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La délégation scientifique de Wallonie-Bruxelles aux côtés des membres académiques de l'Université de Milan (c) WBI
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Cartographie de compétences, échange de savoirs et visites de laboratoire

La première journée fut consacrée à la présentation de compétences et aux visites de laboratoires de l’Université de Milan et du Centre de recherche interne de la Commission européenne.

 

En matinée, la délégation de Wallonie-Bruxelles a assisté à un séminaire organisé par l’Université de Milan, au cours duquel une succession de présentations de compétences et de projets a été donnée par les professeurs et chercheurs scientifiques milanais travaillant au sein des départements dédiés à la recherche agronomique, environnementale et nutritionnelle.

 

La délégation de Wallonie-Bruxelles était accompagnée du Ministre de l'Economie, des PME, du Commerce extérieur, des Technologies nouvelles et de l'Enseignement supérieur, Jean-Claude Marcourt, et du Premier Vice-Recteur de l’Université de Liège, Eric Haubruge

 

Ensuite, le groupe s’est rendu à Ispra, un village qui accueille la plus grande unité du Joint Research Center (JRC - Centre commun de recherche européen) active dans les technologies environnementales et l’agro-alimentaire. A nouveau, la délégation a pu prendre connaissance des grands projets de recherche menés actuellement au JRC et comprendre le fonctionnement de cette structure rattachée à la Commission européenne.

 

Les participants furent ensuite conviés à réseauter avec les entreprises présentes lors du cocktail dinatoire organisé par la Fevia et Wagralim.

 

 

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Journée francophone : Rencontre avec les organisations internationales et atelier du projet FINNOVAR

Le deuxième jour avait pour fil rouge la poursuite des travaux de la filière agroalimentaire du projet de Réseau francophone de l’Innovation (FINNOV). Sous ce cadre, deux événements internationaux francophones ont été organisés.

 

En matinée, les participants ont pu découvrir les opportunités de partenariats offertes par les organisations internationales en matière de coopération scientifique et technologique au bénéfice des populations rurales et du monde agricole. Pour reprendre les propos d’introduction énoncés par le Ministre-Président de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Rudy Demotte, « […] au sein même des organisations internationales et de leurs initiatives, il nous faut mobiliser toutes les capacités francophones : nos savoirs-faires, nos bonnes pratiques, nos pôles d’innovation et d’expertise, nos technologies, la créativité de la jeunesse et le dynamisme des femmes. »

 

Ainsi, les participants ont pu compter sur la présence de la Banque Africaine de Développement (BAD), l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), l’Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel (ONUDI), la Direction générale de la Commission européenne en charge de la Coopération internationale et le Développement (DEVCO), ainsi que sur la participation du Groupe Consultatif pour la Recherche Agricole Internationale (CGIAR).

 

L’après-midi fut consacrée à un atelier de travail et de réflexions sur les secteurs de l’agro-alimentaire et les agro-ressources du réseau francophone de l’innovation, FINNOVAR

 

L’atelier a débuté par une allocution de François Heroufosse, Directeur du pôle de compétitivité Wagralim, pour présenter un premier bilan des actions menées jusqu’à présent pour FINNOVAR. Il a notamment fait état des résultats du Forum de Namur qui s’est tenu en septembre 2014. Les discussions se sont poursuivies avec une démonstration du fonctionnement de la plateforme numérique collaborative du réseau FINNOV, ainsi que la présentation de la consultation publique de la Commission européenne sur le rôle de la recherche pour la sécurité alimentaire globale. 

 

La séance s’est clôturée par une table-ronde autour de laquelle le pôle Wagralim ainsi que des partenaires venant des Pays du Sud, dont des représentants de la République démocratique du Congo et du Sénégal, ont pu échanger leurs avis sur une série de questions et lancer des pistes de réflexion qui serviront à alimenter les débats sur la plateforme collaborative en vue de la prochaine rencontre du réseau. 

 

 

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Séminaire académique de Wallonie-Bruxelles: « Nourrir la Planète en 2050 »

La mission Sciences et Technologies à Milan s’est clôturée avec un séminaire organisé par la délégation académique de Wallonie-Bruxelles sur le site du Pavillon belge, et coordonné par le réseau LIEU qui regroupe les bureaux de transferts technologiques des universités et hautes écoles. Ce séminaire a été rehaussé par la présence du Ministre wallon de l’Agriculture, René Collin, et d’une délégation du Parlement Wallon conduite par son Président André Antoine.

 

Cet événement, construit sous le format des Lab’Insight, a mis en lumière les compétences et les technologies liées à la thématique de l’Expo au travers de trois prismes : « manger autre chose », « cultiver autrement », et « retour à la terre ». En s’appuyant sur les différents projets présentés, les chercheurs scientifiques ont tenté de répondre aux enjeux de demain et d’apporter des solutions innovantes à la question : Nourrir la planète en 2050 ?

 

 

Vidéo de présentation du Lab’Insight 

 
 
Contact :
Jessica MICLOTTE, Chargée de projets
Service Recherche & Innovation
j.miclotte@wbi.be

 

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Cartographie de compétences, échange de savoirs et visites de laboratoire

La première journée fut consacrée à la présentation de compétences et aux visites de laboratoires de l’Université de Milan et du Centre de recherche interne de la Commission européenne.

 

En matinée, la délégation de Wallonie-Bruxelles a assisté à un séminaire organisé par l’Université de Milan, au cours duquel une succession de présentations de compétences et de projets a été donnée par les professeurs et chercheurs scientifiques milanais travaillant au sein des départements dédiés à la recherche agronomique, environnementale et nutritionnelle.

 

La délégation de Wallonie-Bruxelles était accompagnée du Ministre de l'Economie, des PME, du Commerce extérieur, des Technologies nouvelles et de l'Enseignement supérieur, Jean-Claude Marcourt, et du Premier Vice-Recteur de l’Université de Liège, Eric Haubruge

 

Ensuite, le groupe s’est rendu à Ispra, un village qui accueille la plus grande unité du Joint Research Center (JRC - Centre commun de recherche européen) active dans les technologies environnementales et l’agro-alimentaire. A nouveau, la délégation a pu prendre connaissance des grands projets de recherche menés actuellement au JRC et comprendre le fonctionnement de cette structure rattachée à la Commission européenne.

 

Les participants furent ensuite conviés à réseauter avec les entreprises présentes lors du cocktail dinatoire organisé par la Fevia et Wagralim.

