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Wallonie-Bruxelles Musiques propose un nouveau programme de soutien à la filière de la musique à l'image en Fédération Wallonie-Bruxelles. À ce titre, un programme professionnel complet dont les modalités sont reprises ci-dessous sera mis en place dès l'année 2023 pour permettre aux opérateur·ices concerné·es d'approfondir leurs connaissances et leurs réseaux dans ce domaine.

 

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Pourquoi la musique à l'image?

Le secteur de l’image animée est relativement peu investi par les opérateur·rices de FWB malgré qu’il représente une source importante d’activité et de rayonnement potentiels, notamment à l’international.

 

Dans un contexte de mobilité fragilisée, le canal de diffusion offert par la création d'œuvres originales ou la synchronisation de catalogue sur des oeuvres existantes représente plus que jamais une source crédible de revenus, en plus des activités liées à la production discographique ou aux représentations publiques.

 

Dans le cadre de la diversification de ses actions, Wallonie-Bruxelles Musiques a jugé opportun de soutenir le développement d’une filière de la Musique à l’Image, en collaboration avec les institutions fédérales, régionales et communautaires déjà actives dans le secteur.

 

A cet effet, l’agence a créé un programme d'accompagnement spécifique qui mêle formation, réseautage et présence dans les marchés étrangers, à destination d’une sélection de professionnel·les sur une durée de trois ans.

 

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En pratique

Le programme se déroule principalement à Bruxelles, de début février à fin juin 2023. Il s’adresse aux créateur·rices (musiciens & musiciennes) ainsi qu’aux structures (labels et sociétés d’édition) actif·ves dans le secteur de la musique à l’image ou ayant une stratégie à mettre en place dans les prochaines années.

 

20 participant·es seront sélectionné·es avant la fin 2022, en respectant les équilibres suivants :

 

  • 50% artistes / compositeur·rices - 50% labels / sociétés d’édition
  • Parité des genres respectée
  • La diversité des niveaux d’expérience dans ce secteur spécifique (débutant·es / engagé·es / confirmé·es). Attention, une expérience conséquente dans le secteur musical sera cependant exigée.

Il est prévu :

  • 3 rencontres en présentiel minimum, qui auront pour sujets principaux les aspects juridiques et commerciaux, les pratiques, les réseaux, les acteur·rices et les événements professionnels importants en Europe et dans le monde, avec un focus sur les marchés limitrophes de la Belgique.
  • Un voyage de 3 jours au festival Musique & Cinéma à Marseille (27 mars / 1er avril), où une série d’activités spécifiques et de rencontres dédiées seront proposées par WBM et le festival aux participant·es.
  • Une rencontre de debriefing et de clôture de ce premier volet, qui permettra de co-construire la suite des activités, dès septembre 2023.

L'ensemble des activités sera pris en charge par Wallonie-Bruxelles Musiques et ses partenaires, y compris le voyage, le logement et l’accréditation au festival à Marseille. Les participant·es devront seulement couvrir les repas lors de ce déplacement.

 

Ce programme est accessible aux opérateur·rices domicilié·es en Fédération Wallonie-Bruxelles. Une seule personne par structure pourra être sélectionnée. Les candidatures sont acceptées jusqu’au vendredi 23 décembre 2022. Les candidat·es retenu·es seront prévenu·es au plus tard le 31 décembre 2022.

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Calendrier du programme

Le calendrier prévisionnel de la suite des activités est le suivant :

 

Fin janvier: Séance d’information 

Bases du programme, vue globale des enjeux et des objectifs. Présentation des données élémentaires du secteur..

 

Début février: Séance de formation #1

Se préparer à s’internationaliser. Rôle et soutien de Screen.Brussels, WBImages, Wallimages +  aspects légaux et administratifs des collaborations internationales + les principaux événements professionnels.

 

Fin février: Séance de formation #2 avec l’équipe du festival Musique et Cinéma

Introduction à l’événement, préparation des moments de réseautage et des diverses activités prévues.

 

27 mars - 1er avril : Festival Musique et Cinéma à Marseille

Sessions de rencontre et de réseautage, formations spécifiques et réceptions / drinks dédiés

 

Mai: Séance de formation #3

Considérations techniques pour l’accès au marché : Taggage, distribution, synchronisation, édition.

 

Juin: Séance de clôture

Évaluation, préparation de la suite du cycle de formation

 

Déposer votre candidature pour le programme ici.

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Wallonie-Bruxelles Musiques propose un nouveau programme de soutien à la filière de la musique à l'image en Fédération Wallonie-Bruxelles. À ce titre, un programme professionnel complet dont les modalités sont reprises ci-dessous sera mis en place dès l'année 2023 pour permettre aux opérateur·ices concerné·es d'approfondir leurs connaissances et leurs réseaux dans ce domaine.

 

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Pourquoi la musique à l'image?

Le secteur de l’image animée est relativement peu investi par les opérateur·rices de FWB malgré qu’il représente une source importante d’activité et de rayonnement potentiels, notamment à l’international.

 

Dans un contexte de mobilité fragilisée, le canal de diffusion offert par la création d'œuvres originales ou la synchronisation de catalogue sur des oeuvres existantes représente plus que jamais une source crédible de revenus, en plus des activités liées à la production discographique ou aux représentations publiques.

 

Dans le cadre de la diversification de ses actions, Wallonie-Bruxelles Musiques a jugé opportun de soutenir le développement d’une filière de la Musique à l’Image, en collaboration avec les institutions fédérales, régionales et communautaires déjà actives dans le secteur.

 

A cet effet, l’agence a créé un programme d'accompagnement spécifique qui mêle formation, réseautage et présence dans les marchés étrangers, à destination d’une sélection de professionnel·les sur une durée de trois ans.

 

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En pratique

Le programme se déroule principalement à Bruxelles, de début février à fin juin 2023. Il s’adresse aux créateur·rices (musiciens & musiciennes) ainsi qu’aux structures (labels et sociétés d’édition) actif·ves dans le secteur de la musique à l’image ou ayant une stratégie à mettre en place dans les prochaines années.

 

20 participant·es seront sélectionné·es avant la fin 2022, en respectant les équilibres suivants :

 

  • 50% artistes / compositeur·rices - 50% labels / sociétés d’édition
  • Parité des genres respectée
  • La diversité des niveaux d’expérience dans ce secteur spécifique (débutant·es / engagé·es / confirmé·es). Attention, une expérience conséquente dans le secteur musical sera cependant exigée.

Il est prévu :

  • 3 rencontres en présentiel minimum, qui auront pour sujets principaux les aspects juridiques et commerciaux, les pratiques, les réseaux, les acteur·rices et les événements professionnels importants en Europe et dans le monde, avec un focus sur les marchés limitrophes de la Belgique.
  • Un voyage de 3 jours au festival Musique & Cinéma à Marseille (27 mars / 1er avril), où une série d’activités spécifiques et de rencontres dédiées seront proposées par WBM et le festival aux participant·es.
  • Une rencontre de debriefing et de clôture de ce premier volet, qui permettra de co-construire la suite des activités, dès septembre 2023.

L'ensemble des activités sera pris en charge par Wallonie-Bruxelles Musiques et ses partenaires, y compris le voyage, le logement et l’accréditation au festival à Marseille. Les participant·es devront seulement couvrir les repas lors de ce déplacement.

 

Ce programme est accessible aux opérateur·rices domicilié·es en Fédération Wallonie-Bruxelles. Une seule personne par structure pourra être sélectionnée. Les candidatures sont acceptées jusqu’au vendredi 23 décembre 2022. Les candidat·es retenu·es seront prévenu·es au plus tard le 31 décembre 2022.

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Calendrier du programme

Le calendrier prévisionnel de la suite des activités est le suivant :

 

Fin janvier: Séance d’information 

Bases du programme, vue globale des enjeux et des objectifs. Présentation des données élémentaires du secteur..

 

Début février: Séance de formation #1

Se préparer à s’internationaliser. Rôle et soutien de Screen.Brussels, WBImages, Wallimages +  aspects légaux et administratifs des collaborations internationales + les principaux événements professionnels.

 

Fin février: Séance de formation #2 avec l’équipe du festival Musique et Cinéma

Introduction à l’événement, préparation des moments de réseautage et des diverses activités prévues.

