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Le Secrétaire général de l'OCDE, Mathias Cormann et le Vice-Président de la Wallonie et Ministre de l’économie, M. Willy Borsus

Le Secrétaire général de l’Organisation pour la Coopération et le Développement Economique (OCDE), l’australien d’origine belge Mathias Cormann, s’est rendu ce mercredi 10 novembre à Namur. Cette journée faisait partie de sa première visite en Belgique depuis sa prise de fonction à la tête de l’Organisation en juin 2021.

 

C’est une journée chargée qui attendait l’ancien Ministre des Finances et Premier Ministre ad interim de l’Australie, puisqu’après un déjeuner de travail avec le Vice-Président de la Wallonie et Ministre de l’économie, M. Willy Borsus durant lequel ils ont abordé les enjeux du climat, de la relance post COVID, de la formation professionnelle, du numérique et de l’agriculture, il a ensuite assisté à une réunion de travail avec la Ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Mme Valérie Glatigny, à l’occasion de laquelle ils ont discuté pacte d’excellence, réforme de la formation des enseignants, transition numérique dans l’enseignement supérieur et sensibilisation aux études à orientation scientifique et mathématique.

 

Originaire de Raeren en Province de Liège, et ayant habité en Belgique jusqu’à ses 26 ans, M. Cormann a d’ailleurs rappelé qu’il était lui-même un pur produit de l’enseignement supérieur belge francophone où il a terminé ses « candidatures » en Droit en 1990 à l’Université de Namur (UNamur).  Il a souligné avec un peu d’émotion, toute l’excellence que ce diplôme lui avait apportée dans sa carrière future.

 

M. Cormann a conclu sa journée en participant à une table-ronde sur le numérique organisée par l’UNamur,  son ancienne université.  Il y a souligné les convergences entre les recommandations de l’OCDE et les politiques publiques menées en Wallonie notamment avec Digital Wallonia, tout en indiquant qu’il fallait également poursuivre l’investissement dans les réseaux de fibre optique et dans l’adaptation numérique des PME notamment. 

 

L’UNamur a salué son ancien étudiant et de son côté mis en avant à la fois son approche interdisciplinaire du numérique avec une attention permanente à l’humain et le travail pionnier mené dès 1970, avec la création du premier institut d’informatique d’Europe, devenu aujourd’hui la Faculté d’informatique, mais aussi du Centre de Recherche Information, Droit et Société (CRIDS) à la Faculté de Droit.  Centre qui mène des recherches interdisciplinaires en sciences humaines et société de l'information. 

 

L’UNamur créait aussi en 2018 un véritable Institut de référence, le « Namur Digital Institute », le NADI , offrant une expertise multidisciplinaire unique dans tous les domaines de l'informatique, de ses applications et de son impact social.  L’Institut compte plusieurs centres et chaires de recherche interdisciplinaires de renommée internationale sur la question du numérique dans la multitude de ses facettes et de ses implications technologiques, juridiques, économiques, sociales, communicationnelles et éthiques.  L’Agence du Numérique  a enfin souligné, tout comme M. Cormann, l’importance d’analyser et accompagner la transition vers l’e-commerce.

 

 

Le Secrétaire général de l’Organisation pour la Coopération et le Développement Economique (OCDE), l’australien d’origine belge Mathias Cormann, s’est rendu ce mercredi 10 novembre à Namur. Cette journée faisait partie de sa première visite en Belgique depuis sa prise de fonction à la tête de l’Organisation en juin 2021.

 

C’est une journée chargée qui attendait l’ancien Ministre des Finances et Premier Ministre ad interim de l’Australie, puisqu’après un déjeuner de travail avec le Vice-Président de la Wallonie et Ministre de l’économie, M. Willy Borsus durant lequel ils ont abordé les enjeux du climat, de la relance post COVID, de la formation professionnelle, du numérique et de l’agriculture, il a ensuite assisté à une réunion de travail avec la Ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Mme Valérie Glatigny, à l’occasion de laquelle ils ont discuté pacte d’excellence, réforme de la formation des enseignants, transition numérique dans l’enseignement supérieur et sensibilisation aux études à orientation scientifique et mathématique.

 

Originaire de Raeren en Province de Liège, et ayant habité en Belgique jusqu’à ses 26 ans, M. Cormann a d’ailleurs rappelé qu’il était lui-même un pur produit de l’enseignement supérieur belge francophone où il a terminé ses « candidatures » en Droit en 1990 à l’Université de Namur (UNamur).  Il a souligné avec un peu d’émotion, toute l’excellence que ce diplôme lui avait apportée dans sa carrière future.

 

M. Cormann a conclu sa journée en participant à une table-ronde sur le numérique organisée par l’UNamur,  son ancienne université.  Il y a souligné les convergences entre les recommandations de l’OCDE et les politiques publiques menées en Wallonie notamment avec Digital Wallonia, tout en indiquant qu’il fallait également poursuivre l’investissement dans les réseaux de fibre optique et dans l’adaptation numérique des PME notamment. 

 

L’UNamur a salué son ancien étudiant et de son côté mis en avant à la fois son approche interdisciplinaire du numérique avec une attention permanente à l’humain et le travail pionnier mené dès 1970, avec la création du premier institut d’informatique d’Europe, devenu aujourd’hui la Faculté d’informatique, mais aussi du Centre de Recherche Information, Droit et Société (CRIDS) à la Faculté de Droit.  Centre qui mène des recherches interdisciplinaires en sciences humaines et société de l'information. 

 

L’UNamur créait aussi en 2018 un véritable Institut de référence, le « Namur Digital Institute », le NADI , offrant une expertise multidisciplinaire unique dans tous les domaines de l'informatique, de ses applications et de son impact social.  L’Institut compte plusieurs centres et chaires de recherche interdisciplinaires de renommée internationale sur la question du numérique dans la multitude de ses facettes et de ses implications technologiques, juridiques, économiques, sociales, communicationnelles et éthiques.  L’Agence du Numérique  a enfin souligné, tout comme M. Cormann, l’importance d’analyser et accompagner la transition vers l’e-commerce.

 

 

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(c) ST'ART

Ce mécanisme de prêt s’adresse aux institutions culturelles désireuses de développer leur activité sur le territoire de la Fédération Wallonie-bruxelles, via un projet d’envergure nécessitant des financements importants en termes d’infrastructure, d’équipement, de digitalisation, d’accueil du public, ou encore de ressources humaines, pour un emprunt compris entre 250.000 et 2.000.000 d’euros.

 

Outre le financement du projet présenté, les institutions culturelles lauréates pourront également bénéficier si elles le souhaitent des conseils et de l’expertise de l’équipe de ST’ART en termes de processus stratégique et de montage financier.

 

Cette huitième édition s’adresse à toutes les institutions culturelles : théâtres, musées, compagnies, festivals, salles de spectacle, centres culturels, bibliothèques, sites patrimoniaux, etc. : tout lieu culturel peut prétendre au prêt Culture, du moment qu’il soit situé en Wallonie ou à Bruxelles.

 

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Délais et modalités

Les candidatures sont à remettre au plus tard pour le 28 janvier 2022 à 12h.

L’analyse des dossiers avec questions aux candidats se déroulera à partir de février 2022.

Le Jury de sélection se tiendra en mars 2022.

Le règlement et le formulaire de candidature sont disponiblesci-dessous.

Plus d'informations sur le site de ST'ART.

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Contact

Virginie Civrais, Directrice Générale ST’ART S.A.

virginie.civrais@start-invest.be

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Ce mécanisme de prêt s’adresse aux institutions culturelles désireuses de développer leur activité sur le territoire de la Fédération Wallonie-bruxelles, via un projet d’envergure nécessitant des financements importants en termes d’infrastructure, d’équipement, de digitalisation, d’accueil du public, ou encore de ressources humaines, pour un emprunt compris entre 250.000 et 2.000.000 d’euros.

 

Outre le financement du projet présenté, les institutions culturelles lauréates pourront également bénéficier si elles le souhaitent des conseils et de l’expertise de l’équipe de ST’ART en termes de processus stratégique et de montage financier.

 

Cette huitième édition s’adresse à toutes les institutions culturelles : théâtres, musées, compagnies, festivals, salles de spectacle, centres culturels, bibliothèques, sites patrimoniaux, etc. : tout lieu culturel peut prétendre au prêt Culture, du moment qu’il soit situé en Wallonie ou à Bruxelles.

 

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Les candidatures sont à remettre au plus tard pour le 28 janvier 2022 à 12h.

L’analyse des dossiers avec questions aux candidats se déroulera à partir de février 2022.

Le Jury de sélection se tiendra en mars 2022.

Le règlement et le formulaire de candidature sont disponiblesci-dessous.

Plus d'informations sur le site de ST'ART.

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Virginie Civrais, Directrice Générale ST’ART S.A.

virginie.civrais@start-invest.be

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Documents liés

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Le Réseau des villes créatives de l'UNESCO (RVCU) a été créé en 2004 pour promouvoir la coopération avec et entre les villes ayant identifié la créativité comme un facteur stratégique du développement urbain durable. Les 295 villes qui forment actuellement ce réseau travaillent ensemble vers un objectif commun : placer la créativité et les industries culturelles au cœur de leur plan de développement au niveau local et coopérer activement au niveau international.

