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De gauche à droite : le jury, le formateur et les finalistes (c) DGWB Chili et Institut Français du Chili

Un premier appel à candidature a eu lieu du 20 juin au 20 juillet pour participer au concours. Celui-ci était ouvert à tous les francophones du Chili de 15 ans et plus. Plus d’une trentaine de personnes avaient répondu présents en envoyant une vidéo de 3 minutes sur le sujet "Je pense donc je parle". De ces premières candidatures, une préselection a été réalisée et 22 participants ont été retenus pour participer à la demi-finale.

 

Ces 22 demi-finalistes ont eu la chance de suivre une formation de deux jours par le poète et slameur français Loubaki, venu spécialement au Chili au mois d’août. A la suite de cette formation, les candidats devaient présenter une vidéo de 3 minutes sur le thème de l’environnement à partir d’une phrase ou d’un dicton belge ou français détourné. Un jury a ensuite sélectionné 10 candidats finalistes pour participer à la grande finale en présentiel de ce samedi 22 octobre.

 

La finale avait pour thème "l’égalité", thème décliné sous la forme de 5 sujets. On pourra citer par exemple "Rendez-vous au carrefour des genres" ou encore "Je suis l’autre". Les participants venaient de plusieurs régions du Chili, avaient différentes nationalités et étaient de tous les âges. La préparation de la finale a eu lieu dans les locaux de la Délégation Wallonie-Bruxelles, où les participants ont pu avoir 30 minutes de formation personnalisée avec Loubaki, de retour au Chili pour animer la grande finale.

 

Nous avons eu l’honneur de compter parmi les membres du jury Son Excellence Madame l’Ambassadeur de la République d’Haiti, Wedlyne François Pierre ; Madame Virginie Delalande, directrice des questions stratégiques de l’Université Bernardo O’Higgins, qui accueillait cette finale, et enfin Madame Pamela Olivares, directrice de la section langue française du Collège La Girouette (établissement d’enseignement bilingue de Santiago).

 

Le gagnant de ce concours est Angelo Gaspard, étudiant haïtien de 25 ans qui a exposé sur le sujet "Etre né quelque part" ; suivi par Margaux Hintzy, française de 21 ans qui remporte le deuxième prix et Emma Carrier, lycéenne chilienne de 17 ans qui arrive à la 3ème place. Le prix du public a également été remporté par Angelo Gaspard. Tous les candidats ont réalisé une performance brillante saluée par la septantaine de spectateurs dont des représentants diplomatiques francophones.

 

L’Ambassadeur de Belgique au Chili, M. Christian de Lannoy et M. Christian Estrade, directeur de l’Institut Français, nous ont fait l’honneur de prononcer quelques mots d’ouverture et de remettre respectivement le 1er et 2ème prix ; le 3ème ayant été remis par Emmanuelle Dienga, représentante Wallonie-Bruxelles au Chili et celui du public par Valérian Bayo-Rahona, attaché de coopération pour le français de l’Institut Français.

 

Lors de la délibération du jury, les spectateurs ont pu profiter d’un cocktail aux touches franco-belges offert par les organisateurs.

 

Une belle soirée aux accents francophones de tous les horizons…
 

Un premier appel à candidature a eu lieu du 20 juin au 20 juillet pour participer au concours. Celui-ci était ouvert à tous les francophones du Chili de 15 ans et plus. Plus d’une trentaine de personnes avaient répondu présents en envoyant une vidéo de 3 minutes sur le sujet "Je pense donc je parle". De ces premières candidatures, une préselection a été réalisée et 22 participants ont été retenus pour participer à la demi-finale.

 

Ces 22 demi-finalistes ont eu la chance de suivre une formation de deux jours par le poète et slameur français Loubaki, venu spécialement au Chili au mois d’août. A la suite de cette formation, les candidats devaient présenter une vidéo de 3 minutes sur le thème de l’environnement à partir d’une phrase ou d’un dicton belge ou français détourné. Un jury a ensuite sélectionné 10 candidats finalistes pour participer à la grande finale en présentiel de ce samedi 22 octobre.

 

La finale avait pour thème "l’égalité", thème décliné sous la forme de 5 sujets. On pourra citer par exemple "Rendez-vous au carrefour des genres" ou encore "Je suis l’autre". Les participants venaient de plusieurs régions du Chili, avaient différentes nationalités et étaient de tous les âges. La préparation de la finale a eu lieu dans les locaux de la Délégation Wallonie-Bruxelles, où les participants ont pu avoir 30 minutes de formation personnalisée avec Loubaki, de retour au Chili pour animer la grande finale.

 

Nous avons eu l’honneur de compter parmi les membres du jury Son Excellence Madame l’Ambassadeur de la République d’Haiti, Wedlyne François Pierre ; Madame Virginie Delalande, directrice des questions stratégiques de l’Université Bernardo O’Higgins, qui accueillait cette finale, et enfin Madame Pamela Olivares, directrice de la section langue française du Collège La Girouette (établissement d’enseignement bilingue de Santiago).

 

Le gagnant de ce concours est Angelo Gaspard, étudiant haïtien de 25 ans qui a exposé sur le sujet "Etre né quelque part" ; suivi par Margaux Hintzy, française de 21 ans qui remporte le deuxième prix et Emma Carrier, lycéenne chilienne de 17 ans qui arrive à la 3ème place. Le prix du public a également été remporté par Angelo Gaspard. Tous les candidats ont réalisé une performance brillante saluée par la septantaine de spectateurs dont des représentants diplomatiques francophones.

 

L’Ambassadeur de Belgique au Chili, M. Christian de Lannoy et M. Christian Estrade, directeur de l’Institut Français, nous ont fait l’honneur de prononcer quelques mots d’ouverture et de remettre respectivement le 1er et 2ème prix ; le 3ème ayant été remis par Emmanuelle Dienga, représentante Wallonie-Bruxelles au Chili et celui du public par Valérian Bayo-Rahona, attaché de coopération pour le français de l’Institut Français.

