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Se former en langue russe en 10 semaines

Cette année la Cité internationale Wallonie-Bruxelles (CIWB) lance la Russe Académie. Les partenaires de la CIWB sont l'AWEX, le Département traduction et interprétation de l'Université de Mons (UMons), et le FOREM.



Il s’agit d’une formation courte en langue russe à Bruxelles du 7 octobre au 18 décembre destinée aux jeunes, aux demandeurs d’emploi et aussi aux entreprises exportatrices. Un cycle de conférences sur la culture, l’économie, l’histoire du monde russe est organisé lors des cours avec des intervenants belges mais surtout étrangers.

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Lieu

AWEX Bruxelles  : 2 Place Sainctelette – 1080 Bruxelles.

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Contact

Cassandre Laurent  : 04/ 242 77 11, c.laurent@ciwb.be

 

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Se former en langue russe en 10 semaines

Cette année la Cité internationale Wallonie-Bruxelles (CIWB) lance la Russe Académie. Les partenaires de la CIWB sont l'AWEX, le Département traduction et interprétation de l'Université de Mons (UMons), et le FOREM.



Il s’agit d’une formation courte en langue russe à Bruxelles du 7 octobre au 18 décembre destinée aux jeunes, aux demandeurs d’emploi et aussi aux entreprises exportatrices. Un cycle de conférences sur la culture, l’économie, l’histoire du monde russe est organisé lors des cours avec des intervenants belges mais surtout étrangers.

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AWEX Bruxelles  : 2 Place Sainctelette – 1080 Bruxelles.

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Cassandre Laurent  : 04/ 242 77 11, c.laurent@ciwb.be

 

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10 semaines avec la langue arabe standard

La Cité internationale Wallonie-Bruxelles (CIWB) lance la 3e édition de l’Arabe Académie.  Il s’agit d’une formation courte en langue arabe à Liège à partir du 2 octobre jusqu’au 19 décembre destinée aux jeunes, aux demandeurs d’emploi, et aux entreprises exportatrices.

 

Un cycle de conférences sur la culture, l’économie, et l’histoire du monde arabe  est organisé lors des cours avec des intervenants belges mais surtout étrangers. Les partenaires de la CIWB sont l'AWEX, l'Université de Liège, le FOREM.

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Lieu

Université de Liège : ancien bâtiment Anatomie (L3) Rue de Pitteurs 20, 4020 Liège.

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Contact

Cassandre Laurent : 04/242 77 11, c.laurent@ciwb.be
 

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10 semaines avec la langue arabe standard

La Cité internationale Wallonie-Bruxelles (CIWB) lance la 3e édition de l’Arabe Académie.  Il s’agit d’une formation courte en langue arabe à Liège à partir du 2 octobre jusqu’au 19 décembre destinée aux jeunes, aux demandeurs d’emploi, et aux entreprises exportatrices.

 

Un cycle de conférences sur la culture, l’économie, et l’histoire du monde arabe  est organisé lors des cours avec des intervenants belges mais surtout étrangers. Les partenaires de la CIWB sont l'AWEX, l'Université de Liège, le FOREM.

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Lieu

Université de Liège : ancien bâtiment Anatomie (L3) Rue de Pitteurs 20, 4020 Liège.

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Contact

Cassandre Laurent : 04/242 77 11, c.laurent@ciwb.be
 

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"The Fringe" est un immense festival rassemblant plus de 2500 représentations de théâtre, de musique, de danse, de spectacle vivant et de théâtre de rue durant tout le mois d'août.

 

Cette année, avec l'aide de Wallonie-Bruxelles Théâtre/Danse, le cirque de Wallonie-Bruxelles est mis à l'honneur avec la pièce "L’Enfant qui…", de la Compagnie Théâtre d'un jour, nominée comme meilleur spectacle.

 

La pièce s’inspire des premières années de la vie du sculpteur Jephan de Villiers. La vision toute en sensibilité et en poésie qu’un enfant pressent face à une Terre et une Humanité sans cesse bafouées par l’Homme. A la limite entre le monde réel et imaginaire dans un jeu d’apparition/disparition incessant où la narration est à découvrir au travers de l’expérience de cet enfant longtemps considéré comme inadapté au monde !

 

Les résultats sont attendus pour le 21 août.

 


 

"The Fringe" est un immense festival rassemblant plus de 2500 représentations de théâtre, de musique, de danse, de spectacle vivant et de théâtre de rue durant tout le mois d'août.

