Aller au contenu principal

(c) TDM

Réalisé par TDM (Télévision du Monde ASBL) dans le cadre du chantier « Culture et prévention » mis en place par le réseau FrancoPREV (Réseau francophone de prévention de la radicalisation et de l’extrémisme violents pouvant conduire au terrorisme), ce webdocumentaire témoigne de la manière dont des artistes de cinq pays membres de la Francophonie se sont impliqués dans la thématique des extrémismes violents et se sont engagés dans la prévention auprès de leurs publics (en Belgique francophone, au Cameroun, en France, en Tunisie et au Mali). Leur expérience est mise en avant au travers de portraits inspirants et mobilisateurs pour l’ensemble des actrices et acteurs de la prévention.

 

Il s’agit d’un outil d’information et de sensibilisation destiné à l’ensemble des personnes chargées de la prévention (du niveau décisionnaire à la mise en œuvre de programmes de prévention). Il a pour vocation de mettre en valeur les initiatives de prévention prises dans le domaine des arts vivants, à partir du témoignage de celles et ceux qui les ont conçues. Il a pour ambition d’être mobilisateur, en manifestant la portée des arts vivants pour la prévention des extrémismes et radicalismes violents et en encourageant ce type d’initiatives aux publics jeunes en particulier.

 

Le webdocumentaire est divisé en quatre chapitres présentant les différentes étapes de la réalisation de projets de prévention, et en quinze bonus d’approfondissement complémentaires. De courts textes présentent le projet, les chapitres et les bonus, ce qui permet une expérience interactive de navigation pour les usagers en fonction de leurs intérêts.

 

Dix compagnies sont représentées: Acte SEPT, la Compagnie Six Pieds Sur Terre, COTHECIM, le Centre Culturel Semmama, le Collectif Fanni Raghman Anni, Les Nouveaux Disparus, Madani Compagnie, Moustik Karismatik, la Compagnie Nama et le Théâtre des Zygomars. En bonus, un portrait de Bingono Bingono ainsi que trois vidéos thématiques: Les conseils aux artistes, La légitimité des artistes et L’importance du soutien des arts vivants.

 

Retrouvez le Webdocumentaire, les compagnies participantes et toutes les contributions sur Les arts vivants et la prévention des extrémismes violents.

 

Source de l'article: Organisation Internationale de la Francophonie.

Réalisé par TDM (Télévision du Monde ASBL) dans le cadre du chantier « Culture et prévention » mis en place par le réseau FrancoPREV (Réseau francophone de prévention de la radicalisation et de l’extrémisme violents pouvant conduire au terrorisme), ce webdocumentaire témoigne de la manière dont des artistes de cinq pays membres de la Francophonie se sont impliqués dans la thématique des extrémismes violents et se sont engagés dans la prévention auprès de leurs publics (en Belgique francophone, au Cameroun, en France, en Tunisie et au Mali). Leur expérience est mise en avant au travers de portraits inspirants et mobilisateurs pour l’ensemble des actrices et acteurs de la prévention.

 

Il s’agit d’un outil d’information et de sensibilisation destiné à l’ensemble des personnes chargées de la prévention (du niveau décisionnaire à la mise en œuvre de programmes de prévention). Il a pour vocation de mettre en valeur les initiatives de prévention prises dans le domaine des arts vivants, à partir du témoignage de celles et ceux qui les ont conçues. Il a pour ambition d’être mobilisateur, en manifestant la portée des arts vivants pour la prévention des extrémismes et radicalismes violents et en encourageant ce type d’initiatives aux publics jeunes en particulier.

 

Le webdocumentaire est divisé en quatre chapitres présentant les différentes étapes de la réalisation de projets de prévention, et en quinze bonus d’approfondissement complémentaires. De courts textes présentent le projet, les chapitres et les bonus, ce qui permet une expérience interactive de navigation pour les usagers en fonction de leurs intérêts.

 

Dix compagnies sont représentées: Acte SEPT, la Compagnie Six Pieds Sur Terre, COTHECIM, le Centre Culturel Semmama, le Collectif Fanni Raghman Anni, Les Nouveaux Disparus, Madani Compagnie, Moustik Karismatik, la Compagnie Nama et le Théâtre des Zygomars. En bonus, un portrait de Bingono Bingono ainsi que trois vidéos thématiques: Les conseils aux artistes, La légitimité des artistes et L’importance du soutien des arts vivants.

 

Retrouvez le Webdocumentaire, les compagnies participantes et toutes les contributions sur Les arts vivants et la prévention des extrémismes violents.

 

Source de l'article: Organisation Internationale de la Francophonie.

Bouton - en savoir plus

Consultation publique - Programme INTERREG VI France-Wallonie-Vlaanderen 2021-2027

Dans la poursuite des coopérations portées sous les programmations INTERREG précédentes et en respectant le prescrit de la Commission européenne, les partenaires du Programme France-Wallonie-Vlaanderen ont le plaisir de vous présenter le projet du futur programme INTERREG VI 2021-2027.

Une consultation publique est lancée pour recueillir votre avis sur la pertinence de ce document avant de le soumettre à l’approbation de la Commission européenne.

Nous invitons toutes les personnes et organismes intéressés à participer en répondant au questionnaire afin de contribuer à l'amélioration du cadre de la future programmation et sa mise en œuvre.

La consultation sera ouverte jusqu’au 7 janvier 2022 afin de permettre à chacun de réagir sur ce document de travail.

 

Participez à la consultation publique !

Dans la poursuite des coopérations portées sous les programmations INTERREG précédentes et en respectant le prescrit de la Commission européenne, les partenaires du Programme France-Wallonie-Vlaanderen ont le plaisir de vous présenter le projet du futur programme INTERREG VI 2021-2027.

Une consultation publique est lancée pour recueillir votre avis sur la pertinence de ce document avant de le soumettre à l’approbation de la Commission européenne.

Nous invitons toutes les personnes et organismes intéressés à participer en répondant au questionnaire afin de contribuer à l'amélioration du cadre de la future programmation et sa mise en œuvre.

La consultation sera ouverte jusqu’au 7 janvier 2022 afin de permettre à chacun de réagir sur ce document de travail.

 

Participez à la consultation publique !

Bouton - en savoir plus

(c) Fotolia

Installé dans les dépendances rénovées du Château de Seneffe à 30 minutes de Bruxelles, le Collège offre aux résidents un environnement idéal pour mener à bien leur projet de traduction.

 

Toutes les combinaisons linguistiques sont accueillies, avec le français comme langue d'arrivée ou de départ. Toutefois, la finalité première étant de promouvoir la traduction de la littérature belge de langue française, la priorité  est donnée aux traducteurs de cette littérature. Les traducteurs sont pris en charge pour le logement et la nourriture. Les traducteurs d'écrivains belges bénéficient en outre d'un per diem, à condition que le suivi de leur travail soit assuré auprès d'une maison d'édition.

 

Le Collège organise également des ateliers de formation de traducteurs littéraires. Le financement est assuré conjointement par le Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles et par la Commission européenne.

 

Cette année marquée par la crise sanitaire, le Collège des traducteurs de Seneffe n’a pu se tenir.

 

La Maison internationale des Littératures Passa Porta, qui organise cette résidence a maintenu cependant l’activité et l’intérêt pour la traduction d’œuvres littéraires belges francophones en offrant en collaboration avec la Fédération Wallonie-Bruxelles, 20 bourses à des traducteurs.rices. Littérature contemporaine, bande dessinée et littérature pour la jeunesse ont ainsi été mises à l’honneur à travers vingt projets couvrant quatorze langues différentes

 

Retour au début

Les lauréat.e.s

 

  • Alina Pelea pour la traduction en roumain de Histoire d’un bonheur de Geneviève Damas (Arléa) [roman]
  • Gabriela Wezka Porto Alegre et Kelley Baptista Duarte pour la traduction en portugais (Brésil) de Ma robe n’est pas froissée de Corinne Hoex (Impressions Nouvelles) [roman]
  • Karolina Czerka pour la traduction en polonais de Les Cerfs de Veronika Mabardi (Esperluète) [roman]
  • Anu Lutsepp pour la traduction en estonien de Brüsel de François Schuiten et Benoît Peeters (Casterman) [bande-dessinée]
  • Živa Čebulj pour la traduction en slovène du 4ème tome (La tempête des échos) de La passe-miroir de Christelle Dabos (Gallimard) [jeunesse-fantasy]
  • Fushimi Misao pour la traduction en japonais de Un mensonge gros comme un éléphant et Le jour où je suis devenue plus méchante que le loup de Thierry Robberecht (Mijade) [jeunesse – albums]
  • Katherine Gregor pour la traduction en anglais de La mémoire de l’air de Caroline Lamarche (Gallimard) [roman]
  • Vytautas Bikulčius pour la traduction en lituanien de Fuir de Jean-Philippe Toussaint (Minuit) [roman]
  • Kaloyan Pramatarov pour la traduction en bulgare de La tristesse du figuier d’Yves Namur (Lettres Vives) [poésie]
  • Wojciech Prazuch pour la traduction en polonais de Ma Lodoïska d’Alain Crugten (Pirus) [roman]
  • Katelijne De Vuyst pour la traduction en néerlandais de Mahmoud ou la montée des eaux d’Antoine Wauters (Verdier) [roman]
  • Todorka Mineva pour la traduction en bulgare des Les vieux ne parlent plus de Vincent Engel (Ker)  [roman]
  • Jasna Šamić pour la traduction en croate de Lumière nomade de Philippe Leuckx (M.E.O.) [poésie]
  • Ovidiu Komlod pour la traduction en roumain de Le jour du chien de Caroline Lamarche (Minuit) [roman]
  • Judit Károly pour la traduction en hongrois de L’homme aux lunettes blanches, Grand froid, Abraham et la femme adultère de Paul Emond (Le bord de l’eau) [recueil de textes]
  • Diego Milos pour la traduction en espagnol (Chili) de Souviens-toi que je suis Médée et autres textes sur magie, science et politique d’Isabelle Stengers (Empêcheurs de penser en rond/ Seuil)  [recueil d’essais]
  • Thea Rimini pour la traduction en italien de Robinson de Laurent Demoulin (Gallimard) [roman]
  • Natan Schäfer pour la traduction en portugais (Brésil) de Le papillon mental de Marianne Van Hirtum [poésie]
  • Andrei Lazar pour la traduction en roumain de Je suis un héros de René Bizac (Lansman) [théatre]

 

Ces aides d’un montant de 1500€ par candidature choisiie, ont pour but premier d’encourager et de promouvoir la circulation des textes et des écrivains et écrivaines contemporains.