 

Lors de la délibération du jury, les spectateurs ont pu profiter d’un cocktail aux touches franco-belges offert par les organisateurs.

 

Une belle soirée aux accents francophones de tous les horizons…
 

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L’Ambassadrice du Nigéria, la Directrice générale de l’UNESCO, la Sous-directrice à l’éducation et le Délégué général adjoint Wallonie-Bruxelles @ Steve Gentile.

«Lorsqu'une fille bénéficie d’une éducation, l’impact positif est considérable. L’éducation des filles renforce l’économie, réduit les inégalités et crée plus d'opportunités pour tous» - Maxime Woitrin, Délégué général adjoint. Wallonie-Bruxelles.

 

Les filles au premier plan au Nigeria – Portraits d'agents du changement est une exposition de photos organisée par l'UNESCO, avec le soutien des Délégations Wallonie-Bruxelles et du Nigéria auprès de l'UNESCO.

 

L'exposition, au siège de l’UNESCO à Paris du 5 au 19 octobre 2022, présente des portraits émouvants et sources d'inspiration d'acteurs du changement, de membres de la communauté et de filles, et raconte l'histoire d'une communauté qui se mobilise pour l'éducation des filles.

 

La pandémie de COVID-19 a creusé les inégalités dans la région de l'Afrique subsaharienne : les filles et les jeunes femmes sont les premières à quitter l'école, les moins susceptibles d'apprendre à la maison et les dernières à retourner en classe. Pour préserver les progrès accomplis et plaider en faveur de l'éducation des filles, l'UNESCO a déployé sa campagne Les filles au premier plan dans quatre pays d'Afrique subsaharienne, le Bénin, le Mali, le Nigeria et le Sénégal, avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International.

 

Le plaidoyer entrepris dans le cadre du projet au Nigeria a mis en évidence l'émergence d’agents du changement, qui, dotés de compétences, de ressources et de soutien, font progresser l'éducation des filles dans leurs communautés et contribuent à l'avènement de sociétés plus égalitaires.

 

L'exposition plaide pour l'importance de l'éducation des filles et des jeunes femmes, la continuité de leur apprentissage et la nécessité d'un engagement continu en faveur de l'égalité des genres dans et par l'éducation. Elle met en lumière les agents du changement et les défenseurs du progrès dans leurs communautés, responsabilisés par le travail du projet Les filles au premier plan au Nigeria.

 

Pour donner à ces portraits toute la visibilité qu’ils méritent, la Délégation Wallonie-Bruxelles à Paris a organisé avec le soutien de la Délégation du Nigéria un vernissage le mardi 11 octobre 2022. Cet événement, qui s’inscrivait dans les célébrations de la 10e édition de la journée internationale de la fille, a rassemblé une centaine de participants dont de nombreux diplomates, Ambassadeur, la  Directrice générale de l’UNESCO Audrey Azoulay et la Sous-directrice générale à l’Éducation Stefania Giannini.

 

Lors de leurs interventions, la Sous-Directrice Éducation, l’Ambassadrice du Nigéria et le Délégué général adjoint Wallonie-Bruxelles, Maxime Woitrin, ont souligné l’importance fondamentale de l’éducation des filles. Tant l’UNESCO que le Nigéria ont salué le soutien de Wallonie-Bruxelles à ce projet.

 

 

 

«Lorsqu'une fille bénéficie d’une éducation, l’impact positif est considérable. L’éducation des filles renforce l’économie, réduit les inégalités et crée plus d'opportunités pour tous» - Maxime Woitrin, Délégué général adjoint. Wallonie-Bruxelles.

 

Les filles au premier plan au Nigeria – Portraits d'agents du changement est une exposition de photos organisée par l'UNESCO, avec le soutien des Délégations Wallonie-Bruxelles et du Nigéria auprès de l'UNESCO.

 

L'exposition, au siège de l’UNESCO à Paris du 5 au 19 octobre 2022, présente des portraits émouvants et sources d'inspiration d'acteurs du changement, de membres de la communauté et de filles, et raconte l'histoire d'une communauté qui se mobilise pour l'éducation des filles.

 

La pandémie de COVID-19 a creusé les inégalités dans la région de l'Afrique subsaharienne : les filles et les jeunes femmes sont les premières à quitter l'école, les moins susceptibles d'apprendre à la maison et les dernières à retourner en classe. Pour préserver les progrès accomplis et plaider en faveur de l'éducation des filles, l'UNESCO a déployé sa campagne Les filles au premier plan dans quatre pays d'Afrique subsaharienne, le Bénin, le Mali, le Nigeria et le Sénégal, avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International.

 

Le plaidoyer entrepris dans le cadre du projet au Nigeria a mis en évidence l'émergence d’agents du changement, qui, dotés de compétences, de ressources et de soutien, font progresser l'éducation des filles dans leurs communautés et contribuent à l'avènement de sociétés plus égalitaires.

 

L'exposition plaide pour l'importance de l'éducation des filles et des jeunes femmes, la continuité de leur apprentissage et la nécessité d'un engagement continu en faveur de l'égalité des genres dans et par l'éducation. Elle met en lumière les agents du changement et les défenseurs du progrès dans leurs communautés, responsabilisés par le travail du projet Les filles au premier plan au Nigeria.

 

Pour donner à ces portraits toute la visibilité qu’ils méritent, la Délégation Wallonie-Bruxelles à Paris a organisé avec le soutien de la Délégation du Nigéria un vernissage le mardi 11 octobre 2022. Cet événement, qui s’inscrivait dans les célébrations de la 10e édition de la journée internationale de la fille, a rassemblé une centaine de participants dont de nombreux diplomates, Ambassadeur, la  Directrice générale de l’UNESCO Audrey Azoulay et la Sous-directrice générale à l’Éducation Stefania Giannini.

