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La Communauté française de Belgique et la Région wallonne ont signé un Accord-cadre de coopération avec la République tunisienne le 30 septembre 1998.  Cet accord prévoit la tenue périodique d’une Commission mixte chargée d’élaborer des programmes concrets de coopération. Cette commission est composée de représentants des parties concernées.

 

La prochaine Commission mixte avec la République tunisienne se tiendra à Tunis et approuvera un nouveau programme pour les années 2015-2017

 

Wallonie-Bruxelles a identifié un certain nombre d’axes prioritaires d’interventions:

  • l’éducation (enseignement-formation-appui à la société civile et au dialogue interculturel),
  • l’environnement, y compris le développement durable.

De manière transversale, les Parties encouragent les projets répondant aux thèmes de la diversité culturelle, du soutien à la société civile et à l’égalité hommes-femmes.
 

Si vous souhaitez développer un partenariat dans le cadre de ce programme de travail, vous trouverez ci-dessous, un formulaire d’introduction de projet. 

 

En vue de s’assurer du bon déroulement des projets retenus et de la bonne utilisation des moyens accordés, vous êtes invités à apporter toutes les garanties de faisabilité de votre projet (par exemple, en montant l’existence d’une collaboration avec le partenaire ou la réalisation d’une mission exploratoire).

 

La date limite d’introduction des demandes est fixée au 24 août.

 

Sur base, notamment, des avis des experts sollicités à cet effet, la Commission mixte permanente se prononcera sur l’opportunité d’inscrire les projets au programme de travail dans les limites des disponibilités budgétaires.

 

Toute information concernant ces documents peut être obtenue auprès d'Alain SOUGNEZ.
 

La Communauté française de Belgique et la Région wallonne ont signé un Accord-cadre de coopération avec la République tunisienne le 30 septembre 1998.  Cet accord prévoit la tenue périodique d’une Commission mixte chargée d’élaborer des programmes concrets de coopération. Cette commission est composée de représentants des parties concernées.

 

La prochaine Commission mixte avec la République tunisienne se tiendra à Tunis et approuvera un nouveau programme pour les années 2015-2017

 

Wallonie-Bruxelles a identifié un certain nombre d’axes prioritaires d’interventions:

  • l’éducation (enseignement-formation-appui à la société civile et au dialogue interculturel),
  • l’environnement, y compris le développement durable.

De manière transversale, les Parties encouragent les projets répondant aux thèmes de la diversité culturelle, du soutien à la société civile et à l’égalité hommes-femmes.
 

Si vous souhaitez développer un partenariat dans le cadre de ce programme de travail, vous trouverez ci-dessous, un formulaire d’introduction de projet. 

 

En vue de s’assurer du bon déroulement des projets retenus et de la bonne utilisation des moyens accordés, vous êtes invités à apporter toutes les garanties de faisabilité de votre projet (par exemple, en montant l’existence d’une collaboration avec le partenaire ou la réalisation d’une mission exploratoire).

 

La date limite d’introduction des demandes est fixée au 24 août.

 

Sur base, notamment, des avis des experts sollicités à cet effet, la Commission mixte permanente se prononcera sur l’opportunité d’inscrire les projets au programme de travail dans les limites des disponibilités budgétaires.

 

Toute information concernant ces documents peut être obtenue auprès d'Alain SOUGNEZ.
 

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(c) Euregio

Le mercredi 17 juin a eu lieu à Esch-sur-Alzette, au Luxembourg, la cérémonie d’inauguration de la "Maison de la Grande Région", en présence de nombreuses personnalités politiques des différents partenaires de la Grande Région, parmi lesquelles Xavier Bettel, Premier-Ministre luxembourgeois, et Nacer Meddah, Préfet de la Région Lorraine. Pour la Wallonie, c’est René Collin, Ministre délégué à la représentation en Grande Région, qui a représenté la Présidence du 15ème Sommet de la Grande Région. 