 

Passa Porta publiera sur son site, en langue cible et en langue source, un extrait pertinent de chaque projet sélectionné.

 

Retour au début

Informations complémentaires

 

Le Carnet et les Instants

Le Collège européen des traducteurs

 

 

 

Retour au début

Installé dans les dépendances rénovées du Château de Seneffe à 30 minutes de Bruxelles, le Collège offre aux résidents un environnement idéal pour mener à bien leur projet de traduction.

 

Toutes les combinaisons linguistiques sont accueillies, avec le français comme langue d'arrivée ou de départ. Toutefois, la finalité première étant de promouvoir la traduction de la littérature belge de langue française, la priorité  est donnée aux traducteurs de cette littérature. Les traducteurs sont pris en charge pour le logement et la nourriture. Les traducteurs d'écrivains belges bénéficient en outre d'un per diem, à condition que le suivi de leur travail soit assuré auprès d'une maison d'édition.

 

Le Collège organise également des ateliers de formation de traducteurs littéraires. Le financement est assuré conjointement par le Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles et par la Commission européenne.

 

Cette année marquée par la crise sanitaire, le Collège des traducteurs de Seneffe n’a pu se tenir.

 

La Maison internationale des Littératures Passa Porta, qui organise cette résidence a maintenu cependant l’activité et l’intérêt pour la traduction d’œuvres littéraires belges francophones en offrant en collaboration avec la Fédération Wallonie-Bruxelles, 20 bourses à des traducteurs.rices. Littérature contemporaine, bande dessinée et littérature pour la jeunesse ont ainsi été mises à l’honneur à travers vingt projets couvrant quatorze langues différentes

 

Retour au début

Les lauréat.e.s

 

  • Alina Pelea pour la traduction en roumain de Histoire d’un bonheur de Geneviève Damas (Arléa) [roman]
  • Gabriela Wezka Porto Alegre et Kelley Baptista Duarte pour la traduction en portugais (Brésil) de Ma robe n’est pas froissée de Corinne Hoex (Impressions Nouvelles) [roman]
  • Karolina Czerka pour la traduction en polonais de Les Cerfs de Veronika Mabardi (Esperluète) [roman]
  • Anu Lutsepp pour la traduction en estonien de Brüsel de François Schuiten et Benoît Peeters (Casterman) [bande-dessinée]
  • Živa Čebulj pour la traduction en slovène du 4ème tome (La tempête des échos) de La passe-miroir de Christelle Dabos (Gallimard) [jeunesse-fantasy]
  • Fushimi Misao pour la traduction en japonais de Un mensonge gros comme un éléphant et Le jour où je suis devenue plus méchante que le loup de Thierry Robberecht (Mijade) [jeunesse – albums]
  • Katherine Gregor pour la traduction en anglais de La mémoire de l’air de Caroline Lamarche (Gallimard) [roman]
  • Vytautas Bikulčius pour la traduction en lituanien de Fuir de Jean-Philippe Toussaint (Minuit) [roman]
  • Kaloyan Pramatarov pour la traduction en bulgare de La tristesse du figuier d’Yves Namur (Lettres Vives) [poésie]
  • Wojciech Prazuch pour la traduction en polonais de Ma Lodoïska d’Alain Crugten (Pirus) [roman]
  • Katelijne De Vuyst pour la traduction en néerlandais de Mahmoud ou la montée des eaux d’Antoine Wauters (Verdier) [roman]
  • Todorka Mineva pour la traduction en bulgare des Les vieux ne parlent plus de Vincent Engel (Ker)  [roman]
  • Jasna Šamić pour la traduction en croate de Lumière nomade de Philippe Leuckx (M.E.O.) [poésie]
  • Ovidiu Komlod pour la traduction en roumain de Le jour du chien de Caroline Lamarche (Minuit) [roman]
  • Judit Károly pour la traduction en hongrois de L’homme aux lunettes blanches, Grand froid, Abraham et la femme adultère de Paul Emond (Le bord de l’eau) [recueil de textes]
  • Diego Milos pour la traduction en espagnol (Chili) de Souviens-toi que je suis Médée et autres textes sur magie, science et politique d’Isabelle Stengers (Empêcheurs de penser en rond/ Seuil)  [recueil d’essais]
  • Thea Rimini pour la traduction en italien de Robinson de Laurent Demoulin (Gallimard) [roman]
  • Natan Schäfer pour la traduction en portugais (Brésil) de Le papillon mental de Marianne Van Hirtum [poésie]
  • Andrei Lazar pour la traduction en roumain de Je suis un héros de René Bizac (Lansman) [théatre]

 

Ces aides d’un montant de 1500€ par candidature choisiie, ont pour but premier d’encourager et de promouvoir la circulation des textes et des écrivains et écrivaines contemporains.

 

Passa Porta publiera sur son site, en langue cible et en langue source, un extrait pertinent de chaque projet sélectionné.

 

Retour au début

Informations complémentaires

 

Le Carnet et les Instants

Le Collège européen des traducteurs

 

 

 

Retour au début

Bouton - en savoir plus

Entre 2021 et 2027, le Programme de coopération INTERREG VIA Grande Région financera des projets transfrontaliers relatifs à l’adaptation aux changements climatiques, la transition vers une économie circulaire, la protection de la nature et de la biodiversité, l’emploi et l’inclusion sociale, la formation et l’éducation, l’accès à la santé, la culture et le tourisme durable.

 

Ce Programme INTERREG VIA 2021-2027 Grande Région s’inscrit dans le cadre de la politique de cohésion européenne pour une meilleure cohésion économique, sociale et environnementale des territoires de la Grande Région.

Retour au début

La Grande Région

Cet espace de coopération comprend l'ensemble du Grand-Duché de Luxembourg (LU) et des versants dans trois autres États membres de l'UE (Belgique, Allemagne, France). Il s'agit de la région belge de Wallonie (WAL), y compris la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) et la Communauté germanophone de Belgique (DGB), les Länder allemands de Rhénanie-Palatinat (RLP) et de Sarre (SL), et les départements français de la Meuse, de la Meurthe-et-Moselle et de la Moselle dans la région Grand Est.

Retour au début

Budget et mise en œuvre

L'allocation financière, de l'ordre de 181 millions d'euros FEDER, est répartie sur la période 2021-2027 et couvre l'ensemble de la zone de coopération. L’Autorité de Gestion du Programme INTERREG VI Grande Région est le GECT –Autorité de gestion Interreg V A Grande Région qui est composée de la Région Grand Est et du gouvernement du Grand-Duché de Luxembourg -Ministère de l’Énergie et de l’Aménagement du territoire, Département de l’aménagement du territoire. Le GECT –Autorité de gestion Interreg V A Grande Région, est chargée de la mise en œuvre.

Retour au début

Consultation publique

Entre le 1er décembre 2021 et le 1er février 2022, les acteurs de la Grande Région sont invités à exprimer leur avis sur l'impact environnemental de ce futur programme.

 

Le dossier complet est disponible en sur la page internet du Programme et comprend le Projet de Programme de coopération, le Rapport sur les incidences environnementales et son résumé non technique, ainsi que les avis des autorités environnementales.

 

Vos observations pourront être soumises sur cette même page au moyen d’un court questionnaire.

 

Vous pouvez également les adresser  à l’Autorité de Gestion du Programme Interreg VI A Grande Région par courriel à l’adressepost2020@interreg-gr.lu ou par voie postale à l’adresse 4, Place de l’Europe, L-1499 Luxembourg.

Retour au début

Entre 2021 et 2027, le Programme de coopération INTERREG VIA Grande Région financera des projets transfrontaliers relatifs à l’adaptation aux changements climatiques, la transition vers une économie circulaire, la protection de la nature et de la biodiversité, l’emploi et l’inclusion sociale, la formation et l’éducation, l’accès à la santé, la culture et le tourisme durable.

 

Ce Programme INTERREG VIA 2021-2027 Grande Région s’inscrit dans le cadre de la politique de cohésion européenne pour une meilleure cohésion économique, sociale et environnementale des territoires de la Grande Région.

Retour au début

La Grande Région

Cet espace de coopération comprend l'ensemble du Grand-Duché de Luxembourg (LU) et des versants dans trois autres États membres de l'UE (Belgique, Allemagne, France). Il s'agit de la région belge de Wallonie (WAL), y compris la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) et la Communauté germanophone de Belgique (DGB), les Länder allemands de Rhénanie-Palatinat (RLP) et de Sarre (SL), et les départements français de la Meuse, de la Meurthe-et-Moselle et de la Moselle dans la région Grand Est.

Retour au début

Budget et mise en œuvre

L'allocation financière, de l'ordre de 181 millions d'euros FEDER, est répartie sur la période 2021-2027 et couvre l'ensemble de la zone de coopération. L’Autorité de Gestion du Programme INTERREG VI Grande Région est le GECT –Autorité de gestion Interreg V A Grande Région qui est composée de la Région Grand Est et du gouvernement du Grand-Duché de Luxembourg -Ministère de l’Énergie et de l’Aménagement du territoire, Département de l’aménagement du territoire. Le GECT –Autorité de gestion Interreg V A Grande Région, est chargée de la mise en œuvre.

Retour au début

Consultation publique

Entre le 1er décembre 2021 et le 1er février 2022, les acteurs de la Grande Région sont invités à exprimer leur avis sur l'impact environnemental de ce futur programme.

 

Le dossier complet est disponible en sur la page internet du Programme et comprend le Projet de Programme de coopération, le Rapport sur les incidences environnementales et son résumé non technique, ainsi que les avis des autorités environnementales.

 

Vos observations pourront être soumises sur cette même page au moyen d’un court questionnaire.

 

Vous pouvez également les adresser  à l’Autorité de Gestion du Programme Interreg VI A Grande Région par courriel à l’adressepost2020@interreg-gr.lu ou par voie postale à l’adresse 4, Place de l’Europe, L-1499 Luxembourg.