 

27 mars - 1er avril : Festival Musique et Cinéma à Marseille

Sessions de rencontre et de réseautage, formations spécifiques et réceptions / drinks dédiés

 

Mai: Séance de formation #3

Considérations techniques pour l’accès au marché : Taggage, distribution, synchronisation, édition.

 

Juin: Séance de clôture

Évaluation, préparation de la suite du cycle de formation

 

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Valérie Barkowski | Les Belges Histoires

Si Valérie Barkowski sème son style un peu partout dans le monde, enchainant les chantiers de New York à Marrakech et créant marques et concepts dans de nombreux pays, c’est aussi dans le monde et ses cultures et techniques ancestrales que Valérie puise son inspiration. Elle qui a grandi face à la mer du Nord, en rêvant toujours de voyages, découvre le Maroc en 1991. C’est un choc: culture, couleurs, odeurs, techniques anciennes, rapport au temps, aux gens… Tout est à découvrir et tout la séduit. Elle décide de s’installer à Marrakech et y rénove un riad, Dar Kawa, qui deviendra sa maison, une vitrine pour son style épuré et une maison d’hôtes. De sa collaboration avec les artisans marocains naitront différentes marques: Mia Zia et V. Barkowski, que l’on trouve aujourd’hui dans sa boutique atelier VB store au cœur de la Medina. 

 

Mais le Maroc n’est pas le seul pays inspirant pour la créatrice. De ses voyages et rencontres, elle tire toujours la quintessence de la beauté, grâce à sa curiosité envers les techniques traditionnelles, mais aussi envers les gens: ceux qui fabriquent, ainsi que ceux qui utilisent ses créations. C’est ainsi qu’en marge de la luxueuse ligne de linge de maison Bandit Queen qu’elle crée de A à Z, on la retrouve en Inde avec la Marque No-Mad 97% India qu’elle destine aux consommateurs indiens en revisitant avec style leurs objets du quotidien. 

 

Menée par une insatiable curiosité, un œil aiguisé, une passion pour le style intemporel et une philosophie qui intègre l’humain et l’environnement, elle n’a pas fini de nous surprendre. Directrice artistique pour des marques telles que Lafayette Maison, Ligne Roset, Nuxe, AM.PM (La Redoute)… ou des magazines: Libre essentielle (magazine), Le Figaro Madame (magazine)… styliste et décoratrice d’intérieur ; heureuse qui, comme Valérie Barkowski a fait de beaux voyages.

 
 

 

En savoir plus

https://valeriebarkowski.com

https://www.instagram.com/valeriebarkowski/?hl=fr

https://www.facebook.com/valeriebarkowskidesign/

 

 

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Les Belges Histoires - Les talents de Wallonie-Bruxelles

WBI, en partenariat avec la RTBF, vous propose de découvrir les portraits de belges francophones qui font rayonner Wallonie-Bruxelles.

Découvrez la série de portraits :

>> Les Belges Histoires

 

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Nos aides et services

Wallonie-Bruxelles International vous aide à développer vos projets à l’international avec des formations, des coachings, des missions de prospections, des aides financières…

>> Aides & services

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Si Valérie Barkowski sème son style un peu partout dans le monde, enchainant les chantiers de New York à Marrakech et créant marques et concepts dans de nombreux pays, c’est aussi dans le monde et ses cultures et techniques ancestrales que Valérie puise son inspiration. Elle qui a grandi face à la mer du Nord, en rêvant toujours de voyages, découvre le Maroc en 1991. C’est un choc: culture, couleurs, odeurs, techniques anciennes, rapport au temps, aux gens… Tout est à découvrir et tout la séduit. Elle décide de s’installer à Marrakech et y rénove un riad, Dar Kawa, qui deviendra sa maison, une vitrine pour son style épuré et une maison d’hôtes. De sa collaboration avec les artisans marocains naitront différentes marques: Mia Zia et V. Barkowski, que l’on trouve aujourd’hui dans sa boutique atelier VB store au cœur de la Medina. 

 

Mais le Maroc n’est pas le seul pays inspirant pour la créatrice. De ses voyages et rencontres, elle tire toujours la quintessence de la beauté, grâce à sa curiosité envers les techniques traditionnelles, mais aussi envers les gens: ceux qui fabriquent, ainsi que ceux qui utilisent ses créations. C’est ainsi qu’en marge de la luxueuse ligne de linge de maison Bandit Queen qu’elle crée de A à Z, on la retrouve en Inde avec la Marque No-Mad 97% India qu’elle destine aux consommateurs indiens en revisitant avec style leurs objets du quotidien. 

 

Menée par une insatiable curiosité, un œil aiguisé, une passion pour le style intemporel et une philosophie qui intègre l’humain et l’environnement, elle n’a pas fini de nous surprendre. Directrice artistique pour des marques telles que Lafayette Maison, Ligne Roset, Nuxe, AM.PM (La Redoute)… ou des magazines: Libre essentielle (magazine), Le Figaro Madame (magazine)… styliste et décoratrice d’intérieur ; heureuse qui, comme Valérie Barkowski a fait de beaux voyages.

 
 

 

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Les Belges Histoires - Les talents de Wallonie-Bruxelles

WBI, en partenariat avec la RTBF, vous propose de découvrir les portraits de belges francophones qui font rayonner Wallonie-Bruxelles.

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Wallonie-Bruxelles International vous aide à développer vos projets à l’international avec des formations, des coachings, des missions de prospections, des aides financières…

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La délégation Wallonie-Bruxelles en visite à l'AIST © WBI - AWEX

Une importante délégation composée de représentants académiques, de la recherche et de l’industrie a rendu visite au prestigieux Institut National des Sciences et Technologies Industrielles Avancées du Japon, l’AIST. A cette occasion, ils ont rencontrés, dans les bâtiments du Tokyo Waterfront, les directeurs du Global Zero Emission Research Center et du Industrial Cyber-Physical Systems Research Center et échangé sur leurs mission, organisation, sources de financement et stratégies collaborative autour d’enjeux clés comme la décarbonation et la cyber sécurité.

 

Pascale Delcomminette, tout en présentant les stratégies et les initiatives politiques mises en œuvre en Wallonie et en Fédération Wallonie-Bruxelles pour soutenir l'innovation dans les domaines des technologies numériques et de l’environnement,  a réaffirmé le soutien de WBI et de l’AWEX à davantage d’échanges et de collaborations en matière de technologies et de services entre les Universités et les entreprises de notre territoire et du Japon afin d’accomplir les transitions énergétiques et digitales de notre époque.

 

Le Professeur Vincent Blondel de l’UCLouvain a présenté, au nom des représentants académiques présents, les écosystèmes locaux et régionaux tels que le programme Digital Wallonia et le TRAIL institute, qui coordonne la valorisation industrielle de l’excellence scientifique de la Fédération Wallonie-Bruxelles dans les domaines stratégiques clés de l’environnement et de la numérisation. A l’instar de Pascale Delcomminette, il a invité à davantage d’échanges entre les participants afin d’accélérer la métamorphose de nos sociétés en insistant notamment sur l’importance de la formation et la mobilité des talents entre le Japon et Wallonie-Bruxelles.


Créé en 2001, l’Institut national pour les sciences et technologies avancées industrielles (AIST) est un institut public de recherche associé au ministère japonais de l'économie, du commerce et de l'industrie (METI). Il est dédié à la recherche fondamentale et appliquée, au développement et à la concrétisation technologique pour l’industrie. L'organisation a le statut d'une institution administrative indépendante et intègre 15 instituts de recherche et l'Institut de formation aux poids et mesures du METI. 

 

Les activités de l'AIST sont multiples dans des domaines aussi divers que l'ingénierie, la robotique, la microfabrication, l'automatisation, le numérique, les communications et les technologies de l'information, l'environnement, l'instrumentation, les matériaux et la médecine.

 

L'AIST Tokyo Waterfront promeut des activités de R&D de pointe axées sur la fusion des technologies de l'information et de la biologie, telles que le développement d'un processus rationnel de découverte de médicaments utilisant la robotique et la biologie computationnelle, l'utilisation médicale des données génomiques, la recherche en intelligence artificielle, la création de valeurs à partir de données massives, la numérisation des fonctions et des comportements humains, etc. Situé à Tokyo, le partenariat public-privé est mis en œuvre de manière proactive par le biais de diverses collaborations, de transferts de technologie, de l'encouragement des jeunes chercheurs, d'activités de sensibilisation, etc.

