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Amal, "espoir" en arabe, Festival itinérant The Walk (c) Daan Broos

Bruxelles, 6 octobre 2021

 

Une pluie froide balaie la place de La Monnaie. Alors qu’un public hétéroclite est rassemblé devant le théâtre et fixe le ciel avec inquiétude, une figure gigantesque arrive avec fracas. Il s’agit d’une marionnette de plus de 3 mètres de haut et dont le visage expressif nous scrute avec un réalisme saisissant.

 

Mais de quoi s’agit-il exactement ?

 

Cette marionnette, c’est Amal, une petite fille syrienne qui se veut la porte-parole de tous les enfants déplacés du monde.

La petite Amal, jeune réfugiée issue de la frontière turco-syrienne, s'est lancée dans un voyage remarquable de 8000 km à travers l’Europe. Ce voyage épique a pour destination finale Manchester, ville où elle espère retrouver sa mère, retourner à l’école et commencer une nouvelle vie. Parviendra-t-elle à accomplir l’impossible ?

 

C’est tout l’enjeu de The Walk, qui a rassemblé quantité d’artistes célèbres issus du monde de la culture ainsi que de nombreuses organisations humanitaires. Car si le voyage d’Amal se termine, son histoire elle, ne fait que commencer.

 

Des enfants souhaitant à Amal la bienvenue (c)Nadine Petit

The Walk est donc un festival itinérant d'art et d'espoir en faveur des réfugiés, sous la direction artistique d'Amir Nizar Zuabi.

Il s’agit d’une œuvre réalisée par Good Chance Production en collaboration avec la Handspring Puppet Company.

La Chaire Mahmoud Darwich, avec l’aide de la Fédération Wallonie Bruxelles au travers de Wallonie-Bruxelles International, assure la coordination artistique lors du passage d’Amal à Bruxelles, l’avant-dernière étape de son long voyage, avant Manchester, en Angleterre.

 

Ce jeudi 6 octobre, Amal, sous les chants mélodieux du chœur d'enfants de La Monnaie, fait le tour de la place, le public se dispersant comme des fourmis devant ses pas. Au bout d’une demi-heure, elle s’embarque pour une longue promenade vers les Abattoirs d’Anderlecht. À son approche, les passants l'observent, intrigués. Les voitures ralentissent, les rideaux s’ouvrent et des regards la fixent curieusement.

 

Sous le coup de 17h, un spectacle de Sidi Larbi Cherkaoui / Eastman s'ouvre alors aux Abattoirs d'Anderlecht. Des danseurs, des musiciens et des artistes de cirque et de parkour interprètent Chased, une pièce de danse explorant les souvenirs traumatisants de Little Amal. Le spectacle est saisissant. Amal est interprétée par une jeune danseuse, bien vivante cette fois.

 

Chased (c)Thibaut De Lestré

Le message pour le public, massé autour des danseurs, est clair: «Ne nous oubliez pas».

    

La jeune danseuse jouant Amal(c)Thibaut De Lestré

La jeune danseuse jouant Amal (c)Thibaut De Lestré

N’oubliez pas tous ces enfants en errance au cœur d’une Europe, elle-même tourmentée.

 

Souhaitons à Amal de retouver sa mère à Manchester et de continuer à porter l'espoir magnifique d'un monde plus juste.

 

Informations

 

The Walk with Amal

Chaire Mahmoud Darwich

Bruxelles, 6 octobre 2021

 

Une pluie froide balaie la place de La Monnaie. Alors qu’un public hétéroclite est rassemblé devant le théâtre et fixe le ciel avec inquiétude, une figure gigantesque arrive avec fracas. Il s’agit d’une marionnette de plus de 3 mètres de haut et dont le visage expressif nous scrute avec un réalisme saisissant.

 

Mais de quoi s’agit-il exactement ?

 

Cette marionnette, c’est Amal, une petite fille syrienne qui se veut la porte-parole de tous les enfants déplacés du monde.

La petite Amal, jeune réfugiée issue de la frontière turco-syrienne, s'est lancée dans un voyage remarquable de 8000 km à travers l’Europe. Ce voyage épique a pour destination finale Manchester, ville où elle espère retrouver sa mère, retourner à l’école et commencer une nouvelle vie. Parviendra-t-elle à accomplir l’impossible ?

 

C’est tout l’enjeu de The Walk, qui a rassemblé quantité d’artistes célèbres issus du monde de la culture ainsi que de nombreuses organisations humanitaires. Car si le voyage d’Amal se termine, son histoire elle, ne fait que commencer.

 

Des enfants souhaitant à Amal la bienvenue (c)Nadine Petit

The Walk est donc un festival itinérant d'art et d'espoir en faveur des réfugiés, sous la direction artistique d'Amir Nizar Zuabi.

Il s’agit d’une œuvre réalisée par Good Chance Production en collaboration avec la Handspring Puppet Company.

La Chaire Mahmoud Darwich, avec l’aide de la Fédération Wallonie Bruxelles au travers de Wallonie-Bruxelles International, assure la coordination artistique lors du passage d’Amal à Bruxelles, l’avant-dernière étape de son long voyage, avant Manchester, en Angleterre.

 

Ce jeudi 6 octobre, Amal, sous les chants mélodieux du chœur d'enfants de La Monnaie, fait le tour de la place, le public se dispersant comme des fourmis devant ses pas. Au bout d’une demi-heure, elle s’embarque pour une longue promenade vers les Abattoirs d’Anderlecht. À son approche, les passants l'observent, intrigués. Les voitures ralentissent, les rideaux s’ouvrent et des regards la fixent curieusement.

 

Sous le coup de 17h, un spectacle de Sidi Larbi Cherkaoui / Eastman s'ouvre alors aux Abattoirs d'Anderlecht. Des danseurs, des musiciens et des artistes de cirque et de parkour interprètent Chased, une pièce de danse explorant les souvenirs traumatisants de Little Amal. Le spectacle est saisissant. Amal est interprétée par une jeune danseuse, bien vivante cette fois.

 

Chased (c)Thibaut De Lestré

Le message pour le public, massé autour des danseurs, est clair: «Ne nous oubliez pas».

    

La jeune danseuse jouant Amal(c)Thibaut De Lestré

La jeune danseuse jouant Amal (c)Thibaut De Lestré

N’oubliez pas tous ces enfants en errance au cœur d’une Europe, elle-même tourmentée.

 

Souhaitons à Amal de retouver sa mère à Manchester et de continuer à porter l'espoir magnifique d'un monde plus juste.

 

Informations

 

The Walk with Amal

Chaire Mahmoud Darwich

Bouton - en savoir plus

Après avoir présenté un de ses spectacles en présentiel avant la pandémie, la compagnie s’est adaptée au format en ligne et a présenté virtuellement son spectacle Un truc super lors de l’édition 2020, présentation qui a réuni près de 700 visualisations.

 

Lors de cette édition 2021, la Compagnie de La Casquette présente un jeu qu’elle a organisé entre une quarantaine d’artistes depuis janvier. Ce jeu, dont l'idée est née lors du Festival Paideia de 2019, arrive aujourd'hui à son terme. Acteurs, danseurs, auteurs, musiciens, architectes et même un avocat, venus de deux continents et de huit pays différents (Brésil, Belgique, France, Venezuela, Argentine, Mexique, Espagne et Danemark) se sont amusés à se répondre au fil des mois, à partir d'une histoire lancée et coordonnée par la Compagnie de la Casquette à Bruxelles.

 

Inspirés par le thème des "Mondes invisibles", 8 scénarios ont émergé. Ce jeu, sans enjeu, était avant tout un moyen de nous relier en ces temps difficiles et de découvrir les univers artistiques de chacun. Toutes les propositions des artistes impliqués sont dévoilées lors du Festival Paideia, partenaire du projet. 

 

Le 25 octobre, le Festival Paideia et la Compagnie de la Casquette ont invité tous les participants du jeu à discuter de cette expérience. Comment ont-ils vécu cette adaptation au support vidéo ? Quel stratagème ont-ils utilisé pour se faire comprendre lorsque les autres artistes ne parlent pas leur langue ? Quels contenus sont apparus ? Quelles ont été leurs joies ? Leurs surprises ?  Leurs frustrations ? Referaient-ils l'expérience ?

 

Les fils d’histoire et le Zoom d’échange entre les artistes sont disponibles ici

Après avoir présenté un de ses spectacles en présentiel avant la pandémie, la compagnie s’est adaptée au format en ligne et a présenté virtuellement son spectacle Un truc super lors de l’édition 2020, présentation qui a réuni près de 700 visualisations.

 

Lors de cette édition 2021, la Compagnie de La Casquette présente un jeu qu’elle a organisé entre une quarantaine d’artistes depuis janvier. Ce jeu, dont l'idée est née lors du Festival Paideia de 2019, arrive aujourd'hui à son terme. Acteurs, danseurs, auteurs, musiciens, architectes et même un avocat, venus de deux continents et de huit pays différents (Brésil, Belgique, France, Venezuela, Argentine, Mexique, Espagne et Danemark) se sont amusés à se répondre au fil des mois, à partir d'une histoire lancée et coordonnée par la Compagnie de la Casquette à Bruxelles.

 

Inspirés par le thème des "Mondes invisibles", 8 scénarios ont émergé. Ce jeu, sans enjeu, était avant tout un moyen de nous relier en ces temps difficiles et de découvrir les univers artistiques de chacun. Toutes les propositions des artistes impliqués sont dévoilées lors du Festival Paideia, partenaire du projet. 

 

Le 25 octobre, le Festival Paideia et la Compagnie de la Casquette ont invité tous les participants du jeu à discuter de cette expérience. Comment ont-ils vécu cette adaptation au support vidéo ? Quel stratagème ont-ils utilisé pour se faire comprendre lorsque les autres artistes ne parlent pas leur langue ? Quels contenus sont apparus ? Quelles ont été leurs joies ? Leurs surprises ?  Leurs frustrations ? Referaient-ils l'expérience ?

 

Les fils d’histoire et le Zoom d’échange entre les artistes sont disponibles ici

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(c) Fotolia

En Russie, il y a un grand choix d'universités de différentes options et niveaux de formation (enseignement professionnel secondaire, enseignement supérieur, formation professionnelle).

 

Profil des candidat.e.s : tous les profils.

 

Chaque candidat.e doit choisir l'institut ou l'université et enregistrer cette information dans son profil sur le site https://education-in-russia.com.
Il est important que le.la candidat.e n'ait pas encore de diplôme du niveau pour lequel il.elle fait la demande. Par exemple, si un.e candidat.e a un baccalauréat, il.elle peut demander à étudier pour une maîtrise.

 

Durée du programme : il est possible de demander des programmes à long terme et à court terme.

 

Introduction des candidatures (délais, formulaires…) : 1er Novembre 2021

 

Procédure générale de sélection : le.la candidat.e doit choisir un programme de formation, préparer les documents nécessaires, postuler électroniquement sur le site https://education-in-russia.com

 

Modalités financières : formation aux frais du budget de Russie

 

Contacthttps://education-in-russia.com

 

En Russie, il y a un grand choix d'universités de différentes options et niveaux de formation (enseignement professionnel secondaire, enseignement supérieur, formation professionnelle).

 

Profil des candidat.e.s : tous les profils.

 

Chaque candidat.e doit choisir l'institut ou l'université et enregistrer cette information dans son profil sur le site https://education-in-russia.com.
Il est important que le.la candidat.e n'ait pas encore de diplôme du niveau pour lequel il.elle fait la demande. Par exemple, si un.e candidat.e a un baccalauréat, il.elle peut demander à étudier pour une maîtrise.

 

Durée du programme : il est possible de demander des programmes à long terme et à court terme.