Retour au début

Bouton - en savoir plus

(c) Switch on Paper

Avec le concours du Centre Wallonie-Bruxelles à Paris, le magazine Switch (on Paper), hebdomadaire d'actualité qui décortique l'information par le prisme de l'art et de la culture, a réalisé une enquête auprès de 6 artistes belges sur leur rapport à l'engagement.

 

"À l’heure où les sujets de société s’invitent de façon quasi-incontournable dans la production artistique contemporaine, nous avons souhaité interroger une demi-douzaine d’artistes pour mettre au jour leurs engagements ou parfois désengagements, en tentant de cerner les manières selon lesquelles se déterminent aujourd’hui les nouveaux espaces politiques dans le champ de l’art."

 

Céliane Svoboda et Marion Zilio, chercheuses et critiques d’art se sont ainsi entretenues avec Younes Baba-Ali, Léa Bellooussovitch, Marc Buchy, Laura Colmenares Guerra, Stéphanie Rolland et le collectif (RIGHT IN) THE FEELS.

 

Découvrez ce dossier unique sur le site de Switch (on Paper).

Avec le concours du Centre Wallonie-Bruxelles à Paris, le magazine Switch (on Paper), hebdomadaire d'actualité qui décortique l'information par le prisme de l'art et de la culture, a réalisé une enquête auprès de 6 artistes belges sur leur rapport à l'engagement.

 

"À l’heure où les sujets de société s’invitent de façon quasi-incontournable dans la production artistique contemporaine, nous avons souhaité interroger une demi-douzaine d’artistes pour mettre au jour leurs engagements ou parfois désengagements, en tentant de cerner les manières selon lesquelles se déterminent aujourd’hui les nouveaux espaces politiques dans le champ de l’art."

 

Céliane Svoboda et Marion Zilio, chercheuses et critiques d’art se sont ainsi entretenues avec Younes Baba-Ali, Léa Bellooussovitch, Marc Buchy, Laura Colmenares Guerra, Stéphanie Rolland et le collectif (RIGHT IN) THE FEELS.

 

Découvrez ce dossier unique sur le site de Switch (on Paper).

Bouton - en savoir plus

Trophées des Belgian Fashion Awards 2021 de Wouter Hoste © J. Van Belle -WBI

Les Belgian Fashion Awards sont organisés chaque année par Flanders DC, MAD Bruxelles, Wallonie-Bruxelles Design Mode (WBDM) et les magazines Knack Weekend et Le Vif Weekend .

 

Pour clôturer les Fashion Talks organisés par Flanders DC qui ont été couronnés de succès et ont fait salle comble, les quatrièmes Belgian Fashion Awards se sont déroulés le jeudi 25 novembre. Ces prix ont été créés pour mettre le secteur de la mode belge sous les projecteurs. S’ils sont bien entendu l’occasion d’une célébration, leur objectif est également d’offrir une visibilité à de nouveaux talents et à des noms moins connus, ou aux personnes qui œuvrent en coulisses.

 

Un jury international de quatorze personnes, placé sous la direction de Chris Dercon, président du jury et directeur du Grand Palais à Paris, a décerné pas moins de sept prix. Outre cet historien de l’art belge, le jury comprenait également le créateur de mode Christian Wijnants (BE), Pascale Mussard (FR) et Vena Brykalin de Vogue Ukraine.

 

Les primés ont reçu un trophée designé par l'anversois Wouter Hoste, designer et céramiste.

 

Cette année, le Jury Prize a été attribué au créateur de mode Walter Van Beirendonck. Le jury international a félicité le créateur belge pour les contributions influentes et sociales qu’il traduit dans ses créations. Son influence s’étend sur plusieurs générations. « Walter Van Beirendonck s’adresse à un public international. Il a particulièrement réussi à exprimer ses opinions sur la politique, le genre et l’égalité à travers ses créations, même durant la crise du coronavirus. Ces deux dernières années, il a plus que jamais été présent sur la scène internationale », a déclaré le jury.

 

Le prix du Designer of the Year est revenu à Nicolas Di Felice, un Belge de 38 ans, le nouveau directeur artistique de la maison de couture française Courrèges. Après ses études à La Cambre à Bruxelles, il s’est enrichi de l’expérience de Nicolas Ghesquière chez Balenciaga et Louis Vuitton. Sa première collection automne-hiver a été acclamée par la communauté internationale. Le jury l’a félicité pour le « travail incroyable et courageux qu’il a accompli au cours des deux dernières années. Il n’est en effet pas simple de reprendre une maison possédant un tel cachet et de lui donner sa propre touche. »

 

Nicolas Di Felice et Christian Wijnants, Belgian Fashion Awards 2021 © J. Van Belle -WBI

La jeune créatrice de mode Meryll Rogge a reçu le prix de l’Emerging Talent of the Year, en reconnaissance du caractère esthétique et provocant de son travail. Le verdict du jury a été unanime : « Cela faisait longtemps que nous n’avions pas vu une telle réussite chez une personne aussi jeune. Elle possède non seulement déjà une signature claire, mais elle continue à se lancer des défis. » En plus d’un prix en espèces de 5 000 euros, le musée Mode & Dentelle de Bruxelles achète l’une de ses silhouettes pour sa collection permanente.

 

Le directeur artistique, styliste et photographe belge Benoit Bethume a quant à lui remporté le prix du Professional of the Year. « En plus de sa contribution créative, il représente l’une des rares voix critiques du secteur de la mode », a déclaré le jury.

 

Pour la première fois, un Changemaker du secteur de la mode a également été mis à l’honneur. Cette catégorie a été créée afin de donner la parole à une personne ou une entité qui influence le secteur de façon innovante. Et c’est Resortecs qui a mérité ce prix. Cette jeune entreprise bruxelloise tente d’apporter sa contribution à un monde qui a besoin de solutions innovantes. Pour ce faire, ils adoptent une approche industrielle du procédé de recyclage, notamment en mettant au point un fil de haute technologie facile à recycler.

 

Le grand public a également été invité à élire sa marque de mode préférée et c'est Imprévu la marque de la créatrice Justine God qu'il a choisi comme «Fashion brand of the Year 2021».

 

Jennifer Heylen et Justine God, Belgian Fashion Awards 2021 © J. Van Belle - WBI

À propos des Belgian Fashion Awards

Depuis 2017, les Belgian Fashion Awards sont organisés chaque année par Flanders DC, MAD Bruxelles, Wallonie-Bruxelles Design Mode (WBDM) et les magazines « Knack Weekend » et « Le Vif Weekend ». Ces prix ont été créés pour mettre en valeur la réputation, la créativité et la diversité de la mode belge, tant dans notre pays que sur la scène internationale. Notre objectif est également d’offrir une visibilité à de nouveaux talents et à des noms moins connus, ou aux personnes qui œuvrent en coulisses. Chaque année, cette remise de prix engendre une dynamique propice non seulement à la célébration de la mode de chez nous, mais aussi aux rencontres et à la consolidation des liens entre professionnels. Les organisateurs démontrent que la mode belge, en plus d’être synonyme d’indépendance, de personnalité et de durabilité, est surréaliste, humble, perfectionniste, avant-gardiste et pragmatique. Lors de la remise de ces Belgian Fashion Awards, nous mettons de côté la modestie légendaire de la mode belge pour faire résonner sa voix.

Les Belgian Fashion Awards sont organisés chaque année par Flanders DC, MAD Bruxelles, Wallonie-Bruxelles Design Mode (WBDM) et les magazines Knack Weekend et Le Vif Weekend .

 

Pour clôturer les Fashion Talks organisés par Flanders DC qui ont été couronnés de succès et ont fait salle comble, les quatrièmes Belgian Fashion Awards se sont déroulés le jeudi 25 novembre. Ces prix ont été créés pour mettre le secteur de la mode belge sous les projecteurs. S’ils sont bien entendu l’occasion d’une célébration, leur objectif est également d’offrir une visibilité à de nouveaux talents et à des noms moins connus, ou aux personnes qui œuvrent en coulisses.

 

Un jury international de quatorze personnes, placé sous la direction de Chris Dercon, président du jury et directeur du Grand Palais à Paris, a décerné pas moins de sept prix. Outre cet historien de l’art belge, le jury comprenait également le créateur de mode Christian Wijnants (BE), Pascale Mussard (FR) et Vena Brykalin de Vogue Ukraine.

 

Les primés ont reçu un trophée designé par l'anversois Wouter Hoste, designer et céramiste.

 

Cette année, le Jury Prize a été attribué au créateur de mode Walter Van Beirendonck. Le jury international a félicité le créateur belge pour les contributions influentes et sociales qu’il traduit dans ses créations. Son influence s’étend sur plusieurs générations. « Walter Van Beirendonck s’adresse à un public international. Il a particulièrement réussi à exprimer ses opinions sur la politique, le genre et l’égalité à travers ses créations, même durant la crise du coronavirus. Ces deux dernières années, il a plus que jamais été présent sur la scène internationale », a déclaré le jury.

 

Le prix du Designer of the Year est revenu à Nicolas Di Felice, un Belge de 38 ans, le nouveau directeur artistique de la maison de couture française Courrèges. Après ses études à La Cambre à Bruxelles, il s’est enrichi de l’expérience de Nicolas Ghesquière chez Balenciaga et Louis Vuitton. Sa première collection automne-hiver a été acclamée par la communauté internationale. Le jury l’a félicité pour le « travail incroyable et courageux qu’il a accompli au cours des deux dernières années. Il n’est en effet pas simple de reprendre une maison possédant un tel cachet et de lui donner sa propre touche. »

 

Nicolas Di Felice et Christian Wijnants, Belgian Fashion Awards 2021 © J. Van Belle -WBI

La jeune créatrice de mode Meryll Rogge a reçu le prix de l’Emerging Talent of the Year, en reconnaissance du caractère esthétique et provocant de son travail. Le verdict du jury a été unanime : « Cela faisait longtemps que nous n’avions pas vu une telle réussite chez une personne aussi jeune. Elle possède non seulement déjà une signature claire, mais elle continue à se lancer des défis. » En plus d’un prix en espèces de 5 000 euros, le musée Mode & Dentelle de Bruxelles achète l’une de ses silhouettes pour sa collection permanente.

