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Copyright J. Van Belle

Il a demandé à ses grand-mères de lui raconter leur vie. Il avait l'intuition qu'il y avait quelque chose à comprendre dans leurs paroles. Comprendre pourquoi il se sentait "sans terre", tiraillé entre deux façons de ressentir le monde. Il faudrait les convoquer dans la même pièce, qu'elles n'aient plus d'autre choix que de se parler. Que l'histoire soit dite, même s'il faut que tout explose.

 

L'une, flamande et terrienne, est la fille d'un garde-chasse, et l'autre, francophone et cosmopolite, celle d'un Général. Un texte sensible qui retricote le lien réel.

 

Deux comédiennes, toutes en force subtile, composent deux personnages que tout éloigne forcés de se parler.

 

Sur fond de recherche identitaire, de rapports complexes entre classes sociales et d'images de la vie d'il y a deux générations, tellement loin déjà...

 

A découvrir au Théâtre des Doms à 20H jusqu'au 26 juillet (relâche le 15 et le 22).

Il a demandé à ses grand-mères de lui raconter leur vie. Il avait l'intuition qu'il y avait quelque chose à comprendre dans leurs paroles. Comprendre pourquoi il se sentait "sans terre", tiraillé entre deux façons de ressentir le monde. Il faudrait les convoquer dans la même pièce, qu'elles n'aient plus d'autre choix que de se parler. Que l'histoire soit dite, même s'il faut que tout explose.

 

L'une, flamande et terrienne, est la fille d'un garde-chasse, et l'autre, francophone et cosmopolite, celle d'un Général. Un texte sensible qui retricote le lien réel.

 

Deux comédiennes, toutes en force subtile, composent deux personnages que tout éloigne forcés de se parler.

 

Sur fond de recherche identitaire, de rapports complexes entre classes sociales et d'images de la vie d'il y a deux générations, tellement loin déjà...

 

A découvrir au Théâtre des Doms à 20H jusqu'au 26 juillet (relâche le 15 et le 22).

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"Depuis que les tuyaux s'appellent des boyaux l'eau a mauvais goût. Depuis que cheveux se dit chevaux on a tous la tête lourde et on est salades. On va l'hôpital mais celui-ci est fermé pour cause de crève. Plus rien ne va. Plus serponne ne comprend serponne et tout va à veau l'eau... !"

 

L'histoire des maux des mots d'un petit Prince destiné à devenir un grand Roi. L'histoire, aussi, d'un peuple rendu muet et d'une station de radio bavarde, de deux tantes qui n'ont pas leur langue dans la poche et d'un précepteur pressé et pressant....

 

Un spectacle sur le langage et le pouvoir inspiré très librement du livre "Le prince des mots tordus" de l'auteur illustrateur PEF. Au travers d'un univers visuel basé sur celui du peintre russe Kasimir Malévitch, les quatre comédiens alternent jeux de corps et jeux de mots pour entraîner le public dans une épopée tragicomique toute en couleurs... 

 

A voir jusqu'au 26 juillet (relâche le 15 et le 22) à 15H30 au Théâtre des Doms.

"Depuis que les tuyaux s'appellent des boyaux l'eau a mauvais goût. Depuis que cheveux se dit chevaux on a tous la tête lourde et on est salades. On va l'hôpital mais celui-ci est fermé pour cause de crève. Plus rien ne va. Plus serponne ne comprend serponne et tout va à veau l'eau... !"

 

L'histoire des maux des mots d'un petit Prince destiné à devenir un grand Roi. L'histoire, aussi, d'un peuple rendu muet et d'une station de radio bavarde, de deux tantes qui n'ont pas leur langue dans la poche et d'un précepteur pressé et pressant....

 

Un spectacle sur le langage et le pouvoir inspiré très librement du livre "Le prince des mots tordus" de l'auteur illustrateur PEF. Au travers d'un univers visuel basé sur celui du peintre russe Kasimir Malévitch, les quatre comédiens alternent jeux de corps et jeux de mots pour entraîner le public dans une épopée tragicomique toute en couleurs... 

 

A voir jusqu'au 26 juillet (relâche le 15 et le 22) à 15H30 au Théâtre des Doms.

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Fytofend

Qui dit qualité pense immédiatement fiabilité. Que l’on évoque une expérimentation, un produit ou un service, le cheminement - ou  la traçabilité d’une  démarche pour aboutir à un résultat - doit aujourd’hui être identifiable.

