Aller au contenu principal

L'équipe du collectif Rotor (c) Benjamin Brolet

Le prix leur sera remis le 13 novembre par le Bourgmestre de Rotterdam Ahmed Aboutaleb.

 

Le collectif Rotor a été fondé en 2005 et compte aujourd’hui neuf membres. Il s’efforce d’intégrer le recyclage et la réutilisation d’anciens matériaux et d’éléments d’architecture existants dans de nouveaux projets. 

 

En 2010, Rotor avait déjà été sélectionné par la Fédération Wallonie-Bruxelles pour la représenter à la Biennale d’architecture de Venise. Le collectif est également présent au sein du Pavillon belge à l’Exposition universelle de 2015 à Milan. 

 

Le jury du prix Maaskant a surtout loué les conceptions fortes développées par Rotor qui mettent l’accent sur l’existant. Ceci peut constituer une nouvelle perspective dans le monde architectural qui, depuis l’émergence du modernisme, était focalisé sur la création d’éléments neufs. 

Le prix leur sera remis le 13 novembre par le Bourgmestre de Rotterdam Ahmed Aboutaleb.

 

Le collectif Rotor a été fondé en 2005 et compte aujourd’hui neuf membres. Il s’efforce d’intégrer le recyclage et la réutilisation d’anciens matériaux et d’éléments d’architecture existants dans de nouveaux projets. 

 

En 2010, Rotor avait déjà été sélectionné par la Fédération Wallonie-Bruxelles pour la représenter à la Biennale d’architecture de Venise. Le collectif est également présent au sein du Pavillon belge à l’Exposition universelle de 2015 à Milan. 

 

Le jury du prix Maaskant a surtout loué les conceptions fortes développées par Rotor qui mettent l’accent sur l’existant. Ceci peut constituer une nouvelle perspective dans le monde architectural qui, depuis l’émergence du modernisme, était focalisé sur la création d’éléments neufs. 

Bouton - en savoir plus

(c) Fotolia

Le Ministère des Affaires étrangères (SRE), au travers de l’Agence mexicaine de coopération internationale pour le développement (AMEXCID), lance un appel aux étrangers intéressés par des études au Mexique, au niveau des spécialités, maîtrises, doctorats et recherches, ainsi que des programmes de mobilité étudiante au niveau licence et troisième cycle, pour participer au programme de Bourses d’Excellence du Gouvernement du Mexique pour Étrangers 2016.

 

Cet appel à candidatures est lancé dans plus de 180 pays, dans le cadre de conventions bilatérales, de mécanismes multilatéraux et d’accords spécifiques. Plus de 70 institutions d’enseignement supérieur (IES) mexicaines participent à ce programme de bourses, et toutes disposent de programmes universitaires qui font partie du Programme national d’études de troisième cycle de qualité du Conseil Nationale de Science et Technologie. Ces programmes témoignent du progrès du Mexique dans divers domaines des sciences et des humanités.

 

Par le biais de ces Bourses d’Excellence offertes aux étrangers, le Gouvernement du Mexique renforce son rôle d’acteur ayant une responsabilité mondiale et renouvelle son engagement en favorisant des actions de coopération pour promouvoir la formation de capital humain de haut niveau. La présence au Mexique d’étudiants, de professeurs et de scientifiques étrangers contribue à la construction de ponts de dialogue permanent qui enrichissent l’agenda politique extérieur grâce à des actions de valeur exceptionnelle pour le pays et pour ses partenaires étrangers. Ainsi, les IES et la communauté universitaire mexicaine bénéficient d’une internationalisation plus grande.

 

Validité de l'appel à candidatures

Cet appel demeurera en vigueur du 15 avril au 5 octobre (prolongation par rapport à la date mentionnée dans le document en pièce jointe).

Les résultats de la sélection seront communiqués à partir de novembre 2015, au travers des représentations du Mexique à l’étranger. Il ne sera pas donné suite aux demandes présentées en dehors de ces dates.

 

Conditions requises

  • Être titulaire d’un diplôme de licence, de maitrise ou de doctorat pour pouvoir accéder au programme d’étude demandé dans la bourse.
  • Avoir obtenu une moyenne minimum de 8 sur une échelle de 0 à 10, ou son équivalent, dans la dernière année d’étude.
  • Être accepté ou suivre un programme dans l’une des institutions mexicaines qui participent à cet appel à candidature.

 

Vous trouverez toutes les informations nécessaires dans le document en pièce jointe.

 

Toutes les formalités pour obtenir la bourse d'études doivent être effectuées auprès de l'Ambassade du Mexique située dans le pays d'origine du demandeur, ou l’Ambassade qui couvre ce pays. Ne seront pas acceptés les dossiers présentés directement par les candidats.

 

 

 

Le Ministère des Affaires étrangères (SRE), au travers de l’Agence mexicaine de coopération internationale pour le développement (AMEXCID), lance un appel aux étrangers intéressés par des études au Mexique, au niveau des spécialités, maîtrises, doctorats et recherches, ainsi que des programmes de mobilité étudiante au niveau licence et troisième cycle, pour participer au programme de Bourses d’Excellence du Gouvernement du Mexique pour Étrangers 2016.

 

Cet appel à candidatures est lancé dans plus de 180 pays, dans le cadre de conventions bilatérales, de mécanismes multilatéraux et d’accords spécifiques. Plus de 70 institutions d’enseignement supérieur (IES) mexicaines participent à ce programme de bourses, et toutes disposent de programmes universitaires qui font partie du Programme national d’études de troisième cycle de qualité du Conseil Nationale de Science et Technologie. Ces programmes témoignent du progrès du Mexique dans divers domaines des sciences et des humanités.

 

Par le biais de ces Bourses d’Excellence offertes aux étrangers, le Gouvernement du Mexique renforce son rôle d’acteur ayant une responsabilité mondiale et renouvelle son engagement en favorisant des actions de coopération pour promouvoir la formation de capital humain de haut niveau. La présence au Mexique d’étudiants, de professeurs et de scientifiques étrangers contribue à la construction de ponts de dialogue permanent qui enrichissent l’agenda politique extérieur grâce à des actions de valeur exceptionnelle pour le pays et pour ses partenaires étrangers. Ainsi, les IES et la communauté universitaire mexicaine bénéficient d’une internationalisation plus grande.

 

Validité de l'appel à candidatures

Cet appel demeurera en vigueur du 15 avril au 5 octobre (prolongation par rapport à la date mentionnée dans le document en pièce jointe).

Les résultats de la sélection seront communiqués à partir de novembre 2015, au travers des représentations du Mexique à l’étranger. Il ne sera pas donné suite aux demandes présentées en dehors de ces dates.

 

Conditions requises

  • Être titulaire d’un diplôme de licence, de maitrise ou de doctorat pour pouvoir accéder au programme d’étude demandé dans la bourse.
  • Avoir obtenu une moyenne minimum de 8 sur une échelle de 0 à 10, ou son équivalent, dans la dernière année d’étude.
  • Être accepté ou suivre un programme dans l’une des institutions mexicaines qui participent à cet appel à candidature.

