Cet événement, parmi les principales manifestations en Europe dédiées à la création audiovisuelle contemporaine, propose chaque année une programmation internationale inédite, réunissant des oeuvres d’artistes et de réalisateurs reconnus sur la scène internationale aux côtés de jeunes artistes et de réalisateurs présentés pour la première fois.
Tout individu ou organisme peut effectuer une ou plusieurs propositions d’oeuvre. L’appel est ouvert pour les cycles film, vidéo et multimédia, sans restriction de genre et de durée. Les propositions sont gratuites, sans limitation de provenance géographique.
Pour faire une proposition, inscrivez-vous sur le site Art-Action.
Date limite d’inscription : jusqu’au 15 juillet.
Les Rencontres Internationales proposent un espace de découverte et de réflexion dédié aux pratiques contemporaines de l’image en mouvement, entre nouveau cinéma et art contemporain, en présence d’invités du monde entier, artistes, réalisateurs, responsables d’institutions et de structures émergentes, qui témoignent d’une création en train de se faire, de nouveaux enjeux liés à l’évolution des modes de production et de diffusion des oeuvres, et de contextes artistiques et culturels en devenir.
Cet événement, parmi les principales manifestations en Europe dédiées à la création audiovisuelle contemporaine, propose chaque année une programmation internationale inédite, réunissant des oeuvres d’artistes et de réalisateurs reconnus sur la scène internationale aux côtés de jeunes artistes et de réalisateurs présentés pour la première fois.
Tout individu ou organisme peut effectuer une ou plusieurs propositions d’oeuvre. L’appel est ouvert pour les cycles film, vidéo et multimédia, sans restriction de genre et de durée. Les propositions sont gratuites, sans limitation de provenance géographique.
Pour faire une proposition, inscrivez-vous sur le site Art-Action.
Date limite d’inscription : jusqu’au 15 juillet.
Les Rencontres Internationales proposent un espace de découverte et de réflexion dédié aux pratiques contemporaines de l’image en mouvement, entre nouveau cinéma et art contemporain, en présence d’invités du monde entier, artistes, réalisateurs, responsables d’institutions et de structures émergentes, qui témoignent d’une création en train de se faire, de nouveaux enjeux liés à l’évolution des modes de production et de diffusion des oeuvres, et de contextes artistiques et culturels en devenir.
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Les Recteurs de l’Université Libre de Bruxelles, l’Université Catholique de Louvain, l’Université de Liège et l’Université de Namur, accompagnés de la Secrétaire générale du F.R.S-FNRS et du Président de la commission des relations internationales de l’ARES, se sont rendus à Paris pour rencontrer leurs homologues canadiens dans le but d’envisager de nouvelles pistes de collaboration pour la recherche, la mobilité des étudiants et chercheurs, et les mécanismes de cotutelle pour les doctorats.
L'organisation de la rencontre a été facilitée par Wallonie-Bruxelles International et son Agent de Liaison Scientifique au Canada.
Les Recteurs de l’Université Libre de Bruxelles, l’Université Catholique de Louvain, l’Université de Liège et l’Université de Namur, accompagnés de la Secrétaire générale du F.R.S-FNRS et du Président de la commission des relations internationales de l’ARES, se sont rendus à Paris pour rencontrer leurs homologues canadiens dans le but d’envisager de nouvelles pistes de collaboration pour la recherche, la mobilité des étudiants et chercheurs, et les mécanismes de cotutelle pour les doctorats.
L'organisation de la rencontre a été facilitée par Wallonie-Bruxelles International et son Agent de Liaison Scientifique au Canada.
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Le rapport annuel présente la gamme des activités déployées par Wallonie-Bruxelles.
Le rapport d'activités témoigne des missions conférées à l'administration Wallonie-Bruxelles International.
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En ce début d'été, la Revue W+B a décidé de vous faire saliver. En effet, nous vous emmenons chez les chocolatiers de Wallonie-Bruxelles, à la rencontre des grands noms comme à la découverte de la relève. Au-delà d'un savoir-faire reconnu dans le monde entier depuis des décennies, un attrait certain pour l'innovation technologique et scientifique ajoute encore à la reconnaissance internationale de nos artisans chocolatiers. Petit état des lieux gourmand.