 

Dans un laboratoire d’expérimentation qui évolue dans des secteurs de pointe comme le biomédical ou le pharmaceutique, mais également dans des domaines d’activités qui pourraient être considérés comme moins sensibles, les « bonnes pratiques »  imposent d’enregistrer les séquences d’actions ou de manipulations directement liées aux produits ou aux différentes phases de la fabrication wallonne.

 

Soucieux depuis de très nombreuses années déjà d’accompagner dans ces démarches « qualité » les centres de recherche des universités ou des hautes écoles, ainsi que les divers acteurs de l’innovation, la Région Wallonne a développé, appuyée par des programmes européens, des politiques incitatives proposant à la fois des outils de certification, mais aussi de diffusion du management de la qualité.

 

Outre le travail remarquable du « Mouvement Wallon pour la Qualité », on épinglera - une initiative parmi tant d’autres au niveau de la formation - le master complémentaire en Gestion Totale de la Qualité, dispensé à l’U-Mons.

 

Ce diplôme universitaire est un des rares, sur l’espace Wallonie-Bruxelles, à couvrir tout le domaine de la Gestion de la Qualité.

 

Une formation proposée en deux ans et lancée en pionnier dès 1989 par la Faculté Polytechnique de Mons.

 

Des politiques incitatives indispensables aujourd’hui pour permettre aux acteurs de l’innovation, qu’ils évoluent dans la recherche fondamentale ou appliquée, de s’intégrer au sein de programmes de Recherche & Développement publics ou privés, qu’ils soient d’origines régionale, nationale ou internationale.

 

 

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Mirval

Outre, en matière de recherche, la valorisation des processus de fabrication et l’intégration dans des programmes de Recherche & Développement, il est clairement acquis que les bonnes pratiques mettant en œuvre des outils de gestion adéquats en matière de qualité contribuent à une démarche d’amélioration continue.

 

Un autre aspect non négligeable d’une démarche « qualité » bien comprise est l’interface qui devra, à un moment ou à un autre, se nouer avec et au bénéfice du monde entrepreneurial.

 

Avec l’appui des Fonds structurels « 2007-2013 », le projet MIRVAL, qui associe les trois Académies universitaires et les hautes écoles, a notamment permis, à l’échelle de la Wallonie, de mettre en réseau, et donc de mobiliser expertises et résultats de recherche des centres de valorisation à destination des PME.

 

 

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Fytofend : l’innovation au départ du process

Fondée en 2009 au départ de l’Unité de Recherche en Biologie Cellulaire et Moléculaire Végétale de l’Université de Namur (Académie Louvain), Fytofend fabrique et commercialise une substance active dont la fonction, après pulvérisation, est de stimuler la défense des plantes.

 

Ce produit wallon innovant, mis au point après une longue décennie de recherche par les équipes du Pr Van Cutsem, par ailleurs actionnaire majoritaire de Fytofend, aide la plante à lutter, par exemple, contre le mildiou de la vigne ou de la pomme de terre, la tavelure du pommier ou la pourriture grise de la pomme de terre.

 

Substance doublement brevetée (le produit en lui-même mais également sa formulation), le produit est en attente imminente d’homologation pour le marché européen, mais déjà commercialisé, en milliers de litres, sur d’autres continents.

 

« Nos processus de fabrication sont continuellement optimisés et les multiples contrôles de qualité que nous opérons tout au long du processus de fabrication reposent sur des technologies de pointe » précise Raffael Buonatesta, administrateur délégué de Fytofend.

 

Des équipements de contrôle « qualité » disponibles au sein des laboratoires namurois qui ont vu naître la spin off, hébergée aux Isnes, sur le parc Créalys à Gembloux.

 

« Des spectromètres de masse ou des chromatographes de très haute précision indispensables pour vérifier, en amont, la qualité de nos matières premières mais aussi en aval, avant de livrer aux clients la substance active », souligne-t-on chez Fytofend.

 

C’est peu dire que la qualité, à tous les stades, est au cœur des préoccupations des cinq personnes occupées aujourd’hui dans les labos de la TPE namuroise.

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Qui dit qualité pense immédiatement fiabilité. Que l’on évoque une expérimentation, un produit ou un service, le cheminement - ou  la traçabilité d’une  démarche pour aboutir à un résultat - doit aujourd’hui être identifiable.