 

Introduction des candidatures (délais, formulaires…) : 1er Novembre 2021

 

Procédure générale de sélection : le.la candidat.e doit choisir un programme de formation, préparer les documents nécessaires, postuler électroniquement sur le site https://education-in-russia.com

 

Modalités financières : formation aux frais du budget de Russie

 

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L'Arche verte. Pavillon belge à Expo 2020 Dubaï (c) Nizar Bredan BelExpo

Alors que l’Exposition universelle DUBAI 2020 vient d’ouvrir ses portes, les pays du monde entier vont devoir redoubler d’ingéniosité pour attirer visiteurs et hommes d’affaires internationaux sur leurs pavillons afin de présenter leurs dernières innovations. C’est l’heure des derniers préparatifs pour les équipes de de WBI et de l’AWEX alors que la semaine Wallonie-Bruxelles débute dans à peine quelques jours. L’occasion pour nous de revenir sur les 10 enjeux-clés de 4 années de travail intense pour présenter ce que notre Wallonie-Bruxelles fait de mieux aux yeux du monde. 

 

Pour la plupart d’entre nous, organiser une réunion sur Zoom ou Teams, c’est déjà un exploit à mettre au tableau des compétences acquises « grâce » aux phases successives de confinement. Vous vous en doutez, pour participer et organiser un événement international à la hauteur des standards d’une Exposition universelle, on est tout de suite sur un tout autre niveau. Ici on parle de Dubai 2020, la ville des drones-taxis, des îles-palmiers artificielles, des plus hautes tours du monde et de la WASTA (à lire jusqu’au bout si vous voulez savoir ce que c’est) ! Pour se démarquer dans cette ville-monde dédiée au business et à l’innovation, il faut mettre la barre (très) haut.

Pour les équipes de Wallonie-Bruxelles International (WBI) et de l’Agence wallonne à l’Exportation et aux Investissements étrangers (AWEX) qui travaillent depuis maintenant 4 années sur la participation de la Région wallonne et de la Fédération Wallonie-Bruxelles à l’événement international le plus prestigieux au monde, on est sur une échelle + 1 000 000 000 par rapport à une visioconférence. Dans à peine deux semaines, elles seront en charge de faire rayonner l’excellence et le savoir-faire économique, culturel, scientifique et académique de Wallonie-Bruxelles auprès d’un public international, très mobile, bref mondialisé. Comment s’y prennent-elles ? Depuis combien de temps préparent-elles cet événement ? Avec quelles implications et enjeux ? On en a parlé avec ceux dont c’est la spécialité depuis des années et on en a retiré 10 leçons, ou plutôt 10 commandements.

 

Un (très) long voyage tu planifieras

 

« L’avantage des Expositions universelles, c’est que l’on a largement le temps de s’organiser puisque l’on connaît les dates longtemps à l’avance ». Vraiment ? Cette citation, qui n’a jamais été attribuée à personne de connu, a l’avantage d’interpeller sur la longueur du chemin à parcourir par toutes les parties impliquées dans l’organisation d’une participation à un tel événement. Le rideau se baisse à peine sur la dernière édition (Milan 2015) qu’il a faut déjà penser à accrocher le suivant.

Au bureau de coordination wallon de Dubai, on se souvient du premier rendez-vous officiel avec les organisateurs de l’Expo. C’était au début 2016, quelque part au milieu du désert, dans une cabane en préfabriqué, située au centre de ce qui allait bientôt être le futur site de l’Expo. A l’époque le Commissaire belge n’avait pas encore été désigné et c’était aux agents wallons, flamands et bruxellois de représenter la Belgique aux débuts du projet et de prendre connaissance des premiers plans et projets de l’Expo.

 

Un pavillon national tu érigeras

 

Alors que les marteaux-piqueurs entrent en action dans le désert, ici, à Bruxelles, les chargés de projet DUBAI 2020 participent aux premières réunions du comité technique comprenant les membres du Fédéral et des entités fédérées. Ces membres sont chargés, à partir du thème de l’exposition, de proposer un fil conducteur commun aux entités fédérées qui représentera notre pays dans un futur durable proche. « Nous sentons l’évolution. Longtemps patrimoniales et folkloriques, les Expo universelles ont maintenant pour objectif de présenter des solutions pour mieux appréhender le futur, le plus durable possible, précise Laurence de WBI. Chaque entité fédérée est alors appelée à présenter le meilleur de son savoir-faire, tant en architecture, qu’en innovation ou en produits. »

 

Une première étape-clé est franchie en janvier 2018 avec la désignation du Commissaire général en charge de coordonner la mise en œuvre du pavillon et d’assurer le dialogue entre les entités fédérées et BelExpo. L’étape suivante c’est la désignation du consortium pour la réalisation du pavillon belge, Besix, et l’architecte Vincent Callebaut, associé au bureau d’architecture ASSAR.

S’enchaînent alors les réunions avec les collègues flamands et bruxellois, l’équipe de scénographes et BelExpo pour dégager ce que nous souhaitons montrer de notre pays en réponse à la thématique de l’Expo, savant équilibre entre atouts culturels, économiques et touristiques des communautés et régions du pays.  « Nous avons la chance depuis l’Expo Shanghai en 2010 et Milan en 2015 de travailler avec les mêmes équipes en Wallonie, en Flandre et à Bruxelles, cela facilite les échanges et les prises de décisions quand l’entente est bonne entre homologues régionaux, » dit Marie L. de l’AWEX.

 

Le programme tu imagineras

 

En parallèle, les équipes AWEX & WBI de Bruxelles et le bureau de représentation à Dubai doivent aussi commencer à imaginer le programme de leur semaine de promotion. Chaque entité dispose en effet d’une semaine pendant les 6 mois que durent l’Expo durant laquelle elle peut occuper le pavillon belge et son business center pour mettre en avant ses atouts. C’est là que l’on entre dans le vif du sujet « Que veut-on présenter et valoriser de Wallonie-Bruxelles et que veut-on faire de notre semaine ? »

C’est là qu’interviennent le bureau de Dubai, les experts sectoriels, géographiques et culturels dont le rôle est d’identifier puis de valoriser les secteurs porteurs en termes d’opportunités aux Emirats arabes unis (EAU), ceux pour lesquels Wallonie-Bruxelles dispose d’un savoir-faire et d’une excellence reconnue internationalement.

Diamantaires, chocolatiers, ingénieurs aérospatiaux, designers, artistes… Des premières rencontres à la conception des programmes, le suivi avec les partenaires, les opérateurs et les entreprises, un long travail de fond puis de coordination va s’étaler sur plus de 3 ans… (avec une année ‘covid’).

 

Le bon département tu impliqueras

 

Qui est LE responsable de l’Expo DUBAI 2020 ? Une vingtaine de doigts se lèvent dans la salle. S’agit-il d’un excès de zèle ? Sûrement pas, et il y en a encore au fond qui auraient pu répondre mais qui n’ont pas entendu la question. Plongées dans le projet depuis 4 ans maintenant, Annie, Marie L., Laurence, Mégane et Anja vont progressivement être épaulées par Marie B., Nicolas, Anne, Violaine, Ghada, Valériane, Francesca, Victoria, Sandrine, Quentin, Diony…   A WBI et l’AWEX, ce ne sont pas moins d’une vingtaine d’agents issus des départements communication, événementiel, géographiques, sectoriels, des CEC… qui vont contribuer de près ou de loin à la réalisation de l’événement. Bref, une Expo universelle c’est un staff motivé et conséquent, mobilisé sur un seul objectif : faire connaître l’excellence de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Wallonie et renforcer son aura aux yeux du reste du monde… pour le bénéfice de ses opérateurs culturels, scientifiques, académiques et économiques.

 

Un géant tu coordonneras

 

Le plus grand challenge dans toute cette préparation ? Les avis sont unanimes, c’est le travail de coordination. Au total, si l’on prend en compte les participants, les intervenants, les organisateurs, le staff local… ce sont plusieurs centaines de personnes qui prennent part à la partition finale. Bref un travail de coordination colossal à mettre en musique, à composer selon les réalités locales aux EAU et avec les parties qui travaillent depuis la Belgique. « Mais c’est aussi une chance de bosser avec un esprit d’équipe comme celui-là », précise Anja. « Nous sommes une équipe ouverte et motivée avec une super cohésion. Ça nous aide à avancer, même dans les moments les plus stressants. »

 « Le plus compliqué est certainement de parvenir à coordonner autant d’intervenants différents. Les Expos sont des dossiers Mammouth ». D’autant plus que pour cette édition de Dubaï, parallèlement à la semaine Wallonie-Bruxelles, les équipes de l’AWEX et de WBI vont organiser au même moment une mission économique dans le pays.  « Ça nous donne quelques cheveux blancs mais c’est la somme de toutes ces rencontres avec des personnes de différents secteurs d’activité qui rend ce travail si enrichissant ».  Vous l’avez compris, il s’agit d’un énorme travail de coordination, à savoir mener de front la scénographie sur le pavillon, le programme de la semaine W+B, la mission multisectorielle, les missions ministérielles, la communication, la logistique...

 

 Le succès tu atteindras

 

Ok, mais comment le mesurer ? En termes de contrats signés ? A l’applaudimètre ? Au nombre de # ou d’engagement social ? Pour la team impliquée, le premier succès, c’est de parvenir à proposer un programme de qualité, qualifié pour le public présent à Dubaï et, espérons-le, nombreux aux différentes activités. Les relations créées auront-elles un impact concret pour les entreprises et les différents opérateurs présents ? De l’avis des experts marchés et géographiques, c’est difficile à mesurer car les contrats peuvent se signer des mois voire des années plus tard. Les entreprises ou les opérateurs culturels sont là pour faire de la prospection mais également renforcer des liens déjà établis sur place, les résultats se mesurent donc à (très) long terme.

« Ce qui est certain, c’est que la semaine Wallonie – Bruxelles est une formidable action de visibilité. Pendant une semaine, le pavillon va servir les intérêts de la Wallonie-Bruxelles » précise Marie L.  Il s’agira d’une belle vitrine qui permettra aux équipes locales de capitaliser dessus pour la suite. Pour Quentin, expert marché sur le Moyen-Orient, « Les résultats tangibles sont difficiles à calculer, mais, par exemple, le fait que 60 entreprises participent à la mission multisectorielle, c'est déjà la preuve que nos démarches sont pertinentes et que le marché émirati a du potentiel pour la Wallonie. Et d’ajouter qu’en plus, c'est un des premiers gros événements internationaux après les confinements successifs liés à la covid19, donc ça encourage le monde des affaires à se déplacer. »

 

Un dubaïote tu déplaceras

 

Pour faire se déplacer les gens, il faut du contenu intéressant. Facile à dire, mais lorsque l’on se trouve à Dubai, ville ouverte convoitée dans le monde entier, la concurrence est rude. Tout le monde prospecte à Dubai, les plus grands spectacles & activités touristiques à sensations s’y côtoient. Il faut donc se démarquer à tout prix.

 

Une vraie expérience tu offriras

 

Aujourd’hui, que ce soit en tourisme, en gastronomie, en culture et même en affaires, les gens doivent vivre puis repartir avec une véritable ‘expérience’, bien plus qu’avec de simples informations économiques ou culturelles. C’est encore plus vrai à Dubai.  L’équipe y pense chaque jour : son programme doit être à la hauteur du public qui se présentera au pavillon (et même avant dans sa communication).

L’expertise du bureau local prend toute son importance : la connaissance de terrain pour adapter un événement pensé et conçu à 6 800 km (et 500m précisément) de distance. « Nous avons dit tout de suite, arrêtons de faire des séminaires classiques, ça ne marche plus nulle part aux Emirats, et sans doute encore moins à Dubaï, la ville de toutes les innovations », annonce tout de go Anja, Conseillère économique et commerciale à Dubaï. Nous avons travaillé avec tous nos opérateurs pour développer de vraies master classes, des activités interactives, ludiques, dynamiques, s’essayer à des savoir-faire que l’on ne trouvera nulle part ailleurs… bref, rendre le plus attrayant possible les enjeux économiques et culturels que nous souhaitons mettre en avant. »

C'est un challenge de se renouveler à chaque fois. Pour Marie L., « les reports répétitifs liés à la crise de la covid19 ont eu l’avantage d’offrir plus de temps aux équipes et de permettre de sortir des balises habituelles ». « Nous avons dû tester des nouvelles approches, des nouveaux concepts que nous n’aurions sans doute pas pu nous permettre avec une année de moins dans le planning. »

 

Réactif tu seras

 

Pour faire des affaires à Dubai, on ne part pas sur la même échelle de temps que celle que nous avons l’habitude d’appliquer en Europe. L’élément le plus important sur place : la RÉACTIVITÉ. Ici tout se fait par WhatsApp. Les rendez-vous se prennent quelques heures à l’avance et peuvent changer très vite, voire le jour même. Pour l’équipe à Dubai, cette mission est d’autant plus un challenge que les confirmations de participation locale ne devraient tomber que quelques jours, voire quelques heures avant le début du lancement des programmes.  