 

Le directeur artistique, styliste et photographe belge Benoit Bethume a quant à lui remporté le prix du Professional of the Year. « En plus de sa contribution créative, il représente l’une des rares voix critiques du secteur de la mode », a déclaré le jury.

 

Pour la première fois, un Changemaker du secteur de la mode a également été mis à l’honneur. Cette catégorie a été créée afin de donner la parole à une personne ou une entité qui influence le secteur de façon innovante. Et c’est Resortecs qui a mérité ce prix. Cette jeune entreprise bruxelloise tente d’apporter sa contribution à un monde qui a besoin de solutions innovantes. Pour ce faire, ils adoptent une approche industrielle du procédé de recyclage, notamment en mettant au point un fil de haute technologie facile à recycler.

 

Le grand public a également été invité à élire sa marque de mode préférée et c'est Imprévu la marque de la créatrice Justine God qu'il a choisi comme «Fashion brand of the Year 2021».

 

Jennifer Heylen et Justine God, Belgian Fashion Awards 2021 © J. Van Belle - WBI

À propos des Belgian Fashion Awards

Depuis 2017, les Belgian Fashion Awards sont organisés chaque année par Flanders DC, MAD Bruxelles, Wallonie-Bruxelles Design Mode (WBDM) et les magazines « Knack Weekend » et « Le Vif Weekend ». Ces prix ont été créés pour mettre en valeur la réputation, la créativité et la diversité de la mode belge, tant dans notre pays que sur la scène internationale. Notre objectif est également d’offrir une visibilité à de nouveaux talents et à des noms moins connus, ou aux personnes qui œuvrent en coulisses. Chaque année, cette remise de prix engendre une dynamique propice non seulement à la célébration de la mode de chez nous, mais aussi aux rencontres et à la consolidation des liens entre professionnels. Les organisateurs démontrent que la mode belge, en plus d’être synonyme d’indépendance, de personnalité et de durabilité, est surréaliste, humble, perfectionniste, avant-gardiste et pragmatique. Lors de la remise de ces Belgian Fashion Awards, nous mettons de côté la modestie légendaire de la mode belge pour faire résonner sa voix.

Bouton - en savoir plus

L’Assemblée générale du Patrimoine mondial de l’UNESCO a élu la Belgique et onze membres au Comité du patrimoine mondial. Ce Comité, composé en tout de 21 pays, prend chaque année les décisions importantes concernant le patrimoine mondial dont les inscriptions à la fameuse liste du patrimoine.

 

C’est seulement la deuxième fois en cinquante ans que la Belgique est élue à ce Comité, l’un des plus compétitifs à l’Unesco.

 

La candidature de la Belgique était soutenue par les trois régions, Flandre, Bruxelles et Wallonie, compétentes pour le patrimoine. C’est à ce titre que la Délégation générale Wallonie-Bruxelles à Paris, avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International, s’est fortement investie dans la campagne pour cette candidature.

 

L’équipe belge pour l’élection au Comité avec la DGWB Paris (© DGWB Paris)

C’est l’aboutissement d’une mobilisation de plusieurs mois pour convaincre les 194 Etats parties à la Convention du patrimoine mondial de la pertinence de la candidature de la Belgique. En collaboration avec les experts des trois agences régionales du patrimoine dont l’Agence wallonne du patrimoine (AWAP), la Belgique a choisi d’axer sa candidature pour une liste du patrimoine mondial plus équilibrée, pour le dialogue entre toutes les parties prenantes et pour un patrimoine mondial résilient.

 

Grâce à cette élection, la crédibilité de la Belgique et de la Wallonie au niveau international en sort renforcée. Une nouvelle aventure commence avec la responsabilité de servir au mieux le patrimoine mondial.

 

Pour rappel, la Wallonie compte sept biens au patrimoine mondial. Certains comptent plusieurs éléments comme les Beffrois de Binche, Charleroi, Mons, Tournai, Gembloux et Namur ou les quatre sites miniers majeurs de Wallonie (Le Grand Hornu, Le bois du Luc, le bois du Cazier, Blegny-Mine). Il y a également les ascenseurs du canal du Centre, la cathédrale de Tournai, les minières de silex de Spiennes, la forêt de Soignes et la ville de Spa).

 

L’équipe de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles à Paris en charge de la candidature (© DGWB Paris)

 

L’Assemblée générale du Patrimoine mondial de l’UNESCO a élu la Belgique et onze membres au Comité du patrimoine mondial. Ce Comité, composé en tout de 21 pays, prend chaque année les décisions importantes concernant le patrimoine mondial dont les inscriptions à la fameuse liste du patrimoine.

 

C’est seulement la deuxième fois en cinquante ans que la Belgique est élue à ce Comité, l’un des plus compétitifs à l’Unesco.

 

La candidature de la Belgique était soutenue par les trois régions, Flandre, Bruxelles et Wallonie, compétentes pour le patrimoine. C’est à ce titre que la Délégation générale Wallonie-Bruxelles à Paris, avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International, s’est fortement investie dans la campagne pour cette candidature.

 

L’équipe belge pour l’élection au Comité avec la DGWB Paris (© DGWB Paris)

C’est l’aboutissement d’une mobilisation de plusieurs mois pour convaincre les 194 Etats parties à la Convention du patrimoine mondial de la pertinence de la candidature de la Belgique. En collaboration avec les experts des trois agences régionales du patrimoine dont l’Agence wallonne du patrimoine (AWAP), la Belgique a choisi d’axer sa candidature pour une liste du patrimoine mondial plus équilibrée, pour le dialogue entre toutes les parties prenantes et pour un patrimoine mondial résilient.

 

Grâce à cette élection, la crédibilité de la Belgique et de la Wallonie au niveau international en sort renforcée. Une nouvelle aventure commence avec la responsabilité de servir au mieux le patrimoine mondial.

 

Pour rappel, la Wallonie compte sept biens au patrimoine mondial. Certains comptent plusieurs éléments comme les Beffrois de Binche, Charleroi, Mons, Tournai, Gembloux et Namur ou les quatre sites miniers majeurs de Wallonie (Le Grand Hornu, Le bois du Luc, le bois du Cazier, Blegny-Mine). Il y a également les ascenseurs du canal du Centre, la cathédrale de Tournai, les minières de silex de Spiennes, la forêt de Soignes et la ville de Spa).

 

L’équipe de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles à Paris en charge de la candidature (© DGWB Paris)

 

Bouton - en savoir plus

La Délégation Wallonie-Bruxelles à l'Université de Sharjah

L’une des priorités de Wallonie-Bruxelles International est de soutenir l’internationalisation des acteurs innovants de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) et de la Région wallonne. Pour ce faire, l’administration s’appuie sur son service Recherche et Innovation (R&I) et son réseau d’Agents de Liaison Scientifique (ALS) afin de soutenir les chercheurs universitaires, spin-offs, centres de recherche appliquée de Wallonie, et plus globalement les opérateurs liés à l’innovation dans leurs projets à l’international.

 

Le service R&I se focalise sur 3 axes opérationnels : promouvoir l’excellence scientifique en valorisant la recherche en Fédération Wallonie-Bruxelles; faciliter la participation des opérateurs aux programmes de recherche internationaux; assurer une veille scientifique et technologique.

 

Ce mois de novembre illustre parfaitement la diversité de ces missions et le rôle que peut jouer le service R&I et son réseau ALS dans la diplomatie scientifique.Au total, cinq missions se sont déroulées depuis le début du mois.

 

Tout d’abord la mission Dubaï, dans un objectif de promotion de notre excellence scientifique à l’international. Ensuite, le KIKK Festival s’est tenu à partir du 4 novembre avec la participation de l’École Cantonale d’Art de Lausanne (ECAL), ici dans un objectif de maillage, de valorisation et participation à des programmes de recherche conjointe. Dans le même temps, une mission sur l’intelligence artificielle s'est tenue à Berlin, ainsi que la participation du service R&I aux Rendez-vous Carnot à Lyon. Enfin, dans un objectif de veille internationale et de benchmarking, la participation d'une équipe Wallonia au programme MIT REAP.

Retour au début

La valorisation de la recherche

Dubaï expo 2021 

 

L’exposition universelle de Dubaï était un évènement crucial pour la Région wallonne. En effet, elle a permis de présenter le savoir-faire de la Wallonie et de la FWB aux institutions scientifiques émiraties. Ce savoir-faire a été mis en lumière par des activités pour le grand public mais également par des activités plus ciblées pour les universités, les entreprises et les délégations officielles.

 

À partir des activités concentrées sur les professionnels, des masterclass ont été organisées dans le but de renforcer la coopération entre les interlocuteurs présents et les participants wallons. Afin d’accroître les partenariats et les recherches bilatéraux, 12 représentants de nos universités wallonnes se sont déplacés pour rencontrer des collègues émiratis du monde scientifique. Cela a permis la signature d’accords, notamment entre Revatis (Spin Off de l'Université de Liège, dédiée à la médecine régénérative et à la thérapie cellulaire) et un partenaire émirati pour la revalidation des chevaux.

 

La Délégation Wallonie-Bruxelles à Dubaï avec le Ministre président Elio di Ruppo, le professeur Didier Serteyn et la Délégation de la société Saoudienne Sky Atlas Trading

D’autres accords de coopération à long terme se sont établis sur un plan plus académique lors d’une rencontre avec les autorités de l’Université de Sharjah. En effet, les discussions ont permis de réfléchir à la mise en place de workshops pour définir des thématiques de recherche et promouvoir les échanges d’étudiants. 

 

Les Rendez-vous Carnot 

 

Le salon des Rendez-vous Carnot au Centre de Congrès de Lyon (17-18 novembre) est une action récurrente sur laquelle le service recherche et innovation de WBI est présent annuellement. L’évènement, reporté lors de l’édition 2020, se tenait cette fois-ci à Lyon, en alternance avec Paris. C’est le principal salon en France pour toute entreprise ou porteur de projet innovant, recherchant un partenariat R&D et souhaitant un accompagnement pour le mener à maturité.

