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Le Film Fund Luxembourg, la Saarland Medien GmbH, le Ministère de la Communauté germanophone de Belgique, la Région Grand Est, le CNC et la FFA s'associent pour créer le Fonds d'aide au codéveloppement transfrontalier de la Grande Région, dans le but de renforcer la coopération audiovisuelle et cinématographique transfrontalière et d'encourager les coproductions ambitieuses entre la France, l'Allemagne, le Luxembourg et la Belgique.

 

Ce fonds est doté de 55.000 euros et s'adresse aux projets de longs et moyens métrages, ainsi qu'aux projets nouveaux médias. Les projets doivent être réalisés en français, allemand ou luxembourgeois. Ils doivent également être destinés à une exploitation en salle ou télévisuelle.

 

La candidature peut être portée par un auteur ou un producteur, mais l'implication d'un producteur de la Grande Région est obligatoire. La durée finale du projet doit être supérieure à 45 minutes et il doit pouvoir être potentiellement développé et/ou réalisé en Grande Région. L'aide apportée par le fonds ne peut être cumulée avec une autre aide à la production.

 

Une commission composée d'un représentant de chacune des six parties décide de l'attribution des aides, avec un plafond de 20.000 euros, ou de 25.000 euros si l'auteur est né ou réside en Grande Région, ou si le scénario implique plusieurs régions partenaires.

 

Les projets choisis seront présentés lors des rendez-vous franco-allemands du cinéma le 22 novembre, à Sarrebruck.

 

Plus d'infos: Karin Schockweiler au +352 247-82 170.

Le Film Fund Luxembourg, la Saarland Medien GmbH, le Ministère de la Communauté germanophone de Belgique, la Région Grand Est, le CNC et la FFA s'associent pour créer le Fonds d'aide au codéveloppement transfrontalier de la Grande Région, dans le but de renforcer la coopération audiovisuelle et cinématographique transfrontalière et d'encourager les coproductions ambitieuses entre la France, l'Allemagne, le Luxembourg et la Belgique.

 

Ce fonds est doté de 55.000 euros et s'adresse aux projets de longs et moyens métrages, ainsi qu'aux projets nouveaux médias. Les projets doivent être réalisés en français, allemand ou luxembourgeois. Ils doivent également être destinés à une exploitation en salle ou télévisuelle.

 

La candidature peut être portée par un auteur ou un producteur, mais l'implication d'un producteur de la Grande Région est obligatoire. La durée finale du projet doit être supérieure à 45 minutes et il doit pouvoir être potentiellement développé et/ou réalisé en Grande Région. L'aide apportée par le fonds ne peut être cumulée avec une autre aide à la production.

 

Une commission composée d'un représentant de chacune des six parties décide de l'attribution des aides, avec un plafond de 20.000 euros, ou de 25.000 euros si l'auteur est né ou réside en Grande Région, ou si le scénario implique plusieurs régions partenaires.

 

Les projets choisis seront présentés lors des rendez-vous franco-allemands du cinéma le 22 novembre, à Sarrebruck.

 

Plus d'infos: Karin Schockweiler au +352 247-82 170.

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Copyright J. Van Belle - WBI

Il était une fois un joli couple qui n'en avait jamais assez. Ils nous ressemblent, nous, les insatisfaits qui en voulons toujours plus, qui rêvons de possession, qui existons à travers ce qui nous appartient. Jusqu'au jour où...

 

Cinquante ans après, que reste-t-il des "choses" et de la description clinique faite par Georges Perec d'une société semblant atteindre les sommets de la consommation de masse ? 

 

Deux acteurs plongent dans l'oeuvre pour y répondre. 

 

 

Il était une fois un joli couple qui n'en avait jamais assez. Ils nous ressemblent, nous, les insatisfaits qui en voulons toujours plus, qui rêvons de possession, qui existons à travers ce qui nous appartient. Jusqu'au jour où...

 

Cinquante ans après, que reste-t-il des "choses" et de la description clinique faite par Georges Perec d'une société semblant atteindre les sommets de la consommation de masse ? 

 

Deux acteurs plongent dans l'oeuvre pour y répondre. 