 

Ta WASTA tu utiliseras

 

C’est le premier conseil qu’Anja et son équipe donnent aux opérateurs qui s’intéressent aux EAU : pour réussir à Dubai, il faut des relations privilégiées avec les acteurs locaux (émiratis ou étrangers). Ici, la culture des affaires passe par le relationnel et les rencontres en présentiel. Des références en béton ne sont pas suffisantes pour décrocher de l’intérêt. Il faut se rencontrer et se parler. Le présentiel est indispensable et il faut donc se déplacer (très) régulièrement à Dubai ou dans les autres territoires pour conclure des affaires. En un mot, pour réussir, il faut la « WASTA », c’est-à-dire ce qui ne s’obtient que grâce au réseau. « En Europe, les gens ont moins l’habitude de mélanger leur sphère privée et professionnelle, mais aux EAU, si on y investi le temps et la sincérité nécessaires, on devient très vite amis avec ses partenaires économiques, précise Anja. On se retrouve très vite à rencontrer les familles, aller aux mariages de ses partenaires commerciaux… C’est normal et il faut le prendre en compte. »

Alors que la semaine Wallonie-Bruxelles et la mission multisectorielle sont sur le point de débuter, les équipes sont confiantes bien qu’il reste encore de nombreux éléments à finaliser. Mais toutes abordent l’Exposition universelle DUBAI 2020 avec une certitude, c’est celle d’une Belgique disposant d’une réputation excellente sur place, fiable, innovante et… étonnante. A nous tous de le confirmer.

Confirmation à partir du 06 novembre prochain !

 

Suivez le programme détaillé et les dernières informations sur notre site :

https://www.walloniaexpodubai.be

Alors que l’Exposition universelle DUBAI 2020 vient d’ouvrir ses portes, les pays du monde entier vont devoir redoubler d’ingéniosité pour attirer visiteurs et hommes d’affaires internationaux sur leurs pavillons afin de présenter leurs dernières innovations. C’est l’heure des derniers préparatifs pour les équipes de de WBI et de l’AWEX alors que la semaine Wallonie-Bruxelles débute dans à peine quelques jours. L’occasion pour nous de revenir sur les 10 enjeux-clés de 4 années de travail intense pour présenter ce que notre Wallonie-Bruxelles fait de mieux aux yeux du monde. 

 

Pour la plupart d’entre nous, organiser une réunion sur Zoom ou Teams, c’est déjà un exploit à mettre au tableau des compétences acquises « grâce » aux phases successives de confinement. Vous vous en doutez, pour participer et organiser un événement international à la hauteur des standards d’une Exposition universelle, on est tout de suite sur un tout autre niveau. Ici on parle de Dubai 2020, la ville des drones-taxis, des îles-palmiers artificielles, des plus hautes tours du monde et de la WASTA (à lire jusqu’au bout si vous voulez savoir ce que c’est) ! Pour se démarquer dans cette ville-monde dédiée au business et à l’innovation, il faut mettre la barre (très) haut.

Pour les équipes de Wallonie-Bruxelles International (WBI) et de l’Agence wallonne à l’Exportation et aux Investissements étrangers (AWEX) qui travaillent depuis maintenant 4 années sur la participation de la Région wallonne et de la Fédération Wallonie-Bruxelles à l’événement international le plus prestigieux au monde, on est sur une échelle + 1 000 000 000 par rapport à une visioconférence. Dans à peine deux semaines, elles seront en charge de faire rayonner l’excellence et le savoir-faire économique, culturel, scientifique et académique de Wallonie-Bruxelles auprès d’un public international, très mobile, bref mondialisé. Comment s’y prennent-elles ? Depuis combien de temps préparent-elles cet événement ? Avec quelles implications et enjeux ? On en a parlé avec ceux dont c’est la spécialité depuis des années et on en a retiré 10 leçons, ou plutôt 10 commandements.

 

Un (très) long voyage tu planifieras

 

« L’avantage des Expositions universelles, c’est que l’on a largement le temps de s’organiser puisque l’on connaît les dates longtemps à l’avance ». Vraiment ? Cette citation, qui n’a jamais été attribuée à personne de connu, a l’avantage d’interpeller sur la longueur du chemin à parcourir par toutes les parties impliquées dans l’organisation d’une participation à un tel événement. Le rideau se baisse à peine sur la dernière édition (Milan 2015) qu’il a faut déjà penser à accrocher le suivant.

Au bureau de coordination wallon de Dubai, on se souvient du premier rendez-vous officiel avec les organisateurs de l’Expo. C’était au début 2016, quelque part au milieu du désert, dans une cabane en préfabriqué, située au centre de ce qui allait bientôt être le futur site de l’Expo. A l’époque le Commissaire belge n’avait pas encore été désigné et c’était aux agents wallons, flamands et bruxellois de représenter la Belgique aux débuts du projet et de prendre connaissance des premiers plans et projets de l’Expo.

 

Un pavillon national tu érigeras

 

Alors que les marteaux-piqueurs entrent en action dans le désert, ici, à Bruxelles, les chargés de projet DUBAI 2020 participent aux premières réunions du comité technique comprenant les membres du Fédéral et des entités fédérées. Ces membres sont chargés, à partir du thème de l’exposition, de proposer un fil conducteur commun aux entités fédérées qui représentera notre pays dans un futur durable proche. « Nous sentons l’évolution. Longtemps patrimoniales et folkloriques, les Expo universelles ont maintenant pour objectif de présenter des solutions pour mieux appréhender le futur, le plus durable possible, précise Laurence de WBI. Chaque entité fédérée est alors appelée à présenter le meilleur de son savoir-faire, tant en architecture, qu’en innovation ou en produits. »

 

Une première étape-clé est franchie en janvier 2018 avec la désignation du Commissaire général en charge de coordonner la mise en œuvre du pavillon et d’assurer le dialogue entre les entités fédérées et BelExpo. L’étape suivante c’est la désignation du consortium pour la réalisation du pavillon belge, Besix, et l’architecte Vincent Callebaut, associé au bureau d’architecture ASSAR.

S’enchaînent alors les réunions avec les collègues flamands et bruxellois, l’équipe de scénographes et BelExpo pour dégager ce que nous souhaitons montrer de notre pays en réponse à la thématique de l’Expo, savant équilibre entre atouts culturels, économiques et touristiques des communautés et régions du pays.  « Nous avons la chance depuis l’Expo Shanghai en 2010 et Milan en 2015 de travailler avec les mêmes équipes en Wallonie, en Flandre et à Bruxelles, cela facilite les échanges et les prises de décisions quand l’entente est bonne entre homologues régionaux, » dit Marie L. de l’AWEX.

 

Le programme tu imagineras

 

En parallèle, les équipes AWEX & WBI de Bruxelles et le bureau de représentation à Dubai doivent aussi commencer à imaginer le programme de leur semaine de promotion. Chaque entité dispose en effet d’une semaine pendant les 6 mois que durent l’Expo durant laquelle elle peut occuper le pavillon belge et son business center pour mettre en avant ses atouts. C’est là que l’on entre dans le vif du sujet « Que veut-on présenter et valoriser de Wallonie-Bruxelles et que veut-on faire de notre semaine ? »

C’est là qu’interviennent le bureau de Dubai, les experts sectoriels, géographiques et culturels dont le rôle est d’identifier puis de valoriser les secteurs porteurs en termes d’opportunités aux Emirats arabes unis (EAU), ceux pour lesquels Wallonie-Bruxelles dispose d’un savoir-faire et d’une excellence reconnue internationalement.

Diamantaires, chocolatiers, ingénieurs aérospatiaux, designers, artistes… Des premières rencontres à la conception des programmes, le suivi avec les partenaires, les opérateurs et les entreprises, un long travail de fond puis de coordination va s’étaler sur plus de 3 ans… (avec une année ‘covid’).

 

Le bon département tu impliqueras

 

Qui est LE responsable de l’Expo DUBAI 2020 ? Une vingtaine de doigts se lèvent dans la salle. S’agit-il d’un excès de zèle ? Sûrement pas, et il y en a encore au fond qui auraient pu répondre mais qui n’ont pas entendu la question. Plongées dans le projet depuis 4 ans maintenant, Annie, Marie L., Laurence, Mégane et Anja vont progressivement être épaulées par Marie B., Nicolas, Anne, Violaine, Ghada, Valériane, Francesca, Victoria, Sandrine, Quentin, Diony…   A WBI et l’AWEX, ce ne sont pas moins d’une vingtaine d’agents issus des départements communication, événementiel, géographiques, sectoriels, des CEC… qui vont contribuer de près ou de loin à la réalisation de l’événement. Bref, une Expo universelle c’est un staff motivé et conséquent, mobilisé sur un seul objectif : faire connaître l’excellence de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Wallonie et renforcer son aura aux yeux du reste du monde… pour le bénéfice de ses opérateurs culturels, scientifiques, académiques et économiques.

 

Un géant tu coordonneras

 

Le plus grand challenge dans toute cette préparation ? Les avis sont unanimes, c’est le travail de coordination. Au total, si l’on prend en compte les participants, les intervenants, les organisateurs, le staff local… ce sont plusieurs centaines de personnes qui prennent part à la partition finale. Bref un travail de coordination colossal à mettre en musique, à composer selon les réalités locales aux EAU et avec les parties qui travaillent depuis la Belgique. « Mais c’est aussi une chance de bosser avec un esprit d’équipe comme celui-là », précise Anja. « Nous sommes une équipe ouverte et motivée avec une super cohésion. Ça nous aide à avancer, même dans les moments les plus stressants. »

 « Le plus compliqué est certainement de parvenir à coordonner autant d’intervenants différents. Les Expos sont des dossiers Mammouth ». D’autant plus que pour cette édition de Dubaï, parallèlement à la semaine Wallonie-Bruxelles, les équipes de l’AWEX et de WBI vont organiser au même moment une mission économique dans le pays.  « Ça nous donne quelques cheveux blancs mais c’est la somme de toutes ces rencontres avec des personnes de différents secteurs d’activité qui rend ce travail si enrichissant ».  Vous l’avez compris, il s’agit d’un énorme travail de coordination, à savoir mener de front la scénographie sur le pavillon, le programme de la semaine W+B, la mission multisectorielle, les missions ministérielles, la communication, la logistique...

 

 Le succès tu atteindras

 

Ok, mais comment le mesurer ? En termes de contrats signés ? A l’applaudimètre ? Au nombre de # ou d’engagement social ? Pour la team impliquée, le premier succès, c’est de parvenir à proposer un programme de qualité, qualifié pour le public présent à Dubaï et, espérons-le, nombreux aux différentes activités. Les relations créées auront-elles un impact concret pour les entreprises et les différents opérateurs présents ? De l’avis des experts marchés et géographiques, c’est difficile à mesurer car les contrats peuvent se signer des mois voire des années plus tard. Les entreprises ou les opérateurs culturels sont là pour faire de la prospection mais également renforcer des liens déjà établis sur place, les résultats se mesurent donc à (très) long terme.

