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La Communauté française, la Région wallonne et la Commission Communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale ont signé le 14 avril 2003 un Accord-cadre de coopération avec la République algérienne démocratique et populaire. Cet accord prévoit la tenue périodique d’une Commission mixte chargée d’élaborer des programmes concrets de coopération. Cette commission est composée de représentants des parties concernées.

 

La prochaine Commission mixte avec la République algérienne démocratique et populaire se tiendra à Alger prochainement. Elle approuvera un programme de travail restreint pour les années 2016-2018.

 

Conjointement avec le partenaire et conformément à la philosophie qui préside à cette coopération, un nombre limité de secteurs prioritaires d’intervention est identifié, à savoir :

 

  • L’éducation et la formation, avec une attention prioritaire à la coopération académique et scientifique entre universités et centres de recherches
  • L’environnement et le développement durable, par la mise en œuvre de projets scientifiques, techniques ou institutionnels actifs dans la lutte contre la désertification, la dégradation des sols, la déforestation ou en faveur de la qualité et de la préservation des ressources d’eau et de la prévention et traitement des déchets

 

Au niveau transversal, seront privilégiées les formations et échanges entre partenaires de la culture, des politiques de jeunesse et organisations de la société civile, dans une perspective de promotion de la diversité culturelle, des droits universels et de l’égalité hommes-femmes.

 

La date limite d’introduction des projets est fixée au 9 septembre.

 

Sur base, notamment, des concertations avec le partenaire algérien, la Commission mixte permanente se prononcera sur l’opportunité d’inscrire au Programme de travail les projets les plus porteurs dans les limites des disponibilités budgétaires.

 

Infos: Alain Sougnez - 02/421.86.32 - a.sougnez@wbi.be

 

Vous trouverez en pièces jointes un formulaire d’introduction de projet, ainsi que les modalités d’intervention en faveur des projets retenus.

 

 

La Communauté française, la Région wallonne et la Commission Communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale ont signé le 14 avril 2003 un Accord-cadre de coopération avec la République algérienne démocratique et populaire. Cet accord prévoit la tenue périodique d’une Commission mixte chargée d’élaborer des programmes concrets de coopération. Cette commission est composée de représentants des parties concernées.

 

La prochaine Commission mixte avec la République algérienne démocratique et populaire se tiendra à Alger prochainement. Elle approuvera un programme de travail restreint pour les années 2016-2018.

 

Conjointement avec le partenaire et conformément à la philosophie qui préside à cette coopération, un nombre limité de secteurs prioritaires d’intervention est identifié, à savoir :

 

  • L’éducation et la formation, avec une attention prioritaire à la coopération académique et scientifique entre universités et centres de recherches
  • L’environnement et le développement durable, par la mise en œuvre de projets scientifiques, techniques ou institutionnels actifs dans la lutte contre la désertification, la dégradation des sols, la déforestation ou en faveur de la qualité et de la préservation des ressources d’eau et de la prévention et traitement des déchets

 

Au niveau transversal, seront privilégiées les formations et échanges entre partenaires de la culture, des politiques de jeunesse et organisations de la société civile, dans une perspective de promotion de la diversité culturelle, des droits universels et de l’égalité hommes-femmes.

 

La date limite d’introduction des projets est fixée au 9 septembre.

 

Sur base, notamment, des concertations avec le partenaire algérien, la Commission mixte permanente se prononcera sur l’opportunité d’inscrire au Programme de travail les projets les plus porteurs dans les limites des disponibilités budgétaires.

 

Infos: Alain Sougnez - 02/421.86.32 - a.sougnez@wbi.be

 

Vous trouverez en pièces jointes un formulaire d’introduction de projet, ainsi que les modalités d’intervention en faveur des projets retenus.

 

 

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Copyright J. Van Belle

Dans "Spoutnik", le seul récit autobiographique qu'il ait écrit, Jean-Marie Piemme retrace son enfance jusqu'à sa vie de jeune adulte, en même temps qu'il revient sur les traces de l'usine de Seraing et de cette Wallonie profonde qui l'ont vu naître et grandir dans la deuxième moitié du XXè siècle.

 

La maison, l'usine, l'école, la filiation et le rapport au père comme lien entre tout, deviennent une nouvelle matière pour raconter l'émancipation d'un homme au regard de l'évolution et de la transformation de son histoire ouvrière et familiale.

 

Un spectacle du Collectif Travaux Publics et du Théâtre Varia (Centre dramatique de Bruxelles).

 

Découvrez-le au Théâtre des Doms, tous les jours à 18H15 jusqu'au 27 juillet (relâches les 13 et 21 juillet).  

Dans "Spoutnik", le seul récit autobiographique qu'il ait écrit, Jean-Marie Piemme retrace son enfance jusqu'à sa vie de jeune adulte, en même temps qu'il revient sur les traces de l'usine de Seraing et de cette Wallonie profonde qui l'ont vu naître et grandir dans la deuxième moitié du XXè siècle.