 

Lors de leurs interventions, la Sous-Directrice Éducation, l’Ambassadrice du Nigéria et le Délégué général adjoint Wallonie-Bruxelles, Maxime Woitrin, ont souligné l’importance fondamentale de l’éducation des filles. Tant l’UNESCO que le Nigéria ont salué le soutien de Wallonie-Bruxelles à ce projet.

 

 

 

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Le Festival s’est tenu du 4 au 11 octobre 2022 et a réuni des cinéastes de plus de 10 pays d’Afrique afin de célébrer la place de la femme dans l’industrie cinématographique.

 

Le festival a été marqué par différentes tables rondes, projections, rencontres scolaires, visites culturelles et s’est  clôturé par une soirée au cours de  laquelle le jury a proclamé  les lauréats dans chaque catégorie de films :

 

  1.  Meilleur court-métrage de Fiction d'Afrique de l'Est : "I Muhira" de Myriam Birara, Rwanda
  2.  Meilleur Court-métrage de Fiction Africain : « En Route » de Leslie TÔ, Burkina Faso
  3.  Meilleur film documentaire africain : « Utapata Mwingine » de Lydia MATATA, Kenya

De gauche à droite: Bert VERSMESSEN (Ambassadeur de la Belgique au Rwanda), Myriam BIRARA ( Lauréate du meilleur court-métrage de Fiction d’Afrique de l’Est) et Eric SANTKIN (Représentant de WBI au Rwanda)

Le Festival s’est tenu du 4 au 11 octobre 2022 et a réuni des cinéastes de plus de 10 pays d’Afrique afin de célébrer la place de la femme dans l’industrie cinématographique.

 

Le festival a été marqué par différentes tables rondes, projections, rencontres scolaires, visites culturelles et s’est  clôturé par une soirée au cours de  laquelle le jury a proclamé  les lauréats dans chaque catégorie de films :

 

  1.  Meilleur court-métrage de Fiction d'Afrique de l'Est : "I Muhira" de Myriam Birara, Rwanda
  2.  Meilleur Court-métrage de Fiction Africain : « En Route » de Leslie TÔ, Burkina Faso
  3.  Meilleur film documentaire africain : « Utapata Mwingine » de Lydia MATATA, Kenya

De gauche à droite: Bert VERSMESSEN (Ambassadeur de la Belgique au Rwanda), Myriam BIRARA ( Lauréate du meilleur court-métrage de Fiction d’Afrique de l’Est) et Eric SANTKIN (Représentant de WBI au Rwanda)

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Pour vous préparer au mieux, le programme Interreg Europe vous offre la possibilité de participer à des rencontres thématiques qui auront lieu en novembre et décembre. Lors de ces rencontres vous pourrez partager vos idées et partir à la recherche de partenaires. Les différentes rencontres auront lieu en ligne et chacune d’entre elles portera sur un thème spécifique :

  • 15 novembre : « smarter Europe »
  • 17 novembre : « more social Europe »
  • 29 novembre : « greener Europe »
  • 1 décembre : « More connected Europe », « Europe closer to citizens » et « Better regional governance »

Toutes les informations pratiques se trouvent ici sur Interreg Europe.

 

Pour rappel, le nouveau programme 2021-2027 Interreg Europe est identique à celui de 2014-2020. C’est-à-dire qu’il vise à améliorer la mise en œuvre des politiques de développement régional, notamment les politiques d’investissement pour l'emploi et la croissance, par le renforcement des capacités institutionnelles. Cet objectif est poursuivi au travers d’actions favorisant l'échange d'expériences, l’identification, la diffusion et le transfert de bonnes pratiques ou d’approches innovantes parmi les acteurs de la politique régionale.

 

Les futurs bénéficiaires du programme sont donc des autorités publiques nationales, régionales, locales et d'autres organismes compétents responsables de l'élaboration et/ou de la mise en œuvre des politiques de développement régional dans les domaines thématiques abordés par le programme.

 

Pour vous préparer au mieux, le programme Interreg Europe vous offre la possibilité de participer à des rencontres thématiques qui auront lieu en novembre et décembre. Lors de ces rencontres vous pourrez partager vos idées et partir à la recherche de partenaires. Les différentes rencontres auront lieu en ligne et chacune d’entre elles portera sur un thème spécifique :

  • 15 novembre : « smarter Europe »
  • 17 novembre : « more social Europe »
  • 29 novembre : « greener Europe »
  • 1 décembre : « More connected Europe », « Europe closer to citizens » et « Better regional governance »

Toutes les informations pratiques se trouvent ici sur Interreg Europe.

 

Pour rappel, le nouveau programme 2021-2027 Interreg Europe est identique à celui de 2014-2020. C’est-à-dire qu’il vise à améliorer la mise en œuvre des politiques de développement régional, notamment les politiques d’investissement pour l'emploi et la croissance, par le renforcement des capacités institutionnelles. Cet objectif est poursuivi au travers d’actions favorisant l'échange d'expériences, l’identification, la diffusion et le transfert de bonnes pratiques ou d’approches innovantes parmi les acteurs de la politique régionale.

 

Les futurs bénéficiaires du programme sont donc des autorités publiques nationales, régionales, locales et d'autres organismes compétents responsables de l'élaboration et/ou de la mise en œuvre des politiques de développement régional dans les domaines thématiques abordés par le programme.

 

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Les Trophées Européens de la mode circulaire (c) MC#2

Pour faire valoir des pratiques d’éco-conception, de recyclage ou de nouveaux modes de distribution dans le secteur de la mode et de l’habillement, La Métropole Européenne de Lille (MEL) organise «Les Trophées européens de la mode circulaire» en partenariat avec l'Agence de la Transition Écologique (ADEME) , la Région-Hauts-de-France, et l’Agence de l’Eurométropole Lille-Kortrijk-Tournai.

 

Parmi les 200 candidatures déposées, 15 finalistes ont été sélectionnés pour cette seconde édition des Trophées européens dont une marque belge BONJOUR MAURICE. Celle-ci a séduit le jury avec son offre d'ABONNEMENT visant à démocratiser la mode éthique. La marque qui travaillait déjà l'éco-conception avec ses vêtements éco-réversibles et le recyclage avec son programme de seconde main a récemment développé une plateforme de location dès 9,00€/mois pour que la mode éthique soit accessible à tout enfant sans ruiner aucun parent.

