La délégation wallonne composée de 43 personnes parmi lesquelles des représentants d’entreprises, d’universités, de centres de recherche et de valorisateurs technologiques s’est d’abord rendue à l’Institut de Microtechnique (IMT) de l’Ecole Polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) où elle a pu prendre connaissance des projets de recherche menés par les équipes de chercheurs suisses. Grâce au soutien de l’Agent de Liaison scientifique pour la Suisse, Vassil Kolarov, ce volet scientifique et technologique avait pour objectif de faire l’état des lieux de l’expertise acquise par les Suisses dans les thématiques que sont la micro-technologie et l’aérospatial.
Parallèlement à ce programme, plusieurs visites ont été organisées avec différents membres de la délégation au Centre européen de recherche nucléaire (CERN), chez l’horloger Vacheron Constantin et au sein de la multinationale Dupont.
Le lendemain, la délégation s’est rendue au Centre Suisse d’Electronique et de Microtechnique (CSEM) à Neuchâtel. Ce Centre est dédié à la recherche appliquée en micro et nano-technologies mais également aux technologies de l’information. Les participants suisses et opérateurs wallons ont présenté respectivement leurs activités de recherche. Cet exercice a permis d’identifier des premières similitudes et complémentarités, en vue du montage de projets de recherche communs, notamment dans le cadre de l’initiative Eureka. En parallèle, les entreprises actives dans l’horlogerie ont pu visiter Tissot et Ulysse Nardin.
Le temps fort de la journée fut, sans aucun doute, la visite des laboratoires de Microcity à Neuchâtel avec, au préalable, un networking lunch honoré par la présence du Conseiller d’Etat en charge de l’économie et de l’action sociale ainsi que celle de l’Ambassadeur de Belgique en Suisse.
L’appel bilatéral Eurêka/Eurostars comme fil conducteur de la mission
Les rencontres entre Wallons et Suisses étaient d’autant plus porteuses qu’elles s’inscrivaient dans le cadre de l’appel à projets bilatéral Eurêka/Eurostars.
À l’issue des deux jours de visites et de réseautages, les premiers contacts ainsi établis ont pu être affinés le 19 novembre lors de l’événement suisse "Eurêka innovation event" qui se déroulait à Bâle. L’événement, qui avait pour objectif de rassembler la communauté internationale d’Eurêka, a proposé des sessions de rendez-vous B2B et invitait les participants à se rendre sur les stands d’information. Au total, plus de 300 personnes ont participé à l’événement.
Les premiers résultats de cette mission sont très positifs puisqu’une dizaine d’intentions de dépôts de projets ont été initiés lors des différentes rencontres de maillage technologique.
Contact: Vassil KOLAROV, Agent de liaison scientifique pour la Suisse – v.kolarov@wbi.be
La délégation wallonne composée de 43 personnes parmi lesquelles des représentants d’entreprises, d’universités, de centres de recherche et de valorisateurs technologiques s’est d’abord rendue à l’Institut de Microtechnique (IMT) de l’Ecole Polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) où elle a pu prendre connaissance des projets de recherche menés par les équipes de chercheurs suisses. Grâce au soutien de l’Agent de Liaison scientifique pour la Suisse, Vassil Kolarov, ce volet scientifique et technologique avait pour objectif de faire l’état des lieux de l’expertise acquise par les Suisses dans les thématiques que sont la micro-technologie et l’aérospatial.
Parallèlement à ce programme, plusieurs visites ont été organisées avec différents membres de la délégation au Centre européen de recherche nucléaire (CERN), chez l’horloger Vacheron Constantin et au sein de la multinationale Dupont.
Le lendemain, la délégation s’est rendue au Centre Suisse d’Electronique et de Microtechnique (CSEM) à Neuchâtel. Ce Centre est dédié à la recherche appliquée en micro et nano-technologies mais également aux technologies de l’information. Les participants suisses et opérateurs wallons ont présenté respectivement leurs activités de recherche. Cet exercice a permis d’identifier des premières similitudes et complémentarités, en vue du montage de projets de recherche communs, notamment dans le cadre de l’initiative Eureka. En parallèle, les entreprises actives dans l’horlogerie ont pu visiter Tissot et Ulysse Nardin.
Le temps fort de la journée fut, sans aucun doute, la visite des laboratoires de Microcity à Neuchâtel avec, au préalable, un networking lunch honoré par la présence du Conseiller d’Etat en charge de l’économie et de l’action sociale ainsi que celle de l’Ambassadeur de Belgique en Suisse.
L’appel bilatéral Eurêka/Eurostars comme fil conducteur de la mission
Les rencontres entre Wallons et Suisses étaient d’autant plus porteuses qu’elles s’inscrivaient dans le cadre de l’appel à projets bilatéral Eurêka/Eurostars.
À l’issue des deux jours de visites et de réseautages, les premiers contacts ainsi établis ont pu être affinés le 19 novembre lors de l’événement suisse "Eurêka innovation event" qui se déroulait à Bâle. L’événement, qui avait pour objectif de rassembler la communauté internationale d’Eurêka, a proposé des sessions de rendez-vous B2B et invitait les participants à se rendre sur les stands d’information. Au total, plus de 300 personnes ont participé à l’événement.
Les premiers résultats de cette mission sont très positifs puisqu’une dizaine d’intentions de dépôts de projets ont été initiés lors des différentes rencontres de maillage technologique.
