis de La Louvière.

Sommaire

Dossier: Des villes intelligentes pour demain
Culture: De Stavelot à Taïwan, pour l'amour de la musique
Portrait: Charline Van Snick, la guerrière
Tourisme: Au coeur de notre histoire faïencière, le Centre Keramis ouvre ses portes à La Louvière
Entreprise: Benuts: ils truquent les films et font danser Stromae
Innovation: Une goutte de sang wallon pour éviter le cancer
Société: Au boulot, le handicap n'en est pas un
Design: RECIPROCITY LIEGE: le design en capitales
Gastronomie: Aux petits Oignons: du beau, du bon, du local...
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Jeunesse: La mobilité des acteurs de jeunesse
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Documents liés

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Copyright J. Van Belle

"Préjudice", le premier long-métrage du cinéaste belge Antoine Cuypers, sera projeté en présence de l’équipe du film lors du gala d’ouverture de la trentième édition du Festival international du film francophone.

 

L’histoire est celle de Cédric, la trentaine, qui vit toujours chez ses parents. Lors d’un repas de famille, Cédric apprend que sa sœur attend un enfant. Alors que tout le monde se réjouit de cette nouvelle, elle provoque chez lui un ressentiment qui va se transformer en fureur. Il tente alors d’établir, aux yeux des autres, le préjudice dont il se sent victime depuis toujours. Entre non-dits et paranoïa, révolte et faux-semblants, ce long-métrage montre aux spectateurs jusqu’où une famille peut aller pour préserver son équilibre.

 

Bande annonce "Préjudice"

 

En clôture de Festival, c'est le film de Baya Kasmi, "Je suis à vous tout de suite" qui est programmé.

 

Hanna a 30 ans, beaucoup de charme et ne sait pas dire non : elle est atteinte de la névrose de la gentillesse. Ce drôle de syndrome familial touche aussi son père, Omar, "épicier social" et sa mère, Simone, "psy à domicile". Avec son frère Hakim, focalisé sur ses racines algériennes et sa religion, le courant ne passe plus vraiment. Mais un événement imprévu oblige Hanna et Hakim à se retrouver... 

 

Bande annonce "Je suis à vous tout de suite"

 

Tout au long du Festival, ce sont plus de 170 films qui vont être présentés au public au travers de différentes compétitions:

 

Longs métrages

  • compétition officielle: 15 films dont 2 belges
  • compétition première oeuvre de fiction: 16 films dont 3 belges et 4 co-productions
  • regards du présent: 10 films de fictions dont 3 co-productions belges, 5 documentaires belges, 8 documentaires internationaux dont 2 co-productions belges
  • focus cinéma belge francophone: 6 films
  • focus cinéma belge flamand: 4 films
  • coup de coeur: 4 films

Courts métrages

  • compétition internationale: 12 films dont 2 belges
  • compétition nationale FWB: 26 films
  • compétition clips: 16 clips dont 5 belges et 2 co-productions
  • regards du présent: 14 films de fictions et d'animations, 1 documentaire belge
  • focus cinéma belge flamand: 7 films
  • séance spéciale "cour(t)s et danse": 5

 

Retrouvez toute la programmation ainsi que tout le programme des rencontres professionnelles, des ateliers, des tables rondes et des animations...

 

 

"Préjudice", le premier long-métrage du cinéaste belge Antoine Cuypers, sera projeté en présence de l’équipe du film lors du gala d’ouverture de la trentième édition du Festival international du film francophone.

 

L’histoire est celle de Cédric, la trentaine, qui vit toujours chez ses parents. Lors d’un repas de famille, Cédric apprend que sa sœur attend un enfant. Alors que tout le monde se réjouit de cette nouvelle, elle provoque chez lui un ressentiment qui va se transformer en fureur. Il tente alors d’établir, aux yeux des autres, le préjudice dont il se sent victime depuis toujours. Entre non-dits et paranoïa, révolte et faux-semblants, ce long-métrage montre aux spectateurs jusqu’où une famille peut aller pour préserver son équilibre.

 

Bande annonce "Préjudice"

 

En clôture de Festival, c'est le film de Baya Kasmi, "Je suis à vous tout de suite" qui est programmé.

 

Hanna a 30 ans, beaucoup de charme et ne sait pas dire non : elle est atteinte de la névrose de la gentillesse. Ce drôle de syndrome familial touche aussi son père, Omar, "épicier social" et sa mère, Simone, "psy à domicile". Avec son frère Hakim, focalisé sur ses racines algériennes et sa religion, le courant ne passe plus vraiment. Mais un événement imprévu oblige Hanna et Hakim à se retrouver... 

 

Bande annonce "Je suis à vous tout de suite"

 

Tout au long du Festival, ce sont plus de 170 films qui vont être présentés au public au travers de différentes compétitions:

 

Longs métrages

  • compétition officielle: 15 films dont 2 belges
  • compétition première oeuvre de fiction: 16 films dont 3 belges et 4 co-productions
  • regards du présent: 10 films de fictions dont 3 co-productions belges, 5 documentaires belges, 8 documentaires internationaux dont 2 co-productions belges
  • focus cinéma belge francophone: 6 films
  • focus cinéma belge flamand: 4 films
  • coup de coeur: 4 films

Courts métrages

  • compétition internationale: 12 films dont 2 belges
  • compétition nationale FWB: 26 films
  • compétition clips: 16 clips dont 5 belges et 2 co-productions
  • regards du présent: 14 films de fictions et d'animations, 1 documentaire belge
  • focus cinéma belge flamand: 7 films
  • séance spéciale "cour(t)s et danse": 5

 

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