 

 

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Journée francophone : Rencontre avec les organisations internationales et atelier du projet FINNOVAR

Le deuxième jour avait pour fil rouge la poursuite des travaux de la filière agroalimentaire du projet de Réseau francophone de l’Innovation (FINNOV). Sous ce cadre, deux événements internationaux francophones ont été organisés.

 

En matinée, les participants ont pu découvrir les opportunités de partenariats offertes par les organisations internationales en matière de coopération scientifique et technologique au bénéfice des populations rurales et du monde agricole. Pour reprendre les propos d’introduction énoncés par le Ministre-Président de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Rudy Demotte, « […] au sein même des organisations internationales et de leurs initiatives, il nous faut mobiliser toutes les capacités francophones : nos savoirs-faires, nos bonnes pratiques, nos pôles d’innovation et d’expertise, nos technologies, la créativité de la jeunesse et le dynamisme des femmes. »

 

Ainsi, les participants ont pu compter sur la présence de la Banque Africaine de Développement (BAD), l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), l’Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel (ONUDI), la Direction générale de la Commission européenne en charge de la Coopération internationale et le Développement (DEVCO), ainsi que sur la participation du Groupe Consultatif pour la Recherche Agricole Internationale (CGIAR).

 

L’après-midi fut consacrée à un atelier de travail et de réflexions sur les secteurs de l’agro-alimentaire et les agro-ressources du réseau francophone de l’innovation, FINNOVAR

 

L’atelier a débuté par une allocution de François Heroufosse, Directeur du pôle de compétitivité Wagralim, pour présenter un premier bilan des actions menées jusqu’à présent pour FINNOVAR. Il a notamment fait état des résultats du Forum de Namur qui s’est tenu en septembre 2014. Les discussions se sont poursuivies avec une démonstration du fonctionnement de la plateforme numérique collaborative du réseau FINNOV, ainsi que la présentation de la consultation publique de la Commission européenne sur le rôle de la recherche pour la sécurité alimentaire globale. 

 

La séance s’est clôturée par une table-ronde autour de laquelle le pôle Wagralim ainsi que des partenaires venant des Pays du Sud, dont des représentants de la République démocratique du Congo et du Sénégal, ont pu échanger leurs avis sur une série de questions et lancer des pistes de réflexion qui serviront à alimenter les débats sur la plateforme collaborative en vue de la prochaine rencontre du réseau. 

 

 

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Séminaire académique de Wallonie-Bruxelles: « Nourrir la Planète en 2050 »

La mission Sciences et Technologies à Milan s’est clôturée avec un séminaire organisé par la délégation académique de Wallonie-Bruxelles sur le site du Pavillon belge, et coordonné par le réseau LIEU qui regroupe les bureaux de transferts technologiques des universités et hautes écoles. Ce séminaire a été rehaussé par la présence du Ministre wallon de l’Agriculture, René Collin, et d’une délégation du Parlement Wallon conduite par son Président André Antoine.

 

Cet événement, construit sous le format des Lab’Insight, a mis en lumière les compétences et les technologies liées à la thématique de l’Expo au travers de trois prismes : « manger autre chose », « cultiver autrement », et « retour à la terre ». En s’appuyant sur les différents projets présentés, les chercheurs scientifiques ont tenté de répondre aux enjeux de demain et d’apporter des solutions innovantes à la question : Nourrir la planète en 2050 ?

 

 

Vidéo de présentation du Lab’Insight 

 
 
Contact :
Jessica MICLOTTE, Chargée de projets
Service Recherche & Innovation
j.miclotte@wbi.be

 

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Participants et organisateurs de l'atelier "Space4Food" (c) WBI

Le 11 juin, un atelier sur le pavillon belge intitulé “Space4Food” a permis de présenter l’apport de la télédétection à la sécurité alimentaire et l’agriculture durable. L’événement, qui s’inscrivait dans la thématique de l’Expo universelle « Nourrir la Planète, Energie pour la vie », était organisé par Belspo (le Service public de programmation de la Politique scientifique fédérale), l’EWI (le Département de l’Economie, la Science et l’Innovation du Gouvernement flamand) et WBI.

 

L’événement a débuté avec le discours de l’Ambassadeur belge pour l’Italie et pour la FAO (Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture) qui a rappelé l’importance de gérer nos ressources agricoles de la manière la plus efficiente et durable possible. Lieven Bydekerke (EUMETSAT) a ensuite pris la parole en tant que modérateur de l’événement. 

 

L’audience, composée majoritairement d’Italiens, a d’abord pu assister aux présentations des représentants de la Commission européenne, de l’ESA (l’Agence spatiale européenne) et de la FAO. Cette première partie était consacrée aux défis auxquels l’agriculture mondiale est confrontée et ce que la télédétection peut offrir comme solutions. Dans une seconde partie, les scientifiques belges ont présenté les compétences et les technologies développées dans le domaine de la télédétection pour l’agriculture. 

 

En effet, les Belges portent une longue tradition en ce qui concerne les innovations agricoles et le pays est l’un des premiers à avoir étudié l’utilisation des systèmes de télédétection dans l’agriculture, il y a plus de 30 ans. Depuis, ces efforts se sont poursuivis et ont abouti au lancement du satellite belge PROBA-V de l’ESA en 2013, qui joue maintenant un rôle majeur pour la surveillance agricole au niveau international et pour le programme européen Copernicus (Programme européen pour l’établissement d’une capacité européenne d’observation de la Terre). Les participants au séminaire ont eu le privilège de voir le modèle du satellite PROBA-V, transporté de Bruxelles jusqu’au Pavillon belge pour l’occasion. 

 

Parmi les technologies présentées, il était indispensable d’évoquer l’utilisation des satellites comme instruments de mesure. Cependant, d’autres instruments tels que les drones et les petits avions munis d’un système GIS (geographic information system) intéressent différents types d’utilisateurs du monde entier.

 

Ainsi, les gammes de compétences et technologies présentées allaient de la cartographie des zones de terres arables, des types de cultures et des vergers, à la surveillance ou l'alerte précoce concernant la sécheresse, les invasions de criquets, les maladies ou anomalies des champs agricoles.

 

La journée s’est terminée par une discussion animée durant laquelle les scientifiques, fournisseurs de données et de services, producteurs d'aliments et décideurs publics ont débattu sur la façon dont l'évolution de la recherche et le développement des technologies répondent aux attentes des utilisateurs agricoles.