Contact: Vassil KOLAROV, Agent de liaison scientifique pour la Suisse – v.kolarov@wbi.be
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Innovation et Créativité
La Wallonie, en collaboration avec la Communauté germanophone et la Fédération Wallonie-Bruxelles, va assurer la Présidence du Sommet de la Grande Région, dès janvier 2015 pour 2 ans. Elle clôturera ses 2 années de travaux par le Sommet final qui se tiendra la fin de 2016. La Présidence wallonne propose de développer ses lignes directrices autour des thèmes de l’innovation et de la créativité. Les thèmes choisis inscrivent pleinement la Grande Région dans le cadre de l’Europe 2020. Il s’agit d’un thème attractif et moderne dont la transversalité permet d’englober de nombreux secteurs.
Le terme "créativité" regroupe la formulation et l’application d'idées nouvelles dans un contexte donné, et la réalisation de produits et d’innovations technologiques. Il concerne également l’expression artistique et culturelle, il comporte aussi un aspect économique observable parce qu'il contribue à l'esprit d'entreprise, encourage l'innovation, augmente la productivité et favorise la croissance économique. Les priorités de la nouvelle présidence permettront de répondre aux défis d’une société globale, ouverte et en constante mutation. Chaque groupe de travail pourra se mobiliser autour de ce fil conducteur en matière d’Inter ou de Meta-clustering, d’actions communes en R&D, d’entreprenariat, de développement des entreprises, des transports, des industries créatives, des démarches innovantes pour l’apprentissage des langues ou pour le secteur de l’environnement. Les niches sont nombreuses et permettent de répondre aux enjeux et défis spécifiques à la Grande Région.
La reconversion des régions industrielles et minières implique un changement du paysage professionnel, une adaptation des travailleurs et de la société entière à ce nouveau contexte économique. La révolution numérique, la mobilité croissante des étudiants et des travailleurs, le renversement de la pyramide des âges, la multiplication des PME et le changement climatique sont des enjeux à prendre en compte. La Grande Région ne peut se développer harmonieusement et durablement que dans la prise en compte et l’équilibre de tous ses territoires, urbains et ruraux. La créativité et l’innovation sont aussi à l’œuvre dans le développement des territoires à l’appui de la valorisation de leurs ressources. Des réponses concertées à ces problématiques permettront de renforcer non seulement la cohésion interne du territoire, et son rayonnement international. En effet, la Grande Région est à considérer comme un tremplin vers et pour l’Europe, en ce sens qu’elle génère à l’échelle régionale des réflexes de collaborations avec les états qui l' entourent.
Elle pourra profiter de la visibilité des actions proposées par Mons 2015, capitale européenne de la Culture, qui a aussi mis l’accent sur la créativité et les nouvelles technologies. La stratégie est efficace si elle est portée de manière conjointe par l’ensemble des acteurs de la Grande Région. La nouvelle présidence attachera une importance toute particulière à la communication, aux synergies et à la coordination entre les différentes structures de la Grande Région dans la continuité de ce qui a été entrepris par la présidence rhénane-palatine. Une coordination étroite sera notamment mise en place avec le Comité économique et social de la Grande Région, ainsi qu’avec le Conseil parlementaire interrégional. Elle veillera également à assurer une bonne collaboration avec le Secrétariat du Sommet, nouvellement mis en place.
Retour au débutInitiatives à développer
L’apprentissage tout au long de la vie : développer la créativité dans l’apprentissage et assurer des formations transfrontalières spécifiques et innovantes répondent à ce défi du changement perpétuel. A l’heure de la mondialisation, il est important de recevoir un apprentissage ouvert sur le monde, un apprentissage interculturel alliant mobilité et technologies de l’information et de la communication. Il est d’autant plus important dans le contexte de mobilité grandrégionale. Dans cette optique, des actions concrètes autour de l’e-learning, la co-diplômation, la formation professionnelle, les langues et l’esprit d’entreprendre seront envisagées.
Les entreprises : si la Grande Région dispose d’un tissu de PME extrêmement riche, développer ses activités en transfrontalier n’est pas encore un réflexe pour la plupart d’entre elles. En favorisant l’entreprenariat, le potentiel innovant et créatif des PME et leur développement par-delà les frontières, la Grande Région renforce son attractivité, devient plus compétitive et plus forte sur le marché européen. La présidence wallonne favorisera donc des actions de clustering, de mise en valeur des industries culturelles et créatives ainsi que la participation commune à des salons internationaux.
Le développement durable et endogène des territoires : l’innovation territoriale vient compléter les axes relatifs à l’apprentissage créatif et à l’innovation dans les entreprises, en ce sens qu’elle allie l’enjeu de la croissance économique à la valorisation des ressources naturelles et humaines propres à l’espace de coopération. Les défis et les atouts en la matière sont à la hauteur du potentiel de la Grande Région. De l’éco-innovation au marketing touristique en passant par la mise en valeur des ressources naturelles et agro-forestières, les solutions innovantes d’équipement numérique haut débit ou encore le secteur du renouvelable, les avancées dans ce domaine peuvent être considérables si on mutualise les expériences, les réflexions et les moyens.