 

Prochaine étape? Le vote du public accessible jusqu'au 16 novembre 2022. C'est donc aux côtés des grandes enseignes françaises telles que Petit Bateau, Tape à l'oeil, ou encore Le Slip Français que Bonjour Maurice fera parler d'elle. Pour la soutenir c'est ici: https://modecirculaire.com/vote/

Pour faire valoir des pratiques d’éco-conception, de recyclage ou de nouveaux modes de distribution dans le secteur de la mode et de l’habillement, La Métropole Européenne de Lille (MEL) organise «Les Trophées européens de la mode circulaire» en partenariat avec l'Agence de la Transition Écologique (ADEME) , la Région-Hauts-de-France, et l’Agence de l’Eurométropole Lille-Kortrijk-Tournai.

 

Parmi les 200 candidatures déposées, 15 finalistes ont été sélectionnés pour cette seconde édition des Trophées européens dont une marque belge BONJOUR MAURICE. Celle-ci a séduit le jury avec son offre d'ABONNEMENT visant à démocratiser la mode éthique. La marque qui travaillait déjà l'éco-conception avec ses vêtements éco-réversibles et le recyclage avec son programme de seconde main a récemment développé une plateforme de location dès 9,00€/mois pour que la mode éthique soit accessible à tout enfant sans ruiner aucun parent.

 

Prochaine étape? Le vote du public accessible jusqu'au 16 novembre 2022. C'est donc aux côtés des grandes enseignes françaises telles que Petit Bateau, Tape à l'oeil, ou encore Le Slip Français que Bonjour Maurice fera parler d'elle. Pour la soutenir c'est ici: https://modecirculaire.com/vote/

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Le mardi 11 octobre s’est déroulé de manière virtuelle la signature de la sélection définitive des projets de recherche conjoints déposés dans le cadre du Protocole d’Accord liant Wallonie-Bruxelles International (WBI) et le Conseil national brésilien des agences de financement des États (CONFAP).

 

Un Protocole d’Accord entre WBI et le CONFAP a été signé à Bruxelles en août 2020. L’objectif principal de cet accord est de soutenir des projets de coopération scientifique conjoints entre des groupes de recherche brésiliens et ceux de Wallonie-Bruxelles afin de favoriser les échanges et encourager une recherche de pointe entre les deux territoires.
 
Les thématiques de coopération prioritaires déterminées par Wallonie-Bruxelles et le partenaire brésilien sont les suivantes :

  • Les matériaux circulaires ;
  • Les innovations pour une santé renforcée ;
  • Les innovations pour des modes de conception et de production agiles et sûrs ;
  • Les systèmes énergétiques et habitat durables ;
  • Les chaines agroalimentaires du futur et gestion innovante de l'environnement ;
  • L’aéronautique et l’espace ;
  • La digitalisation.

C’est dans ce contexte qu’a été lancé un appel à projets au premier semestre 2022 en vue de sélectionner une série de nouveaux projets de coopération conjoints pour la période 2022-2024. Dix-neuf Etats brésiliens ont manifesté leur intérêt à participer à l'appel à projets au travers du CONFAP, ce qui démontre la volonté du Brésil de développer les échanges scientifiques et académiques avec Wallonie-Bruxelles. Nous ne pouvons que nous réjouir d'une telle dynamique.

 

Au total, dix-neuf projets ont été déposés et ont fait l’objet d’une évaluation par les experts compétents. Compte tenu des financements disponibles au sein de chaque institution, des retombées économiques attendues et une répartition géographique au Brésil, ce sont finalement neuf projets qui ont pu être définitivement sélectionnés par WBI et le CONFAP.


 
WBI et le CONFAP se félicitent donc des projets de grande qualité qui ont pu être sélectionnés et remercient l’ensemble des opérateurs d’avoir manifesté leur intérêt en répondant de manière aussi active à cet appel à projets. 

Le mardi 11 octobre s’est déroulé de manière virtuelle la signature de la sélection définitive des projets de recherche conjoints déposés dans le cadre du Protocole d’Accord liant Wallonie-Bruxelles International (WBI) et le Conseil national brésilien des agences de financement des États (CONFAP).

 

Un Protocole d’Accord entre WBI et le CONFAP a été signé à Bruxelles en août 2020. L’objectif principal de cet accord est de soutenir des projets de coopération scientifique conjoints entre des groupes de recherche brésiliens et ceux de Wallonie-Bruxelles afin de favoriser les échanges et encourager une recherche de pointe entre les deux territoires.
 
Les thématiques de coopération prioritaires déterminées par Wallonie-Bruxelles et le partenaire brésilien sont les suivantes :

  • Les matériaux circulaires ;
  • Les innovations pour une santé renforcée ;
  • Les innovations pour des modes de conception et de production agiles et sûrs ;
  • Les systèmes énergétiques et habitat durables ;
  • Les chaines agroalimentaires du futur et gestion innovante de l'environnement ;
  • L’aéronautique et l’espace ;
  • La digitalisation.

C’est dans ce contexte qu’a été lancé un appel à projets au premier semestre 2022 en vue de sélectionner une série de nouveaux projets de coopération conjoints pour la période 2022-2024. Dix-neuf Etats brésiliens ont manifesté leur intérêt à participer à l'appel à projets au travers du CONFAP, ce qui démontre la volonté du Brésil de développer les échanges scientifiques et académiques avec Wallonie-Bruxelles. Nous ne pouvons que nous réjouir d'une telle dynamique.

 

Au total, dix-neuf projets ont été déposés et ont fait l’objet d’une évaluation par les experts compétents. Compte tenu des financements disponibles au sein de chaque institution, des retombées économiques attendues et une répartition géographique au Brésil, ce sont finalement neuf projets qui ont pu être définitivement sélectionnés par WBI et le CONFAP.