 

Dans un laboratoire d’expérimentation qui évolue dans des secteurs de pointe comme le biomédical ou le pharmaceutique, mais également dans des domaines d’activités qui pourraient être considérés comme moins sensibles, les « bonnes pratiques »  imposent d’enregistrer les séquences d’actions ou de manipulations directement liées aux produits ou aux différentes phases de la fabrication wallonne.

 

Soucieux depuis de très nombreuses années déjà d’accompagner dans ces démarches « qualité » les centres de recherche des universités ou des hautes écoles, ainsi que les divers acteurs de l’innovation, la Région Wallonne a développé, appuyée par des programmes européens, des politiques incitatives proposant à la fois des outils de certification, mais aussi de diffusion du management de la qualité.

 

Outre le travail remarquable du « Mouvement Wallon pour la Qualité », on épinglera - une initiative parmi tant d’autres au niveau de la formation - le master complémentaire en Gestion Totale de la Qualité, dispensé à l’U-Mons.

 

Ce diplôme universitaire est un des rares, sur l’espace Wallonie-Bruxelles, à couvrir tout le domaine de la Gestion de la Qualité.

 

Une formation proposée en deux ans et lancée en pionnier dès 1989 par la Faculté Polytechnique de Mons.

 

Des politiques incitatives indispensables aujourd’hui pour permettre aux acteurs de l’innovation, qu’ils évoluent dans la recherche fondamentale ou appliquée, de s’intégrer au sein de programmes de Recherche & Développement publics ou privés, qu’ils soient d’origines régionale, nationale ou internationale.

 

 

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Mirval

Outre, en matière de recherche, la valorisation des processus de fabrication et l’intégration dans des programmes de Recherche & Développement, il est clairement acquis que les bonnes pratiques mettant en œuvre des outils de gestion adéquats en matière de qualité contribuent à une démarche d’amélioration continue.

 

Un autre aspect non négligeable d’une démarche « qualité » bien comprise est l’interface qui devra, à un moment ou à un autre, se nouer avec et au bénéfice du monde entrepreneurial.

 

Avec l’appui des Fonds structurels « 2007-2013 », le projet MIRVAL, qui associe les trois Académies universitaires et les hautes écoles, a notamment permis, à l’échelle de la Wallonie, de mettre en réseau, et donc de mobiliser expertises et résultats de recherche des centres de valorisation à destination des PME.

 

 

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Fytofend : l’innovation au départ du process

Fondée en 2009 au départ de l’Unité de Recherche en Biologie Cellulaire et Moléculaire Végétale de l’Université de Namur (Académie Louvain), Fytofend fabrique et commercialise une substance active dont la fonction, après pulvérisation, est de stimuler la défense des plantes.

 

Ce produit wallon innovant, mis au point après une longue décennie de recherche par les équipes du Pr Van Cutsem, par ailleurs actionnaire majoritaire de Fytofend, aide la plante à lutter, par exemple, contre le mildiou de la vigne ou de la pomme de terre, la tavelure du pommier ou la pourriture grise de la pomme de terre.

 

Substance doublement brevetée (le produit en lui-même mais également sa formulation), le produit est en attente imminente d’homologation pour le marché européen, mais déjà commercialisé, en milliers de litres, sur d’autres continents.

 

« Nos processus de fabrication sont continuellement optimisés et les multiples contrôles de qualité que nous opérons tout au long du processus de fabrication reposent sur des technologies de pointe » précise Raffael Buonatesta, administrateur délégué de Fytofend.

 

Des équipements de contrôle « qualité » disponibles au sein des laboratoires namurois qui ont vu naître la spin off, hébergée aux Isnes, sur le parc Créalys à Gembloux.

 

« Des spectromètres de masse ou des chromatographes de très haute précision indispensables pour vérifier, en amont, la qualité de nos matières premières mais aussi en aval, avant de livrer aux clients la substance active », souligne-t-on chez Fytofend.

 

C’est peu dire que la qualité, à tous les stades, est au cœur des préoccupations des cinq personnes occupées aujourd’hui dans les labos de la TPE namuroise.

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Copyright J. Van Belle

Qu'éprouvent les femmes d'aujourd'hui ? Qui sont-elles ? De nouvelles guerrières insoumises ? Des sujets aliénés par besoin de reconnaissance ? Des orphelines de Simone de Beauvoir ?

 

Percutant et électrique, "Elle(s)" explore les univers croisés d'une jeune fille fantasque, qui laisse virevolter les mots d'une identité à l'autre, et d'une mère déjantée qui dit sa rage en chansons.