 

Cette année, avec l'aide de Wallonie-Bruxelles Théâtre/Danse, le cirque de Wallonie-Bruxelles est mis à l'honneur avec la pièce "L’Enfant qui…", de la Compagnie Théâtre d'un jour, nominée comme meilleur spectacle.

 

La pièce s’inspire des premières années de la vie du sculpteur Jephan de Villiers. La vision toute en sensibilité et en poésie qu’un enfant pressent face à une Terre et une Humanité sans cesse bafouées par l’Homme. A la limite entre le monde réel et imaginaire dans un jeu d’apparition/disparition incessant où la narration est à découvrir au travers de l’expérience de cet enfant longtemps considéré comme inadapté au monde !

 

Les résultats sont attendus pour le 21 août.

 


 

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Copyright Fotolia

L'ETAC est un projet soutenu par l’Eurorégion Pyrénées Méditerranée, dans le cadre de l'appel à projets CULTURE 2013. Il a pour objectif de créer une structure de coopération entre les centres d’arts visuels contemporains. Il constitue une plateforme pour générer de nouveaux publics pour l'art contemporain et établir un programme de résidence pour les artistes.

 

Les résidences permettront de développer les possibilités des artistes et de travailler dans au moins deux des espaces transfrontaliers, ouvert aux artistes de l’Eurorégion et aux artistes internationaux. Il existe 5 centres d'art de l'Eurorégion:

- Catalogne: Centre d'art contemporain à Bolit et le Musée de l'Emporda;

- Midi-Pyrénées: Centre d'Art Le Lait à Albi;

- Languedoc-Roussillon: La Panacée à Montpellier;

- Iles Baléares: Centre d'art contemporani d'Alaro.

 

Les artistes intéressés doivent soumettre leur curriculum vitae et un projet de recherche pour le 26 septembre. Ils devront également proposer des pistes d'activités à destination des publics et envisager de transmettre une documentation sur le processus créatif développé.

 

En savoir plus sur les modalités d'inscriptions.

 

L'ETAC est un projet soutenu par l’Eurorégion Pyrénées Méditerranée, dans le cadre de l'appel à projets CULTURE 2013. Il a pour objectif de créer une structure de coopération entre les centres d’arts visuels contemporains. Il constitue une plateforme pour générer de nouveaux publics pour l'art contemporain et établir un programme de résidence pour les artistes.

 

Les résidences permettront de développer les possibilités des artistes et de travailler dans au moins deux des espaces transfrontaliers, ouvert aux artistes de l’Eurorégion et aux artistes internationaux. Il existe 5 centres d'art de l'Eurorégion:

- Catalogne: Centre d'art contemporain à Bolit et le Musée de l'Emporda;

- Midi-Pyrénées: Centre d'Art Le Lait à Albi;

- Languedoc-Roussillon: La Panacée à Montpellier;

- Iles Baléares: Centre d'art contemporani d'Alaro.

 

Les artistes intéressés doivent soumettre leur curriculum vitae et un projet de recherche pour le 26 septembre. Ils devront également proposer des pistes d'activités à destination des publics et envisager de transmettre une documentation sur le processus créatif développé.

 

En savoir plus sur les modalités d'inscriptions.

 

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Présenté en avant première mondiale lors du festival, "Before we go" de Jorge León, s’est vu primé par deux fois. Le documentaire, produit par Dérives, repart avec le Prix Renaud Victor, dont le jury est composé de détenus du Centre Pénitentiaire des Baumettes qui ont assisté à l’ensemble des séances proposées à l’intérieur du centre pénitentiaire. Il remporte également le Prix du groupement national des cinémas de recherche (GNCR), attribué par un jury d’exploitants. Le Prix est doté par le GNCR dans le cadre d’un soutien financier à la distribution.

 

Before we go se déroule à l'Opéra de la Monnaie, à Bruxelles. Trois personnes en fin de vie rencontrent des chorégraphes, acteurs et musiciens. Ils participent à une expérience unique où se mêlent musique, danse et silence. Ensemble, ils questionnent leur propre rapport à la mort.

 

Trailer "Before we go"

 

 

 

Par ailleurs, Jorge León s’est vu attribuer le Prix de la Fondation Camargo au FIDLAB pour son projet documentaire "Mitra – Events Unfolding". Ce prix permettra une résidence de 4 à 8 semaines.