 
WBI et le CONFAP se félicitent donc des projets de grande qualité qui ont pu être sélectionnés et remercient l’ensemble des opérateurs d’avoir manifesté leur intérêt en répondant de manière aussi active à cet appel à projets. 

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Wallonie-Bruxelles au salon ExpoPosgrados à Santiago (c) DGWB au Chili

Ce salon est destiné à présenter les différentes opportunités d’études à l’étranger et en particulier les offres de master et doctorat. Le stand représentant la Belgique francophone a permis de diffuser des informations sur les Universités, Hautes Ecoles et Ecoles supérieures d’Art de Fédération Wallonie-Bruxelles auprès des étudiants chiliens.

 

Parmi les intervenants, en plus de l’équipe de la Délégation générale, nous avons pu compter sur l’importante présente de M. Johan Casaer, Consul général de Belgique au Chili qui a pu informer les futures étudiants autour du processus de demande de visa. Un professeur de l’Université de Concepción également professeur invité de l’Université de Liège et deux professeurs diplômés d’un doctorat de l’Université Libre de Bruxelles ont également participé afin de parler de leurs expériences en Belgique francophone.

 

Une quarantaine de personnes ont également assisté à une conférence autour du fonctionnement des études supérieures et des opportunités en Fédération Wallonie-Bruxelles. Le stand a été continuellement visité pendant les deux jours et la documentation a été largement diffusée.

 

Nous espérons que de nombreux étudiants choisiront la Belgique francophone pour continuer leurs études...

 

Ce salon est destiné à présenter les différentes opportunités d’études à l’étranger et en particulier les offres de master et doctorat. Le stand représentant la Belgique francophone a permis de diffuser des informations sur les Universités, Hautes Ecoles et Ecoles supérieures d’Art de Fédération Wallonie-Bruxelles auprès des étudiants chiliens.

 

Parmi les intervenants, en plus de l’équipe de la Délégation générale, nous avons pu compter sur l’importante présente de M. Johan Casaer, Consul général de Belgique au Chili qui a pu informer les futures étudiants autour du processus de demande de visa. Un professeur de l’Université de Concepción également professeur invité de l’Université de Liège et deux professeurs diplômés d’un doctorat de l’Université Libre de Bruxelles ont également participé afin de parler de leurs expériences en Belgique francophone.

 

Une quarantaine de personnes ont également assisté à une conférence autour du fonctionnement des études supérieures et des opportunités en Fédération Wallonie-Bruxelles. Le stand a été continuellement visité pendant les deux jours et la documentation a été largement diffusée.

 

Nous espérons que de nombreux étudiants choisiront la Belgique francophone pour continuer leurs études...

 

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Cette première étape n'est que le début d’une démarche plus vaste qui vise à offrir un nouveau processus de gestion des utilisateurs en ligne avec un meilleur suivi, de meilleurs délais et une qualité de service revue à la hausse.

Dans le cadre d’une consultation 360° sur ses missions et son mode de fonctionnement, Wallonie-Bruxelles International a reçu de la part de ses usagers une demande de plus grande lisibilité de ses services. Nous nous sommes donc mis à votre place pour mieux comprendre vos attentes et améliorer votre expérience usager.

Nous avons entamé, avec des spécialistes de la simplification, un travail de standardisation, de simplification et de clarification de la présentation de nos aides, des formulaires de demande, des courriers de réponses aux usagers ainsi que du formulaire de rapport d’activité ou de mission.

Un premier lot de dispositifs a été revu, essentiellement le guichet Culture mais également d’autres mécanismes de soutien mis en œuvre par WBI. Ceux-ci sont désormais en ligne sur notre site.
Notre triple objectif avec ce chantier :

  • Une meilleure information de nos usagers (critère d’éligibilité, meilleure compréhension de l’aide, …) ;
  • Un traitement plus rapide des dossiers ;
  • Un gain de temps dans l’échange des appels téléphoniques et/ou courriers.

Accès à toutes nos aides et services

La prochaine étape, ce sera d’offrir à nos usagers une gamme complète de services en ligne allant du service de base comme une information à jour et cohérente sur les démarches administratives jusqu'à la possibilité d'introduire et de suivre leurs demandes par voie électronique, à tout moment, en tout lieu et avec des garanties de sécurité. Ce vaste projet devrait voir le jour en 2024.

Cette première étape n'est que le début d’une démarche plus vaste qui vise à offrir un nouveau processus de gestion des utilisateurs en ligne avec un meilleur suivi, de meilleurs délais et une qualité de service revue à la hausse.

Dans le cadre d’une consultation 360° sur ses missions et son mode de fonctionnement, Wallonie-Bruxelles International a reçu de la part de ses usagers une demande de plus grande lisibilité de ses services. Nous nous sommes donc mis à votre place pour mieux comprendre vos attentes et améliorer votre expérience usager.

Nous avons entamé, avec des spécialistes de la simplification, un travail de standardisation, de simplification et de clarification de la présentation de nos aides, des formulaires de demande, des courriers de réponses aux usagers ainsi que du formulaire de rapport d’activité ou de mission.

Un premier lot de dispositifs a été revu, essentiellement le guichet Culture mais également d’autres mécanismes de soutien mis en œuvre par WBI. Ceux-ci sont désormais en ligne sur notre site.
Notre triple objectif avec ce chantier :

  • Une meilleure information de nos usagers (critère d’éligibilité, meilleure compréhension de l’aide, …) ;
  • Un traitement plus rapide des dossiers ;
  • Un gain de temps dans l’échange des appels téléphoniques et/ou courriers.

Accès à toutes nos aides et services

La prochaine étape, ce sera d’offrir à nos usagers une gamme complète de services en ligne allant du service de base comme une information à jour et cohérente sur les démarches administratives jusqu'à la possibilité d'introduire et de suivre leurs demandes par voie électronique, à tout moment, en tout lieu et avec des garanties de sécurité. Ce vaste projet devrait voir le jour en 2024.