 

Sur scène, une jeune comédienne bondit de la révolte au rire. En arrière-plan, joue et chante une femme, miroir déformé de la mère. Un musicien ponctue, habille, accompagne.

 

Ce spectacle éclate en une multitude de points de vue, tenant à la fois de la danse-théâtre, du rock et de la performance, et nous amène à questionner nos certitudes.

 

A voir jusqu'au 26 juillet (relâche le 15 et le 22) à 11 heures au Théâtre des Doms.  
 

Qu'éprouvent les femmes d'aujourd'hui ? Qui sont-elles ? De nouvelles guerrières insoumises ? Des sujets aliénés par besoin de reconnaissance ? Des orphelines de Simone de Beauvoir ?

 

Percutant et électrique, "Elle(s)" explore les univers croisés d'une jeune fille fantasque, qui laisse virevolter les mots d'une identité à l'autre, et d'une mère déjantée qui dit sa rage en chansons.

 

Sur scène, une jeune comédienne bondit de la révolte au rire. En arrière-plan, joue et chante une femme, miroir déformé de la mère. Un musicien ponctue, habille, accompagne.

 

Ce spectacle éclate en une multitude de points de vue, tenant à la fois de la danse-théâtre, du rock et de la performance, et nous amène à questionner nos certitudes.

 

A voir jusqu'au 26 juillet (relâche le 15 et le 22) à 11 heures au Théâtre des Doms.  
 

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(c) Remi da Troa - FMLF 2015

Pour sa 2ème édition, le Forum mondial de la langue française a comme thème principal la "Francophonie créative". Quelque 1500 jeunes francophones entre 18 et 35 ans, issus du monde entier, y présentent différents projets considérés comme particulièrement novateurs. Ils peuvent ainsi nouer des contacts afin de se professionnaliser. Le tout en français, bien entendu.

 

Organisé par l'OIF (Organisation Internationale de la Francophonie), la Fédération Wallonie-Bruxelles et la Ville de Liège (avec la participation de la Région wallonne), cet événement est conçu comme une expérience dynamique autour de 5 axes: éducation, économie, culture et industries culturelles, participation citoyenne et langue et créativité.

 

Le coeur du Forum est la Cité Miroir, en plein centre de Liège, qui accueille un "Village de l'innovation". Tout un programme d'ateliers, conférences, expositions, débats est prévu. Des événements culturels et festifs sont aussi de la partie.

 

 

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Programme

Lundi 20 juillet

  • 10h - 12h30 : Séance d’ouverture - Théâtre du Forum
  • 14h30 – 16h : Introduction des travaux par axe - Auditoires Opéra (ULg)

Mardi 21 juillet et mercredi 22 juillet

  • 9h - 18h : Ateliers des porteurs de projet + Représentations et conférences proposées par les porteurs de projets
  • 9h - 19h : animations + Débats/Tables rondes/Conférences/Autres ateliers

Jeudi 23 juillet

  • Matin : séance de conclusion par axe - Auditoires Opéra (ULg)
  • 15h - 17h : Séance de rebond - Théâtre du Forum

 

Vous trouverez le programme complet en pièce jointe, ainsi que l'ensemble de la programmation culturelle.
 

 

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Autres contenus du Forum

  • Un accélérateur de projets : pour donner corps à une idée
  • Un Hackathon « HackXplor de l’Audiovisuel » : 5 jours pour co-innover
  • Un village de l’innovation
  • Francollia : rencontres d’entreprises Nord-Sud multisectorielles le 22 juillet 2015 (9h-17h)

 

 

 

 

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Pour sa 2ème édition, le Forum mondial de la langue française a comme thème principal la "Francophonie créative". Quelque 1500 jeunes francophones entre 18 et 35 ans, issus du monde entier, y présentent différents projets considérés comme particulièrement novateurs. Ils peuvent ainsi nouer des contacts afin de se professionnaliser. Le tout en français, bien entendu.

 

Organisé par l'OIF (Organisation Internationale de la Francophonie), la Fédération Wallonie-Bruxelles et la Ville de Liège (avec la participation de la Région wallonne), cet événement est conçu comme une expérience dynamique autour de 5 axes: éducation, économie, culture et industries culturelles, participation citoyenne et langue et créativité.

 

Le coeur du Forum est la Cité Miroir, en plein centre de Liège, qui accueille un "Village de l'innovation". Tout un programme d'ateliers, conférences, expositions, débats est prévu. Des événements culturels et festifs sont aussi de la partie.