 

Dans la compétition internationale, le jury, présidé par le réalisateur chinois Wang Bing, a attribué une mention spéciale au film "I comme Iran" de Sanaz Azari. Le film, produit par le CVB, se déroule dans une salle de classe de Bruxelles, où à partir d'un manuel datant de la révolution islamique, la réalisatrice apprend à lire et écrire le persan, sa langue maternelle.

 

Enfin une coproduction belgo-anglo-américaine, "Ming of Harlem, Twenty one storeys in the air", a remporté le Prix Georges De Beauregard International.
 

Présenté en avant première mondiale lors du festival, "Before we go" de Jorge León, s’est vu primé par deux fois. Le documentaire, produit par Dérives, repart avec le Prix Renaud Victor, dont le jury est composé de détenus du Centre Pénitentiaire des Baumettes qui ont assisté à l’ensemble des séances proposées à l’intérieur du centre pénitentiaire. Il remporte également le Prix du groupement national des cinémas de recherche (GNCR), attribué par un jury d’exploitants. Le Prix est doté par le GNCR dans le cadre d’un soutien financier à la distribution.

 

Before we go se déroule à l'Opéra de la Monnaie, à Bruxelles. Trois personnes en fin de vie rencontrent des chorégraphes, acteurs et musiciens. Ils participent à une expérience unique où se mêlent musique, danse et silence. Ensemble, ils questionnent leur propre rapport à la mort.

 

Trailer "Before we go"

 

 

 

Par ailleurs, Jorge León s’est vu attribuer le Prix de la Fondation Camargo au FIDLAB pour son projet documentaire "Mitra – Events Unfolding". Ce prix permettra une résidence de 4 à 8 semaines.

 

Dans la compétition internationale, le jury, présidé par le réalisateur chinois Wang Bing, a attribué une mention spéciale au film "I comme Iran" de Sanaz Azari. Le film, produit par le CVB, se déroule dans une salle de classe de Bruxelles, où à partir d'un manuel datant de la révolution islamique, la réalisatrice apprend à lire et écrire le persan, sa langue maternelle.

 

Enfin une coproduction belgo-anglo-américaine, "Ming of Harlem, Twenty one storeys in the air", a remporté le Prix Georges De Beauregard International.
 

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Commémoration de la Première Guerre Mondiale à l'ONU New York

Des poèmes pour commémorer 14-18 


Dans le cadre de sa présidence mensuelle du Conseil de sécurité et afin de commémorer le centenaire de la Première Guerre mondiale, le Royaume-Uni a lancé le 04/08 l’exposition " Poèmes de la Première Guerre mondiale à l’ONU" au siège de l’Organisation, à New York.  Occupant un espace de quelque 120 m², l’exposition comprend un ensemble de 13 panneaux mettant en valeur, photos à l’appui, les créations artistiques de poètes et/ou de soldats ayant parfois laissé leur vie au combat de la Grande Guerre.  Des textes beaux où la simplicité de la vie et la brutalité de la guerre s’entrechoquent et qui décrivent un sort commun au soldat, qu’il soit d’un camp ou d’un autre. 

 

Pour la Belgique, deux poèmes sont ainsi exposés dans leurs langues originelles ainsi qu’en anglais : "La Patrie au soldats mort" du Prix Nobel de Littérature Emile VERHAEREN (1916) et "In de loopgraaf van den dood" de Daan BOENS (1918).  Un code QR permet aux visiteurs d’accéder par smartphone aux versions audio en langue originale et en anglais de chaque poème. 

 

Les ambassadeurs de 14 pays membres de l'ONU ont commémoré le centenaire de la Première guerre mondiale en enregistrant, avec plus ou moins de style et de conviction, des poèmes consacrés à ce qui devait être "la der des ders". Les poètes choisis sont pour la plupart européens, de l'Autrichien Georg Trakl au Français Louis Aragon en passant par le Belge Emile Verhaeren, mais viennent aussi d'Afrique du sud, d'Inde, d'Australie et de Nouvelle-Zélande. 