 

Depuis  2012, la Ville de Namur se positionne comme Smart City. Son projet, dans un premier temps,  était essentiellement lié au développement technologique de la ville. Aujourd’hui, les perspectives sont élargies avec comme concept, un véritable modèle de développement urbain, durable qui prône l’innovation par et pour les usagers.

 

Aidé par le fonds européen FEDER, la ville de Namur a pu ainsi lancer neufs projets d’envergure sur la période 2014-2020. Afin de véritablement inclure le citoyen dans son développement numérique, elle a produit un travail de pédagogie et de sensibilisation conséquent.

 

Après le KIKK Festival, festival du numérique et de l’innovation, la ville a ainsi souhaité offrir à son public un lieu innovateur et innovant permanent à travers Le Pavillon, centre d’exposition  perché sur les hauteurs de la Citadelle, installé dans l’ancien bâtiment construit pour l’Exposition universelle de Milan.

 

Ces premiers chantiers développés, la ville a investi dans d’autres projets toujours inclusifs, tel le NID, acronyme de "Namur Intelligente et Durable", un espace ouvert au débat sur l’avenir de Namur et le rôle des villes face aux enjeux actuels et futurs. Le TRAKK, Hub créatif ou encore l’éducation aux arts numériques au sein de l'Institut Royal de Musique et de Pédagogie ou de la Haute Ecole Albert Jacquard, participent également du fort ancrage numérique de la Ville de Namur et de ses habitants.

 

Afin d’augmenter encore son potentiel créatif en matière de développement urbain durable, échanger des savoir-faire et coopérer au niveau international, la Ville de Namur a ainsi très légitimement déposé sa candidature auprès du Réseau des villes créatives de l’UNESCO.

 

Parmi les sept domaines créatifs couverts par ce réseau, la Ville de Namur a logiquement choisi celui du numérique. Elle s’engage à partager auprès d’autres villes membres, ses ressources, ses expériences et ses connaissances sur ce secteur. C’est un engagement à long terme qui suit un processus participatif présenté dans un plan d’action réaliste sur quatre ans, comportant des projets, des initiatives ou des politiques concrets afin d’atteindre les objectifs du Réseau.

 

L’adhésion au Réseau des villes créatives de l'UNESCO est une véritable opportunité d’échanges, de co-constructions de projets fédérateurs, de coopération internationale pour une mise en commun riche d’expériences et d’expertises.

 

Les Villes Créatives de l’UNESCO sont notamment des partenaires clés de l’UNESCO pour la mise en œuvre locale du Programme des Nations Unies de développement durable à l'horizon 2030.

 

 

Le Réseau des villes créatives de l'UNESCO (RVCU) a été créé en 2004 pour promouvoir la coopération avec et entre les villes ayant identifié la créativité comme un facteur stratégique du développement urbain durable. Les 295 villes qui forment actuellement ce réseau travaillent ensemble vers un objectif commun : placer la créativité et les industries culturelles au cœur de leur plan de développement au niveau local et coopérer activement au niveau international.

 

Depuis  2012, la Ville de Namur se positionne comme Smart City. Son projet, dans un premier temps,  était essentiellement lié au développement technologique de la ville. Aujourd’hui, les perspectives sont élargies avec comme concept, un véritable modèle de développement urbain, durable qui prône l’innovation par et pour les usagers.

 

Aidé par le fonds européen FEDER, la ville de Namur a pu ainsi lancer neufs projets d’envergure sur la période 2014-2020. Afin de véritablement inclure le citoyen dans son développement numérique, elle a produit un travail de pédagogie et de sensibilisation conséquent.

 

Après le KIKK Festival, festival du numérique et de l’innovation, la ville a ainsi souhaité offrir à son public un lieu innovateur et innovant permanent à travers Le Pavillon, centre d’exposition  perché sur les hauteurs de la Citadelle, installé dans l’ancien bâtiment construit pour l’Exposition universelle de Milan.

 

Ces premiers chantiers développés, la ville a investi dans d’autres projets toujours inclusifs, tel le NID, acronyme de "Namur Intelligente et Durable", un espace ouvert au débat sur l’avenir de Namur et le rôle des villes face aux enjeux actuels et futurs. Le TRAKK, Hub créatif ou encore l’éducation aux arts numériques au sein de l'Institut Royal de Musique et de Pédagogie ou de la Haute Ecole Albert Jacquard, participent également du fort ancrage numérique de la Ville de Namur et de ses habitants.

 

Afin d’augmenter encore son potentiel créatif en matière de développement urbain durable, échanger des savoir-faire et coopérer au niveau international, la Ville de Namur a ainsi très légitimement déposé sa candidature auprès du Réseau des villes créatives de l’UNESCO.

 

Parmi les sept domaines créatifs couverts par ce réseau, la Ville de Namur a logiquement choisi celui du numérique. Elle s’engage à partager auprès d’autres villes membres, ses ressources, ses expériences et ses connaissances sur ce secteur. C’est un engagement à long terme qui suit un processus participatif présenté dans un plan d’action réaliste sur quatre ans, comportant des projets, des initiatives ou des politiques concrets afin d’atteindre les objectifs du Réseau.

 

L’adhésion au Réseau des villes créatives de l'UNESCO est une véritable opportunité d’échanges, de co-constructions de projets fédérateurs, de coopération internationale pour une mise en commun riche d’expériences et d’expertises.

 

Les Villes Créatives de l’UNESCO sont notamment des partenaires clés de l’UNESCO pour la mise en œuvre locale du Programme des Nations Unies de développement durable à l'horizon 2030.

 

 

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400 millions de critiques aux Musée Royaux des Beaux-Arts de Belgique (c) Jérôme Van Belle - WBI

Dans le cadre du magazine 400 millions de critiques de TV5MONDE, Laura Tenoudji, Sylvestre Defontaine et leurs chroniqueurs se sont installés pour trois émissions à Bruxelles dans la salle Rubens des Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique.

 

Parmi les invités :

Pierre-Yves Desaive - Conservateur aux Musées royaux des beaux-arts de Belgique

Éric Franssen - Directeur du cinéma Palace

Louma Salamé - Directrice générale de la Villa Empain - Fondation Boghossian

 

Trois rendez-vous pour trois émissions, les 6, 13 et 20 novembre à 19h04, heure de Bruxelles.

 

Concept original et unique, 400 millions de critiques revient sur l’actualité culturelle francophone à travers les regards croisés de journalistes belges, suisses, canadiens, québécois, français, et en fonction des thématiques, africains, maghrébins ou libanais.

 

Cette étape bruxelloise de l'émission 400 millions de critiques a reçu le soutien de Visit Brussels et de Wallonie-Bruxelles International.

Dans le cadre du magazine 400 millions de critiques de TV5MONDE, Laura Tenoudji, Sylvestre Defontaine et leurs chroniqueurs se sont installés pour trois émissions à Bruxelles dans la salle Rubens des Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique.

 

Parmi les invités :

Pierre-Yves Desaive - Conservateur aux Musées royaux des beaux-arts de Belgique

Éric Franssen - Directeur du cinéma Palace

Louma Salamé - Directrice générale de la Villa Empain - Fondation Boghossian

 

Trois rendez-vous pour trois émissions, les 6, 13 et 20 novembre à 19h04, heure de Bruxelles.

 

Concept original et unique, 400 millions de critiques revient sur l’actualité culturelle francophone à travers les regards croisés de journalistes belges, suisses, canadiens, québécois, français, et en fonction des thématiques, africains, maghrébins ou libanais.

 

Cette étape bruxelloise de l'émission 400 millions de critiques a reçu le soutien de Visit Brussels et de Wallonie-Bruxelles International.

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Exposition numérique en formation professionnelle

Dans le cadre du Concours national des Enseignants en formation professionnelle 2021, organisé tous les 3 ans par le Ministère du Travail, des Invalides et des Affaires sociales (MOLISA), une exposition virtuelle sera organisée pour valoriser la contribution des partenaires internationaux au développement de la Formation Professionnelle et Technique (FPT) et présenter des acquis significatifs de projets de coopération internationale.

Une conférence et un séminaire scientifiques auront lieu au sein de cette exposition, en vue d’échanger de bonnes pratiques et des opportunités de coopération à venir.

La Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam a le plaisir de participer aux événements susmentionnés, organisés en ligne en novembre 2021, par le MOLISA, en collaboration avec la Représentation régionale pour l’Asie et le Pacifique de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF).

 

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Activité 1 - Exposition numérique de la Formation professionnelle

A l’occasion du Concours national des Enseignants en formation professionnelle 2021, le MOLISA organisera l’inauguration en ligne de "l'Exposition numérique de la Formation professionnelle" le 12 novembre après-midi.

  • L'exposition se déroulera en ligne du 12 au 30 novembre 2021.

  • La cérémonie d'inauguration aura lieu le 12 novembre 2021 de 14h30 à 15h30

  • Lien: http://trienlam.hoigianggdnn.vn

 

Cette activité tissera davantage des connexions permettant aux établissements de formation professionnelle, aux entreprises ainsi qu’aux organisations internationales de présenter, partager et promouvoir des informations liées à des recherches, des réalisations et de nouveaux dispositifs dans tout le système de formation professionnelle pour s’adapter à la transformation numérique.

La Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam participera à cette exposition pour présenter au public ses actions de coopération avec les partenaires vietnamiens dans le secteur de la formation professionnelle. 

Cliquez ici pour découvrir la contribution de WBI à l’exposition virtuelle.