« Ce qui est certain, c’est que la semaine Wallonie – Bruxelles est une formidable action de visibilité. Pendant une semaine, le pavillon va servir les intérêts de la Wallonie-Bruxelles » précise Marie L.  Il s’agira d’une belle vitrine qui permettra aux équipes locales de capitaliser dessus pour la suite. Pour Quentin, expert marché sur le Moyen-Orient, « Les résultats tangibles sont difficiles à calculer, mais, par exemple, le fait que 60 entreprises participent à la mission multisectorielle, c'est déjà la preuve que nos démarches sont pertinentes et que le marché émirati a du potentiel pour la Wallonie. Et d’ajouter qu’en plus, c'est un des premiers gros événements internationaux après les confinements successifs liés à la covid19, donc ça encourage le monde des affaires à se déplacer. »

 

Un dubaïote tu déplaceras

 

Pour faire se déplacer les gens, il faut du contenu intéressant. Facile à dire, mais lorsque l’on se trouve à Dubai, ville ouverte convoitée dans le monde entier, la concurrence est rude. Tout le monde prospecte à Dubai, les plus grands spectacles & activités touristiques à sensations s’y côtoient. Il faut donc se démarquer à tout prix.

 

Une vraie expérience tu offriras

 

Aujourd’hui, que ce soit en tourisme, en gastronomie, en culture et même en affaires, les gens doivent vivre puis repartir avec une véritable ‘expérience’, bien plus qu’avec de simples informations économiques ou culturelles. C’est encore plus vrai à Dubai.  L’équipe y pense chaque jour : son programme doit être à la hauteur du public qui se présentera au pavillon (et même avant dans sa communication).

L’expertise du bureau local prend toute son importance : la connaissance de terrain pour adapter un événement pensé et conçu à 6 800 km (et 500m précisément) de distance. « Nous avons dit tout de suite, arrêtons de faire des séminaires classiques, ça ne marche plus nulle part aux Emirats, et sans doute encore moins à Dubaï, la ville de toutes les innovations », annonce tout de go Anja, Conseillère économique et commerciale à Dubaï. Nous avons travaillé avec tous nos opérateurs pour développer de vraies master classes, des activités interactives, ludiques, dynamiques, s’essayer à des savoir-faire que l’on ne trouvera nulle part ailleurs… bref, rendre le plus attrayant possible les enjeux économiques et culturels que nous souhaitons mettre en avant. »

C'est un challenge de se renouveler à chaque fois. Pour Marie L., « les reports répétitifs liés à la crise de la covid19 ont eu l’avantage d’offrir plus de temps aux équipes et de permettre de sortir des balises habituelles ». « Nous avons dû tester des nouvelles approches, des nouveaux concepts que nous n’aurions sans doute pas pu nous permettre avec une année de moins dans le planning. »

 

Réactif tu seras

 

Pour faire des affaires à Dubai, on ne part pas sur la même échelle de temps que celle que nous avons l’habitude d’appliquer en Europe. L’élément le plus important sur place : la RÉACTIVITÉ. Ici tout se fait par WhatsApp. Les rendez-vous se prennent quelques heures à l’avance et peuvent changer très vite, voire le jour même. Pour l’équipe à Dubai, cette mission est d’autant plus un challenge que les confirmations de participation locale ne devraient tomber que quelques jours, voire quelques heures avant le début du lancement des programmes.  

 

Ta WASTA tu utiliseras

 

C’est le premier conseil qu’Anja et son équipe donnent aux opérateurs qui s’intéressent aux EAU : pour réussir à Dubai, il faut des relations privilégiées avec les acteurs locaux (émiratis ou étrangers). Ici, la culture des affaires passe par le relationnel et les rencontres en présentiel. Des références en béton ne sont pas suffisantes pour décrocher de l’intérêt. Il faut se rencontrer et se parler. Le présentiel est indispensable et il faut donc se déplacer (très) régulièrement à Dubai ou dans les autres territoires pour conclure des affaires. En un mot, pour réussir, il faut la « WASTA », c’est-à-dire ce qui ne s’obtient que grâce au réseau. « En Europe, les gens ont moins l’habitude de mélanger leur sphère privée et professionnelle, mais aux EAU, si on y investi le temps et la sincérité nécessaires, on devient très vite amis avec ses partenaires économiques, précise Anja. On se retrouve très vite à rencontrer les familles, aller aux mariages de ses partenaires commerciaux… C’est normal et il faut le prendre en compte. »

Alors que la semaine Wallonie-Bruxelles et la mission multisectorielle sont sur le point de débuter, les équipes sont confiantes bien qu’il reste encore de nombreux éléments à finaliser. Mais toutes abordent l’Exposition universelle DUBAI 2020 avec une certitude, c’est celle d’une Belgique disposant d’une réputation excellente sur place, fiable, innovante et… étonnante. A nous tous de le confirmer.

Confirmation à partir du 06 novembre prochain !

 

Suivez le programme détaillé et les dernières informations sur notre site :

https://www.walloniaexpodubai.be

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(c) Fotolia

L’Association Pour la Promotion de l’Éducation et de la Formation à l’Étranger (APEFE) mobilise ses ressources et son expertise au service des pays du Sud pour le renforcement de leurs capacités à mettre en œuvre leur politique de développement dans les secteurs de l’Éducation, de l’Agriculture et de l’Environnement, de la Santé, de la Gouvernance et du secteur privé.

 

Dans le cadre de son programme 2022-2026 au SÉNÉGAL, l’APEFE recherche un.e Administrateur.rice de Programme, Assistant.e technique international.e, délégué.e à la cogestion des Programmes intitulés : Jigeen Ñi Tamit 2.0 / Appui à l’entrepreneuriat féminin et IFADEM 3.0 (Initiative francophone pour la Formation à distance des Maîtres)

  • Lieu d'affectation : Dakar
  • Durée de l’engagement : 5 ans
  • Date limite de dépôt des candidatures : 20 novembre
  • Salaire : Barème APEFE
  • Niveau de carrière : Senior (plus de 10 ans d'expérience utile)
  • Niveau d’étude minimum : Master
  • Temps plein (38 h/s)
  • Prise de fonction : 01/03/2022

 

L’Administrateur.trice de programmes travaille en étroite collaboration avec les équipes du Ministère de la Femme, de la Famille, du Genre et de la Protection des Enfants ainsi que du Ministère de l’Éducation nationale pour les programmes :

  • Jigeen Ñi Tamit 2.0 / appui à l’Entrepreneuriat féminin

Pleinement inscrit dans la Stratégie Nationale pour l’Autonomisation Economique des Femmes (SNAEF) 2019-2035, dans le PSE, dans les cadres stratégiques panafricains et dans l’Objectif de Développement Durable N°5, en partenariat avec le Ministère de la Femme, de la Famille, du Genre et de la Protection des Enfants (MFFGPE), le programme « Jigeen Ñi Tamit » (2017-2026) vient en appui à l’entrepreneuriat féminin dans le domaine de la transformation agroalimentaire.

Après une première phase (2017-2021) concentrée dans les régions de Thiès et de Louga, le programme consolidera son action dans ces régions, tout en l’étendant dans celles de Ziguinchor et de Kolda. 

 

L’ambition est d’accompagner au total 250 entreprises agroalimentaires féminines actives dans les filières lait, fruits et légumes et halieutique, afin d’améliorer leur développement et leur organisation, et d’autonomiser les femmes entrepreneures de manière durable.

  • IFADEM 3.0

L’objectif général recherché est que tous les élèves sénégalais bénéficient d’un système éducatif inclusif et de qualité. Le programme vise donc à appuyer le Ministère de l’Éducation du Sénégal à développer les conditions d’une amélioration de la qualité de son système éducatif en ciblant l’amélioration des performances des élèves des régions concernées par l’appui.

 

Dans cette perspective, l’action portera sur plusieurs groupes cibles, dont les deux principaux sont : les instituteurs adjoints (n’ayant pas encore obtenu le CAP) et les directeurs d’écoles.

Pour chacun de ces groupes cibles sera développé un parcours d’autoformation tutorée spécifique, utilisant des outils digitaux, visant à les professionnaliser et à améliorer leurs pratiques professionnelles.

 

Les instituteurs adjoints suivront ainsi un parcours de formation d’environ 9 mois, à l’aide d’une tablette permettant d’accéder à des contenus de formation interactifs et avec l’appui d’un tuteur.

 

Les directeurs d’écoles suivront quant à eux un parcours de formation d’une durée d’environ 3 mois, entièrement en ligne, grâce à l’application IFADEM 100% en ligne déjà développée et accessible.

 

Les instituteurs adjoints ayant déjà bénéficié de deux appuis précédents (IFADEM AUF-OIF et IFADEM APEFE 2017-2021), l’accent sera mis au cours du présent programme sur la cible des directeurs et directrices d’écoles, avec pour objectif de former une masse critique de directeurs à l’échelle du pays.

 

En parallèle à l’action concernant ces deux groupes cibles, des actions spécifiques seront également destinées au renforcement général du dispositif de formation continue du MEN : ceci passera par la mise en place d’actions de renforcement de capacités sur le déploiement des outils digitaux de formation, mais aussi sur la prise en compte des thématiques transversales telles que le genre ou l’environnement.

 

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Tâches et responsabilités

Les tâches et les responsabilités de l’Administrateur.rice de programme couvrent 3 champs : stratégique, communication et gestion de la connaissance, opérationnel.

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Volet stratégique

  • Organise la veille stratégique et prospective dans les secteurs concernés en restant à l’écoute de toute information susceptible de contribuer à l’amélioration des programmes sectoriels
  • Assure une réflexion prospective sur le développement de nouveaux programmes et partenariats
  • Veille à l’alignement permanent des programmes sur les Objectifs du Développement durable des Nations Unies (ODD)
  • Veille à l’alignement sur les stratégies nationales
  • Veille à la cohérence des programmes avec le cadre stratégique commun de la coopération belge pour la période 2022-2026
  • Veille à la cohérence avec les politiques belges de développement (au niveaux fédéral et fédérés) européennes et internationales (ODD)
  • Participe au tissu des opérateurs, acteurs et partenaires en développant des réseaux, synergies et complémentarités ; participe aux différents groupes de coordination interbailleurs dans les secteurs des programmes 
  • Recherche des opportunités de partenariats et cherche à identifier des financements complémentaires pour renforcer l’impact des programmes
  • En tant que de besoin, identifie et propose le positionnement stratégique du programme (réorientation, développement de nouveaux partenariats…)
  •  Contribue à la cogestion stratégique du programme avec les partenaires au sein des Unités de Gestion des Programmes et des Comités de Pilotage
  • Participe activement au suivi du Cadre Stratégique Commun élaboré par les acteurs belges de la coopération non-gouvernementale
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Volet Relations publiques / Communication/Gestion de la Connaissance

  • Contribue à et coordonne la communication interne et externe de l’APEFE en veillant au développement et à la continuité de sa visibilité dans une dynamique de communication pour le développement
  • Participe activement à l’animation entre les partenaires en droite ligne avec l’orientation C4D, notamment en collaborant étroitement avec les ACNG belges dans le cadre du CSC, des dialogues stratégiques avec la DGD
  • Représente l’APEFE au sein de tout espace local de coordination ou de concertation des acteurs notamment le forum des acteurs belges
  • Intègre la gestion des connaissances en valorisant la capitalisation des acquis et des expériences et en participant activement à l’apprentissage collectif dans le cadre du CSC
  • Contribue au processus d’apprentissage interne de l’APEFE en participant aux réflexions thématiques inter-pays - siège
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Volet opérationnel