 

Vous trouverez toutes les informations nécessaires dans le document en pièce jointe.

 

Toutes les formalités pour obtenir la bourse d'études doivent être effectuées auprès de l'Ambassade du Mexique située dans le pays d'origine du demandeur, ou l’Ambassade qui couvre ce pays. Ne seront pas acceptés les dossiers présentés directement par les candidats.

 

 

 

Documents liés

Bouton - en savoir plus

Wallonia-Brussels International is pleased to invite decision-makers, opinion leaders, scientists and industrials to discuss the consequences of technologies and policies development for forests, people and the planet. 

 

The objective of the side event will be to provide several views for presenting new concepts of management of forests. It will be a great opportunity to be close with the research community involved in the thematic and will help the audience in better understanding the action of Wallonia-Brussels and how they could contribute to achieve common goals.

 

PROGRAMME

•18h-18h15: Registrations
•18h15-18h25: Introduction - Towards a better governance of forests in Wallonia: the Nature & Forests Department
Philippe BLEROT, Inspector-General (Wallonia Public Service, Nature & Forests Department)
•18h25-18h40: ERAIFT: Support for the development, formulation, monitoring and evaluation of sectorial policies
Baudouin MICHEL, Director (Regional Post-graduate Training School of Integrated Management of Tropical Forests and Lands)
•18h40-18h55: Ibi Batéké Agroforestry Carbon Sink, a ten years’ rural development model from clean development mechanism to REDD+
Olivier MUSHIETE, Partner & CEO (Novacel SA)
•18h55-19h05: Contribution of the Belgian expertise to the progress of the social forestry in Central Africa
Cédric VERMEULEN, Professor (Ulg-Gembloux)
•19h05-19h15: Tree, forest and forestry issues at the University of Louvain (UCL): a diversity of approaches and disciplinary contributions
Christine FARCY, Researcher & Lecturer (University of Louvain-la-Neuve)
•19h15-19h30: Q&A, Closing remarks
 

VENUE

International Convention Centre
Inkosi Albert Luthuli ICC Complex, 45 Bram Fischer Rd, Durban, 4001, South Africa
Hall 2B
Wednesday, September 9th (06h PM – 07h PM)

 

ABOUT WBI

As a public administration, Wallonie-Bruxelles International (WBI) is responsible for the international relations of the Walloon Region and the Wallonia-Brussels Federation, both French speaking entities of the Belgian federal state.
Thanks to its exclusive capacities in various and essential areas (amongst others: education, economy, culture, research, sustainable development, etc.) and the international extension of these fields, WBI has developed a particularly dense network abroad and fostered the signing of bilateral cooperation agreements. Also widely involved at the multilateral level, WBI mainly focuses its action on the academic, scientific and cultural sectors in close cooperation with the AWEX, the Walloon agency for exports and foreign investment, which supports the industrial sector abroad.
In this respect, WBI became FAO’s partner in “The Great Green Wall for the Sahara and the Sahel initiative”, reflecting the importance of Wallonia-Brussels’ commitment on the management of forests and the training of managers in Africa. The expertise of its universities and private operators is recognized internationally.
By participating in the World Forestry Congress, Wallonia-Brussels aims to share its experience in good governance and sustainable forestry with international partners. 

 

CONTACT

•Laurence DEGOUDENNE, Counsellor, Multilateral Cooperation – Wallonia-Brussels International - l.degoudenne@wbi.be 
•Jessica MICLOTTE, Project Officer, Research & Innovation Department - Wallonia-Brussels International – j.miclotte@wbi.be

 



 

Wallonia-Brussels International is pleased to invite decision-makers, opinion leaders, scientists and industrials to discuss the consequences of technologies and policies development for forests, people and the planet. 

 

The objective of the side event will be to provide several views for presenting new concepts of management of forests. It will be a great opportunity to be close with the research community involved in the thematic and will help the audience in better understanding the action of Wallonia-Brussels and how they could contribute to achieve common goals.

 

PROGRAMME

•18h-18h15: Registrations
•18h15-18h25: Introduction - Towards a better governance of forests in Wallonia: the Nature & Forests Department
Philippe BLEROT, Inspector-General (Wallonia Public Service, Nature & Forests Department)
•18h25-18h40: ERAIFT: Support for the development, formulation, monitoring and evaluation of sectorial policies
Baudouin MICHEL, Director (Regional Post-graduate Training School of Integrated Management of Tropical Forests and Lands)
•18h40-18h55: Ibi Batéké Agroforestry Carbon Sink, a ten years’ rural development model from clean development mechanism to REDD+
Olivier MUSHIETE, Partner & CEO (Novacel SA)
•18h55-19h05: Contribution of the Belgian expertise to the progress of the social forestry in Central Africa
Cédric VERMEULEN, Professor (Ulg-Gembloux)
•19h05-19h15: Tree, forest and forestry issues at the University of Louvain (UCL): a diversity of approaches and disciplinary contributions
Christine FARCY, Researcher & Lecturer (University of Louvain-la-Neuve)
•19h15-19h30: Q&A, Closing remarks
 

VENUE

International Convention Centre
Inkosi Albert Luthuli ICC Complex, 45 Bram Fischer Rd, Durban, 4001, South Africa
Hall 2B
Wednesday, September 9th (06h PM – 07h PM)

 

ABOUT WBI

As a public administration, Wallonie-Bruxelles International (WBI) is responsible for the international relations of the Walloon Region and the Wallonia-Brussels Federation, both French speaking entities of the Belgian federal state.
Thanks to its exclusive capacities in various and essential areas (amongst others: education, economy, culture, research, sustainable development, etc.) and the international extension of these fields, WBI has developed a particularly dense network abroad and fostered the signing of bilateral cooperation agreements. Also widely involved at the multilateral level, WBI mainly focuses its action on the academic, scientific and cultural sectors in close cooperation with the AWEX, the Walloon agency for exports and foreign investment, which supports the industrial sector abroad.
In this respect, WBI became FAO’s partner in “The Great Green Wall for the Sahara and the Sahel initiative”, reflecting the importance of Wallonia-Brussels’ commitment on the management of forests and the training of managers in Africa. The expertise of its universities and private operators is recognized internationally.
By participating in the World Forestry Congress, Wallonia-Brussels aims to share its experience in good governance and sustainable forestry with international partners. 

 

CONTACT

•Laurence DEGOUDENNE, Counsellor, Multilateral Cooperation – Wallonia-Brussels International - l.degoudenne@wbi.be 
•Jessica MICLOTTE, Project Officer, Research & Innovation Department - Wallonia-Brussels International – j.miclotte@wbi.be

 



 

Documents liés

Bouton - en savoir plus

Copyright Fotolia

La Fédération Wallonie-Bruxelles et la Wallonie ont signé le 31 juillet 1997, un Accord de coopération avec la République du Chili. Cet accord prévoit la tenue d’une Commission mixte chargée d’élaborer des programmes concrets de coopération. Cette commission est composée de représentants des parties concernées.

 

La prochaine Commission mixte avec la République du Chili se tiendra dans le courant du mois de décembre 2015 et approuvera un programme pour les années 2016-2018.