Nous vous invitons également à la découverte du nouveau musée de la Boverie à Liège, et à la rencontre de Noir Artist, figure emblématique du street art wallon.
Nous vous présentons la société 3D-Side, qui met l'impression 3D au service du secteur médical et nous vous convions au Burkina Faso afin de découvrir sur le terrain un programme de coopération WBI-Apefe: comment un projet d'agriculture irriguée conduit la population à l'autosuffisance alimentaire.
Au programme
- Dossier: Une nouvelle génération chocolat
- Culture: Richesse muséale en bord de Meuse
- Portrait: Quand la lumière vient du Noir
- Entreprise: Procoplast: un pied sur chaque continent pour le fleuron wallon du secteur automobile
- Innovation: 3D-Side: l'entreprise qui imprime des os
- Gastronomie: L'Atelier de Bossimé: une maturité étonnante
- Société: Une formation à l'intention des patrons
- Coopération au développement: Goutte à goutte sous la chaleur du Burkina
- Jeunesse: Ces jeunes adultes qui ont goûté aux fruits de la mobilité
- Coin BD: Louise Joor, la fille escargot de Peyo
- Survols
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En ce début d'été, la Revue W+B a décidé de vous faire saliver. En effet, nous vous emmenons chez les chocolatiers de Wallonie-Bruxelles, à la rencontre des grands noms comme à la découverte de la relève. Au-delà d'un savoir-faire reconnu dans le monde entier depuis des décennies, un attrait certain pour l'innovation technologique et scientifique ajoute encore à la reconnaissance internationale de nos artisans chocolatiers. Petit état des lieux gourmand.
Nous vous invitons également à la découverte du nouveau musée de la Boverie à Liège, et à la rencontre de Noir Artist, figure emblématique du street art wallon.
Nous vous présentons la société 3D-Side, qui met l'impression 3D au service du secteur médical et nous vous convions au Burkina Faso afin de découvrir sur le terrain un programme de coopération WBI-Apefe: comment un projet d'agriculture irriguée conduit la population à l'autosuffisance alimentaire.
Au programme
- Dossier: Une nouvelle génération chocolat
- Culture: Richesse muséale en bord de Meuse
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- Entreprise: Procoplast: un pied sur chaque continent pour le fleuron wallon du secteur automobile
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- Société: Une formation à l'intention des patrons
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- Jeunesse: Ces jeunes adultes qui ont goûté aux fruits de la mobilité
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Jean-Claude Marcourt, Vice-président du Gouvernement wallon et Ministre de l’Economie, de l’Industrie, de l’Innovation et du Numérique, était présent les 9 et 10 juin à Paris pour découvrir le Festival Futur-en-Seine et témoigner de l’engagement du gouvernement wallon en faveur de la transition digitale de la Wallonie ainsi que pour promouvoir le savoir-faire wallon dans ce domaine. Lors de son déplacement, le Ministre s’est entretenu avec les acteurs wallons présents sur le Village des innovations et les responsables du pôle de compétitivité du numérique, Cap Digital, organisateur du Festival, dont cette 7ème édition a connu un succès retentissant.
WBI et l’AWEX, dans le cadre de la participation de la Wallonie au Festival Futur-en-Seine, ont organisé de nombreuses actions visant à mettre en valeur l’excellence wallonne dans tous les aspects du numérique: présence de 6 stands wallons sur le Village des Innovations, mission de nos Universités et Hautes Ecoles en Île-de-France et à Paris, deux soirées de spectacle d’art numérique au Centre culturel Wallonie-Bruxelles, présence du van de Creative Wallonia Engine et un atelier "sport et innovation" en Wallonie.
Les locaux de la Représentation Wallonie-Bruxelles à Paris ont été l’un des lieux "phare" de cet événement en accueillant la soirée internationale d’ouverture du Festival, une conférence sur les méthodologies d’innovation pour les start-ups et un séminaire "transmedia, media, son et image". Creative Wallonia Engine, en collaboration avec la Fonderie, l’Agence du numérique de la région Ile-de-France, y a organisé un NEST’In de 6 jours avec des porteurs de projets français et wallons dans les locaux de la Représentation.
Tous, français comme wallons, se réjouissent des collaborations concrètes qui ont pu être montées à cette occasion.