 

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Activité 2 - Conférence sur les "Résultats et perspectives de coopération internationale en formation professionnelle et technique au Vietnam"

Dans le cadre des programmes de coopération internationale en formation professionnelle au Vietnam, le MOLISA, en collaboration avec la Représentation régionale pour l’Asie et le Pacifique de l’OIF, organisera la conférence sur les "Résultats et perspectives de coopération internationale en formation professionnelle et technique au Vietnam". Son objectif est de promouvoir la coopération bilatérale/multilatérale pour la FPT, en particulier des coopérations entre le MOLISA Vietnam et des institutions homologues dans les autres pays, dont Wallonie-Bruxelles International, l’APEFE et le FOREM.

 

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Activité 3 - Séminaire "La conception des compétences et le développement du corps enseignant et des professionnels en charge de la formation professionnelle et technique"

Dans le cadre du Concours national des Enseignants en formation professionnelle 2021, le Ministère du Travail, des Invalides et des Affaires sociales (MOLISA) organisera le séminaire intitulé « La conception des compétences et le développement du corps enseignant et des professionnels en charge de la formation professionnelle et technique », pour promouvoir des échanges de bonne pratiques et des opportunités de coopération à venir.

La Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam participera à ses activités en lien avec la Formation professionnelle, qui continue à devenir un axe prioritaire pour notre programme de coopération bilatérale, tant dans le passé que dans la prochaine période de coopération de 2022 à 2024 entre le Vietnam et Wallonie-Bruxelles.

 

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Pour plus d’informations

Vu Thi Thuy Duong - Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam

Centre DAEHA (5ème étage – # 505)/ 360 Kim Ma, Ba Dinh, Hanoi

Tél : (024) 3 831.52.41 / GSM : 09 04 80 20 44

Courriel : duongwb@walbruvietnam.org

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Dans le cadre du Concours national des Enseignants en formation professionnelle 2021, organisé tous les 3 ans par le Ministère du Travail, des Invalides et des Affaires sociales (MOLISA), une exposition virtuelle sera organisée pour valoriser la contribution des partenaires internationaux au développement de la Formation Professionnelle et Technique (FPT) et présenter des acquis significatifs de projets de coopération internationale.

Une conférence et un séminaire scientifiques auront lieu au sein de cette exposition, en vue d’échanger de bonnes pratiques et des opportunités de coopération à venir.

La Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam a le plaisir de participer aux événements susmentionnés, organisés en ligne en novembre 2021, par le MOLISA, en collaboration avec la Représentation régionale pour l’Asie et le Pacifique de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF).

 

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Activité 1 - Exposition numérique de la Formation professionnelle

A l’occasion du Concours national des Enseignants en formation professionnelle 2021, le MOLISA organisera l’inauguration en ligne de "l'Exposition numérique de la Formation professionnelle" le 12 novembre après-midi.

  • L'exposition se déroulera en ligne du 12 au 30 novembre 2021.

  • La cérémonie d'inauguration aura lieu le 12 novembre 2021 de 14h30 à 15h30

  • Lien: http://trienlam.hoigianggdnn.vn

 

Cette activité tissera davantage des connexions permettant aux établissements de formation professionnelle, aux entreprises ainsi qu’aux organisations internationales de présenter, partager et promouvoir des informations liées à des recherches, des réalisations et de nouveaux dispositifs dans tout le système de formation professionnelle pour s’adapter à la transformation numérique.

La Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam participera à cette exposition pour présenter au public ses actions de coopération avec les partenaires vietnamiens dans le secteur de la formation professionnelle. 

Cliquez ici pour découvrir la contribution de WBI à l’exposition virtuelle.

 

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Activité 2 - Conférence sur les "Résultats et perspectives de coopération internationale en formation professionnelle et technique au Vietnam"

Dans le cadre des programmes de coopération internationale en formation professionnelle au Vietnam, le MOLISA, en collaboration avec la Représentation régionale pour l’Asie et le Pacifique de l’OIF, organisera la conférence sur les "Résultats et perspectives de coopération internationale en formation professionnelle et technique au Vietnam". Son objectif est de promouvoir la coopération bilatérale/multilatérale pour la FPT, en particulier des coopérations entre le MOLISA Vietnam et des institutions homologues dans les autres pays, dont Wallonie-Bruxelles International, l’APEFE et le FOREM.

 

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Activité 3 - Séminaire "La conception des compétences et le développement du corps enseignant et des professionnels en charge de la formation professionnelle et technique"

Dans le cadre du Concours national des Enseignants en formation professionnelle 2021, le Ministère du Travail, des Invalides et des Affaires sociales (MOLISA) organisera le séminaire intitulé « La conception des compétences et le développement du corps enseignant et des professionnels en charge de la formation professionnelle et technique », pour promouvoir des échanges de bonne pratiques et des opportunités de coopération à venir.

La Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam participera à ses activités en lien avec la Formation professionnelle, qui continue à devenir un axe prioritaire pour notre programme de coopération bilatérale, tant dans le passé que dans la prochaine période de coopération de 2022 à 2024 entre le Vietnam et Wallonie-Bruxelles.

 

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Pour plus d’informations

Vu Thi Thuy Duong - Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam

Centre DAEHA (5ème étage – # 505)/ 360 Kim Ma, Ba Dinh, Hanoi

Tél : (024) 3 831.52.41 / GSM : 09 04 80 20 44

Courriel : duongwb@walbruvietnam.org

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© Saco - Inauguration à la biennale d’art contemporain SACO (Antofagasta, Chili) de l’intervention d’Alexandre Christiaens. En place du 25 octobre 2021 jusqu’à la destruction totale de l’œuvre par causes naturelles

Crée et dirigé par le photographe chilien Rodrigo Gómez Rovira, le Festival international de photographie de Valparaíso (FIFV) est une action culturelle urbaine de portée internationale qui se tient annuellement au Chili depuis 2010. Dès 2019, à travers l’intermédiation de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Chili, le photographe belge Alexandre Christiaens avait été mis en contact avec Rodrigo Gómez. C’est alors que commença une extraordinaire résidence au FIFV à Valparaiso mais aussi à Antofagasta avec la biennale SACO, festival d’art contemporain.

 

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Résidence au FIFV et à SACO

Présent dès la mi-mars 2021, Alexandre Christiaens est venu au Chili avec l’appui du Service Culture de Wallonie-Bruxelles International (WBI) pour réaliser une résidence au FIFV. Mais la seconde vague de Covid-19 l'a pris par surprise. Il a cependant eu l’occasion de réaliser une résidence à Valparaíso, avec l’appui logistique et administratif du FIFV qui l'a ensuite mis en lien avec le festival d’Art contemporain SACO, au nord du Chili.

À SACO, il a fait connaissance avec les fondateurs de la biennale, Dagmara Wyskiel et Cristián Nuñez: ceux-ci lui ont permis de réaliser une résidence à El Instituto Superior Latinoamericano de Arte (ISLA) et de photographier et interviewer les populations locales à Antofagasta et sur la côte nord du Chili. De plus, Alexandre Christiaens a tenu une rencontre d’échange formatif avec des photographes locaux. Après cette résidence à SACO, qui a duré environ deux semaines, l'artiste est retourné en Belgique pour développer l'idée de l'exposition prévue pour fin octobre 2021.

L’épilogue au Chili: 2 inaugurations d’expositions en présentiel au FIFV et à SACO (fin octobre/mi-décembre 2021).

 

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Acte 1: Biennale SACO 1.0 - Antofagasta

Intervention de panneaux publicitaires avec œuvres photographiques monumentales: The sea is the mountain - Du 25 octobre jusqu’à la fin décembre 2021.

Via la Commission Culture, Christiaens a reçu l’aide à la mobilité de WBI pour revenir au Chili pour, d’une part lancer une exposition au Parc Culturel de Valparaiso dans le cadre de FIFV 2021, mais aussi, dans le cadre de la biennale SACO 1.0 à Antofagasta, pour intervenir sur des panneaux publicitaires avec deux de ses photographies monumentales de paysages de 18 mètres de long sur 4 mètres de large. Ainsi, avec ces interventions qui ont pour titre The sea is the mountain, il développe le concept de "paysage dans le paysage". Cette intervention photographique durera jusqu’à la fin décembre 2021.

 

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Acte 2: FIFV 2021 -Valparaiso

Inauguration de l’exposition centrale Nuevo habitar du festival International de photographie au Parc Culturel de Valparaíso – Du 30 octobre au 26 novembre 2021.

Mise à l’honneur des nouvelles œuvres d’Alexandre Christiaens qui exposa au côté de la photographe espagnole Cristina de Middel et le gagnant 2020 du Prix meilleur dossier, Conjuro l’argentin Juan Sánchez.

 

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La suite à Bruxelles en 2022

Il est prévu que cette belle exposition d’Alexandre Christiaens soient présentée en septembre 2022 à l’espace de photographie Contretype à Bruxelles . À suivre…

 

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Liens d’intérêt

Festival International de Photographie de Valparaiso - FIFV 

 

Biennale d'Art Contemporain d'Antofagasta - SACO 1.0

SACO 1.0 : https://bienalsaco.com/

Première résidence d’Alexandre Christiaens à SACO en mai 2021 : 

Exposition à SACO

 

Alexandre Christiaens

Site d’Alexandre Christiaens

 

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Crée et dirigé par le photographe chilien Rodrigo Gómez Rovira, le Festival international de photographie de Valparaíso (FIFV) est une action culturelle urbaine de portée internationale qui se tient annuellement au Chili depuis 2010. Dès 2019, à travers l’intermédiation de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Chili, le photographe belge Alexandre Christiaens avait été mis en contact avec Rodrigo Gómez. C’est alors que commença une extraordinaire résidence au FIFV à Valparaiso mais aussi à Antofagasta avec la biennale SACO, festival d’art contemporain.