 

 

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Les sites d'irrigation "goutte-à-goutte" permettent de faire pousser tomates et poivrons, mais aussi ail, oignons, aubergines, concombres... (c) Didier Woirin - Apefe

« Avant, nous étions forcées d'utiliser des arrosoirs et c'était pénible, depuis qu'on a installé ce système d'irrigation, nous pouvons vaquer à d'autres activités », « Nuit et jour on travaille, on vend, on encaisse, si vous pouviez lancer cela dans d'autres pays aussi ! » : deux témoignages significatifs exprimés lors de la visite en mai du ministre-président Rudy Demotte sur le site du PADI dans le quartier de Tampouy à Ouagadougou (Burkina Faso). PADI, pour Programme d’appui au développement de l’irrigation, géré par l'APEFE depuis 2011 et qui vient à échéance cette année.

 

Sur un site de 4 hectares appartenant à l'amicale des forestières du Burkina Faso, une centaine de femmes font pousser tomates, oignons, ail, aubergines, concombres, fruits... Un jardin maraîcher, un arboretum et diverses parcelles se partagent l’espace où l’implacable chaleur est délicatement tamisée par la végétation. On y trouve des jeunes baobabs, dont les feuilles entrent dans la composition de la sauce locale toèga, et aussi des moringa, un arbre très riche en vitamine C ˗ plus que l’orange! ˗, calcium, potassium, protéines… Rudy Demotte a d’ailleurs été invité à en planter un. Certaines récoltes sont valorisées pour la vente sous formes de jus, confitures, beurre (de karité), conserves (de soumbala, une épice locale)... 

 

Au cœur du dispositif, un système autonome d'irrigation dit « goutte-à-goutte » : « L'eau est diffusée via des tuyaux étendus dans les parcelles et parsemés de petits trous », explique l'administrateur du programme Didier Woirin, qui ajoute que ce système est très économe en eau comme en énergie. L’eau souterraine est extraite via une pompe alimentée par l'énergie solaire et qui sépare le sable. 40 m³ d'eau peuvent être pompés quotidiennement, et jusqu'à 70 m³ si on augmente le nombre de panneaux solaires. Le PADI, c’est aussi la formation : une salle permet aux femmes de recevoir des cours d’alphabétisation et de s'initier aux techniques de fertilité des sols. Enfin, la mairie s’est impliquée en offrant une plate-forme de compostage.

 

Cette action de l'APEFE, étendue sur quatre provinces, est venue en appui d'une stratégie lancée depuis 2003 par le Pays des hommes intègres afin de faire jouer à l’irrigation un rôle de choix dans la production agricole. Trois résultats concernaient la recherche et un quatrième le renforcement des capacités. Un succès ? « Sans aucun doute, répond Didier Woirin, notamment grâce à l’appui scientifique de l’Université de Liège qui a permis de mettre en place des outils opérationnels ». La Région wallonne a également apporté une aide technique. « Cet espace du PADI contribue autant à l'amélioration des conditions de vie des femmes qu'aux connaissances de la communauté scientifique », résumait, ravi, le directeur burkinabè de l’Irrigation à Rudy Demotte. L’initiative peut aujourd’hui voler de ses propres ailes.

 

Freiner le désert

Autre programme auquel l'APEFE apporte sa pierre: la Grande Muraille verte, une idée africaine menée à travers le NEPAD (Nouveau Partenariat pour le Développement de l’Afrique, initiative interétatique africaine). Le principe de départ ? De Dakar à Djibouti, édifier une bande boisée de 15 km de large afin de freiner la désertification. Le concept a évolué entre-temps. Ainsi, au Burkina Faso, il ne s'agit plus d'une bande, mais d'une zone d'intervention qui occupe le tiers du pays. « Reverdir le Sahel, c'est possible, déclare Didier Woirin, grâce à la plantation de plantes fourragères et forestières et de haies vives, et avec la collaboration active des communes et des communautés locales. » L'APEFE intervient dans le renforcement des institutions compétentes et met en œuvre des actions-pilotes avec différents partenaires.

 

Enfin, un troisième programme au Burkina Faso est focalisé sur le développement de la kinésithérapie, avec la création d’une école à l'horizon 2022. Pour l'heure, douze kinés sont en formation à Cotonou et un médecin à Abidjan. Vive le partenariat Sud-Sud ! De son côté, le gouvernement burkinabè finance la formation en Belgique de cinq kinés diplômés bac + 3. 

 

Ces trois programmes de l’APEFE sont financés par la DGD et reçoivent un appui financier de la part de WBI. L’aide belge monte d’ailleurs en puissance, puisque le Burkina est entre-temps revenu dans la liste très « select » des pays prioritaires de la coopération belge.

 

François Janne d’Othée 

 

Cet article est issu de la Revue W+B n°132, à laquelle vous pouvez vous abonner gratuitement!