 

Le service, en collaboration avec le bilatéral France et la Délégation Générale Wallonie-Bruxelles à Paris, met à disposition un stand sur la foire afin que des opérateurs de Wallonie-Bruxelles exposent et nouent des collaborations potentielles avec leurs homologues français. Il représente une belle opportunité pour les centres de recherche et les spin-offs d'accélérer et de matérialiser leurs projets sur des partenariats internationaux. Pour cette édition, le CER Groupe, Synhera et le Centre Spatial de Liège accompagnait WBI sur le salon. Des tables rondes et des conférences sont aussi organisées sur différents thèmes tels que l'aéronautique, l'énergie, la chimie et les matériaux, les biotech et la santé. Wallonie-Bruxelles International était cette année l’un des sponsors officiel de l’évènement.

Retour au début

Les liaisons entre écosystèmes innovants 

 

Programme Recherche et Innovation dans le domaine de l’intelligence artificielle 

 

Dans le cadre de la venue du Ministre-Président Jeholet à Berlin le 5 novembre dernier, une délégation de la Fédération Wallonie-Bruxelles composée d'experts académiques en intelligence artificielle de l’UCLouvain, de l'UMons et de l'ULiège ainsi que de représentants du centre de recherche Multitel ont pu participer à une série de rencontre leur permettant de se connecter aux principaux acteurs actifs dans l’intelligence artificielle à Berlin (Université technique de Berlin (TUB), des centres de recherche spécialisés en intelligence artificielle (DFKI) et les quatre organismes principaux de la recherche en stratégie allemande (Fraunhofer). Les objectifs de cette mission étaient multiples : créer des liens pour envisager de futures collaborations entre les deux écosystèmes, s’inspirer de la politique menée par l’Allemagne dans le domaine de l’IA, valoriser la recherche en IA menée en Fédération Wallonie-Bruxelles et en Wallonie. 

 

Le Ministre président Pierre-Yves Jeholet à Berlin

 

Kikk festival 2021

 

Le KIKK Festival se trouve être une action récurrente pour le service recherche et innovation depuis les débuts  de l’évènement il y a 10 ans. Chaque année, le service R&I invite des délégations d’opérateurs étrangers à Namur pour développer des partneriats dans le secteur des industries culturelles et créatives wallon, le Creative Village permet une très bonne adéquation entre les experts domestiques et étrangers, autour des exposants et des conférences qui émaillent la ville de Namur pendant 4 jours. Malgré le redémarrage difficile des activités suite au contexte pandémique, WBI, en collaboration avec le KIKK, a pu inviter des acteurs internationaux et des invités institutionnels et industriels provenant de Suisse, du Québec, des Pays Baltes, d’Hongrie, de l’Autriche, du Rwanda, ou encore de la Tunisie qui ont pu effectué le déplacement pour cette édition.

 

Le KIKK Festival2021 aura reconnecté avec sa tradition de réussite évènementielle pré-2020, on notera la collaboration fructueuse entre la prestigieuse Ecole Cantonale d’Art de Lausanne (ECAL), le KIKK, le service R&I représenté par l’ALS Suisse. La 10ème édition du Kikk Festival a en effet accueilli une délégation de 10 directeurs, de chercheurs, de responsables académiques et artistiques et d’une vingtaine d’étudiants de l’ECAL. La délégation a suivi un programme riche et varié et a eu l’occasion de rencontrer de nombreux opérateurs wallons et internationaux, notamment dans le cadre d’un dîner de networking. Celui-ci était organisé par l’ALS en présence de plusieurs opérateurs wallons, dont la Haute Ecole Albert Jacquart, l’UNamur, la Niche, le Kikk, et bien d’autres.Par ailleurs l’ECAL a l’opportunité d’exposer au Pavillon de Namur sa dernière création artistique Fantastic Smartphones, à la jonction entre les nouvelles technologies et l’art.

 

Le service recherche et innovation via la Délégation Générale Wallonie-Bruxelles à Paris a aussi collaboré avec le BEP Namur, le réseau EEN et bien entendu l’AWEX en invitant une délégation d’opérateurs français venant principalement de la Métropole de Nantes et du pôle Minalogic de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Le BEP avait organisé une série de visites d’entreprises en marge du Festival, pour présenter des projets industriels innovants de la région de Namur, avec pour exemple le superbe projet de la Ressourcerie, qui s’inscrit dans une dynamique sociale et respectueuse de l’environnement.

 

La Ressourcerie à Namur

 

Bien que le KIKK n’ait pu fêter ses 10 ans en 2020, le report de cette édition en 2021 aura été une franche réussite dans le secteur des ICC en Wallonie. Une preuve supplémentaire est la toute récente reconnaissance de la ville de Namur comme ville créative par l’UNESCO. Elle fera désormais partie d’un réseau de plus de 300 villes dans le monde qui place la créativité et les industries culturelles au cœur de son développement local.

Retour au début

La veille internationale et le benchmarking

 

MIT REAP 

 

Depuis la fin de l’année 2021 et jusque 2023, le programme Regional Entrepreneurship Acceleration Program (REAP) du MIT aidera les régions à accélérer la croissance économique et à promouvoir le progrès social grâce à l'entrepreneuriat axé sur l'innovation. Pour ce faire, une équipe du MIT est à disposition afin d’élaborer une stratégie pour renforcer l’impact de l’innovation et de l’entreprenariat en Wallonie.

 

Une équipe wallonne, Team Wallonia, a également été constituée et regroupe douze acteurs de différents milieux tels que les universités, les entreprises, les fédérations, des investisseurs, des incubateurs et des administrations publiques. Dans le cadre de ce programme, la Team Wallonia aura aussi l’occasion de suivre des ateliers de 3 jours entre Boston et la Wallonie, pour concrétiser les projets issus de cette initiative mondiale de premier plan.

 

Les différentes missions qui ont été menées pendant ce mois de novembre permettent à l’espace Wallon et Bruxellois de rayonner à travers le monde, et même de collaborer avec de prestigieux acteurs innovants dans le monde. Ce mois de novembre riche en contacts ouvrira très certainement la voie à de nouveaux projets dans le futur. Après une très longue période sans avoir pu organiser de missions internationales, le département R&I a su rebondir rapidement et efficacement pour offrir aux opérateurs de Wallonie - Bruxelles un service et une expertise de partenariats à l’international, et continuera sur ce chemin tout au long de l’année 2022!

Retour au début

L’une des priorités de Wallonie-Bruxelles International est de soutenir l’internationalisation des acteurs innovants de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) et de la Région wallonne. Pour ce faire, l’administration s’appuie sur son service Recherche et Innovation (R&I) et son réseau d’Agents de Liaison Scientifique (ALS) afin de soutenir les chercheurs universitaires, spin-offs, centres de recherche appliquée de Wallonie, et plus globalement les opérateurs liés à l’innovation dans leurs projets à l’international.

 

Le service R&I se focalise sur 3 axes opérationnels : promouvoir l’excellence scientifique en valorisant la recherche en Fédération Wallonie-Bruxelles; faciliter la participation des opérateurs aux programmes de recherche internationaux; assurer une veille scientifique et technologique.

 

Ce mois de novembre illustre parfaitement la diversité de ces missions et le rôle que peut jouer le service R&I et son réseau ALS dans la diplomatie scientifique.Au total, cinq missions se sont déroulées depuis le début du mois.

 

Tout d’abord la mission Dubaï, dans un objectif de promotion de notre excellence scientifique à l’international. Ensuite, le KIKK Festival s’est tenu à partir du 4 novembre avec la participation de l’École Cantonale d’Art de Lausanne (ECAL), ici dans un objectif de maillage, de valorisation et participation à des programmes de recherche conjointe. Dans le même temps, une mission sur l’intelligence artificielle s'est tenue à Berlin, ainsi que la participation du service R&I aux Rendez-vous Carnot à Lyon. Enfin, dans un objectif de veille internationale et de benchmarking, la participation d'une équipe Wallonia au programme MIT REAP.

Retour au début

La valorisation de la recherche

Dubaï expo 2021 

 

L’exposition universelle de Dubaï était un évènement crucial pour la Région wallonne. En effet, elle a permis de présenter le savoir-faire de la Wallonie et de la FWB aux institutions scientifiques émiraties. Ce savoir-faire a été mis en lumière par des activités pour le grand public mais également par des activités plus ciblées pour les universités, les entreprises et les délégations officielles.

 

À partir des activités concentrées sur les professionnels, des masterclass ont été organisées dans le but de renforcer la coopération entre les interlocuteurs présents et les participants wallons. Afin d’accroître les partenariats et les recherches bilatéraux, 12 représentants de nos universités wallonnes se sont déplacés pour rencontrer des collègues émiratis du monde scientifique. Cela a permis la signature d’accords, notamment entre Revatis (Spin Off de l'Université de Liège, dédiée à la médecine régénérative et à la thérapie cellulaire) et un partenaire émirati pour la revalidation des chevaux.

 

La Délégation Wallonie-Bruxelles à Dubaï avec le Ministre président Elio di Ruppo, le professeur Didier Serteyn et la Délégation de la société Saoudienne Sky Atlas Trading

D’autres accords de coopération à long terme se sont établis sur un plan plus académique lors d’une rencontre avec les autorités de l’Université de Sharjah. En effet, les discussions ont permis de réfléchir à la mise en place de workshops pour définir des thématiques de recherche et promouvoir les échanges d’étudiants. 

 

Les Rendez-vous Carnot 

 

Le salon des Rendez-vous Carnot au Centre de Congrès de Lyon (17-18 novembre) est une action récurrente sur laquelle le service recherche et innovation de WBI est présent annuellement. L’évènement, reporté lors de l’édition 2020, se tenait cette fois-ci à Lyon, en alternance avec Paris. C’est le principal salon en France pour toute entreprise ou porteur de projet innovant, recherchant un partenariat R&D et souhaitant un accompagnement pour le mener à maturité.

 

Le service, en collaboration avec le bilatéral France et la Délégation Générale Wallonie-Bruxelles à Paris, met à disposition un stand sur la foire afin que des opérateurs de Wallonie-Bruxelles exposent et nouent des collaborations potentielles avec leurs homologues français. Il représente une belle opportunité pour les centres de recherche et les spin-offs d'accélérer et de matérialiser leurs projets sur des partenariats internationaux. Pour cette édition, le CER Groupe, Synhera et le Centre Spatial de Liège accompagnait WBI sur le salon. Des tables rondes et des conférences sont aussi organisées sur différents thèmes tels que l'aéronautique, l'énergie, la chimie et les matériaux, les biotech et la santé. Wallonie-Bruxelles International était cette année l’un des sponsors officiel de l’évènement.