 

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Résidence au FIFV et à SACO

Présent dès la mi-mars 2021, Alexandre Christiaens est venu au Chili avec l’appui du Service Culture de Wallonie-Bruxelles International (WBI) pour réaliser une résidence au FIFV. Mais la seconde vague de Covid-19 l'a pris par surprise. Il a cependant eu l’occasion de réaliser une résidence à Valparaíso, avec l’appui logistique et administratif du FIFV qui l'a ensuite mis en lien avec le festival d’Art contemporain SACO, au nord du Chili.

À SACO, il a fait connaissance avec les fondateurs de la biennale, Dagmara Wyskiel et Cristián Nuñez: ceux-ci lui ont permis de réaliser une résidence à El Instituto Superior Latinoamericano de Arte (ISLA) et de photographier et interviewer les populations locales à Antofagasta et sur la côte nord du Chili. De plus, Alexandre Christiaens a tenu une rencontre d’échange formatif avec des photographes locaux. Après cette résidence à SACO, qui a duré environ deux semaines, l'artiste est retourné en Belgique pour développer l'idée de l'exposition prévue pour fin octobre 2021.

L’épilogue au Chili: 2 inaugurations d’expositions en présentiel au FIFV et à SACO (fin octobre/mi-décembre 2021).

 

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Acte 1: Biennale SACO 1.0 - Antofagasta

Intervention de panneaux publicitaires avec œuvres photographiques monumentales: The sea is the mountain - Du 25 octobre jusqu’à la fin décembre 2021.

Via la Commission Culture, Christiaens a reçu l’aide à la mobilité de WBI pour revenir au Chili pour, d’une part lancer une exposition au Parc Culturel de Valparaiso dans le cadre de FIFV 2021, mais aussi, dans le cadre de la biennale SACO 1.0 à Antofagasta, pour intervenir sur des panneaux publicitaires avec deux de ses photographies monumentales de paysages de 18 mètres de long sur 4 mètres de large. Ainsi, avec ces interventions qui ont pour titre The sea is the mountain, il développe le concept de "paysage dans le paysage". Cette intervention photographique durera jusqu’à la fin décembre 2021.

 

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Acte 2: FIFV 2021 -Valparaiso

Inauguration de l’exposition centrale Nuevo habitar du festival International de photographie au Parc Culturel de Valparaíso – Du 30 octobre au 26 novembre 2021.

Mise à l’honneur des nouvelles œuvres d’Alexandre Christiaens qui exposa au côté de la photographe espagnole Cristina de Middel et le gagnant 2020 du Prix meilleur dossier, Conjuro l’argentin Juan Sánchez.

 

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La suite à Bruxelles en 2022

Il est prévu que cette belle exposition d’Alexandre Christiaens soient présentée en septembre 2022 à l’espace de photographie Contretype à Bruxelles . À suivre…

 

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Liens d’intérêt

Festival International de Photographie de Valparaiso - FIFV 

 

Biennale d'Art Contemporain d'Antofagasta - SACO 1.0

SACO 1.0 : https://bienalsaco.com/

Première résidence d’Alexandre Christiaens à SACO en mai 2021 : 

Exposition à SACO

 

Alexandre Christiaens

Site d’Alexandre Christiaens

 

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NOIR artist - Acrylic painting on canvas

Noir Artist ? C’est qui ?

Noir Artist, ce sont deux frères. Lucien et Martin Gilson : l’un crée, l’autre assure les contacts. Chacun avec élégance, humour et humilité. Ensemble, ils entendent révéler, grâce à l’art, « une société qui se veut plus positive, plus respectueuse de l’homme en général, et des jeunes en particulier ».

Formé à Saint-Luc (Liège), Lucien est attiré par le côté créatif et patchwork de ce qu’il observe. En peintures, dessins, fresques monumentales, art mural, trompe-l’œil, décoration et design urbain, il explore d’abord un monde sombre, sous tension. Constamment en quête de nouvelles formes et de nouveaux médias, il développe un style graphique particulier. Il travaille à la bombe aussi bien qu’au pinceau, déchire le papier, s’inspire de la pub et des super héros, utilise la réalité virtuelle pour réaliser ses brouillons et n’exclut pas d’intégrer la sculpture à ses œuvres. Avec le temps, il leur ajoute des touches d’or ou de couleurs, tout en conservant les nuances de noir qui révèlent sa signature.

Lucien et Martin Gilson vivent et travaillent à Liège (Belgique).

 

En quelques mots, c’est quoi votre univers ?

« J’ai toujours été fasciné par l’aspect éphémère des choses, la vitesse à laquelle arrivent et repartent les informations, les publicités à chaque coin de rue, sur chaque page de magazine. Nos yeux deviennent esclaves sans que l’on s’en aperçoive. Les thèmes de mon travail se sont naturellement portés sur le constat que l’homme contemporain perd peu à peu la vision du beau, dans un monde où l’assaillent chaque jour un peu plus d’informations superflues. Dans mon travail, il n’y a pas de liaison évidente entre les différents personnages et textes. Mes réalisations sont souvent saturées d’informations, il y a très peu de respiration. L’œil ne trouve pas de repos. C’est pour moi la meilleure façon de peindre un « miroir » de la société, telle que je la ressens. »

 

En quoi consiste votre participation à l’Exposition universelle de Dubaï ?

« Lors de la « semaine Wallonie-Bruxelles » de l’Expo universelle de Dubaï, nous réaliserons des performances de « Live-Painting » dans le magnifique pavillon belge. L’objectif est de faire découvrir notre travail progressivement au travers de cette animation. »

 

 

En quoi est-ce important pour vous ?

« Réaliser ces performances dans un tel endroit nous permettra de montrer notre travail à un public international et curieux de découvrir ce qu’il se passe en Belgique.

C’est une opportunité incroyable pour nous et nous espérons bien que nos prestations attireront de nombreux visiteurs au Pavillon. »

 

Quels sont vos projets ?

« Nous profitons également de ce déplacement à Dubaï pour aller présenter notre travail aux Galeries d’art sur place. Notre grand projet est d’arriver à exposer dans une grande Galerie d’art dubaïote. »

 

Pour prolonger votre découverte de l’univers de Noir Artist :  https://www.noir-artist.com/

 

Vous souhaitez bénéficier d’une aide de WBI pour concrétiser votre démarche à l’international ? N’hésitez pas à consulter nos propositions: https://www.wbi.be/fr/service

 

Intéressé par la participation de Wallonie-Bruxelles à l’Expo universelle de Dubaï ? Retrouvez-en tous les détails: https://walloniaexpodubai.be/wallonia-brussels-week.html

Noir Artist ? C’est qui ?

Noir Artist, ce sont deux frères. Lucien et Martin Gilson : l’un crée, l’autre assure les contacts. Chacun avec élégance, humour et humilité. Ensemble, ils entendent révéler, grâce à l’art, « une société qui se veut plus positive, plus respectueuse de l’homme en général, et des jeunes en particulier ».

Formé à Saint-Luc (Liège), Lucien est attiré par le côté créatif et patchwork de ce qu’il observe. En peintures, dessins, fresques monumentales, art mural, trompe-l’œil, décoration et design urbain, il explore d’abord un monde sombre, sous tension. Constamment en quête de nouvelles formes et de nouveaux médias, il développe un style graphique particulier. Il travaille à la bombe aussi bien qu’au pinceau, déchire le papier, s’inspire de la pub et des super héros, utilise la réalité virtuelle pour réaliser ses brouillons et n’exclut pas d’intégrer la sculpture à ses œuvres. Avec le temps, il leur ajoute des touches d’or ou de couleurs, tout en conservant les nuances de noir qui révèlent sa signature.

Lucien et Martin Gilson vivent et travaillent à Liège (Belgique).

 

En quelques mots, c’est quoi votre univers ?

« J’ai toujours été fasciné par l’aspect éphémère des choses, la vitesse à laquelle arrivent et repartent les informations, les publicités à chaque coin de rue, sur chaque page de magazine. Nos yeux deviennent esclaves sans que l’on s’en aperçoive. Les thèmes de mon travail se sont naturellement portés sur le constat que l’homme contemporain perd peu à peu la vision du beau, dans un monde où l’assaillent chaque jour un peu plus d’informations superflues. Dans mon travail, il n’y a pas de liaison évidente entre les différents personnages et textes. Mes réalisations sont souvent saturées d’informations, il y a très peu de respiration. L’œil ne trouve pas de repos. C’est pour moi la meilleure façon de peindre un « miroir » de la société, telle que je la ressens. »

 

En quoi consiste votre participation à l’Exposition universelle de Dubaï ?

« Lors de la « semaine Wallonie-Bruxelles » de l’Expo universelle de Dubaï, nous réaliserons des performances de « Live-Painting » dans le magnifique pavillon belge. L’objectif est de faire découvrir notre travail progressivement au travers de cette animation. »

 

 

En quoi est-ce important pour vous ?