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(c) Fotolia

Élaborer un système de surveillance du béton des ponts par des drones. Remplacer les protéines animales de l’alimentation par des insectes. Détecter rapidement et efficacement des maladies auto-immunes via des capteurs photoniques sur des puces microfluidiques. Ou encore, simuler, puis mettre au point, un matériau en carbone pour détecter en continu la présence de certains gaz dans des environnements spécifiques.

 

Tous ces projets ont au minimum quatre points communs. Ils mobilisent chacun un chercheur ou une chercheuse de haut niveau venu.e de l’étranger disposant au moins d’une expérience postdoctorale. Ils impliquent à la fois un partenaire académique (université, haute école ou centre de recherche agréé) et une entreprise. Ils se déroulent en Wallonie et sur une période longue. Enfin, ils relèvent tous, comme 28 autres projets du même type, du programme Beware 2 (BElgian WAllonia REsearcher), cofinancé par la Région wallonne (SPW EER) et l’Union européenne.

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Un programme ambitieux plombé par la pandémie

Au total, ce sont 32 chercheurs de haut vol qui, depuis 2020, ont posé leurs valises en Wallonie dans le cadre de cet ambitieux programme. « Une expérience extraordinaire », assure Mahmoud Eissa, un ingénieur civil égyptien désormais attaché à l’Université de Liège ainsi qu’à l’entreprise Qualitic, après un passage par le Japon. Un chercheur qui se réjouissait aussi voici quelques jours à Louvain-la-Neuve d’avoir pu bénéficier de ce programme alors que la planète baignait en pleine pandémie et que les déplacements n’étaient pas des plus aisés.

« Ce programme BEWARE visait à recruter 75 scientifiques étrangers », confirme Didier Flagothier, qui est à la tête du service des programmes de recherches internationaux au SPW EER (Economie, emploi, recherche). « Mais à cause de la pandémie, la mobilité de ces chercheurs a connu quelques difficultés. Ainsi, un chercheur australien, bien que sélectionné, n’a pas pu quitter l’Australie confinée».

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Des scientifiques en poste jusqu’en 2025

Si, au final, la moitié seulement du nombre de chercheurs potentiellement recrutables dans le cadre de ce programme a pu arriver en Wallonie, ce n’est pas faute d’en avoir fait la promotion. « Tous nos canaux d’information ont été sollicités, et ils ont très bien travaillé », souligne Didier Flagothier. « Je pense, notamment, aux relais européens comme le service Euraxess qui facilite la mobilité des chercheurs, mais aussi au travail des agents de liaison scientifiques de Wallonie-Bruxelles International

Les chercheurs recrutés resteront en poste jusqu’en 2025, mais il n’y a plus de nouvel appel à candidatures. Réunis à Louvain-la-Neuve voici quelques jours pour « l’événement final » de ce programme, l’heure était au bilan.

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Mise en réseau au niveau régional

Utile ce programme? Assurément. Y a-t-il moyen de mieux faire? Certainement. Par exemple, en mettant d’emblée les chercheurs Beware en réseau.

 

« Nous travaillons chacun dans nos université et entreprises », commente Sivaramakhrisnan Ganesan. Ce chercheur indien est attaché au Centre de recherche Multitel, à Mons, ainsi qu’à l’entreprise D-TEK. Il travaille sur le système photonique de détection des maladies auto-immunes.

 

« Nous gagnerions à nous rencontrer plus tôt dans le cadre de ce programme. Si chacun travaille sur son propre projet, certaines technologies que nous étudions et développons sont de même nature. Nous pouvons aussi avoir, pour certains, des besoins techniques communs, qui existent peut-être ailleurs en Wallonie. En nous rencontrant et en échangeant avec les autres chercheurs de ce programme, nous pourrions gagner encore en efficacité », estime-t-il.

 

Une suggestion qui n’est pas passée inaperçue. Si un troisième programme Beware devait voir le jour, après 2025, cette dimension « réseau » reviendra sans aucun doute sur le tapis.

 

D’autant que lors de la soirée de clôture du programme Beware 2, Pavlo Bazilinskyy, le trésorier de l’association des anciens bénéficiaires des outils européens de mobilité des chercheurs « MSCA », dont relève le cofinancement du programme Beware, a pointé toute la pertinence de ce type de réseaux.

 

« Il est utile pour développer la recherche, la mobilité mais aussi la carrière des chercheurs. Sans oublier la transformation de leurs recherches en nouveaux produits et services, via la mise sur pied de start-ups », confirme celui dont l’association totalise quelque 20.000 membres.

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Des bénéfices pour tous: chercheurs, universités et entreprises

Si un des objectifs majeurs du programme Beware 2 est bien de développer la compétitivité des entreprises wallonnes grâce à la recherche, qu’en est-il des partenaires académiques? La professeure Carine Michiels, vice-rectrice à la Recherche à l’Université de Namur applaudit.

 

« Ce programme a permis d’établir des collaborations durables et de qualité avec de nouvelles entreprises wallonnes, majoritairement des TPE/PME, de favoriser des contacts et le montage de projets d’envergure avec ces entreprises, d’envisager le montage de nouveaux projets suite aux résultats obtenus, et de mener à des transferts technologiques vers le tissu économique wallon et d’accroître sa visibilité internationale et celles de ses équipes de recherche », résume-t-elle dans la brochure dressant le portrait de quelques chercheurs « Beware 2 ».

 

Et à l’UNamur, on sait de quoi on parle. Un de ses précédents chercheur Beware, le Dr Tarek Barakat, libanais d’origine, a développé une solution technique pour dépolluer les fumées des poêles à bois. Une avancée qui a fait l’objet d’un dépôt de brevet et qui a, depuis, bénéficié d’un nouveau financement wallon FIRST Spin-Off. Son objectif: faire la preuve de la validité technique de son innovation et mettre sur pied une entreprise spécialisée en solutions catalytiques pour l’épuration de l’air.