Afin de veiller au rayonnement de la Grande Région au niveau européen, la présidence wallonne, en collaboration avec la Communauté germanophone et la Fédération Wallonie-Bruxelles, proposera une participation aux Open Days à Bruxelles. En continuité avec ce qui a été entamé sous la présidence rhénane-palatine, elle poursuivra également la réflexion sur l’architecture et la rationalisation des instances de la Grande Région.
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Innovation et Créativité
La Wallonie, en collaboration avec la Communauté germanophone et la Fédération Wallonie-Bruxelles, va assurer la Présidence du Sommet de la Grande Région, dès janvier 2015 pour 2 ans. Elle clôturera ses 2 années de travaux par le Sommet final qui se tiendra la fin de 2016. La Présidence wallonne propose de développer ses lignes directrices autour des thèmes de l’innovation et de la créativité. Les thèmes choisis inscrivent pleinement la Grande Région dans le cadre de l’Europe 2020. Il s’agit d’un thème attractif et moderne dont la transversalité permet d’englober de nombreux secteurs.
Le terme "créativité" regroupe la formulation et l’application d'idées nouvelles dans un contexte donné, et la réalisation de produits et d’innovations technologiques. Il concerne également l’expression artistique et culturelle, il comporte aussi un aspect économique observable parce qu'il contribue à l'esprit d'entreprise, encourage l'innovation, augmente la productivité et favorise la croissance économique. Les priorités de la nouvelle présidence permettront de répondre aux défis d’une société globale, ouverte et en constante mutation. Chaque groupe de travail pourra se mobiliser autour de ce fil conducteur en matière d’Inter ou de Meta-clustering, d’actions communes en R&D, d’entreprenariat, de développement des entreprises, des transports, des industries créatives, des démarches innovantes pour l’apprentissage des langues ou pour le secteur de l’environnement. Les niches sont nombreuses et permettent de répondre aux enjeux et défis spécifiques à la Grande Région.
La reconversion des régions industrielles et minières implique un changement du paysage professionnel, une adaptation des travailleurs et de la société entière à ce nouveau contexte économique. La révolution numérique, la mobilité croissante des étudiants et des travailleurs, le renversement de la pyramide des âges, la multiplication des PME et le changement climatique sont des enjeux à prendre en compte. La Grande Région ne peut se développer harmonieusement et durablement que dans la prise en compte et l’équilibre de tous ses territoires, urbains et ruraux. La créativité et l’innovation sont aussi à l’œuvre dans le développement des territoires à l’appui de la valorisation de leurs ressources. Des réponses concertées à ces problématiques permettront de renforcer non seulement la cohésion interne du territoire, et son rayonnement international. En effet, la Grande Région est à considérer comme un tremplin vers et pour l’Europe, en ce sens qu’elle génère à l’échelle régionale des réflexes de collaborations avec les états qui l' entourent.
Elle pourra profiter de la visibilité des actions proposées par Mons 2015, capitale européenne de la Culture, qui a aussi mis l’accent sur la créativité et les nouvelles technologies. La stratégie est efficace si elle est portée de manière conjointe par l’ensemble des acteurs de la Grande Région. La nouvelle présidence attachera une importance toute particulière à la communication, aux synergies et à la coordination entre les différentes structures de la Grande Région dans la continuité de ce qui a été entrepris par la présidence rhénane-palatine. Une coordination étroite sera notamment mise en place avec le Comité économique et social de la Grande Région, ainsi qu’avec le Conseil parlementaire interrégional. Elle veillera également à assurer une bonne collaboration avec le Secrétariat du Sommet, nouvellement mis en place.
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L’apprentissage tout au long de la vie : développer la créativité dans l’apprentissage et assurer des formations transfrontalières spécifiques et innovantes répondent à ce défi du changement perpétuel. A l’heure de la mondialisation, il est important de recevoir un apprentissage ouvert sur le monde, un apprentissage interculturel alliant mobilité et technologies de l’information et de la communication. Il est d’autant plus important dans le contexte de mobilité grandrégionale. Dans cette optique, des actions concrètes autour de l’e-learning, la co-diplômation, la formation professionnelle, les langues et l’esprit d’entreprendre seront envisagées.
Les entreprises : si la Grande Région dispose d’un tissu de PME extrêmement riche, développer ses activités en transfrontalier n’est pas encore un réflexe pour la plupart d’entre elles. En favorisant l’entreprenariat, le potentiel innovant et créatif des PME et leur développement par-delà les frontières, la Grande Région renforce son attractivité, devient plus compétitive et plus forte sur le marché européen. La présidence wallonne favorisera donc des actions de clustering, de mise en valeur des industries culturelles et créatives ainsi que la participation commune à des salons internationaux.
Le développement durable et endogène des territoires : l’innovation territoriale vient compléter les axes relatifs à l’apprentissage créatif et à l’innovation dans les entreprises, en ce sens qu’elle allie l’enjeu de la croissance économique à la valorisation des ressources naturelles et humaines propres à l’espace de coopération. Les défis et les atouts en la matière sont à la hauteur du potentiel de la Grande Région. De l’éco-innovation au marketing touristique en passant par la mise en valeur des ressources naturelles et agro-forestières, les solutions innovantes d’équipement numérique haut débit ou encore le secteur du renouvelable, les avancées dans ce domaine peuvent être considérables si on mutualise les expériences, les réflexions et les moyens.