Une importante délégation composée de représentants académiques, de la recherche et de l’industrie a rendu visite au prestigieux Institut National des Sciences et Technologies Industrielles Avancées du Japon, l’AIST. A cette occasion, ils ont rencontrés, dans les bâtiments du Tokyo Waterfront, les directeurs du Global Zero Emission Research Center et du Industrial Cyber-Physical Systems Research Center et échangé sur leurs mission, organisation, sources de financement et stratégies collaborative autour d’enjeux clés comme la décarbonation et la cyber sécurité.

 

Pascale Delcomminette, tout en présentant les stratégies et les initiatives politiques mises en œuvre en Wallonie et en Fédération Wallonie-Bruxelles pour soutenir l'innovation dans les domaines des technologies numériques et de l’environnement,  a réaffirmé le soutien de WBI et de l’AWEX à davantage d’échanges et de collaborations en matière de technologies et de services entre les Universités et les entreprises de notre territoire et du Japon afin d’accomplir les transitions énergétiques et digitales de notre époque.

 

Le Professeur Vincent Blondel de l’UCLouvain a présenté, au nom des représentants académiques présents, les écosystèmes locaux et régionaux tels que le programme Digital Wallonia et le TRAIL institute, qui coordonne la valorisation industrielle de l’excellence scientifique de la Fédération Wallonie-Bruxelles dans les domaines stratégiques clés de l’environnement et de la numérisation. A l’instar de Pascale Delcomminette, il a invité à davantage d’échanges entre les participants afin d’accélérer la métamorphose de nos sociétés en insistant notamment sur l’importance de la formation et la mobilité des talents entre le Japon et Wallonie-Bruxelles.


Créé en 2001, l’Institut national pour les sciences et technologies avancées industrielles (AIST) est un institut public de recherche associé au ministère japonais de l'économie, du commerce et de l'industrie (METI). Il est dédié à la recherche fondamentale et appliquée, au développement et à la concrétisation technologique pour l’industrie. L'organisation a le statut d'une institution administrative indépendante et intègre 15 instituts de recherche et l'Institut de formation aux poids et mesures du METI. 

 

Les activités de l'AIST sont multiples dans des domaines aussi divers que l'ingénierie, la robotique, la microfabrication, l'automatisation, le numérique, les communications et les technologies de l'information, l'environnement, l'instrumentation, les matériaux et la médecine.

 

L'AIST Tokyo Waterfront promeut des activités de R&D de pointe axées sur la fusion des technologies de l'information et de la biologie, telles que le développement d'un processus rationnel de découverte de médicaments utilisant la robotique et la biologie computationnelle, l'utilisation médicale des données génomiques, la recherche en intelligence artificielle, la création de valeurs à partir de données massives, la numérisation des fonctions et des comportements humains, etc. Situé à Tokyo, le partenariat public-privé est mis en œuvre de manière proactive par le biais de diverses collaborations, de transferts de technologie, de l'encouragement des jeunes chercheurs, d'activités de sensibilisation, etc.

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(c) Ministry of Foreign Affairs Belgium & Wallonia Export & Investment Agency

Cette mission princière, la 6e à se dérouler au Japon, est organisée par l’Agence pour le Commerce extérieur (ACE), les agences régionales du commerce extérieur, -l'Agence wallonne à l’Exportation et aux Investissements étrangers (AWEX) en partenariat avec Wallonie-Bruxelles International (WBI), WB Campus, Hub Brussels, Flanders Investment & Trade-, et le SPF Affaires étrangères. Celle-ci se rendra successivement à Tokyo, Nagoya, Kobe, Osaka et Kyoto.

 

Il s’agit également d’une des plus importantes missions princières en termes de nombre de participants puisque 224 entreprises belges sont attendues, dont 51 wallonnes et 35 institutions académiques, dont 21 francophones (62,9%), soit un total de 575 participants.

 

3e économie mondiale après les Etats-Unis et la Chine, le Japon reste un partenaire majeur des pays européens en Asie. En effet, le Japon représente le 7e marché d’exportation de l’Union européenne et le 2e partenaire commercial en Asie, après la Chine. Il possède un marché mature et sophistiqué dans de nombreux secteurs. Il est en outre un pays fer de lance de l’innovation et des nouveaux services, où les entreprises ayant un savoir-faire et des technologies à valoriser dans l’industrie, les transports, la santé et le numérique, peuvent développer des relations d’affaires et des partenariats stratégiques.

 

Le Japon, comme l’ensemble des pays industrialisés, est également confronté à des défis énormes en termes d’émissions carbone à réduire et de décarbonation de leurs processus industriels.  Les gouvernements mettent en place des stratégies avec des objectifs à moyen/long terme pour tendre vers une neutralité carbone en 2050. Le contexte international et la crise énergétique sont venus renforcer cette tendance et la demande en solutions industrielles est très importante.

 

Pour répondre à ces enjeux stratégiques pour l’économie nippone, Wallonie-Bruxelles mettra principalement en avant ses secteurs-clés de la décarbonation, du biomanufacturing et du gaming. Plusieurs entreprises wallonnes seront mises à l’honneur à l’occasion de visites ou rencontres privilégiées comme Beal International, Xylergy, Eurogentec/Kaneka, Circuit de Spa Francorchamps, AGC, des brasseurs dans le cadre du Belgian Beer Week-end... Autre secteur clé, le gaming sera mis en lumière lors d’une activité académique. L’enseignement supérieur artistique et technique se mêlera au monde de l’entreprise dans le but de créer de nouvelles connexions tant académique qu’économique entre les deux pays.

 

Doté de centres de recherche de pointe et d’universités d’excellence, le Japon est un partenaire stratégique prioritaire de l’Union européenne en ce qui concerne les coopérations académiques, scientifiques et technologiques. Plusieurs activités et visites d’infrastructures d’enseignement supérieur, de recherche et d’innovation (l’AIST, le RIKEN, l’Université d’Osaka, l’Université de Waseda notamment) permettront à Wallonie-Bruxelles de présenter sa nouvelle stratégie de spécialisation intelligente (S3) et de promouvoir l’excellence du système d’enseignement supérieur et de recherche de la Fédération Wallonie-Bruxelles. L’organisation de ces rencontres permettra, entre autres, de renforcer les liens en termes d’enseignement supérieur entre les deux pays et d’envisager de futures collaborations à travers le programme Horizon Europe.

 

Le secteur des industries culturelles dont le Japon est un fer de lance reconnu sera également mis à l’honneur avec, outre le gaming, une exposition des sculptures de Jean-Michel Folon et des photographies de l’artiste Thierry Renauld, au musée Hakusasonso de Kyoto en partenariat avec la Fondation Folon. L’exposition sera inaugurée par S.A.R. la Princesse Astrid et sera visible par le public japonais jusqu’au 9 janvier 2023. 

 

La mission princière sera enfin l’occasion de se tourner vers l’avenir avec la préparation de la participation de Wallonie-Bruxelles et de la Belgique à l’Exposition universelle d’Osaka 2025.

 

Des signatures de contrats sont également prévues pour au moins 6 entreprises: Beal international, Incize, Néobulles, Realco, Aseptic Technologies & Takeda. En outre, pas moins de 16 accords seront signés entre les établissements d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles et les institutions japonaises, portant entre autres sur la mobilité et les échanges d’étudiants et de professeurs et la coopération entre institutions.

 

 

Cette mission princière, la 6e à se dérouler au Japon, est organisée par l’Agence pour le Commerce extérieur (ACE), les agences régionales du commerce extérieur, -l'Agence wallonne à l’Exportation et aux Investissements étrangers (AWEX) en partenariat avec Wallonie-Bruxelles International (WBI), WB Campus, Hub Brussels, Flanders Investment & Trade-, et le SPF Affaires étrangères. Celle-ci se rendra successivement à Tokyo, Nagoya, Kobe, Osaka et Kyoto.

 

Il s’agit également d’une des plus importantes missions princières en termes de nombre de participants puisque 224 entreprises belges sont attendues, dont 51 wallonnes et 35 institutions académiques, dont 21 francophones (62,9%), soit un total de 575 participants.