 

Cette initiative britannique fait l'objet une présentation de 2 semaines. L'ambassadeur britannique Mark Lyall Grant, qui préside le Conseil de sécurité en août, a choisi "Dulce et Decorum" de Wilfred Owen, qui décrit une attaque au gaz dans les tranchées.  L'ambassadrice américaine Samantha Power a lu "I Have a RendezVous with Deathd'Alan Seeger, un Américain tué en 1916 pendant la Bataille de la Somme alors qu'il servait dans la Légion étrangère. Son homologue français Gérard Araud a récité "La guerre et ce qui s'ensuivit", un texte de Louis Aragon mis en chanson par Léo Ferré. L'ambassadeur russe Vitali Tchourkine a ajouté au poème de Nikolai Gumilev "Assaut" une photo de son grand-père, qui a combattu dans l'artillerie en 14-18. Les diplomates ont enregistré leurs textes en juillet.

 

Ecouter les poèmes

Des poèmes pour commémorer 14-18 


Dans le cadre de sa présidence mensuelle du Conseil de sécurité et afin de commémorer le centenaire de la Première Guerre mondiale, le Royaume-Uni a lancé le 04/08 l’exposition " Poèmes de la Première Guerre mondiale à l’ONU" au siège de l’Organisation, à New York.  Occupant un espace de quelque 120 m², l’exposition comprend un ensemble de 13 panneaux mettant en valeur, photos à l’appui, les créations artistiques de poètes et/ou de soldats ayant parfois laissé leur vie au combat de la Grande Guerre.  Des textes beaux où la simplicité de la vie et la brutalité de la guerre s’entrechoquent et qui décrivent un sort commun au soldat, qu’il soit d’un camp ou d’un autre. 

 

Pour la Belgique, deux poèmes sont ainsi exposés dans leurs langues originelles ainsi qu’en anglais : "La Patrie au soldats mort" du Prix Nobel de Littérature Emile VERHAEREN (1916) et "In de loopgraaf van den dood" de Daan BOENS (1918).  Un code QR permet aux visiteurs d’accéder par smartphone aux versions audio en langue originale et en anglais de chaque poème. 

 

Les ambassadeurs de 14 pays membres de l'ONU ont commémoré le centenaire de la Première guerre mondiale en enregistrant, avec plus ou moins de style et de conviction, des poèmes consacrés à ce qui devait être "la der des ders". Les poètes choisis sont pour la plupart européens, de l'Autrichien Georg Trakl au Français Louis Aragon en passant par le Belge Emile Verhaeren, mais viennent aussi d'Afrique du sud, d'Inde, d'Australie et de Nouvelle-Zélande. 

 

Cette initiative britannique fait l'objet une présentation de 2 semaines. L'ambassadeur britannique Mark Lyall Grant, qui préside le Conseil de sécurité en août, a choisi "Dulce et Decorum" de Wilfred Owen, qui décrit une attaque au gaz dans les tranchées.  L'ambassadrice américaine Samantha Power a lu "I Have a RendezVous with Deathd'Alan Seeger, un Américain tué en 1916 pendant la Bataille de la Somme alors qu'il servait dans la Légion étrangère. Son homologue français Gérard Araud a récité "La guerre et ce qui s'ensuivit", un texte de Louis Aragon mis en chanson par Léo Ferré. L'ambassadeur russe Vitali Tchourkine a ajouté au poème de Nikolai Gumilev "Assaut" une photo de son grand-père, qui a combattu dans l'artillerie en 14-18. Les diplomates ont enregistré leurs textes en juillet.

 

Ecouter les poèmes

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Biennale internationale d'estampe contemporaine de Trois-Rivières

La Biennale internationale d'estampe contemporaine de Trois-Rivières (BIECTR) organise, pour sa 9ème édition, un projet international, évolutif et collectif d’oeuvres imprimées. L’idée est de réunir un grand nombre de boîtes, imprimées par plusieurs artistes graveurs, selon différentes techniques en estampe. Chaque petite forme-boîte représentera l’imaginaire de son auteur. La BIECTR présentera l'ensemble des boites imprimées sous la forme d’une installation, au sol ou dans l’espace, à la prochaine édition de la Biennale d’Estampe.

 

La BIECTR s’adresse aux artistes estampiers, aux professeurs de gravure et à leurs étudiants. Ce projet collectif ludique aura comme finalité une exposition à Trois-Rivières dans le cadre de Melancholia, le prochain colloque de 2015, mais aussi une présentation en Belgique grâce à la collaboration de l’artiste Kikie Crêvecoeur. Déjà plus de 500 boîtes ont été distribuées aux États-Unis, au Québec et dans différentes régions du Canada, en Serbie, en Colombie, à Taiwan et en Belgique. La BIECTR souhaite avoir des centaines de participants à travers le monde.