Retour au début

Les liaisons entre écosystèmes innovants 

 

Programme Recherche et Innovation dans le domaine de l’intelligence artificielle 

 

Dans le cadre de la venue du Ministre-Président Jeholet à Berlin le 5 novembre dernier, une délégation de la Fédération Wallonie-Bruxelles composée d'experts académiques en intelligence artificielle de l’UCLouvain, de l'UMons et de l'ULiège ainsi que de représentants du centre de recherche Multitel ont pu participer à une série de rencontre leur permettant de se connecter aux principaux acteurs actifs dans l’intelligence artificielle à Berlin (Université technique de Berlin (TUB), des centres de recherche spécialisés en intelligence artificielle (DFKI) et les quatre organismes principaux de la recherche en stratégie allemande (Fraunhofer). Les objectifs de cette mission étaient multiples : créer des liens pour envisager de futures collaborations entre les deux écosystèmes, s’inspirer de la politique menée par l’Allemagne dans le domaine de l’IA, valoriser la recherche en IA menée en Fédération Wallonie-Bruxelles et en Wallonie. 

 

Le Ministre président Pierre-Yves Jeholet à Berlin

 

Kikk festival 2021

 

Le KIKK Festival se trouve être une action récurrente pour le service recherche et innovation depuis les débuts  de l’évènement il y a 10 ans. Chaque année, le service R&I invite des délégations d’opérateurs étrangers à Namur pour développer des partneriats dans le secteur des industries culturelles et créatives wallon, le Creative Village permet une très bonne adéquation entre les experts domestiques et étrangers, autour des exposants et des conférences qui émaillent la ville de Namur pendant 4 jours. Malgré le redémarrage difficile des activités suite au contexte pandémique, WBI, en collaboration avec le KIKK, a pu inviter des acteurs internationaux et des invités institutionnels et industriels provenant de Suisse, du Québec, des Pays Baltes, d’Hongrie, de l’Autriche, du Rwanda, ou encore de la Tunisie qui ont pu effectué le déplacement pour cette édition.

 

Le KIKK Festival2021 aura reconnecté avec sa tradition de réussite évènementielle pré-2020, on notera la collaboration fructueuse entre la prestigieuse Ecole Cantonale d’Art de Lausanne (ECAL), le KIKK, le service R&I représenté par l’ALS Suisse. La 10ème édition du Kikk Festival a en effet accueilli une délégation de 10 directeurs, de chercheurs, de responsables académiques et artistiques et d’une vingtaine d’étudiants de l’ECAL. La délégation a suivi un programme riche et varié et a eu l’occasion de rencontrer de nombreux opérateurs wallons et internationaux, notamment dans le cadre d’un dîner de networking. Celui-ci était organisé par l’ALS en présence de plusieurs opérateurs wallons, dont la Haute Ecole Albert Jacquart, l’UNamur, la Niche, le Kikk, et bien d’autres.Par ailleurs l’ECAL a l’opportunité d’exposer au Pavillon de Namur sa dernière création artistique Fantastic Smartphones, à la jonction entre les nouvelles technologies et l’art.

 

Le service recherche et innovation via la Délégation Générale Wallonie-Bruxelles à Paris a aussi collaboré avec le BEP Namur, le réseau EEN et bien entendu l’AWEX en invitant une délégation d’opérateurs français venant principalement de la Métropole de Nantes et du pôle Minalogic de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Le BEP avait organisé une série de visites d’entreprises en marge du Festival, pour présenter des projets industriels innovants de la région de Namur, avec pour exemple le superbe projet de la Ressourcerie, qui s’inscrit dans une dynamique sociale et respectueuse de l’environnement.

 

La Ressourcerie à Namur

 

Bien que le KIKK n’ait pu fêter ses 10 ans en 2020, le report de cette édition en 2021 aura été une franche réussite dans le secteur des ICC en Wallonie. Une preuve supplémentaire est la toute récente reconnaissance de la ville de Namur comme ville créative par l’UNESCO. Elle fera désormais partie d’un réseau de plus de 300 villes dans le monde qui place la créativité et les industries culturelles au cœur de son développement local.

Retour au début

La veille internationale et le benchmarking

 

MIT REAP 

 

Depuis la fin de l’année 2021 et jusque 2023, le programme Regional Entrepreneurship Acceleration Program (REAP) du MIT aidera les régions à accélérer la croissance économique et à promouvoir le progrès social grâce à l'entrepreneuriat axé sur l'innovation. Pour ce faire, une équipe du MIT est à disposition afin d’élaborer une stratégie pour renforcer l’impact de l’innovation et de l’entreprenariat en Wallonie.

 

Une équipe wallonne, Team Wallonia, a également été constituée et regroupe douze acteurs de différents milieux tels que les universités, les entreprises, les fédérations, des investisseurs, des incubateurs et des administrations publiques. Dans le cadre de ce programme, la Team Wallonia aura aussi l’occasion de suivre des ateliers de 3 jours entre Boston et la Wallonie, pour concrétiser les projets issus de cette initiative mondiale de premier plan.

 

Les différentes missions qui ont été menées pendant ce mois de novembre permettent à l’espace Wallon et Bruxellois de rayonner à travers le monde, et même de collaborer avec de prestigieux acteurs innovants dans le monde. Ce mois de novembre riche en contacts ouvrira très certainement la voie à de nouveaux projets dans le futur. Après une très longue période sans avoir pu organiser de missions internationales, le département R&I a su rebondir rapidement et efficacement pour offrir aux opérateurs de Wallonie - Bruxelles un service et une expertise de partenariats à l’international, et continuera sur ce chemin tout au long de l’année 2022!

Retour au début

Bouton - en savoir plus

La cybersécurité ou la surveillance en ligne font partie des sujets les plus abordés et débattus lors des discussions internationales. Le commerce numérique et la gestion des données sont aussi à la une des processus diplomatiques. Il s’agit de questions importantes liées à la gouvernance de l’Internet.

 

DiploFoundation en collaboration et avec le soutien de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) dans le cadre de l’initiative D-CLIC, Formez-vous au numérique avec l’OIF, organise un cycle de formation sur l'introduction à la gouvernance de l'Internet.

 

Dispensé en français, ce cycle de formation s’adresse aux agents publics ressortissants des 54 États et Gouvernements membres de l’OIF, notamment :

Diplomates et fonctionnaires des ministères, cadres des institutions ou départements gouvernementaux, représentants francophones dans les postes multilatéraux où sont traités les enjeux numériques et tous les autres acteurs publics chargés des questions de politique liées à la société de l’information, à l’Internet et aux TIC (ex. télécommunications, éducations, affaires étrangères, justice).

 

Les candidatures féminines sont fortement encouragées ainsi que celles provenant des pays francophones en développement.

 

Le cycle de formation se déroulera en ligne pendant 10 semaines à partir du 17 octobre 2022.

 

Dispensé en français, le cours se compose d’une introduction méthodologique et de 8 modules:

  • Semaine d’orientation: Présentation de la plateforme en ligne, de la méthodologie et des exigences du cours.
  • Introduction à la gouvernance de l’Internet
  • Les dimensions des infrastructures et de la standardisation
  • La dimension de la cybersécurité
  • La dimension juridique
  • La dimension économique
  • Les dimensions socioculturelles et de développement
  • La dimension des droits de l’Homme
  • Les acteurs de la gouvernance d’Internet

 

Il abordera des thèmes tels que la politique du haut débit, la gestion des noms de domaine et des adresses IP, y compris la transition de l’IPv4 à l’IPv6, la neutralité du réseau, la juridiction, les droits de propriété intellectuelle, le code source libre (open source), le piratage, la protection de la vie privée, la sécurité des données et la cybersécurité, la protection de l’enfance, les droits de l’Homme, la gestion du contenu, les signatures numériques, les questions émergentes telles que les politiques liées aux réseaux sociaux et à l’infonuagique (cloud).

 

D-CLIC, Formez-vous au numérique avec l'OIF, est un dispositif global visant à accompagner le renforcement des compétences numériques des populations francophones afin de répondre aux évolutions rapides des sociétés, des marchés économiques et du monde du travail, et d’améliorer l’employabilité́ durable, en particulier pour les populations les plus vulnérables (jeunes, femmes, populations éloignées de l’emploi, etc.). Mobilisant des opérateurs de formation reconnus, D-CLIC propose des formations aux métiers du numérique pour les jeunes (18-35 ans) et accompagne les Etats et gouvernements francophones dans le développement et le renforcement de leurs cadres régulatoires nationaux à travers, notamment, la formation des agents publics aux enjeux de la gouvernance du numérique.

 

Inscription et informations complémentaires sur le site de la DiPLOFoundation.

Date limite de candidature le 9 octobre 2022.

 

La cybersécurité ou la surveillance en ligne font partie des sujets les plus abordés et débattus lors des discussions internationales. Le commerce numérique et la gestion des données sont aussi à la une des processus diplomatiques. Il s’agit de questions importantes liées à la gouvernance de l’Internet.

 

DiploFoundation en collaboration et avec le soutien de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) dans le cadre de l’initiative D-CLIC, Formez-vous au numérique avec l’OIF, organise un cycle de formation sur l'introduction à la gouvernance de l'Internet.

 

Dispensé en français, ce cycle de formation s’adresse aux agents publics ressortissants des 54 États et Gouvernements membres de l’OIF, notamment :

Diplomates et fonctionnaires des ministères, cadres des institutions ou départements gouvernementaux, représentants francophones dans les postes multilatéraux où sont traités les enjeux numériques et tous les autres acteurs publics chargés des questions de politique liées à la société de l’information, à l’Internet et aux TIC (ex. télécommunications, éducations, affaires étrangères, justice).

 

Les candidatures féminines sont fortement encouragées ainsi que celles provenant des pays francophones en développement.

 

Le cycle de formation se déroulera en ligne pendant 10 semaines à partir du 17 octobre 2022.