 

3e économie mondiale après les Etats-Unis et la Chine, le Japon reste un partenaire majeur des pays européens en Asie. En effet, le Japon représente le 7e marché d’exportation de l’Union européenne et le 2e partenaire commercial en Asie, après la Chine. Il possède un marché mature et sophistiqué dans de nombreux secteurs. Il est en outre un pays fer de lance de l’innovation et des nouveaux services, où les entreprises ayant un savoir-faire et des technologies à valoriser dans l’industrie, les transports, la santé et le numérique, peuvent développer des relations d’affaires et des partenariats stratégiques.

 

Le Japon, comme l’ensemble des pays industrialisés, est également confronté à des défis énormes en termes d’émissions carbone à réduire et de décarbonation de leurs processus industriels.  Les gouvernements mettent en place des stratégies avec des objectifs à moyen/long terme pour tendre vers une neutralité carbone en 2050. Le contexte international et la crise énergétique sont venus renforcer cette tendance et la demande en solutions industrielles est très importante.

 

Pour répondre à ces enjeux stratégiques pour l’économie nippone, Wallonie-Bruxelles mettra principalement en avant ses secteurs-clés de la décarbonation, du biomanufacturing et du gaming. Plusieurs entreprises wallonnes seront mises à l’honneur à l’occasion de visites ou rencontres privilégiées comme Beal International, Xylergy, Eurogentec/Kaneka, Circuit de Spa Francorchamps, AGC, des brasseurs dans le cadre du Belgian Beer Week-end... Autre secteur clé, le gaming sera mis en lumière lors d’une activité académique. L’enseignement supérieur artistique et technique se mêlera au monde de l’entreprise dans le but de créer de nouvelles connexions tant académique qu’économique entre les deux pays.

 

Doté de centres de recherche de pointe et d’universités d’excellence, le Japon est un partenaire stratégique prioritaire de l’Union européenne en ce qui concerne les coopérations académiques, scientifiques et technologiques. Plusieurs activités et visites d’infrastructures d’enseignement supérieur, de recherche et d’innovation (l’AIST, le RIKEN, l’Université d’Osaka, l’Université de Waseda notamment) permettront à Wallonie-Bruxelles de présenter sa nouvelle stratégie de spécialisation intelligente (S3) et de promouvoir l’excellence du système d’enseignement supérieur et de recherche de la Fédération Wallonie-Bruxelles. L’organisation de ces rencontres permettra, entre autres, de renforcer les liens en termes d’enseignement supérieur entre les deux pays et d’envisager de futures collaborations à travers le programme Horizon Europe.

 

Le secteur des industries culturelles dont le Japon est un fer de lance reconnu sera également mis à l’honneur avec, outre le gaming, une exposition des sculptures de Jean-Michel Folon et des photographies de l’artiste Thierry Renauld, au musée Hakusasonso de Kyoto en partenariat avec la Fondation Folon. L’exposition sera inaugurée par S.A.R. la Princesse Astrid et sera visible par le public japonais jusqu’au 9 janvier 2023. 

 

La mission princière sera enfin l’occasion de se tourner vers l’avenir avec la préparation de la participation de Wallonie-Bruxelles et de la Belgique à l’Exposition universelle d’Osaka 2025.

 

Des signatures de contrats sont également prévues pour au moins 6 entreprises: Beal international, Incize, Néobulles, Realco, Aseptic Technologies & Takeda. En outre, pas moins de 16 accords seront signés entre les établissements d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles et les institutions japonaises, portant entre autres sur la mobilité et les échanges d’étudiants et de professeurs et la coopération entre institutions.

 

 

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Pavillon Belge à Venise (c) Fédération Wallonie Bruxelles

Dans cette perspective, le Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles, en collaboration avec Wallonie-Bruxelles International, lance un appel dont l’objectif est de sélectionner un projet artistique développé par un.e commissaire d’exposition autour d’un.e ou plusieurs artistes plasticien.ne.s relevant de la Fédération Wallonie-Bruxelles et témoignant de la vivacité de la création contemporaine sur son territoire. L'actualité du propos du projet devra résonner au niveau international.

 

Mission

De façon transversale, la mission implique la prise en charge technique, administrative et financière,de toutes les démarches nécessaires à la réalisation de la proposition esquissée dans le cadre de l’appel à projets. Elle comprend notamment les aspects suivants:

  • La conception de l'exposition
  • La conception des oeuvres

La.le ou le.s artiste.s devront réaliser des œuvres inédites pour le pavillon belge sous la supervision du commissaire. 

  • L'organisation technique
  • La gestion

Gestion des contacts, coordination générale de l’ensemble des aspects organisationnels, organisation de la gestion quotidienne de l’exposition.

  • L'édition

Conception (en ce compris les textes, traductions, relectures et la mise en page) et tirage d’une publication.

  • La communication

Conception et réalisation d’une campagne belge et internationale de communication et de promotion de l’exposition.

 

Dès sa désignation, l’adjudicataire pourra mobiliser une ou plusieurs visites préalables du Pavillon. La prise de possession du Pavillon pourra avoir lieu courant mars 2024.

 

Les candidatures sont attendues avant le 22 février 2023.

 

Retrouvez toutes les informations sur le site de la Fédération Wallonie Bruxelles et l'appel à projets en document lié ci-dessous.

 

Dans cette perspective, le Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles, en collaboration avec Wallonie-Bruxelles International, lance un appel dont l’objectif est de sélectionner un projet artistique développé par un.e commissaire d’exposition autour d’un.e ou plusieurs artistes plasticien.ne.s relevant de la Fédération Wallonie-Bruxelles et témoignant de la vivacité de la création contemporaine sur son territoire. L'actualité du propos du projet devra résonner au niveau international.

 

Mission

De façon transversale, la mission implique la prise en charge technique, administrative et financière,de toutes les démarches nécessaires à la réalisation de la proposition esquissée dans le cadre de l’appel à projets. Elle comprend notamment les aspects suivants:

  • La conception de l'exposition
  • La conception des oeuvres

La.le ou le.s artiste.s devront réaliser des œuvres inédites pour le pavillon belge sous la supervision du commissaire. 

  • L'organisation technique
  • La gestion

Gestion des contacts, coordination générale de l’ensemble des aspects organisationnels, organisation de la gestion quotidienne de l’exposition.

  • L'édition

Conception (en ce compris les textes, traductions, relectures et la mise en page) et tirage d’une publication.

  • La communication

Conception et réalisation d’une campagne belge et internationale de communication et de promotion de l’exposition.

 

Dès sa désignation, l’adjudicataire pourra mobiliser une ou plusieurs visites préalables du Pavillon. La prise de possession du Pavillon pourra avoir lieu courant mars 2024.

 

Les candidatures sont attendues avant le 22 février 2023.

 

Retrouvez toutes les informations sur le site de la Fédération Wallonie Bruxelles et l'appel à projets en document lié ci-dessous.

 

Documents liés

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(c) Fotolia

WBI offre la possibilité aux maisons d’édition jeunesse de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) de présenter leurs ouvrages sur le stand et d’y avoir une table de rendez-vous. WBI prend en charge la réservation du stand et les frais afférents, la scénographie ainsi que le transport des ouvrages.

 

L’espace disponible pour les livres en termes d’étagères par structure sera déterminé à l’issue de la clôture de cet appel et une fois que le salon aura transmis à WBI les plans du stand. Aucune vente n’est prévue.

 

Les livres devront être déposés à WBI, au plus tard, pour le vendredi 10 février 2023. Les livres seront ramenés en Belgique après le salon. WBI vous recontactera pour fixer les jours possibles de récupération.

 

Il est demandé à chaque structure répondant positivement à cet appel de faire preuve de réactivité et de diligence quant aux demandes qui émaneront de WBI.

 

Conditions

La maison d’édition que vous représentez :

  • doit avoir son siège social situé en Wallonie ou à Bruxelles 
  • doit respecter la Charte de l’édition professionnelle (disponible sur ce lien)
  • doit avoir une activité éditoriale qui concerne majoritairement des ouvrages à destination de la jeunesse (albums, romans, BD)
  • doit prévoir du personnel physiquement présent durant la foire afin d’assurer la représentation de sa structure 
  • ne doit pas avoir de stand propre en son nom sur la Foire ni participer à un autre stand collectif 

Si ces conditions sont effectives, nous vous invitons alors à nous faire parvenir :

  • un email confirmant votre souhait de participer à ce stand collectif 
  • une présentation rédigée de votre structure en français et en anglais (une page maximum pour les deux langues) et son logo SAUF si vous avez participé à l’édition 2022 de la Foire du livre jeunesse de Bologne et que ces éléments ne doivent pas être actualisés 
  • deux visuels libres de votre choix en haute définition en vue de la brochure promotionnelle papier que nous réaliserons 

Les livres que vous souhaiterez exposer devront être solidement emballés dans des caisses sur lesquelles le nom de la structure devra être visible. Ces dernières seront à déposer à l’accueil de WBI, 2 place Sainctelette 1080 Bruxelles – à l’attention de Marie-Eve Tossani pour le vendredi 10 février 2023 au plus tard.