L’expression "Ferme ta boîte" est directement liée à la culture québécoise. On l’utilise pour dire cavalièrement à l’autre de se taire. L’expression viendrait du temps des premiers téléphones qui étaient branchés en série. Ces téléphones d’époque étaient appelés boîtes - téléphoniques. A la campagne par exemple, il pouvait y avoir jusqu'à 10 téléphones branchés sur la même ligne. Pour savoir a qui était destiné l’appel, on actionnait une manivelle qui produisait un son entendu pas tous les utilisateurs du rang en question. Celui qui reconnaissait la sonnerie qui lui était attribuée répondait à l’appel. Comme on entendait décrocher la ligne de celui ou celle qui écoutait illégalement, on disait : "Imelda, je sais que tu écoutes, ferme donc ta boîte". Le sens de "ferme ta boîte" qui voulait dire à l’origine "arrête d’écouter" s’est transformé en "arrête de parler".  Pour ce projet de création, utiliser la métaphore de l’expression,  apparaît fort intéressante pour stimuler l’imaginaire des artistes.

 

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Comment participer ?

Artistes, si vous souhaitez participer au projet, la BIECTR enverra deux boîtes ou plus, pour une commande pour un groupe d’artistes ou d’étudiants.  Le choix est libre pour l'utilisation de toutes les surfaces du cube, ou d'une seule. Imprimez et signez du côté des lignes noires. Inscrivez votre nom, ville, pays à la mine à l’endos de la boîte.


Lorsque le projet est prêt, il faut l'envoyer à plat, non montée, à l’adresse suivante : 58 rue Raymond-Lasnier, Trois-Rivières, Québec, G9A 2J6, Canada. Téléphone : 819-370-1117. 

Il faut aussi remettre l’autre boîte à la personne responsable du projet en Wallonie-Brxuelles. La version belge complète de toutes les boîtes fera l’objet d’une installation (dans un lieu qui n’est pas encore précisé en Belgique). Cette installation sera inscrite comme projet parallèle à la 9e édition de la Biennale internationale d’estampe contemporaine de Trois-Rivières.

 

La date limite de réception des boîtes est le 15 janvier 2015. Ne pas oublier de signer les oeuvres et de renvoyer la fiche technique.

 

Plus d'infos : UQTR, BIECTR

 

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Contact :

  • Jo Ann Lanneville, Présidente BIECTR  info@biectr.ca ;
  • Kikie Crêvecoeur, responsable pour Wallonie-Bruxelles,  6, rue Major Brück 1170 Bruxelles, Belgique.
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La Biennale internationale d'estampe contemporaine de Trois-Rivières (BIECTR) organise, pour sa 9ème édition, un projet international, évolutif et collectif d’oeuvres imprimées. L’idée est de réunir un grand nombre de boîtes, imprimées par plusieurs artistes graveurs, selon différentes techniques en estampe. Chaque petite forme-boîte représentera l’imaginaire de son auteur. La BIECTR présentera l'ensemble des boites imprimées sous la forme d’une installation, au sol ou dans l’espace, à la prochaine édition de la Biennale d’Estampe.

 

La BIECTR s’adresse aux artistes estampiers, aux professeurs de gravure et à leurs étudiants. Ce projet collectif ludique aura comme finalité une exposition à Trois-Rivières dans le cadre de Melancholia, le prochain colloque de 2015, mais aussi une présentation en Belgique grâce à la collaboration de l’artiste Kikie Crêvecoeur. Déjà plus de 500 boîtes ont été distribuées aux États-Unis, au Québec et dans différentes régions du Canada, en Serbie, en Colombie, à Taiwan et en Belgique. La BIECTR souhaite avoir des centaines de participants à travers le monde.


L’expression "Ferme ta boîte" est directement liée à la culture québécoise. On l’utilise pour dire cavalièrement à l’autre de se taire. L’expression viendrait du temps des premiers téléphones qui étaient branchés en série. Ces téléphones d’époque étaient appelés boîtes - téléphoniques. A la campagne par exemple, il pouvait y avoir jusqu'à 10 téléphones branchés sur la même ligne. Pour savoir a qui était destiné l’appel, on actionnait une manivelle qui produisait un son entendu pas tous les utilisateurs du rang en question. Celui qui reconnaissait la sonnerie qui lui était attribuée répondait à l’appel. Comme on entendait décrocher la ligne de celui ou celle qui écoutait illégalement, on disait : "Imelda, je sais que tu écoutes, ferme donc ta boîte". Le sens de "ferme ta boîte" qui voulait dire à l’origine "arrête d’écouter" s’est transformé en "arrête de parler".  Pour ce projet de création, utiliser la métaphore de l’expression,  apparaît fort intéressante pour stimuler l’imaginaire des artistes.