Afin de veiller au rayonnement de la Grande Région au niveau européen, la présidence wallonne, en collaboration avec la Communauté germanophone et la Fédération Wallonie-Bruxelles, proposera une participation aux Open Days à Bruxelles. En continuité avec ce qui a été entamé sous la présidence rhénane-palatine, elle poursuivra également la réflexion sur l’architecture et la rationalisation des instances de la Grande Région.
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On a beau s'appeler Cité Internationale, on peut se la jouer modeste. Pour la dénicher à Liège, il faut arpenter la Rue de Pitteurs, franchir la lourde porte de l'Institut d'Anatomie de l'ULg (qui a mis des locaux à disposition), et on y est! Passé le choc du flamboyant décor néogothique, on découvre un espace restreint, mais lumineux et fonctionnel: c'est de là que le trio qui officie aux destinées de la Cité Internationale Wallonie-Bruxelles (CIWB), sous la houlette de Yadranka Zorica, lance ses projets avec pour devise "une Wallonie proactive, cosmopolite et créatrice de nouvelles opportunités à l'international", en particulier avec l'Afrique.
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Des partenariats durables
Modeste, mais non dénuée d'ambitions: la Cité, asbl composée de WBI, l'Awex, l'Apefe et l'Ulg, vise à encourager des partenariats durables et la diversité culturelle comme "facteurs déterminants du développement d'activités et d'emplois". Concrètement? Yadranka Zorica évoque en premier lieu les séminaires organisés dans le cadre du programme Explort de l'Awex, "afin d'explorer de nouveaux marchés en créant des liens privilégiés grâce à la diaspora présente en Wallonie". La Roumanie et la République démocratique du Congo ont été les pays-cibles des deux dernières sessions où se retrouvent étudiants (qui peuvent postuler dans des "stages Explort"), entreprises et intervenants du pays concerné. Suivront bientôt la Corée du Sud, le Mexique et le Ghana.
Du coup, l'apprentissage des langues prend toute son importance. Depuis 2013, une "Arabe Académie" dispense à Liège des cours gratuits à destination des entreprises exportatrices et surtout des jeunes, demandeurs d'emploi ou non, qui ont un projet en relation avec le monde arabe. Objectif: accéder en une dizaine de semaines à un niveau débutant ou intermédiaire. Les leçons sont assorties de conférences sur l'économie, la culture, le système bancaire, les "printemps arabes"... C'est bientôt le tour de la langue de Tolstoï: en collaboration avec l'Université de Mons, une première "Russe Académie" prendra ses quartiers à Bruxelles du 7 octobre au 18 décembre 2014.
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Une plateforme web entre le Nord et le Sud
C'est surtout par les nouvelles technologies que la Cité veut donner de la valeur ajoutée à ses projets. Parmi ceux-ci, la "plateforme web inter-entreprises Wallonie-Afrique de l'Ouest", dans le droit fil des actions déjà organisées avec des partenaires du Bénin, du Burkina Faso, du Sénégal et des pays environnants. Elle héberge toute information jugée utile au niveaux international (cadre législatif, climat des affaires...) comme national (par exemple les possibilités de formation sur place). Une de ses particularités est de donner une plus grande visibilité aux instruments financiers existants, notamment européens.
La CIWB vise surtout à tester de nouvelles pratiques, qui soient transférables en Wallonie et à l'étranger, en particulier dans les organismes publics. Ainsi, elle a récemment organisé un événement intitulé HackXplor, ou premier hackathon du commerce international. Six équipes de jeunes développeurs étaient en lice pour trouver une application mobile au service des entreprises en quête de marchés internationaux. Pendant 30 heures, elles ont travaillé d'arrache-pied, encadrées par des mentors (spécialistes du commerce international, des technologies, du graphime...) venus des quatre coins du monde. Deux applications ont été récompensées. D'autres hackatons sont planifiés, notamment en marge du Forum mondial de la Langue française, que Liège accueillera du 21 au 25 juillet 2015.
Enfin, la Cité est impliquée dans une initiative de WBI intitulée "Welcome Office for Movies". Progammée pour cette fin d'année 2014, elle vise à organiser des structures d'accueil pour tournages de films, notamment au Congo et au Burkina, dont les paysages sont très prisés par les réalisateurs. Cette foison de projets n'est pas synonyme de dissipation: "Nous ne cherchons pas à papillonner, mais à créer la confiance entre les acteurs", conclut la directrice. "Nous voulons surtout réagir vite aux évolutions du monde, c'est pourquoi nous voulons rester une structure légère et mobile". Et surtout anticipatrice.
Cet article est tiré de la Revue W+B 125, à laquelle vous pouvez vous abonner gratuitement.
Retour au débutOn a beau s'appeler Cité Internationale, on peut se la jouer modeste. Pour la dénicher à Liège, il faut arpenter la Rue de Pitteurs, franchir la lourde porte de l'Institut d'Anatomie de l'ULg (qui a mis des locaux à disposition), et on y est! Passé le choc du flamboyant décor néogothique, on découvre un espace restreint, mais lumineux et fonctionnel: c'est de là que le trio qui officie aux destinées de la Cité Internationale Wallonie-Bruxelles (CIWB), sous la houlette de Yadranka Zorica, lance ses projets avec pour devise "une Wallonie proactive, cosmopolite et créatrice de nouvelles opportunités à l'international", en particulier avec l'Afrique.