 

Dans la mesure où vous souhaitez y participer, nous vous demandons de nous faire part de votre réponse pour le mardi 13 décembre 2022 à 12h au plus tard par courriel : culture@wbi.be en indiquant « Bologne 2023 ».

 

Pour tout renseignement, vous pouvez contacter Marie-Eve Tossani, Attachée lettres & livres à WBI : me.tossani@wbi.be | + 32 (0) 2 421 83 64

 

Dossier suivi par :

  • Emmanuelle Lambert, Responsable du service culture de Wallonie-Bruxelles International
  • Marie-Eve Tossani, Attachée lettres et livres du service culture de Wallonie-Bruxelles International

Retrouvez les aides proposées par WBI pour les foires et salons du livre à l'étranger.

WBI offre la possibilité aux maisons d’édition jeunesse de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) de présenter leurs ouvrages sur le stand et d’y avoir une table de rendez-vous. WBI prend en charge la réservation du stand et les frais afférents, la scénographie ainsi que le transport des ouvrages.

 

L’espace disponible pour les livres en termes d’étagères par structure sera déterminé à l’issue de la clôture de cet appel et une fois que le salon aura transmis à WBI les plans du stand. Aucune vente n’est prévue.

 

Les livres devront être déposés à WBI, au plus tard, pour le vendredi 10 février 2023. Les livres seront ramenés en Belgique après le salon. WBI vous recontactera pour fixer les jours possibles de récupération.

 

Il est demandé à chaque structure répondant positivement à cet appel de faire preuve de réactivité et de diligence quant aux demandes qui émaneront de WBI.

 

Conditions

La maison d’édition que vous représentez :

  • doit avoir son siège social situé en Wallonie ou à Bruxelles 
  • doit respecter la Charte de l’édition professionnelle (disponible sur ce lien)
  • doit avoir une activité éditoriale qui concerne majoritairement des ouvrages à destination de la jeunesse (albums, romans, BD)
  • doit prévoir du personnel physiquement présent durant la foire afin d’assurer la représentation de sa structure 
  • ne doit pas avoir de stand propre en son nom sur la Foire ni participer à un autre stand collectif 

Si ces conditions sont effectives, nous vous invitons alors à nous faire parvenir :

  • un email confirmant votre souhait de participer à ce stand collectif 
  • une présentation rédigée de votre structure en français et en anglais (une page maximum pour les deux langues) et son logo SAUF si vous avez participé à l’édition 2022 de la Foire du livre jeunesse de Bologne et que ces éléments ne doivent pas être actualisés 
  • deux visuels libres de votre choix en haute définition en vue de la brochure promotionnelle papier que nous réaliserons 

Les livres que vous souhaiterez exposer devront être solidement emballés dans des caisses sur lesquelles le nom de la structure devra être visible. Ces dernières seront à déposer à l’accueil de WBI, 2 place Sainctelette 1080 Bruxelles – à l’attention de Marie-Eve Tossani pour le vendredi 10 février 2023 au plus tard.

 

Dans la mesure où vous souhaitez y participer, nous vous demandons de nous faire part de votre réponse pour le mardi 13 décembre 2022 à 12h au plus tard par courriel : culture@wbi.be en indiquant « Bologne 2023 ».

 

Pour tout renseignement, vous pouvez contacter Marie-Eve Tossani, Attachée lettres & livres à WBI : me.tossani@wbi.be | + 32 (0) 2 421 83 64

 

Dossier suivi par :

  • Emmanuelle Lambert, Responsable du service culture de Wallonie-Bruxelles International
  • Marie-Eve Tossani, Attachée lettres et livres du service culture de Wallonie-Bruxelles International

Retrouvez les aides proposées par WBI pour les foires et salons du livre à l'étranger.

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Stephanie D'heygere, Jury Prize, avec Venya Brykalin, directeur mode de Vogue Ukraine and Président du BFA Jury © J Van Belle, WBI

Cette cérémonie a eu lieu pour la cinquième fois, jeudi 24 novembre 2022, cette fois ci au MAD Brussels. De nombreux·ses créateur·ices belges et des personnalités du secteur de la mode ont été honorés, dont la grande gagnante, Stéphanie D’heygere, qui a reçu le prix du jury.

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Les Awards

Ils visent à mettre en lumière la créativité et la diversité de la mode belge, tant au niveau national qu’international. Dans le monde de la mode, la Belgique est connue pour être surréaliste, avant-gardiste et modeste. Lors de la cérémonie de remise des prix, cette modestie est mise de côté pour montrer que la mode belge est bien plus que cela. La mode belge est donc synonyme d’innovation créative, de personnalité et de durabilité.

 

Le jury international, présidé par Venya Brykalin, directeur mode de Vogue Ukraine, a choisi les lauréat·es de six des huit prix. L’agence de relations publiques et de communication UPR a aussi décerné un prix, et le huitième et dernier prix, celui de la marque de mode de l’année, a été attribué par le public. Cette année encore, les prix eux-mêmes ont été créés par le designer et céramiste anversois Wouter Hoste. Chaque gagnant·e a reçu une œuvre d’art unique.

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Les lauréats

Le Jury Prize de cette année est attribué à la créatrice de bijoux Stéphanie D’heygere. En 2018, D’heygere a fondé son propre label éponyme de bijoux et d’accessoires. Elle est saluée par le jury international pour ses créations belges et surréalistes, accessibles et inclusives.

 

« Stéphanie D’heygere mérite le prix du jury car elle a réussi à construire une communauté inclusive autour d’elle et de sa marque. À chaque fois, elle préfère la qualité à la quantité » a déclaré le jury.

 

Glenn Martens, directeur de la création chez Diesel et Y/Project, fait désormais figure de Designer of the Year 2022. Le verdict du jury a été unanime :

 

Glenn Martens est impressionnant. Son talent et sa sphère d’influence sont tout aussi impressionnants. Avec Diesel, Y/Project et sa collection haute-couture pour Jean-Paul Gaultier, il fait tout et le fait bien. Sa carrière est exemplaire, avec une continuité et une volonté de briser les règles dans le but d’une plus grande durabilité, inclusivité, démocratisation et bienveillance.

 

La jeune créatrice de mode Florentina Leitner remporte le prix du Emerging Talent of the Year. En 2020, Florentina Leitner a lancé son label éponyme, destiné à la femme “girly et amusante” qui aime les imprimés floraux avec une touche de fantaisie – en d’autres termes, une femme qui, comme elle, “aime l’art et la mode”. Elle est saluée par le jury pour sa vision du style, sa volonté de travailler de manière durable et la façon dont elle utilise l’upcycling dans ses collections. En plus d’un award, Florentina Leitner recevra également un prix en espèces de 5000 euros. De plus, le Musée mode et dentelle de Bruxelles lui achète une silhouette pour sa collection permanente.

 

Le photographe de mode belgo-marocain Mous Lamrabat a reçu le prix du Professional of the Year. Le jury l’admire pour sa façon de mêler ses racines marocaines au monde occidental dans lequel il a grandi, et d’où émerge une vision unique de la photographie de mode.

 

Le prix du Changemaker of the Year revient à Ester Manas et Balthazar Delepierre, le duo à l’origine de la marque de vêtements Ester Manas. Fondé en 2019, le label est synonyme de collections audacieuses pour les femmes puissantes et pleines d’entrain. Le jury ne tarit pas d’éloges sur le duo :

« Ester Manas est l’exemple parfait de la façon dont un jeune label indépendant peut être un véritable moteur de changement. La voix d’Ester Manas et Balthazar Delepierre est pertinente, puissante, radicale et sans compromis. Leur influence est indéniable ; ils ont réussi à repousser les limites dans le secteur de la mode.» 

 

Sebastian Van Canneyt, qui a obtenu son master à la KASK de Gand au début de l’année, a reçu le titre de Most Promising Graduate of the Year.