Jean-Claude Marcourt, Vice-président du Gouvernement wallon et Ministre de l’Economie, de l’Industrie, de l’Innovation et du Numérique, était présent les 9 et 10 juin à Paris pour découvrir le Festival Futur-en-Seine et témoigner de l’engagement du gouvernement wallon en faveur de la transition digitale de la Wallonie ainsi que pour promouvoir le savoir-faire wallon dans ce domaine. Lors de son déplacement, le Ministre s’est entretenu avec les acteurs wallons présents sur le Village des innovations et les responsables du pôle de compétitivité du numérique, Cap Digital, organisateur du Festival, dont cette 7ème édition a connu un succès retentissant.
WBI et l’AWEX, dans le cadre de la participation de la Wallonie au Festival Futur-en-Seine, ont organisé de nombreuses actions visant à mettre en valeur l’excellence wallonne dans tous les aspects du numérique: présence de 6 stands wallons sur le Village des Innovations, mission de nos Universités et Hautes Ecoles en Île-de-France et à Paris, deux soirées de spectacle d’art numérique au Centre culturel Wallonie-Bruxelles, présence du van de Creative Wallonia Engine et un atelier "sport et innovation" en Wallonie.
Les locaux de la Représentation Wallonie-Bruxelles à Paris ont été l’un des lieux "phare" de cet événement en accueillant la soirée internationale d’ouverture du Festival, une conférence sur les méthodologies d’innovation pour les start-ups et un séminaire "transmedia, media, son et image". Creative Wallonia Engine, en collaboration avec la Fonderie, l’Agence du numérique de la région Ile-de-France, y a organisé un NEST’In de 6 jours avec des porteurs de projets français et wallons dans les locaux de la Représentation.
Tous, français comme wallons, se réjouissent des collaborations concrètes qui ont pu être montées à cette occasion.
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La Revue W+B sort son n°132, de l'été 2016!
En ce début d'été, la Revue W+B a décidé de vous faire saliver. En effet, nous vous emmenons chez les chocolatiers de Wallonie-Bruxelles, à la rencontre des grands noms comme à la découverte de la relève. Au-delà d'un savoir-faire reconnu dans le monde entier depuis des décennies, un attrait certain pour l'innovation technologique et scientifique ajoute encore à la reconnaissance internationale de nos artisans chocolatiers. Petit état des lieux gourmand.
Nous vous invitons également à la découverte du nouveau musée de la Boverie à Liège, et à la rencontre de Noir Artist, figure emblématique du street art wallon.
Nous vous présentons la société 3D-Side, qui met l'impression 3D au service du secteur médical et nous vous convions au Burkina Faso afin de découvrir sur le terrain un programme de coopération WBI-Apefe: comment un projet d'agriculture irriguée conduit la population à l'autosuffisance alimentaire.
Au programme
- Dossier: Une nouvelle génération chocolat
- Culture: Richesse muséale en bord de Meuse
- Portrait: Quand la lumière vient du Noir
- Entreprise: Procoplast: un pied sur chaque continent pour le fleuron wallon du secteur automobile
- Innovation: 3D-Side: l'entreprise qui imprime des os
- Gastronomie: L'Atelier de Bossimé: une maturité étonnante
- Société: Une formation à l'intention des patrons
- Coopération au développement: Goutte à goutte sous la chaleur du Burkina
- Jeunesse: Ces jeunes adultes qui ont goûté aux fruits de la mobilité
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Ce séminaire présente les activités culturelles facilement accessibles en mettant l'accent sur le travail des jeunes. Il vise à explorer l’intérêt de mener un travail culturel avec les jeunes et à mettre les participants en réseau dans le cadre du programme Erasmus+/JEA .
Les participants sont invités à réfléchir à leurs propres expériences et attentes dans le domaine: comment la culture et l'art activent les jeunes et les rendent plus forts et plus confiants?
Le séminaire comprend une visite au département de la jeunesse de la ville d'Helsinki, des présentations de projets dans différents genres culturels et des données fondées sur la recherche expliquant les avantages du travail culturel avec les jeunes. L'une des tâches principales est également la mise en réseau entre les participants pour renforcer la coopération et les projets Erasmus +/ JEA. Les travailleurs de jeunesse et d'autres participants motivés reçoivent ainsi un paquet de bonnes pratiques à ramener à la maison.
Lieu et dates
Helsinki (Finlande), du 27 au 29 septembre.