 

La maison, l'usine, l'école, la filiation et le rapport au père comme lien entre tout, deviennent une nouvelle matière pour raconter l'émancipation d'un homme au regard de l'évolution et de la transformation de son histoire ouvrière et familiale.

 

Un spectacle du Collectif Travaux Publics et du Théâtre Varia (Centre dramatique de Bruxelles).

 

Découvrez-le au Théâtre des Doms, tous les jours à 18H15 jusqu'au 27 juillet (relâches les 13 et 21 juillet).  

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Copyright J. Van Belle

L'histoire commence à Hambourg, dans un parc et sous la neige. Il y a là un homme noir égaré, avec 5000 euros à ses pieds. Le braquage a mal tourné, la police est venue l'arrêter. Tout le monde le regarde. Il se demande ce qu'il fait là. 

 

En quelques mots, le décor est planté: l'histoire de "Michalakl'éthiopien" s'offre à nous. Celle d'un jeune homme, adopté par une famille autrichienne, embarqué dans une histoire chaotique de Salzbourg à Addis Abeba. Il a fui ce pays qui n'est pas le sien et rêve d'argent facile, de femmes et de soleil. Mais ses illusions vont se heurter brutalement à la réalité. 

 

Ce spectacle à hauteur d'homme, au verbe lyrique, nous offre surtout à voir un combat contre la fatalité et un chemin d'espoir. 

 

Une production du Théâtre National / Bruxelles, du KVS et du Festival de Liège. 

 

Le spectacle est à voir tous les jours jusqu'au 27 juillet à 10H45 (relâches les 13 et 21 juillet) au Théâtre des Doms. 

L'histoire commence à Hambourg, dans un parc et sous la neige. Il y a là un homme noir égaré, avec 5000 euros à ses pieds. Le braquage a mal tourné, la police est venue l'arrêter. Tout le monde le regarde. Il se demande ce qu'il fait là. 

 

En quelques mots, le décor est planté: l'histoire de "Michalakl'éthiopien" s'offre à nous. Celle d'un jeune homme, adopté par une famille autrichienne, embarqué dans une histoire chaotique de Salzbourg à Addis Abeba. Il a fui ce pays qui n'est pas le sien et rêve d'argent facile, de femmes et de soleil. Mais ses illusions vont se heurter brutalement à la réalité. 

 

Ce spectacle à hauteur d'homme, au verbe lyrique, nous offre surtout à voir un combat contre la fatalité et un chemin d'espoir. 

 

Une production du Théâtre National / Bruxelles, du KVS et du Festival de Liège. 

 

Le spectacle est à voir tous les jours jusqu'au 27 juillet à 10H45 (relâches les 13 et 21 juillet) au Théâtre des Doms. 

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Démocratie et égalité : que peut l’éducation ?

L’éducation est essentielle pour les sociétés démocratiques. Les écoles, universités, organisations de la société civile et autres établissements d’enseignement devraient encourager l’acquisition et la pratique des valeurs et des compétences essentiels pour la démocratie.

 

Le Forum mondial de la Démocratie 2016 cherche à savoir comment l’éducation peut contribuer à combler le fossé social et devenir un véritable avantage pour nos sociétés diverses.

 

Des places sont disponibles pour des jeunes de la Fédération Wallonie-Bruxelles mais aussi pour des formateurs.

 

Vous trouverez toutes les informations complètes sur le site du Forum.

 

Lieu et dates

Strasbourg, du 7 au 9 novembre.

 

Profil des participants

  • Vous avez entre 16 et 30 ans et vous résidez en FWB
  • Vous souhaitez engager le débat avec des décideurs politiques sur la façon dont l’éducation et la démocratie peuvent se renforcer mutuellement et faire face aux risques d’une nouvelle fracture sociale

 

Comment procéder

Le formulaire de demande doit être soumis en ligne avant le 25 juillet.

 

Des questions

Contactez les organisateurs du Forum mondial de la Démocratie.

Démocratie et égalité : que peut l’éducation ?

L’éducation est essentielle pour les sociétés démocratiques. Les écoles, universités, organisations de la société civile et autres établissements d’enseignement devraient encourager l’acquisition et la pratique des valeurs et des compétences essentiels pour la démocratie.

 

Le Forum mondial de la Démocratie 2016 cherche à savoir comment l’éducation peut contribuer à combler le fossé social et devenir un véritable avantage pour nos sociétés diverses.

 

Des places sont disponibles pour des jeunes de la Fédération Wallonie-Bruxelles mais aussi pour des formateurs.

 

Vous trouverez toutes les informations complètes sur le site du Forum.

 

Lieu et dates

Strasbourg, du 7 au 9 novembre.