  • Veille au respect des conventions de partenariat des programmes dont il a la charge
  • Coordonne la planification annuelle, trimestrielle et mensuelle des activités des programmes et des dépenses y afférents
  • Contribue à la coordination de la mise en œuvre et du suivi du cycle des programmes dont il a la charge
  • Contribue, avec les partenaires, de manière participative et formative au suivi, à l’évaluation et à la régulation de la mise en œuvre des activités et sous-activités des programmes sectoriels concernés
  • Contribue à la gestion participative et dynamique des activités en favorisant l’implication et l’intégration des bénéficiaires et acteurs locaux dans le processus de gestion et de mise en œuvre des programmes sous sa responsabilité
  • Veille à la qualité du partenariat et contribue à mettre en place les conditions relationnelles nécessaires et favorables à l’atteinte des résultats
  • Veille à la bonne gouvernance des programmes en qualité de membre du Comité de pilotage (voix consultative et/ou mandaté pour représenter l’APEFE) et du Comité technique de suivi et participe aux prises de décision de ces instances
  • Contribue au renforcement des capacités de gestion, coordination et pilotage des partenaires locaux appuyés
  • Contribue de manière participative et formative la gestion efficace et efficiente des personnels affectés aux programmes et à la cohérence de l’action de l’ensemble du personnel APEFE (coopérants et experts, expatriés ou locaux) sur lequel il a autorité
  • Assure de manière participative et formative la gestion efficace et efficiente des ressources matérielles et financières
  • Supervise la gestion comptable et l’administration financière
  • Assure la mise en place des dispositifs de M&E, apprentissage, gestion des connaissances du programme
  • Est responsable de la gestion des risques des programmes et du bureau local de l’APEFE au Sénégal
  • Est responsable des opérations de lancement des programmes et des opérations de clôture de ceux-ci (communication, capitalisation, clôture financière, RH, administrative…)
  • Est responsable de la qualité du rapportage et du suivi de la progression des indicateurs
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Qualifications et compétences requises

  • Master, minimum Bac + 5 (Sciences sociales / Sciences de l’éducation / Relations internationales ou domaines pertinents avec les secteurs de l’éducation - formation et de l’entrepreneuriat) ou MBA reconnu par la Fédération Wallonie-Bruxelles
  • Expérience en Ingénierie de formation
  •  Intérêt pour l’éducation-formation associée aux TIC, l’insertion emploi, l’auto-emploi, l’entrepreneuriat
  • Compétences avérées en matière de gestion de ressources financières, de planification budgétaire 
  • Maîtrise de l’approche « Programme » et des principes de la Déclaration de Paris sur l’efficacité de l’aide
  • Maîtrise de la Gestion du Cycle de Projet et des méthodes de gestion basées sur les résultats
  • Maîtrise de la gestion des risques
  • Capacités avérées de gestion du changement, coordination, conciliation et animation
  • Capacité de gestion participative d’équipes pluridisciplinaires
  • Aptitudes au transfert de compétences, au renforcement des capacités « on the job » des acteurs du Programme
  • Capacités de négociation et de diplomatie effectives 
  • Bonne capacité d’écoute et de dialogue interculturel
  • Familiarité avec l’environnement institutionnel
  • Avoir une aptitude avérée à la communication orale et écrite
  • Esprit de synthèse et excellente capacité rédactionnelle en français 
  • Maîtrise des TIC et des outils courants de bureautique avec une excellente maîtrise des tableurs (Excel ou équivalent)
  • Maîtrise de la communication sur les réseaux sociaux
  • Autonome
  • Capable d’apprendre par soi-même
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Expérience professionnelle

  • Minimum 10 ans d’expérience dans les secteurs d’intervention des programmes à administrer 
  • Minimum 5 ans d’expérience dans la gestion technique, administrative et financière de programmes de développement
  • Minimum 5 ans d’expérience comme responsable de projet ou de programme de développement
  • Large expérience dans le domaine de la coopération au développement, avec minimum 8 ans d’expérience sur le terrain. Une expérience en Afrique en général et en Afrique de l’Ouest est un atout 
  • Expérience de l’accompagnement au changement au niveau institutionnel. 
  • Expérience adéquate dans le conseil et l’audit organisationnels des administrations, des sociétés et des entreprises 
  • Expérience avérée en suivi et évaluation de projets et programmes 
  • Expérience en programmation et formulation de projets de coopération 
  • Sensibilité et de préférence expérience avérée en matière d’équité et de parité des genres 
  • Capacité avérée à travailler en équipe et dans des environnements multi-acteurs et à optimiser la coopération avec les parties prenantesLes candidatures seront introduites par une lettre de motivation portant la référence AP-SN-01-21, accompagnée :
  • d’un curriculum vitae
  • d’une copie des diplômes
  • des références professionnelles pertinentes permettant de justifier l’expérience

et adressées à Stéphan Plumat, Directeur de l’APEFE, de préférence, par courriel à l’adresse candidatures@apefe.org (mentionnant AP-SN-01-21 dans l'objet) avec copie à l.ameye@apefe.org

Toute information supplémentaire peut être demandée à l.ameye@apefe.org.

 

Les candidatures ne seront plus recevables à partir du 20 novembre à minuit.

 

ATTENTION : toute candidature ne justifiant pas le diplôme et l’expérience souhaités ne sera pas prise en considération.

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L’Association Pour la Promotion de l’Éducation et de la Formation à l’Étranger (APEFE) mobilise ses ressources et son expertise au service des pays du Sud pour le renforcement de leurs capacités à mettre en œuvre leur politique de développement dans les secteurs de l’Éducation, de l’Agriculture et de l’Environnement, de la Santé, de la Gouvernance et du secteur privé.

 

Dans le cadre de son programme 2022-2026 au SÉNÉGAL, l’APEFE recherche un.e Administrateur.rice de Programme, Assistant.e technique international.e, délégué.e à la cogestion des Programmes intitulés : Jigeen Ñi Tamit 2.0 / Appui à l’entrepreneuriat féminin et IFADEM 3.0 (Initiative francophone pour la Formation à distance des Maîtres)

  • Lieu d'affectation : Dakar
  • Durée de l’engagement : 5 ans
  • Date limite de dépôt des candidatures : 20 novembre
  • Salaire : Barème APEFE
  • Niveau de carrière : Senior (plus de 10 ans d'expérience utile)
  • Niveau d’étude minimum : Master
  • Temps plein (38 h/s)
  • Prise de fonction : 01/03/2022

 

L’Administrateur.trice de programmes travaille en étroite collaboration avec les équipes du Ministère de la Femme, de la Famille, du Genre et de la Protection des Enfants ainsi que du Ministère de l’Éducation nationale pour les programmes :

  • Jigeen Ñi Tamit 2.0 / appui à l’Entrepreneuriat féminin

Pleinement inscrit dans la Stratégie Nationale pour l’Autonomisation Economique des Femmes (SNAEF) 2019-2035, dans le PSE, dans les cadres stratégiques panafricains et dans l’Objectif de Développement Durable N°5, en partenariat avec le Ministère de la Femme, de la Famille, du Genre et de la Protection des Enfants (MFFGPE), le programme « Jigeen Ñi Tamit » (2017-2026) vient en appui à l’entrepreneuriat féminin dans le domaine de la transformation agroalimentaire.

Après une première phase (2017-2021) concentrée dans les régions de Thiès et de Louga, le programme consolidera son action dans ces régions, tout en l’étendant dans celles de Ziguinchor et de Kolda. 

 

L’ambition est d’accompagner au total 250 entreprises agroalimentaires féminines actives dans les filières lait, fruits et légumes et halieutique, afin d’améliorer leur développement et leur organisation, et d’autonomiser les femmes entrepreneures de manière durable.

  • IFADEM 3.0

L’objectif général recherché est que tous les élèves sénégalais bénéficient d’un système éducatif inclusif et de qualité. Le programme vise donc à appuyer le Ministère de l’Éducation du Sénégal à développer les conditions d’une amélioration de la qualité de son système éducatif en ciblant l’amélioration des performances des élèves des régions concernées par l’appui.

 

Dans cette perspective, l’action portera sur plusieurs groupes cibles, dont les deux principaux sont : les instituteurs adjoints (n’ayant pas encore obtenu le CAP) et les directeurs d’écoles.

Pour chacun de ces groupes cibles sera développé un parcours d’autoformation tutorée spécifique, utilisant des outils digitaux, visant à les professionnaliser et à améliorer leurs pratiques professionnelles.

 

Les instituteurs adjoints suivront ainsi un parcours de formation d’environ 9 mois, à l’aide d’une tablette permettant d’accéder à des contenus de formation interactifs et avec l’appui d’un tuteur.

 

Les directeurs d’écoles suivront quant à eux un parcours de formation d’une durée d’environ 3 mois, entièrement en ligne, grâce à l’application IFADEM 100% en ligne déjà développée et accessible.

 

Les instituteurs adjoints ayant déjà bénéficié de deux appuis précédents (IFADEM AUF-OIF et IFADEM APEFE 2017-2021), l’accent sera mis au cours du présent programme sur la cible des directeurs et directrices d’écoles, avec pour objectif de former une masse critique de directeurs à l’échelle du pays.

 

En parallèle à l’action concernant ces deux groupes cibles, des actions spécifiques seront également destinées au renforcement général du dispositif de formation continue du MEN : ceci passera par la mise en place d’actions de renforcement de capacités sur le déploiement des outils digitaux de formation, mais aussi sur la prise en compte des thématiques transversales telles que le genre ou l’environnement.

 

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Tâches et responsabilités

Les tâches et les responsabilités de l’Administrateur.rice de programme couvrent 3 champs : stratégique, communication et gestion de la connaissance, opérationnel.

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Volet stratégique

  • Organise la veille stratégique et prospective dans les secteurs concernés en restant à l’écoute de toute information susceptible de contribuer à l’amélioration des programmes sectoriels
  • Assure une réflexion prospective sur le développement de nouveaux programmes et partenariats
  • Veille à l’alignement permanent des programmes sur les Objectifs du Développement durable des Nations Unies (ODD)
  • Veille à l’alignement sur les stratégies nationales
  • Veille à la cohérence des programmes avec le cadre stratégique commun de la coopération belge pour la période 2022-2026
  • Veille à la cohérence avec les politiques belges de développement (au niveaux fédéral et fédérés) européennes et internationales (ODD)
  • Participe au tissu des opérateurs, acteurs et partenaires en développant des réseaux, synergies et complémentarités ; participe aux différents groupes de coordination interbailleurs dans les secteurs des programmes 
  • Recherche des opportunités de partenariats et cherche à identifier des financements complémentaires pour renforcer l’impact des programmes
  • En tant que de besoin, identifie et propose le positionnement stratégique du programme (réorientation, développement de nouveaux partenariats…)
  •  Contribue à la cogestion stratégique du programme avec les partenaires au sein des Unités de Gestion des Programmes et des Comités de Pilotage
  • Participe activement au suivi du Cadre Stratégique Commun élaboré par les acteurs belges de la coopération non-gouvernementale
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Volet Relations publiques / Communication/Gestion de la Connaissance

  • Contribue à et coordonne la communication interne et externe de l’APEFE en veillant au développement et à la continuité de sa visibilité dans une dynamique de communication pour le développement
  • Participe activement à l’animation entre les partenaires en droite ligne avec l’orientation C4D, notamment en collaborant étroitement avec les ACNG belges dans le cadre du CSC, des dialogues stratégiques avec la DGD
  • Représente l’APEFE au sein de tout espace local de coordination ou de concertation des acteurs notamment le forum des acteurs belges
  • Intègre la gestion des connaissances en valorisant la capitalisation des acquis et des expériences et en participant activement à l’apprentissage collectif dans le cadre du CSC
  • Contribue au processus d’apprentissage interne de l’APEFE en participant aux réflexions thématiques inter-pays - siège
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Volet opérationnel

  • Veille au respect des conventions de partenariat des programmes dont il a la charge
  • Coordonne la planification annuelle, trimestrielle et mensuelle des activités des programmes et des dépenses y afférents
  • Contribue à la coordination de la mise en œuvre et du suivi du cycle des programmes dont il a la charge
  • Contribue, avec les partenaires, de manière participative et formative au suivi, à l’évaluation et à la régulation de la mise en œuvre des activités et sous-activités des programmes sectoriels concernés
  • Contribue à la gestion participative et dynamique des activités en favorisant l’implication et l’intégration des bénéficiaires et acteurs locaux dans le processus de gestion et de mise en œuvre des programmes sous sa responsabilité
  • Veille à la qualité du partenariat et contribue à mettre en place les conditions relationnelles nécessaires et favorables à l’atteinte des résultats
  • Veille à la bonne gouvernance des programmes en qualité de membre du Comité de pilotage (voix consultative et/ou mandaté pour représenter l’APEFE) et du Comité technique de suivi et participe aux prises de décision de ces instances
  • Contribue au renforcement des capacités de gestion, coordination et pilotage des partenaires locaux appuyés
  • Contribue de manière participative et formative la gestion efficace et efficiente des personnels affectés aux programmes et à la cohérence de l’action de l’ensemble du personnel APEFE (coopérants et experts, expatriés ou locaux) sur lequel il a autorité
  • Assure de manière participative et formative la gestion efficace et efficiente des ressources matérielles et financières
  • Supervise la gestion comptable et l’administration financière
  • Assure la mise en place des dispositifs de M&E, apprentissage, gestion des connaissances du programme
  • Est responsable de la gestion des risques des programmes et du bureau local de l’APEFE au Sénégal
  • Est responsable des opérations de lancement des programmes et des opérations de clôture de ceux-ci (communication, capitalisation, clôture financière, RH, administrative…)
  • Est responsable de la qualité du rapportage et du suivi de la progression des indicateurs
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Qualifications et compétences requises