Profil des participants
- Vous avez au moins 18 ans et vous résidez en Fédération Wallonie-Bruxelles
- Vous êtes travailleur de jeunes, animateur, organisateur de projet… en lien direct avec des jeunes
- Vous êtes intéressé par l’utilisation de méthodes culturelles dans le travail de jeunesse et la rencontre avec des partenaires potentiels pour un futur projet Erasmus+/JEA
- Vous êtes capable de travailler en anglais
Langue de travail
Anglais
Conditions de participation
Le Bureau International Jeunesse et les organisateurs prennent en charge les frais de transports internationaux, de séjour et de programme des participants FWB sélectionnés.
Comment procéder
Inscrivez-vous via le site de Salto (+ copie à Thierry Dufour ou fax: 02 218 81 08) avant le 15 juillet.
Des questions
N’hésitez pas à contacter Thierry Dufour: thierry.dufour@cfwb.be ou 02 538 48 81.
Ce séminaire présente les activités culturelles facilement accessibles en mettant l'accent sur le travail des jeunes. Il vise à explorer l’intérêt de mener un travail culturel avec les jeunes et à mettre les participants en réseau dans le cadre du programme Erasmus+/JEA .
Les participants sont invités à réfléchir à leurs propres expériences et attentes dans le domaine: comment la culture et l'art activent les jeunes et les rendent plus forts et plus confiants?
Le séminaire comprend une visite au département de la jeunesse de la ville d'Helsinki, des présentations de projets dans différents genres culturels et des données fondées sur la recherche expliquant les avantages du travail culturel avec les jeunes. L'une des tâches principales est également la mise en réseau entre les participants pour renforcer la coopération et les projets Erasmus +/ JEA. Les travailleurs de jeunesse et d'autres participants motivés reçoivent ainsi un paquet de bonnes pratiques à ramener à la maison.
Lieu et dates
Helsinki (Finlande), du 27 au 29 septembre.
Profil des participants
- Vous avez au moins 18 ans et vous résidez en Fédération Wallonie-Bruxelles
- Vous êtes travailleur de jeunes, animateur, organisateur de projet… en lien direct avec des jeunes
- Vous êtes intéressé par l’utilisation de méthodes culturelles dans le travail de jeunesse et la rencontre avec des partenaires potentiels pour un futur projet Erasmus+/JEA
- Vous êtes capable de travailler en anglais
Langue de travail
Anglais
Conditions de participation
Le Bureau International Jeunesse et les organisateurs prennent en charge les frais de transports internationaux, de séjour et de programme des participants FWB sélectionnés.
Comment procéder
Inscrivez-vous via le site de Salto (+ copie à Thierry Dufour ou fax: 02 218 81 08) avant le 15 juillet.
Des questions
N’hésitez pas à contacter Thierry Dufour: thierry.dufour@cfwb.be ou 02 538 48 81.
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Souriante, enthousiaste et pleine d'envies. Voilà comment on pourrait, en quelques adjectifs, décrire cette jeune trentenaire, à la tête d'une petite affaire qui tourne rond. Une petite affaire qui a démarré, il y a trois ans, à la suite d'une remise en questions. Lassée de la fast fashion et de notre société d'abondance qui ignore les questions d'éthique, de qualité et de respect des travailleurs, la Liégeoise Stéphanie Fellen décide de quitter sa vie de salariée pour créer Made and More, une boutique centrée sur les vêtements et les accessoires respectueux de ceux qui les fabriquent. Majoritairement produites dans des matières écologiques, les pièces vendues sur l'eshop Made and More sont choisies en fonction de leur traçabilité, mais aussi de leur qualité et de leur niveau de finition. "Tout ça parce qu'un t-shirt coupé dans le droit fil reste beau plus longtemps qu'un exemplaire issu de la Fast Fashion. Et comme je voulais communiquer sur la provenance des pièces que je vendais, j'ai décidé de publier sur notre site des photos et des vidéos qui racontent leur histoire", explique Stéphanie Fellen.
