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Salon Maison & Objet 2016 (c) WBDM

Les maisons d’éditions, entreprises et designers sélectionnés par WBDM et un comité composé de professionnels du secteur présenteront leurs produits au Salon Maison & Objet à Paris sous la bannière Belgium is Design. Label de la créativité belge à l’international, il se veut une vitrine des nouvelles tendances en matière de design en Belgique. L’objectif de cette présence, outre le développement commercial de l’entreprise à l’international, est de toucher les leaders d’opinion et les prescripteurs internationaux avec une sélection pointue et de qualité. 

 

WBDM réunit un comité de sélection composé de différents professionnels du secteur qui analysera les dossiers de candidatures selon les critères suivants:

  • Positionnement de marque correspondant à la section "NOW ! Design à vivre" du salon Maison & Objet, dans laquelle WBDM organise le stand collectif
  • Avoir une stratégie de développement à l’international
  • Des produits prêts à la commercialisation
  • Des produits aboutis et de qualité

 

Comment participer?

1/ Lisez attentivement les conditions de participation + composition du dossier (en pièce jointe)
2/ Envoyez votre dossier de candidature + engagement de participation (p.8 Annexe 2)

 

à Leslie Lombardleslie.lombard@wbdm.be / T 02 421 84 61

 

Les dossiers doivent être rentrés pour le jeudi 23 juin.

Les maisons d’éditions, entreprises et designers sélectionnés par WBDM et un comité composé de professionnels du secteur présenteront leurs produits au Salon Maison & Objet à Paris sous la bannière Belgium is Design. Label de la créativité belge à l’international, il se veut une vitrine des nouvelles tendances en matière de design en Belgique. L’objectif de cette présence, outre le développement commercial de l’entreprise à l’international, est de toucher les leaders d’opinion et les prescripteurs internationaux avec une sélection pointue et de qualité. 

 

WBDM réunit un comité de sélection composé de différents professionnels du secteur qui analysera les dossiers de candidatures selon les critères suivants:

  • Positionnement de marque correspondant à la section "NOW ! Design à vivre" du salon Maison & Objet, dans laquelle WBDM organise le stand collectif
  • Avoir une stratégie de développement à l’international
  • Des produits prêts à la commercialisation
  • Des produits aboutis et de qualité

 

Comment participer?

1/ Lisez attentivement les conditions de participation + composition du dossier (en pièce jointe)
2/ Envoyez votre dossier de candidature + engagement de participation (p.8 Annexe 2)

 

à Leslie Lombardleslie.lombard@wbdm.be / T 02 421 84 61

 

Les dossiers doivent être rentrés pour le jeudi 23 juin.

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Levi Dethier et Sarha Duquesne

Levi Dethier, Sarha Duquesne, la présence de votre studio Levisarha au Salon du Meuble de Milan n’est pas passée inaperçue. Quel regard portez-vous sur l’événement ?

L. D. : Nous sommes évidemment très contents et assez fiers, notamment car le NY Times nous a répertorié parmi les 15 talents émergents du salon ! Levisarha a été créé en 2014. En tant que jeunes designers, le salon et la revue de presse associée donne à notre travail une crédibilité très appréciable. C’est une bonne base pour la suite.

S. D. : On se sent aussi reconnaissants vis-à-vis de l’entreprise Marcel Ziemons avec qui nous avons réalisé le projet. Elle a véritablement joué le jeu en nous accordant l’attention et le temps nécessaire. Nous saluons aussi l’initiative de Belgium is Design et du magazine DAMN° à l’origine de l’événement. Notre présence fait suite à un appel à projets. Les opportunités telle que celle-ci sont une vraie chance pour les jeunes designers. Cela rend possible la réalisation de projets convaincants mais qui auraient été difficilement possibles par manque de temps, de ressources ou d’enjeux concrets.

 

Comment envisagez-vous la suite de votre parcours ?

S. D. : Levisarha existe depuis 2 ans. A ce stade, nous avons déjà mis au point Perimeter, une collection de mobilier en production sérielle, pour laquelle nous avons reçu des retours très positifs. Nous avons étudié en Belgique et en Suisse, travaillé à Londres et été sollicités pour différentes interventions et expositions en France et à New York. Milan consolide et confirme notre présence sur le marché international. Nous allons continuer sur cette lancée, dans le mouvement de Milan.

L. D. : Notre production est encore fort diversifiée. Même si notre cheval de bataille est le mobilier produit en série, nous voulons rester disponibles pour d’autres expériences comme cela a été récemment le cas pour des installations de scénographie. Pour Milan, le projet est de l’ordre de la série limité, en tout cas pour le moment. Nous n’excluons pas de la retravailler dans une logique de production en série.