 

Source: article de Christian Du Brulle pour Daily Science.

 

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Élaborer un système de surveillance du béton des ponts par des drones. Remplacer les protéines animales de l’alimentation par des insectes. Détecter rapidement et efficacement des maladies auto-immunes via des capteurs photoniques sur des puces microfluidiques. Ou encore, simuler, puis mettre au point, un matériau en carbone pour détecter en continu la présence de certains gaz dans des environnements spécifiques.

 

Tous ces projets ont au minimum quatre points communs. Ils mobilisent chacun un chercheur ou une chercheuse de haut niveau venu.e de l’étranger disposant au moins d’une expérience postdoctorale. Ils impliquent à la fois un partenaire académique (université, haute école ou centre de recherche agréé) et une entreprise. Ils se déroulent en Wallonie et sur une période longue. Enfin, ils relèvent tous, comme 28 autres projets du même type, du programme Beware 2 (BElgian WAllonia REsearcher), cofinancé par la Région wallonne (SPW EER) et l’Union européenne.

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Un programme ambitieux plombé par la pandémie

Au total, ce sont 32 chercheurs de haut vol qui, depuis 2020, ont posé leurs valises en Wallonie dans le cadre de cet ambitieux programme. « Une expérience extraordinaire », assure Mahmoud Eissa, un ingénieur civil égyptien désormais attaché à l’Université de Liège ainsi qu’à l’entreprise Qualitic, après un passage par le Japon. Un chercheur qui se réjouissait aussi voici quelques jours à Louvain-la-Neuve d’avoir pu bénéficier de ce programme alors que la planète baignait en pleine pandémie et que les déplacements n’étaient pas des plus aisés.

« Ce programme BEWARE visait à recruter 75 scientifiques étrangers », confirme Didier Flagothier, qui est à la tête du service des programmes de recherches internationaux au SPW EER (Economie, emploi, recherche). « Mais à cause de la pandémie, la mobilité de ces chercheurs a connu quelques difficultés. Ainsi, un chercheur australien, bien que sélectionné, n’a pas pu quitter l’Australie confinée».

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Des scientifiques en poste jusqu’en 2025

Si, au final, la moitié seulement du nombre de chercheurs potentiellement recrutables dans le cadre de ce programme a pu arriver en Wallonie, ce n’est pas faute d’en avoir fait la promotion. « Tous nos canaux d’information ont été sollicités, et ils ont très bien travaillé », souligne Didier Flagothier. « Je pense, notamment, aux relais européens comme le service Euraxess qui facilite la mobilité des chercheurs, mais aussi au travail des agents de liaison scientifiques de Wallonie-Bruxelles International

Les chercheurs recrutés resteront en poste jusqu’en 2025, mais il n’y a plus de nouvel appel à candidatures. Réunis à Louvain-la-Neuve voici quelques jours pour « l’événement final » de ce programme, l’heure était au bilan.

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Mise en réseau au niveau régional

Utile ce programme? Assurément. Y a-t-il moyen de mieux faire? Certainement. Par exemple, en mettant d’emblée les chercheurs Beware en réseau.

 

« Nous travaillons chacun dans nos université et entreprises », commente Sivaramakhrisnan Ganesan. Ce chercheur indien est attaché au Centre de recherche Multitel, à Mons, ainsi qu’à l’entreprise D-TEK. Il travaille sur le système photonique de détection des maladies auto-immunes.

 

« Nous gagnerions à nous rencontrer plus tôt dans le cadre de ce programme. Si chacun travaille sur son propre projet, certaines technologies que nous étudions et développons sont de même nature. Nous pouvons aussi avoir, pour certains, des besoins techniques communs, qui existent peut-être ailleurs en Wallonie. En nous rencontrant et en échangeant avec les autres chercheurs de ce programme, nous pourrions gagner encore en efficacité », estime-t-il.

 

Une suggestion qui n’est pas passée inaperçue. Si un troisième programme Beware devait voir le jour, après 2025, cette dimension « réseau » reviendra sans aucun doute sur le tapis.

 

D’autant que lors de la soirée de clôture du programme Beware 2, Pavlo Bazilinskyy, le trésorier de l’association des anciens bénéficiaires des outils européens de mobilité des chercheurs « MSCA », dont relève le cofinancement du programme Beware, a pointé toute la pertinence de ce type de réseaux.

 

« Il est utile pour développer la recherche, la mobilité mais aussi la carrière des chercheurs. Sans oublier la transformation de leurs recherches en nouveaux produits et services, via la mise sur pied de start-ups », confirme celui dont l’association totalise quelque 20.000 membres.

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Des bénéfices pour tous: chercheurs, universités et entreprises

Si un des objectifs majeurs du programme Beware 2 est bien de développer la compétitivité des entreprises wallonnes grâce à la recherche, qu’en est-il des partenaires académiques? La professeure Carine Michiels, vice-rectrice à la Recherche à l’Université de Namur applaudit.

 

« Ce programme a permis d’établir des collaborations durables et de qualité avec de nouvelles entreprises wallonnes, majoritairement des TPE/PME, de favoriser des contacts et le montage de projets d’envergure avec ces entreprises, d’envisager le montage de nouveaux projets suite aux résultats obtenus, et de mener à des transferts technologiques vers le tissu économique wallon et d’accroître sa visibilité internationale et celles de ses équipes de recherche », résume-t-elle dans la brochure dressant le portrait de quelques chercheurs « Beware 2 ».

 

Et à l’UNamur, on sait de quoi on parle. Un de ses précédents chercheur Beware, le Dr Tarek Barakat, libanais d’origine, a développé une solution technique pour dépolluer les fumées des poêles à bois. Une avancée qui a fait l’objet d’un dépôt de brevet et qui a, depuis, bénéficié d’un nouveau financement wallon FIRST Spin-Off. Son objectif: faire la preuve de la validité technique de son innovation et mettre sur pied une entreprise spécialisée en solutions catalytiques pour l’épuration de l’air.