 

Le bâtiment, situé sur le site de la gare d’Esch-sur-Alzette, est mis à disposition par le gouvernement luxembourgeois et regroupe sous un seul toit les bureaux d’un grand nombre d’entités de la Grande Région :

  • Le Secrétariat du Sommet de la Grande Région
  • Le Comité économique et social de la Grande Région
  • L’Espace culturel Grande Région
  • L’Euregio SaarLorLux+
  • Le réseau des villes QuattroPole
  • Le réseau des villes Tonicités
  • L’autorité de gestion et le Secrétariat technique du programme INTERREG V Grande Région
  • L’Université de la Grande Région
  • Le Conseil Interrégional des Chambres de Métiers

 

"Avec cette Maison, la Grande Région a désormais un visage, qui la rend visible et identifiable" : c’est avec ces mots que René Collin a mis en avant la plus-value de cette nouvelle Maison, qui permettra au citoyen de trouver en un seul lieu toutes les informations qu’il recherche sur cet espace de coopération. 

 

Mais cette concentration des différents acteurs de la Grande Région en un lieu unique doit aussi favoriser la communication entre ces institutions. René Collin : "Cette Maison va permettre un dialogue, un échange, une collaboration, des synergies renforcées entre tous ces acteurs et organes et offrir à la Grande Région un bond qualitatif dans l’efficience de ses travaux."
 

Le mercredi 17 juin a eu lieu à Esch-sur-Alzette, au Luxembourg, la cérémonie d’inauguration de la "Maison de la Grande Région", en présence de nombreuses personnalités politiques des différents partenaires de la Grande Région, parmi lesquelles Xavier Bettel, Premier-Ministre luxembourgeois, et Nacer Meddah, Préfet de la Région Lorraine. Pour la Wallonie, c’est René Collin, Ministre délégué à la représentation en Grande Région, qui a représenté la Présidence du 15ème Sommet de la Grande Région. 

 

Le bâtiment, situé sur le site de la gare d’Esch-sur-Alzette, est mis à disposition par le gouvernement luxembourgeois et regroupe sous un seul toit les bureaux d’un grand nombre d’entités de la Grande Région :

  • Le Secrétariat du Sommet de la Grande Région
  • Le Comité économique et social de la Grande Région
  • L’Espace culturel Grande Région
  • L’Euregio SaarLorLux+
  • Le réseau des villes QuattroPole
  • Le réseau des villes Tonicités
  • L’autorité de gestion et le Secrétariat technique du programme INTERREG V Grande Région
  • L’Université de la Grande Région
  • Le Conseil Interrégional des Chambres de Métiers

 

"Avec cette Maison, la Grande Région a désormais un visage, qui la rend visible et identifiable" : c’est avec ces mots que René Collin a mis en avant la plus-value de cette nouvelle Maison, qui permettra au citoyen de trouver en un seul lieu toutes les informations qu’il recherche sur cet espace de coopération. 

 

Mais cette concentration des différents acteurs de la Grande Région en un lieu unique doit aussi favoriser la communication entre ces institutions. René Collin : "Cette Maison va permettre un dialogue, un échange, une collaboration, des synergies renforcées entre tous ces acteurs et organes et offrir à la Grande Région un bond qualitatif dans l’efficience de ses travaux."
 

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Copyright J. Van Belle

Vitrine de la création contemporaine en arts de la scène en Wallonie-Bruxelles, le Théâtre des Doms accompagne toute l'année les artistes dans la création et la circulation de leurs oeuvres.

 

Pour cette édition, le Théâtre des Doms présente 6 spectacles dans sa propre salle et 3 dans des lieux spécialisés:

  • "Elle(s)" de Sylvie Landuyt - Bad Ass Cie: Elle(s) questionne la femme, aujourd'hui, interpelle les femmes d'aujourd'hui et les hommes. Une performance à deux voix et un musicien, dans une forme théâtrale vive, actuelle et gorgée de sens. Du 5 au 26 juillet à 11H (relâche le 15 et le 22) au Th. des Doms,
  • "Les Misérables" d'après Victor Hugo - Cie Karyatides: une réécriture vive de ce grand classique. La force subtile des comédiennes, démultipliée par les objets, se met au service de l'essence de l'oeuvre: le lyrisme, les émotions et l'incroyable épopée d'un peuple aux abois qui se soulève et défend son idéal jusqu'à la mort. Du 5 au 26 juillet à 13H (relâche le 15 et le 22) au Th. des Doms,
  • "Les Mots Perdus" inspiré du Prince de Motordu de Pef - Collectif Les Alices: un spectacle drôlement inventif, sérieusement déjanté. Une fable sur le langage et le pouvoir, fenêtre grande ouverte sur la fantaisie, la créativité et la liberté, par 4 comédiens bondissants. Du 5 au 26 juillet à 15H30 (relâche le 15 et le 22) au Th. des Doms,
  • "Six pieds sur Terre" de Jean-Luc Piraux - Théâtre Pépite: c'est une hymne à la vie, grave et hédoniste, drôle et émouvant, joué par un comédien habité par un clown. Du 5 au 26 juillet à 18H (relâche le 15 et le 22) au Th. des Doms,
  • "Loin de Linden" de Veronika Mabardi: un moment sensible et fort d'une histoire familiale par un superbe duo de comédiennes. Sur fond de recherche identitaire, de rapports complexes entre classes sociales et d'images de la vie d'il y a deux générations, tellement loin déjà. Du 5 au 26 juillet à 20H (relâche le 15 et le 22) au Th. des Doms,
  • "Le Réserviste" de Thomas Depryck - Cie De Facto/Antoine Laubin: un spectacle coup de poing, parabole irrévérencieuse sur la place que l'on donne au mot "travail" aujourd'hui et une triple proposition -artistique, scientifique et participative- de (dé)tricoter ce sujet en toute pertience. Du 5 au 26 juillet à 22H (relâche le 15 et le 22) au Th. des Doms,
  • "Désir Fiorini" de Renette Désir, Fabian Fiorini et Michael Wolteche: ce spectacle-concert est une rencontre: celle d'une chanteuse populaire haïtienne et d'un pianiste belge de jazz. Une voix sublime, un jeu de piano unique, deux présences scéniques fortes. Du 9 au 16 juillet à 12H30 à l'AJMI (en face des Doms),
  • "Le Poivre Rose" de la Cie du Poivre Rose: c'est le récit acrobatique de rencontres improbables, une fresque virtuose et printanière, un étonnant tableau vivant dans lequel une famille de personnages d'ailleurs et d'un autre temps nous invite dans son monde. Du 9 au 19 juillet à 11H30 (relâche le 14) sur l'île Piot,
  • "Cortex" de la Cie 3637: mots et corps, musique et mouvement pour un voyage dans l'imaginaire et les souvenirs d'enfance. Du 10 au 20 juillet à 10H (relâche le 15) aux Hivernales.

 

Pendant toute la durée du Festival, le Théâtre des Doms propose également des rencontres professionnelles, des lectures, des apéros, des leçons-spectacles ou encore une table ronde.

Découvrez toutes les infos pratiques.

Vitrine de la création contemporaine en arts de la scène en Wallonie-Bruxelles, le Théâtre des Doms accompagne toute l'année les artistes dans la création et la circulation de leurs oeuvres.

 

Pour cette édition, le Théâtre des Doms présente 6 spectacles dans sa propre salle et 3 dans des lieux spécialisés:

  • "Elle(s)" de Sylvie Landuyt - Bad Ass Cie: Elle(s) questionne la femme, aujourd'hui, interpelle les femmes d'aujourd'hui et les hommes. Une performance à deux voix et un musicien, dans une forme théâtrale vive, actuelle et gorgée de sens. Du 5 au 26 juillet à 11H (relâche le 15 et le 22) au Th. des Doms,
  • "Les Misérables" d'après Victor Hugo - Cie Karyatides: une réécriture vive de ce grand classique. La force subtile des comédiennes, démultipliée par les objets, se met au service de l'essence de l'oeuvre: le lyrisme, les émotions et l'incroyable épopée d'un peuple aux abois qui se soulève et défend son idéal jusqu'à la mort. Du 5 au 26 juillet à 13H (relâche le 15 et le 22) au Th. des Doms,
  • "Les Mots Perdus" inspiré du Prince de Motordu de Pef - Collectif Les Alices: un spectacle drôlement inventif, sérieusement déjanté. Une fable sur le langage et le pouvoir, fenêtre grande ouverte sur la fantaisie, la créativité et la liberté, par 4 comédiens bondissants. Du 5 au 26 juillet à 15H30 (relâche le 15 et le 22) au Th. des Doms,
  • "Six pieds sur Terre" de Jean-Luc Piraux - Théâtre Pépite: c'est une hymne à la vie, grave et hédoniste, drôle et émouvant, joué par un comédien habité par un clown. Du 5 au 26 juillet à 18H (relâche le 15 et le 22) au Th. des Doms,
  • "Loin de Linden" de Veronika Mabardi: un moment sensible et fort d'une histoire familiale par un superbe duo de comédiennes. Sur fond de recherche identitaire, de rapports complexes entre classes sociales et d'images de la vie d'il y a deux générations, tellement loin déjà. Du 5 au 26 juillet à 20H (relâche le 15 et le 22) au Th. des Doms,
  • "Le Réserviste" de Thomas Depryck - Cie De Facto/Antoine Laubin: un spectacle coup de poing, parabole irrévérencieuse sur la place que l'on donne au mot "travail" aujourd'hui et une triple proposition -artistique, scientifique et participative- de (dé)tricoter ce sujet en toute pertience. Du 5 au 26 juillet à 22H (relâche le 15 et le 22) au Th. des Doms,
  • "Désir Fiorini" de Renette Désir, Fabian Fiorini et Michael Wolteche: ce spectacle-concert est une rencontre: celle d'une chanteuse populaire haïtienne et d'un pianiste belge de jazz. Une voix sublime, un jeu de piano unique, deux présences scéniques fortes. Du 9 au 16 juillet à 12H30 à l'AJMI (en face des Doms),
  • "Le Poivre Rose" de la Cie du Poivre Rose: c'est le récit acrobatique de rencontres improbables, une fresque virtuose et printanière, un étonnant tableau vivant dans lequel une famille de personnages d'ailleurs et d'un autre temps nous invite dans son monde. Du 9 au 19 juillet à 11H30 (relâche le 14) sur l'île Piot,
  • "Cortex" de la Cie 3637: mots et corps, musique et mouvement pour un voyage dans l'imaginaire et les souvenirs d'enfance. Du 10 au 20 juillet à 10H (relâche le 15) aux Hivernales.

 

Pendant toute la durée du Festival, le Théâtre des Doms propose également des rencontres professionnelles, des lectures, des apéros, des leçons-spectacles ou encore une table ronde.

Découvrez toutes les infos pratiques.

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Copyright Olivier Grenson

Constituée dans les années 70, exposée seulement à deux reprises dans sa ville d’origine, jamais encore ailleurs, elle recèle pourtant d’incroyables trésors. À travers une centaine d’oeuvres, elle offre au visiteur une sélection des plus belles planches de l’âge d’or de la bande dessinée belge, période comprise entre l’immédiat après-guerre et la fin des années 70. Hergé y figure bien sûr en bonne place, avec deux superbes planches, dont l’une extraite de l’album "On a marché sur la lune", qu’aucun visiteur n’oubliera.

 

Bien d’autres signatures prestigieuses s’y côtoient: Jacobs (La Marque Jaune, Le Mystère de la grande pyramide), Peyo (Johan & Pirlouit, avec la présence des Schtroumpfs), Franquin (Gaston Lagaffe), Morris (Lucky Luke, avec Rantanplan et les Dalton), Tillieux (Gil Jourdan), Jacques Martin (Alix), Will (Isabelle, Tif & Tondu), Macherot (Clifton, Chlorophylle, Sibylline), Hermann (Comanche, Bernard Prince), Jean Graton (Michel Vaillant) ou encore Comès (Silence). Autant d’auteurs emblématiques de ce fonds, récemment remis en lumière dans l’ouvrage collectif paru aux Impressions Nouvelles.

 

L’exposition dévoile la plupart des planches, dans une scénographie qui se veut le point de départ d’une réflexion sur la manière de montrer les originaux de bande dessinée. Tantôt révélées dans de véritables écrins lumineux, tantôt replacées dans leur contexte historique, les pièces originales seront évidemment au coeur du dispositif scénographique. L’exposition constitue aussi l’occasion de réfléchir sur la façon d’extraire la planche du récit, en jouant sur des agrandissements spectaculaires, tant imprimés que filmés.

 

Le visiteur a également l’opportunité de mieux appréhender le dessin narratif, à travers la projection d’un film donnant la parole aux experts et aux auteurs, qui vont commenter les planches de la collection. Evoquant l’émulation des magazines Tintin et Spirou dans les années 50-70, l’exposition permet de plus d’appréhender ce fonds au regard de l’Histoire de la BD. Car sans le succès de Tintin dans Le Petit Vingtième dès la fin des années 20, sans la volonté de familles d’imprimeurs qui ont voulu imposer leurs illustrés pour la jeunesse, c’est toute une génération qui aurait pu ne pas éclore.