 

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Comment participer ?

Artistes, si vous souhaitez participer au projet, la BIECTR enverra deux boîtes ou plus, pour une commande pour un groupe d’artistes ou d’étudiants.  Le choix est libre pour l'utilisation de toutes les surfaces du cube, ou d'une seule. Imprimez et signez du côté des lignes noires. Inscrivez votre nom, ville, pays à la mine à l’endos de la boîte.


Lorsque le projet est prêt, il faut l'envoyer à plat, non montée, à l’adresse suivante : 58 rue Raymond-Lasnier, Trois-Rivières, Québec, G9A 2J6, Canada. Téléphone : 819-370-1117. 

Il faut aussi remettre l’autre boîte à la personne responsable du projet en Wallonie-Brxuelles. La version belge complète de toutes les boîtes fera l’objet d’une installation (dans un lieu qui n’est pas encore précisé en Belgique). Cette installation sera inscrite comme projet parallèle à la 9e édition de la Biennale internationale d’estampe contemporaine de Trois-Rivières.

 

La date limite de réception des boîtes est le 15 janvier 2015. Ne pas oublier de signer les oeuvres et de renvoyer la fiche technique.

 

Plus d'infos : UQTR, BIECTR

 

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Contact :

  • Jo Ann Lanneville, Présidente BIECTR  info@biectr.ca ;
  • Kikie Crêvecoeur, responsable pour Wallonie-Bruxelles,  6, rue Major Brück 1170 Bruxelles, Belgique.
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Documents liés

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Copyright J. Van Belle

Né en 1983 à Verviers, Fabrice Murgia est un metteur en scène, auteur et comédien belge formé au Conservatoire de Liège. Résolument contemporaines, ses pièces témoignent d’un souci de mettre sur les plateaux des problématiques sociétales du XXIe siècle (la solitude qui pousse au crime ou au suicide, les travers des outils technologiques qui, censés nous permettre de communiquer, nous entravent, nous isolent).  

 

La Compagnie Artara regroupe un ensemble de performers, vidéastes, plasticiens et musiciens autour de ses créations – soucieux de témoigner du monde avec le regard et le langage de leur génération.

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Regards sur une jeune carrière

En 2009, Fabrice Murgia écrit et met en scène son premier spectacle, "Le chagrin des Ogres", pour le Festival de Liège. Il devient alors artiste associé du Théâtre National de Bruxelles. C'est dans ce cadre, et en coproduction avec le Festival de Liège, l'Ancre et la Maison de la Culture de Tournai qu'il crée les deux spectacles suivants: "LIFE:RESET / Chronique d'une ville épuisée", pièce muette, et "Dieu est un DJ", adapté du texte de Falk Richter, présenté au Festival PERSPECTIVES en 2011. Ces deux créations témoignent d'un discours générationnel, un rapport singulier au monde, un regard, un point de vue sur l'actualité d'une jeunesse dont est issue Fabrice Murgia.

 

En janvier 2012, l'artiste dévoile sa création "Exils", un spectacle qui ouvre l’ambitieux projet européen "Villes en scène / Cities on stage" qui réunit sept metteurs en scène européens autour de la question du "vivre ensemble" et de la multiculturalité dans les villes européennes. "Exils" c’est, au delà de la dimension politique, la tentative de représenter le sentiment d’exils de nos vies, effacement derrière un système.


En avril 2012, Murgia créé "Les enfants de Jéhovah" au Théâtre Vidy-Lausanne. Il s'attaque au sujet de la dérive sectaire. Inspiré par une lointaine histoire familiale, le jeune metteur en scène tente de comprendre la mécanique et les effets de l'endoctrinement chez les Témoins.


En juillet 2014, il participe au Festival In d'Avignon et présente sa nouvelle création "Notre peur de n'être", celle -ci reçoit un franc succès.
 