 

Profil des participants

  • Vous avez entre 16 et 30 ans et vous résidez en FWB
  • Vous souhaitez engager le débat avec des décideurs politiques sur la façon dont l’éducation et la démocratie peuvent se renforcer mutuellement et faire face aux risques d’une nouvelle fracture sociale

 

Comment procéder

Le formulaire de demande doit être soumis en ligne avant le 25 juillet.

 

Des questions

Contactez les organisateurs du Forum mondial de la Démocratie.

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"Keeper" de Guillaume Senez (c) Iota Production

Le prix a été remis au réalisateur, Guillaume Senez, ainsi qu’à la productrice, Isabelle Truc.

 

La liste des prix récompensant Keeper ne cesse de s’allonger: à ceux de Locarno (Label Europa Cinema), Hambourg (Young Talent award), Varsovie (mention spéciale), Bienne (Prix du Jury Jeune), Namur (Prix de la Critique internationale), Torino (Best movie) et Marrakech (Prix du jury), vient désormais s’ajouter le prix reçu à Zlín.

 

Le film raconte l’histoire de Maxime (Kacey Mottet-Klein) et Mélanie (Galatea Bellugi), 15 ans, à peine sortis de l’enfance. Un jour, Mélanie découvre qu’elle est enceinte. Maxime veut garder l’enfant à tout prix.

 

Keeper est produit en Belgique par Iota Production avec le soutien du Centre du Cinéma et de l’Audiovisuel de la Fédération Wallonie Bruxelles, Voo et la RTBF. Il est distribué en Belgique par Cinéart et en France par Happiness Distribution. Be For Films en assure les ventes internationales.

 

 

Le prix a été remis au réalisateur, Guillaume Senez, ainsi qu’à la productrice, Isabelle Truc.

 

La liste des prix récompensant Keeper ne cesse de s’allonger: à ceux de Locarno (Label Europa Cinema), Hambourg (Young Talent award), Varsovie (mention spéciale), Bienne (Prix du Jury Jeune), Namur (Prix de la Critique internationale), Torino (Best movie) et Marrakech (Prix du jury), vient désormais s’ajouter le prix reçu à Zlín.

 

Le film raconte l’histoire de Maxime (Kacey Mottet-Klein) et Mélanie (Galatea Bellugi), 15 ans, à peine sortis de l’enfance. Un jour, Mélanie découvre qu’elle est enceinte. Maxime veut garder l’enfant à tout prix.

 

Keeper est produit en Belgique par Iota Production avec le soutien du Centre du Cinéma et de l’Audiovisuel de la Fédération Wallonie Bruxelles, Voo et la RTBF. Il est distribué en Belgique par Cinéart et en France par Happiness Distribution. Be For Films en assure les ventes internationales.

 

 

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"Funérailles" de Boris Lehman (c) Dovfilm

Réalisé et produit par Boris Lehman, le documentaire Funérailles (de l’art de mourir) fait partie des 17 films sélectionnés dans la catégorie Compétition internationale. Il s’agit de sa première mondiale.

 

Comme son titre l’indique, ce documentaire s’interroge sur la mort. Comment filmer sa propre mort ? Comment la mettre en scène ? Au premier abord cela peut faire sourire et pourtant cette question concerne tout un chacun, même si l’on n’est pas cinéaste. Arrivé à un âge où l’on commence à faire ses valises pour l’au-delà, Boris Lehman se prépare à brûler sa vie, à jeter ce qu’il a collectionné et accumulé pendant plus d’un demi-siècle. Les livres, les vêtements, les films, tout doit, tout va disparaître, en cendres et en fumée.

 

Les documentaires Housewarming et La terre abandonnée ont quant à eux été sélectionnés dans la catégorie Ecrans parallèles.

 

Housewarming a été réalisé par Amir Borenstein et Effi Weiss, produit par La Chose à Trois Jambes (Amir Borenstein) et coproduit par le CBA (Centre de l’Audiovisuel à Bruxelles), La Chose à Trois Jambes, le Centre du Cinéma de la Fédération Wallonie Bruxelles (FilmLab), Ora Film (Albanie), Argos, Ostrovsosky Family Fund et le Fonds Audiovisuel de Flandre (VAF).

 

Le documentaire est en compétition dans la section "Distorsions". En association avec la SACEM (Société des Auteurs, Compositeurs et Editeurs de Musique), celle-ci entend honorer la musicalité, importante, voire omniprésente, dans certaines réalisations cinématographiques. Housewarming se mesure à 23 autres films. La programmation est toujours en cours.

 

Vous souvenez-vous de Boucles d’or? Le conte de cette petite fille qui s’est perdue dans la forêt? Affamée, elle aboutit dans une petite maison dont la porte est ouverte, y entre, s’assoit sur leurs chaises, mange le porridge des trois ours laissé sur la table, puis, fatiguée, s’endort dans un de leurs lits. Housewarming est l’histoire d’une Boucles d’or contemporaine. Fatiguée de l’abondance, affamée d’un peu de faim, elle quitte le confort de son pays et part à la recherche du manque. Un jour elle arrive dans un endroit où elle ne trouve que de l’absence. Les maisons sont vides, pas de trace d’habitants. Il n’ y a pas de chaises, pas de tables, pas de lits. En fait, il n y a même pas de murs. 