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Des partenariats durables
Modeste, mais non dénuée d'ambitions: la Cité, asbl composée de WBI, l'Awex, l'Apefe et l'Ulg, vise à encourager des partenariats durables et la diversité culturelle comme "facteurs déterminants du développement d'activités et d'emplois". Concrètement? Yadranka Zorica évoque en premier lieu les séminaires organisés dans le cadre du programme Explort de l'Awex, "afin d'explorer de nouveaux marchés en créant des liens privilégiés grâce à la diaspora présente en Wallonie". La Roumanie et la République démocratique du Congo ont été les pays-cibles des deux dernières sessions où se retrouvent étudiants (qui peuvent postuler dans des "stages Explort"), entreprises et intervenants du pays concerné. Suivront bientôt la Corée du Sud, le Mexique et le Ghana.
Du coup, l'apprentissage des langues prend toute son importance. Depuis 2013, une "Arabe Académie" dispense à Liège des cours gratuits à destination des entreprises exportatrices et surtout des jeunes, demandeurs d'emploi ou non, qui ont un projet en relation avec le monde arabe. Objectif: accéder en une dizaine de semaines à un niveau débutant ou intermédiaire. Les leçons sont assorties de conférences sur l'économie, la culture, le système bancaire, les "printemps arabes"... C'est bientôt le tour de la langue de Tolstoï: en collaboration avec l'Université de Mons, une première "Russe Académie" prendra ses quartiers à Bruxelles du 7 octobre au 18 décembre 2014.
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Une plateforme web entre le Nord et le Sud
C'est surtout par les nouvelles technologies que la Cité veut donner de la valeur ajoutée à ses projets. Parmi ceux-ci, la "plateforme web inter-entreprises Wallonie-Afrique de l'Ouest", dans le droit fil des actions déjà organisées avec des partenaires du Bénin, du Burkina Faso, du Sénégal et des pays environnants. Elle héberge toute information jugée utile au niveaux international (cadre législatif, climat des affaires...) comme national (par exemple les possibilités de formation sur place). Une de ses particularités est de donner une plus grande visibilité aux instruments financiers existants, notamment européens.
La CIWB vise surtout à tester de nouvelles pratiques, qui soient transférables en Wallonie et à l'étranger, en particulier dans les organismes publics. Ainsi, elle a récemment organisé un événement intitulé HackXplor, ou premier hackathon du commerce international. Six équipes de jeunes développeurs étaient en lice pour trouver une application mobile au service des entreprises en quête de marchés internationaux. Pendant 30 heures, elles ont travaillé d'arrache-pied, encadrées par des mentors (spécialistes du commerce international, des technologies, du graphime...) venus des quatre coins du monde. Deux applications ont été récompensées. D'autres hackatons sont planifiés, notamment en marge du Forum mondial de la Langue française, que Liège accueillera du 21 au 25 juillet 2015.
Enfin, la Cité est impliquée dans une initiative de WBI intitulée "Welcome Office for Movies". Progammée pour cette fin d'année 2014, elle vise à organiser des structures d'accueil pour tournages de films, notamment au Congo et au Burkina, dont les paysages sont très prisés par les réalisateurs. Cette foison de projets n'est pas synonyme de dissipation: "Nous ne cherchons pas à papillonner, mais à créer la confiance entre les acteurs", conclut la directrice. "Nous voulons surtout réagir vite aux évolutions du monde, c'est pourquoi nous voulons rester une structure légère et mobile". Et surtout anticipatrice.
Cet article est tiré de la Revue W+B 125, à laquelle vous pouvez vous abonner gratuitement.
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Ex-gouverneure générale du Canada, Michaëlle Jean, 57 ans, souhaite donner une nouvelle impulsion à la Francophonie.
"Je mesure la tâche qui m'attend et je veillerai à prendre grand soin de l'héritage que nous lègue le président Diouf. J'entends répondre aux besoins et aux attentes des Etats et gouvernements membres de l'OIF tout en donnant une nouvelle impulsion à la Francophonie", souligne-t-elle dans un communiqué.
Michaëlle Jean est la première femme à accéder à ce poste. Elle succède à Abdou Diouf qui a dirigé l'OIF, instance qui compte 80 pays membres.
Ex-gouverneure générale du Canada, Michaëlle Jean, 57 ans, souhaite donner une nouvelle impulsion à la Francophonie.
"Je mesure la tâche qui m'attend et je veillerai à prendre grand soin de l'héritage que nous lègue le président Diouf. J'entends répondre aux besoins et aux attentes des Etats et gouvernements membres de l'OIF tout en donnant une nouvelle impulsion à la Francophonie", souligne-t-elle dans un communiqué.
Michaëlle Jean est la première femme à accéder à ce poste. Elle succède à Abdou Diouf qui a dirigé l'OIF, instance qui compte 80 pays membres.
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Objectif de l'aide
Les lecteurs de langue et littérature françaises sélectionnés par WBI sont appelés à :
- Dispenser des cours de langue et/ou de littérature française(s) de Belgique et des cours de français de spécialité de haut niveau, principalement dans les Universités ou dans les Ecoles de Traducteurs-Interprètes ;
- Être à l’étranger témoin de Wallonie-Bruxelles : promouvoir la langue et la culture françaises ainsi que l’image et les atouts de Wallonie-Bruxelles International dans un esprit d’intensification des relations culturelles, économiques et politiques avec les pays partenaires ;
- Apporter une collaboration à des activités répondant à cet esprit de coopération culturelle.