 

 

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Né en 1983 à Verviers, Fabrice Murgia est un metteur en scène, auteur et comédien belge formé au Conservatoire de Liège. Résolument contemporaines, ses pièces témoignent d’un souci de mettre sur les plateaux des problématiques sociétales du XXIe siècle (la solitude qui pousse au crime ou au suicide, les travers des outils technologiques qui, censés nous permettre de communiquer, nous entravent, nous isolent).  

 

La Compagnie Artara regroupe un ensemble de performers, vidéastes, plasticiens et musiciens autour de ses créations – soucieux de témoigner du monde avec le regard et le langage de leur génération.

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Regards sur une jeune carrière

En 2009, Fabrice Murgia écrit et met en scène son premier spectacle, "Le chagrin des Ogres", pour le Festival de Liège. Il devient alors artiste associé du Théâtre National de Bruxelles. C'est dans ce cadre, et en coproduction avec le Festival de Liège, l'Ancre et la Maison de la Culture de Tournai qu'il crée les deux spectacles suivants: "LIFE:RESET / Chronique d'une ville épuisée", pièce muette, et "Dieu est un DJ", adapté du texte de Falk Richter, présenté au Festival PERSPECTIVES en 2011. Ces deux créations témoignent d'un discours générationnel, un rapport singulier au monde, un regard, un point de vue sur l'actualité d'une jeunesse dont est issue Fabrice Murgia.

 

En janvier 2012, l'artiste dévoile sa création "Exils", un spectacle qui ouvre l’ambitieux projet européen "Villes en scène / Cities on stage" qui réunit sept metteurs en scène européens autour de la question du "vivre ensemble" et de la multiculturalité dans les villes européennes. "Exils" c’est, au delà de la dimension politique, la tentative de représenter le sentiment d’exils de nos vies, effacement derrière un système.


En avril 2012, Murgia créé "Les enfants de Jéhovah" au Théâtre Vidy-Lausanne. Il s'attaque au sujet de la dérive sectaire. Inspiré par une lointaine histoire familiale, le jeune metteur en scène tente de comprendre la mécanique et les effets de l'endoctrinement chez les Témoins.


En juillet 2014, il participe au Festival In d'Avignon et présente sa nouvelle création "Notre peur de n'être", celle -ci reçoit un franc succès.
 

 

 

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Bastogne War Museum

Bastogne, lieu de mémoire

 

L'exposition "Texas Aggies go to War" sera inaugurée le 12 décembre 2014 au Bastogne War Museum. Elle est dédiée à la participation de soldats issus de l’université de Texas A&M à la Bataille des Ardennes, dont on fêtera le 70ème anniversaire.  En 2016, l’exposition quittera la Wallonie pour le Texas. Soulignons les liens étroits, notamment économiques entre les deux régions. 

 

 

Le 22 mars 2014, le Bastogne War Museum, nouveau lieu de mémoire consacré à la Seconde Guerre mondiale a ouvert ses portes à deux pas du célèbre Mémorial du Mardasson.  Le Bastogne War Museum se trouve au sein d’un bâtiment flambant neuf à l’architecture audacieuse.  Au-delà de la présentation de nombreux objets, ce musée révèle surtout un endroit où l’émotion prime.

Sur plus de 2.000 m², le Bastogne War Museum présente une scénographie et une remise en contexte moderne et interactive des causes, événements et conséquences de la Seconde Guerre mondiale au travers du prisme de la bataille des Ardennes.

 

La petite histoire de 4 personnages - un enfant de Bastogne, son institutrice, un GI et un jeune lieutenant allemand -  permet au visiteur de toucher à la réalité de la Grande Histoire.  Sur le parcours, le visiteur écoute les témoignages de militaires et de civils grâce à un audio-guide.

Trois scénographies, replongent le visiteur dans l’ambiance de la guerre : les circonstances du conflit, les GI’s dans une forêt en décembre 44 et une scène d’effroi dans un estaminet, puis une cave, à Bastogne avec le défilement des chars et les bombardements.

 

 

Plus d'infos : Bastogne War Museum , Wallonia.be, Aggies go to War

 

 

 

Bastogne, lieu de mémoire

 

L'exposition "Texas Aggies go to War" sera inaugurée le 12 décembre 2014 au Bastogne War Museum. Elle est dédiée à la participation de soldats issus de l’université de Texas A&M à la Bataille des Ardennes, dont on fêtera le 70ème anniversaire.  En 2016, l’exposition quittera la Wallonie pour le Texas. Soulignons les liens étroits, notamment économiques entre les deux régions. 