 

Les aspects critiques soulevés ont concerné l’utilisation des données disponibles en «open source», qui pourraient être mal interprétées ou nuire à la vie privée. Il est également ressorti du débat la nécessité de mettre la technologie au service du marché et de la société. Pour cela, des communications ciblées et la création d’interfaces accessibles à tous pourraient être des solutions.

 

A court terme, deux projets-phares peuvent être mis en avant pour répondre aux défis qui marqueront les prochaines années.

 

D’une part, les satellites européens Sentinel-1 et Sentinel-2 projettent de redonner un élan aux systèmes de gestion des données agricoles au niveau local. « Une grande place semble s’ouvrir aux nouvelles opportunités pour la science, le développement et les produits et services innovants », expliquent les représentants du secteur agricole. 

 

D’autre part, il a été pointé que PROBA-V est une source de données indispensable à la gestion de l’environnement et de l’agriculture, et constitue un instrument très important pour la coopération avec l’Afrique et la Chine.

 

Finalement, alors que les drones ne sont pas encore considérés comme prioritaires dans le secteur, leur potentiel pour apporter une nouvelle dimension aux instruments de mesure de précision pour l’agriculture a été souligné. 

 

 

Contact à WBI :
Jessica MICLOTTE, Chargée de projets
j.miclotte@wbi.be, tél : 02/421 86 31
 

Le 11 juin, un atelier sur le pavillon belge intitulé “Space4Food” a permis de présenter l’apport de la télédétection à la sécurité alimentaire et l’agriculture durable. L’événement, qui s’inscrivait dans la thématique de l’Expo universelle « Nourrir la Planète, Energie pour la vie », était organisé par Belspo (le Service public de programmation de la Politique scientifique fédérale), l’EWI (le Département de l’Economie, la Science et l’Innovation du Gouvernement flamand) et WBI.

 

L’événement a débuté avec le discours de l’Ambassadeur belge pour l’Italie et pour la FAO (Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture) qui a rappelé l’importance de gérer nos ressources agricoles de la manière la plus efficiente et durable possible. Lieven Bydekerke (EUMETSAT) a ensuite pris la parole en tant que modérateur de l’événement. 

 

L’audience, composée majoritairement d’Italiens, a d’abord pu assister aux présentations des représentants de la Commission européenne, de l’ESA (l’Agence spatiale européenne) et de la FAO. Cette première partie était consacrée aux défis auxquels l’agriculture mondiale est confrontée et ce que la télédétection peut offrir comme solutions. Dans une seconde partie, les scientifiques belges ont présenté les compétences et les technologies développées dans le domaine de la télédétection pour l’agriculture. 

 

En effet, les Belges portent une longue tradition en ce qui concerne les innovations agricoles et le pays est l’un des premiers à avoir étudié l’utilisation des systèmes de télédétection dans l’agriculture, il y a plus de 30 ans. Depuis, ces efforts se sont poursuivis et ont abouti au lancement du satellite belge PROBA-V de l’ESA en 2013, qui joue maintenant un rôle majeur pour la surveillance agricole au niveau international et pour le programme européen Copernicus (Programme européen pour l’établissement d’une capacité européenne d’observation de la Terre). Les participants au séminaire ont eu le privilège de voir le modèle du satellite PROBA-V, transporté de Bruxelles jusqu’au Pavillon belge pour l’occasion. 

 

Parmi les technologies présentées, il était indispensable d’évoquer l’utilisation des satellites comme instruments de mesure. Cependant, d’autres instruments tels que les drones et les petits avions munis d’un système GIS (geographic information system) intéressent différents types d’utilisateurs du monde entier.

 

Ainsi, les gammes de compétences et technologies présentées allaient de la cartographie des zones de terres arables, des types de cultures et des vergers, à la surveillance ou l'alerte précoce concernant la sécheresse, les invasions de criquets, les maladies ou anomalies des champs agricoles.

 

La journée s’est terminée par une discussion animée durant laquelle les scientifiques, fournisseurs de données et de services, producteurs d'aliments et décideurs publics ont débattu sur la façon dont l'évolution de la recherche et le développement des technologies répondent aux attentes des utilisateurs agricoles.

 

Les aspects critiques soulevés ont concerné l’utilisation des données disponibles en «open source», qui pourraient être mal interprétées ou nuire à la vie privée. Il est également ressorti du débat la nécessité de mettre la technologie au service du marché et de la société. Pour cela, des communications ciblées et la création d’interfaces accessibles à tous pourraient être des solutions.

 

A court terme, deux projets-phares peuvent être mis en avant pour répondre aux défis qui marqueront les prochaines années.

 

D’une part, les satellites européens Sentinel-1 et Sentinel-2 projettent de redonner un élan aux systèmes de gestion des données agricoles au niveau local. « Une grande place semble s’ouvrir aux nouvelles opportunités pour la science, le développement et les produits et services innovants », expliquent les représentants du secteur agricole. 

 

D’autre part, il a été pointé que PROBA-V est une source de données indispensable à la gestion de l’environnement et de l’agriculture, et constitue un instrument très important pour la coopération avec l’Afrique et la Chine.

 

Finalement, alors que les drones ne sont pas encore considérés comme prioritaires dans le secteur, leur potentiel pour apporter une nouvelle dimension aux instruments de mesure de précision pour l’agriculture a été souligné. 

 

 

Contact à WBI :
Jessica MICLOTTE, Chargée de projets
j.miclotte@wbi.be, tél : 02/421 86 31
 

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Coating Research Institute (CoRI) (c) WBI

Depuis plus de 100 ans, l’Université de Northeastern (Boston, Massachusetts) propose des Programmes d’Education Coopératifs « Co-op » à ses étudiants. En tant que modèle d’apprentissage performant, le programme combine des séances de cours en classe avec des expériences sur le terrain.

 

Au cours de leurs 5 années de cursus, les étudiants ont l’opportunité de réaliser 3 stages distincts au sein de compagnies partenaires de l’Université. Pour ces organisations partenaires, le programme « Co-op » est très rentable pour le développement de leur force de travail tant au niveau national qu’au niveau international. L’Université de Northeastern possède en effet des partenariats à travers le monde. 

 

Il est important de souligner que le programme « Co-op » est différent des programmes de stage standards : les étudiants alternent entre période de cours en classe et stage à temps-plein dans une organisation durant une période de 6 mois. Ce système permet aux employeurs de disposer d’un stagiaire pendant une longue période au cours de laquelle ils évaluent les capacités de ce dernier avant de pouvoir éventuellement l’engager sur le plus long terme. 