 

 « Nous avons tous été séduits par le travail conceptuel de Sebastian, par la tournure de l’installation artistique de sa collection de fin d’études et par sa conception et son utilisation ironiques et intelligentes du langage » a déclaré le président du jury, Venya Brykalin.

 

En outre, le prix du public Brand of the Year est décerné à la marque de vêtements belge Xandres. Enfin, le label de mode Rosie Antwerp remporte le UPR Prize de l’agence de relations publiques et de communication du même nom. Le label anversois peut compter sur son soutien professionnel pendant un an grâce à ce prix.

 

 

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Cette cérémonie a eu lieu pour la cinquième fois, jeudi 24 novembre 2022, cette fois ci au MAD Brussels. De nombreux·ses créateur·ices belges et des personnalités du secteur de la mode ont été honorés, dont la grande gagnante, Stéphanie D’heygere, qui a reçu le prix du jury.

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Les Awards

Ils visent à mettre en lumière la créativité et la diversité de la mode belge, tant au niveau national qu’international. Dans le monde de la mode, la Belgique est connue pour être surréaliste, avant-gardiste et modeste. Lors de la cérémonie de remise des prix, cette modestie est mise de côté pour montrer que la mode belge est bien plus que cela. La mode belge est donc synonyme d’innovation créative, de personnalité et de durabilité.

 

Le jury international, présidé par Venya Brykalin, directeur mode de Vogue Ukraine, a choisi les lauréat·es de six des huit prix. L’agence de relations publiques et de communication UPR a aussi décerné un prix, et le huitième et dernier prix, celui de la marque de mode de l’année, a été attribué par le public. Cette année encore, les prix eux-mêmes ont été créés par le designer et céramiste anversois Wouter Hoste. Chaque gagnant·e a reçu une œuvre d’art unique.

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Les lauréats

Le Jury Prize de cette année est attribué à la créatrice de bijoux Stéphanie D’heygere. En 2018, D’heygere a fondé son propre label éponyme de bijoux et d’accessoires. Elle est saluée par le jury international pour ses créations belges et surréalistes, accessibles et inclusives.

 

« Stéphanie D’heygere mérite le prix du jury car elle a réussi à construire une communauté inclusive autour d’elle et de sa marque. À chaque fois, elle préfère la qualité à la quantité » a déclaré le jury.

 

Glenn Martens, directeur de la création chez Diesel et Y/Project, fait désormais figure de Designer of the Year 2022. Le verdict du jury a été unanime :

 

Glenn Martens est impressionnant. Son talent et sa sphère d’influence sont tout aussi impressionnants. Avec Diesel, Y/Project et sa collection haute-couture pour Jean-Paul Gaultier, il fait tout et le fait bien. Sa carrière est exemplaire, avec une continuité et une volonté de briser les règles dans le but d’une plus grande durabilité, inclusivité, démocratisation et bienveillance.

 

La jeune créatrice de mode Florentina Leitner remporte le prix du Emerging Talent of the Year. En 2020, Florentina Leitner a lancé son label éponyme, destiné à la femme “girly et amusante” qui aime les imprimés floraux avec une touche de fantaisie – en d’autres termes, une femme qui, comme elle, “aime l’art et la mode”. Elle est saluée par le jury pour sa vision du style, sa volonté de travailler de manière durable et la façon dont elle utilise l’upcycling dans ses collections. En plus d’un award, Florentina Leitner recevra également un prix en espèces de 5000 euros. De plus, le Musée mode et dentelle de Bruxelles lui achète une silhouette pour sa collection permanente.

 

Le photographe de mode belgo-marocain Mous Lamrabat a reçu le prix du Professional of the Year. Le jury l’admire pour sa façon de mêler ses racines marocaines au monde occidental dans lequel il a grandi, et d’où émerge une vision unique de la photographie de mode.

 

Le prix du Changemaker of the Year revient à Ester Manas et Balthazar Delepierre, le duo à l’origine de la marque de vêtements Ester Manas. Fondé en 2019, le label est synonyme de collections audacieuses pour les femmes puissantes et pleines d’entrain. Le jury ne tarit pas d’éloges sur le duo :

« Ester Manas est l’exemple parfait de la façon dont un jeune label indépendant peut être un véritable moteur de changement. La voix d’Ester Manas et Balthazar Delepierre est pertinente, puissante, radicale et sans compromis. Leur influence est indéniable ; ils ont réussi à repousser les limites dans le secteur de la mode.» 

 

Sebastian Van Canneyt, qui a obtenu son master à la KASK de Gand au début de l’année, a reçu le titre de Most Promising Graduate of the Year.

 

 « Nous avons tous été séduits par le travail conceptuel de Sebastian, par la tournure de l’installation artistique de sa collection de fin d’études et par sa conception et son utilisation ironiques et intelligentes du langage » a déclaré le président du jury, Venya Brykalin.

 

En outre, le prix du public Brand of the Year est décerné à la marque de vêtements belge Xandres. Enfin, le label de mode Rosie Antwerp remporte le UPR Prize de l’agence de relations publiques et de communication du même nom. Le label anversois peut compter sur son soutien professionnel pendant un an grâce à ce prix.

 

 

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La Directrice de l’unité de radiobiologie au SCK CEN (Centre de recherche nucléaire belge) depuis plus de 20 ans a à coeur de décrypter le comportement de notre corps dans des conditions  extrêmes, condition indispensable pour des vols de longue durée dans l’espace, et en particulier, face aux rayonnements cosmiques.

 

Pour les chanceux présents sur le Pavillon Belge lors de la Semaine Wallonie-Bruxelles à l’Expo universelle de Dubaï, qui ont pu écouter la Masterclass sur l’aérospatial en Wallonie et à Bruxelles donnée par Sarah Baatout, l’espace a un peu dévoilé ses secrets. Ils ont aussi pu réaliser qu’une expédition vers Mars était une aventure longue, périlleuse et coûteuse. Une conquête spatiale  relève du miracle, une multitude de chercheurs travaillent sur autant de questions qu’il y a d’étoiles dans la voie lactée.

 

Celle qui taraude Sarah depuis longtemps concerne les dérèglements physiques qui affectent notre corps, en particulier notre système immunitaire et notre système cardio-vasculaire lorsqu’ils sont confrontés à des conditions extrêmes de confinement : stress, isolement, apesanteur ou exposition prolongée à des radiations cosmiques. Conditions que rencontreront les astronautes en faisant l’aller-retour vers Mars. "Cela fait longtemps que je m’intéresse à ce qui fonctionne mal dans le corps humain, témoigne Sarah Baatout, toute petite j’étais fascinée par les horribles photos de maladies répertoriées dans les encyclopédies que je feuilletais à la maison. Je voulais trouver des solutions à ces maladies. J’aurais pu faire médecine mais j’ai choisi la recherche, là où se rejoignent sciences et santé".

 

Sarah Baatout se dirige alors vers la biologie puis la radiobiologie et son application dans le traitement du cancer dont les progrès ont nettement fait reculer les effets secondaires. "Aujourd’hui, les traitements contre le cancer sont bien plus efficaces et ciblés, poursuit Sarah Baatout, on est en passe d’adapter les protocoles en fonction du site corporel et du stade de la maladie mais demain on pourra adapter en fonction de chaque patient et de sa radiorésistance en développant des biomarqueurs, tout comme on le fait pour un astronaute en étudiant sa capacité à résister aux radiations ionisantes dans l’espace. C’est essentiel de savoir combien de fois il pourra être exposé aux radiations et faire des « sorties extravéhiculaires sur la surface de la Lune », sans parler d’un voyage vers Mars où il sera confronté à l’espace profond, une mixture de rayonnements galactiques, solaires et cosmiques qui ne peut être arrêtée et qui transperce tout. Non seulement ces radiations sont dangereuses mais l’espace est aussi un lieu qui amplifie les problèmes, poursuit Sarah. On connait les accélérations du vieillissement de la peau, le rythme circadien perturbé puisqu’en orbite le soleil apparaît toutes les 90 minutes, mais il y a aussi les problèmes cardio-vasculaires ou les allergies nouvelles dues au taux  d’immunoglobulines E qui augmente. Il faut en comprendre tous les mécanismes, d’autant que dans l’espace le système immunitaire s’affaiblit, cela peut vite créer de grands problèmes".