 

Conjointement avec le partenaire et conformément à la philosophie qui préside à cette coopération, nous avons identifié un certain nombre d’axes prioritaires d’interventions:  

  • la Recherche et l'Innovation, avec une priorité pour les domaines de l’agroalimentaire, de la gestion de l’eau et de l’élevage, de l’environnement et des adaptations aux changements climatiques, du spatial et de l’imagerie scientifique, de la recherche liée à la thématique des "smart cities",
  • la Culture : la mobilité des jeunes dans les domaines cinématographique et musical, la transformation des friches industrielles en lieu de culture, ou encore, la signature d’un accord de coproduction cinématographique seront envisagés comme des pistes concrètes de coopération.

Par ailleurs, en ce qui concerne le secteur de l’Education, les Parties ont convenu de veiller à favoriser l’échange d’expériences et de savoir-faire susceptibles de favoriser la mise en œuvre de la réforme éducative au Chili et ce, sur base de requêtes de la Partie chilienne.

 

Le partenariat financier sera établi de manière paritaire, chaque partie prenant en charge la mobilité et le séjour de ses propres ressortissants, selon les modalités qui lui sont propres.

 

Si vous souhaitez développer un partenariat dans le cadre de ce programme de travail, vous trouverez un formulaire d’introduction de projet. Il est essentiel que les partenaires élaborent conjointement le projet et le déposent de part et d’autre (Votre partenaire doit déposer son projet auprès du Ministère sectoriellement concerné et à l’Agence de Coopération internationale (AgCI) à Santiago).

 

La date limite d’introduction des demandes est fixée au 9 octobre.

 

Sur base, notamment, des avis des experts sollicités à cet effet, la Commission mixte permanente se prononcera sur l’opportunité d’inscrire les projets au Programme de travail dans les limites des disponibilités budgétaires.

 

Toute information concernant ces documents peut être obtenue auprès d'Alain Dankelman.

 

La Fédération Wallonie-Bruxelles et la Wallonie ont signé le 31 juillet 1997, un Accord de coopération avec la République du Chili. Cet accord prévoit la tenue d’une Commission mixte chargée d’élaborer des programmes concrets de coopération. Cette commission est composée de représentants des parties concernées.

 

La prochaine Commission mixte avec la République du Chili se tiendra dans le courant du mois de décembre 2015 et approuvera un programme pour les années 2016-2018.

 

Conjointement avec le partenaire et conformément à la philosophie qui préside à cette coopération, nous avons identifié un certain nombre d’axes prioritaires d’interventions:  

  • la Recherche et l'Innovation, avec une priorité pour les domaines de l’agroalimentaire, de la gestion de l’eau et de l’élevage, de l’environnement et des adaptations aux changements climatiques, du spatial et de l’imagerie scientifique, de la recherche liée à la thématique des "smart cities",
  • la Culture : la mobilité des jeunes dans les domaines cinématographique et musical, la transformation des friches industrielles en lieu de culture, ou encore, la signature d’un accord de coproduction cinématographique seront envisagés comme des pistes concrètes de coopération.

Par ailleurs, en ce qui concerne le secteur de l’Education, les Parties ont convenu de veiller à favoriser l’échange d’expériences et de savoir-faire susceptibles de favoriser la mise en œuvre de la réforme éducative au Chili et ce, sur base de requêtes de la Partie chilienne.

 

Le partenariat financier sera établi de manière paritaire, chaque partie prenant en charge la mobilité et le séjour de ses propres ressortissants, selon les modalités qui lui sont propres.

 

Si vous souhaitez développer un partenariat dans le cadre de ce programme de travail, vous trouverez un formulaire d’introduction de projet. Il est essentiel que les partenaires élaborent conjointement le projet et le déposent de part et d’autre (Votre partenaire doit déposer son projet auprès du Ministère sectoriellement concerné et à l’Agence de Coopération internationale (AgCI) à Santiago).

 

La date limite d’introduction des demandes est fixée au 9 octobre.

 

Sur base, notamment, des avis des experts sollicités à cet effet, la Commission mixte permanente se prononcera sur l’opportunité d’inscrire les projets au Programme de travail dans les limites des disponibilités budgétaires.

 

Toute information concernant ces documents peut être obtenue auprès d'Alain Dankelman.

 

Bouton - en savoir plus

Le Professeur Cédric Blanpain

Les recherches effectuées par l’équipe du Professeur Blanpain ont permis d’analyser les étapes qui précèdent l’apparition de tumeurs. Ils ont ainsi découvert que l’oncogène (c’est-à-dire le gène qui favorise la formation d’un cancer) PIK3CA réactive, dans les cellules-souches adultes, une programme de différenciation multipotente qui ressemble au stade embryonnaire de la cellule. Ces dernières sont alors reprogrammées.

 

Les chercheurs de l’ULB ont pu identifier des signatures moléculaires qui démontrent ces changements d’identité cellulaire, associés à la cellule qui est à l’origine du cancer du sein.

 

Ces découvertes essentielles vont permettre d’améliorer la compréhension des mécanismes du cancer du sein. En effet, ces mutations cellulaires induisent des tumeurs de type différent, selon la cellule d’origine. Pouvoir identifier ces mutations, et donc l’origine cellulaire de la tumeur, permet de comprendre comment le cancer se développe et, dès lors, d’adapter les traitements.

 

L’équipe, qui publie ses résultats dans la revue Nature, espère que cette découverte pourra être utilisée auprès des femmes susceptibles de récidives, ou qui présentent des prédispositions génétiques.

 

Le mécanisme mis en évidence par le Professeur Blanpain et son équipe intervient très tôt dans le développement d’un cancer. L’espoir des chercheurs est de prouver la possibilité de bloquer l’oncogène PIK3CA avec des médicaments déjà identifiés au moment où il réactive le programme de différenciation multipotente dans les cellules-souches.

 

L’idéal serait même, un jour, de pouvoir détecter cette reprogrammation dès la première cellule de la tumeur, au gré d’une simple prise de sang. Pour Cédric Blanpain, cela peut aller très vite et cette possibilité serait envisageable dans les cinq ans.

 

Pour rappel, le cancer du sein touche une femme sur sept. Même s’il est guéri dans environ 76% des cas, cette découverte est donc essentielle pour améliorer la détection et la guérison de ce cancer.

Les recherches effectuées par l’équipe du Professeur Blanpain ont permis d’analyser les étapes qui précèdent l’apparition de tumeurs. Ils ont ainsi découvert que l’oncogène (c’est-à-dire le gène qui favorise la formation d’un cancer) PIK3CA réactive, dans les cellules-souches adultes, une programme de différenciation multipotente qui ressemble au stade embryonnaire de la cellule. Ces dernières sont alors reprogrammées.

 

Les chercheurs de l’ULB ont pu identifier des signatures moléculaires qui démontrent ces changements d’identité cellulaire, associés à la cellule qui est à l’origine du cancer du sein.