 

Ces relations individuelles et fortes entre l’Université de Northeastern et ses partenaires sont encore renforcées avec les équipes de collaborateurs désignés. Ces équipes de conseillers « Co-op » se consacrent à développer des programmes adéquats pour assurer aux élèves l’excellence tout en maintenant des partenariats de qualité qui contribuent au succès mutuel.

 

Les nouveaux partenariats avec des sociétés sont toujours encouragés dans le but d’offrir les meilleures expériences aux étudiants. Pour les partenariats internationaux par exemple, les représentants étrangers et les attachés consulaires présents à Boston sont des ressources indispensables pour aider à initier de nouvelles collaborations. 

 

A ce propos, une mise en application pratique du programme « Co-op » a vu le jour récemment en Wallonie. En effet, sous l’impulsion de l’Agent de Liaison Scientifique de Wallonie-Bruxelles International, Maxime Van Cauter, basé à Boston, le Coatings Research Institute (CoRI) a répondu à une annonce du programme « Co-op ». 

 

Quelques mois après cette manifestation d’intérêt, Alexandra Krisiewicz a commencé son stage au CoRI. 

 

 

Interview d’Alexandra Krisiewicz et de Carine Lefèvre, Directrice du CoRI

 

Que pensez-vous du Programme « Co-op » ?

 

Carine Lefèvre : Premièrement, de notre point de vue, l’opportunité d’accueillir des étudiants internationaux est une véritable plus-value. Cela crée en effet un bon état d’esprit ouvert et unique dans le laboratoire. Notre personnel est polyvalent, innovant, combinant un ensemble de connaissances et de pratiques de pointe dans le revêtement de surface et les composantes utilisées. 

Nous nous sommes lancés dans un processus de développement d’expertise qui implique une grande connaissance de recherche et de développement. Cette dynamique est au cœur des activités du CoRI. Le CoRI a été l’une des forces conductrices depuis 1957 dans le développement de ce secteur, encourageant les innovations technologiques et les recherches scientifiques dans les peintures, les vernis et dans l’industrie du revêtement. Convaincu depuis ses débuts que l’innovation doit être soutenue depuis le cœur du projet, le CoRI travaille depuis longtemps avec les départements académiques. Le CoRI veut encourager cette mobilité d’étudiants et désire accueillir des étudiants internationaux dans son centre de recherche à Limelette (Sud de Bruxelles) avec le but ultime de créer un mélange de savoir-faire, de différentes cultures, d’éducation et d’ouverture pour créer un ensemble qui promouvra l’émergence de nouvelles pratiques et technologies.

 

Alexandra Krisiewicz : Quand j’ai commencé à étudier l’ingénierie chimique à la NEU en 2012, je désirais déjà obtenir une expérience internationale dans la recherche. Je connaissais naturellement Bruxelles et la Belgique de nom, et je savais qu’elles étaient célèbres pour la bière, mais je ne connaissais rien au sujet de la culture, la taille du pays, les gens…

Dès mon entrée à l’Université, j’ai pris connaissance du Programme grâce aux conseillers « Co-op ». Lorsque j’ai pris la décision de postuler pour le programme, avec un désir d’effectuer mon stage dans un pays francophone, mon conseiller est entré en contact avec le représentant officiel  de Wallonie-Bruxelles à Boston et ensemble, nous avons coordonné un stage avec le CoRI.

J’ai la chance de travailler avec de nouvelles machines et de nouvelles technologies. J’ai pu pratiquer la chimie polymère qui m’intéresse vraiment ! Ce fut également ma première expérience de travail à temps plein dans un laboratoire.

 

As-tu eu la chance de travailler ou d’apprendre quelque chose de vraiment innovant ?

 

Alexandra Krisiewicz : Les matériaux de revêtement auto-régénérant, la résistance thermique de la peinture, la polymérisation aux UV.

 

Carine Lefèvre : Concernant les matériaux de revêtement auto-régénérant, Alexandra avait déjà entendu parler de cette technologie mais au CoRI, elle a eu l’opportunité d’en apprendre plus à son propos, d’aller plus loin dans l’application et d’apporter de réels inputs à des projets concrets.

 

 

Contact : pour toute information complémentaire sur ce programme et/ou la recherche de compétences et de partenaires aux Etats-Unis, vous pouvez prendre contact avec :
Maxime Van Cauter
Agent de Liaison Scientifique pour les Etats-Unis
m.vancauter@wbi.be
+1 617 636 0832
 

Depuis plus de 100 ans, l’Université de Northeastern (Boston, Massachusetts) propose des Programmes d’Education Coopératifs « Co-op » à ses étudiants. En tant que modèle d’apprentissage performant, le programme combine des séances de cours en classe avec des expériences sur le terrain.

 

Au cours de leurs 5 années de cursus, les étudiants ont l’opportunité de réaliser 3 stages distincts au sein de compagnies partenaires de l’Université. Pour ces organisations partenaires, le programme « Co-op » est très rentable pour le développement de leur force de travail tant au niveau national qu’au niveau international. L’Université de Northeastern possède en effet des partenariats à travers le monde. 

 

Il est important de souligner que le programme « Co-op » est différent des programmes de stage standards : les étudiants alternent entre période de cours en classe et stage à temps-plein dans une organisation durant une période de 6 mois. Ce système permet aux employeurs de disposer d’un stagiaire pendant une longue période au cours de laquelle ils évaluent les capacités de ce dernier avant de pouvoir éventuellement l’engager sur le plus long terme. 

 

Ces relations individuelles et fortes entre l’Université de Northeastern et ses partenaires sont encore renforcées avec les équipes de collaborateurs désignés. Ces équipes de conseillers « Co-op » se consacrent à développer des programmes adéquats pour assurer aux élèves l’excellence tout en maintenant des partenariats de qualité qui contribuent au succès mutuel.

 

Les nouveaux partenariats avec des sociétés sont toujours encouragés dans le but d’offrir les meilleures expériences aux étudiants. Pour les partenariats internationaux par exemple, les représentants étrangers et les attachés consulaires présents à Boston sont des ressources indispensables pour aider à initier de nouvelles collaborations. 

 

A ce propos, une mise en application pratique du programme « Co-op » a vu le jour récemment en Wallonie. En effet, sous l’impulsion de l’Agent de Liaison Scientifique de Wallonie-Bruxelles International, Maxime Van Cauter, basé à Boston, le Coatings Research Institute (CoRI) a répondu à une annonce du programme « Co-op ». 