 

Commissariat: Thierry Bellefroid
Scénographie: Xavier Dumont et Monique Calande
Graphisme: Stéphane De Groef

 

L'exposition est réalisée par le Centre Wallonie-Bruxelles à Paris, en collaboration avec le Musée des Beaux- Arts de Liège (BAL).

Lieu: 127-129 rue Saint-Martin à 75004 Paris

Tarifs: 5 €, 3 € (réduit et groupe)

Constituée dans les années 70, exposée seulement à deux reprises dans sa ville d’origine, jamais encore ailleurs, elle recèle pourtant d’incroyables trésors. À travers une centaine d’oeuvres, elle offre au visiteur une sélection des plus belles planches de l’âge d’or de la bande dessinée belge, période comprise entre l’immédiat après-guerre et la fin des années 70. Hergé y figure bien sûr en bonne place, avec deux superbes planches, dont l’une extraite de l’album "On a marché sur la lune", qu’aucun visiteur n’oubliera.

 

Bien d’autres signatures prestigieuses s’y côtoient: Jacobs (La Marque Jaune, Le Mystère de la grande pyramide), Peyo (Johan & Pirlouit, avec la présence des Schtroumpfs), Franquin (Gaston Lagaffe), Morris (Lucky Luke, avec Rantanplan et les Dalton), Tillieux (Gil Jourdan), Jacques Martin (Alix), Will (Isabelle, Tif & Tondu), Macherot (Clifton, Chlorophylle, Sibylline), Hermann (Comanche, Bernard Prince), Jean Graton (Michel Vaillant) ou encore Comès (Silence). Autant d’auteurs emblématiques de ce fonds, récemment remis en lumière dans l’ouvrage collectif paru aux Impressions Nouvelles.

 

L’exposition dévoile la plupart des planches, dans une scénographie qui se veut le point de départ d’une réflexion sur la manière de montrer les originaux de bande dessinée. Tantôt révélées dans de véritables écrins lumineux, tantôt replacées dans leur contexte historique, les pièces originales seront évidemment au coeur du dispositif scénographique. L’exposition constitue aussi l’occasion de réfléchir sur la façon d’extraire la planche du récit, en jouant sur des agrandissements spectaculaires, tant imprimés que filmés.

 

Le visiteur a également l’opportunité de mieux appréhender le dessin narratif, à travers la projection d’un film donnant la parole aux experts et aux auteurs, qui vont commenter les planches de la collection. Evoquant l’émulation des magazines Tintin et Spirou dans les années 50-70, l’exposition permet de plus d’appréhender ce fonds au regard de l’Histoire de la BD. Car sans le succès de Tintin dans Le Petit Vingtième dès la fin des années 20, sans la volonté de familles d’imprimeurs qui ont voulu imposer leurs illustrés pour la jeunesse, c’est toute une génération qui aurait pu ne pas éclore.

 

Commissariat: Thierry Bellefroid
Scénographie: Xavier Dumont et Monique Calande
Graphisme: Stéphane De Groef

 

L'exposition est réalisée par le Centre Wallonie-Bruxelles à Paris, en collaboration avec le Musée des Beaux- Arts de Liège (BAL).

Lieu: 127-129 rue Saint-Martin à 75004 Paris

Tarifs: 5 €, 3 € (réduit et groupe)

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© Peyo – 2015 Licensed through

La BD des Schtroumpfs est relancée sur le marché polonais.

 

Tous les amateurs polonais des Schtroumpfs, petits et grands, ont l’occasion de découvrir ou redécouvrir les aventures originales des Schtroumpfs.

 

En 2015, la maison d’édition Egmont a déjà publié deux volumes de la série: "Le Schtroumpf reporter" et "Les Schtroumpfs joueurs". Le troisième volume intitulé "Salade de Schtroumpfs" sera publié au mois d’août. Les autres albums seront publiés par la suite.

 

La BD est distribuée dans toutes les librairies de qualité et par la maison d’édition Egmont.  

La BD des Schtroumpfs est relancée sur le marché polonais.

 

Tous les amateurs polonais des Schtroumpfs, petits et grands, ont l’occasion de découvrir ou redécouvrir les aventures originales des Schtroumpfs.