 

Ces découvertes essentielles vont permettre d’améliorer la compréhension des mécanismes du cancer du sein. En effet, ces mutations cellulaires induisent des tumeurs de type différent, selon la cellule d’origine. Pouvoir identifier ces mutations, et donc l’origine cellulaire de la tumeur, permet de comprendre comment le cancer se développe et, dès lors, d’adapter les traitements.

 

L’équipe, qui publie ses résultats dans la revue Nature, espère que cette découverte pourra être utilisée auprès des femmes susceptibles de récidives, ou qui présentent des prédispositions génétiques.

 

Le mécanisme mis en évidence par le Professeur Blanpain et son équipe intervient très tôt dans le développement d’un cancer. L’espoir des chercheurs est de prouver la possibilité de bloquer l’oncogène PIK3CA avec des médicaments déjà identifiés au moment où il réactive le programme de différenciation multipotente dans les cellules-souches.

 

L’idéal serait même, un jour, de pouvoir détecter cette reprogrammation dès la première cellule de la tumeur, au gré d’une simple prise de sang. Pour Cédric Blanpain, cela peut aller très vite et cette possibilité serait envisageable dans les cinq ans.

 

Pour rappel, le cancer du sein touche une femme sur sept. Même s’il est guéri dans environ 76% des cas, cette découverte est donc essentielle pour améliorer la détection et la guérison de ce cancer.

Bouton - en savoir plus

Thorsten Dönges du LCB et Maxime Coton en pleine lecture © DGCFRW

Le mardi 11 août a eu lieu la soirée de lecture des boursiers présents dans la villa du Literarisches Colloquium (LCB) au bord du lac Wannsee à Berlin.

 

Maxime Coton qui a obtenu la bourse de résidence d’un mois à Berlin du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Service Promotion des lettres, y a participé.

 

Devant une public d’une centaine de personnes, présentes dans le parc de la villa, il a lu quelques poèmes émanant de son recueil Le geste ordinaire, traduits en allemand par Paula Rauhut.

Le mardi 11 août a eu lieu la soirée de lecture des boursiers présents dans la villa du Literarisches Colloquium (LCB) au bord du lac Wannsee à Berlin.

 

Maxime Coton qui a obtenu la bourse de résidence d’un mois à Berlin du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Service Promotion des lettres, y a participé.

 

Devant une public d’une centaine de personnes, présentes dans le parc de la villa, il a lu quelques poèmes émanant de son recueil Le geste ordinaire, traduits en allemand par Paula Rauhut.

Bouton - en savoir plus

(c) Fotolia

L’Eurométropole Lille-Kortrijk-Tournai constitue, avec ses 2,1 millions d’habitants, l’une des plus importantes métropoles transfrontalières européennes.

 

L’Eurométropole, premier Groupement européen de coopération territoriale (GECT) créé en Europe, rassemble 14 partenaires institutionnels français et belges.

 

L’Eurométropole Lille-Kortrijk-Tournai a l’ambition de développer de manière cohérente ce territoire traversé par plusieurs frontières administratives, politiques ou culturelles en faisant de sa diversité un atout. La mission principale de cette instance de concertation et de gouvernance novatrice est à la fois de rencontrer, de manière concrète et rapide, les besoins des habitants, et de s’affirmer comme un acteur au service du développement économique et social du territoire. Pour ce faire, l’Eurométropole s’emploie à promouvoir et à soutenir une coopération transfrontalière efficace et cohérente au sein du territoire concerné.

 

 

Recrutement du Directeur/de la Directrice des Services Opérationnelles

 

Profil général

Le/la candidat(e) devra posséder une approche évolutive de la coopération transfrontalière, de bonnes aptitudes à la communication, une bonne compréhension de la gestion financière et parallèlement jouir d’une expérience professionnelle qui démontre d’indispensables compétences en matière d’anticipation, de management, d’organisation et de relations interpersonnelles.

 

Le/la candidat(e) devra notamment justifier 5 ans d’expérience à la fois dans:

  • Le domaine des affaires internationales et/ou de projets, ayant de préférence trait à la coopération transfrontalière, transnationale ou interrégionale. Une bonne connaissance des politiques européennes, notamment des programmes financés par l’Union européenne et des systèmes de développement/d’aménagement du territoire de l’UE sera également appréciée.
  • Le domaine de la gestion du personnel, et notamment celui du management d’une équipe internationale.

 

Outre ces deux exigences primordiales, le/la candidat(e) devra au moins maîtriser le français et le néerlandais. La connaissance des deux langues de travail est de niveau B2 (cadre de référence commun des langues du Conseil de l’Europe) ou à défaut, ce niveau devra être atteint dans un délai de 3 mois (perfectionnement pris en charge par le GECT).

 

Ses responsabilités s’articuleront autour des principaux axes suivants:

  1. Relations avec les organes politiques de l’Eurométropole
  2. Relations avec les partenaires de l’Eurométropole
  3. Gestion des ressources humaines des services opérationnels
  4. Contacts avec les autres programmes/projets de coopération territoriale européenne

 

Qualités requises

  • Diplôme universitaire (niveau Master minimum) dans un domaine pertinent
  • Bonne connaissance de l’organisation institutionnelle en Flandre, en Wallonie et en France
  • Connaissance active (écrire et parler, écouter et lire) de la deuxième langue de l’Eurométropole (français/néerlandais) de niveau B2 ou, à défaut, ce niveau devra être atteint dans un délai de 3 mois après une formation qui sera prise en charge par l’Eurométropole
  • Excellentes qualités de rédaction et de synthèse
  • Culture informatique
  • Bonne connaissance de l’anglais
  • Compétences en matière de négociation, de communication et de gestion financière

 

Procédure de sélection

La sélection se fera sur base du CV et de la lettre de motivation des candidats et sur base d’auditions orales prouvant leur aptitude pour la fonction. Les candidats retenus seront soumis à des tests de personnalité et de connaissance linguistique par un bureau externe.

 

Dépôt des candidatures

Au plus tard le 15 octobre à 17h.

 

La candidature devra comprendre :
- une lettre de motivation (en langue française et néerlandaise)
- un cv (en langue française et néerlandaise)

 

Les candidatures doivent être envoyées à l’adresse suivante :


M. Rudy DEMOTTE
Président de l’Eurométropole Lille-Kortrijk-Tournai
Doorniksestraat 63
B 8500 KORTRIJK

 

Une copie doit obligatoirement être envoyée par mail à frederic.maquet@eurometropolis.eu 

 

Vous trouverez l'annonce complète en pièce jointe.

 

L’Eurométropole Lille-Kortrijk-Tournai constitue, avec ses 2,1 millions d’habitants, l’une des plus importantes métropoles transfrontalières européennes.

 

L’Eurométropole, premier Groupement européen de coopération territoriale (GECT) créé en Europe, rassemble 14 partenaires institutionnels français et belges.

 

L’Eurométropole Lille-Kortrijk-Tournai a l’ambition de développer de manière cohérente ce territoire traversé par plusieurs frontières administratives, politiques ou culturelles en faisant de sa diversité un atout. La mission principale de cette instance de concertation et de gouvernance novatrice est à la fois de rencontrer, de manière concrète et rapide, les besoins des habitants, et de s’affirmer comme un acteur au service du développement économique et social du territoire. Pour ce faire, l’Eurométropole s’emploie à promouvoir et à soutenir une coopération transfrontalière efficace et cohérente au sein du territoire concerné.