 

Pouvez-vous nous expliquer la philosophie de votre design à travers la lampe Drill ?

L. D. : Nous aimons rendre les choses évidentes. Nos produits sont minimalistes. Ils ont le souci du détail, en particulier au niveau des assemblages. Les éléments sont travaillés pour être employés tels quels, sans artifices, tout en transparence. Cela donne un design dont les lignes et la structure sont immédiatement compréhensibles.

S. D. : Pour la lampe Drill, le point de départ était l’envie de travailler avec la pierre et la technique du carottage. Le résultat découle directement de ces choix. Drill est une lampe composée de deux cylindres en basalte de hauteurs et de diamètres différents. L’une est une lampe sur pied à poser au sol, l’autre est une lampe de lecture. L’objet paraît simple mais sa conception et réalisation ont demandé la maîtrise des techniques de carottage de pierre de l’entreprise Marcel Ziemons.

 

L’entreprise est de fait unique en son genre. Pouvez-vous nous la présenter ?

L. D. : Marcel Ziemons est une marbrerie située dans les Cantons de l’Est. Sa particularité est d’avoir complété son savoir-faire traditionnel par des compétences pointues dans les nouvelles technologies liées au travail de la pierre. Ils sont notamment spécialisés dans les procédés de 3D scanning qui permettent de tailler une pierre à partir d’un modèle digital 3D.

S.D. : L’entreprise est portée sur l’innovation et l’inventivité. Nous nous sommes tournés vers elle car c’est une des dernières marbreries à maîtriser les techniques de carottage. Pour le projet Drill, elle a dû développer et adapter ses outils. Leur connaissance de la pierre nous a été aussi très utile. Le choix du basalte vient des conseils de l’entreprise. Cette pierre volcanique et locale s’est parfaitement mariée au projet tant au point de vue esthétique que technique.

 

Un mot sur la collaboration pour conclure ?

S. D. : Je pense qu’elle s’est déroulée exactement comme l’imaginait Belgium is Design et DAMN° Magazine dans le cadre de l’exposition Belgian Matters. Il y a eu un réel échange d’idées et une transmission de savoir-faire. Notre projet a été un challenge technique de plus à relever pour l’entreprise Ziemons. Ses capacités techniques en sortent encore plus diversifiées.

L. D. : Le projet met également en avant les qualités et savoirs-faire présents en Belgique. La collaboration nous a permis de mettre en avant notre studio, sur la scène internationale qui plus est. Nous nous réjouissons aussi du coup de projecteur sur les activités de Marcel Ziemons. Leurs capacités dans le secteur sont exceptionnelles et trop souvent méconnues, y compris en Belgique.

 

Sylvie Reversez

 

Visitez Wallonie-Bruxelles Design/Mode

Levi Dethier, Sarha Duquesne, la présence de votre studio Levisarha au Salon du Meuble de Milan n’est pas passée inaperçue. Quel regard portez-vous sur l’événement ?

L. D. : Nous sommes évidemment très contents et assez fiers, notamment car le NY Times nous a répertorié parmi les 15 talents émergents du salon ! Levisarha a été créé en 2014. En tant que jeunes designers, le salon et la revue de presse associée donne à notre travail une crédibilité très appréciable. C’est une bonne base pour la suite.

S. D. : On se sent aussi reconnaissants vis-à-vis de l’entreprise Marcel Ziemons avec qui nous avons réalisé le projet. Elle a véritablement joué le jeu en nous accordant l’attention et le temps nécessaire. Nous saluons aussi l’initiative de Belgium is Design et du magazine DAMN° à l’origine de l’événement. Notre présence fait suite à un appel à projets. Les opportunités telle que celle-ci sont une vraie chance pour les jeunes designers. Cela rend possible la réalisation de projets convaincants mais qui auraient été difficilement possibles par manque de temps, de ressources ou d’enjeux concrets.

 

Comment envisagez-vous la suite de votre parcours ?

S. D. : Levisarha existe depuis 2 ans. A ce stade, nous avons déjà mis au point Perimeter, une collection de mobilier en production sérielle, pour laquelle nous avons reçu des retours très positifs. Nous avons étudié en Belgique et en Suisse, travaillé à Londres et été sollicités pour différentes interventions et expositions en France et à New York. Milan consolide et confirme notre présence sur le marché international. Nous allons continuer sur cette lancée, dans le mouvement de Milan.

L. D. : Notre production est encore fort diversifiée. Même si notre cheval de bataille est le mobilier produit en série, nous voulons rester disponibles pour d’autres expériences comme cela a été récemment le cas pour des installations de scénographie. Pour Milan, le projet est de l’ordre de la série limité, en tout cas pour le moment. Nous n’excluons pas de la retravailler dans une logique de production en série.