 

En 2015, la maison d’édition Egmont a déjà publié deux volumes de la série: "Le Schtroumpf reporter" et "Les Schtroumpfs joueurs". Le troisième volume intitulé "Salade de Schtroumpfs" sera publié au mois d’août. Les autres albums seront publiés par la suite.

 

La BD est distribuée dans toutes les librairies de qualité et par la maison d’édition Egmont.  

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Le nouveau cadre de travail a été signé par Christian Carette, Inspecteur général de Wallonie-Bruxelles International et par Robert D. Zantan, Ambassadeur et Secrétaire général au Ministère des Affaires étrangères, de l'intégration africaine, de la Francophonie et des Béninois de l'Extérieur.  

 

Au total, 16 projets ont été retenus pour les années 2015-2017. Ils s'articulent autour de deux axes prioritaires:

  • la formation professionnelle: la santé, l'aide à la jeunesse, les affaires sociales, l'environnement,
  • la culture.

 

Les signataires ont rappelé l'importance des liens entre les deux pays depuis plus de 30 ans.

Le nouveau cadre de travail a été signé par Christian Carette, Inspecteur général de Wallonie-Bruxelles International et par Robert D. Zantan, Ambassadeur et Secrétaire général au Ministère des Affaires étrangères, de l'intégration africaine, de la Francophonie et des Béninois de l'Extérieur.  

 

Au total, 16 projets ont été retenus pour les années 2015-2017. Ils s'articulent autour de deux axes prioritaires:

  • la formation professionnelle: la santé, l'aide à la jeunesse, les affaires sociales, l'environnement,
  • la culture.

 

Les signataires ont rappelé l'importance des liens entre les deux pays depuis plus de 30 ans.

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(c) DGWB Berlin

Avec le concours du Professeur Leo Wintgens, d’Alexis Haulot, le fils du célèbre prisonnier de Dachau, et de la flûtiste Darinka Theissen, il fut proposé aux auditeurs, outre une présentation biographique enrichie de documents historiques picturaux et sonores, une variété de lectures extraites des poèmes d’Arthur Haulot en langue originale française et en traduction littéraire allemande ainsi que des interludes musicaux de compositeurs tels que Beethoven et Henri Pousseur, devant un parterre d’environ septante visiteurs.

Avec le concours du Professeur Leo Wintgens, d’Alexis Haulot, le fils du célèbre prisonnier de Dachau, et de la flûtiste Darinka Theissen, il fut proposé aux auditeurs, outre une présentation biographique enrichie de documents historiques picturaux et sonores, une variété de lectures extraites des poèmes d’Arthur Haulot en langue originale française et en traduction littéraire allemande ainsi que des interludes musicaux de compositeurs tels que Beethoven et Henri Pousseur, devant un parterre d’environ septante visiteurs.

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Copyright J. Van Belle

La série d’albums pour enfants Ernest et Célestine naît en 1981 sous le pinceau de Gabrielle Vincent, pseudonyme de Monique Martin. Ces histoires inspirées du quotidien d’un ours et d’une petite souris connaissent un succès mondial.

 

Le producteur Didier Brunner entreprend d’adapter cet univers attachant en film d’animation et confie l’écriture scénaristique à Daniel Pennac. Le film Ernest et Célestine sort dans les salles fin 2012. En 2013, il reçoit le César du meilleur film d’animation. En 2014, il est primé aux Magritte (Meilleur Film, Meilleurs Réalisateurs et Meilleur Son) et nominé aux Oscars.

 

A travers une sélection d’illustrations issues des albums et du film, l’exposition à l'Espace Wallonie de Bruxelles permet de suivre le processus d’adaptation de l’œuvre dessinée au film d’animation. Une occasion de redécouvrir les albums qui ont inspiré Stéphane Aubier, Vincent Patar et Benjamin Renner et les dessins préparatoires du film.

 

En partenariat avec la Fondation Monique Martin, Wallonie-Bruxelles International, la Maison de la Littérature de Jeunesse Le Wolf, Casterman et le Musée de la Ville de Bruxelles sur la Grand’Place, qui présente aux mêmes dates l’exposition "Bruxelles par Monique Martin".

 

Sont également prévues des animations pour enfants et des projections du film Ernest et Célestine au Cinéma Galeries certains dimanches d’été.