  • Master, minimum Bac + 5 (Sciences sociales / Sciences de l’éducation / Relations internationales ou domaines pertinents avec les secteurs de l’éducation - formation et de l’entrepreneuriat) ou MBA reconnu par la Fédération Wallonie-Bruxelles
  • Expérience en Ingénierie de formation
  •  Intérêt pour l’éducation-formation associée aux TIC, l’insertion emploi, l’auto-emploi, l’entrepreneuriat
  • Compétences avérées en matière de gestion de ressources financières, de planification budgétaire 
  • Maîtrise de l’approche « Programme » et des principes de la Déclaration de Paris sur l’efficacité de l’aide
  • Maîtrise de la Gestion du Cycle de Projet et des méthodes de gestion basées sur les résultats
  • Maîtrise de la gestion des risques
  • Capacités avérées de gestion du changement, coordination, conciliation et animation
  • Capacité de gestion participative d’équipes pluridisciplinaires
  • Aptitudes au transfert de compétences, au renforcement des capacités « on the job » des acteurs du Programme
  • Capacités de négociation et de diplomatie effectives 
  • Bonne capacité d’écoute et de dialogue interculturel
  • Familiarité avec l’environnement institutionnel
  • Avoir une aptitude avérée à la communication orale et écrite
  • Esprit de synthèse et excellente capacité rédactionnelle en français 
  • Maîtrise des TIC et des outils courants de bureautique avec une excellente maîtrise des tableurs (Excel ou équivalent)
  • Maîtrise de la communication sur les réseaux sociaux
  • Autonome
  • Capable d’apprendre par soi-même
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Expérience professionnelle

  • Minimum 10 ans d’expérience dans les secteurs d’intervention des programmes à administrer 
  • Minimum 5 ans d’expérience dans la gestion technique, administrative et financière de programmes de développement
  • Minimum 5 ans d’expérience comme responsable de projet ou de programme de développement
  • Large expérience dans le domaine de la coopération au développement, avec minimum 8 ans d’expérience sur le terrain. Une expérience en Afrique en général et en Afrique de l’Ouest est un atout 
  • Expérience de l’accompagnement au changement au niveau institutionnel. 
  • Expérience adéquate dans le conseil et l’audit organisationnels des administrations, des sociétés et des entreprises 
  • Expérience avérée en suivi et évaluation de projets et programmes 
  • Expérience en programmation et formulation de projets de coopération 
  • Sensibilité et de préférence expérience avérée en matière d’équité et de parité des genres 
  • Capacité avérée à travailler en équipe et dans des environnements multi-acteurs et à optimiser la coopération avec les parties prenantesLes candidatures seront introduites par une lettre de motivation portant la référence AP-SN-01-21, accompagnée :
  • d’un curriculum vitae
  • d’une copie des diplômes
  • des références professionnelles pertinentes permettant de justifier l’expérience

et adressées à Stéphan Plumat, Directeur de l’APEFE, de préférence, par courriel à l’adresse candidatures@apefe.org (mentionnant AP-SN-01-21 dans l'objet) avec copie à l.ameye@apefe.org

Toute information supplémentaire peut être demandée à l.ameye@apefe.org.

 

Les candidatures ne seront plus recevables à partir du 20 novembre à minuit.

 

ATTENTION : toute candidature ne justifiant pas le diplôme et l’expérience souhaités ne sera pas prise en considération.

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Caroline Garnier

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

Je m’appelle Caroline Garnier. J’ai 24 ans. Je suis jeune travailleuse et j’habite à Liège.

 

Quel était votre parcours scolaire au début du stage ?

J’avais obtenu un bachelier en traduction-interprétation en langues russe et anglaise de l’Université de Mons et lorsque j’ai entamé mon stage, j’étais en dernière année de master en communication multilingue, à finalité relations internationales à l’Université Libre de Bruxelles.

 

Que faites-vous maintenant ?

Je suis project management support pour le département informatique chez Brunswick Marine in EMEA, à Petit Rechain, dans la région verviétoise.

 

Qu’est-ce qui vous a amené à choisir de faire un stage à l’AWEX ?

Étant en finalité relations internationales, je voulais absolument effectuer mon stage dans ce milieu et si possible à l’étranger. De plus, la formation offerte en plus par le programme Explort m’intéressait énormément. Me diriger vers un stage en ambassade, auprès d’un conseiller économique et commercial me semblait donc le meilleur choix.

 

Pourquoi avoir choisi la Lettonie ?

J’ai étudié le russe pendant mes 5 ans d’études et j’ai eu la chance de pouvoir effectuer un semestre en Russie pour le perfectionner. Je voulais également avoir une chance de le pratiquer durant mon stage, tout en découvrant un autre pays et une autre culture. La Lettonie ayant une forte minorité russophone, j’ai donc pris Riga comme premier choix de destination.

 

Quel est votre ressenti par rapport à la vie à Riga ?

Tous les aspects de la vie à Riga m’ont énormément plu, que ce soit l’architecture, les habitants ou la vie culturelle. C’est une ville superbe qui, à mon sens, gagnerait à être connue.

 

Avez-vous visité d’autres pays baltes ?

Oui, je me suis également rendue à Tallinn, en Estonie et à Vilnius, en Lituanie.

 

Quelles ont été vos missions ? Lesquelles vous ont le plus plu ?

J’ai principalement réalisé de la prospection pour des entreprises wallonnes, en leur cherchant des possibles partenaires commerciaux et évènements dans les pays baltes et/ou la Finlande pour promouvoir leur(s) produit(s)/service(s). J’ai notamment recherché des partenaires potentiels pour des entreprises actives dans le domaine pharmaceutique pour une mission E-health en Finlande. Je me suis également rendue au salon RigaComm 2019 pour y faire un tour des exposants. Cependant, la mission qui m’a le plus plu est certainement l’étude de marché sur la Lituanie que M. Schklar m’a demandé de réaliser afin de déterminer si la Wallonie pouvait répondre à certaines demandes d’importation de la Lituanie.

 

Que retirez-vous de cette expérience ?

Je n’en retire que du positif. J’ai appris énormément dans le domaine du commerce extérieur, qui m’était totalement étranger auparavant. Ce stage m’a aussi permis de développer certaines compétences interpersonnelles, comme l’autonomie et la capacité d’adaptation à un environnement inconnu. Je suis aussi persuadée que cette expérience sur mon CV a été l’une des raisons qui ont poussé mon employeur actuel à m’engager.

 

Quelles sont vos perspectives ?

Après un intérim de 7 mois, je viens de signer un CDD chez Brunswick Marine in EMEA et vais commencer à être impliquée dans des projets de plus grande envergure au niveau international.

 

Pour terminer quel est votre meilleur souvenir de votre séjour à Riga ?

Probablement l’aspect culturel. Lors de ma dernière semaine à Riga, des évènements étaient organisés pour célébrer la fin du centenaire de l’indépendance du pays ainsi que le Lāčplēša diena, qui commémore les soldats qui ont combattu durant la guerre d’indépendance de la Lettonie. Je n’avais jamais rien vu de comparable et c’était une belle façon de clôturer mon séjour.

 

Vous souhaitez pouvoir vivre la même aventure que Caroline ? Découvrez le dossier ci-dessous afin d’en apprendre plus sur les pays baltes et sur les possibilités de stage en Lituanie, Lettonie ou Estonie. 

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

Je m’appelle Caroline Garnier. J’ai 24 ans. Je suis jeune travailleuse et j’habite à Liège.

 

Quel était votre parcours scolaire au début du stage ?

J’avais obtenu un bachelier en traduction-interprétation en langues russe et anglaise de l’Université de Mons et lorsque j’ai entamé mon stage, j’étais en dernière année de master en communication multilingue, à finalité relations internationales à l’Université Libre de Bruxelles.

 

Que faites-vous maintenant ?

Je suis project management support pour le département informatique chez Brunswick Marine in EMEA, à Petit Rechain, dans la région verviétoise.

 

Qu’est-ce qui vous a amené à choisir de faire un stage à l’AWEX ?

Étant en finalité relations internationales, je voulais absolument effectuer mon stage dans ce milieu et si possible à l’étranger. De plus, la formation offerte en plus par le programme Explort m’intéressait énormément. Me diriger vers un stage en ambassade, auprès d’un conseiller économique et commercial me semblait donc le meilleur choix.

 

Pourquoi avoir choisi la Lettonie ?

J’ai étudié le russe pendant mes 5 ans d’études et j’ai eu la chance de pouvoir effectuer un semestre en Russie pour le perfectionner. Je voulais également avoir une chance de le pratiquer durant mon stage, tout en découvrant un autre pays et une autre culture. La Lettonie ayant une forte minorité russophone, j’ai donc pris Riga comme premier choix de destination.

 

Quel est votre ressenti par rapport à la vie à Riga ?

Tous les aspects de la vie à Riga m’ont énormément plu, que ce soit l’architecture, les habitants ou la vie culturelle. C’est une ville superbe qui, à mon sens, gagnerait à être connue.

 

Avez-vous visité d’autres pays baltes ?

Oui, je me suis également rendue à Tallinn, en Estonie et à Vilnius, en Lituanie.

 

Quelles ont été vos missions ? Lesquelles vous ont le plus plu ?

J’ai principalement réalisé de la prospection pour des entreprises wallonnes, en leur cherchant des possibles partenaires commerciaux et évènements dans les pays baltes et/ou la Finlande pour promouvoir leur(s) produit(s)/service(s). J’ai notamment recherché des partenaires potentiels pour des entreprises actives dans le domaine pharmaceutique pour une mission E-health en Finlande. Je me suis également rendue au salon RigaComm 2019 pour y faire un tour des exposants. Cependant, la mission qui m’a le plus plu est certainement l’étude de marché sur la Lituanie que M. Schklar m’a demandé de réaliser afin de déterminer si la Wallonie pouvait répondre à certaines demandes d’importation de la Lituanie.

 

Que retirez-vous de cette expérience ?

Je n’en retire que du positif. J’ai appris énormément dans le domaine du commerce extérieur, qui m’était totalement étranger auparavant. Ce stage m’a aussi permis de développer certaines compétences interpersonnelles, comme l’autonomie et la capacité d’adaptation à un environnement inconnu. Je suis aussi persuadée que cette expérience sur mon CV a été l’une des raisons qui ont poussé mon employeur actuel à m’engager.

 

Quelles sont vos perspectives ?

Après un intérim de 7 mois, je viens de signer un CDD chez Brunswick Marine in EMEA et vais commencer à être impliquée dans des projets de plus grande envergure au niveau international.

 

Pour terminer quel est votre meilleur souvenir de votre séjour à Riga ?

Probablement l’aspect culturel. Lors de ma dernière semaine à Riga, des évènements étaient organisés pour célébrer la fin du centenaire de l’indépendance du pays ainsi que le Lāčplēša diena, qui commémore les soldats qui ont combattu durant la guerre d’indépendance de la Lettonie. Je n’avais jamais rien vu de comparable et c’était une belle façon de clôturer mon séjour.

 

Vous souhaitez pouvoir vivre la même aventure que Caroline ? Découvrez le dossier ci-dessous afin d’en apprendre plus sur les pays baltes et sur les possibilités de stage en Lituanie, Lettonie ou Estonie. 