 

 

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Programme

Lundi 20 juillet

  • 10h - 12h30 : Séance d’ouverture - Théâtre du Forum
  • 14h30 – 16h : Introduction des travaux par axe - Auditoires Opéra (ULg)

Mardi 21 juillet et mercredi 22 juillet

  • 9h - 18h : Ateliers des porteurs de projet + Représentations et conférences proposées par les porteurs de projets
  • 9h - 19h : animations + Débats/Tables rondes/Conférences/Autres ateliers

Jeudi 23 juillet

  • Matin : séance de conclusion par axe - Auditoires Opéra (ULg)
  • 15h - 17h : Séance de rebond - Théâtre du Forum

 

Vous trouverez le programme complet en pièce jointe, ainsi que l'ensemble de la programmation culturelle.
 

 

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Autres contenus du Forum

  • Un accélérateur de projets : pour donner corps à une idée
  • Un Hackathon « HackXplor de l’Audiovisuel » : 5 jours pour co-innover
  • Un village de l’innovation
  • Francollia : rencontres d’entreprises Nord-Sud multisectorielles le 22 juillet 2015 (9h-17h)

 

 

 

 

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(c) J. Van Belle - WBI

Pour sa deuxième édition, le Forum mondial de la langue française se veut un lieu de rencontres international autour de projets novateurs. L'éducation, l'économie, la culture et les industries culturelles, la participation citoyenne et la relation entre langue et créativité: cinq axes à travers lesquels une seule et même thématique est mise en lumière, la Francophonie créative. Et c'est en Wallonie que ça se passe!

Ce n°128 du W+B vous convie également sur les traces de l'Orchestre Royal de Chambre de Wallonie et de Jean-Michel Folon, deux fleurons du patrimoine culturel wallon, vous propose une rencontre avec Vinciane Despret, philosophe et éthologue de renom et vous invite à apprécier le premier catamaran électro-solaire, une innovation wallonne!

Sommaire

  • Dossier: Liège au coeur de la Francophonie créative
  • Culture: Le Rayonnement de l'Orchestre Royal de Chambre de Wallonie
  • Profil: Une philosophe de terrain se livre
  • Tourisme: 2000-2015: la Fondation Folon, agence de voyage imaginaire
  • Portrait: X-Ris: un contrat prestigieux avec le FBI et une start-up boostée
  • Innovation: Un catamaran vert l'avenir
  • Design: Wallonie-Bruxelles en orbite au SaloneSatellite
  • Gastronomie: Le Pigeon noir: du goût avant toute chose
  • Coopération au développement: IFADEM: une iniative qui motive pleinement les instituteurs africains
  • Jeunesse: La jeunesse québécoise a rencontré l'agriculture urbaine bruxelloise
  • Coin BD: Se promener sous la lune avec Zidrou pour réenchanter l'humanité
  • Survols
 

 

Vous souhaitez vous abonner gratuitement à la Revue W+B? Rien de plus simple, inscrivez-vous en quelques secondes!
 

Pour sa deuxième édition, le Forum mondial de la langue française se veut un lieu de rencontres international autour de projets novateurs. L'éducation, l'économie, la culture et les industries culturelles, la participation citoyenne et la relation entre langue et créativité: cinq axes à travers lesquels une seule et même thématique est mise en lumière, la Francophonie créative. Et c'est en Wallonie que ça se passe!

Ce n°128 du W+B vous convie également sur les traces de l'Orchestre Royal de Chambre de Wallonie et de Jean-Michel Folon, deux fleurons du patrimoine culturel wallon, vous propose une rencontre avec Vinciane Despret, philosophe et éthologue de renom et vous invite à apprécier le premier catamaran électro-solaire, une innovation wallonne!

Sommaire

  • Dossier: Liège au coeur de la Francophonie créative
  • Culture: Le Rayonnement de l'Orchestre Royal de Chambre de Wallonie
  • Profil: Une philosophe de terrain se livre
  • Tourisme: 2000-2015: la Fondation Folon, agence de voyage imaginaire
  • Portrait: X-Ris: un contrat prestigieux avec le FBI et une start-up boostée
  • Innovation: Un catamaran vert l'avenir
  • Design: Wallonie-Bruxelles en orbite au SaloneSatellite
  • Gastronomie: Le Pigeon noir: du goût avant toute chose
  • Coopération au développement: IFADEM: une iniative qui motive pleinement les instituteurs africains
  • Jeunesse: La jeunesse québécoise a rencontré l'agriculture urbaine bruxelloise
  • Coin BD: Se promener sous la lune avec Zidrou pour réenchanter l'humanité
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Le dernier numéro de la Revue W+B 128 est disponible!