 

La terre abandonnée a été réalisé par Gilles Laurent, produit par le Centre Vidéo de Bruxelles (CVB) et coproduit par TS Productions (FR).

 

Le documentaire concourt dans la section "Histoires de portrait" aux côtés de 25 films internationaux. Cette section offre une programmation hétéroclite de portraits cinématographiques et toujours en cours d’élaboration.

 

Tomioka est un village de 15.000 habitants à un jet de pierre de la centrale nucléaire de Fukushima. La population a fui cette zone brûlante de radiation. Matsumura san, au lendemain de l’accident, a choisi d'y rester. Il a ses raisons et une détermination infaillible. Au milieu de tous ces destins brisés, il a pris le parti de briser le destin. En l'accompagnant sur cette terre abandonnée, désormais connue de lui seul, nous allons à la rencontre de son territoire.

 

Retrouvez toute l'actualité du cinéma de Wallonie-Bruxelles chez Wallonie-Bruxelles Images.

Réalisé et produit par Boris Lehman, le documentaire Funérailles (de l’art de mourir) fait partie des 17 films sélectionnés dans la catégorie Compétition internationale. Il s’agit de sa première mondiale.

 

Comme son titre l’indique, ce documentaire s’interroge sur la mort. Comment filmer sa propre mort ? Comment la mettre en scène ? Au premier abord cela peut faire sourire et pourtant cette question concerne tout un chacun, même si l’on n’est pas cinéaste. Arrivé à un âge où l’on commence à faire ses valises pour l’au-delà, Boris Lehman se prépare à brûler sa vie, à jeter ce qu’il a collectionné et accumulé pendant plus d’un demi-siècle. Les livres, les vêtements, les films, tout doit, tout va disparaître, en cendres et en fumée.

 

Les documentaires Housewarming et La terre abandonnée ont quant à eux été sélectionnés dans la catégorie Ecrans parallèles.

 

Housewarming a été réalisé par Amir Borenstein et Effi Weiss, produit par La Chose à Trois Jambes (Amir Borenstein) et coproduit par le CBA (Centre de l’Audiovisuel à Bruxelles), La Chose à Trois Jambes, le Centre du Cinéma de la Fédération Wallonie Bruxelles (FilmLab), Ora Film (Albanie), Argos, Ostrovsosky Family Fund et le Fonds Audiovisuel de Flandre (VAF).

 

Le documentaire est en compétition dans la section "Distorsions". En association avec la SACEM (Société des Auteurs, Compositeurs et Editeurs de Musique), celle-ci entend honorer la musicalité, importante, voire omniprésente, dans certaines réalisations cinématographiques. Housewarming se mesure à 23 autres films. La programmation est toujours en cours.

 

Vous souvenez-vous de Boucles d’or? Le conte de cette petite fille qui s’est perdue dans la forêt? Affamée, elle aboutit dans une petite maison dont la porte est ouverte, y entre, s’assoit sur leurs chaises, mange le porridge des trois ours laissé sur la table, puis, fatiguée, s’endort dans un de leurs lits. Housewarming est l’histoire d’une Boucles d’or contemporaine. Fatiguée de l’abondance, affamée d’un peu de faim, elle quitte le confort de son pays et part à la recherche du manque. Un jour elle arrive dans un endroit où elle ne trouve que de l’absence. Les maisons sont vides, pas de trace d’habitants. Il n’ y a pas de chaises, pas de tables, pas de lits. En fait, il n y a même pas de murs. 

 

La terre abandonnée a été réalisé par Gilles Laurent, produit par le Centre Vidéo de Bruxelles (CVB) et coproduit par TS Productions (FR).

 

Le documentaire concourt dans la section "Histoires de portrait" aux côtés de 25 films internationaux. Cette section offre une programmation hétéroclite de portraits cinématographiques et toujours en cours d’élaboration.

 

Tomioka est un village de 15.000 habitants à un jet de pierre de la centrale nucléaire de Fukushima. La population a fui cette zone brûlante de radiation. Matsumura san, au lendemain de l’accident, a choisi d'y rester. Il a ses raisons et une détermination infaillible. Au milieu de tous ces destins brisés, il a pris le parti de briser le destin. En l'accompagnant sur cette terre abandonnée, désormais connue de lui seul, nous allons à la rencontre de son territoire.

 

Retrouvez toute l'actualité du cinéma de Wallonie-Bruxelles chez Wallonie-Bruxelles Images.