 

 

Recrutement du Directeur/de la Directrice des Services Opérationnelles

 

Profil général

Le/la candidat(e) devra posséder une approche évolutive de la coopération transfrontalière, de bonnes aptitudes à la communication, une bonne compréhension de la gestion financière et parallèlement jouir d’une expérience professionnelle qui démontre d’indispensables compétences en matière d’anticipation, de management, d’organisation et de relations interpersonnelles.

 

Le/la candidat(e) devra notamment justifier 5 ans d’expérience à la fois dans:

  • Le domaine des affaires internationales et/ou de projets, ayant de préférence trait à la coopération transfrontalière, transnationale ou interrégionale. Une bonne connaissance des politiques européennes, notamment des programmes financés par l’Union européenne et des systèmes de développement/d’aménagement du territoire de l’UE sera également appréciée.
  • Le domaine de la gestion du personnel, et notamment celui du management d’une équipe internationale.

 

Outre ces deux exigences primordiales, le/la candidat(e) devra au moins maîtriser le français et le néerlandais. La connaissance des deux langues de travail est de niveau B2 (cadre de référence commun des langues du Conseil de l’Europe) ou à défaut, ce niveau devra être atteint dans un délai de 3 mois (perfectionnement pris en charge par le GECT).

 

Ses responsabilités s’articuleront autour des principaux axes suivants:

  1. Relations avec les organes politiques de l’Eurométropole
  2. Relations avec les partenaires de l’Eurométropole
  3. Gestion des ressources humaines des services opérationnels
  4. Contacts avec les autres programmes/projets de coopération territoriale européenne

 

Qualités requises

  • Diplôme universitaire (niveau Master minimum) dans un domaine pertinent
  • Bonne connaissance de l’organisation institutionnelle en Flandre, en Wallonie et en France
  • Connaissance active (écrire et parler, écouter et lire) de la deuxième langue de l’Eurométropole (français/néerlandais) de niveau B2 ou, à défaut, ce niveau devra être atteint dans un délai de 3 mois après une formation qui sera prise en charge par l’Eurométropole
  • Excellentes qualités de rédaction et de synthèse
  • Culture informatique
  • Bonne connaissance de l’anglais
  • Compétences en matière de négociation, de communication et de gestion financière

 

Procédure de sélection

La sélection se fera sur base du CV et de la lettre de motivation des candidats et sur base d’auditions orales prouvant leur aptitude pour la fonction. Les candidats retenus seront soumis à des tests de personnalité et de connaissance linguistique par un bureau externe.

 

Dépôt des candidatures

Au plus tard le 15 octobre à 17h.

 

La candidature devra comprendre :
- une lettre de motivation (en langue française et néerlandaise)
- un cv (en langue française et néerlandaise)

 

Les candidatures doivent être envoyées à l’adresse suivante :


M. Rudy DEMOTTE
Président de l’Eurométropole Lille-Kortrijk-Tournai
Doorniksestraat 63
B 8500 KORTRIJK

 

Une copie doit obligatoirement être envoyée par mail à frederic.maquet@eurometropolis.eu 

 

Vous trouverez l'annonce complète en pièce jointe.

 

Documents liés

Bouton - en savoir plus

(c) Fotolia
Retour au début

Postes ouverts

Wallonie-Bruxelles International constitue une réserve de recrutement en vue de pourvoir des postes de lecteurs de langue et littérature françaises et de formateurs en langue française pour l’année académique 2016-2017.

Dipômes requis:

  • master II en philologie romane
  • master II en traduction ou interprétariat avec certificat de FLE
  • master II en FLE

Wallonie-Bruxelles International engage un formateur de français en vue de pourvoir un poste au Lycée bilingue de Pasztó en Hongrie dès janvier 2016.

Diplômes requis:

  • master II en philologie romane
  • master II en traduction ou interprétariat avec certificat de FLE
  • master II en FLE

Wallonie-Bruxelles International engage des professeurs-assistants de français langue étrangère en vue de pourvoir des postes au Brésil dès février 2016.

Diplômes requis:

  • master II en philologie romane – orientation FLE
  • master II en traduction ou interprétariat avec diplôme complémentaire en FLE (programme d’un an)
  • master II en FLE

 

Retour au début

Modalités d'inscription

Les dossiers de candidature sont à télécharger sur cette page et doivent parvenir à Mireille MEURIS, au plus tard pour le 15 septembre 2015 à l’adresse suivante : m.meuris@wbi.be

Des renseignements complémentaires sur la fonction et les postes peuvent être obtenus au 02/421.82.13.

Une première épreuve écrite aura lieu le 29 septembre 2015 dans les locaux de WBI – Place Sainctelette, 2 – 1080 Bruxelles.

Les entretiens auront lieu dans le courant fin octobre-début novembre.


 

Retour au début
Retour au début

Postes ouverts

Wallonie-Bruxelles International constitue une réserve de recrutement en vue de pourvoir des postes de lecteurs de langue et littérature françaises et de formateurs en langue française pour l’année académique 2016-2017.

Dipômes requis:

  • master II en philologie romane
  • master II en traduction ou interprétariat avec certificat de FLE
  • master II en FLE

Wallonie-Bruxelles International engage un formateur de français en vue de pourvoir un poste au Lycée bilingue de Pasztó en Hongrie dès janvier 2016.

Diplômes requis:

  • master II en philologie romane
  • master II en traduction ou interprétariat avec certificat de FLE
  • master II en FLE

Wallonie-Bruxelles International engage des professeurs-assistants de français langue étrangère en vue de pourvoir des postes au Brésil dès février 2016.

Diplômes requis:

  • master II en philologie romane – orientation FLE
  • master II en traduction ou interprétariat avec diplôme complémentaire en FLE (programme d’un an)
  • master II en FLE

 

Retour au début

Modalités d'inscription

Les dossiers de candidature sont à télécharger sur cette page et doivent parvenir à Mireille MEURIS, au plus tard pour le 15 septembre 2015 à l’adresse suivante : m.meuris@wbi.be

Des renseignements complémentaires sur la fonction et les postes peuvent être obtenus au 02/421.82.13.

Une première épreuve écrite aura lieu le 29 septembre 2015 dans les locaux de WBI – Place Sainctelette, 2 – 1080 Bruxelles.

Les entretiens auront lieu dans le courant fin octobre-début novembre.


 

Retour au début

Bouton - en savoir plus

La présidence, coordonnée par Wallonie-Bruxelles International, a notamment pu compter sur le soutien du tout récent Secrétariat du Sommet de la Grande Région pour tenir un stand sur le champ de foire, une première historique amenée à se développer par la suite. 