 

Tout comme le microbiome de nos intestins qui réagit très différemment en apesanteur, Sarah Baatout a également étudié la stabilité des médicaments emportés par les astronautes lors des  missions spatiales et leur résistance au rayonnement.

 

"Lors de notre mission en Antarctique il y a quelques années, au coeur de la station polaire Princesse Elisabeth, nous avons mené plusieurs études. Même s’il est impossible de recréer l’environnement spatial, l’Antarctique est un bon test notamment pour les conditions extrêmes de confinement. Nous avons pu étudier les propriétés de la spiruline, une algue verte déjà utilisée comme complément alimentaire par les astronautes et qui pourrait avoir un effet bénéfique sur la flore intestinale mise à mal par le stress. Jusqu’à 10% de la nourriture des futures missions spatiales pourraient être à base de spiruline".

 

Parmi les projets spatiaux auxquels participe le SCK CEN, l’un des plus ambitieux est le consortium Melissa, commencé en 1989 et qui ne sera terminé qu’en 2030 au plus tôt. Ce projet vise  l’autarcie des astronautes, en permettant de produire de l’oxygène, de l’eau et de la nourriture en boucle.

 

La Professeure invitée à l’université de Gand et de Louvain aimerait aussi pousser ses recherches jusque dans l’espace. Sarah Baatout a donc postulé pour faire partie de la prochaine mission  vers la lune en 2024 et sur Mars en 2035. Sky is the limit ? Pour cette passionnée ce serait plutôt vers l’infini et au-delà. 

 

Par Catherine Haxhe

 

Cet article est issu de la Revue W+B n°157.

 

 

La Directrice de l’unité de radiobiologie au SCK CEN (Centre de recherche nucléaire belge) depuis plus de 20 ans a à coeur de décrypter le comportement de notre corps dans des conditions  extrêmes, condition indispensable pour des vols de longue durée dans l’espace, et en particulier, face aux rayonnements cosmiques.

Pour les chanceux présents sur le Pavillon Belge lors de la Semaine Wallonie-Bruxelles à l’Expo universelle de Dubaï, qui ont pu écouter la Masterclass sur l’aérospatial en Wallonie et à Bruxelles donnée par Sarah Baatout, l’espace a un peu dévoilé ses secrets. Ils ont aussi pu réaliser qu’une expédition vers Mars était une aventure longue, périlleuse et coûteuse. Une conquête spatiale  relève du miracle, une multitude de chercheurs travaillent sur autant de questions qu’il y a d’étoiles dans la voie lactée.

Celle qui taraude Sarah depuis longtemps concerne les dérèglements physiques qui affectent notre corps, en particulier notre système immunitaire et notre système cardio-vasculaire lorsqu’ils sont confrontés à des conditions extrêmes de confinement : stress, isolement, apesanteur ou exposition prolongée à des radiations cosmiques. Conditions que rencontreront les astronautes en faisant l’aller-retour vers Mars. "Cela fait longtemps que je m’intéresse à ce qui fonctionne mal dans le corps humain, témoigne Sarah Baatout, toute petite j’étais fascinée par les horribles photos de maladies répertoriées dans les encyclopédies que je feuilletais à la maison. Je voulais trouver des solutions à ces maladies. J’aurais pu faire médecine mais j’ai choisi la recherche, là où se rejoignent sciences et santé".

 

Sarah Baatout se dirige alors vers la biologie puis la radiobiologie et son application dans le traitement du cancer dont les progrès ont nettement fait reculer les effets secondaires. "Aujourd’hui, les traitements contre le cancer sont bien plus efficaces et ciblés, poursuit Sarah Baatout, on est en passe d’adapter les protocoles en fonction du site corporel et du stade de la maladie mais demain on pourra adapter en fonction de chaque patient et de sa radiorésistance en développant des biomarqueurs, tout comme on le fait pour un astronaute en étudiant sa capacité à résister aux radiations ionisantes dans l’espace. C’est essentiel de savoir combien de fois il pourra être exposé aux radiations et faire des « sorties extravéhiculaires sur la surface de la Lune », sans parler d’un voyage vers Mars où il sera confronté à l’espace profond, une mixture de rayonnements galactiques, solaires et cosmiques qui ne peut être arrêtée et qui transperce tout. Non seulement ces radiations sont dangereuses mais l’espace est aussi un lieu qui amplifie les problèmes, poursuit Sarah. On connait les accélérations du vieillissement de la peau, le rythme circadien perturbé puisqu’en orbite le soleil apparaît toutes les 90 minutes, mais il y a aussi les problèmes cardio-vasculaires ou les allergies nouvelles dues au taux  d’immunoglobulines E qui augmente. Il faut en comprendre tous les mécanismes, d’autant que dans l’espace le système immunitaire s’affaiblit, cela peut vite créer de grands problèmes".

Tout comme le microbiome de nos intestins qui réagit très différemment en apesanteur, Sarah Baatout a également étudié la stabilité des médicaments emportés par les astronautes lors des  missions spatiales et leur résistance au rayonnement.

"Lors de notre mission en Antarctique il y a quelques années, au coeur de la station polaire Princesse Elisabeth, nous avons mené plusieurs études. Même s’il est impossible de recréer l’environnement spatial, l’Antarctique est un bon test notamment pour les conditions extrêmes de confinement. Nous avons pu étudier les propriétés de la spiruline, une algue verte déjà utilisée comme complément alimentaire par les astronautes et qui pourrait avoir un effet bénéfique sur la flore intestinale mise à mal par le stress. Jusqu’à 10% de la nourriture des futures missions spatiales pourraient être à base de spiruline".

Parmi les projets spatiaux auxquels participe le SCK CEN, l’un des plus ambitieux est le consortium Melissa, commencé en 1989 et qui ne sera terminé qu’en 2030 au plus tôt. Ce projet vise  l’autarcie des astronautes, en permettant de produire de l’oxygène, de l’eau et de la nourriture en boucle.

La Professeure invitée à l’université de Gand et de Louvain aimerait aussi pousser ses recherches jusque dans l’espace. Sarah Baatout a donc postulé pour faire partie de la prochaine mission  vers la lune en 2024 et sur Mars en 2035. Sky is the limit ? Pour cette passionnée ce serait plutôt vers l’infini et au-delà. 

Par Catherine Haxhe

Cet article est issu de la Revue W+B n°157.

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Gloria Ayodeji (c) UNESCO - Aderonke Alade

Au Nigéria, ce sont les filles des zones rurales et les plus pauvres de la société qui constituent l’écrasante majorité des enfants non scolarisés, en particulier dans le nord du pays.

 

La campagne de l’UNESCO Les filles au premier plan a été déployée avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International dans le cadre d’un projet mis en œuvre dans quatre pays d’Afrique subsaharienne – Bénin, Mali, Nigéria et Sénégal – en particulier dans les zones où l’abandon scolaire des filles est le plus élevé et leur rescolarisation la plus faible.

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Plaidoyer pour l’éducation des filles au Nigéria

Le projet mis en œuvre au Nigéria a été conçu autour de la mobilisation des radios communautaires qui desservent les zones rurales et éloignées, des réseaux de jeunes et des principaux chefs communautaires, atteignant 820 communautés et 24 gouvernements locaux. Les matériels qui sont essentiels pour atteindre les communautés locales ont été adaptés et traduits dans quatre langues locales : le haoussa, l’igbo, le yoruba et le pidjin.

 

Dans les communautés, des partenariats ont été instaurés avec les chefs religieux, les leaders communautaires et les parents et tuteurs, à travers des groupes de discussion. Des groupes WhatsApp et Facebook ont réuni des enseignants, des parents, des décideurs, des jeunes, des chefs religieux, des parlementaires et des membres de la société civile sur le thème de l’éducation des filles et des visites de plaidoyer ont également été organisées auprès de 10 000 personnes.

 

Un groupe de plaidoyer pour la rescolarisation des filles et une initiative de discussion de femme à femme ont permis de mobiliser l’appui des parents et des tuteurs en faveur de l’éducation des filles. À Katsina, des personnes ont manifesté leur intérêt pour la création d’un compte GoFundMe en soutien à la rescolarisation des filles. La campagne a aussi été à l’origine de débats et de discussions animées sur les marchés et sur le lieu de travail.