 

Quelques mois après cette manifestation d’intérêt, Alexandra Krisiewicz a commencé son stage au CoRI. 

 

 

Interview d’Alexandra Krisiewicz et de Carine Lefèvre, Directrice du CoRI

 

Que pensez-vous du Programme « Co-op » ?

 

Carine Lefèvre : Premièrement, de notre point de vue, l’opportunité d’accueillir des étudiants internationaux est une véritable plus-value. Cela crée en effet un bon état d’esprit ouvert et unique dans le laboratoire. Notre personnel est polyvalent, innovant, combinant un ensemble de connaissances et de pratiques de pointe dans le revêtement de surface et les composantes utilisées. 

Nous nous sommes lancés dans un processus de développement d’expertise qui implique une grande connaissance de recherche et de développement. Cette dynamique est au cœur des activités du CoRI. Le CoRI a été l’une des forces conductrices depuis 1957 dans le développement de ce secteur, encourageant les innovations technologiques et les recherches scientifiques dans les peintures, les vernis et dans l’industrie du revêtement. Convaincu depuis ses débuts que l’innovation doit être soutenue depuis le cœur du projet, le CoRI travaille depuis longtemps avec les départements académiques. Le CoRI veut encourager cette mobilité d’étudiants et désire accueillir des étudiants internationaux dans son centre de recherche à Limelette (Sud de Bruxelles) avec le but ultime de créer un mélange de savoir-faire, de différentes cultures, d’éducation et d’ouverture pour créer un ensemble qui promouvra l’émergence de nouvelles pratiques et technologies.

 

Alexandra Krisiewicz : Quand j’ai commencé à étudier l’ingénierie chimique à la NEU en 2012, je désirais déjà obtenir une expérience internationale dans la recherche. Je connaissais naturellement Bruxelles et la Belgique de nom, et je savais qu’elles étaient célèbres pour la bière, mais je ne connaissais rien au sujet de la culture, la taille du pays, les gens…

Dès mon entrée à l’Université, j’ai pris connaissance du Programme grâce aux conseillers « Co-op ». Lorsque j’ai pris la décision de postuler pour le programme, avec un désir d’effectuer mon stage dans un pays francophone, mon conseiller est entré en contact avec le représentant officiel  de Wallonie-Bruxelles à Boston et ensemble, nous avons coordonné un stage avec le CoRI.

J’ai la chance de travailler avec de nouvelles machines et de nouvelles technologies. J’ai pu pratiquer la chimie polymère qui m’intéresse vraiment ! Ce fut également ma première expérience de travail à temps plein dans un laboratoire.

 

As-tu eu la chance de travailler ou d’apprendre quelque chose de vraiment innovant ?

 

Alexandra Krisiewicz : Les matériaux de revêtement auto-régénérant, la résistance thermique de la peinture, la polymérisation aux UV.

 

Carine Lefèvre : Concernant les matériaux de revêtement auto-régénérant, Alexandra avait déjà entendu parler de cette technologie mais au CoRI, elle a eu l’opportunité d’en apprendre plus à son propos, d’aller plus loin dans l’application et d’apporter de réels inputs à des projets concrets.

 

 

Contact : pour toute information complémentaire sur ce programme et/ou la recherche de compétences et de partenaires aux Etats-Unis, vous pouvez prendre contact avec :
Maxime Van Cauter
Agent de Liaison Scientifique pour les Etats-Unis
m.vancauter@wbi.be
+1 617 636 0832
 

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Copyright J. Van Belle

Forçant le hasard, Michael Wolteche, musicien et producteur, a provoqué la rencontre entre Renette Désir et Fabian Fiorini. Intuition excellente: l'élan vital du projet, c'est la fusion entre deux territoires artistiques spécifiques, géographiquement éloignés mais d'un feu si proche, pour construire un discours musical nouveau. Il ne s'agit pas de faire un compromis entre deux cultures mais de se donner le temps de chercher, d'explorer, de se nourrir de musiques inconnues, de s'autoriser des détours. Pour arriver à une nouvelle authenticité, sans points de colle.

 

Ensemble, ils explorent jazz, chanson, musique du monde, musique contemporaine, et glissent entre les notes le verbe engagé de poètes haïtiens... Le résultat est un voyage musical enthousiasemant, ciselé dans ses moindres détails et complètement libre, intime et sauvage.

 

A découvrir jusqu'au 16 juillet à 12H30 à l'AJMI, en face du Théâtre des Doms.

Forçant le hasard, Michael Wolteche, musicien et producteur, a provoqué la rencontre entre Renette Désir et Fabian Fiorini. Intuition excellente: l'élan vital du projet, c'est la fusion entre deux territoires artistiques spécifiques, géographiquement éloignés mais d'un feu si proche, pour construire un discours musical nouveau. Il ne s'agit pas de faire un compromis entre deux cultures mais de se donner le temps de chercher, d'explorer, de se nourrir de musiques inconnues, de s'autoriser des détours. Pour arriver à une nouvelle authenticité, sans points de colle.

 

Ensemble, ils explorent jazz, chanson, musique du monde, musique contemporaine, et glissent entre les notes le verbe engagé de poètes haïtiens... Le résultat est un voyage musical enthousiasemant, ciselé dans ses moindres détails et complètement libre, intime et sauvage.

 

A découvrir jusqu'au 16 juillet à 12H30 à l'AJMI, en face du Théâtre des Doms.

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Copyright J. Van Belle

Elle ne dit pas que c'est vrai, elle dit qu'elle s'en souvient... et plonge en apnée dans son passé. Trois fois rien: un pot de confiture, quelques photos, l'odeur d'un vieux foulard, et une porte s'ouvre libérant une avalanche d'émotions. Elle danse avec ses souvenirs, valse avec ses fantômes, tente une réconciliation, avec les siens, avec elle-même, avec l'enfant qu'elle a été.

 

"Cortex" aborde, dans une approche sensible et ludique, la mémoire. Deux comédiennes-danseuses habitent la scène corps et âmes. Elles nous font ressentir, plus que comprendre, combien la mémoire nous construit et nous ouvre sur le futur. Une oeuvre qui, par le mouvement, le texte et la musique live, nous parle de liberté. Les mots et les corps s'allient et nous invitent au coeur de l'émotion.