Documents liés

Dossier 1.73 Mo

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"Closing Party" par la Cie Wooshing Machine (c) Jean Poucet - FWB

La plateforme Objectifs Danse est une initiative de Wallonie-Bruxelles Théâtre Danse, de Wallonie-Bruxelles International et de la Fédération Wallonie-Bruxelles (service de la danse). Son but : promouvoir les artistes et compagnies de danse contemporaine reconnu.e.s par la FWB à l'international. Tous les 2 ans, la biennale rassemble des professionnels du monde entier autour de l'actualité de la création chorégraphique belge francophone.

 

Cette année, Objectifs Danse (OD) fête sa 10ème édition. Un succès grandissant et ininterrompu, témoignant, s'il le fallait encore, de l'intérêt que suscite la création chorégraphique de Wallonie-Bruxelles à l'étranger.

 

Durant 3 jours, du 13 au 15 octobre 2021, ce ne sont pas moins de 13 spectacles et 5 work in progress qui ont été présentés aux 88 professionnels issus de 21 pays différents (62 internationaux et 26 belges) rassemblés à Bruxelles et Charleroi.

 

Retour au début

Compagnies reconnues et artistes émergents

A chaque édition, les compagnies se bousculent pour avoir l'opportunité de participer à Objectifs Danse. La sélection est rude et les organisateurs tiennent à valoriser les compagnies déjà bien implantées dans le paysage chorégraphique belge francophone comme les artistes émergents. C'est pourquoi, en plus des spectacles présentés, un après-midi est consacré à quelques work in progress, qui permettent aux programmateurs de découvrir le travail en construction d'artistes qui démarrent leur aventure chorégraphique professionnelle.

 

Cette année, ce sont 13 artistes et compagnies qui ont pu faire découvrir leurs créations aux professionnels belges et étrangers. La Compagnie Wooshing Machine a clôturé sa "Trilogie de la mémoire" avec Closing PartyErika Zueneli a présenté Para bellumLa danseuse et chorégraphe bruxelloise Mercedes Dassy a proposé la 2ème partie d'un cycle de performances, B4 summer. La Compagnie Mossoux-Bonté a offert une plongée spectrale dans les passions humaines avec Les Arrières-MondesLa Compagnie Nyash de Caroline Cornélis a exploré la lumière dans LlumStéphanie Auberville a présenté Salutations Mistinguettes. La danseuse et chorégraphe Ayelen Parolin a proposé sa nouvelle création, Simple. Julien Carlier a présenté son spectacle Collapse avec la Compagnie Abis. Le solo Incorporer/Kids, chorégraphié par Olga de Soto, a ravi les petits spectateurs comme les plus grands. La faute à la Covid, la danseuse et chorégraphe Meytal Blanaru n'a pas pu proposer son spectacle Undivided. Elle a donc présenté, à la place, son solo Rain. C'est la pièce Forces que Leslie Mannès, Thomas Turine et Vincent Lemaître ont offerte. Serge Aimé Coulibaly a présenté Fitry. Enfin, Lara Barsacq a plongé une nouvelle fois dans les Ballets russes avec Fruit Tree.

 

Quant aux work in progress, ils ont permis, en un après-midi, de découvrir le travail de 5 artistes émergents : Habib Ben Tanfous avec Ici je lègue ce qui ne m'appartient pas, Adèle Vandroth avec Fatras, Jonas Chéreau avec Réverbérer, Sabina Scarlat et Chloé Bellevaire avec Dipa Te et Bruno Freire avec Ma mata. Ces work in progress ont été suivis d'une discussion entre les 5 artistes et Sylvia Botella, journaliste, critique et enseignante spécialisée dans les arts de la scène.

 

Retour au début

De l'intérêt d'une telle plateforme

S'il est reconnu sur la scène internationale depuis longtemps grâce à de grands noms, le paysage chorégraphique belge francophone s'étoffe de plus en plus au cours des ans. Il est donc aussi plus difficile de s'y faire une place. D'où l'importance du travail réalisé par une agence comme Wallonie-Bruxelles Théâtre Danse (WBTD), à travers notamment cette plateforme Objectifs Danse. Soutenir les artistes et les compagnies de danse contemporaine, les aider à se professionnaliser et à se produire sur les scènes internationales, voilà pourquoi WBTD existe. 

 

Un rendez-vous tel qu'Objectifs Danse permet, sur une courte période, de rassembler les compagnies et les professionnels du monde entier, offre une visibilité plus que bienvenue aux artistes et provoque des rencontres qui, sans cela, n'auraient peut-être jamais lieu. Missions remplies.

 

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Envie d'en savoir plus ? 

Vous êtes danseur, chorégraphe, directeur de compagnie ? Vous souhaiteriez pouvoir participer à la prochaine édition d'Objectifs Danse ? Ou vous aimeriez simplement en savoir plus sur les aides et soutiens proposés par Walonie-Bruxelles Théâtre Danse ? N'hésitez pas à aller visiter leur site, tout s'y trouve !

 

 

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La plateforme Objectifs Danse est une initiative de Wallonie-Bruxelles Théâtre Danse, de Wallonie-Bruxelles International et de la Fédération Wallonie-Bruxelles (service de la danse). Son but : promouvoir les artistes et compagnies de danse contemporaine reconnu.e.s par la FWB à l'international. Tous les 2 ans, la biennale rassemble des professionnels du monde entier autour de l'actualité de la création chorégraphique belge francophone.

 

Cette année, Objectifs Danse (OD) fête sa 10ème édition. Un succès grandissant et ininterrompu, témoignant, s'il le fallait encore, de l'intérêt que suscite la création chorégraphique de Wallonie-Bruxelles à l'étranger.

 

Durant 3 jours, du 13 au 15 octobre 2021, ce ne sont pas moins de 13 spectacles et 5 work in progress qui ont été présentés aux 88 professionnels issus de 21 pays différents (62 internationaux et 26 belges) rassemblés à Bruxelles et Charleroi.

 

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Compagnies reconnues et artistes émergents

A chaque édition, les compagnies se bousculent pour avoir l'opportunité de participer à Objectifs Danse. La sélection est rude et les organisateurs tiennent à valoriser les compagnies déjà bien implantées dans le paysage chorégraphique belge francophone comme les artistes émergents. C'est pourquoi, en plus des spectacles présentés, un après-midi est consacré à quelques work in progress, qui permettent aux programmateurs de découvrir le travail en construction d'artistes qui démarrent leur aventure chorégraphique professionnelle.

 

Cette année, ce sont 13 artistes et compagnies qui ont pu faire découvrir leurs créations aux professionnels belges et étrangers. La Compagnie Wooshing Machine a clôturé sa "Trilogie de la mémoire" avec Closing PartyErika Zueneli a présenté Para bellumLa danseuse et chorégraphe bruxelloise Mercedes Dassy a proposé la 2ème partie d'un cycle de performances, B4 summer. La Compagnie Mossoux-Bonté a offert une plongée spectrale dans les passions humaines avec Les Arrières-MondesLa Compagnie Nyash de Caroline Cornélis a exploré la lumière dans LlumStéphanie Auberville a présenté Salutations Mistinguettes. La danseuse et chorégraphe Ayelen Parolin a proposé sa nouvelle création, Simple. Julien Carlier a présenté son spectacle Collapse avec la Compagnie Abis. Le solo Incorporer/Kids, chorégraphié par Olga de Soto, a ravi les petits spectateurs comme les plus grands. La faute à la Covid, la danseuse et chorégraphe Meytal Blanaru n'a pas pu proposer son spectacle Undivided. Elle a donc présenté, à la place, son solo Rain. C'est la pièce Forces que Leslie Mannès, Thomas Turine et Vincent Lemaître ont offerte. Serge Aimé Coulibaly a présenté Fitry. Enfin, Lara Barsacq a plongé une nouvelle fois dans les Ballets russes avec Fruit Tree.

 

Quant aux work in progress, ils ont permis, en un après-midi, de découvrir le travail de 5 artistes émergents : Habib Ben Tanfous avec Ici je lègue ce qui ne m'appartient pas, Adèle Vandroth avec Fatras, Jonas Chéreau avec Réverbérer, Sabina Scarlat et Chloé Bellevaire avec Dipa Te et Bruno Freire avec Ma mata. Ces work in progress ont été suivis d'une discussion entre les 5 artistes et Sylvia Botella, journaliste, critique et enseignante spécialisée dans les arts de la scène.

 

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De l'intérêt d'une telle plateforme

S'il est reconnu sur la scène internationale depuis longtemps grâce à de grands noms, le paysage chorégraphique belge francophone s'étoffe de plus en plus au cours des ans. Il est donc aussi plus difficile de s'y faire une place. D'où l'importance du travail réalisé par une agence comme Wallonie-Bruxelles Théâtre Danse (WBTD), à travers notamment cette plateforme Objectifs Danse. Soutenir les artistes et les compagnies de danse contemporaine, les aider à se professionnaliser et à se produire sur les scènes internationales, voilà pourquoi WBTD existe. 

 

Un rendez-vous tel qu'Objectifs Danse permet, sur une courte période, de rassembler les compagnies et les professionnels du monde entier, offre une visibilité plus que bienvenue aux artistes et provoque des rencontres qui, sans cela, n'auraient peut-être jamais lieu. Missions remplies.

 

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Envie d'en savoir plus ? 

Vous êtes danseur, chorégraphe, directeur de compagnie ? Vous souhaiteriez pouvoir participer à la prochaine édition d'Objectifs Danse ? Ou vous aimeriez simplement en savoir plus sur les aides et soutiens proposés par Walonie-Bruxelles Théâtre Danse ? N'hésitez pas à aller visiter leur site, tout s'y trouve !

 

 

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L’apprentissage des langues étrangères est un outil indispensable au bon développement des programmes de mobilité académique et à l'internationalisation de l'enseignement supérieur. Afin de renforcer la promotion de l’enseignement du français au Brésil, WBI et l’Association nationale des dirigeants des institutions supérieures publiques Brésiliennes (Andifes) ont signé un accord de coopération en septembre dernier.

 

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Le programme "Idiomas sem Fronteiras"

Le programme IsF est né en 2016 afin de renforcer le programme de mobilité académique "Sciences sans frontières" et préparer linguistiquement les étudiants en mobilité OUT avant leur voyage à l’étranger. L’objectif est de proposer des cours de langue sur objectif universitaire (anglais, français, italien, portugais langue étrangère, japonais, espagnol et allemand) aux étudiants, aux professeurs et au personnel administratif qui souhaitent se préparer à une mobilité académique à l’étranger. WBI s’est engagée dès 2016 dans ce programme avec l’envoi d’une lectrice, puis d’une Agent de liaison académique et culturelle, afin de développer des modules de français sur objectif universitaire (FOU) et d’administrer des cours à l’Université Fédérale du Minas Gerais.

 

L’autre volet du programme est de participer à la formation initiale et continue des étudiants en lettres et en didactique du français langue étrangère (FLE) en leur permettant de participer à l’élaboration des modules de FOU et de pratiquer la pédagogie du FOU en salle de classe.

 

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L’accord entre Wallonie-Bruxelles International et l’Andifes

Afin de réaffirmer l’appui de WBI au programme national brésilien, un accord de collaboration technique a été signé avec l’Andifes en septembre dernier. L’Agent de liaison académique et culturelle au Brésil, Élodie Meunier, sera responsable de mettre en place plusieurs actions en collaboration avec les professeurs de français accrédités par le programme dans 39 universités.

 

Il s’agira de

  • soutenir la formation des coordinateurs, des enseignants et des étudiants en didactique via une formation continue sur la pédagogie du FOU
  • développer des partenariats de stages virtuels ou présentiels entre les universités brésiliennes membres d’IsF et les universités de la Fédération Wallonie-Bruxelles qui organisent un master en didactique du FLE
  • soutenir la mobilité présentielle des stagiaires en didactique du FLE de la Fédération Wallonie-Bruxelles qui souhaitent se rendre au Brésil pour un stage pratique via une bourse de mobilité
  • encourager les actions visant à motiver la poursuite des études dans la langue française et en didactique du FLE via l’octroi de bourses pour les stages d’été en didactique du FLE en Belgique
  • contribuer aux actions de diffusion de la langue française et de la culture francophone

 

WBI s’engage dès lors à long terme au niveau national avec les institutions brésiliennes afin de renforcer la diffusion du français et de la culture belge et francophone au Brésil.