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Critères de recevabilité
Avoir un diplôme de Master II en philologie romane ou classique, de traducteur ou traducteur-interprète.
Plus d'infos quant à l'appel et aux formulaires à remplir.
Les candidatures sont attendues jusqu'au 31 décembre.
Objectif de l'aide
Les lecteurs de langue et littérature françaises sélectionnés par WBI sont appelés à :
- Dispenser des cours de langue et/ou de littérature française(s) de Belgique et des cours de français de spécialité de haut niveau, principalement dans les Universités ou dans les Ecoles de Traducteurs-Interprètes ;
- Être à l’étranger témoin de Wallonie-Bruxelles : promouvoir la langue et la culture françaises ainsi que l’image et les atouts de Wallonie-Bruxelles International dans un esprit d’intensification des relations culturelles, économiques et politiques avec les pays partenaires ;
- Apporter une collaboration à des activités répondant à cet esprit de coopération culturelle.
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Critères de recevabilité
Avoir un diplôme de Master II en philologie romane ou classique, de traducteur ou traducteur-interprète.
Plus d'infos quant à l'appel et aux formulaires à remplir.
Les candidatures sont attendues jusqu'au 31 décembre.
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Objectif de l'aide
Les formateurs en lycées bilingues sélectionnés par WBI sont appelés à :
- Enseigner le français ;
- Être à l’étranger témoin de Wallonie-Bruxelles : promouvoir la langue et la culture françaises ainsi que l’image et les atouts de Wallonie-Bruxelles International dans un esprit d’intensification des relations culturelles et politiques avec les pays partenaires ;
- Apporter une collaboration à des activités répondant à cet esprit de coopération culturelle.
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Critères de recevabilité
Avoir un diplôme de master II en philologie romane ou classique, ou de traducteur ou traducteur-interprète.
Plus d'infos quant à l'appel et aux formulaires à remplir.
Les candidatures sont attendues jusqu'au 31 décembre.
Objectif de l'aide
Les formateurs en lycées bilingues sélectionnés par WBI sont appelés à :
- Enseigner le français ;
- Être à l’étranger témoin de Wallonie-Bruxelles : promouvoir la langue et la culture françaises ainsi que l’image et les atouts de Wallonie-Bruxelles International dans un esprit d’intensification des relations culturelles et politiques avec les pays partenaires ;
- Apporter une collaboration à des activités répondant à cet esprit de coopération culturelle.
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Critères de recevabilité
Avoir un diplôme de master II en philologie romane ou classique, ou de traducteur ou traducteur-interprète.
Plus d'infos quant à l'appel et aux formulaires à remplir.
Les candidatures sont attendues jusqu'au 31 décembre.
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Après avoir remporté en 2011, le Grand Prix de la compétition internationale des Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM) avec son film "Territoire perdu", Pierre-Yves Vandeweerd vient de recevoir le Prix "Image" de la Compétition internationale longs métrages pour son film bouleversant "Les Tourmentes".
La tourmente est une tempête de neige qui désoriente et égare. Elle est aussi le nom donné à une mélancolie provoquée par la dureté et la longueur des hivers.Là où souffle la tourmente, des hommes érigèrent des clochers pour rappeler les égarés. Et des bergers, au gré de leurs transhumances, usèrent de leurs troupeaux pour invoquer des âmes perdues ou oubliés.Guidé par les sonnailles d’un troupeau et par les évocations des égarés, ce film est une traversée des tourmentes ; celles des montagnes et de l’hiver, des corps et des âmes, celles qui nous révèlent que ce que la nature ne peut obtenir de notre raison, elle l’obtient de notre folie.
Bande annonce: "Les Tourmentes"
Palmarès complet de la 17è édition.
Après avoir remporté en 2011, le Grand Prix de la compétition internationale des Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM) avec son film "Territoire perdu", Pierre-Yves Vandeweerd vient de recevoir le Prix "Image" de la Compétition internationale longs métrages pour son film bouleversant "Les Tourmentes".
La tourmente est une tempête de neige qui désoriente et égare. Elle est aussi le nom donné à une mélancolie provoquée par la dureté et la longueur des hivers.Là où souffle la tourmente, des hommes érigèrent des clochers pour rappeler les égarés. Et des bergers, au gré de leurs transhumances, usèrent de leurs troupeaux pour invoquer des âmes perdues ou oubliés.Guidé par les sonnailles d’un troupeau et par les évocations des égarés, ce film est une traversée des tourmentes ; celles des montagnes et de l’hiver, des corps et des âmes, celles qui nous révèlent que ce que la nature ne peut obtenir de notre raison, elle l’obtient de notre folie.
Bande annonce: "Les Tourmentes"
Palmarès complet de la 17è édition.
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Dans le cadre de la campagne "No Hate Speech Movement", initiée par le Conseil de l'Europe, l'asbl Loupiote a décidé de créer un nouvel outil pédagogique destiné à guider et accompagner les professionnels de l'éducation (enseignants, éducateurs, animateurs jeunesse ou pédagogues) dans un travail de sensibilisation du jeune public à une meilleure citoyenneté sur la toile et à un usage responsable d'Internet et des réseaux sociaux. En effet, si le cyber-harcèlement et la haine en ligne ne sont pas uniquement le fait des jeunes, ceux-ci sont très souvent touchés de plein fouet par cette problématique.