 

A découvrir jusqu'au 20 juillet à 10H (relâche le 15) au Centre de développement chorégraphique "Les Hivernales".

Elle ne dit pas que c'est vrai, elle dit qu'elle s'en souvient... et plonge en apnée dans son passé. Trois fois rien: un pot de confiture, quelques photos, l'odeur d'un vieux foulard, et une porte s'ouvre libérant une avalanche d'émotions. Elle danse avec ses souvenirs, valse avec ses fantômes, tente une réconciliation, avec les siens, avec elle-même, avec l'enfant qu'elle a été.

 

"Cortex" aborde, dans une approche sensible et ludique, la mémoire. Deux comédiennes-danseuses habitent la scène corps et âmes. Elles nous font ressentir, plus que comprendre, combien la mémoire nous construit et nous ouvre sur le futur. Une oeuvre qui, par le mouvement, le texte et la musique live, nous parle de liberté. Les mots et les corps s'allient et nous invitent au coeur de l'émotion.

 

A découvrir jusqu'au 20 juillet à 10H (relâche le 15) au Centre de développement chorégraphique "Les Hivernales".

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Copyright J. Van Belle

Entre poésie et humour, ils déroulent un conte circassien aux langages multiples (tissu aérien, corde lisse, trapèze, mat chinois, portés et équilibre) sublimés par la musique d'Iva Bittova.

 

Un univers d'objets bizarres, une atmosphère particulière contribuent encore à faire de ce spectacle un moment rare, délicieusement décalé. La rudesse se prend les pieds dans la coquetterie et le genre se disloque comme les corps qui le portent. C'est un pied de nez au regard de l'autre, une célébration de l'authenticité déphasée.

 

Un spectacle jeune et véritablement jubilatoire, porté par cinq artistes de cirque aux personnalités singulières et complémentaires réunies dans un univers insolite et réjouissant.

 

A découvrir sur l'Ile Piot jusqu'au 19 juillet à 11H30.

Entre poésie et humour, ils déroulent un conte circassien aux langages multiples (tissu aérien, corde lisse, trapèze, mat chinois, portés et équilibre) sublimés par la musique d'Iva Bittova.

 

Un univers d'objets bizarres, une atmosphère particulière contribuent encore à faire de ce spectacle un moment rare, délicieusement décalé. La rudesse se prend les pieds dans la coquetterie et le genre se disloque comme les corps qui le portent. C'est un pied de nez au regard de l'autre, une célébration de l'authenticité déphasée.

 

Un spectacle jeune et véritablement jubilatoire, porté par cinq artistes de cirque aux personnalités singulières et complémentaires réunies dans un univers insolite et réjouissant.

 

A découvrir sur l'Ile Piot jusqu'au 19 juillet à 11H30.

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Copyright J. Van Belle

Un héros, sans nom ni prénom, la cinquantaine bien sonnée, nous révèle qu'on va mourir, plus ou moins tôt, et admet que, pour ce qui le concerne, il lui reste statistiquement vingt ans à vivre. Et l'essentiel, alors ?

 

Loin d'être un solo humoristique, cette création totalement théâtrale, singulière, sans coquetterie ni complaisance, fait décoller ce sujet pas commode à faire voler.

 

Un talent et une humanité qui nous font loucher sur notre vie.

 

A découvrir jusqu'au 26 juillet au Théâtre des Doms à 18H (relâche le 15 et le 22).

Un héros, sans nom ni prénom, la cinquantaine bien sonnée, nous révèle qu'on va mourir, plus ou moins tôt, et admet que, pour ce qui le concerne, il lui reste statistiquement vingt ans à vivre. Et l'essentiel, alors ?

 

Loin d'être un solo humoristique, cette création totalement théâtrale, singulière, sans coquetterie ni complaisance, fait décoller ce sujet pas commode à faire voler.

 

Un talent et une humanité qui nous font loucher sur notre vie.

 

A découvrir jusqu'au 26 juillet au Théâtre des Doms à 18H (relâche le 15 et le 22).

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Copyright J. Van Belle

D'abord, il y a la fiction et le texte incisif de Thomas Depryck, balancé entre trois comédiens, qui dresse le portrait improbable d'un "parasite", un homme qui a choisi de se positionner sur le côté du marché de l'emploi, persuadé de rendre service à la société en se mettant en "réserve" (comme à l'armée).

 

Une figure à la fois libératrice et pathétique, sinon consternante, qui shoote dans le système et interroge avec vigueur la réalité de l'emploi aujourd'hui et la pensée qui s'articule autour de lui...

 

En contre-point, les acteurs invitent chaque soir, au coeur même de l'histoire, un chercheur en sciences humaines qui apporte son regard particulier sur l'inactivité et le sens du mot "travail".

 

Enfin, on prolonge la discussion sur les marches devant le Théâtre des Doms parce qu'il y en a des choses à dire ! Avec intelligence, Antoine Laubin amène ainsi le théâtre au coeur de la cité.

 

A voir au Théâtre des Doms à 22H jusqu'au 26 juillet (relâche le 15 et le 22).

D'abord, il y a la fiction et le texte incisif de Thomas Depryck, balancé entre trois comédiens, qui dresse le portrait improbable d'un "parasite", un homme qui a choisi de se positionner sur le côté du marché de l'emploi, persuadé de rendre service à la société en se mettant en "réserve" (comme à l'armée).

 

Une figure à la fois libératrice et pathétique, sinon consternante, qui shoote dans le système et interroge avec vigueur la réalité de l'emploi aujourd'hui et la pensée qui s'articule autour de lui...

 

En contre-point, les acteurs invitent chaque soir, au coeur même de l'histoire, un chercheur en sciences humaines qui apporte son regard particulier sur l'inactivité et le sens du mot "travail".

 

Enfin, on prolonge la discussion sur les marches devant le Théâtre des Doms parce qu'il y en a des choses à dire ! Avec intelligence, Antoine Laubin amène ainsi le théâtre au coeur de la cité.

 

A voir au Théâtre des Doms à 22H jusqu'au 26 juillet (relâche le 15 et le 22).

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Copyright J. Van Belle

C'est l'histoire d'un homme qui a tout perdu. Poursuivi par son passé de bagnard, il se sacrifie pour le bonheur d'une enfant que le sort lui confie. Les histoires aussi d'une femme victime, d'un flic fanatique infatigable, d'un titi impertinent et libre. L'histoire surtout d'une injustice inique, d'un combat entre bien et mal, d'une course poursuite qui dure des années.