Retour au début
Crowdfunding
Que l'on soit designer, producteur ou distributeur, le secteur textile ne fait pas de cadeau. En termes d'enjeux, d'exigences et de ressources financières nécessaires pour grandir et se développer, rien ne peut être laissé au hasard. Et même si le nombre de clientes n'a cessé de croitre depuis le lancement de Made and More, la petite entreprise liégeoise avait besoin d'un coup d'accélérateur venant de l'extérieur. Soutenue par l'incubateur de Startups LeanSquare (un projet de Meusinvest), Stéphanie Fellen lance, dès 2015, un appel de fonds. De quoi donner un nouveau souffle à Made and More. Aujourd'hui, la société - désormais installée dans de nouveaux bureaux, au coeur de Liège - a pu engager une première salariée. L'arrivée d'un second collaborateur est d'ailleurs prévue pour bientôt. "Pendant tout le processus d'appel de fonds, beaucoup de clientes et d'observateurs extérieurs me demandaient pourquoi je ne créais pas ma propre ligne de vêtements. J'y avais forcément déjà réfléchi, mais je voulais trouver le bon moment pour le faire", explique Stéphanie.
Retour au début
La première
C'est notamment sa rencontre avec Elisa Godfroid, une jeune styliste liégeoise diplômée de l'HELMo, qui décide Stéphanie Fellen à passer à la vitesse supérieure. En janvier 2016, en tandem avec Elisa, elle imagine les bases d'un vestiaire basique et facile à vivre coupé dans du coton, du denim et du velours biologique de première qualité. Stéphanie Fellen: "Je voulais des lignes pures et nettes qui mettent le corps en valeur et qu'on puisse joliment accessoiriser. J'ai aussi opté pour une approche 'no season'. L'idée, c'est que l'on dessine et produise des pièces en fonction de nos envies sans nous sentir obligés de coller au rythme dicté par le secteur. J'ai aussi voulu prouver qu'il était possible de dessiner une collection en Belgique et de la faire produire tout près de chez nous dans de bonnes conditions. Compte tenu des volumes que nous voulions produire, je n'ai pas pu travailler avec un atelier en Belgique. Mon choix s'est donc porté sur Héritage Confection, un atelier français sauvé de la faillite par un trentenaire qui emploie aujourd'hui une dizaine de couturières".
Retour au début
QR Code
Cette première collection s'articule autour de 13 pièces: quelques t-shirts à la coupe parfaite, une jupe tube largement fendue, une slipdress en coton bio, ainsi qu'une petite jupe en velours modèle trapèze... Stéphanie Fellen: "je voulais créer un vestiaire basique qui ne soit pas en concurrence avec les marques que je propose sur Made and More. A l'intérieur de chaque vêtement, j'ai intégré des étiquettes ultra-détaillées qui informent la consommatrice sur l'origine des pièces, le prénom des couturières nantaises en bonus. Le petit plus: un QR Code qui renvoie vers une vidéo prise dans l'atelier de confection. Et pour les boutons, nous sommes allés nous fournir à Bernaville, le pays de la nacre. De quoi perpétuer une tradition et un vrai savoir-faire made in France." Ce souci du détail va de paire avec une volonté de garantir des prix accessibles. Cette première capsule démarre donc à 50 euros pour un t-shirt et se termine à 150 euros pour une robe en coton bio. En phase de démarrage (dès le 22 mai 2016), The First ne sera distribuée que sur le site Made and More et par le biais de plusieurs popup stores à Liège et à Bruxelles à découvrir cet été.
Marie Honnay
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Souriante, enthousiaste et pleine d'envies. Voilà comment on pourrait, en quelques adjectifs, décrire cette jeune trentenaire, à la tête d'une petite affaire qui tourne rond. Une petite affaire qui a démarré, il y a trois ans, à la suite d'une remise en questions. Lassée de la fast fashion et de notre société d'abondance qui ignore les questions d'éthique, de qualité et de respect des travailleurs, la Liégeoise Stéphanie Fellen décide de quitter sa vie de salariée pour créer Made and More, une boutique centrée sur les vêtements et les accessoires respectueux de ceux qui les fabriquent. Majoritairement produites dans des matières écologiques, les pièces vendues sur l'eshop Made and More sont choisies en fonction de leur traçabilité, mais aussi de leur qualité et de leur niveau de finition. "Tout ça parce qu'un t-shirt coupé dans le droit fil reste beau plus longtemps qu'un exemplaire issu de la Fast Fashion. Et comme je voulais communiquer sur la provenance des pièces que je vendais, j'ai décidé de publier sur notre site des photos et des vidéos qui racontent leur histoire", explique Stéphanie Fellen.
