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Le groupe Ykons en concert aux Belgofolies de Spa en juillet 2021 © J. Van Belle - WBI / Polygraph

Dernier numéro de l’année 2021 pour la Revue W+B. Une fin d’année où la Wallonie et Bruxelles ont brillé à l’Exposition universelle de Dubaï, en mettant à l’honneur les talents et les opérateurs wallons et bruxellois issus de différents secteurs, tels que la culture, la recherche & l’innovation, la gastronomie, l’aérospatial, le design & la mode, l’équin, le tourisme ou encore le diamant et le numérique. Une semaine pendant laquelle Wallonie-Bruxelles a pu démontrer son savoir-faire et son excellence sur la scène internationale.

 

Ce numéro hivernal est aussi l’occasion de faire le point sur « Lisez-vous le Belge ? », à la fois campagne locale et label international ayant pour vocation de mettre en lumière le livre belge francophone dans toute sa diversité.

 

Nous allons également à la rencontre du groupe liégeois Ykons, ainsi que de la créatrice Siré Kaba, avec sa marque Erratum.

 

Nous vous présentons les programmes du Bureau International Jeunesse, le programme de santé de l’APEFE au Bénin, qui se clôture, la société I-Care, le secteur de la blockchain en Wallonie ou la collaboration de la FEDITO et de la COCOF dans un projet tunisien.

 

Enfin, nous vous parlons d’un tourisme reconnecté à la nature, d’hébergements au coin du feu et de la filière « de la ferme à l’assiette ».

 

Bonne lecture !

Au programme

  • Dossier : La semaine Wallonie-Bruxelles à Dubaï
  • Culture : Lisez-vous le Belge ? Une campagne, des livres et des réseaux
  • Portrait : Ykons se fait un nom
  • Mode : Erratum - La belle résonance
  • Jeunesse : Le BIJ : Faire de nos jeunes des citoyens plus mobiles et plus solidaires
  • Coopération au développement : Clap de fin pour le programme santé de l'APEFE au Bénin
  • Entreprise : I-Care, le plus gros contrat pour l'entreprise qui prend soin des machines
  • Innovation : La Wallonie à l'assaut de la blockchain avec Walchain
  • Tourisme : N'oubliez pas les allumettes
  • Gastronomie : De la ferme à l'assiette : pour consommer local et en circuit court
  • Santé : Tant qu'il y a de l'espoir
  • Survols

 

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Dernier numéro de l’année 2021 pour la Revue W+B. Une fin d’année où la Wallonie et Bruxelles ont brillé à l’Exposition universelle de Dubaï, en mettant à l’honneur les talents et les opérateurs wallons et bruxellois issus de différents secteurs, tels que la culture, la recherche & l’innovation, la gastronomie, l’aérospatial, le design & la mode, l’équin, le tourisme ou encore le diamant et le numérique. Une semaine pendant laquelle Wallonie-Bruxelles a pu démontrer son savoir-faire et son excellence sur la scène internationale.

 

Ce numéro hivernal est aussi l’occasion de faire le point sur « Lisez-vous le Belge ? », à la fois campagne locale et label international ayant pour vocation de mettre en lumière le livre belge francophone dans toute sa diversité.

 

Nous allons également à la rencontre du groupe liégeois Ykons, ainsi que de la créatrice Siré Kaba, avec sa marque Erratum.

 

Nous vous présentons les programmes du Bureau International Jeunesse, le programme de santé de l’APEFE au Bénin, qui se clôture, la société I-Care, le secteur de la blockchain en Wallonie ou la collaboration de la FEDITO et de la COCOF dans un projet tunisien.

 

Enfin, nous vous parlons d’un tourisme reconnecté à la nature, d’hébergements au coin du feu et de la filière « de la ferme à l’assiette ».

 

Bonne lecture !

Au programme

  • Dossier : La semaine Wallonie-Bruxelles à Dubaï
  • Culture : Lisez-vous le Belge ? Une campagne, des livres et des réseaux
  • Portrait : Ykons se fait un nom
  • Mode : Erratum - La belle résonance
  • Jeunesse : Le BIJ : Faire de nos jeunes des citoyens plus mobiles et plus solidaires
  • Coopération au développement : Clap de fin pour le programme santé de l'APEFE au Bénin
  • Entreprise : I-Care, le plus gros contrat pour l'entreprise qui prend soin des machines
  • Innovation : La Wallonie à l'assaut de la blockchain avec Walchain
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Le groupe Ykons en concert aux Belgofolies de Spa en juillet 2021 © J. Van Belle - WBI / Polygraph

La Revue W+B n°154 est disponible !