Intitulé Ce qui vous regarde... NO HATE, cet outil pédagogique se compose d'un DVD et d'un ouvrage basés sur plusieurs contenus audiovisuels produits par l'association Loupiote.
Pour mener à bien ce projet, Loupiote a bénéficié du soutien de plusieurs partenaires publics (Conseil de l'Europe, Fédération Wallonie-Bruxelles, Cocof, WBI, BIJ...). Plus de 1000 exemplaires ont été tirés, dont 250 commandés par le Conseil de l'Europe en vue d'inspirer les autres états membres. 800 autres exemplaires sont réservés au public belge francophone et destinés à être offerts aux enseignants ou éducateurs de la Fédération Wallonie-Bruxelles, sur simple demande.
L'équipe de l'asbl Loupiote propose aussi un module d'animation itinérant de 100 minutes, basé sur l'outil et destiné aux 12-18 ans.
Vous trouverez en pièces jointes le communiqué de presse, ainsi que le dossier de presse complet.
Dans le cadre de la campagne "No Hate Speech Movement", initiée par le Conseil de l'Europe, l'asbl Loupiote a décidé de créer un nouvel outil pédagogique destiné à guider et accompagner les professionnels de l'éducation (enseignants, éducateurs, animateurs jeunesse ou pédagogues) dans un travail de sensibilisation du jeune public à une meilleure citoyenneté sur la toile et à un usage responsable d'Internet et des réseaux sociaux. En effet, si le cyber-harcèlement et la haine en ligne ne sont pas uniquement le fait des jeunes, ceux-ci sont très souvent touchés de plein fouet par cette problématique.
Intitulé Ce qui vous regarde... NO HATE, cet outil pédagogique se compose d'un DVD et d'un ouvrage basés sur plusieurs contenus audiovisuels produits par l'association Loupiote.
Pour mener à bien ce projet, Loupiote a bénéficié du soutien de plusieurs partenaires publics (Conseil de l'Europe, Fédération Wallonie-Bruxelles, Cocof, WBI, BIJ...). Plus de 1000 exemplaires ont été tirés, dont 250 commandés par le Conseil de l'Europe en vue d'inspirer les autres états membres. 800 autres exemplaires sont réservés au public belge francophone et destinés à être offerts aux enseignants ou éducateurs de la Fédération Wallonie-Bruxelles, sur simple demande.
L'équipe de l'asbl Loupiote propose aussi un module d'animation itinérant de 100 minutes, basé sur l'outil et destiné aux 12-18 ans.
Vous trouverez en pièces jointes le communiqué de presse, ainsi que le dossier de presse complet.
Documents liés
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Objectif de l'aide
Les auxiliaires de conversation en langue française sélectionnés par WBI sont appelés à soutenir, en tant que locuteurs natifs, l’enseignement du français par les professeurs locaux. Ils consacrent en général douze à seize heures par semaine à l’enseignement de leur propre langue.
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Critères de recevabilité
Peuvent présenter leur candidature : les jeunes diplômés de l’enseignement supérieur, ainsi que les étudiants en possession d’un certificat de 2 années d’études réussies dans l’enseignement supérieur, organisé ou subventionné par la Fédération Wallonie-Bruxelles ayant des connaissances dans la langue du pays d’accueil (voir niveau exigé en fonction du pays dans le formulaire), étant résident en Belgique depuis au moins une année et âgés de moins de 30 ans (voir en fonction du pays dans le formulaire).
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Pays concernés
Allemagne, Autriche, Espagne, Italie, Pays-Bas, Royaume-Uni. Les candidats peuvent postuler pour 2 pays maximum.
Plus d'infos quant à l'appel et aux formulaires à remplir.
Les candidatures sont attendues jusqu'au 31 décembre.
Objectif de l'aide
Les auxiliaires de conversation en langue française sélectionnés par WBI sont appelés à soutenir, en tant que locuteurs natifs, l’enseignement du français par les professeurs locaux. Ils consacrent en général douze à seize heures par semaine à l’enseignement de leur propre langue.
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Critères de recevabilité
Peuvent présenter leur candidature : les jeunes diplômés de l’enseignement supérieur, ainsi que les étudiants en possession d’un certificat de 2 années d’études réussies dans l’enseignement supérieur, organisé ou subventionné par la Fédération Wallonie-Bruxelles ayant des connaissances dans la langue du pays d’accueil (voir niveau exigé en fonction du pays dans le formulaire), étant résident en Belgique depuis au moins une année et âgés de moins de 30 ans (voir en fonction du pays dans le formulaire).
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Allemagne, Autriche, Espagne, Italie, Pays-Bas, Royaume-Uni. Les candidats peuvent postuler pour 2 pays maximum.
Plus d'infos quant à l'appel et aux formulaires à remplir.
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Le Centre Régional Francophone de Recherches Avancées en Sciences Sociales (CEREFREA Villa Noël) lance le présent appel à candidatures qui s’adresse aux doctorants inscrits en deuxième année dans un établissement membre de l’Agence universitaire de la Francophonie et qui se proposent de faire une thèse dans le domaine large "Cultures et Sociétés".