« Réaliser ces performances dans un tel endroit nous permettra de montrer notre travail à un public international et curieux de découvrir ce qu’il se passe en Belgique.

C’est une opportunité incroyable pour nous et nous espérons bien que nos prestations attireront de nombreux visiteurs au Pavillon. »

 

Quels sont vos projets ?

« Nous profitons également de ce déplacement à Dubaï pour aller présenter notre travail aux Galeries d’art sur place. Notre grand projet est d’arriver à exposer dans une grande Galerie d’art dubaïote. »

 

Pour prolonger votre découverte de l’univers de Noir Artist :  https://www.noir-artist.com/

 

Vous souhaitez bénéficier d’une aide de WBI pour concrétiser votre démarche à l’international ? N’hésitez pas à consulter nos propositions: https://www.wbi.be/fr/service

 

Intéressé par la participation de Wallonie-Bruxelles à l’Expo universelle de Dubaï ? Retrouvez-en tous les détails: https://walloniaexpodubai.be/wallonia-brussels-week.html

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Sarah Baatout à la Station Princesse Elizabeth, en Antartique

Il est logique, dès lors, de proposer une masterclass présentant l’excellence de Wallonie-Bruxelles dans ce domaine lors de la Semaine Wallonie-Bruxelles à l’Exposition universelle de DubaÏ. La plateforme conjointe WBI-AWEX en Recherche & Innovation a confié cette mission à deux scientifiques de la Fédération Wallonie-Bruxelles : Sarah Baatout et Vladimir Pletser. Les deux experts mèneront un dialogue inspirant et dynamique sur l’exploration spatiale en Wallonie.

 

En effet, après la Lune, Mars est la prochaine étape dans la conquête de l’espace. Planète voisine de la Terre, Mars est à quelques centaines de millions de km seulement, et il ne faut que quelques mois pour l'atteindre. Mais les radiations cosmiques, l'exposition à long terme à la microgravité, les problèmes psychologiques, les contaminations potentielles, sont autant d'éventuels obstacles. Il y a encore tant de choses à étudier, à découvrir et à organiser avant qu'un équipage humain puisse faire ce voyage.

 

La recherche scientifique et technique, le savoir-faire et l'expertise de la Wallonie et de Bruxelles sont reconnus dans le monde, comme le montre la masterclass concoctée par Sarah Baatout et Vladimir Pletser, divisée en plusieurs chapitres consacrés chacun à un projet scientifique et intitulée "L'excellence belge en matière de sciences et d'arts spatiaux".

 

Chaque présentation de projet est suivie d’une capsule artistique sur le thème de l’espace. En effet, Sarah Baatout participe au projet européen "Curious" qui consiste à mettre en relation des chercheurs et des artistes : les performances de cinq artistes de la Fédération Wallonie-Bruxelles sont filmées dans les décors de l’Euro Space Center (le peintre Olivier Lamboray, l’artiste culinaire Isabelle Arpin, le pianiste Daniel Vivès-Lynch, le baryton Daniel Van Quickelberghe et le dessinateur bédéiste et scénariste Pierre-Emmanuel Paulis).

 

L’après-midi de cette journée placée sous le signe de l’espace est quant à elle consacrée aux jeunes avec une animation organisée par l’Euro Space Center. Un télescope solaire est également accessible au grand public sur le rooftop du pavillon.

 

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Les pieds sur Terre et les yeux vers les étoiles

Le Professeur Sarah Baatout est directrice de l'unité de radiobiologie au SCK CEN (Centre de recherche nucléaire belge) à Mol, où elle dirige des recherches dans les domaines de la radiobiologie, de la radioprotection, de la biologie spatiale et de la médecine spatiale. Elle enseigne également en tant que professeur invité à l'Université de Gand et à l'UCLouvain. Elle étudie actuellement l'impact des rayonnements cosmiques sur les astronautes européens et les cosmonautes russes afin de mieux comprendre comment la physiologie humaine est affectée par les rayonnements spatiaux et comment mieux préparer et protéger les astronautes pour des missions plus longues vers la Lune ou pour assurer le succès de l'exploration humaine et protéger la santé des astronautes. Elle s'est rendue à la station belge Princesse Elisabeth, en Antarctique, pour étudier l'évolution de la santé dans cet environnement extrême où le degré d'isolement et de confinement est élevé et le mieux adapté aux missions humaines de longue durée dans l'espace. Sarah Baatout est également représentante belge à l'UNSCEAR (Comité scientifique des Nations Unies sur les effets des rayonnements atomiques), membre du Conseil supérieur de la santé et a reçu de l'Académie royale des sciences et des arts de Belgique le prestigieux Prix Wetrems de la meilleure découverte dans le domaine des sciences naturelles. Récemment, elle a reçu le prix de la « Personnalité BeSpace de l'année », une reconnaissance pour ses travaux de recherche et de sensibilisation dans le secteur spatial.

 

Le Dr Vladimir Pletser, quant à lui, est directeur des opérations d'entraînement spatial chez Blue Abyss, et propose une nouvelle approche pour la formation des astronautes. Auparavant, il a passé deux ans à Pékin comme professeur invité et conseiller scientifique au Centre d'Utilisation spatiale de l'Académie chinoise des sciences, pour la recherche en microgravité en vols paraboliques et sur la station spatiale chinoise. Il a été pendant 30 ans ingénieur-physicien principal au Centre européen de recherche et de technologies spatiales de l'ESA, où il a développé des instruments pour la recherche en microgravité sur la Station spatiale internationale et coordonné les campagnes de vols paraboliques. Il a effectué plus de 7.350 paraboles, équivalent à 39h30 d'apesanteur ou 26 orbites terrestres. Candidat astronaute belge, il a suivi l'entraînement comme spécialiste de charge utile à la NASA et a participé à trois simulations de mission sur Mars. En tant que professeur invité dans une vingtaine d'universités à travers le monde, il enseigne dans le domaine des sciences spatiales et de la recherche en microgravité.

 

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De l’importance d’être à Dubaï

Vladimir Pletser : "J'ai été invité à participer à la Semaine Wallonie-Bruxelles au Pavillon belge et à présenter avec ma collègue, le Pr Sarah Baatout, la recherche spatiale en Fédération Wallonie-Bruxelles. Nous avons en Belgique, et plus particulièrement à Bruxelles et en Wallonie, des chercheurs et des scientifiques reconnus internationalement comme étant parmi les meilleurs au monde dans leurs domaines, et il est important de le faire savoir au public international. La recherche spatiale en Fédération Wallonie-Bruxelles est extrêmement active à tous points de vue et il faut le dire."

 

Sarah Baatout : "WBI et l’AWEX m’ont invitée à participer à l’Exposition universelle de Dubaï et à y présenter ma recherche de pointe dans le domaine spatial effectuée en collaboration avec différentes universités, centres de recherche et industriels wallons mais également belges et européens. Je suis particulièrement honorée de présenter certains aspects de notre recherche spatiale belge francophone et de notamment mettre en évidence quelques fleurons wallons et bruxellois."

 

Selon les deux chercheurs, une telle masterclass a toute son importance. Ainsi, ils expliquent : "Nous avons choisi de présenter quelques pans de la recherche spatiale en Fédération Wallonie-Bruxelles. Il est en effet impossible d'aborder en 2h tout le secteur spatial en Wallonie et à Bruxelles. Il est beaucoup trop riche et abondant et il faudrait plusieurs jours pour présenter tous les acteurs de la  recherche spatiale en Fédération Wallonie-Bruxelles. Nous avons donc choisi un fil conducteur porteur et d'actualité, la préparation des futures missions habitées vers Mars. Six chapitres scientifiques sont abordés, montrant la diversité de la recherche spatiale, entrecoupés de capsules artistiques soulignant l'attrait qu'exerce aussi l'espace sur les artistes de la Fédération Wallonie-Bruxelles."

 

Les deux scientifiques portent un regard empli de fierté sur le secteur aérospatial en Wallonie et à Bruxelles. Selon V. Pletser : "C'est un secteur très dynamique et en expansion continue. Les résultats scientifiques engrangés ces dernières années placent nos chercheurs parmi les meilleurs au monde. Le savoir-faire technique des ingénieurs et des jeunes startups en Fédération Wallonie-Bruxelles est recherché par les grandes sociétés d'aérospatial, qui elles-mêmes sont impliquées dans la plupart des grands contrats industriels de développement technologique en support des projets spatiaux internationaux, actuels et futurs, comme le retour vers la Lune et l'exploration de Mars. Il faut en retenir que l'espace appartient à tout le monde. La recherche spatiale touche un vaste public, non seulement les scientifiques et les ingénieurs, mais également les artistes et le grand public."

 

S. Baatout, quant à elle, pense que "L'industrie wallonne et bruxelloise joue un rôle de premier plan dans le secteur aérospatial. De nombreux avions et engins spatiaux portent la marque du savoir-faire de Wallonie-Bruxelles. Dans le domaine des sciences spatiales du vivant et de la médecine spatiale, la Belgique francophone est également très active. Elle dispose d'un large éventail d'infrastructures, dont plusieurs aéroports internationaux, la station de suivi des satellites de l'Agence spatiale européenne (ESA) à Redu et le centre de télécommunications spatiales à Lessive."