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Portrait de Gloria, une jeune militante de l’éducation des filles

Étudiante en quatrième année à l’Université d’Ibadan, Gloria Ayodeji, 21 ans, a bénéficié au sein de son foyer du soutien de ses parents qui, bien qu’étant eux-mêmes illettrés, se réjouissaient de ses progrès et de sa réussite. Cela a façonné la personne qu’elle est devenue aujourd’hui.

 

Avec les matériels Les filles au premier plan en main, Gloria a plaidé en faveur de l’éducation des filles et elle a touché de nombreuses filles de sa communauté qui auraient abandonné l’école après la pandémie. Elle a lancé une initiative visant à mettre en contact des filles intéressées par le développement de leurs compétences et des mentors capables de les guider.

 

« L’éducation met les filles en contact avec des personnes et des activités qui renforcent leurs compétences et leur donnent les moyens de conduire le changement » explique Gloria. « Fortes de leur éducation, les filles connaissent leurs droits et défendent ce qui est juste. » Elle voit cette campagne de plaidoyer comme un appel à l’action pour soutenir les filles et les enfants mal desservis et non scolarisés.

 

Pendant le confinement, Gloria a organisé une formation en ligne offrant aux filles ayant accès à internet la possibilité d’acquérir des compétences en design. En présentiel, après la pandémie, Gloria et ses camarades continuent de soutenir les filles qui ont abandonné l’école.

 

Gloria est remplie d’espoir : « Mon souhait est de voir un monde qui valorise l’égalité des genres. Je veux voir plus de femmes émerger dans tous les secteurs à l’échelle mondiale, regardant vers l’avenir. Des jeunes femmes compétentes, instruites et bien équipées pour conduire des changements positifs et novateurs.

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Une révélation pour les membres de la communauté

Les efforts locaux de plaidoyer réalisés dans le cadre de ce projet ont été une révélation pour les membres de la communauté, les parents et les tuteurs, en particulier en ce qui concerne l’impact que peut avoir la COVID-19 sur l’éducation et l’avenir d’une fille. Ils ont aussi fourni aux défenseurs de l’éducation des filles comme Gloria les outils et le soutien nécessaires pour poursuivre leur action.

 

Dans les régions du Centre-Nord et du Nord-Ouest, on signale des hausses estimées à 2,5 % - 3 % des taux de scolarisation des filles, tandis que dans la région du Sud-Ouest, ceux-ci sont en hausse de 30 %. Depuis le déploiement de la campagne au Nigéria, on estime à 8,7 millions le nombre de personnes touchées par le projet, dont près de 6 millions de filles et de jeunes femmes. Il faut continuer d’agir pour sensibiliser à l’éducation des filles, en particulier dans les communautés rurales.

 

Davantage d’activités de plaidoyer et de sensibilisation doivent être mises en œuvre pour s’assurer que les filles continuent d’apprendre, et pour préserver les progrès accomplis en matière d’égalité des genres dans et par l’éducation. Ce travail a contribué au Programme phare pour le genre de la Coalition mondiale pour l’éducation et a été financé par Wallonie-Bruxelles International.

 

Partenariat WBI-UNESCO pour le retour des filles à l’école en Afrique subsaharienne

Mali: Fatouma retourne à l’école grâce aux campagnes de sensibilisation de l’UNESCO et de WBI

 

Source: article paru sur le site de l'UNESCO

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Au Nigéria, ce sont les filles des zones rurales et les plus pauvres de la société qui constituent l’écrasante majorité des enfants non scolarisés, en particulier dans le nord du pays.

 

La campagne de l’UNESCO Les filles au premier plan a été déployée avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International dans le cadre d’un projet mis en œuvre dans quatre pays d’Afrique subsaharienne – Bénin, Mali, Nigéria et Sénégal – en particulier dans les zones où l’abandon scolaire des filles est le plus élevé et leur rescolarisation la plus faible.

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Plaidoyer pour l’éducation des filles au Nigéria

Le projet mis en œuvre au Nigéria a été conçu autour de la mobilisation des radios communautaires qui desservent les zones rurales et éloignées, des réseaux de jeunes et des principaux chefs communautaires, atteignant 820 communautés et 24 gouvernements locaux. Les matériels qui sont essentiels pour atteindre les communautés locales ont été adaptés et traduits dans quatre langues locales : le haoussa, l’igbo, le yoruba et le pidjin.

 

Dans les communautés, des partenariats ont été instaurés avec les chefs religieux, les leaders communautaires et les parents et tuteurs, à travers des groupes de discussion. Des groupes WhatsApp et Facebook ont réuni des enseignants, des parents, des décideurs, des jeunes, des chefs religieux, des parlementaires et des membres de la société civile sur le thème de l’éducation des filles et des visites de plaidoyer ont également été organisées auprès de 10 000 personnes.

 

Un groupe de plaidoyer pour la rescolarisation des filles et une initiative de discussion de femme à femme ont permis de mobiliser l’appui des parents et des tuteurs en faveur de l’éducation des filles. À Katsina, des personnes ont manifesté leur intérêt pour la création d’un compte GoFundMe en soutien à la rescolarisation des filles. La campagne a aussi été à l’origine de débats et de discussions animées sur les marchés et sur le lieu de travail.

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Portrait de Gloria, une jeune militante de l’éducation des filles

Étudiante en quatrième année à l’Université d’Ibadan, Gloria Ayodeji, 21 ans, a bénéficié au sein de son foyer du soutien de ses parents qui, bien qu’étant eux-mêmes illettrés, se réjouissaient de ses progrès et de sa réussite. Cela a façonné la personne qu’elle est devenue aujourd’hui.

 

Avec les matériels Les filles au premier plan en main, Gloria a plaidé en faveur de l’éducation des filles et elle a touché de nombreuses filles de sa communauté qui auraient abandonné l’école après la pandémie. Elle a lancé une initiative visant à mettre en contact des filles intéressées par le développement de leurs compétences et des mentors capables de les guider.

 

« L’éducation met les filles en contact avec des personnes et des activités qui renforcent leurs compétences et leur donnent les moyens de conduire le changement » explique Gloria. « Fortes de leur éducation, les filles connaissent leurs droits et défendent ce qui est juste. » Elle voit cette campagne de plaidoyer comme un appel à l’action pour soutenir les filles et les enfants mal desservis et non scolarisés.

 

Pendant le confinement, Gloria a organisé une formation en ligne offrant aux filles ayant accès à internet la possibilité d’acquérir des compétences en design. En présentiel, après la pandémie, Gloria et ses camarades continuent de soutenir les filles qui ont abandonné l’école.

 

Gloria est remplie d’espoir : « Mon souhait est de voir un monde qui valorise l’égalité des genres. Je veux voir plus de femmes émerger dans tous les secteurs à l’échelle mondiale, regardant vers l’avenir. Des jeunes femmes compétentes, instruites et bien équipées pour conduire des changements positifs et novateurs.

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Une révélation pour les membres de la communauté

Les efforts locaux de plaidoyer réalisés dans le cadre de ce projet ont été une révélation pour les membres de la communauté, les parents et les tuteurs, en particulier en ce qui concerne l’impact que peut avoir la COVID-19 sur l’éducation et l’avenir d’une fille. Ils ont aussi fourni aux défenseurs de l’éducation des filles comme Gloria les outils et le soutien nécessaires pour poursuivre leur action.

 

Dans les régions du Centre-Nord et du Nord-Ouest, on signale des hausses estimées à 2,5 % - 3 % des taux de scolarisation des filles, tandis que dans la région du Sud-Ouest, ceux-ci sont en hausse de 30 %. Depuis le déploiement de la campagne au Nigéria, on estime à 8,7 millions le nombre de personnes touchées par le projet, dont près de 6 millions de filles et de jeunes femmes. Il faut continuer d’agir pour sensibiliser à l’éducation des filles, en particulier dans les communautés rurales.

 

Davantage d’activités de plaidoyer et de sensibilisation doivent être mises en œuvre pour s’assurer que les filles continuent d’apprendre, et pour préserver les progrès accomplis en matière d’égalité des genres dans et par l’éducation. Ce travail a contribué au Programme phare pour le genre de la Coalition mondiale pour l’éducation et a été financé par Wallonie-Bruxelles International.

 

Partenariat WBI-UNESCO pour le retour des filles à l’école en Afrique subsaharienne

Mali: Fatouma retourne à l’école grâce aux campagnes de sensibilisation de l’UNESCO et de WBI

 

Source: article paru sur le site de l'UNESCO

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