 

Source: article de Christian Du Brulle pour Daily Science.

 

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©️ J. Van Belle - WBI

Depuis 8 ans, les Rencontres Chorégraphiques de Casablanca sont un rendez-vous important de la danse contemporaine au Maroc. Réunissant des compagnies et des professionnels du secteur de la danse du monde entier, elles ont à cœur de donner à la danse contemporaine la place qu'elle mérite dans le paysage culturel marocain.

 

Pour cette 8ème édition, du 12 au 16 octobre 2022, la Belgique était mise à l'honneur avec trois compagnies : la Compagnie Abis de Julien Carlier, la Compagnie No Way Back de Milan Emmanuel et la Compagnie Hiros VZW de Cassiel Gaube.

 

Les Rencontres Chorégraphiques de Casablanca, organisées par la Compagnie Col'jam, tiennent à soutenir la nouvelle génération de chorégraphes et danseurs en proposant une plateforme jeune création et en mettant l'accent sur la formation des danseurs locaux. Elles offrent également une large place aux résidences, aux master class et aux auditions avec les chorégraphes invités. Enfin, elles visent aussi à donner aux compagnies, aux programmateurs et aux professionnels du secteur de la danse marocains et internationaux l'opportunité de partager leur travail et d'échanger leurs expériences et leurs points de vue lors de tables rondes et de rencontres. Les Rencontres Chorégraphiques visent à encourager la réflexion et à créer des ponts pour favoriser l'échange et la coopération culturelle.

 

Ainsi, nos trois compagnies ont participé à la rencontre professionnelle qui a eu lieu le vendredi 14 octobre, avec autour de la table de nombreux artistes, programmateurs, diffuseurs et représentants d'institutions culturelles. Véronique Laheyne, Directrice de Wallonie-Bruxelles Théâtre Danse était également au rendez-vous.

 

C'est la Cie Abis, du danseur et chorégraphe Julien Carlier, qui a présenté en premier son spectacle. Trajectoires, c'est la rencontre de Julien Carlier de Gaëlle Solal, guitariste. A travers leurs disciplines respectives, ils cherchent un moyen de se connecter l'un à l'autre. Les mouvements du danseur et les notes de la musicienne se cherchent et se répondent, tout en poésie.

 

Le lendemain, le danseur et chorégraphe Milan Emmanuel et sa compagnie No Way Back ont présenté le spectacle Wehch Morocco, dans lequel les danseurs représentent une jeunesse forte, prête à affronter les défis qui l'attendent. Avec fierté et énergie, ils confrontent et entremêlent le respect des traditions et l'ouverture au monde.

 

C'est le danseur et chorégraphe Cassiel Gaube et sa compagnie Hiros qui ont eu la joie de clôturer à la fois ce Focus Belgique et les Rencontres Chorégraphiques. Avec Soirée d'études, il explore le vocabulaire de la House Dance dans une série d'études en constante évolution.

 

Ce Focus Belgique a été rendu possible grâce au soutien de WBI, de Wallonie-Bruxelles Théâtre Danse et de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Maroc.

Depuis 8 ans, les Rencontres Chorégraphiques de Casablanca sont un rendez-vous important de la danse contemporaine au Maroc. Réunissant des compagnies et des professionnels du secteur de la danse du monde entier, elles ont à cœur de donner à la danse contemporaine la place qu'elle mérite dans le paysage culturel marocain.

 

Pour cette 8ème édition, du 12 au 16 octobre 2022, la Belgique était mise à l'honneur avec trois compagnies : la Compagnie Abis de Julien Carlier, la Compagnie No Way Back de Milan Emmanuel et la Compagnie Hiros VZW de Cassiel Gaube.

 

Les Rencontres Chorégraphiques de Casablanca, organisées par la Compagnie Col'jam, tiennent à soutenir la nouvelle génération de chorégraphes et danseurs en proposant une plateforme jeune création et en mettant l'accent sur la formation des danseurs locaux. Elles offrent également une large place aux résidences, aux master class et aux auditions avec les chorégraphes invités. Enfin, elles visent aussi à donner aux compagnies, aux programmateurs et aux professionnels du secteur de la danse marocains et internationaux l'opportunité de partager leur travail et d'échanger leurs expériences et leurs points de vue lors de tables rondes et de rencontres. Les Rencontres Chorégraphiques visent à encourager la réflexion et à créer des ponts pour favoriser l'échange et la coopération culturelle.

 

Ainsi, nos trois compagnies ont participé à la rencontre professionnelle qui a eu lieu le vendredi 14 octobre, avec autour de la table de nombreux artistes, programmateurs, diffuseurs et représentants d'institutions culturelles. Véronique Laheyne, Directrice de Wallonie-Bruxelles Théâtre Danse était également au rendez-vous.

 

C'est la Cie Abis, du danseur et chorégraphe Julien Carlier, qui a présenté en premier son spectacle. Trajectoires, c'est la rencontre de Julien Carlier de Gaëlle Solal, guitariste. A travers leurs disciplines respectives, ils cherchent un moyen de se connecter l'un à l'autre. Les mouvements du danseur et les notes de la musicienne se cherchent et se répondent, tout en poésie.

 

Le lendemain, le danseur et chorégraphe Milan Emmanuel et sa compagnie No Way Back ont présenté le spectacle Wehch Morocco, dans lequel les danseurs représentent une jeunesse forte, prête à affronter les défis qui l'attendent. Avec fierté et énergie, ils confrontent et entremêlent le respect des traditions et l'ouverture au monde.

 

C'est le danseur et chorégraphe Cassiel Gaube et sa compagnie Hiros qui ont eu la joie de clôturer à la fois ce Focus Belgique et les Rencontres Chorégraphiques. Avec Soirée d'études, il explore le vocabulaire de la House Dance dans une série d'études en constante évolution.

 

Ce Focus Belgique a été rendu possible grâce au soutien de WBI, de Wallonie-Bruxelles Théâtre Danse et de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Maroc.

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