 

Pouvez-vous nous expliquer la philosophie de votre design à travers la lampe Drill ?

L. D. : Nous aimons rendre les choses évidentes. Nos produits sont minimalistes. Ils ont le souci du détail, en particulier au niveau des assemblages. Les éléments sont travaillés pour être employés tels quels, sans artifices, tout en transparence. Cela donne un design dont les lignes et la structure sont immédiatement compréhensibles.

S. D. : Pour la lampe Drill, le point de départ était l’envie de travailler avec la pierre et la technique du carottage. Le résultat découle directement de ces choix. Drill est une lampe composée de deux cylindres en basalte de hauteurs et de diamètres différents. L’une est une lampe sur pied à poser au sol, l’autre est une lampe de lecture. L’objet paraît simple mais sa conception et réalisation ont demandé la maîtrise des techniques de carottage de pierre de l’entreprise Marcel Ziemons.

 

L’entreprise est de fait unique en son genre. Pouvez-vous nous la présenter ?

L. D. : Marcel Ziemons est une marbrerie située dans les Cantons de l’Est. Sa particularité est d’avoir complété son savoir-faire traditionnel par des compétences pointues dans les nouvelles technologies liées au travail de la pierre. Ils sont notamment spécialisés dans les procédés de 3D scanning qui permettent de tailler une pierre à partir d’un modèle digital 3D.

S.D. : L’entreprise est portée sur l’innovation et l’inventivité. Nous nous sommes tournés vers elle car c’est une des dernières marbreries à maîtriser les techniques de carottage. Pour le projet Drill, elle a dû développer et adapter ses outils. Leur connaissance de la pierre nous a été aussi très utile. Le choix du basalte vient des conseils de l’entreprise. Cette pierre volcanique et locale s’est parfaitement mariée au projet tant au point de vue esthétique que technique.

 

Un mot sur la collaboration pour conclure ?

S. D. : Je pense qu’elle s’est déroulée exactement comme l’imaginait Belgium is Design et DAMN° Magazine dans le cadre de l’exposition Belgian Matters. Il y a eu un réel échange d’idées et une transmission de savoir-faire. Notre projet a été un challenge technique de plus à relever pour l’entreprise Ziemons. Ses capacités techniques en sortent encore plus diversifiées.

L. D. : Le projet met également en avant les qualités et savoirs-faire présents en Belgique. La collaboration nous a permis de mettre en avant notre studio, sur la scène internationale qui plus est. Nous nous réjouissons aussi du coup de projecteur sur les activités de Marcel Ziemons. Leurs capacités dans le secteur sont exceptionnelles et trop souvent méconnues, y compris en Belgique.

 

Sylvie Reversez

 

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Copyright Fotolia

Alda Greoli, Vice-Présidente du Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles et Ministre de la Culture, a approuvé la sélection de la première session 2016 de la Commission de Sélection des Films. Elle a ainsi accordé une promesse d’aide à l’écriture, au développement ou à la production à 16 projets de longs métrages de fiction, 9 courts métrages, 12 documentaires et 1 film lab, pour un montant total de 3.115.250 euros. Dans cette sélection figurent, entre autres, les projets de François Damiens, Lucas Belvaux, John Shank, Daniel Cattier, Gilles Coton ou encore Olivier Smolders.

 

François Damiens passe derrière la caméra pour réaliser son premier film intitulé "Dany" dans lequel il tiendra aussi le rôle du personnage principal, celui d’un père qui retrouve son fils de 12 ans après une peine de prison. Lucas Belvaux est également soutenu pour son projet de film "Chez nous" qui conte l’histoire de Pauline, mère dévouée et infirmière exemplaire, qui accepte de se porter candidate aux élections municipales pour un parti nationaliste. Le casting annoncé réunira Emilie Dequenne, qui a déjà tourné avec Lucas Belvaux dans "Pas son genre", mais également André Dussollier, Catherine Jacob, Anne Marivin et Patrick Descamps.  Quant à John Shank, après "L’hiver dernier",  un premier long métrage en solo, il coréalisera avec Anna Falguères Pompei qui mettra une histoire d’amour à l’épreuve de la misère économique. Vincent Rottiers, déjà au générique de "L’hiver dernier", tiendra le rôle principal masculin.

 

En ce qui concerne les courts métrages, Olivier Smolders reçoit un soutien pour son projet intitulé "Le coupable". Dans un vieil immeuble, il y met en scène un homme qui, devenu concierge, découvre un système de couloirs secrets permettant d’observer les locataires...