Pour ce numéro estival, la Revue W+B vous emmène dans les coulisses de la 2ème édition du Forum Mondial de la Langue française, qui se tient à Liège du 20 au 23 juillet. Cinq axes rythmeront cette semaine francophone: éducation, économie, culture et industries culturelles, participation citoyenne et langue et créativité. Le tout autour d'un seul et même thème: la Francophonie créative.

Le W+B vous convie également sur les traces de l'Orchestre Royal de Chambre de Wallonie et de Jean-Michel Folon, fleurons du patrimoine culturel wallon, vous propose une rencontre avec Vinciane Despret, philosophe et éthologue de renom et vous invite à apprécier le premier catamaran électro-solaire, une innovation wallonne!

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Au programme

  • Dossier: Liège au coeur de la Francophonie créative
  • Culture: Le Rayonnement de l'Orchestre Royal de Chambre de Wallonie
  • Profil: Une philosophe de terrain se livre
  • Tourisme: 2000-2015: la Fondation Folon, agence de voyage imaginaire
  • Portrait: X-Ris: un contrat prestigieux avec le FBI et une start-up boostée
  • Innovation: Un catamaran vert l'avenir
  • Design: Wallonie-Bruxelles en orbite au SaloneSatellite
  • Gastronomie: Le Pigeon noir: du goût avant toute chose
  • Coopération au développement: IFADEM: une iniative qui motive pleinement les instituteurs africains
  • Jeunesse: La jeunesse québécoise a rencontré l'agriculture urbaine bruxelloise
  • Coin BD: Se promener sous la lune avec Zidrou pour réenchanter l'humanité
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Cette année, la catégorie visée était le premier roman pour lecteurs débutants.

 

Les lauréats recevront respectivement leur prix en novembre prochain au Salon du Livre de Montréal et en février 2016 à la Foire du Livre de Bruxelles.

 

Un jury international composé d’experts du milieu littéraire jeunesse du Québec et de Wallonie-Bruxelles ont sélectionné deux romans graphiques appropriés pour une première lecture autonome et faisant appel à l’imaginaire des jeunes.

 

"L’ombre de chacun"  (Éditions MeMo) aborde avec sensibilité et tendresse des thèmes forts comme la séparation, le divorce, la mort, mais aussi le courage, l'entraide et la bienveillance. Ce roman est construit autour d’un univers de mots et d’images intimement liés; il est empreint d’une grande poésie. Ce récit initiatique est très touchant et s’adresse à un large lectorat. Les enfants vont assurément vouloir le découvrir. La qualité éditoriale de l’ouvrage et sa facture originale ont été remarquées par le jury.

 

"L’ombre de chacun" a remporté en 2013 le Prix du plus beau livre à Bruxelles et en Wallonie, le Prix Fernand Beaudin.

 

"Le géant qui sentait les petits pieds"  (Éditions Québec Amérique) amène autant les garçons que les filles dans un univers fantastique et traite de façon très humoristique un sujet original et universel, soit "l’odeur de pieds". La valeur de l’entraide est bien véhiculée dans ce récit où les personnages sont amenés à résoudre ensemble différents problèmes. Le style très dynamique et coloré du roman fait en sorte qu’il attire le regard et qu’il se distingue des romans traditionnels.

 

Le jury a également mentionné la qualité des illustrations et des textes qui misent entre autres sur la répétition, une typographie unique et des angles de prises de vue pour le moins novateurs.

 

Le Prix Québec Wallonie-Bruxelles de Littérature de jeunesse est assorti d’une bourse au lauréat, d’une valeur de 3 500 $, et d’une aide financière à son éditeur de 6 000 $ CAD afin d’assurer la promotion et la mise en marché de l’ouvrage primé sur le territoire de l’autre pays.

 

Attribué tous les deux ans, le Prix Québec/Wallonie-Bruxelles de Littérature de jeunesse est le fruit d’une entente de coopération entre le gouvernement du Québec et celui de Wallonie-Bruxelles. Remis pour la première fois en 1981, ce Prix vise à encourager le développement de la littérature de jeunesse de langue française et à en stimuler la diffusion.
 

Cette année, la catégorie visée était le premier roman pour lecteurs débutants.