 

 

Infos pratiques

  • Espace Wallonie de Bruxelles: Rue Marché aux Herbes, 25-27 - 1000 Bruxelles
  • Entrée gratuite - accès PMR
  • Ouvert du lundi au vendredi de 11h à 18h, le samedi de 13h à 18h et le dimanche 27 septembre de 11h à 18h
  • 02/506 43 41

 

 

Bande-annonce de l'exposition


 

 

La série d’albums pour enfants Ernest et Célestine naît en 1981 sous le pinceau de Gabrielle Vincent, pseudonyme de Monique Martin. Ces histoires inspirées du quotidien d’un ours et d’une petite souris connaissent un succès mondial.

 

Le producteur Didier Brunner entreprend d’adapter cet univers attachant en film d’animation et confie l’écriture scénaristique à Daniel Pennac. Le film Ernest et Célestine sort dans les salles fin 2012. En 2013, il reçoit le César du meilleur film d’animation. En 2014, il est primé aux Magritte (Meilleur Film, Meilleurs Réalisateurs et Meilleur Son) et nominé aux Oscars.

 

A travers une sélection d’illustrations issues des albums et du film, l’exposition à l'Espace Wallonie de Bruxelles permet de suivre le processus d’adaptation de l’œuvre dessinée au film d’animation. Une occasion de redécouvrir les albums qui ont inspiré Stéphane Aubier, Vincent Patar et Benjamin Renner et les dessins préparatoires du film.

 

En partenariat avec la Fondation Monique Martin, Wallonie-Bruxelles International, la Maison de la Littérature de Jeunesse Le Wolf, Casterman et le Musée de la Ville de Bruxelles sur la Grand’Place, qui présente aux mêmes dates l’exposition "Bruxelles par Monique Martin".

 

Sont également prévues des animations pour enfants et des projections du film Ernest et Célestine au Cinéma Galeries certains dimanches d’été.

 

 

Infos pratiques

  • Espace Wallonie de Bruxelles: Rue Marché aux Herbes, 25-27 - 1000 Bruxelles
  • Entrée gratuite - accès PMR
  • Ouvert du lundi au vendredi de 11h à 18h, le samedi de 13h à 18h et le dimanche 27 septembre de 11h à 18h
  • 02/506 43 41

 

 

Bande-annonce de l'exposition


 

 

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(c) Secrétariat général de l’Union Benelux

Cette décision a été signée le 18 mai 2015 à Bruxelles par les ministres Hilde Crevits (Flandre), Jean-Claude Marcourt (Fédération Wallonie-Bruxelles), Harald Mollers (Communauté germanophone), Jet Bussemaker (Pays-Bas) et par le Secrétaire d'État Marc Hansen (Grand-Duché de Luxembourg).

 

Grâce à cette décision, tous les résidents du Benelux auront la certitude juridique que le niveau de leur diplôme (baccalauréat et master) sera automatiquement reconnu dans les deux autres pays. Cette reconnaissance automatique facilitera la recherche d’un emploi dans un pays voisin et la mobilité du travail transfrontalier, tout en permettant de mieux interagir entre offre et demande sur le marché du travail du Benelux. Cette décision est une première dans le secteur de l’éducation au niveau européen, où la reconnaissance automatique des diplômes de l’enseignement supérieur est très importante. Grâce à cette initiative, ces trois pays partenaires disposent des moyens pour créer un espace unique européen de l'enseignement supérieur au niveau du Benelux.

Cette décision a été signée le 18 mai 2015 à Bruxelles par les ministres Hilde Crevits (Flandre), Jean-Claude Marcourt (Fédération Wallonie-Bruxelles), Harald Mollers (Communauté germanophone), Jet Bussemaker (Pays-Bas) et par le Secrétaire d'État Marc Hansen (Grand-Duché de Luxembourg).

 

Grâce à cette décision, tous les résidents du Benelux auront la certitude juridique que le niveau de leur diplôme (baccalauréat et master) sera automatiquement reconnu dans les deux autres pays. Cette reconnaissance automatique facilitera la recherche d’un emploi dans un pays voisin et la mobilité du travail transfrontalier, tout en permettant de mieux interagir entre offre et demande sur le marché du travail du Benelux. Cette décision est une première dans le secteur de l’éducation au niveau européen, où la reconnaissance automatique des diplômes de l’enseignement supérieur est très importante. Grâce à cette initiative, ces trois pays partenaires disposent des moyens pour créer un espace unique européen de l'enseignement supérieur au niveau du Benelux.

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