 

Dispensé en français, le cours se compose d’une introduction méthodologique et de 8 modules:

  • Semaine d’orientation: Présentation de la plateforme en ligne, de la méthodologie et des exigences du cours.
  • Introduction à la gouvernance de l’Internet
  • Les dimensions des infrastructures et de la standardisation
  • La dimension de la cybersécurité
  • La dimension juridique
  • La dimension économique
  • Les dimensions socioculturelles et de développement
  • La dimension des droits de l’Homme
  • Les acteurs de la gouvernance d’Internet

 

Il abordera des thèmes tels que la politique du haut débit, la gestion des noms de domaine et des adresses IP, y compris la transition de l’IPv4 à l’IPv6, la neutralité du réseau, la juridiction, les droits de propriété intellectuelle, le code source libre (open source), le piratage, la protection de la vie privée, la sécurité des données et la cybersécurité, la protection de l’enfance, les droits de l’Homme, la gestion du contenu, les signatures numériques, les questions émergentes telles que les politiques liées aux réseaux sociaux et à l’infonuagique (cloud).

 

D-CLIC, Formez-vous au numérique avec l'OIF, est un dispositif global visant à accompagner le renforcement des compétences numériques des populations francophones afin de répondre aux évolutions rapides des sociétés, des marchés économiques et du monde du travail, et d’améliorer l’employabilité́ durable, en particulier pour les populations les plus vulnérables (jeunes, femmes, populations éloignées de l’emploi, etc.). Mobilisant des opérateurs de formation reconnus, D-CLIC propose des formations aux métiers du numérique pour les jeunes (18-35 ans) et accompagne les Etats et gouvernements francophones dans le développement et le renforcement de leurs cadres régulatoires nationaux à travers, notamment, la formation des agents publics aux enjeux de la gouvernance du numérique.

 

Inscription et informations complémentaires sur le site de la DiPLOFoundation.

Date limite de candidature le 9 octobre 2022.

 

Documents liés

Bouton - en savoir plus

(c) JIPF

Mise en œuvre par la Fédération internationale des professeurs de français (FIPF) dans la foulée  du « Plan pour la langue française et le plurilinguisme » présenté par Emmanuel Macron en mars 2018, cette journée aborde un thème d’actualité COVID 19. Et après ? pour une édition soutenue par un parrain prestigieux en la personne d’Eric-Emmanuel Schmitt.

 

 

Wallonie-Bruxelles International, partenaire de la FIPF depuis de nombreuses années, est heureux de s’associer à cet événement devenu incontournable sur la scène internationale francophone.

 

 

Dans le cadre de leur mission, dont une partie est centrée sur l’enseignement en université et la promotion de la langue française, le Réseau des Agents de Liaison Académique et Culturelle (ALAC) s’implique largement dans les activités mises en œuvre à l’occasion de cette Journée.

 

La présence d’un parrain pour l’édition 2021, a donné l’idée au réseau de proposer non seulement des actions en Français Langues Etrangères dans un contexte pandémique, mais également des actions mettant en avant la littérature belge francophone. Cette année, la campagne #LisezVousLeBelge? a donc également pris un envol international.

 

Les nombreuses activités en distanciel et en présentiel auront permis à ce jeune réseau de montrer sa capacité à initier de belles collaborations, à communiquer et à travailler avec de nombreux partenaires en relation tant avec le siège de Wallonie-Bruxelles International qu’avec les Délégations générales Wallonie-Bruxelles présentes partout dans le monde.

 

Plusieurs formations sur l’utilisation du numérique en classe de français seront données par la professeure Audrey Thonard de l’Institut Supérieur des Langues Vivantes de l'ULiège. L’ISLV a imaginé une série de webinaires adaptés aux situations vécues en période de crise. En particulier, les formations de Mme Thonard entrent parfaitement en écho avec la thématique de la JIPF, sur les utilisations du numérique lors d’un apprentissage en classe de FLE.

 

Mme Thonard donnera en présentiel un atelier, à destination des étudiant.e.s du département de français de l’Université Eötvös Loránd de Budapest (ELTE) et aux membres de l' Association hongroise des professeurs de français (AHEF), de 10h à 13h30, le jeudi 25 novembre (Des applications pour ma (future) classe de FLE ! ). Elle interviendra encore lors de la journée pédagogique organisée le 27 novembre par l’AHEF dans les locaux de l’Institut français de Budapest (Un petit tour « didacTIC » en Belgique). Cette intervention sera précédée d’une présentation de WBI par l’ALAC auprès du public professoral des lycées hongrois.

 

Mme Thonard  interviendra également en distanciel auprès des publics étudiant et enseignant chinois et japonais, lors d’une formation conjointe (sur Zoom) le 23 novembre. Un atelier pour approfondir l’utilisation des outils numériques sera ensuite donné le 30 novembre aux professeurs de Chine et du Japon.

 

Laurence Boudart, directrice des Archives et Musée de la Littérature à Bruxelles, propose le 24 novembre un webinaire à destination des professeur·e·s de FLE centré sur la littérature francophone de Belgique : «Des outils pour l’enseignement de la littérature francophone de Belgique». Ce webinaire mis en place par l’ALAC des pays baltes, sera relayé par tout le réseau ALAC dans le monde. Il mettra dans un premier temps l’accent sur les grandes tendances et les auteur·e·s majeur·e·s de ce corpus. Dans un second temps, il offrira aux participant·e·s une série de ressources en ligne autour de la production et l’histoire littéraire et théâtrale de la Belgique francophone, depuis le XIXe siècle jusqu’à nos jours. Théorie et pratique seront au rendez-vous pour pouvoir offrir aux professeurs de français langue étrangère les bases nécessaires pour l’enseignement de notre littérature. Afin de conclure ce projet, un concours sera lancé dans les pays baltes destiné aux (futurs) professeurs de français. Le but ? Rédiger une fiche pédagogique mettant en lumière un aspect de la culture belge. 

 

Un autre projet mené en distanciel a pour but d’ouvrir à un autre pan de notre littérature au sens large, en sensibilisant le public à la littérature orale. Il s'agit d'une collaboration entre les ALAC de Croatie, de Hongrie, de Pologne et de Serbie et la Délégation générale  Wallonie-Bruxelles à Bucarest. Cette rencontre s’adresse aux publics francophones de ces pays (Hongrie, Croatie, Pologne, Serbie, mais aussi Roumanie, Moldavie, Bulgarie). Le conteur Bavar, le passeur d'histoires, animera le 23 novembre une soirée en distanciel où il nous contera les histoires et légendes de Belgique ! Ce personnage haut en couleur nous fera vibrer au rythme de contes venus du plus profond du folklore wallon.

 

 

Également dans l’esprit de mettre le livre belge à l’honneur et de donner le goût de la lecture aux publics étudiant et enseignant, une rencontre sur Zoom avec la célèbre autrice Christelle Dabos a été organisée par les ALAC de Hongrie et de Croatie. En 2022, le 4e tome de sa saga La passe-miroir avec plus d’un million de lecteurs, a été traduit en slovène et en hongrois. Les deux ALAC conduiront l’entretien entre les traductrices hongroise Mme Zsófia Molnár et slovène Mme Živa Čebulj ainsi qu’avec l’autrice. Les questions porteront sur l’œuvre de Christelle Dabos et sur des points de traduction littéraire.

 

Au Brésil, c’est Joëlle Sambi qui sera mise à l’honneur. Elle animera un atelier de slam en ligne le vendredi 26 novembre et permettra aux participants de mettre des mots sur leurs émotions et d’exprimer leurs opinions à l’écrit, puis ensuite à l’oral, parce qu’il y a ce qui se sait et qui s’écrit, ce qui s’écrit et puis se dit. Joëlle Sambi reviendra le samedi 27 novembre pour une rencontre avec les participants du Club du Livre «Lire et s’inspirer» de l’Alliance française de Belo Horizonte afin de discuter de la thématique de la conscience noire et de la lutte antiraciste. En effet, novembre est le mois de la conscience noire au Brésil, c’est donc l'occasion de discuter autour de cette thématique. L’artiste belge discutera et partagera ensuite avec Karine Bassi, slameuse brésilienne afin d’échanger sur la place du slam dans chaque pays et de l’importance de la prise de parole.

 

En Croatie, la poétesse Anne Versailles animera le lundi 22 novembre l’atelier d’écriture La carte sonore à destination des professeurs de français. Elle guidera les participants dans l’écriture d’un texte poétique au départ de quelques sensations immédiates.

Cet atelier prend part dans le projet La Belgique des cinq sens orchestré par l’ALAC dans les écoles en Croatie.

 

Le 24 novembre, se tiendra à 15h (heure belge) un master class d’écriture créative animée par Lisette Lombé à l’Université de Durham en Angleterre. Reflétant le style de la célèbre slameuse, l’évènement est intitulé Langue de feu. Il est destiné aux professeurs universitaires de FLE désireux d’inclure l’écriture créative dans leurs activités pédagogiques.

 

En Afrique du Sud, WBI s’associe avec le  Consulat Général de France, l' Alliance française et la Chambre de Commerce belge pour lancer la première édition de la JIPF au Cap-Occidental. Le 25 novembre sera dédié aux enseignant·e·s, tous cycles confondus, afin qu'iels partagent leur expérience de cette période inédite, lors d’une table-ronde sur le thème Covid-19. Et après ? , animée par l’ALAC. Ce moment d’échange sera suivi par une présentation de WBI par l’ALAC, puis par un cocktail dinatoire/concert.

 

 

Dans le cadre de la programmation de la JIPF, les Délégations générales de Wallonie-Bruxelles ne sont pas en reste.

A Bucarest, la DGWB organise en effet, un webinaire sur les "Marmites francophones",en collaboration avec des partenaires de la Francophonie.

Il s’agit d’un projet de partage des patrimoines culinaires dans leur diversité et leurs particularités, via la réalisation de capsules vidéo en français et sous-titrées en français.

Le webinaire interactif, animé par M. Paul Ernst, enseignant FLE au Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles, comprendra plusieurs séquences, tantôt avec l'intervenant sous la forme de jeux de questions-réponses, tantôt de façon autonome par les participants à l'atelier, après exposé précis des consignes par l'intervenant.