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Dominique Lefebvre, Leslie Lombard, Giorgia Morero et Laure Capitani (c) Gaetan Chekaiban

A l’origine

La création de Wallonie-Bruxelles Design/Mode a été inspirée par les agences dédiées à d’autres industries créatives et culturelles, comme, par exemple, Wallonie-Bruxelles Musiques ou Wallonie-Bruxelles Images. L’idée ? Offrir des services spécifiques en matière de soutien à l’exportation pour les industries ciblées. Et créer des liens entre la culture et l’entreprenariat. Cela existait déjà en Flandre.

 

Du concret

Nous avons commencé par écouter les besoins des marques et des designers. Et choisir des lieux d’exposition : le salon du meuble à Milan et la fashion week à Paris. Nous avons alors commencé à affiner nos actions.  Pour le design, nous avons invité des éditeurs internationaux à rencontrer les designers. Pour la mode, nous nous sommes entourées de professionnels du secteur basés à Paris, ensuite, nous avons changé d’orientation et nous sommes associées à un agent commercial qui, via son réseau, dispose de la légitimité pour faire tout le travail de vente des collections.  Nous avons mis en place le programme Showroom [les belges] en collaboration avec un bureau de presse basé à Paris. Cinq marques y sont sélectionnées.

 

Des candidats

Tout créateur peut répondre aux appels à candidature ouverts. Evidemment, les critères sont établis en fonction de l’évènement ou du salon auquel il participera. Chaque candidature est soumise à la sélection d’un jury exigeant, composé de professionnels internationaux. Pour la mode, nous pointons quelques créateurs qui vont bénéficier pendant au moins un an de notre soutien. Le système de la mode est différent de celui du design. Il y a deux saisons, des rendez-vous incontournables, deux fashion week. Pour le design, notre souhait est que les designers puissent exploiter au mieux leur présence. Et, vu le contexte actuel, nous préférons concentrer nos moyens sur des créateurs qui ont des bases solides pour aller à l’international.  Idem pour la mode. Aujourd’hui, nous veillons à choisir des marques qui sont prêtes pour l’aventure. Il est essentiel de ne pas brûler les étapes.  Il faut avoir une vision sur le long terme, et bien s’entourer. L’accompagnement et le conseil sont aussi des éléments essentiels de notre travail.

 

Des entreprises

Nous allons à la rencontre des entreprises. Certaines sont déjà habituées à travailler avec des designers mais il y en aussi d’autres qui ont besoin d’être encouragées à découvrir le potentiel d’une collaboration avec des designers. Cela s’est traduit par exemple cette année par "Belgium is design" à Milan. Des duos ont été créés entre des designers et des entreprises qui ont un savoir-faire très spécifique. Damn magazine a fait ce travail de curatelle.  Le design, c’est beaucoup d’images, c’est très bien et c’est porteur pour la Belgique mais il y a un tissu économique et industriel qu’il faut soutenir. Les industries doivent être des partenaires à part entière.

 

Une philosophie

Nous essayons d’être cohérentes et voulons garder une ligne directrice solide. Actuellement, les professionnels nous suivent et nous attendent à Milan et à Paris. La fiabilité et la constance dans la durée sont des vertus que nous voulons respecter. Nous prenons également le temps de mettre sur pied des partenariats solides et d’utiliser toutes nos ressources. La remise en question ne nous fait pas peur.  Et écouter les retours des designers et créateurs nous permet de perfectionner nos actions.

 

Une marque de fabrique

L’événement mis en place à Milan pour le salon du meuble a aidé le design belge à bénéficier de sa renommée actuelle. Avant 2011, les différentes régions du pays étaient présentes à Milan, de manière séparée. Proposer aujourd’hui une seule exposition, sous un seul label, fait partie de nos grandes satisfactions.

 

Un regard

Beaucoup de talents sont originaires de Wallonie et de Bruxelles et ils sont de plus en plus visibles. Nous donnons de la visibilité à des entreprises et des créateurs qui existaient avant nous, mais sans WBDM, leur visibilité serait moins importante en Belgique. Cela peut ouvrir des portes. Notre force ? Un dynamisme remarquable dans les secteurs créatifs. Cela, on nous l’envie. Il faut le conserver.

 

Des projets

Dans le secteur de la mode : nous souhaiterions soutenir de façon plus pointue certaines marques prometteuses et qui proposent des produits un peu plus commerciaux. Et pourquoi pas tester les marchés italien et anglais ? Du côté du design, nous envisageons d’impliquer davantage les entreprises manufacturières ou de services dans ce que nous développons. 

 

Estelle Toscanucci

A l’origine

La création de Wallonie-Bruxelles Design/Mode a été inspirée par les agences dédiées à d’autres industries créatives et culturelles, comme, par exemple, Wallonie-Bruxelles Musiques ou Wallonie-Bruxelles Images. L’idée ? Offrir des services spécifiques en matière de soutien à l’exportation pour les industries ciblées. Et créer des liens entre la culture et l’entreprenariat. Cela existait déjà en Flandre.