 

Vous pouvez également trouver un article connexe sur le site de l'Apefe.

« Avant, nous étions forcées d'utiliser des arrosoirs et c'était pénible, depuis qu'on a installé ce système d'irrigation, nous pouvons vaquer à d'autres activités », « Nuit et jour on travaille, on vend, on encaisse, si vous pouviez lancer cela dans d'autres pays aussi ! » : deux témoignages significatifs exprimés lors de la visite en mai du ministre-président Rudy Demotte sur le site du PADI dans le quartier de Tampouy à Ouagadougou (Burkina Faso). PADI, pour Programme d’appui au développement de l’irrigation, géré par l'APEFE depuis 2011 et qui vient à échéance cette année.

 

Sur un site de 4 hectares appartenant à l'amicale des forestières du Burkina Faso, une centaine de femmes font pousser tomates, oignons, ail, aubergines, concombres, fruits... Un jardin maraîcher, un arboretum et diverses parcelles se partagent l’espace où l’implacable chaleur est délicatement tamisée par la végétation. On y trouve des jeunes baobabs, dont les feuilles entrent dans la composition de la sauce locale toèga, et aussi des moringa, un arbre très riche en vitamine C ˗ plus que l’orange! ˗, calcium, potassium, protéines… Rudy Demotte a d’ailleurs été invité à en planter un. Certaines récoltes sont valorisées pour la vente sous formes de jus, confitures, beurre (de karité), conserves (de soumbala, une épice locale)... 

 

Au cœur du dispositif, un système autonome d'irrigation dit « goutte-à-goutte » : « L'eau est diffusée via des tuyaux étendus dans les parcelles et parsemés de petits trous », explique l'administrateur du programme Didier Woirin, qui ajoute que ce système est très économe en eau comme en énergie. L’eau souterraine est extraite via une pompe alimentée par l'énergie solaire et qui sépare le sable. 40 m³ d'eau peuvent être pompés quotidiennement, et jusqu'à 70 m³ si on augmente le nombre de panneaux solaires. Le PADI, c’est aussi la formation : une salle permet aux femmes de recevoir des cours d’alphabétisation et de s'initier aux techniques de fertilité des sols. Enfin, la mairie s’est impliquée en offrant une plate-forme de compostage.

 

Cette action de l'APEFE, étendue sur quatre provinces, est venue en appui d'une stratégie lancée depuis 2003 par le Pays des hommes intègres afin de faire jouer à l’irrigation un rôle de choix dans la production agricole. Trois résultats concernaient la recherche et un quatrième le renforcement des capacités. Un succès ? « Sans aucun doute, répond Didier Woirin, notamment grâce à l’appui scientifique de l’Université de Liège qui a permis de mettre en place des outils opérationnels ». La Région wallonne a également apporté une aide technique. « Cet espace du PADI contribue autant à l'amélioration des conditions de vie des femmes qu'aux connaissances de la communauté scientifique », résumait, ravi, le directeur burkinabè de l’Irrigation à Rudy Demotte. L’initiative peut aujourd’hui voler de ses propres ailes.

 

Freiner le désert

Autre programme auquel l'APEFE apporte sa pierre: la Grande Muraille verte, une idée africaine menée à travers le NEPAD (Nouveau Partenariat pour le Développement de l’Afrique, initiative interétatique africaine). Le principe de départ ? De Dakar à Djibouti, édifier une bande boisée de 15 km de large afin de freiner la désertification. Le concept a évolué entre-temps. Ainsi, au Burkina Faso, il ne s'agit plus d'une bande, mais d'une zone d'intervention qui occupe le tiers du pays. « Reverdir le Sahel, c'est possible, déclare Didier Woirin, grâce à la plantation de plantes fourragères et forestières et de haies vives, et avec la collaboration active des communes et des communautés locales. » L'APEFE intervient dans le renforcement des institutions compétentes et met en œuvre des actions-pilotes avec différents partenaires.

 

Enfin, un troisième programme au Burkina Faso est focalisé sur le développement de la kinésithérapie, avec la création d’une école à l'horizon 2022. Pour l'heure, douze kinés sont en formation à Cotonou et un médecin à Abidjan. Vive le partenariat Sud-Sud ! De son côté, le gouvernement burkinabè finance la formation en Belgique de cinq kinés diplômés bac + 3. 

 

Ces trois programmes de l’APEFE sont financés par la DGD et reçoivent un appui financier de la part de WBI. L’aide belge monte d’ailleurs en puissance, puisque le Burkina est entre-temps revenu dans la liste très « select » des pays prioritaires de la coopération belge.