 

Les lauréats recevront respectivement leur prix en novembre prochain au Salon du Livre de Montréal et en février 2016 à la Foire du Livre de Bruxelles.

 

Un jury international composé d’experts du milieu littéraire jeunesse du Québec et de Wallonie-Bruxelles ont sélectionné deux romans graphiques appropriés pour une première lecture autonome et faisant appel à l’imaginaire des jeunes.

 

"L’ombre de chacun"  (Éditions MeMo) aborde avec sensibilité et tendresse des thèmes forts comme la séparation, le divorce, la mort, mais aussi le courage, l'entraide et la bienveillance. Ce roman est construit autour d’un univers de mots et d’images intimement liés; il est empreint d’une grande poésie. Ce récit initiatique est très touchant et s’adresse à un large lectorat. Les enfants vont assurément vouloir le découvrir. La qualité éditoriale de l’ouvrage et sa facture originale ont été remarquées par le jury.

 

"L’ombre de chacun" a remporté en 2013 le Prix du plus beau livre à Bruxelles et en Wallonie, le Prix Fernand Beaudin.

 

"Le géant qui sentait les petits pieds"  (Éditions Québec Amérique) amène autant les garçons que les filles dans un univers fantastique et traite de façon très humoristique un sujet original et universel, soit "l’odeur de pieds". La valeur de l’entraide est bien véhiculée dans ce récit où les personnages sont amenés à résoudre ensemble différents problèmes. Le style très dynamique et coloré du roman fait en sorte qu’il attire le regard et qu’il se distingue des romans traditionnels.

 

Le jury a également mentionné la qualité des illustrations et des textes qui misent entre autres sur la répétition, une typographie unique et des angles de prises de vue pour le moins novateurs.

 

Le Prix Québec Wallonie-Bruxelles de Littérature de jeunesse est assorti d’une bourse au lauréat, d’une valeur de 3 500 $, et d’une aide financière à son éditeur de 6 000 $ CAD afin d’assurer la promotion et la mise en marché de l’ouvrage primé sur le territoire de l’autre pays.

 

Attribué tous les deux ans, le Prix Québec/Wallonie-Bruxelles de Littérature de jeunesse est le fruit d’une entente de coopération entre le gouvernement du Québec et celui de Wallonie-Bruxelles. Remis pour la première fois en 1981, ce Prix vise à encourager le développement de la littérature de jeunesse de langue française et à en stimuler la diffusion.
 

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Signature de l'accord de coopération dans les domaines de la coopération académique et scientifique

L'accord de coopération, dans les domaines de la coopération académique et scientifique, a été renouvelé entre le China Scholarship Council d'une part et Wallonie-Bruxelles International et le Fonds National de la Recherche Scientifique d'autre part, en présence du Roi Philippe et du Président Xi Jinping.

 

Cet accord concerne les bourses de mobilité pour étudiants et doctorants entre la Chine et la Fédération Wallonie-Bruxelles pour une période de 5 ans. Des douzaines de bourses à court ou moyen terme sont offertes dans les domaines suivants: études chinoises, langue française et culture francophone, droit, études européennes, relations internationales, management et économie, télécommunications et technologies de l'information, technologies agricoles, sciences vivantes et santé, nouveaux matériaux, nanotechnologies, énergie et environnement, aérospatial, logistique et transports.

 

L'objectif de cet accord est de financer des bourses bilatérales et des bourses de recherche scientifique.

 

L'accord concerne:

  • Pour Wallonie-Bruxelles (WBI-FNRS): les diplômés universitaires disposant d'un grade de master (second cycle d'études), les doctorants, les post-doctorants, les cotutelles de thèse, les bacheliers et masters dans les universités chinoises,
  • Pour la Chine: les post-doctorants (court terme) et les cotutelles de thèse (long terme) dans les universités de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

L'accord de coopération, dans les domaines de la coopération académique et scientifique, a été renouvelé entre le China Scholarship Council d'une part et Wallonie-Bruxelles International et le Fonds National de la Recherche Scientifique d'autre part, en présence du Roi Philippe et du Président Xi Jinping.

 

Cet accord concerne les bourses de mobilité pour étudiants et doctorants entre la Chine et la Fédération Wallonie-Bruxelles pour une période de 5 ans. Des douzaines de bourses à court ou moyen terme sont offertes dans les domaines suivants: études chinoises, langue française et culture francophone, droit, études européennes, relations internationales, management et économie, télécommunications et technologies de l'information, technologies agricoles, sciences vivantes et santé, nouveaux matériaux, nanotechnologies, énergie et environnement, aérospatial, logistique et transports.