 

Dans le créneau documentaire, on pointera le projet en développement de Daniel Cattier qui consacre son film au Musée Royal d’Afrique Centrale, un lieu qui a fasciné des générations de Belges et qui connaît actuellement la plus grande rénovation de son histoire. Avec "Sur la route" d’Enver Hadri, Gilles Coton suit Renoar Hadri sur les traces de son père et de son grand-père, tous deux assassinés. L’un à Bruxelles, l’autre au Kosovo.

 

Consultez la liste complète des films aidés lors de cette première session 2016 de la Commission de Sélection des Films

 

Retrouvez toutes les aides et les services de Wallonie-Bruxelles International. 

 

Alda Greoli, Vice-Présidente du Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles et Ministre de la Culture, a approuvé la sélection de la première session 2016 de la Commission de Sélection des Films. Elle a ainsi accordé une promesse d’aide à l’écriture, au développement ou à la production à 16 projets de longs métrages de fiction, 9 courts métrages, 12 documentaires et 1 film lab, pour un montant total de 3.115.250 euros. Dans cette sélection figurent, entre autres, les projets de François Damiens, Lucas Belvaux, John Shank, Daniel Cattier, Gilles Coton ou encore Olivier Smolders.

 

François Damiens passe derrière la caméra pour réaliser son premier film intitulé "Dany" dans lequel il tiendra aussi le rôle du personnage principal, celui d’un père qui retrouve son fils de 12 ans après une peine de prison. Lucas Belvaux est également soutenu pour son projet de film "Chez nous" qui conte l’histoire de Pauline, mère dévouée et infirmière exemplaire, qui accepte de se porter candidate aux élections municipales pour un parti nationaliste. Le casting annoncé réunira Emilie Dequenne, qui a déjà tourné avec Lucas Belvaux dans "Pas son genre", mais également André Dussollier, Catherine Jacob, Anne Marivin et Patrick Descamps.  Quant à John Shank, après "L’hiver dernier",  un premier long métrage en solo, il coréalisera avec Anna Falguères Pompei qui mettra une histoire d’amour à l’épreuve de la misère économique. Vincent Rottiers, déjà au générique de "L’hiver dernier", tiendra le rôle principal masculin.

 

En ce qui concerne les courts métrages, Olivier Smolders reçoit un soutien pour son projet intitulé "Le coupable". Dans un vieil immeuble, il y met en scène un homme qui, devenu concierge, découvre un système de couloirs secrets permettant d’observer les locataires...

 

Dans le créneau documentaire, on pointera le projet en développement de Daniel Cattier qui consacre son film au Musée Royal d’Afrique Centrale, un lieu qui a fasciné des générations de Belges et qui connaît actuellement la plus grande rénovation de son histoire. Avec "Sur la route" d’Enver Hadri, Gilles Coton suit Renoar Hadri sur les traces de son père et de son grand-père, tous deux assassinés. L’un à Bruxelles, l’autre au Kosovo.

 

Consultez la liste complète des films aidés lors de cette première session 2016 de la Commission de Sélection des Films

 

Retrouvez toutes les aides et les services de Wallonie-Bruxelles International. 

 

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En juin 2015, le Bureau AWEX à Washington avait informé l’Institut du Patrimoine wallon (IPW) du lancement de l’appel d’offres pour le projet « Préservation du Patrimoine et Appui au Secteur Touristique » (PAST) financé par la Banque mondiale en Haïti. Après la phase de présélection en juin 2015, une candidature portée par la société italienne HYDEA (chef de file), à laquelle l’IPW s’est associé, avait été déposée quelques mois plus tard lors de la seconde phase de sélection. 

 

Cette candidature a été retenue officiellement en mai dernier. Pour le groupement, il s’agit donc d’effectuer une mission d’assistance en maîtrise d’ouvrage auprès de l’État haïtien pour préserver et valoriser ses richesses patrimoniales, ce qui correspond notamment aux compétences de la Cellule immobilière de l’IPW, qui conseille les propriétaires et valorise les propriétés régionales en Wallonie. Fort de son expérience à l’international, notamment à Cuba, en Haïti, en Palestine, au Burkina Faso et au Sénégal, l’Institut assure donc un rôle d’appui au travers de missions ponctuelles.

 

Ce projet d’une durée de deux ans est une magnifique opportunité de porter une nouvelle fois à l’international les compétences de la Wallonie en matière de Patrimoine et au niveau ambitieux d’un projet financé par la Banque mondiale. Il s’agit également d’une reconnaissance de la qualité du savoir-faire de la Cellule immobilière de l’IPW, récemment primée d’ailleurs par un « Prix de la Maîtrise d’ouvrage publique » en Wallonie. Il est aussi un exemple de ce que l’AWEX peut offrir pour catalyser de nouveaux projets internationaux auprès des opérateurs wallons.