 

François Janne d’Othée 

 

Cet article est issu de la Revue W+B n°132, à laquelle vous pouvez vous abonner gratuitement!

 

Vous pouvez également trouver un article connexe sur le site de l'Apefe.

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Lors de cette visite d'étude, les systèmes éducatifs formel et non formel danois est présenté aux participants, ainsi que l'expérience de différents établissements d'enseignement. C'est aussi l'occasion d'en apprendre sur les défis divers et les solutions adaptées selon les contextes et les lieux.

 

Les municipalités sont des acteurs clés dans la mise en œuvre et la coordination de ce travail. Elles sont également responsables de la mise en œuvre des efforts visant à aider les jeunes dans la recherche d'emploi ou dans leur formation. Dans le même temps, les municipalités - par le biais du système d'orientation des jeunes - sont nécessaires pour effectuer une sensibilisation systématique et des activités de suivi auprès des jeunes qui n'ont pas fait d'études ou qui les ont stoppées.

 

Thèmes clés:

  • La décentralisation politique de la jeunesse - au regard du travail munucipal de la jeunesse
  • Combler le travail des jeunes et le système éducatif
  • Le système de guidage de la jeunesse - aider les jeunes à trouver leur chemin à l'emploi et à l'éducation
  • Le développement social et personnel
  • Inclusion des jeunes "à risque"
  • L'éducation civique, la démocratie et la citoyenneté active
  • La combinaison de méthodes d'apprentissage formelles et non formelles
  • L'employabilité

 

Retrouvez toutes les infos sur le site de Salto.

 

Lieu et dates

Nyborg (Danemark), du 21 au 24 novembre

 

Profil des participants

  • Vous avez au moins 18 ans et vous résidez en Fédération Wallonie-Bruxelles
  • Vous êtes travailleur de jeunesse, professeurs, éducateurs, membres d’une ONG et vous êtes intéressé par le thème de la visite d’étude
  • Vous êtes capable de travailler en anglais

 

Langue de travail

Anglais

 

Conditions de participation

Le Bureau International Jeunesse et les organisateurs prennent en charge les frais de transports internationaux, de séjour et de programme des participants FWB sélectionnés.

 

Comment procéder

Inscrivez-vous via le site de Salto (+ copie à  Thierry Dufour ou fax: 02 218 81 08) avant le 1er septembre.

 

Des questions

N’hésitez pas à contacter Thierry Dufour: thierry.dufour@cfwb.be ou 02 538 48 81.

Lors de cette visite d'étude, les systèmes éducatifs formel et non formel danois est présenté aux participants, ainsi que l'expérience de différents établissements d'enseignement. C'est aussi l'occasion d'en apprendre sur les défis divers et les solutions adaptées selon les contextes et les lieux.

 

Les municipalités sont des acteurs clés dans la mise en œuvre et la coordination de ce travail. Elles sont également responsables de la mise en œuvre des efforts visant à aider les jeunes dans la recherche d'emploi ou dans leur formation. Dans le même temps, les municipalités - par le biais du système d'orientation des jeunes - sont nécessaires pour effectuer une sensibilisation systématique et des activités de suivi auprès des jeunes qui n'ont pas fait d'études ou qui les ont stoppées.

 

Thèmes clés:

  • La décentralisation politique de la jeunesse - au regard du travail munucipal de la jeunesse
  • Combler le travail des jeunes et le système éducatif
  • Le système de guidage de la jeunesse - aider les jeunes à trouver leur chemin à l'emploi et à l'éducation
  • Le développement social et personnel
  • Inclusion des jeunes "à risque"
  • L'éducation civique, la démocratie et la citoyenneté active
  • La combinaison de méthodes d'apprentissage formelles et non formelles
  • L'employabilité

 

Retrouvez toutes les infos sur le site de Salto.

 

Lieu et dates

Nyborg (Danemark), du 21 au 24 novembre

 

Profil des participants

  • Vous avez au moins 18 ans et vous résidez en Fédération Wallonie-Bruxelles
  • Vous êtes travailleur de jeunesse, professeurs, éducateurs, membres d’une ONG et vous êtes intéressé par le thème de la visite d’étude
  • Vous êtes capable de travailler en anglais

 

Langue de travail

Anglais

 

Conditions de participation

Le Bureau International Jeunesse et les organisateurs prennent en charge les frais de transports internationaux, de séjour et de programme des participants FWB sélectionnés.