 

Les Karyatides se sont emparées de ce monumental roman. Comédiennes et manipulatrices, elles jouent tous les personnages. Elle résument, bien sûr, zoomant sur les personnages essentiels et les moments-clés. Mais elles rendent la ligne mélodramatique qui fait vibrer le coeur des spectateurs et font exciter la pensée politique, sociale et philosophique de Victor Hugo.

 

A découvrir au Théâtre des Doms à 13H jusqu'au 26 juillet (relâche le 15 et le 22).

C'est l'histoire d'un homme qui a tout perdu. Poursuivi par son passé de bagnard, il se sacrifie pour le bonheur d'une enfant que le sort lui confie. Les histoires aussi d'une femme victime, d'un flic fanatique infatigable, d'un titi impertinent et libre. L'histoire surtout d'une injustice inique, d'un combat entre bien et mal, d'une course poursuite qui dure des années.

 

Les Karyatides se sont emparées de ce monumental roman. Comédiennes et manipulatrices, elles jouent tous les personnages. Elle résument, bien sûr, zoomant sur les personnages essentiels et les moments-clés. Mais elles rendent la ligne mélodramatique qui fait vibrer le coeur des spectateurs et font exciter la pensée politique, sociale et philosophique de Victor Hugo.

 

A découvrir au Théâtre des Doms à 13H jusqu'au 26 juillet (relâche le 15 et le 22).

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Damien Castelain, Rudy Demotte et Martine Aubry (c) Dimitri Toebat

L’année de présidence de l’Eurométropole par Damien Castelain s’achève ce 3 juillet après avoir impulsé ou accompagné, dans le cadre de la Stratégie Eurométropole 2020 et avec ses Vice-présidents, des initiatives de différentes natures, comme par exemple :

 

Pour accroitre la visibilité de l’Eurométropole notamment à l’échelle internationale :

  • La présence de l’Eurométropole au Pavillon France/Lille Europe en plein centre de Milan, au moment où Milan EXPO 2015 accueille le monde entier 
  • Le lancement du Plan-guide touristique de l’Eurométropole (septembre 2014), après la carte touristique (2011), le site touristique www.visiteurometropolis.eu (2012) et le Guide Lonely Planet (2013)
  • Le lancement du site www.investineurometropolis.eu destiné aux investisseurs potentiels en relation avec les acteurs compétents de l’Eurométropole
  • L’installation de panneaux autoroutiers en France indiquant l’entrée de l’Eurométropole

 

Pour accompagner les Eurométropolitains – au sens large - dans leur quotidien :

  • Le lancement du concept flamand My Machine en France et en Wallonie 
  • La production d’un guide pratique de gestion commune de la place transfrontalière Jacques Delors 
  • Le diagnostic énergétique à l’échelle de l’Eurométropole et la rencontre des communes de l’Eurométropole autour de l’énergie pour échanger les bonnes pratiques en la matière de part et d’autre de la frontière
  • Les tickets transfrontaliers Trampoline (SNCF-SNCB) seront disponibles sur les billetteries automatiques dès septembre

 

Pour favoriser la rencontre et les échanges entre Eurométropolitains :

  • La contribution active au Heartbeats Eurometropolis Festival initié par le FORUM de la société civile, et en particulier son président Philippe Vlerick 
  • Les Délices de la Lys/De Grote Verleieding à l’initiative de la ville de Kortrijk : il s’agit d’une fédération et une valorisation des festivités variées autour de la Lys qu’elle passe en Flandre, en Wallonie ou en France 

 

 

D’autres initiatives ont été lancées afin d’entamer un tournant dans l’information pour les citoyens, et faire en sorte que la Métropole Européenne de Lille dont les compétences évoluent puisse mieux intégrer son caractère transfrontalier dans ses actions au sein de l’Eurométropole. Ce seront de grands chantiers pour l’Eurométropole : 

  • L’INFODESK (guichet virtuel) et l’abonnement gratuit offert à ses 2.100.000 habitants : une information plus adaptée, mieux partagée, mieux diffusée relative à l’Eurométropole (GECT, Territoire, acteurs, …)
  • L’Espace bleu eurométropolitain, projet de territoire participatif basé sur la valorisation et l’utilisation de la trame bleue

 

 

Damien Castelain passe le flambeau à Rudy Demotte, dont il devient l’un des trois Vice-présidents aux côtés de Martine Aubry, Vice-présidente de la MEL et Vincent Van Quickenborne, Bourgmestres de Kortrijk.

 

 

Rudy Demotte, le nouveau Président, dans la continuité de la présidence actuelle, portera les grands chantiers cités plus haut. Et souhaite mettre l’accent pour l’année à venir sur les priorités suivantes, toujours en référence à la Stratégie EM 2020 :

  1. Le développement socio-économique, en s’appuyant sur l’initiative des clusters transfrontaliers et en misant sur la culture et le tourisme et les grands projets comme vecteurs d’attractivité économique 
  2. L’emploi, l’enseignement et la formation, en favorisant la mobilité scolaire, celle des étudiants, des apprentis, des professeurs ; en soutenant par exemple les projets « Camp de l’innovation transfrontalier » (permet à de jeunes étudiants de se confronter au monde de l’entreprise) ou encore My Machine (visant à promouvoir la créativité dès l’enseignement primaire) ; l’alternance transfrontalière est en préparation pour 9 apprentis (3 de chaque versant)
  3. La mobilité et l’accessibilité, en concrétisant le plan d’actions de l’Eurométropole: le réseau vélo, en développant l’Infodesk, en encourageant les mobilités de toutes natures…
  4. Le numérique pour viser une Eurométropole 4.0, en créant par exemple le réseau des villes intelligentes, en oeuvrant à la mise en place d’une infrastructure eurométropolitaine de télécommunication performante 
  5. La visibilité de l’Eurométropole auprès des citoyens en la rendant plus visible encore, en s’adressant plus directement aux citoyens, en lui apportant une information utile dans son quotidien, dans ses projets (Infodesk) ou encore en soutenant des événements phares situés sur le territoire de l’Eurométropole 
  6. Le développement durable, en mettant en place notamment le plan d’actions « énergie » qui vient d’être adopté ; en concrétisant les prémices de l’Espace bleu eurométropolitain par des actions très concrètes et en faisant participer les acteurs locaux, les citoyens
  7. Le développement culturel et social, en développant par exemple, la mise en place d’une académie citoyenne (des formations inhérentes à l’éducation permanente), le concept de « territoire collaboratif », une fête annuelle des langues 
  8. La gouvernance du Groupement européen de Coopération territoriale (GECT) en faisant évoluer le laboratoire d’expérimentation transfrontalière qu’est l’Eurométropole en ajustant sa gouvernance aux besoins actuels (par exemple, allongement de la durée du mandat de la Présidence) et en renforçant le rôle de son Agence dans un dispositif où chaque partenaire membre de l’Eurométropole a toujours un rôle primordial à jouer