 

Le but de cette présence était double : d’une part, améliorer la visibilité et la popularité de la Grande Région en Wallonie, car cette entité n’est pas encore suffisamment connue des Wallons qui en font pourtant partie intégrante depuis 10 ans ; et redynamiser la coopération dans les domaines de l’agriculture et de la forêt, des thèmes prépondérants au regard de l’espace territorial grandrégional. Avec une présidence wallonne notamment personnifiée par le ministre de l’Agriculture René Collin, une volonté nette est affichée d’intensifier la participation de la Wallonie à cet espace transfrontalier. 

 

La Foire était donc l’occasion rêvée pour remédier à ce manque de visibilité. Outre la tenue pendant les 4 jours d’un stand d’information, trois événements importants pour le Sommet ont également figuré au programme de cette édition 2015 :

 

  • Le samedi 25 juillet a vu la signature d’une convention d’accompagnement entre la Wallonie et Idelux, l’intercommunale en charge du développement territorial de la Province de Luxembourg. L’idée de ce partenariat est notamment de bénéficier de l’aide et de l’expertise d’Idelux pour s’assurer que le potentiel du Luxembourg belge soit exploité de manière optimale dans le cadre du Schéma commun de développement territorial de la Grande Région (SDT-GR), cette province étant frontalière à la fois du Grand-Duché de Luxembourg et de la Lorraine.
  • La matinée du  lundi 27 juillet a quant à elle été marquée par l’installation par le Ministre René Collin du nouveau Groupe de Travail « Agriculture et Forêts » en présence d’experts de toutes les composantes territoriales de la Grande Région. Des premiers échanges autour de la filière économique du bois ou des Journées internationales de la prairie ont permis un premier contact et auguré de belles réalisations pour l’avenir.
  • Enfin, l’après-midi du 27 juillet a été consacrée à un colloque dont le thème  « Regards croisés sur les services éco-systémiques des forêts » a permis la participation d’acteurs venus des différentes régions frontalières afin d’échanger et de partager des idées et des points de vue relatifs à nos forêts, leur préservation étant le sujet central de cette 81ème Foire.

 

La Grande Région a aussi pu compter comme chaque année sur un stand dédié aux projets Interreg transfrontaliers grâce à l’équipe technique wallonne Interreg de Libramont. Les projets développés avec le soutien de l’union européenne dans le cadre du programme Interreg A Grande Région sont en effet autant d’exemples de coopérations concrètes et pérennes pour notre territoire. 

 

Finalement et surtout, comme toutes les années impaires, les festivités se sont poursuivies ces 28 et 29 juillet à Bertrix pour la Demo Forest, prolongement forestier de la Foire dont l’invité d’honneur était… la Grande Région ! Pour l’occasion, un « Village Grande Région », grand chapiteau d’information tenu par l’ensemble des administrations forestières de la Grande Région, était monté sur place. Des animations (bricolages naturels, hamacs, escalade en forêt, jeu des sens, …) ont permis au grand public d’adhérer à l’enjeu de la préservation et de mieux comprendre les fonctions économiques et environnementales de nos ressources forestières. Une véritable volonté du côté des autorités wallonnes était bien palpable derrière cette invitation d’honneur, signe encourageant pour l’année prochaine qui verra la Grande Région invitée d’honneur de la Foire agricole en elle-même.

La présidence, coordonnée par Wallonie-Bruxelles International, a notamment pu compter sur le soutien du tout récent Secrétariat du Sommet de la Grande Région pour tenir un stand sur le champ de foire, une première historique amenée à se développer par la suite. 

 

Le but de cette présence était double : d’une part, améliorer la visibilité et la popularité de la Grande Région en Wallonie, car cette entité n’est pas encore suffisamment connue des Wallons qui en font pourtant partie intégrante depuis 10 ans ; et redynamiser la coopération dans les domaines de l’agriculture et de la forêt, des thèmes prépondérants au regard de l’espace territorial grandrégional. Avec une présidence wallonne notamment personnifiée par le ministre de l’Agriculture René Collin, une volonté nette est affichée d’intensifier la participation de la Wallonie à cet espace transfrontalier. 

 

La Foire était donc l’occasion rêvée pour remédier à ce manque de visibilité. Outre la tenue pendant les 4 jours d’un stand d’information, trois événements importants pour le Sommet ont également figuré au programme de cette édition 2015 :

 

  • Le samedi 25 juillet a vu la signature d’une convention d’accompagnement entre la Wallonie et Idelux, l’intercommunale en charge du développement territorial de la Province de Luxembourg. L’idée de ce partenariat est notamment de bénéficier de l’aide et de l’expertise d’Idelux pour s’assurer que le potentiel du Luxembourg belge soit exploité de manière optimale dans le cadre du Schéma commun de développement territorial de la Grande Région (SDT-GR), cette province étant frontalière à la fois du Grand-Duché de Luxembourg et de la Lorraine.
  • La matinée du  lundi 27 juillet a quant à elle été marquée par l’installation par le Ministre René Collin du nouveau Groupe de Travail « Agriculture et Forêts » en présence d’experts de toutes les composantes territoriales de la Grande Région. Des premiers échanges autour de la filière économique du bois ou des Journées internationales de la prairie ont permis un premier contact et auguré de belles réalisations pour l’avenir.
  • Enfin, l’après-midi du 27 juillet a été consacrée à un colloque dont le thème  « Regards croisés sur les services éco-systémiques des forêts » a permis la participation d’acteurs venus des différentes régions frontalières afin d’échanger et de partager des idées et des points de vue relatifs à nos forêts, leur préservation étant le sujet central de cette 81ème Foire.

 

La Grande Région a aussi pu compter comme chaque année sur un stand dédié aux projets Interreg transfrontaliers grâce à l’équipe technique wallonne Interreg de Libramont. Les projets développés avec le soutien de l’union européenne dans le cadre du programme Interreg A Grande Région sont en effet autant d’exemples de coopérations concrètes et pérennes pour notre territoire. 

 

Finalement et surtout, comme toutes les années impaires, les festivités se sont poursuivies ces 28 et 29 juillet à Bertrix pour la Demo Forest, prolongement forestier de la Foire dont l’invité d’honneur était… la Grande Région ! Pour l’occasion, un « Village Grande Région », grand chapiteau d’information tenu par l’ensemble des administrations forestières de la Grande Région, était monté sur place. Des animations (bricolages naturels, hamacs, escalade en forêt, jeu des sens, …) ont permis au grand public d’adhérer à l’enjeu de la préservation et de mieux comprendre les fonctions économiques et environnementales de nos ressources forestières. Une véritable volonté du côté des autorités wallonnes était bien palpable derrière cette invitation d’honneur, signe encourageant pour l’année prochaine qui verra la Grande Région invitée d’honneur de la Foire agricole en elle-même.

Bouton - en savoir plus

(c) Novadip

Novadip, spin-off de l’Université de Louvain, a mis au point un produit thérapeutique révolutionnaire. A partir de cellules souches sélectionnées dans la masse graisseuse d’un patient, ces chercheurs wallons parviennent à constituer un greffon de masse osseuse. Appelé Creost, ce morceau d’os a l’apparence de la plasticine. Il est de nature à faciliter la reconstruction osseuse du patient. Avec cette découverte, Novadip entend partir à la conquête des marchés internationaux.