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L’apprentissage des langues étrangères est un outil indispensable au bon développement des programmes de mobilité académique et à l'internationalisation de l'enseignement supérieur. Afin de renforcer la promotion de l’enseignement du français au Brésil, WBI et l’Association nationale des dirigeants des institutions supérieures publiques Brésiliennes (Andifes) ont signé un accord de coopération en septembre dernier.

 

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Le programme "Idiomas sem Fronteiras"

Le programme IsF est né en 2016 afin de renforcer le programme de mobilité académique "Sciences sans frontières" et préparer linguistiquement les étudiants en mobilité OUT avant leur voyage à l’étranger. L’objectif est de proposer des cours de langue sur objectif universitaire (anglais, français, italien, portugais langue étrangère, japonais, espagnol et allemand) aux étudiants, aux professeurs et au personnel administratif qui souhaitent se préparer à une mobilité académique à l’étranger. WBI s’est engagée dès 2016 dans ce programme avec l’envoi d’une lectrice, puis d’une Agent de liaison académique et culturelle, afin de développer des modules de français sur objectif universitaire (FOU) et d’administrer des cours à l’Université Fédérale du Minas Gerais.

 

L’autre volet du programme est de participer à la formation initiale et continue des étudiants en lettres et en didactique du français langue étrangère (FLE) en leur permettant de participer à l’élaboration des modules de FOU et de pratiquer la pédagogie du FOU en salle de classe.

 

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L’accord entre Wallonie-Bruxelles International et l’Andifes

Afin de réaffirmer l’appui de WBI au programme national brésilien, un accord de collaboration technique a été signé avec l’Andifes en septembre dernier. L’Agent de liaison académique et culturelle au Brésil, Élodie Meunier, sera responsable de mettre en place plusieurs actions en collaboration avec les professeurs de français accrédités par le programme dans 39 universités.

 

Il s’agira de

  • soutenir la formation des coordinateurs, des enseignants et des étudiants en didactique via une formation continue sur la pédagogie du FOU
  • développer des partenariats de stages virtuels ou présentiels entre les universités brésiliennes membres d’IsF et les universités de la Fédération Wallonie-Bruxelles qui organisent un master en didactique du FLE
  • soutenir la mobilité présentielle des stagiaires en didactique du FLE de la Fédération Wallonie-Bruxelles qui souhaitent se rendre au Brésil pour un stage pratique via une bourse de mobilité
  • encourager les actions visant à motiver la poursuite des études dans la langue française et en didactique du FLE via l’octroi de bourses pour les stages d’été en didactique du FLE en Belgique
  • contribuer aux actions de diffusion de la langue française et de la culture francophone

 

WBI s’engage dès lors à long terme au niveau national avec les institutions brésiliennes afin de renforcer la diffusion du français et de la culture belge et francophone au Brésil.

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Les activités culturelles soutenues par Wallonie-Bruxelles International (WBI) se déclinent autour de trois axes principaux, la Gastronomie, les Arts plastiques, le Design & la Mode auxquels s'ajoute une exposition inédite de Bande-Dessinée initiée par WBI.

 

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Gastronomie

C’est le chef Sang Hoon Degeimbre du restaurant doublement étoilé L’Air du Temps à Liernu qui sera notre ambassadeur à Seoul. Il proposera des spécialités wallonnes aux visiteurs attendus durant toute la durée du Festival. En tant que membre fondateur du collectif Génération W, sa cuisine a pour objet la mise en valeur des produits de son terroir et de ses producteurs.

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Arts plastiques 

Les artistes sélectionnés, tous bruxellois, présenteront leurs œuvres du 20 octobre au 20 novembre 2021. Côté francophone, il y a Philippe Geluck, Denis Meyers, Carole Solvay et le collectif Benoît + Bo.

Philippe Geluck

C’est en 1983 qu’il crée le personnage du Chat pour le journal Le Soir. Depuis lors, celui-ci a fait le tour du monde et les albums du Chat se sont vendus à plus de 14 millions d’exemplaires. L’été dernier, Le Chat est parti à l’assaut des Champs Elysées avec 20 sculptures monumentales. Voilà ce qu’il disait de cette exposition « À travers ces vingt pièces, j’espère apporter au public de la joie, du rire et une certaine poésie surréaliste que nous affectionnons en Belgique ».

Denis Meyer

Artiste urbain connu pour ses fresques murales, il se définit comme typographe. Avec son œuvre éphémère Remember Souvenir, c’est plus de 25.000m2 des murs de l’ancien siège de la firme Solvay, voué à la destruction, qu’il a habillés. Il réalisera une fresque à Séoul.

Carole Solvay

Arrière-arrière-petite-fille d'Ernest Solvay, l’artiste, munie de plumes et de fil, crée des sculptures d’une beauté éthérée qui semblent défier la gravité. La plume est le matériau central de ses recherches. Elle l’explore de mille façons et en expérimente à la fois la résistance et la fluidité.

Benoît et Bo

Ce duo d’artistes visuels utilise leur héritage culturel, leur connaissance et leur histoire personnelle, pour créer des images d’un monde hybride et contemporain, un mélange d’Asie et d’Europe. Les images numériques exposées représentent un monde qui perd son équilibre à cause de catastrophes environnementales.

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Design & Mode                         

Jean-Paul Lespagnard, jeune styliste liégeois, travaille surtout à l’étranger. Son intérêt pour l'artisanat caractérise sa création. Il conçoit depuis dix ans des costumes pour des chorégraphes reconnus. A Séoul, il présentera sa collection « Capsule » de l’automne 2021, et des objets de la boutique EXTRA-ORDINAIRE située au centre-ville de Bruxelles et en ligne.

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Expo BD 

Inaugurée le 15 septembre, cette expo se tiendra jusqu’à la fin du mois de décembre à la Bibliothèque pour enfants et jeunes adultes de Séoul.

 

Programme et informations sur la page dédiée Korea-Belgium et sur le site de l'Ambassade de Belgique en Corée du Sud

 

 

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Les activités culturelles soutenues par Wallonie-Bruxelles International (WBI) se déclinent autour de trois axes principaux, la Gastronomie, les Arts plastiques, le Design & la Mode auxquels s'ajoute une exposition inédite de Bande-Dessinée initiée par WBI.

 

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Gastronomie

C’est le chef Sang Hoon Degeimbre du restaurant doublement étoilé L’Air du Temps à Liernu qui sera notre ambassadeur à Seoul. Il proposera des spécialités wallonnes aux visiteurs attendus durant toute la durée du Festival. En tant que membre fondateur du collectif Génération W, sa cuisine a pour objet la mise en valeur des produits de son terroir et de ses producteurs.

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Arts plastiques 

Les artistes sélectionnés, tous bruxellois, présenteront leurs œuvres du 20 octobre au 20 novembre 2021. Côté francophone, il y a Philippe Geluck, Denis Meyers, Carole Solvay et le collectif Benoît + Bo.

Philippe Geluck

C’est en 1983 qu’il crée le personnage du Chat pour le journal Le Soir. Depuis lors, celui-ci a fait le tour du monde et les albums du Chat se sont vendus à plus de 14 millions d’exemplaires. L’été dernier, Le Chat est parti à l’assaut des Champs Elysées avec 20 sculptures monumentales. Voilà ce qu’il disait de cette exposition « À travers ces vingt pièces, j’espère apporter au public de la joie, du rire et une certaine poésie surréaliste que nous affectionnons en Belgique ».

Denis Meyer

Artiste urbain connu pour ses fresques murales, il se définit comme typographe. Avec son œuvre éphémère Remember Souvenir, c’est plus de 25.000m2 des murs de l’ancien siège de la firme Solvay, voué à la destruction, qu’il a habillés. Il réalisera une fresque à Séoul.

Carole Solvay

Arrière-arrière-petite-fille d'Ernest Solvay, l’artiste, munie de plumes et de fil, crée des sculptures d’une beauté éthérée qui semblent défier la gravité. La plume est le matériau central de ses recherches. Elle l’explore de mille façons et en expérimente à la fois la résistance et la fluidité.

Benoît et Bo

Ce duo d’artistes visuels utilise leur héritage culturel, leur connaissance et leur histoire personnelle, pour créer des images d’un monde hybride et contemporain, un mélange d’Asie et d’Europe. Les images numériques exposées représentent un monde qui perd son équilibre à cause de catastrophes environnementales.

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Design & Mode                         

Jean-Paul Lespagnard, jeune styliste liégeois, travaille surtout à l’étranger. Son intérêt pour l'artisanat caractérise sa création. Il conçoit depuis dix ans des costumes pour des chorégraphes reconnus. A Séoul, il présentera sa collection « Capsule » de l’automne 2021, et des objets de la boutique EXTRA-ORDINAIRE située au centre-ville de Bruxelles et en ligne.

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Expo BD 

Inaugurée le 15 septembre, cette expo se tiendra jusqu’à la fin du mois de décembre à la Bibliothèque pour enfants et jeunes adultes de Séoul.

 

Programme et informations sur la page dédiée Korea-Belgium et sur le site de l'Ambassade de Belgique en Corée du Sud

 

 

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Beau succès pour l’événement de réseautage technologique entre la Wallonie, la Suisse et la France - Pollutec Lyon 2021

Les clusters Axelera (France), Cleantech Alps (Suisse) et Greenwin (Wallonie), ont co-organisé avec les bureaux scientifiques (ALS, WBI) de Lausanne et de Paris, un événement de maillages technologiques dans le domaine des énergies renouvelables lors du plus grand salon des technologies environnementales en Europe: Pollutec Lyon.

Après une brève introduction, les organisateurs ont présenté les appels à projets Eureka/Eurostars et 5 appels Horizon Europe (CL4 / CL5 / CL6). Les sociétés wallonnes, françaises et suisses ont ensuite présenté leurs offres et demandes technologiques. L’événement s’est soldé par un réseautage informel lors d’une réception proposée par l’AWEX et le FIT sur le stand belge du salon.

Une vingtaine d’étudiants en Master 2 de l’Ecole supérieure de commerce et de développement responsable et international (ESCD3A Lyon) ont également participé à cet événement dans le cadre de leurs cours de développement économique territorial.

 

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Participants

Suisse

  • Mobbot SA : Start
  • Neolec

Wallonie

  • CRM Group
  • Indrabel
  • Celabor

France

  • Lactips
  • Sarpi-Veolia
  • Ecobird
  • Bioentech

 

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Présentations

Toutes les présentations sont accessibles en pièce jointe.

 
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Les clusters Axelera (France), Cleantech Alps (Suisse) et Greenwin (Wallonie), ont co-organisé avec les bureaux scientifiques (ALS, WBI) de Lausanne et de Paris, un événement de maillages technologiques dans le domaine des énergies renouvelables lors du plus grand salon des technologies environnementales en Europe: Pollutec Lyon.

Après une brève introduction, les organisateurs ont présenté les appels à projets Eureka/Eurostars et 5 appels Horizon Europe (CL4 / CL5 / CL6). Les sociétés wallonnes, françaises et suisses ont ensuite présenté leurs offres et demandes technologiques. L’événement s’est soldé par un réseautage informel lors d’une réception proposée par l’AWEX et le FIT sur le stand belge du salon.

Une vingtaine d’étudiants en Master 2 de l’Ecole supérieure de commerce et de développement responsable et international (ESCD3A Lyon) ont également participé à cet événement dans le cadre de leurs cours de développement économique territorial.

 

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Participants

Suisse

  • Mobbot SA : Start
  • Neolec

Wallonie

  • CRM Group
  • Indrabel
  • Celabor

France

  • Lactips
  • Sarpi-Veolia
  • Ecobird
  • Bioentech

 

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Présentations

Toutes les présentations sont accessibles en pièce jointe.

 
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