En juin 2015, le Bureau AWEX à Washington avait informé l’Institut du Patrimoine wallon (IPW) du lancement de l’appel d’offres pour le projet « Préservation du Patrimoine et Appui au Secteur Touristique » (PAST) financé par la Banque mondiale en Haïti. Après la phase de présélection en juin 2015, une candidature portée par la société italienne HYDEA (chef de file), à laquelle l’IPW s’est associé, avait été déposée quelques mois plus tard lors de la seconde phase de sélection. 

 

Cette candidature a été retenue officiellement en mai dernier. Pour le groupement, il s’agit donc d’effectuer une mission d’assistance en maîtrise d’ouvrage auprès de l’État haïtien pour préserver et valoriser ses richesses patrimoniales, ce qui correspond notamment aux compétences de la Cellule immobilière de l’IPW, qui conseille les propriétaires et valorise les propriétés régionales en Wallonie. Fort de son expérience à l’international, notamment à Cuba, en Haïti, en Palestine, au Burkina Faso et au Sénégal, l’Institut assure donc un rôle d’appui au travers de missions ponctuelles.

 

Ce projet d’une durée de deux ans est une magnifique opportunité de porter une nouvelle fois à l’international les compétences de la Wallonie en matière de Patrimoine et au niveau ambitieux d’un projet financé par la Banque mondiale. Il s’agit également d’une reconnaissance de la qualité du savoir-faire de la Cellule immobilière de l’IPW, récemment primée d’ailleurs par un « Prix de la Maîtrise d’ouvrage publique » en Wallonie. Il est aussi un exemple de ce que l’AWEX peut offrir pour catalyser de nouveaux projets internationaux auprès des opérateurs wallons.

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La formation "Appetiser" vise à donner une forte première expérience positive du travail international de jeunesse et de motiver les participants à utiliser le programme Erasmus +/Jeunesse en action.

 

Objectifs de la formation

• tester un apprentissage interculturel et non formel
• profiter d'une première expérience de projet interculturel jeunesse
• échanger à propos d'activités locales de la jeunesse dans un contexte international
• explorer les possibilités de soutien disponibles pour les activités internationales de jeunesse offertes par le programme Erasmus +/Jeunesse en action
• analyser des exemples de projets de jeunes qualitatifs pris en charge par Erasmus +/Jeunesse en action
• voir comment tirer profit du contexte international dans la pratique du travail local

 

Vous trouverez le contenu détaillé de la formation sur le site de Salto.

 

Lieu et dates

Budapest (Hongrie), du 5 au 9 décembre.

 

Profil des participants

  • Vous avez au moins 18 ans et vous résidez en Wallonie ou à Bruxelles
  • Vous êtes travailleur de jeunesse en lien direct avec des jeunes et vous êtes intéressé par le développement de projets avec eux dans le cadre d’Erasmus+/JEA et n’avez pas encore d’expérience à ce niveau
  • Vous êtes capable de travailler en anglais

 

Langue de travail

Anglais

 

Conditions de participation

Le Bureau International Jeunesse et les organisateurs prennent en charge les frais de transports internationaux, de programme et de séjour des participants FWB sélectionnés.

 

Comment procéder

Inscrivez-vous via le site de Salto (+ copie à thierry.dufour@cfwb.be ou fax: 02 218 81 08) avant le 28 août.

 

Des questions

N’hésitez pas à contacter Thierry Dufour, chargé du suivi de ce dossier: thierry.dufour@cfwb.be ou 02 548 38 81.

La formation "Appetiser" vise à donner une forte première expérience positive du travail international de jeunesse et de motiver les participants à utiliser le programme Erasmus +/Jeunesse en action.

 

Objectifs de la formation

• tester un apprentissage interculturel et non formel
• profiter d'une première expérience de projet interculturel jeunesse
• échanger à propos d'activités locales de la jeunesse dans un contexte international
• explorer les possibilités de soutien disponibles pour les activités internationales de jeunesse offertes par le programme Erasmus +/Jeunesse en action
• analyser des exemples de projets de jeunes qualitatifs pris en charge par Erasmus +/Jeunesse en action
• voir comment tirer profit du contexte international dans la pratique du travail local

 

Vous trouverez le contenu détaillé de la formation sur le site de Salto.

 

Lieu et dates

Budapest (Hongrie), du 5 au 9 décembre.

 

Profil des participants

  • Vous avez au moins 18 ans et vous résidez en Wallonie ou à Bruxelles
  • Vous êtes travailleur de jeunesse en lien direct avec des jeunes et vous êtes intéressé par le développement de projets avec eux dans le cadre d’Erasmus+/JEA et n’avez pas encore d’expérience à ce niveau
  • Vous êtes capable de travailler en anglais

 

Langue de travail

Anglais

 

Conditions de participation

Le Bureau International Jeunesse et les organisateurs prennent en charge les frais de transports internationaux, de programme et de séjour des participants FWB sélectionnés.