 

Comment procéder

Inscrivez-vous via le site de Salto (+ copie à  Thierry Dufour ou fax: 02 218 81 08) avant le 1er septembre.

 

Des questions

N’hésitez pas à contacter Thierry Dufour: thierry.dufour@cfwb.be ou 02 538 48 81.

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Copyright J. Van Belle

Série de conférences sur la question de Palestine de 1798 à nos jours, en deux parties. 

 

Dans "Décris-ravage", l'image est absente, c'est à tous de tout imaginer grâce aux gesticulations conférencières des 5 performeuses démystificatrices brillantes et généreuses. Avec tendresse et humour parfois, l'histoire meurtrie de cette partie de notre monde, s'égrène irrémédiablement, loin des surrenchères et des outrances, presque chaleureusement. 

 

A voir aux Doms jusqu'au 27 juillet à 22H15.

Série de conférences sur la question de Palestine de 1798 à nos jours, en deux parties. 

 

Dans "Décris-ravage", l'image est absente, c'est à tous de tout imaginer grâce aux gesticulations conférencières des 5 performeuses démystificatrices brillantes et généreuses. Avec tendresse et humour parfois, l'histoire meurtrie de cette partie de notre monde, s'égrène irrémédiablement, loin des surrenchères et des outrances, presque chaleureusement. 

 

A voir aux Doms jusqu'au 27 juillet à 22H15.

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Début du XXIè siècle: trois êtres improbables -Sabine, Edith et Bernard- oscillent entre marginaux amateurs de théâtre et patients d'un centre psychiatrique, sont profondément épris de l'oeuvre de Tchekhov, dans laquelle ils se reconnaissent jusqu'à la fusion. 

 

Monter cette pièce à trois en jouant non seulement les trois soeurs elles-mêmes, mais aussi les onze autres personnages qui la composent devient alors l'enjeu de leur vie. 

 

Fin du XIXè sicèle: trois soeurs orphelines -Olga, Macha et Irina- vivent en province dans une grande maison de la banlieue d'une ville grossière. Elles se sentent comme des étrangères et rêvent de retrouver Moscou, lieu mythique de leur enfance, paradis originel où elles ont grandi. 

 

A découvrir au Théâtre des Doms jusqu'au 27 juillet à 14H30. 

Début du XXIè siècle: trois êtres improbables -Sabine, Edith et Bernard- oscillent entre marginaux amateurs de théâtre et patients d'un centre psychiatrique, sont profondément épris de l'oeuvre de Tchekhov, dans laquelle ils se reconnaissent jusqu'à la fusion. 

 

Monter cette pièce à trois en jouant non seulement les trois soeurs elles-mêmes, mais aussi les onze autres personnages qui la composent devient alors l'enjeu de leur vie. 

 

Fin du XIXè sicèle: trois soeurs orphelines -Olga, Macha et Irina- vivent en province dans une grande maison de la banlieue d'une ville grossière. Elles se sentent comme des étrangères et rêvent de retrouver Moscou, lieu mythique de leur enfance, paradis originel où elles ont grandi. 

 

A découvrir au Théâtre des Doms jusqu'au 27 juillet à 14H30. 

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Les images flottantes

"Les images flottantes" racontent l'histoire d'un petit garçon transporté dans le monde des images. Il apprendra, grâce à un stage d'initiation à la peinture au Musée d'Art moderne de la Ville de Paris, à sortir de lui-même et en quelque sorte à sortir du cadre pour découvrir le monde.

 

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La rivière bien nommée

Le conteur manipule des livres-objets pour incarner un récit de voyage. Réunis autour d'une boîte au trésor, les spectateurs écoutent le narrateur raconter sa quête des origines de la légende de "La rivière bien nommée"

 

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Le Benshi d'Angers

A la manière des benshi -conteurs japonais qui commentaient les films à l'époque du cinéma muet- le conteur projette et commente les pages d'un livre qu'il a lui-même dessiné. Il conte ainsi une histoire intime ponctuée de souvenirs de famille et de légendes lointaines invitant le spectateur à un voyage poétique et graphique. 

 

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L'appartement à trous

Sur une table aux multiples tiroirs, le conteur raconte des histoires de manière résolument contemporaine. Dans ce récit-performance, il allie les dessins à la narration pour donner vie à des personnages, des paysages s'inspirant de la résistance d'Ossip Mandelstan quand, pour garder espoir, il racontait des histoires à ses compagnons qui partageaient sa cellule en Union soviétique. 