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Crowdfunding
Que l'on soit designer, producteur ou distributeur, le secteur textile ne fait pas de cadeau. En termes d'enjeux, d'exigences et de ressources financières nécessaires pour grandir et se développer, rien ne peut être laissé au hasard. Et même si le nombre de clientes n'a cessé de croitre depuis le lancement de Made and More, la petite entreprise liégeoise avait besoin d'un coup d'accélérateur venant de l'extérieur. Soutenue par l'incubateur de Startups LeanSquare (un projet de Meusinvest), Stéphanie Fellen lance, dès 2015, un appel de fonds. De quoi donner un nouveau souffle à Made and More. Aujourd'hui, la société - désormais installée dans de nouveaux bureaux, au coeur de Liège - a pu engager une première salariée. L'arrivée d'un second collaborateur est d'ailleurs prévue pour bientôt. "Pendant tout le processus d'appel de fonds, beaucoup de clientes et d'observateurs extérieurs me demandaient pourquoi je ne créais pas ma propre ligne de vêtements. J'y avais forcément déjà réfléchi, mais je voulais trouver le bon moment pour le faire", explique Stéphanie.
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La première
C'est notamment sa rencontre avec Elisa Godfroid, une jeune styliste liégeoise diplômée de l'HELMo, qui décide Stéphanie Fellen à passer à la vitesse supérieure. En janvier 2016, en tandem avec Elisa, elle imagine les bases d'un vestiaire basique et facile à vivre coupé dans du coton, du denim et du velours biologique de première qualité. Stéphanie Fellen: "Je voulais des lignes pures et nettes qui mettent le corps en valeur et qu'on puisse joliment accessoiriser. J'ai aussi opté pour une approche 'no season'. L'idée, c'est que l'on dessine et produise des pièces en fonction de nos envies sans nous sentir obligés de coller au rythme dicté par le secteur. J'ai aussi voulu prouver qu'il était possible de dessiner une collection en Belgique et de la faire produire tout près de chez nous dans de bonnes conditions. Compte tenu des volumes que nous voulions produire, je n'ai pas pu travailler avec un atelier en Belgique. Mon choix s'est donc porté sur Héritage Confection, un atelier français sauvé de la faillite par un trentenaire qui emploie aujourd'hui une dizaine de couturières".
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QR Code
Cette première collection s'articule autour de 13 pièces: quelques t-shirts à la coupe parfaite, une jupe tube largement fendue, une slipdress en coton bio, ainsi qu'une petite jupe en velours modèle trapèze... Stéphanie Fellen: "je voulais créer un vestiaire basique qui ne soit pas en concurrence avec les marques que je propose sur Made and More. A l'intérieur de chaque vêtement, j'ai intégré des étiquettes ultra-détaillées qui informent la consommatrice sur l'origine des pièces, le prénom des couturières nantaises en bonus. Le petit plus: un QR Code qui renvoie vers une vidéo prise dans l'atelier de confection. Et pour les boutons, nous sommes allés nous fournir à Bernaville, le pays de la nacre. De quoi perpétuer une tradition et un vrai savoir-faire made in France." Ce souci du détail va de paire avec une volonté de garantir des prix accessibles. Cette première capsule démarre donc à 50 euros pour un t-shirt et se termine à 150 euros pour une robe en coton bio. En phase de démarrage (dès le 22 mai 2016), The First ne sera distribuée que sur le site Made and More et par le biais de plusieurs popup stores à Liège et à Bruxelles à découvrir cet été.
Marie Honnay
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Les parties en présence se sont félicitées du bilan des échanges 2015-2016 et ont tenu un débat constructif sur les thématiques de l’accueil des primo-arrivant et des réfugiés ainsi que sur la lutte contre le radicalisme au niveau scolaire. Ce dernier débat a été rehaussé de la présence de S.E.M. l’Ambassadeur d’Allemagne.