 

 

Le 22 mars 2014, le Bastogne War Museum, nouveau lieu de mémoire consacré à la Seconde Guerre mondiale a ouvert ses portes à deux pas du célèbre Mémorial du Mardasson.  Le Bastogne War Museum se trouve au sein d’un bâtiment flambant neuf à l’architecture audacieuse.  Au-delà de la présentation de nombreux objets, ce musée révèle surtout un endroit où l’émotion prime.

Sur plus de 2.000 m², le Bastogne War Museum présente une scénographie et une remise en contexte moderne et interactive des causes, événements et conséquences de la Seconde Guerre mondiale au travers du prisme de la bataille des Ardennes.

 

La petite histoire de 4 personnages - un enfant de Bastogne, son institutrice, un GI et un jeune lieutenant allemand -  permet au visiteur de toucher à la réalité de la Grande Histoire.  Sur le parcours, le visiteur écoute les témoignages de militaires et de civils grâce à un audio-guide.

Trois scénographies, replongent le visiteur dans l’ambiance de la guerre : les circonstances du conflit, les GI’s dans une forêt en décembre 44 et une scène d’effroi dans un estaminet, puis une cave, à Bastogne avec le défilement des chars et les bombardements.

 

 

Plus d'infos : Bastogne War Museum , Wallonia.be, Aggies go to War

 

 

 

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ProPulse est une vitrine promotionnelle pluridisciplinaire qui présente chaque année majoritairement des artistes issus de la Fédération Wallonie-Bruxelles. S’adressant à la fois aux professionnels (programmateurs, agents, managers, etc.) belges et étrangers et, dans une certaine mesure, au "tout public", l’événement vise autant à promouvoir la circulation des artistes en Belgique et hors de nos frontières qu’à favoriser leur visibilité et leur reconnaissance par le public.

 

ProPulse, le rendez-vous des Arts de la Scène, vous donne rendez-vous du 2 au 6 février 2015. Au programme: 5 jours de spectacles et de concerts, 3 lieux partenaires, 65 groupes / artistes à découvrir. Retrouvez les musiques classique et contemporaine à Flagey. Le Théâtre, la danse, le conte, les arts forains, le cirque, les arts de la rue ainsi que les spectacles musicaux seront présentés aux Halles de Schaerbeek. Le Botanique sera, quant à lui, le lieu de toutes les autres musiques telles que les musiques du monde et urbaines, le jazz, le folk, le chanson française, le pop-rock, le rock dur et l'électro.

 

15 groupes belges et près de 70 spectacles toutes disciplines confondues seront proposés dont plus d'un tiers accessibles au public. L'occasion également de faire la part belle aux rencontres professionnelles en proposant des ateliers-débats mais aussi des apéros et des déjeuners-rencontres.

 

Si vous êtes l'un de ces professionnels, tentez votre chance pour participer au Festival. Posez votre candidature jusqu'au 29 août.

 

ProPulse est une vitrine promotionnelle pluridisciplinaire qui présente chaque année majoritairement des artistes issus de la Fédération Wallonie-Bruxelles. S’adressant à la fois aux professionnels (programmateurs, agents, managers, etc.) belges et étrangers et, dans une certaine mesure, au "tout public", l’événement vise autant à promouvoir la circulation des artistes en Belgique et hors de nos frontières qu’à favoriser leur visibilité et leur reconnaissance par le public.

 

ProPulse, le rendez-vous des Arts de la Scène, vous donne rendez-vous du 2 au 6 février 2015. Au programme: 5 jours de spectacles et de concerts, 3 lieux partenaires, 65 groupes / artistes à découvrir. Retrouvez les musiques classique et contemporaine à Flagey. Le Théâtre, la danse, le conte, les arts forains, le cirque, les arts de la rue ainsi que les spectacles musicaux seront présentés aux Halles de Schaerbeek. Le Botanique sera, quant à lui, le lieu de toutes les autres musiques telles que les musiques du monde et urbaines, le jazz, le folk, le chanson française, le pop-rock, le rock dur et l'électro.

 

15 groupes belges et près de 70 spectacles toutes disciplines confondues seront proposés dont plus d'un tiers accessibles au public. L'occasion également de faire la part belle aux rencontres professionnelles en proposant des ateliers-débats mais aussi des apéros et des déjeuners-rencontres.

 

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