 

 

 

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"Les images flottantes" racontent l'histoire d'un petit garçon transporté dans le monde des images. Il apprendra, grâce à un stage d'initiation à la peinture au Musée d'Art moderne de la Ville de Paris, à sortir de lui-même et en quelque sorte à sortir du cadre pour découvrir le monde.

 

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La rivière bien nommée

Le conteur manipule des livres-objets pour incarner un récit de voyage. Réunis autour d'une boîte au trésor, les spectateurs écoutent le narrateur raconter sa quête des origines de la légende de "La rivière bien nommée"

 

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Le Benshi d'Angers

A la manière des benshi -conteurs japonais qui commentaient les films à l'époque du cinéma muet- le conteur projette et commente les pages d'un livre qu'il a lui-même dessiné. Il conte ainsi une histoire intime ponctuée de souvenirs de famille et de légendes lointaines invitant le spectateur à un voyage poétique et graphique. 

 

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L'appartement à trous

Sur une table aux multiples tiroirs, le conteur raconte des histoires de manière résolument contemporaine. Dans ce récit-performance, il allie les dessins à la narration pour donner vie à des personnages, des paysages s'inspirant de la résistance d'Ossip Mandelstan quand, pour garder espoir, il racontait des histoires à ses compagnons qui partageaient sa cellule en Union soviétique. 

 

 

 

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La zone de régénération naturelle sert de pâturage pour les chameaux (c) Apefe

400.000 plants forestiers sont produits chaque année par les Directions Régionales de l’Environnement burkinabées, en collaboration avec des pépiniéristes villageois et l'ONG Tiipaalga. Partenaire du Programme de Renforcement des Capacités de l’Initiative de la Grande Muraille Verte pour le Sahara et le Sahel (PRC-IGMVSS), Tiipaalga accompagne la production de plants forestiers au niveau des quatres régions concernées par l'IGMVSS au Burkina Faso : le Plateau Central, le Centre Nord, l’Est et le Sahel.

 

La plupart des espèces utilisées sont des espèces locales et répondent à des besoins écologiques, économiques et/ou alimentaires :

  • Le Baobab (Adansonia digita) est largement utilisé pour ses feuilles comestibles et son fruit, source de revenus, est transformé en "poudre de pain de singe" utilisé dans les boissons.
  • L’Acacia Nilotica et l’Acacia senegal sont utilisés pour la réalisation de haies vives et la protection des berges des cours d’eau. L’acacia senegal produit également la gomme arabique, matière première dans les produits pharmaceutiques ou dans les sodas.
  • Le Moringa (Moringa oleïfera) est lui fortement apprécié pour ses valeurs nutritives.

 

L’IGMVSS a été lancée en 2005 comme une réponse politique forte aux graves défis posés par la désertification, la dégradation des terres, la perte de la biodiversité, les changements climatiques et ses phénomènes extrêmes, en particulier les sécheresses. 

 

Dans la perspective d’évaluer l’impact de cette opération, un système de suivi basé sur l’identification des acteurs potentiels et la cartographie des sites de plantation est également en cours d’expérimentation afin d’apprécier la réussite des plantations. 

 

Démarrée en 2014, la première phase d'appui de l'APEFE/WBI se clôturera en décembre 2016. Une nouvelle phase est en formulation pour la période 2017-2021.

400.000 plants forestiers sont produits chaque année par les Directions Régionales de l’Environnement burkinabées, en collaboration avec des pépiniéristes villageois et l'ONG Tiipaalga. Partenaire du Programme de Renforcement des Capacités de l’Initiative de la Grande Muraille Verte pour le Sahara et le Sahel (PRC-IGMVSS), Tiipaalga accompagne la production de plants forestiers au niveau des quatres régions concernées par l'IGMVSS au Burkina Faso : le Plateau Central, le Centre Nord, l’Est et le Sahel.

 

La plupart des espèces utilisées sont des espèces locales et répondent à des besoins écologiques, économiques et/ou alimentaires :

  • Le Baobab (Adansonia digita) est largement utilisé pour ses feuilles comestibles et son fruit, source de revenus, est transformé en "poudre de pain de singe" utilisé dans les boissons.
  • L’Acacia Nilotica et l’Acacia senegal sont utilisés pour la réalisation de haies vives et la protection des berges des cours d’eau. L’acacia senegal produit également la gomme arabique, matière première dans les produits pharmaceutiques ou dans les sodas.
  • Le Moringa (Moringa oleïfera) est lui fortement apprécié pour ses valeurs nutritives.