 

Du concret

Nous avons commencé par écouter les besoins des marques et des designers. Et choisir des lieux d’exposition : le salon du meuble à Milan et la fashion week à Paris. Nous avons alors commencé à affiner nos actions.  Pour le design, nous avons invité des éditeurs internationaux à rencontrer les designers. Pour la mode, nous nous sommes entourées de professionnels du secteur basés à Paris, ensuite, nous avons changé d’orientation et nous sommes associées à un agent commercial qui, via son réseau, dispose de la légitimité pour faire tout le travail de vente des collections.  Nous avons mis en place le programme Showroom [les belges] en collaboration avec un bureau de presse basé à Paris. Cinq marques y sont sélectionnées.

 

Des candidats

Tout créateur peut répondre aux appels à candidature ouverts. Evidemment, les critères sont établis en fonction de l’évènement ou du salon auquel il participera. Chaque candidature est soumise à la sélection d’un jury exigeant, composé de professionnels internationaux. Pour la mode, nous pointons quelques créateurs qui vont bénéficier pendant au moins un an de notre soutien. Le système de la mode est différent de celui du design. Il y a deux saisons, des rendez-vous incontournables, deux fashion week. Pour le design, notre souhait est que les designers puissent exploiter au mieux leur présence. Et, vu le contexte actuel, nous préférons concentrer nos moyens sur des créateurs qui ont des bases solides pour aller à l’international.  Idem pour la mode. Aujourd’hui, nous veillons à choisir des marques qui sont prêtes pour l’aventure. Il est essentiel de ne pas brûler les étapes.  Il faut avoir une vision sur le long terme, et bien s’entourer. L’accompagnement et le conseil sont aussi des éléments essentiels de notre travail.

 

Des entreprises

Nous allons à la rencontre des entreprises. Certaines sont déjà habituées à travailler avec des designers mais il y en aussi d’autres qui ont besoin d’être encouragées à découvrir le potentiel d’une collaboration avec des designers. Cela s’est traduit par exemple cette année par "Belgium is design" à Milan. Des duos ont été créés entre des designers et des entreprises qui ont un savoir-faire très spécifique. Damn magazine a fait ce travail de curatelle.  Le design, c’est beaucoup d’images, c’est très bien et c’est porteur pour la Belgique mais il y a un tissu économique et industriel qu’il faut soutenir. Les industries doivent être des partenaires à part entière.

 

Une philosophie

Nous essayons d’être cohérentes et voulons garder une ligne directrice solide. Actuellement, les professionnels nous suivent et nous attendent à Milan et à Paris. La fiabilité et la constance dans la durée sont des vertus que nous voulons respecter. Nous prenons également le temps de mettre sur pied des partenariats solides et d’utiliser toutes nos ressources. La remise en question ne nous fait pas peur.  Et écouter les retours des designers et créateurs nous permet de perfectionner nos actions.

 

Une marque de fabrique

L’événement mis en place à Milan pour le salon du meuble a aidé le design belge à bénéficier de sa renommée actuelle. Avant 2011, les différentes régions du pays étaient présentes à Milan, de manière séparée. Proposer aujourd’hui une seule exposition, sous un seul label, fait partie de nos grandes satisfactions.

 

Un regard

Beaucoup de talents sont originaires de Wallonie et de Bruxelles et ils sont de plus en plus visibles. Nous donnons de la visibilité à des entreprises et des créateurs qui existaient avant nous, mais sans WBDM, leur visibilité serait moins importante en Belgique. Cela peut ouvrir des portes. Notre force ? Un dynamisme remarquable dans les secteurs créatifs. Cela, on nous l’envie. Il faut le conserver.

 

Des projets

Dans le secteur de la mode : nous souhaiterions soutenir de façon plus pointue certaines marques prometteuses et qui proposent des produits un peu plus commerciaux. Et pourquoi pas tester les marchés italien et anglais ? Du côté du design, nous envisageons d’impliquer davantage les entreprises manufacturières ou de services dans ce que nous développons. 

 

Estelle Toscanucci

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Vous avez envie de vous investir pleinement dans une nouvelle aventure. Créatif(ve) et organisé(e), vous êtes force de proposition. Vous êtes prêt(e) à vous investir dans une équipe réduite aux responsabilités nombreuses. Vous avez un attrait pour le travail international. En plus du français, vous maîtrisez l’anglais et avez un excellent sens relationnel. 