 

La Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Chili participera également à la JIPF aux côtés de différents partenaires francophones tels que l’Institut Français de Santiago et la COPALC (Commission pour l’Amérique latine et la Caraïbe).

A cette occasion, diverses activités seront organisées lors d’une soirée virtuelle. Tout d’abord, une réflexion sur la thématique Covid 19. et après ? sera présentée ainsi que l’enseignement en ligne à travers des contes. Le lancement du livre Historias de la vida en format électronique et écrit par des professeurs de français au Chili sera également à l’ordre du jour, et sera suivi par un espace de discussions. Un hommage et une remise de diplôme sont, par ailleurs, prévus afin de reconnaitre le parcours professionnel de six professeurs chiliens de l’Association des Professeurs de français. Cet événement se clôturera en chansons.

Un beau panel d’activités afin de promouvoir le français et de soutenir les profs de FLE du monde entier ! 

 

Retrouvez le programme complet sur le site de La journée internationale des professeurs de français.

Mise en œuvre par la Fédération internationale des professeurs de français (FIPF) dans la foulée  du « Plan pour la langue française et le plurilinguisme » présenté par Emmanuel Macron en mars 2018, cette journée aborde un thème d’actualité COVID 19. Et après ? pour une édition soutenue par un parrain prestigieux en la personne d’Eric-Emmanuel Schmitt.

 

 

Wallonie-Bruxelles International, partenaire de la FIPF depuis de nombreuses années, est heureux de s’associer à cet événement devenu incontournable sur la scène internationale francophone.

 

 

Dans le cadre de leur mission, dont une partie est centrée sur l’enseignement en université et la promotion de la langue française, le Réseau des Agents de Liaison Académique et Culturelle (ALAC) s’implique largement dans les activités mises en œuvre à l’occasion de cette Journée.

 

La présence d’un parrain pour l’édition 2021, a donné l’idée au réseau de proposer non seulement des actions en Français Langues Etrangères dans un contexte pandémique, mais également des actions mettant en avant la littérature belge francophone. Cette année, la campagne #LisezVousLeBelge? a donc également pris un envol international.

 

Les nombreuses activités en distanciel et en présentiel auront permis à ce jeune réseau de montrer sa capacité à initier de belles collaborations, à communiquer et à travailler avec de nombreux partenaires en relation tant avec le siège de Wallonie-Bruxelles International qu’avec les Délégations générales Wallonie-Bruxelles présentes partout dans le monde.

 

Plusieurs formations sur l’utilisation du numérique en classe de français seront données par la professeure Audrey Thonard de l’Institut Supérieur des Langues Vivantes de l'ULiège. L’ISLV a imaginé une série de webinaires adaptés aux situations vécues en période de crise. En particulier, les formations de Mme Thonard entrent parfaitement en écho avec la thématique de la JIPF, sur les utilisations du numérique lors d’un apprentissage en classe de FLE.

 

Mme Thonard donnera en présentiel un atelier, à destination des étudiant.e.s du département de français de l’Université Eötvös Loránd de Budapest (ELTE) et aux membres de l' Association hongroise des professeurs de français (AHEF), de 10h à 13h30, le jeudi 25 novembre (Des applications pour ma (future) classe de FLE ! ). Elle interviendra encore lors de la journée pédagogique organisée le 27 novembre par l’AHEF dans les locaux de l’Institut français de Budapest (Un petit tour « didacTIC » en Belgique). Cette intervention sera précédée d’une présentation de WBI par l’ALAC auprès du public professoral des lycées hongrois.

 

Mme Thonard  interviendra également en distanciel auprès des publics étudiant et enseignant chinois et japonais, lors d’une formation conjointe (sur Zoom) le 23 novembre. Un atelier pour approfondir l’utilisation des outils numériques sera ensuite donné le 30 novembre aux professeurs de Chine et du Japon.

 

Laurence Boudart, directrice des Archives et Musée de la Littérature à Bruxelles, propose le 24 novembre un webinaire à destination des professeur·e·s de FLE centré sur la littérature francophone de Belgique : «Des outils pour l’enseignement de la littérature francophone de Belgique». Ce webinaire mis en place par l’ALAC des pays baltes, sera relayé par tout le réseau ALAC dans le monde. Il mettra dans un premier temps l’accent sur les grandes tendances et les auteur·e·s majeur·e·s de ce corpus. Dans un second temps, il offrira aux participant·e·s une série de ressources en ligne autour de la production et l’histoire littéraire et théâtrale de la Belgique francophone, depuis le XIXe siècle jusqu’à nos jours. Théorie et pratique seront au rendez-vous pour pouvoir offrir aux professeurs de français langue étrangère les bases nécessaires pour l’enseignement de notre littérature. Afin de conclure ce projet, un concours sera lancé dans les pays baltes destiné aux (futurs) professeurs de français. Le but ? Rédiger une fiche pédagogique mettant en lumière un aspect de la culture belge. 

 

Un autre projet mené en distanciel a pour but d’ouvrir à un autre pan de notre littérature au sens large, en sensibilisant le public à la littérature orale. Il s'agit d'une collaboration entre les ALAC de Croatie, de Hongrie, de Pologne et de Serbie et la Délégation générale  Wallonie-Bruxelles à Bucarest. Cette rencontre s’adresse aux publics francophones de ces pays (Hongrie, Croatie, Pologne, Serbie, mais aussi Roumanie, Moldavie, Bulgarie). Le conteur Bavar, le passeur d'histoires, animera le 23 novembre une soirée en distanciel où il nous contera les histoires et légendes de Belgique ! Ce personnage haut en couleur nous fera vibrer au rythme de contes venus du plus profond du folklore wallon.

 

 

Également dans l’esprit de mettre le livre belge à l’honneur et de donner le goût de la lecture aux publics étudiant et enseignant, une rencontre sur Zoom avec la célèbre autrice Christelle Dabos a été organisée par les ALAC de Hongrie et de Croatie. En 2022, le 4e tome de sa saga La passe-miroir avec plus d’un million de lecteurs, a été traduit en slovène et en hongrois. Les deux ALAC conduiront l’entretien entre les traductrices hongroise Mme Zsófia Molnár et slovène Mme Živa Čebulj ainsi qu’avec l’autrice. Les questions porteront sur l’œuvre de Christelle Dabos et sur des points de traduction littéraire.

 

Au Brésil, c’est Joëlle Sambi qui sera mise à l’honneur. Elle animera un atelier de slam en ligne le vendredi 26 novembre et permettra aux participants de mettre des mots sur leurs émotions et d’exprimer leurs opinions à l’écrit, puis ensuite à l’oral, parce qu’il y a ce qui se sait et qui s’écrit, ce qui s’écrit et puis se dit. Joëlle Sambi reviendra le samedi 27 novembre pour une rencontre avec les participants du Club du Livre «Lire et s’inspirer» de l’Alliance française de Belo Horizonte afin de discuter de la thématique de la conscience noire et de la lutte antiraciste. En effet, novembre est le mois de la conscience noire au Brésil, c’est donc l'occasion de discuter autour de cette thématique. L’artiste belge discutera et partagera ensuite avec Karine Bassi, slameuse brésilienne afin d’échanger sur la place du slam dans chaque pays et de l’importance de la prise de parole.

 

En Croatie, la poétesse Anne Versailles animera le lundi 22 novembre l’atelier d’écriture La carte sonore à destination des professeurs de français. Elle guidera les participants dans l’écriture d’un texte poétique au départ de quelques sensations immédiates.

Cet atelier prend part dans le projet La Belgique des cinq sens orchestré par l’ALAC dans les écoles en Croatie.

 

Le 24 novembre, se tiendra à 15h (heure belge) un master class d’écriture créative animée par Lisette Lombé à l’Université de Durham en Angleterre. Reflétant le style de la célèbre slameuse, l’évènement est intitulé Langue de feu. Il est destiné aux professeurs universitaires de FLE désireux d’inclure l’écriture créative dans leurs activités pédagogiques.

 

En Afrique du Sud, WBI s’associe avec le  Consulat Général de France, l' Alliance française et la Chambre de Commerce belge pour lancer la première édition de la JIPF au Cap-Occidental. Le 25 novembre sera dédié aux enseignant·e·s, tous cycles confondus, afin qu'iels partagent leur expérience de cette période inédite, lors d’une table-ronde sur le thème Covid-19. Et après ? , animée par l’ALAC. Ce moment d’échange sera suivi par une présentation de WBI par l’ALAC, puis par un cocktail dinatoire/concert.

 

 

Dans le cadre de la programmation de la JIPF, les Délégations générales de Wallonie-Bruxelles ne sont pas en reste.

A Bucarest, la DGWB organise en effet, un webinaire sur les "Marmites francophones",en collaboration avec des partenaires de la Francophonie.

Il s’agit d’un projet de partage des patrimoines culinaires dans leur diversité et leurs particularités, via la réalisation de capsules vidéo en français et sous-titrées en français.

Le webinaire interactif, animé par M. Paul Ernst, enseignant FLE au Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles, comprendra plusieurs séquences, tantôt avec l'intervenant sous la forme de jeux de questions-réponses, tantôt de façon autonome par les participants à l'atelier, après exposé précis des consignes par l'intervenant.

 

La Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Chili participera également à la JIPF aux côtés de différents partenaires francophones tels que l’Institut Français de Santiago et la COPALC (Commission pour l’Amérique latine et la Caraïbe).

A cette occasion, diverses activités seront organisées lors d’une soirée virtuelle. Tout d’abord, une réflexion sur la thématique Covid 19. et après ? sera présentée ainsi que l’enseignement en ligne à travers des contes. Le lancement du livre Historias de la vida en format électronique et écrit par des professeurs de français au Chili sera également à l’ordre du jour, et sera suivi par un espace de discussions. Un hommage et une remise de diplôme sont, par ailleurs, prévus afin de reconnaitre le parcours professionnel de six professeurs chiliens de l’Association des Professeurs de français. Cet événement se clôturera en chansons.

Un beau panel d’activités afin de promouvoir le français et de soutenir les profs de FLE du monde entier ! 

 

Retrouvez le programme complet sur le site de La journée internationale des professeurs de français.

Bouton - en savoir plus

S'abonner à