 

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Le futur de l’humanité

Selon V. Pletser, "L'espace est le futur de l'humanité. Comme disait le savant russe Tsiolkovski, la Terre est le berceau de l'humanité, mais personne ne reste jamais longtemps au berceau. Il est tout à fait normal que l'être humain cherche d'abord à étudier et à comprendre l'environnement circumterrestre et l'espace plus lointain, et dans un deuxième temps, à explorer ce nouvel environnement. D'autre part, étudier les autres planètes, comme Mars, nous permet de mieux comprendre notre propre planète, la Terre. L'observer depuis une position orbitale nous renseigne également sur son évolution climatique et météorologique. Et finalement la recherche à bord des stations spatiales en orbite nous apporte de nouvelles connaissances, avec des retombées directes pour le bien-être de l'humanité sur Terre comme par exemple une meilleure compréhension du système cardio-vasculaire et de ses troubles, ou comme l'ostéoporose."

 

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La médecine spatiale pour aider sur Terre

Comme l’explique S. Baatout, "La médecine spatiale s’intéresse à la santé des astronautes dans l’espace. Lors de missions spatiales, le corps change avec l'impesanteur, et réagit différemment. L’enjeu actuel est d’assurer la bonne santé des astronautes au cours de voyages spatiaux qui promettent d’être plus longs. Les spécialistes estiment qu’en six mois, le corps accuse un vieillissement d’environ dix ans. Les muscles s’atrophient, les os deviennent poreux, la vue baisse. Des exercices cognitifs aux nouveaux médicaments en passant par des exercices de gymnastique spécialisés, des systèmes de diagnostics performants, des traitements innovants contre le cancer et la télémédecine : la recherche médicale dans l’espace couvre un large spectre. Les expériences menées sur les astronautes permettent d’en apprendre plus sur la physiologie humaine. Quand des innovations en découlent, les chercheurs n’hésitent pas à les transposer pour le commun des Terriens. Dès lors, la recherche spatiale contribue à l’amélioration du diagnostic et des traitements sur Terre."

 

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Et la jeunesse ?

"Tous les domaines de la recherche spatiale sont en pleine expansion, explique Vladimir Pletser. Il y a donc toujours un besoin constant de jeunes talents pour participer à cet élan de recherche et d'exploration de l'espace. Toutes les professions sont de plus en plus nécessaires pour supporter l'exploration planétaire et de l'espace lointain. Le meilleur conseil qu'on puisse donner à un jeune est d'être, et de rester, passionné et de ne jamais arrêter de croire en ses rêves. La passion pour l'espace est sans fin et remplit constamment et pleinement la tête et le cœur de ceux qui sont passionnés. Il faut continuer de transmettre cette passion aux jeunes et d'expliquer au grand public combien il est important d'investir dans cette démarche."
 

 

"L'exploration spatiale alimente la curiosité et l'imagination de nos enfants, explique de son côté Sarah Baatout. Des modèles tels que les astronautes et les scientifiques incitent les jeunes à rêver et, par conséquent, à atteindre leurs objectifs. De nombreux astronautes, ingénieurs, scientifiques et innovateurs se souviennent avoir regardé l'alunissage dans leur enfance et avoir été motivés pour réaliser leurs rêves. Les prochaines étapes nécessaires pour l'humanité seront d'explorer davantage la Lune et Mars, et de repousser les limites de ce qui est considéré comme possible, jetant ainsi les bases pour que les générations futures s'aventurent encore plus loin de notre planète. Tous les jeunes peuvent participer à cette entreprise scientifique, technologique et humaine et jouer un rôle important dans ces prochaines étapes, repousser les limites et poser les fondations pour les générations futures."
 

 

La Semaine Wallonie-Bruxelles à l’Expo Dubaï 2020 a lieu du 6 au 12 novembre 2021. Retrouvez le programme complet ici.

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Il est logique, dès lors, de proposer une masterclass présentant l’excellence de Wallonie-Bruxelles dans ce domaine lors de la Semaine Wallonie-Bruxelles à l’Exposition universelle de DubaÏ. La plateforme conjointe WBI-AWEX en Recherche & Innovation a confié cette mission à deux scientifiques de la Fédération Wallonie-Bruxelles : Sarah Baatout et Vladimir Pletser. Les deux experts mèneront un dialogue inspirant et dynamique sur l’exploration spatiale en Wallonie.

 

En effet, après la Lune, Mars est la prochaine étape dans la conquête de l’espace. Planète voisine de la Terre, Mars est à quelques centaines de millions de km seulement, et il ne faut que quelques mois pour l'atteindre. Mais les radiations cosmiques, l'exposition à long terme à la microgravité, les problèmes psychologiques, les contaminations potentielles, sont autant d'éventuels obstacles. Il y a encore tant de choses à étudier, à découvrir et à organiser avant qu'un équipage humain puisse faire ce voyage.

 

La recherche scientifique et technique, le savoir-faire et l'expertise de la Wallonie et de Bruxelles sont reconnus dans le monde, comme le montre la masterclass concoctée par Sarah Baatout et Vladimir Pletser, divisée en plusieurs chapitres consacrés chacun à un projet scientifique et intitulée "L'excellence belge en matière de sciences et d'arts spatiaux".

 

Chaque présentation de projet est suivie d’une capsule artistique sur le thème de l’espace. En effet, Sarah Baatout participe au projet européen "Curious" qui consiste à mettre en relation des chercheurs et des artistes : les performances de cinq artistes de la Fédération Wallonie-Bruxelles sont filmées dans les décors de l’Euro Space Center (le peintre Olivier Lamboray, l’artiste culinaire Isabelle Arpin, le pianiste Daniel Vivès-Lynch, le baryton Daniel Van Quickelberghe et le dessinateur bédéiste et scénariste Pierre-Emmanuel Paulis).

 

L’après-midi de cette journée placée sous le signe de l’espace est quant à elle consacrée aux jeunes avec une animation organisée par l’Euro Space Center. Un télescope solaire est également accessible au grand public sur le rooftop du pavillon.

 

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Les pieds sur Terre et les yeux vers les étoiles

Le Professeur Sarah Baatout est directrice de l'unité de radiobiologie au SCK CEN (Centre de recherche nucléaire belge) à Mol, où elle dirige des recherches dans les domaines de la radiobiologie, de la radioprotection, de la biologie spatiale et de la médecine spatiale. Elle enseigne également en tant que professeur invité à l'Université de Gand et à l'UCLouvain. Elle étudie actuellement l'impact des rayonnements cosmiques sur les astronautes européens et les cosmonautes russes afin de mieux comprendre comment la physiologie humaine est affectée par les rayonnements spatiaux et comment mieux préparer et protéger les astronautes pour des missions plus longues vers la Lune ou pour assurer le succès de l'exploration humaine et protéger la santé des astronautes. Elle s'est rendue à la station belge Princesse Elisabeth, en Antarctique, pour étudier l'évolution de la santé dans cet environnement extrême où le degré d'isolement et de confinement est élevé et le mieux adapté aux missions humaines de longue durée dans l'espace. Sarah Baatout est également représentante belge à l'UNSCEAR (Comité scientifique des Nations Unies sur les effets des rayonnements atomiques), membre du Conseil supérieur de la santé et a reçu de l'Académie royale des sciences et des arts de Belgique le prestigieux Prix Wetrems de la meilleure découverte dans le domaine des sciences naturelles. Récemment, elle a reçu le prix de la « Personnalité BeSpace de l'année », une reconnaissance pour ses travaux de recherche et de sensibilisation dans le secteur spatial.

 

Le Dr Vladimir Pletser, quant à lui, est directeur des opérations d'entraînement spatial chez Blue Abyss, et propose une nouvelle approche pour la formation des astronautes. Auparavant, il a passé deux ans à Pékin comme professeur invité et conseiller scientifique au Centre d'Utilisation spatiale de l'Académie chinoise des sciences, pour la recherche en microgravité en vols paraboliques et sur la station spatiale chinoise. Il a été pendant 30 ans ingénieur-physicien principal au Centre européen de recherche et de technologies spatiales de l'ESA, où il a développé des instruments pour la recherche en microgravité sur la Station spatiale internationale et coordonné les campagnes de vols paraboliques. Il a effectué plus de 7.350 paraboles, équivalent à 39h30 d'apesanteur ou 26 orbites terrestres. Candidat astronaute belge, il a suivi l'entraînement comme spécialiste de charge utile à la NASA et a participé à trois simulations de mission sur Mars. En tant que professeur invité dans une vingtaine d'universités à travers le monde, il enseigne dans le domaine des sciences spatiales et de la recherche en microgravité.

 

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De l’importance d’être à Dubaï

Vladimir Pletser : "J'ai été invité à participer à la Semaine Wallonie-Bruxelles au Pavillon belge et à présenter avec ma collègue, le Pr Sarah Baatout, la recherche spatiale en Fédération Wallonie-Bruxelles. Nous avons en Belgique, et plus particulièrement à Bruxelles et en Wallonie, des chercheurs et des scientifiques reconnus internationalement comme étant parmi les meilleurs au monde dans leurs domaines, et il est important de le faire savoir au public international. La recherche spatiale en Fédération Wallonie-Bruxelles est extrêmement active à tous points de vue et il faut le dire."

 

Sarah Baatout : "WBI et l’AWEX m’ont invitée à participer à l’Exposition universelle de Dubaï et à y présenter ma recherche de pointe dans le domaine spatial effectuée en collaboration avec différentes universités, centres de recherche et industriels wallons mais également belges et européens. Je suis particulièrement honorée de présenter certains aspects de notre recherche spatiale belge francophone et de notamment mettre en évidence quelques fleurons wallons et bruxellois."