Etaient présents à cette réunion:
- Florence LAMAND (Attachée Ambassade d'Allemagne)
- Stéphanie PALM (Conseillère pédagogique, Communauté germanophone)
- Joachim MOHR (Bildung Saarland, représente la Conférence des Länder)
- Gernot HERRMANN (PAD Bonn)
- Elke PEETERS (Attachée Enseignement, Ministère de la Communauté flamande)
- Katrien VERCRUYSSEN (Attachée Enseignement, Ministère de la Communauté flamande)
- Klaus BRODERSEN (Directeur adjoint, Goethe Institut Bruxelles)
- Angelika SCHENK (Attachée Goethe Institut Bruxelles)
- Annie LASSOIE (Attachée Direction des Relations internationales Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles)
- Bernadette SCHREUER (Chargée de mission Direction des Relations internationales Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles)
- Christian CARETTE (Inspecteur général WBI)
- Denis ROTTENBERG (Assistant principal WBI)
- S.E.M. Rüdiger LÜDEKING (Ambassadeur d'Allemagne)
- Gérard ALARD (Expert citoyenneté Cabinet Marie-Martine Schyns)
Les parties en présence se sont félicitées du bilan des échanges 2015-2016 et ont tenu un débat constructif sur les thématiques de l’accueil des primo-arrivant et des réfugiés ainsi que sur la lutte contre le radicalisme au niveau scolaire. Ce dernier débat a été rehaussé de la présence de S.E.M. l’Ambassadeur d’Allemagne.
Etaient présents à cette réunion:
- Florence LAMAND (Attachée Ambassade d'Allemagne)
- Stéphanie PALM (Conseillère pédagogique, Communauté germanophone)
- Joachim MOHR (Bildung Saarland, représente la Conférence des Länder)
- Gernot HERRMANN (PAD Bonn)
- Elke PEETERS (Attachée Enseignement, Ministère de la Communauté flamande)
- Katrien VERCRUYSSEN (Attachée Enseignement, Ministère de la Communauté flamande)
- Klaus BRODERSEN (Directeur adjoint, Goethe Institut Bruxelles)
- Angelika SCHENK (Attachée Goethe Institut Bruxelles)
- Annie LASSOIE (Attachée Direction des Relations internationales Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles)
- Bernadette SCHREUER (Chargée de mission Direction des Relations internationales Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles)
- Christian CARETTE (Inspecteur général WBI)
- Denis ROTTENBERG (Assistant principal WBI)
- S.E.M. Rüdiger LÜDEKING (Ambassadeur d'Allemagne)
- Gérard ALARD (Expert citoyenneté Cabinet Marie-Martine Schyns)
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En application de l’Accord de coopération signé le 28 mars 2001, la Fédération Wallonie-Bruxelles, la Wallonie et la République tchèque tiennent leur 5ème commission mixte à Bruxelles en novembre prochain, en vue d’y retenir un programme de travail avec des projets concrets s’étendant de 2017 à 2019.
A cet effet, un appel à projets est lancé. La date limite d’introduction des demandes est fixée au 5 septembre.
Formulaire et informations :
Georges Letayf
Chef du service République tchèque
Wallonie-Bruxelles International (WBI)
Place Sainctelette 2
1080 Bruxelles
Tél : 02 421 8314
Contact : g.letayf@wbi.be
Vous trouverez en pièce jointes :
- La note d’orientation reprenant les axes prioritaires dégagés dans le cadre du prochain programme de coopération
- Les frais admissibles et les critères d’intervention applicables aux partenaires dans le cadre des projets de coopération déposés en vue du renouvellement de la commission mixte
- Le formulaire à remplir pour déposer un projet de coopération
En application de l’Accord de coopération signé le 28 mars 2001, la Fédération Wallonie-Bruxelles, la Wallonie et la République tchèque tiennent leur 5ème commission mixte à Bruxelles en novembre prochain, en vue d’y retenir un programme de travail avec des projets concrets s’étendant de 2017 à 2019.
A cet effet, un appel à projets est lancé. La date limite d’introduction des demandes est fixée au 5 septembre.
Formulaire et informations :
Georges Letayf
Chef du service République tchèque
Wallonie-Bruxelles International (WBI)
Place Sainctelette 2
1080 Bruxelles
Tél : 02 421 8314
Contact : g.letayf@wbi.be
Vous trouverez en pièce jointes :
- La note d’orientation reprenant les axes prioritaires dégagés dans le cadre du prochain programme de coopération
- Les frais admissibles et les critères d’intervention applicables aux partenaires dans le cadre des projets de coopération déposés en vue du renouvellement de la commission mixte
- Le formulaire à remplir pour déposer un projet de coopération