 

L’IGMVSS a été lancée en 2005 comme une réponse politique forte aux graves défis posés par la désertification, la dégradation des terres, la perte de la biodiversité, les changements climatiques et ses phénomènes extrêmes, en particulier les sécheresses. 

 

Dans la perspective d’évaluer l’impact de cette opération, un système de suivi basé sur l’identification des acteurs potentiels et la cartographie des sites de plantation est également en cours d’expérimentation afin d’apprécier la réussite des plantations. 

 

Démarrée en 2014, la première phase d'appui de l'APEFE/WBI se clôturera en décembre 2016. Une nouvelle phase est en formulation pour la période 2017-2021.

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Plus de 1300 personnes venant de 103 pays différents participent au grand rassemblement de Liège proposé par la FIPF et par l'Association Belge des Professeurs de Français en partenariat avec l’Université, la Province et la Ville de Liège.

 

Ce congrès s'est ouvert par une conférence plénière de Pierre Mertens, l’intellectuel belge majeur que l’on sait, et se clôturera par l'intervention de Daniel Maximin, l’écrivain et poète francophone renommé.

 

Les participants pourront partager leurs savoirs et savoir-faire à l’occasion de plus de 539 communications réparties dans neuf symposiums aux thèmes variés, touchant tant à la pédagogie qu'aux stratégies des classes actives ou aux politiques linguistiques; s’intéressant autant à la question de l’enseignement précoce qu’à celle de la formation initiale ou continue des enseignants; s’interrogeant aussi bien sur le recours à la littérature, aux jeux qu’aux technologies numériques.

 

Vingt-deux grandes conférences sont proposées par des experts de la langue française et de la didactique du français. Vingt-quatre tables rondes permettront de comparer divers avis à propos de sujets tels que la situation du français dans le monde, les ressources d’internet dans les classes ou encore l'orthographe modernisée. Soixante ateliers pédagogiques et dix ateliers de formation continue offriront l’opportunité de découvrir des stratégies innovantes, de nouveaux manuels et de les confronter aux pratiques de professeurs venus du monde entier. 

 

Bref, une semaine qui permettra aux 1300 professeurs et étudiants de renforcer leur motivation au contact de leurs pairs et de repartir enrichis d'idées, d'outils et de nouveautés qui leur permettront de stimuler tous les élèves, étudiants ou apprenants de français à travers le monde. Une semaine qui s'annonce passionnante aussi en termes de rencontres et d’expériences humaines.

 

Un programme culturel pour tous les gouts

Les congressistes ne seront pas à Liège seulement pour le travail. IIs disposeront d’un accès illimité aux trois plus grands musées de la ville  — le Musée Curtius, le Musée de la Vie wallonne et le tout nouveau Musée de la Boverie, qui abrite la superbe exposition "En plein air" —et ils pourront se perdre dans les dédales de six expositions, ou profiter de capsules audiovisuelles diffusées en boucle qui alimenteront leur réflexion sur la portée et la vitalité du français dans le monde. Ils participeront également à des balades thématiques ainsi qu’à des animations et des rencontres avec des écrivains de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

 

La majorité de ces activités prennent place dans des lieux d’exception de la ville de Liège, notamment le Forum (joyau architectural de l’Art déco), la Cité-Miroir (une surprenante réhabilitation des anciens bains liégeois) et le Théâtre de Liège, restauré tout récemment.

 

Plusieurs séances de cinéma francophone animées par un spécialiste sont programmées, et pour les amateurs de théâtre, l’offre est fournie: des plus classiques ("L’Étranger" d’Albert Camus et "Le Vol d’Icare" de Raymond Queneau) aux plus contemporains (une adaptation de "Stupeurs et tremblements" d’Amélie Nothomb par Layla Metssitane ainsi qu’une pièce interprétée par la troupe de l’Université de Liège).

 

Pour les mélomanes, deux grands concerts – l’un de jazz avec le célèbre trio wallon Steve Houben, Jacques Pirotton et Sam Gerstmans et l’autre du jeune chanteur suisse Marc Aymon —  sont organisés.

 

Enfin, Bruno Coppens, considéré par beaucoup comme le digne héritier de Raymond Devos, donne un spectacle dans lequel il incarne plusieurs personnages ayant avec le langage un rapport particulier.

 

Le Sud est également mis à l’honneur par Wallonie-Bruxelles International grâce à des artistes venus de pays ensoleillés et qui vont faire résonner le leitmotiv du congrès, "Français, langue ardente", lors d’un grand concert.