 

Selon les deux chercheurs, une telle masterclass a toute son importance. Ainsi, ils expliquent : "Nous avons choisi de présenter quelques pans de la recherche spatiale en Fédération Wallonie-Bruxelles. Il est en effet impossible d'aborder en 2h tout le secteur spatial en Wallonie et à Bruxelles. Il est beaucoup trop riche et abondant et il faudrait plusieurs jours pour présenter tous les acteurs de la  recherche spatiale en Fédération Wallonie-Bruxelles. Nous avons donc choisi un fil conducteur porteur et d'actualité, la préparation des futures missions habitées vers Mars. Six chapitres scientifiques sont abordés, montrant la diversité de la recherche spatiale, entrecoupés de capsules artistiques soulignant l'attrait qu'exerce aussi l'espace sur les artistes de la Fédération Wallonie-Bruxelles."

 

Les deux scientifiques portent un regard empli de fierté sur le secteur aérospatial en Wallonie et à Bruxelles. Selon V. Pletser : "C'est un secteur très dynamique et en expansion continue. Les résultats scientifiques engrangés ces dernières années placent nos chercheurs parmi les meilleurs au monde. Le savoir-faire technique des ingénieurs et des jeunes startups en Fédération Wallonie-Bruxelles est recherché par les grandes sociétés d'aérospatial, qui elles-mêmes sont impliquées dans la plupart des grands contrats industriels de développement technologique en support des projets spatiaux internationaux, actuels et futurs, comme le retour vers la Lune et l'exploration de Mars. Il faut en retenir que l'espace appartient à tout le monde. La recherche spatiale touche un vaste public, non seulement les scientifiques et les ingénieurs, mais également les artistes et le grand public."

 

S. Baatout, quant à elle, pense que "L'industrie wallonne et bruxelloise joue un rôle de premier plan dans le secteur aérospatial. De nombreux avions et engins spatiaux portent la marque du savoir-faire de Wallonie-Bruxelles. Dans le domaine des sciences spatiales du vivant et de la médecine spatiale, la Belgique francophone est également très active. Elle dispose d'un large éventail d'infrastructures, dont plusieurs aéroports internationaux, la station de suivi des satellites de l'Agence spatiale européenne (ESA) à Redu et le centre de télécommunications spatiales à Lessive."

 

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Le futur de l’humanité

Selon V. Pletser, "L'espace est le futur de l'humanité. Comme disait le savant russe Tsiolkovski, la Terre est le berceau de l'humanité, mais personne ne reste jamais longtemps au berceau. Il est tout à fait normal que l'être humain cherche d'abord à étudier et à comprendre l'environnement circumterrestre et l'espace plus lointain, et dans un deuxième temps, à explorer ce nouvel environnement. D'autre part, étudier les autres planètes, comme Mars, nous permet de mieux comprendre notre propre planète, la Terre. L'observer depuis une position orbitale nous renseigne également sur son évolution climatique et météorologique. Et finalement la recherche à bord des stations spatiales en orbite nous apporte de nouvelles connaissances, avec des retombées directes pour le bien-être de l'humanité sur Terre comme par exemple une meilleure compréhension du système cardio-vasculaire et de ses troubles, ou comme l'ostéoporose."

 

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La médecine spatiale pour aider sur Terre

Comme l’explique S. Baatout, "La médecine spatiale s’intéresse à la santé des astronautes dans l’espace. Lors de missions spatiales, le corps change avec l'impesanteur, et réagit différemment. L’enjeu actuel est d’assurer la bonne santé des astronautes au cours de voyages spatiaux qui promettent d’être plus longs. Les spécialistes estiment qu’en six mois, le corps accuse un vieillissement d’environ dix ans. Les muscles s’atrophient, les os deviennent poreux, la vue baisse. Des exercices cognitifs aux nouveaux médicaments en passant par des exercices de gymnastique spécialisés, des systèmes de diagnostics performants, des traitements innovants contre le cancer et la télémédecine : la recherche médicale dans l’espace couvre un large spectre. Les expériences menées sur les astronautes permettent d’en apprendre plus sur la physiologie humaine. Quand des innovations en découlent, les chercheurs n’hésitent pas à les transposer pour le commun des Terriens. Dès lors, la recherche spatiale contribue à l’amélioration du diagnostic et des traitements sur Terre."

 

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Et la jeunesse ?

"Tous les domaines de la recherche spatiale sont en pleine expansion, explique Vladimir Pletser. Il y a donc toujours un besoin constant de jeunes talents pour participer à cet élan de recherche et d'exploration de l'espace. Toutes les professions sont de plus en plus nécessaires pour supporter l'exploration planétaire et de l'espace lointain. Le meilleur conseil qu'on puisse donner à un jeune est d'être, et de rester, passionné et de ne jamais arrêter de croire en ses rêves. La passion pour l'espace est sans fin et remplit constamment et pleinement la tête et le cœur de ceux qui sont passionnés. Il faut continuer de transmettre cette passion aux jeunes et d'expliquer au grand public combien il est important d'investir dans cette démarche."
 

 

"L'exploration spatiale alimente la curiosité et l'imagination de nos enfants, explique de son côté Sarah Baatout. Des modèles tels que les astronautes et les scientifiques incitent les jeunes à rêver et, par conséquent, à atteindre leurs objectifs. De nombreux astronautes, ingénieurs, scientifiques et innovateurs se souviennent avoir regardé l'alunissage dans leur enfance et avoir été motivés pour réaliser leurs rêves. Les prochaines étapes nécessaires pour l'humanité seront d'explorer davantage la Lune et Mars, et de repousser les limites de ce qui est considéré comme possible, jetant ainsi les bases pour que les générations futures s'aventurent encore plus loin de notre planète. Tous les jeunes peuvent participer à cette entreprise scientifique, technologique et humaine et jouer un rôle important dans ces prochaines étapes, repousser les limites et poser les fondations pour les générations futures."
 

 

La Semaine Wallonie-Bruxelles à l’Expo Dubaï 2020 a lieu du 6 au 12 novembre 2021. Retrouvez le programme complet ici.

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Le Ministre-Président de la Fédération Wallonie-Bruxelles PY. Jeholet, M. Robert Beugré MAMBE, Gouverneur d’Abidjan et Secrétaire général de l’AIMF, M. Geoffroi MONTPETIT, Administrateur de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), M. Maxime PREVOT, Député-Bourgmestre de la Ville de Namur (c) Commissariat aux Relations Internationales de la Ville de Namur

Plus de 150 participants se  sont réunis, dès le 2 novembre, à Bruxelles pour des travaux préparatoires au Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles sur le thème Villes et Gouvernements pour un numérique au service du développement urbain et de la résilience des territoires, avant de se retrouver, le 4 novembre, au Parlement de Wallonie à Namur pour une table ronde composée de Parlementaires, de Ministres et de Maires de grandes métropoles de l’espace francophone.

 

Le Ministre-Président de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Pierre-Yves Jeholet, a offert à cette occasion un dîner d’accueil à l’Hôtel de ville de Bruxelles le 3 novembre.

 

L’objectif de cette conférence internationale, qui s’inscrit dans le Partenariat entre l’AIMF et l’Union européenne, était de renforcer l’articulation des politiques locales, nationales et internationales, afin de promouvoir un numérique au service du développement des territoires, de l’innovation et de l’emploi des jeunes qui soit sûr et respectueux des données personnelles.

 

La crise sanitaire a en effet, montré le caractère incontournable du numérique dans la résilience des territoires. Dans ce contexte, les villes doivent se saisir rapidement des enjeux du numérique, tant pour les opportunités qu’ils représentent que les risques qu’ils génèrent pour les citoyens comme pour les administrations publiques (piratage). Les initiatives menées illustrent la multiplicité des leviers que peuvent activer les collectivités pour parvenir à des transformations numériques souhaitées, qui intègrent des critères sociaux, environnementaux et démocratiques.

 

A l’issue des travaux, un Plan d’action de l’AIMF en matière de développement numérique a été adopté par les délégués présents.

 

Ce Sommet a été l’occasion d’inaugurer, le 4 novembre, le Square de la Francophonie situé le long de la Meuse à Namur.  Le 5 novembre, les participants ont également été invités à participer au KIKK Festival, rendez-vous international des cultures numériques et créatives.

 

Depuis 2004, Wallonie-Bruxelles International soutient l’AIMF en contribuant financièrement à la mise en œuvre de projets qui ont pour volonté de répondre aux préoccupations des collectivités locales et qui associent des acteurs de terrain.

 

Retrouvez le programme et le plan d'action sur le site de l'AIMF

 

Plus de 150 participants se  sont réunis, dès le 2 novembre, à Bruxelles pour des travaux préparatoires au Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles sur le thème Villes et Gouvernements pour un numérique au service du développement urbain et de la résilience des territoires, avant de se retrouver, le 4 novembre, au Parlement de Wallonie à Namur pour une table ronde composée de Parlementaires, de Ministres et de Maires de grandes métropoles de l’espace francophone.

 

Le Ministre-Président de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Pierre-Yves Jeholet, a offert à cette occasion un dîner d’accueil à l’Hôtel de ville de Bruxelles le 3 novembre.