 

Comment procéder

Inscrivez-vous via le site de Salto (+ copie à thierry.dufour@cfwb.be ou fax: 02 218 81 08) avant le 28 août.

 

Des questions

N’hésitez pas à contacter Thierry Dufour, chargé du suivi de ce dossier: thierry.dufour@cfwb.be ou 02 548 38 81.

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Jean-Luc Cornette, au centre

Jean-Luc Cornette, auteur de BD francophone, a animé les jours suivants des ateliers au Lycée français.

 

Une exposition de planches de son album à sortir sur le peintre Gustav Klimt était également présentée.

 

Parmi les autres auteurs présents au 4ème Comics Festival de Vienne : Frederik Peeters, Julie Birmant, Jul, Clément Oubrerie et Gudrun Penndorf, traductrice notamment d’Astérix en allemand.

Jean-Luc Cornette, auteur de BD francophone, a animé les jours suivants des ateliers au Lycée français.

 

Une exposition de planches de son album à sortir sur le peintre Gustav Klimt était également présentée.

 

Parmi les autres auteurs présents au 4ème Comics Festival de Vienne : Frederik Peeters, Julie Birmant, Jul, Clément Oubrerie et Gudrun Penndorf, traductrice notamment d’Astérix en allemand.

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Au cours des dernières années, de nombreux projets d'échanges de jeunes ont été mis au point entre les organisations de différents pays. Afin de renforcer les partenariats et surtout la qualité de ces projets, cette formation vise à fournir le soutien et les éléments nécessaires aux participants qui ont l'intention d'organiser un tel échange de jeunes dans un proche avenir. Outre la possibilité de nouer des partenariats solides, cette formation offre également une véritable expérience interculturelle aux participants.

 

Objectifs

  • créer une occasion de trouver de bons et fiables partenaires pour des échanges de jeunes
  • comprendre ce qui est nécessaire pour planifier un échange de bonne qualité pour les jeunes
  • créer un solide réseau de contacts et de partenariats
  • équiper les travailleurs de la jeunesse quant à leur rôle en tant que coach
  • découvrir les possibilités de participation locale
  • comprendre l'impact et le changement social qu'un échange de jeunes peut avoir au sein de la communauté locale

 

Vous trouverez le contenu détaillé de la formation sur le site de Salto.

 

Lieu et dates

Janeiro de Cima, Portugal, du 25 au 30 octobre

 

Profil des participants

  • Vous avez au moins 18 ans et vous résidez en Wallonie ou à Bruxelles
  • Vous êtes travailleur de jeunesse, vous travaillez directement avec des jeunes et vous prévoyez d’organiser un échange de jeunes dans le cadre du programme Erasmus+/JEA
  • Vous êtes capable de travailler en anglais (un support en français peut être donné si nécessaire)

 

Langue de travail

Anglais. Un support en français peut être donné si nécessaire.

 

Conditions de participation

Le Bureau International Jeunesse et les organisateurs prennent en charge les frais de transports internationaux, de séjour et de programme des participants FWB sélectionnés.

 

Comment procéder

Inscrivez-vous via le site de Salto (+ copie à Thierry Dufour ou fax: 02 218 81 08) avant le 15 septembre.

 

Des questions

N’hésitez pas à contacter Thierry Dufour (thierry.dufour@cfwb.be ou 02 548 38 81)

Au cours des dernières années, de nombreux projets d'échanges de jeunes ont été mis au point entre les organisations de différents pays. Afin de renforcer les partenariats et surtout la qualité de ces projets, cette formation vise à fournir le soutien et les éléments nécessaires aux participants qui ont l'intention d'organiser un tel échange de jeunes dans un proche avenir. Outre la possibilité de nouer des partenariats solides, cette formation offre également une véritable expérience interculturelle aux participants.

 

Objectifs

  • créer une occasion de trouver de bons et fiables partenaires pour des échanges de jeunes
  • comprendre ce qui est nécessaire pour planifier un échange de bonne qualité pour les jeunes
  • créer un solide réseau de contacts et de partenariats
  • équiper les travailleurs de la jeunesse quant à leur rôle en tant que coach
  • découvrir les possibilités de participation locale
  • comprendre l'impact et le changement social qu'un échange de jeunes peut avoir au sein de la communauté locale

 

Vous trouverez le contenu détaillé de la formation sur le site de Salto.