 

Créée en 2013 à partir de travaux de recherche du Pr Denis Dufrane, dans le cadre de l’Université de Louvain et des Cliniques universitaires Saint-Luc à Bruxelles, Novadip est une jeune start-up prometteuse à bien des égards. A l’origine de cette société active dans le secteur pharmaceutique, une découverte technique et médicale. « A partir de la graisse d’un patient, d’un échantillon d’un volume inférieur à celui d’un morceau de sucre ponctionné au niveau du ventre, nous parvenons à isoler des cellules souches d’origine adipeuse. Ces cellules, grâce à un signal particulier qui leur est transmis, peuvent être différenciées. Selon le signal qu’elles recevront, ces cellules peuvent reconstituer différents tissus et notamment un tissu osseux possédant toutes les propriétés d’un os natif », précise Jean-François Pollet, CEO de Novadip.

 

Les chercheurs de l’Université de Louvain sont donc parvenus à synthétiser une masse osseuse à partir de cellules souches ponctionnées chez un patient. C’est une première mondiale, fruit de recherches débutées en 2007 par les équipes du Pr Dufrane, à la tête du Centre de Thérapie Tissulaire et Cellulaire des Cliniques Saint-Luc. Novadip a été créée pour développer ce concept de médecine régénérative et pour transférer cette innovation vers le marché. « Au cœur de nos laboratoires, ces cellules souches prélevées sur le patient sont donc mises en culture et se différencient en ostéoblastes, cellules capables de synthétiser un nouveau tissu osseux sain permettant de corriger n’importe quelle lésion ou dégénérescence du système squelettique», poursuit le CEO. « Le caractère révolutionnaire de l’approche réside dans le fait que l’on parvient à créer, en trois dimensions et sans aucune limite en terme de volume de greffon, un tissu osseux  possédant toutes les propriétés qualitatives et mécaniques nécessaires à son implantation dans des cas de lésions et pathologies osseuses sévères et ce, sans ajout d’un quelconque biomatériau. »  

 

Le fait de proposer un greffon solide, en trois dimensions, présente un avantage par rapport à des cellules souches. Le problème avec ces dernières est que l’on ne sait jamais contrôler totalement leur immobilisation sur un lieu d’implantation, ni la qualité et l’homogénéité du tissu à régénérer. Avec le Creost, Novadip est parvenu à trouver une solution à cette problématique. 

 

Retour au début

Des applications thérapeutiques

Novadip entend aujourd’hui valoriser les résultats de ces recherches, les appliquer à travers une médecine pouvant venir en aide à de nombreux patients souffrant de lésions ou de dégénérescence osseuses sévères. « Cette découverte doit pouvoir venir en aide à des patients souffrant, par exemple, d’un cancer de l’os, d’une fracture non consolidée, d’une pseudarthrose congénitale, d’une dégénérescence des disques intervertébraux ou d’un traumatisme maxillo-facial », commente Jean-François Pollet. 

 

Mais avant d’en arriver là et de pouvoir commercialiser le Creost, la start-up a encore du chemin à parcourir. A partir des résultats issus de la phase de recherche fondamentale, il a d’abord fallu développer le « proof of concept », autrement dit traduire les résultats de ces recherches en une application médicale. Avant de tester le concept sur des patients humains, il est passé par la phase d’expérimentation animale et a offert des résultats extrêmement probants. Ce stade est déjà dépassé depuis un moment.  « A l’heure actuelle, onze patients souffrant de problèmes de consolidation osseuse, de dégénérescences au niveau de la colonne vertébrale ou encore d’une tumeur osseuse ont bénéficié du traitement que nous proposons, avec d’excellents résultats », précise Jean-François Pollet. « En l’espace de quelques mois, on a pu constater une reconsolidation osseuse complète et certains de ces patients sont suivis depuis plus de 3 ans sans que nous puissions observer un quelconque effet secondaire ou dégénérescence du greffon. »

 

Retour au début

Commercialisation en vue

L’enjeu, désormais, est de pouvoir industrialiser le procédé. Nodavip, constituée avec un capital de départ de 550.000 euros, apporté par ses deux fondateurs, Jean-François Pollet et Denis Dufrane, la Sopartec - outil de transfert de technologies de l’UCL -, le fonds Vives II et les Cliniques St-Luc, est actuellement occupée à procéder à une levée de fonds de 8,5 millions d’euros. La start-up est en discussion avec plusieurs investisseurs qui devraient lui permettre de rassembler le montant nécessaire à la réalisation d’une étude clinique multicentrique à l’échelle internationale. Celle-ci aura pour objectif de démontrer la sécurité du traitement, ainsi que son efficacité. Elle devrait s’étendre sur trois ans. « Cela fait partie des étapes par lesquelles il faut passer pour enregistrer un nouveau médicament. On compte deux ou trois phases successives. Après cette première étape, il faudra procéder à d’autres études cliniques, qui concerneront des panels de patients beaucoup plus larges », explique Jean-François Pollet.

 

La commercialisation effective du traitement est prévue aux alentours de 2019-2020. Novadip, d’ici là, devra encore procéder à deux autres tours de table. Les dirigeants de la start-up sont confiants. Les investisseurs rencontrés jusqu’ici témoignent d’un vif intérêt pour ce qu’ils ont à proposer. Mais l’enjeu est immense, tant au niveau médical que d’un point de vue économique. « Pour la commercialisation, il faudra développer deux entités pharmaceutiques, l’une pour le marché européen, l’autre pour les Etats-Unis », précise Jean-François Pollet. « Ce sont actuellement les deux principaux marchés de ce secteur pharmaceutique, mais nous ne négligeons pas pour autant les autres marchés », précise le CEO. 

 

Novadip, en collaboration avec les cliniques Saint-Luc, poursuit d’autres recherches et  développements. Aujourd’hui, le traitement s’inscrit dans une approche autologue – on crée un greffon à partir des propres cellules souches du patient. La start-up espère aussi pouvoir permettre des greffes allogéniques, autrement dit proposer des greffons osseux créés à partir de cellules souches d’un donneur, permettant ainsi de soigner plusieurs patients à la fois. « A travers cette approche, il faudra toutefois considérer la problématique du rejet de greffe », poursuit Jean-François Pollet. 

 

Si Novadip parvient à créer des masses osseuses, il est aussi possible, à partir des cellules souches ponctionnées dans la graisse de tout individu, de créer d’autres types de tissus ou d’organes. « D’autres développements, à des étapes déjà avancées, ont apportés des résultats convaincants. Il est possible, à partir de cellules souches, pour peu que l’on connaisse le signal à leur transmettre, de créer n’importe quel tissu. A ce stade, toutefois, nous ne souhaitons pas encore communiquer sur ces résultats. » 

 

 

 
 
Cet article est tiré de la Revue W+B n°124.

 

Retour au début

Novadip, spin-off de l’Université de Louvain, a mis au point un produit thérapeutique révolutionnaire. A partir de cellules souches sélectionnées dans la masse graisseuse d’un patient, ces chercheurs wallons parviennent à constituer un greffon de masse osseuse. Appelé Creost, ce morceau d’os a l’apparence de la plasticine. Il est de nature à faciliter la reconstruction osseuse du patient. Avec cette découverte, Novadip entend partir à la conquête des marchés internationaux.