 

L’objectif de cette conférence internationale, qui s’inscrit dans le Partenariat entre l’AIMF et l’Union européenne, était de renforcer l’articulation des politiques locales, nationales et internationales, afin de promouvoir un numérique au service du développement des territoires, de l’innovation et de l’emploi des jeunes qui soit sûr et respectueux des données personnelles.

 

La crise sanitaire a en effet, montré le caractère incontournable du numérique dans la résilience des territoires. Dans ce contexte, les villes doivent se saisir rapidement des enjeux du numérique, tant pour les opportunités qu’ils représentent que les risques qu’ils génèrent pour les citoyens comme pour les administrations publiques (piratage). Les initiatives menées illustrent la multiplicité des leviers que peuvent activer les collectivités pour parvenir à des transformations numériques souhaitées, qui intègrent des critères sociaux, environnementaux et démocratiques.

 

A l’issue des travaux, un Plan d’action de l’AIMF en matière de développement numérique a été adopté par les délégués présents.

 

Ce Sommet a été l’occasion d’inaugurer, le 4 novembre, le Square de la Francophonie situé le long de la Meuse à Namur.  Le 5 novembre, les participants ont également été invités à participer au KIKK Festival, rendez-vous international des cultures numériques et créatives.

 

Depuis 2004, Wallonie-Bruxelles International soutient l’AIMF en contribuant financièrement à la mise en œuvre de projets qui ont pour volonté de répondre aux préoccupations des collectivités locales et qui associent des acteurs de terrain.

 

Retrouvez le programme et le plan d'action sur le site de l'AIMF

 

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Laurent Blondiau et le Mâäk Quintet à l'Expo 2020 Dubaï | © J. Van Belle - WBI
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Laurent Blondiau et le collectif Mâäk

Laurent Blondiau, trompettiste et coordinateur artistique chez MetX, n’est plus à présenter dans et en dehors de nos frontières (Révélation Européenne de l’Académie du Jazz de France en 2009, Prix Sabam Jazz Award en 2015…). Il y a plus de 20 ans, il crée le collectif de jazz Mâäk, formation avec laquelle il explore toute nouvelle possibilité sonore, rythmique et harmonique.

Le collectif Mâäk, fragile équilibre entre improvisation et partition, le tout pimenté de rythmes africains, se décline bientôt en plusieurs courants d’influences musicales. Quelques exemples qui illustrent la soif constante d’expériences et de renouvellement : Mâäk Kojo (influences béninoises), MikMâäk (big band de 16 musiciens), Les Sheikhs Shikhats & B’net Chaabi (projet avec Laïla Amezian mélangeant chants et rythmes chaabi avec des arrangements jazz), Bakanaï (ensemble multi-disciplinaire regroupant des musiciens jouant d’un instrument « transportable » et des danseurs), Les Ventistes du Faso (projet de formation de joueurs d’instruments à vent en Afrique de l’Ouest)…

 

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Collaborations et traditions

Depuis plusieurs années déjà, Laurent Blondiau collabore avec Laïla Amezian autour du répertoire de chants traditionnels Chaabi du Maroc. La rythmique Chaabi est spécialement intéressante et complexe car elle offre de nombreuses possibilités d’arrangements et de composition. Le projet s’est d’abord concrétisé avec une chorale amateur, ensuite avec un premier projet professionnel, et maintenant avec un groupe de 18 musiciens avec lequel ils préparent un enregistrement prévu pour fin novembre. Les visiteurs du Pavillon belge de l’exposition universelle auront l’honneur de plonger dans leur univers.

 

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L’expo universelle

Pour l’artiste, c’est toujours un plaisir de pouvoir présenter sa musique à un nouveau public. Dans le cadre d’une exposition universelle, des gens du monde entier sont présents. Cela donne l’occasion de visiter de nombreux pavillons étrangers  et d’y rencontrer une multitude de gens intéressants. Laurent Blondiau espère aussi que « le public qui assistera aux concerts dans le pavillon belge sera très divers ! »

 

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Le jazz et Wallonie-Bruxelles

Pour Laurent Blondiau, les artistes et projets artistiques sont particulièrement nombreux dans notre petit pays. Il souligne l’importance de pouvoir compter sur l’aide des pouvoirs publics, que ce soit pour le jazz ou pour d’autres disciplines. Le rôle de Wallonie-Bruxelles est donc primordial pour permettre aux artistes de bénéficier d’aide et de support pour pouvoir continuer à créer, mais aussi pour diffuser et faire connaitre leurs créations.

Pour le trompettiste, l’échange avec d’autres artistes de Wallonie-Bruxelles, mais aussi des artistes du nord du pays et d’autres contrées est une chance et une richesse. Et comme il le rappelle : « La force d’un beau projet, d’une belle œuvre artistique ne se limite pas à l’origine géographique des artistes, mais bien à leur créativité et leur envie de se rencontrer, d’où qu’ils viennent. »

 

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Pour en savoir plus

Laurent Blondiau : http://www.metx.be/fr/artiesten/laurent-blondiau-2/

Le collectif Mâäk : http://www.metx.be/fr/projecten/maak-quintet-3/

Laïla Amezian : https://www.metx.be/fr/artiesten/laila-amezian/

 

Vous souhaitez bénéficier d’une aide de WBI pour concrétiser votre démarche à l’international ? N’hésitez pas à consulter nos propositions: https://www.wbi.be/fr/service

Intéressé par la participation de Wallonie-Bruxelles à l’Expo universelle de Dubaï ? Retrouvez-en tous les détails: https://walloniaexpodubai.be/wallonia-brussels-week.html

 

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Laurent Blondiau et le collectif Mâäk

Laurent Blondiau, trompettiste et coordinateur artistique chez MetX, n’est plus à présenter dans et en dehors de nos frontières (Révélation Européenne de l’Académie du Jazz de France en 2009, Prix Sabam Jazz Award en 2015…). Il y a plus de 20 ans, il crée le collectif de jazz Mâäk, formation avec laquelle il explore toute nouvelle possibilité sonore, rythmique et harmonique.

Le collectif Mâäk, fragile équilibre entre improvisation et partition, le tout pimenté de rythmes africains, se décline bientôt en plusieurs courants d’influences musicales. Quelques exemples qui illustrent la soif constante d’expériences et de renouvellement : Mâäk Kojo (influences béninoises), MikMâäk (big band de 16 musiciens), Les Sheikhs Shikhats & B’net Chaabi (projet avec Laïla Amezian mélangeant chants et rythmes chaabi avec des arrangements jazz), Bakanaï (ensemble multi-disciplinaire regroupant des musiciens jouant d’un instrument « transportable » et des danseurs), Les Ventistes du Faso (projet de formation de joueurs d’instruments à vent en Afrique de l’Ouest)…

 

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Collaborations et traditions

Depuis plusieurs années déjà, Laurent Blondiau collabore avec Laïla Amezian autour du répertoire de chants traditionnels Chaabi du Maroc. La rythmique Chaabi est spécialement intéressante et complexe car elle offre de nombreuses possibilités d’arrangements et de composition. Le projet s’est d’abord concrétisé avec une chorale amateur, ensuite avec un premier projet professionnel, et maintenant avec un groupe de 18 musiciens avec lequel ils préparent un enregistrement prévu pour fin novembre. Les visiteurs du Pavillon belge de l’exposition universelle auront l’honneur de plonger dans leur univers.

 

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L’expo universelle

Pour l’artiste, c’est toujours un plaisir de pouvoir présenter sa musique à un nouveau public. Dans le cadre d’une exposition universelle, des gens du monde entier sont présents. Cela donne l’occasion de visiter de nombreux pavillons étrangers  et d’y rencontrer une multitude de gens intéressants. Laurent Blondiau espère aussi que « le public qui assistera aux concerts dans le pavillon belge sera très divers ! »

 

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Le jazz et Wallonie-Bruxelles

Pour Laurent Blondiau, les artistes et projets artistiques sont particulièrement nombreux dans notre petit pays. Il souligne l’importance de pouvoir compter sur l’aide des pouvoirs publics, que ce soit pour le jazz ou pour d’autres disciplines. Le rôle de Wallonie-Bruxelles est donc primordial pour permettre aux artistes de bénéficier d’aide et de support pour pouvoir continuer à créer, mais aussi pour diffuser et faire connaitre leurs créations.

Pour le trompettiste, l’échange avec d’autres artistes de Wallonie-Bruxelles, mais aussi des artistes du nord du pays et d’autres contrées est une chance et une richesse. Et comme il le rappelle : « La force d’un beau projet, d’une belle œuvre artistique ne se limite pas à l’origine géographique des artistes, mais bien à leur créativité et leur envie de se rencontrer, d’où qu’ils viennent. »

 

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Pour en savoir plus

Laurent Blondiau : http://www.metx.be/fr/artiesten/laurent-blondiau-2/

Le collectif Mâäk : http://www.metx.be/fr/projecten/maak-quintet-3/

Laïla Amezian : https://www.metx.be/fr/artiesten/laila-amezian/

 

Vous souhaitez bénéficier d’une aide de WBI pour concrétiser votre démarche à l’international ? N’hésitez pas à consulter nos propositions: https://www.wbi.be/fr/service

Intéressé par la participation de Wallonie-Bruxelles à l’Expo universelle de Dubaï ? Retrouvez-en tous les détails: https://walloniaexpodubai.be/wallonia-brussels-week.html

 

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