 

Lieu et dates

Janeiro de Cima, Portugal, du 25 au 30 octobre

 

Profil des participants

  • Vous avez au moins 18 ans et vous résidez en Wallonie ou à Bruxelles
  • Vous êtes travailleur de jeunesse, vous travaillez directement avec des jeunes et vous prévoyez d’organiser un échange de jeunes dans le cadre du programme Erasmus+/JEA
  • Vous êtes capable de travailler en anglais (un support en français peut être donné si nécessaire)

 

Langue de travail

Anglais. Un support en français peut être donné si nécessaire.

 

Conditions de participation

Le Bureau International Jeunesse et les organisateurs prennent en charge les frais de transports internationaux, de séjour et de programme des participants FWB sélectionnés.

 

Comment procéder

Inscrivez-vous via le site de Salto (+ copie à Thierry Dufour ou fax: 02 218 81 08) avant le 15 septembre.

 

Des questions

N’hésitez pas à contacter Thierry Dufour (thierry.dufour@cfwb.be ou 02 548 38 81)

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Dalton Telegramme

Le caractère ludique des textes qui révèlent des histoires accessibles et universelles a séduit les membres du jury international. Ceux-ci soulignent la rencontre heureuse entre la chanson française et les sonorités américaines, de même qu’une présence scénique remarquable du quatuor grâce à leur enthousiasme contagieux et à leur grand sens de l’humour. L’album navigue entre le folk, le pop, le country, le bluegrass et le blues, et ses arrangements sont colorés par l’utilisation judicieuse du banjo, de la guimbarde, de la mandoline et de l’harmonica. Selon le jury, les tonalités trouveront un bon écho auprès du public québécois. Paru en février 2016 et produit par "Lucky Looser / Un soir Autour du Monde", l’album "Sous la fourrure", réalisé par Seb Martel, a été très bien reçu par les critiques en Wallonie et à Bruxelles. Il sortira au Québec fin octobre.

 

Créé en 2010, le groupe liégeois a sorti deux extraits (La cavale et La planque) et a notamment remporté en 2013 le concours Talents Acoustic organisé par TV5Monde. Actuellement en tournée en Belgique et en Suisse, Dalton Telegramme a déjà plusieurs concerts à son actif, dont quelques-uns au Québec (Coup de cœur francophone en 2013 et Francofolies de Montréal en 2014).

 

Son prix lui sera remis officiellement en novembre prochain, à l’occasion de Coup de cœur francophone à Montréal où le groupe se produira en concert.

 

Le prix Rapsat-Lelièvre est composé d’une bourse de 5 000 $ remise à Dalton Telegramme et d’une aide financière de 7 500 € attribuée au producteur dans le but de soutenir la promotion et la diffusion du disque "Sous la fourrure" au Québec.

 

Rappelons que le prix Rapsat-Lelièvre est remis chaque année, en alternance à un artiste du Québec et à un artiste de Wallonie-Bruxelles. Le lauréat québécois reçoit son prix lors des Francofolies de Spa, en Belgique, alors que le lauréat de Wallonie-Bruxelles est honoré à l’occasion de Coup de cœur francophone à Montréal.

 

Outre le rayonnement de la langue française, le prix Rapsat-Lelièvre vise à stimuler la production et la diffusion de disques francophones tout en favorisant les échanges entre le Québec et Wallonie-Bruxelles. Il est administré conjointement par le ministère de la Culture et des Communications, le ministère des Relations internationales et de la Francophonie ainsi que Wallonie-Bruxelles International. Il est le fruit d’une entente de coopération entre le gouvernement du Québec et celui de Wallonie-Bruxelles.

 

Plus d’infos

Le caractère ludique des textes qui révèlent des histoires accessibles et universelles a séduit les membres du jury international. Ceux-ci soulignent la rencontre heureuse entre la chanson française et les sonorités américaines, de même qu’une présence scénique remarquable du quatuor grâce à leur enthousiasme contagieux et à leur grand sens de l’humour. L’album navigue entre le folk, le pop, le country, le bluegrass et le blues, et ses arrangements sont colorés par l’utilisation judicieuse du banjo, de la guimbarde, de la mandoline et de l’harmonica. Selon le jury, les tonalités trouveront un bon écho auprès du public québécois. Paru en février 2016 et produit par "Lucky Looser / Un soir Autour du Monde", l’album "Sous la fourrure", réalisé par Seb Martel, a été très bien reçu par les critiques en Wallonie et à Bruxelles. Il sortira au Québec fin octobre.

 

Créé en 2010, le groupe liégeois a sorti deux extraits (La cavale et La planque) et a notamment remporté en 2013 le concours Talents Acoustic organisé par TV5Monde. Actuellement en tournée en Belgique et en Suisse, Dalton Telegramme a déjà plusieurs concerts à son actif, dont quelques-uns au Québec (Coup de cœur francophone en 2013 et Francofolies de Montréal en 2014).