 

L'objectif de cet accord est de financer des bourses bilatérales et des bourses de recherche scientifique.

 

L'accord concerne:

  • Pour Wallonie-Bruxelles (WBI-FNRS): les diplômés universitaires disposant d'un grade de master (second cycle d'études), les doctorants, les post-doctorants, les cotutelles de thèse, les bacheliers et masters dans les universités chinoises,
  • Pour la Chine: les post-doctorants (court terme) et les cotutelles de thèse (long terme) dans les universités de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

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La Fédération Wallonie-Bruxelles, la Wallonie et la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale ont signé le 26 septembre 2002 un Accord de coopération avec la République Socialiste du Vietnam. Cet accord prévoit la tenue périodique d’une Commission mixte chargée d’élaborer des programmes concrets de coopération. Cette commission est composée de représentants des parties concernées.

 

La prochaine Commission mixte avec la République Socialiste du Vietnam se tiendra les 18, 19 et 20 novembre à Hanoï et approuvera un programme pour les années 2016-2018.

 

Conjointement avec le partenaire et conformément à la philosophie qui préside à cette coopération, nous avons identifié deux axes prioritaires d’intervention:

  • l’axe coopération sociale (y compris santé), citoyenne (y compris les médias) et culturelle,
  • l’axe enseignement supérieur/recherche/développement industriel (y compris secteur de l’environnement) en synergie avec l’AWEX.

Ci-dessous, vous trouverez la note d’orientation qui précise le contexte de ce choix et les modalités d’intervention en faveur des projets retenus et dont les montants ne pourront en aucun cas être dépassés. 


Si vous souhaitez développer un partenariat dans le cadre de ce programme de travail, vous trouverez un formulaire d’introduction de projet. Il est essentiel que les partenaires Vietnamiens et Wallons ou Bruxellois  élaborent conjointement le projet et le déposent de part et d’autre. Votre partenaire doit déposer son projet auprès du Ministère sectoriellement concerné qui se chargera de le faire parvenir, par la voie hiérarchique, auprès du Ministère vietnamien du Plan et de l’Investissement.

La date limite d’introduction des demandes est fixée au 1er septembre.

Sur base, notamment, des avis des experts sollicités à cet effet, la Commission mixte permanente se prononcera sur l’opportunité d’inscrire les projets au programme de travail dans les limites des disponibilités budgétaires.

Toute information concernant ce document peut être obtenue auprès de Solange de HARLEZ.
 

La Fédération Wallonie-Bruxelles, la Wallonie et la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale ont signé le 26 septembre 2002 un Accord de coopération avec la République Socialiste du Vietnam. Cet accord prévoit la tenue périodique d’une Commission mixte chargée d’élaborer des programmes concrets de coopération. Cette commission est composée de représentants des parties concernées.

 

La prochaine Commission mixte avec la République Socialiste du Vietnam se tiendra les 18, 19 et 20 novembre à Hanoï et approuvera un programme pour les années 2016-2018.

 

Conjointement avec le partenaire et conformément à la philosophie qui préside à cette coopération, nous avons identifié deux axes prioritaires d’intervention:

  • l’axe coopération sociale (y compris santé), citoyenne (y compris les médias) et culturelle,
  • l’axe enseignement supérieur/recherche/développement industriel (y compris secteur de l’environnement) en synergie avec l’AWEX.

Ci-dessous, vous trouverez la note d’orientation qui précise le contexte de ce choix et les modalités d’intervention en faveur des projets retenus et dont les montants ne pourront en aucun cas être dépassés. 


Si vous souhaitez développer un partenariat dans le cadre de ce programme de travail, vous trouverez un formulaire d’introduction de projet. Il est essentiel que les partenaires Vietnamiens et Wallons ou Bruxellois  élaborent conjointement le projet et le déposent de part et d’autre. Votre partenaire doit déposer son projet auprès du Ministère sectoriellement concerné qui se chargera de le faire parvenir, par la voie hiérarchique, auprès du Ministère vietnamien du Plan et de l’Investissement.

La date limite d’introduction des demandes est fixée au 1er septembre.

Sur base, notamment, des avis des experts sollicités à cet effet, la Commission mixte permanente se prononcera sur l’opportunité d’inscrire les projets au programme de travail dans les limites des disponibilités budgétaires.

Toute information concernant ce document peut être obtenue auprès de Solange de HARLEZ.
 

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