 

 

Contacts presse 

  • Séverine Flahault, Agence de l’Eurométropole : +33 7 86 71 13 89  
  • Patricia Opsomer, Ville de Tournai : +32 69 332 384 

L’année de présidence de l’Eurométropole par Damien Castelain s’achève ce 3 juillet après avoir impulsé ou accompagné, dans le cadre de la Stratégie Eurométropole 2020 et avec ses Vice-présidents, des initiatives de différentes natures, comme par exemple :

 

Pour accroitre la visibilité de l’Eurométropole notamment à l’échelle internationale :

  • La présence de l’Eurométropole au Pavillon France/Lille Europe en plein centre de Milan, au moment où Milan EXPO 2015 accueille le monde entier 
  • Le lancement du Plan-guide touristique de l’Eurométropole (septembre 2014), après la carte touristique (2011), le site touristique www.visiteurometropolis.eu (2012) et le Guide Lonely Planet (2013)
  • Le lancement du site www.investineurometropolis.eu destiné aux investisseurs potentiels en relation avec les acteurs compétents de l’Eurométropole
  • L’installation de panneaux autoroutiers en France indiquant l’entrée de l’Eurométropole

 

Pour accompagner les Eurométropolitains – au sens large - dans leur quotidien :

  • Le lancement du concept flamand My Machine en France et en Wallonie 
  • La production d’un guide pratique de gestion commune de la place transfrontalière Jacques Delors 
  • Le diagnostic énergétique à l’échelle de l’Eurométropole et la rencontre des communes de l’Eurométropole autour de l’énergie pour échanger les bonnes pratiques en la matière de part et d’autre de la frontière
  • Les tickets transfrontaliers Trampoline (SNCF-SNCB) seront disponibles sur les billetteries automatiques dès septembre

 

Pour favoriser la rencontre et les échanges entre Eurométropolitains :

  • La contribution active au Heartbeats Eurometropolis Festival initié par le FORUM de la société civile, et en particulier son président Philippe Vlerick 
  • Les Délices de la Lys/De Grote Verleieding à l’initiative de la ville de Kortrijk : il s’agit d’une fédération et une valorisation des festivités variées autour de la Lys qu’elle passe en Flandre, en Wallonie ou en France 

 

 

D’autres initiatives ont été lancées afin d’entamer un tournant dans l’information pour les citoyens, et faire en sorte que la Métropole Européenne de Lille dont les compétences évoluent puisse mieux intégrer son caractère transfrontalier dans ses actions au sein de l’Eurométropole. Ce seront de grands chantiers pour l’Eurométropole : 

  • L’INFODESK (guichet virtuel) et l’abonnement gratuit offert à ses 2.100.000 habitants : une information plus adaptée, mieux partagée, mieux diffusée relative à l’Eurométropole (GECT, Territoire, acteurs, …)
  • L’Espace bleu eurométropolitain, projet de territoire participatif basé sur la valorisation et l’utilisation de la trame bleue

 

 

Damien Castelain passe le flambeau à Rudy Demotte, dont il devient l’un des trois Vice-présidents aux côtés de Martine Aubry, Vice-présidente de la MEL et Vincent Van Quickenborne, Bourgmestres de Kortrijk.

 

 

Rudy Demotte, le nouveau Président, dans la continuité de la présidence actuelle, portera les grands chantiers cités plus haut. Et souhaite mettre l’accent pour l’année à venir sur les priorités suivantes, toujours en référence à la Stratégie EM 2020 :

  1. Le développement socio-économique, en s’appuyant sur l’initiative des clusters transfrontaliers et en misant sur la culture et le tourisme et les grands projets comme vecteurs d’attractivité économique 
  2. L’emploi, l’enseignement et la formation, en favorisant la mobilité scolaire, celle des étudiants, des apprentis, des professeurs ; en soutenant par exemple les projets « Camp de l’innovation transfrontalier » (permet à de jeunes étudiants de se confronter au monde de l’entreprise) ou encore My Machine (visant à promouvoir la créativité dès l’enseignement primaire) ; l’alternance transfrontalière est en préparation pour 9 apprentis (3 de chaque versant)
  3. La mobilité et l’accessibilité, en concrétisant le plan d’actions de l’Eurométropole: le réseau vélo, en développant l’Infodesk, en encourageant les mobilités de toutes natures…
  4. Le numérique pour viser une Eurométropole 4.0, en créant par exemple le réseau des villes intelligentes, en oeuvrant à la mise en place d’une infrastructure eurométropolitaine de télécommunication performante 
  5. La visibilité de l’Eurométropole auprès des citoyens en la rendant plus visible encore, en s’adressant plus directement aux citoyens, en lui apportant une information utile dans son quotidien, dans ses projets (Infodesk) ou encore en soutenant des événements phares situés sur le territoire de l’Eurométropole 
  6. Le développement durable, en mettant en place notamment le plan d’actions « énergie » qui vient d’être adopté ; en concrétisant les prémices de l’Espace bleu eurométropolitain par des actions très concrètes et en faisant participer les acteurs locaux, les citoyens
  7. Le développement culturel et social, en développant par exemple, la mise en place d’une académie citoyenne (des formations inhérentes à l’éducation permanente), le concept de « territoire collaboratif », une fête annuelle des langues 
  8. La gouvernance du Groupement européen de Coopération territoriale (GECT) en faisant évoluer le laboratoire d’expérimentation transfrontalière qu’est l’Eurométropole en ajustant sa gouvernance aux besoins actuels (par exemple, allongement de la durée du mandat de la Présidence) et en renforçant le rôle de son Agence dans un dispositif où chaque partenaire membre de l’Eurométropole a toujours un rôle primordial à jouer

 

 

Contacts presse 

  • Séverine Flahault, Agence de l’Eurométropole : +33 7 86 71 13 89  
  • Patricia Opsomer, Ville de Tournai : +32 69 332 384 

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