Ce programme de bourses est financé principalement par l’AUF - BECO (Bureau Europe centrale et orientale) et donne la possibilité aux doctorants de bénéficier d’une bourse de cotutelle pour une période de 5 à 10 mois, à partir de janvier 2015.
Pour ce qui est des candidats de la Région Europe Centrale et Orientale, la cotutelle peut être réalisée dans tout établissement membre de l’AUF, que ce soit un établissement de la Région ou d’autres Régions.
Pour les candidats extérieurs à la Région, il est impératif que leurs recherches portent sur les sociétés et cultures de la Région et qu’ils commencent une cotutelle avec un directeur appartenant à l’Université de Bucarest, à la Nouvelle Université Bulgare, à l’Université Kliment Okhridski de Sofia ou à l’Université Pédagogique d’État de Chisinău.
L’Ecole doctorale en sciences sociales (EDSS, composante du CEREFREA) se charge d’assister les candidats dans la constitution de leur dossier de candidature.
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Domaines disciplinaires éligibles
- Anthropologie,
- Droit,
- Histoire,
- Journalisme et sciences de la communication,
- Lettres,
- Sciences politiques,
- Sociologie.
Documents pour le dossier de candidature
- le projet de recherche (3 à 5 pages, Arial 12, interligne simple),
- une lettre de motivation (intérêt de la recherche doctorale, retombées pour l’établissement d’origine du candidat, etc.),
- un curriculum vitae actualisé détaillant l’ensemble du cursus universitaire et la liste des publications, communications et rapports de recherche,
- l’accord du directeur de thèse à l’université d’origine, justifiant et argumentant la candidature sur le plan scientifique,
- attestation d’inscription en 2e année de thèse dans l’université d’origine en 2014-2015,
- attestation d’inscription (ou préinscription) dans l’université d’accueil en 2014-2015 ou l’accord du directeur de thèse (existant ou pressenti) à l’université d’accueil, justifiant et argumentant la candidature sur le plan scientifique,
- une copie du dernier diplôme d’études obtenu, traduit s’il n’est pas rédigé en français, et du relevé des notes correspondant, certifiés conformes.
Tous les autres documents sont obligatoires et doivent être rédigés en français.
Le dossier de candidature doit être envoyé en format Word, PDF ou JPEG, par courrier électronique à l’adresse edss@g.unibuc.ro , avant le 10 décembre 2014.
Les résultats seront communiqués le 15 décembre 2014.
Plus d'infos: edss@g.unibuc.ro
Le Centre Régional Francophone de Recherches Avancées en Sciences Sociales (CEREFREA Villa Noël) lance le présent appel à candidatures qui s’adresse aux doctorants inscrits en deuxième année dans un établissement membre de l’Agence universitaire de la Francophonie et qui se proposent de faire une thèse dans le domaine large "Cultures et Sociétés".
Ce programme de bourses est financé principalement par l’AUF - BECO (Bureau Europe centrale et orientale) et donne la possibilité aux doctorants de bénéficier d’une bourse de cotutelle pour une période de 5 à 10 mois, à partir de janvier 2015.
Pour ce qui est des candidats de la Région Europe Centrale et Orientale, la cotutelle peut être réalisée dans tout établissement membre de l’AUF, que ce soit un établissement de la Région ou d’autres Régions.
Pour les candidats extérieurs à la Région, il est impératif que leurs recherches portent sur les sociétés et cultures de la Région et qu’ils commencent une cotutelle avec un directeur appartenant à l’Université de Bucarest, à la Nouvelle Université Bulgare, à l’Université Kliment Okhridski de Sofia ou à l’Université Pédagogique d’État de Chisinău.
L’Ecole doctorale en sciences sociales (EDSS, composante du CEREFREA) se charge d’assister les candidats dans la constitution de leur dossier de candidature.
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Domaines disciplinaires éligibles
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- Droit,
- Histoire,
- Journalisme et sciences de la communication,
- Lettres,
- Sciences politiques,
- Sociologie.
Documents pour le dossier de candidature
- le projet de recherche (3 à 5 pages, Arial 12, interligne simple),
- une lettre de motivation (intérêt de la recherche doctorale, retombées pour l’établissement d’origine du candidat, etc.),
- un curriculum vitae actualisé détaillant l’ensemble du cursus universitaire et la liste des publications, communications et rapports de recherche,
- l’accord du directeur de thèse à l’université d’origine, justifiant et argumentant la candidature sur le plan scientifique,
- attestation d’inscription en 2e année de thèse dans l’université d’origine en 2014-2015,
- attestation d’inscription (ou préinscription) dans l’université d’accueil en 2014-2015 ou l’accord du directeur de thèse (existant ou pressenti) à l’université d’accueil, justifiant et argumentant la candidature sur le plan scientifique,
- une copie du dernier diplôme d’études obtenu, traduit s’il n’est pas rédigé en français, et du relevé des notes correspondant, certifiés conformes.
Tous les autres documents sont obligatoires et doivent être rédigés en français.
Le dossier de candidature doit être envoyé en format Word, PDF ou JPEG, par courrier électronique à l’adresse edss@g.unibuc.ro , avant le 10 décembre 2014.
Les résultats seront communiqués le 15 décembre 2014.
Plus d'infos: edss@g.unibuc.ro