 

Créée en 2013 à partir de travaux de recherche du Pr Denis Dufrane, dans le cadre de l’Université de Louvain et des Cliniques universitaires Saint-Luc à Bruxelles, Novadip est une jeune start-up prometteuse à bien des égards. A l’origine de cette société active dans le secteur pharmaceutique, une découverte technique et médicale. « A partir de la graisse d’un patient, d’un échantillon d’un volume inférieur à celui d’un morceau de sucre ponctionné au niveau du ventre, nous parvenons à isoler des cellules souches d’origine adipeuse. Ces cellules, grâce à un signal particulier qui leur est transmis, peuvent être différenciées. Selon le signal qu’elles recevront, ces cellules peuvent reconstituer différents tissus et notamment un tissu osseux possédant toutes les propriétés d’un os natif », précise Jean-François Pollet, CEO de Novadip.

 

Les chercheurs de l’Université de Louvain sont donc parvenus à synthétiser une masse osseuse à partir de cellules souches ponctionnées chez un patient. C’est une première mondiale, fruit de recherches débutées en 2007 par les équipes du Pr Dufrane, à la tête du Centre de Thérapie Tissulaire et Cellulaire des Cliniques Saint-Luc. Novadip a été créée pour développer ce concept de médecine régénérative et pour transférer cette innovation vers le marché. « Au cœur de nos laboratoires, ces cellules souches prélevées sur le patient sont donc mises en culture et se différencient en ostéoblastes, cellules capables de synthétiser un nouveau tissu osseux sain permettant de corriger n’importe quelle lésion ou dégénérescence du système squelettique», poursuit le CEO. « Le caractère révolutionnaire de l’approche réside dans le fait que l’on parvient à créer, en trois dimensions et sans aucune limite en terme de volume de greffon, un tissu osseux  possédant toutes les propriétés qualitatives et mécaniques nécessaires à son implantation dans des cas de lésions et pathologies osseuses sévères et ce, sans ajout d’un quelconque biomatériau. »  

 

Le fait de proposer un greffon solide, en trois dimensions, présente un avantage par rapport à des cellules souches. Le problème avec ces dernières est que l’on ne sait jamais contrôler totalement leur immobilisation sur un lieu d’implantation, ni la qualité et l’homogénéité du tissu à régénérer. Avec le Creost, Novadip est parvenu à trouver une solution à cette problématique. 

 

Retour au début

Des applications thérapeutiques

Novadip entend aujourd’hui valoriser les résultats de ces recherches, les appliquer à travers une médecine pouvant venir en aide à de nombreux patients souffrant de lésions ou de dégénérescence osseuses sévères. « Cette découverte doit pouvoir venir en aide à des patients souffrant, par exemple, d’un cancer de l’os, d’une fracture non consolidée, d’une pseudarthrose congénitale, d’une dégénérescence des disques intervertébraux ou d’un traumatisme maxillo-facial », commente Jean-François Pollet. 

 

Mais avant d’en arriver là et de pouvoir commercialiser le Creost, la start-up a encore du chemin à parcourir. A partir des résultats issus de la phase de recherche fondamentale, il a d’abord fallu développer le « proof of concept », autrement dit traduire les résultats de ces recherches en une application médicale. Avant de tester le concept sur des patients humains, il est passé par la phase d’expérimentation animale et a offert des résultats extrêmement probants. Ce stade est déjà dépassé depuis un moment.  « A l’heure actuelle, onze patients souffrant de problèmes de consolidation osseuse, de dégénérescences au niveau de la colonne vertébrale ou encore d’une tumeur osseuse ont bénéficié du traitement que nous proposons, avec d’excellents résultats », précise Jean-François Pollet. « En l’espace de quelques mois, on a pu constater une reconsolidation osseuse complète et certains de ces patients sont suivis depuis plus de 3 ans sans que nous puissions observer un quelconque effet secondaire ou dégénérescence du greffon. »

 

Retour au début

Commercialisation en vue

L’enjeu, désormais, est de pouvoir industrialiser le procédé. Nodavip, constituée avec un capital de départ de 550.000 euros, apporté par ses deux fondateurs, Jean-François Pollet et Denis Dufrane, la Sopartec - outil de transfert de technologies de l’UCL -, le fonds Vives II et les Cliniques St-Luc, est actuellement occupée à procéder à une levée de fonds de 8,5 millions d’euros. La start-up est en discussion avec plusieurs investisseurs qui devraient lui permettre de rassembler le montant nécessaire à la réalisation d’une étude clinique multicentrique à l’échelle internationale. Celle-ci aura pour objectif de démontrer la sécurité du traitement, ainsi que son efficacité. Elle devrait s’étendre sur trois ans. « Cela fait partie des étapes par lesquelles il faut passer pour enregistrer un nouveau médicament. On compte deux ou trois phases successives. Après cette première étape, il faudra procéder à d’autres études cliniques, qui concerneront des panels de patients beaucoup plus larges », explique Jean-François Pollet.

 

La commercialisation effective du traitement est prévue aux alentours de 2019-2020. Novadip, d’ici là, devra encore procéder à deux autres tours de table. Les dirigeants de la start-up sont confiants. Les investisseurs rencontrés jusqu’ici témoignent d’un vif intérêt pour ce qu’ils ont à proposer. Mais l’enjeu est immense, tant au niveau médical que d’un point de vue économique. « Pour la commercialisation, il faudra développer deux entités pharmaceutiques, l’une pour le marché européen, l’autre pour les Etats-Unis », précise Jean-François Pollet. « Ce sont actuellement les deux principaux marchés de ce secteur pharmaceutique, mais nous ne négligeons pas pour autant les autres marchés », précise le CEO. 

 

Novadip, en collaboration avec les cliniques Saint-Luc, poursuit d’autres recherches et  développements. Aujourd’hui, le traitement s’inscrit dans une approche autologue – on crée un greffon à partir des propres cellules souches du patient. La start-up espère aussi pouvoir permettre des greffes allogéniques, autrement dit proposer des greffons osseux créés à partir de cellules souches d’un donneur, permettant ainsi de soigner plusieurs patients à la fois. « A travers cette approche, il faudra toutefois considérer la problématique du rejet de greffe », poursuit Jean-François Pollet. 

 

Si Novadip parvient à créer des masses osseuses, il est aussi possible, à partir des cellules souches ponctionnées dans la graisse de tout individu, de créer d’autres types de tissus ou d’organes. « D’autres développements, à des étapes déjà avancées, ont apportés des résultats convaincants. Il est possible, à partir de cellules souches, pour peu que l’on connaisse le signal à leur transmettre, de créer n’importe quel tissu. A ce stade, toutefois, nous ne souhaitons pas encore communiquer sur ces résultats. » 

 

 

 
 
Cet article est tiré de la Revue W+B n°124.

 

Retour au début

Documents liés

Bouton - en savoir plus

S'abonner à