 


 

Plus de 1300 personnes venant de 103 pays différents participent au grand rassemblement de Liège proposé par la FIPF et par l'Association Belge des Professeurs de Français en partenariat avec l’Université, la Province et la Ville de Liège.

 

Ce congrès s'est ouvert par une conférence plénière de Pierre Mertens, l’intellectuel belge majeur que l’on sait, et se clôturera par l'intervention de Daniel Maximin, l’écrivain et poète francophone renommé.

 

Les participants pourront partager leurs savoirs et savoir-faire à l’occasion de plus de 539 communications réparties dans neuf symposiums aux thèmes variés, touchant tant à la pédagogie qu'aux stratégies des classes actives ou aux politiques linguistiques; s’intéressant autant à la question de l’enseignement précoce qu’à celle de la formation initiale ou continue des enseignants; s’interrogeant aussi bien sur le recours à la littérature, aux jeux qu’aux technologies numériques.

 

Vingt-deux grandes conférences sont proposées par des experts de la langue française et de la didactique du français. Vingt-quatre tables rondes permettront de comparer divers avis à propos de sujets tels que la situation du français dans le monde, les ressources d’internet dans les classes ou encore l'orthographe modernisée. Soixante ateliers pédagogiques et dix ateliers de formation continue offriront l’opportunité de découvrir des stratégies innovantes, de nouveaux manuels et de les confronter aux pratiques de professeurs venus du monde entier. 

 

Bref, une semaine qui permettra aux 1300 professeurs et étudiants de renforcer leur motivation au contact de leurs pairs et de repartir enrichis d'idées, d'outils et de nouveautés qui leur permettront de stimuler tous les élèves, étudiants ou apprenants de français à travers le monde. Une semaine qui s'annonce passionnante aussi en termes de rencontres et d’expériences humaines.

 

Un programme culturel pour tous les gouts

Les congressistes ne seront pas à Liège seulement pour le travail. IIs disposeront d’un accès illimité aux trois plus grands musées de la ville  — le Musée Curtius, le Musée de la Vie wallonne et le tout nouveau Musée de la Boverie, qui abrite la superbe exposition "En plein air" —et ils pourront se perdre dans les dédales de six expositions, ou profiter de capsules audiovisuelles diffusées en boucle qui alimenteront leur réflexion sur la portée et la vitalité du français dans le monde. Ils participeront également à des balades thématiques ainsi qu’à des animations et des rencontres avec des écrivains de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

 

La majorité de ces activités prennent place dans des lieux d’exception de la ville de Liège, notamment le Forum (joyau architectural de l’Art déco), la Cité-Miroir (une surprenante réhabilitation des anciens bains liégeois) et le Théâtre de Liège, restauré tout récemment.

 

Plusieurs séances de cinéma francophone animées par un spécialiste sont programmées, et pour les amateurs de théâtre, l’offre est fournie: des plus classiques ("L’Étranger" d’Albert Camus et "Le Vol d’Icare" de Raymond Queneau) aux plus contemporains (une adaptation de "Stupeurs et tremblements" d’Amélie Nothomb par Layla Metssitane ainsi qu’une pièce interprétée par la troupe de l’Université de Liège).

 

Pour les mélomanes, deux grands concerts – l’un de jazz avec le célèbre trio wallon Steve Houben, Jacques Pirotton et Sam Gerstmans et l’autre du jeune chanteur suisse Marc Aymon —  sont organisés.

 

Enfin, Bruno Coppens, considéré par beaucoup comme le digne héritier de Raymond Devos, donne un spectacle dans lequel il incarne plusieurs personnages ayant avec le langage un rapport particulier.

 

Le Sud est également mis à l’honneur par Wallonie-Bruxelles International grâce à des artistes venus de pays ensoleillés et qui vont faire résonner le leitmotiv du congrès, "Français, langue ardente", lors d’un grand concert.

 


 

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Profil des participants

  • Vous avez au moins 18 ans et vous résidez en Fédération Wallonie-Bruxelles,
  • Vous êtes travailleur de jeunesse, professeurs, éducateurs… et vous êtes intéressé par la présentation d’outils pédagogiques et l’échange de bonnes pratiques.
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Conditions de participation

Le Bureau International Jeunesse et les organisateurs prendront en charge les frais de transports internationaux, de séjour et de programme des participants FWB sélectionnés.

 

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Comment postuler ?

Inscrivez-vous et envoyer une copie à Thierry Dufour (thierry.dufour@cfwb.be) ou par fax au 02/218.81.08 avant le 31 juillet.

 

 

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