 

Principales fonctions

  • Assister le chef de poste sur le plan administratif et sur celui du contenu (agenda, préparation des missions et des réunions …)
  • Coordonner administrativement et opérationnellement les activités
  • Organiser et gérer la communication de la Délégation, notamment sur les réseaux sociaux
  • Assurer l’interface entre les contacts extérieurs et la Délégation
  • Prendre en charge la gestion de la structure (RH, budget, communication, équipement, …)
  • Assurer le suivi de dossiers relatifs aux compétences de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Wallonie dans le domaine international (bilatéral et multilatéral)

 

Pré-requis

  • Excellent sens relationnel
  • Qualités rédactionnelles et d’analyse ; esprit de synthèse
  • Goût prononcé pour les nouveaux médias, les réseaux sociaux et bien sûr le net
  • Curiosité intellectuelle
  • Autonomie, diplomatie, rigueur
  • Sens de l’organisation et des priorités dans un environnement multi-tâches
  • Capacité à s’auto-manager
  • Créativité et capacité de proposition

 

Formations et expériences

  • Master ou équivalent
  • Expérience professionnelle préalable dans une fonction similaire ou proche
  • Excellente maîtrise du Français
  • Anglais courant (la connaissance du Néerlandais et/ou d’autres langues constitue un atout)
  • Maîtrise des outils informatiques et des réseaux sociaux

 

Cette fonction fera l’objet d’un contrat à durée déterminée d’une année, renouvelable en contrat à durée indéterminée.

 

Merci d’adresser votre candidature (CV + lettre de motivation) par courriel à Monsieur Henri Monceau, Haut-Représentant pour les Droits fondamentaux, la Société de l’information et l’Economie numérique, à l’adresse suivante audrey.moncarey@ties.itu.int au plus tard le 14 juillet 2016.

Vous avez envie de vous investir pleinement dans une nouvelle aventure. Créatif(ve) et organisé(e), vous êtes force de proposition. Vous êtes prêt(e) à vous investir dans une équipe réduite aux responsabilités nombreuses. Vous avez un attrait pour le travail international. En plus du français, vous maîtrisez l’anglais et avez un excellent sens relationnel. 

 

Principales fonctions

  • Assister le chef de poste sur le plan administratif et sur celui du contenu (agenda, préparation des missions et des réunions …)
  • Coordonner administrativement et opérationnellement les activités
  • Organiser et gérer la communication de la Délégation, notamment sur les réseaux sociaux
  • Assurer l’interface entre les contacts extérieurs et la Délégation
  • Prendre en charge la gestion de la structure (RH, budget, communication, équipement, …)
  • Assurer le suivi de dossiers relatifs aux compétences de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Wallonie dans le domaine international (bilatéral et multilatéral)

 

Pré-requis

  • Excellent sens relationnel
  • Qualités rédactionnelles et d’analyse ; esprit de synthèse
  • Goût prononcé pour les nouveaux médias, les réseaux sociaux et bien sûr le net
  • Curiosité intellectuelle
  • Autonomie, diplomatie, rigueur
  • Sens de l’organisation et des priorités dans un environnement multi-tâches
  • Capacité à s’auto-manager
  • Créativité et capacité de proposition

 

Formations et expériences

  • Master ou équivalent
  • Expérience professionnelle préalable dans une fonction similaire ou proche
  • Excellente maîtrise du Français
  • Anglais courant (la connaissance du Néerlandais et/ou d’autres langues constitue un atout)
  • Maîtrise des outils informatiques et des réseaux sociaux

 

Cette fonction fera l’objet d’un contrat à durée déterminée d’une année, renouvelable en contrat à durée indéterminée.

 

Merci d’adresser votre candidature (CV + lettre de motivation) par courriel à Monsieur Henri Monceau, Haut-Représentant pour les Droits fondamentaux, la Société de l’information et l’Economie numérique, à l’adresse suivante audrey.moncarey@ties.itu.int au plus tard le 14 juillet 2016.

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Le concours est public et international, destiné aux architectes, designers, artisans, artistes, scientifiques, techniciens, groupes de projets, experts de communication, étudiants d’écoles supérieures et d’universités, qui ont plus de 18 ans et moins de 45 à la date du 1er octobre.

 

Le concept proposé par le concours veut mettre en évidence l'existence d'un déficit de projets caractérisant le rapport entre la cité, ses morphologies architectoniques et urbanistiques, les infrastructures, les services et les organisations, un système complexe d'objets, d'institutions,..., et la masse croissante de personnes, familles, communautés, citoyens 'résidents à titre divers' qui y vivent dans des conditions et des formes d'une vie quotidienne. Ce déficit est tragiquement relancé avec cette nouvelle pauvreté déterminée par la crise économique mondiale, les guerres régionales, les catastrophes naturelles, les persécutions homophobes, racistes, religieuses... etc.