 

Son prix lui sera remis officiellement en novembre prochain, à l’occasion de Coup de cœur francophone à Montréal où le groupe se produira en concert.

 

Le prix Rapsat-Lelièvre est composé d’une bourse de 5 000 $ remise à Dalton Telegramme et d’une aide financière de 7 500 € attribuée au producteur dans le but de soutenir la promotion et la diffusion du disque "Sous la fourrure" au Québec.

 

Rappelons que le prix Rapsat-Lelièvre est remis chaque année, en alternance à un artiste du Québec et à un artiste de Wallonie-Bruxelles. Le lauréat québécois reçoit son prix lors des Francofolies de Spa, en Belgique, alors que le lauréat de Wallonie-Bruxelles est honoré à l’occasion de Coup de cœur francophone à Montréal.

 

Outre le rayonnement de la langue française, le prix Rapsat-Lelièvre vise à stimuler la production et la diffusion de disques francophones tout en favorisant les échanges entre le Québec et Wallonie-Bruxelles. Il est administré conjointement par le ministère de la Culture et des Communications, le ministère des Relations internationales et de la Francophonie ainsi que Wallonie-Bruxelles International. Il est le fruit d’une entente de coopération entre le gouvernement du Québec et celui de Wallonie-Bruxelles.

 

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La Fédération Wallonie-Bruxelles, la Wallonie et la Commission communautaire française ont signé, le 10 octobre 1996, un accord de coopération bilatérale avec la République de Pologne. Cet accord prévoit la tenue périodique d’une Commission mixte chargée d’élaborer des programmes concrets de coopération.

 

La prochaine Commission mixte avec la République de Pologne se tiendra à Varsovie en décembre prochain et approuvera le programme de travail pour les années 2017 à 2019.

 

La date limite d’introduction des demandes est fixée au 30 août.

 

Formulaire et informations :

Laurence Capelle
Responsable du service Pologne
Wallonie-Bruxelles International (WBI)
2, Place Sainctelette
1080 Bruxelles.
Téléphone : 02/421.87.42
Contact : l.capelle@wbi.be

 

Vous trouverez en pièces jointes:

  • la note d'orientation sur les axes prioritaires dégagés dans le cadre du nouveau programme de coopération
  • les frais admissibles et les critères d'intervention applicables aux partenaires dans le cadre des projets de coopération déposés en vue du renouvellement de la Commission mixte permanente
  • le formulaire à remplir pour déposer un projet de coopération

La Fédération Wallonie-Bruxelles, la Wallonie et la Commission communautaire française ont signé, le 10 octobre 1996, un accord de coopération bilatérale avec la République de Pologne. Cet accord prévoit la tenue périodique d’une Commission mixte chargée d’élaborer des programmes concrets de coopération.

 

La prochaine Commission mixte avec la République de Pologne se tiendra à Varsovie en décembre prochain et approuvera le programme de travail pour les années 2017 à 2019.

 

La date limite d’introduction des demandes est fixée au 30 août.

 

Formulaire et informations :

Laurence Capelle
Responsable du service Pologne
Wallonie-Bruxelles International (WBI)
2, Place Sainctelette
1080 Bruxelles.
Téléphone : 02/421.87.42
Contact : l.capelle@wbi.be

 

Vous trouverez en pièces jointes:

  • la note d'orientation sur les axes prioritaires dégagés dans le cadre du nouveau programme de coopération
  • les frais admissibles et les critères d'intervention applicables aux partenaires dans le cadre des projets de coopération déposés en vue du renouvellement de la Commission mixte permanente
  • le formulaire à remplir pour déposer un projet de coopération

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Remise de la distinction par Son Excellence Monsieur Antonio Rodrigue, Ambassadeur d’Haïti en Belgique

La distinction "Honneur et Mérite à Wallonie-Bruxelles International pour l’excellente coopération développée avec Haïti dans les domaines de l’éducation, de l’art et de la culture" a été remise lors de la soirée culturelle organisée ce vendredi 20 mai.

 

L'Ecole nationale supérieure des arts visuels de La Cambre (ENSAV) et l’Ecole supérieure des arts de l'image "Le 75" ont également été félicités pour le travail réalisé avec l’Ecole nationale des Arts de Port-au-Prince (ENARTS).

La distinction "Honneur et Mérite à Wallonie-Bruxelles International pour l’excellente coopération développée avec Haïti dans les domaines de l’éducation, de l’art et de la culture" a été remise lors de la soirée culturelle organisée ce vendredi 20 mai.

 

L'Ecole nationale supérieure des arts visuels de La Cambre (ENSAV) et l’Ecole supérieure des arts de l'image "Le 75" ont également été félicités pour le travail réalisé avec l’Ecole nationale des Arts de Port-au-Prince (ENARTS).

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