 

Les thèmes du concours d’idées proviennent de trois scénarios dans lesquels il convient de souligner les graves déficits de planification de lutte contre la pauvreté urbaine:

  • L'absence d'un plan stratégique structurel à grande échelle, qui puisse intégrer des micro-interventions au niveau local dans une vision plus organisée et coordonnée à l'échelle globale de la ville
  • Des effets dévastateurs sur la cohésion sociale découlant des projets liés au partage qui n’associent pas toutes les dimensions sociales mais qui sont déviées vers les classes d'habitants plus homogènes
  • La résistance au changement, qui s’exprime dans les formes individuelles et collectives (parfois de masse) d’opposition et de rejet, dans les villes caractérisées par la persistance de préjugés culturels vers les individus ethno / socio / économique différents à l’intérieur des espaces à la fois commerciaux et privés que publics

 

Le concours est ouvert aux candidats de toutes nationalités, sans distinction de genre, religion, origine sociale et opinions politiques, qui ont atteint l’âge de la majorité (18 ans) et n’ont pas dépassé les 45 ans le 1er octobre. Les candidats peuvent participer individuellement ou en tant que groupe.

 

Inscriptions

En téléchargeant le formulaire sur cette page.

 

Pour éviter d'être exclus les participants, individus ou groupes, doivent effectuer un enregistrement online sur le site www.dipiudesign.eu avant le 1er octobre à 23h59.

Le concours est public et international, destiné aux architectes, designers, artisans, artistes, scientifiques, techniciens, groupes de projets, experts de communication, étudiants d’écoles supérieures et d’universités, qui ont plus de 18 ans et moins de 45 à la date du 1er octobre.

 

Le concept proposé par le concours veut mettre en évidence l'existence d'un déficit de projets caractérisant le rapport entre la cité, ses morphologies architectoniques et urbanistiques, les infrastructures, les services et les organisations, un système complexe d'objets, d'institutions,..., et la masse croissante de personnes, familles, communautés, citoyens 'résidents à titre divers' qui y vivent dans des conditions et des formes d'une vie quotidienne. Ce déficit est tragiquement relancé avec cette nouvelle pauvreté déterminée par la crise économique mondiale, les guerres régionales, les catastrophes naturelles, les persécutions homophobes, racistes, religieuses... etc.

 

Les thèmes du concours d’idées proviennent de trois scénarios dans lesquels il convient de souligner les graves déficits de planification de lutte contre la pauvreté urbaine:

  • L'absence d'un plan stratégique structurel à grande échelle, qui puisse intégrer des micro-interventions au niveau local dans une vision plus organisée et coordonnée à l'échelle globale de la ville
  • Des effets dévastateurs sur la cohésion sociale découlant des projets liés au partage qui n’associent pas toutes les dimensions sociales mais qui sont déviées vers les classes d'habitants plus homogènes
  • La résistance au changement, qui s’exprime dans les formes individuelles et collectives (parfois de masse) d’opposition et de rejet, dans les villes caractérisées par la persistance de préjugés culturels vers les individus ethno / socio / économique différents à l’intérieur des espaces à la fois commerciaux et privés que publics

 

Le concours est ouvert aux candidats de toutes nationalités, sans distinction de genre, religion, origine sociale et opinions politiques, qui ont atteint l’âge de la majorité (18 ans) et n’ont pas dépassé les 45 ans le 1er octobre. Les candidats peuvent participer individuellement ou en tant que groupe.

 

Inscriptions

En téléchargeant le formulaire sur cette page.

 

Pour éviter d'être exclus les participants, individus ou groupes, doivent effectuer un enregistrement online sur le site www.dipiudesign.eu avant le 1er octobre à 23h59.

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Projet à Paris-Saclay (c) Baukunst

Situé au cœur du quartier de l'Ecole Polytechnique, dans le cadre du Master Plan réalisé par l'équipe de Xaveer De Geyter Architects en collaboration avec le paysagiste Michel Desvignes, le projet prend le parti d'une superposition indifférente des programmes au sein d'une structure habitée permettant polyvalence et réversibilité des usages.

 

Le bureau d'architecture bruxellois Baukunst a été choisi, au terme d'un concours sur invitation, pour réaliser ce projet comprenant une résidence d'étudiants  de 185 logements et un parking public de 450 places sur le campus de Paris-Saclay

 

D'une surface de plus de 7 000 m², la livraison du bâtiment est prévue pour septembre 2019.

 

Retrouvez toute l'actualité architecturale de Wallonie-Bruxelles chez Wallonie-Bruxelles Architectures.

Situé au cœur du quartier de l'Ecole Polytechnique, dans le cadre du Master Plan réalisé par l'équipe de Xaveer De Geyter Architects en collaboration avec le paysagiste Michel Desvignes, le projet prend le parti d'une superposition indifférente des programmes au sein d'une structure habitée permettant polyvalence et réversibilité des usages.

 

Le bureau d'architecture bruxellois Baukunst a été choisi, au terme d'un concours sur invitation, pour réaliser ce projet comprenant une résidence d'étudiants  de 185 logements et un parking public de 450 places sur le campus de Paris-Saclay

 

D'une surface de plus de 7 000 m², la livraison du bâtiment est prévue pour septembre 2019.

 

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