Dernier numéro de l’année pour la Revue W+B. Une fin d’année où la Wallonie et Bruxelles ont brillé à l’Exposition universelle de Dubaï, en mettant à l’honneur les talents et les opérateurs wallons et bruxellois issus de différents secteurs, tels que la culture, la recherche & l’innovation, la gastronomie, l’aérospatial, le design & la mode, l’équin, le tourisme ou encore le diamant et le numérique. Une semaine pendant laquelle Wallonie-Bruxelles a pu démontrer son savoir-faire et son excellence sur la scène internationale.

Ce numéro hivernal est aussi l’occasion de faire le point sur « Lisez-vous le Belge ? », à la fois campagne locale et label international ayant pour vocation de mettre en lumière le livre belge francophone dans toute sa diversité.

Nous allons également à la rencontre du groupe liégeois Ykons, ainsi que de la créatrice Siré Kaba, avec sa marque Erratum.

Nous vous présentons les programmes du Bureau International Jeunesse, le programme de santé de l’APEFE au Bénin, qui se clôture, la société I-Care, le secteur de la blockchain en Wallonie ou la collaboration de la FEDITO et de la COCOF dans un projet tunisien.

Enfin, nous vous parlons d’un tourisme reconnecté à la nature, d’hébergements au coin du feu et de la filière « de la ferme à l’assiette ».

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Au programme

  • Dossier : La semaine Wallonie-Bruxelles à Dubaï
  • Culture : Lisez-vous le Belge ? Une campagne, des livres et des réseaux
  • Portrait : Ykons se fait un nom
  • Mode : Erratum - La belle résonance
  • Jeunesse : Le BIJ : Faire de nos jeunes des citoyens plus mobiles et plus solidaires
  • Coopération au développement : Clap de fin pour le programme santé de l'APEFE au Bénin
  • Entreprise : I-Care, le plus gros contrat pour l'entreprise qui prend soin des machines
  • Innovation : La Wallonie à l'assaut de la blockchain avec Walchain
  • Tourisme : N'oubliez pas les allumettes
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L’administrateur de programme de l’APEFE (micro) et le coordonnateur national de l’IGMVSS ont animé la rencontre avec les journalistes (c) APEFE

A la faveur d'un petit-déjeuner de presse organisé le 17 décembre 2021 à Ouagadougou, les différents acteurs du projet ont tiré le bilan très satisfaisant de ces 5 années de coopération et se sont déclarés prêts à reconduire l'expérience. 

 

C’est à travers la projection d’un film documentaire-bilan et la présentation des conclusions du rapport d’évaluation externe du projet, que les acteurs de la mise en œuvre du projet ont fait le bilan du Programme. Les journalistes ont d’abord découvert un documentaire d’une cinquantaine de minutes qui retrace l’ensemble des activités qui ont été mises en oeuvre: pilotage et concertation, renforcement des capacités et suivi évaluation, communication et expérience pilote de déroulement du processus de restauration des terres dans la commune pilote de Bourzanga.

 

Il ressort globalement que le projet a permis la formation d’un millier d’agents et d’acteurs sur une centaine de thèmes environ.

 

En matière de suivi-évaluation, la CN-IGMVSS dispose d’une base de données géo-référencées qui permet la capitalisation des actions des différents intervenants dans la thématique gestion durable des terres. La communication n’a pas non plus été en reste avec entre autres du théâtre forum, des sessions d’information et de formation au profit des journalistes, une caravane de presse, la production et la diffusion de contenus avec des radios partenaires, mais aussi et surtout l’organisation annuelle de Prix Grande Muraille Verte en Journalisme pour la promotion de la gestion durable des terres.

 

Pour ce qui est de Bourzanga, l’important est la prise de conscience des acteurs de la commune, de la possibilité d’inverser la tendance de dégradation des terres au niveau local. Selon le Coordonnateur national, Adama DOULKOM, le Programme de Renforcement des Capacités pour l’Initiative de la Grande Muraille Verte pour le Sahara et le Sahel – Phase 2 (PRC2-IGMVSS) a permis de « donner les outils à des acteurs pour être efficaces au niveau institutionnel mais également au niveau terrain. Il y a également des actions concrètes qui ont été menées pour restaurer les terres, améliorer la production et la productivité et renforcer les revenus des communautés ».

 

A la suite de la projection du film documentaire-bilan, le Coordonnateur national a donné aux journalistes les grandes conclusions du rapport d’évaluation finale externe du projet commandité par le bailleur de fonds. Après avoir analysé la pertinence, la cohérence, l’efficacité, l’efficience, les effets/impacts, la durabilité et la prise en compte du genre dans la mise en œuvre du projet, il ressort du rapport que « Le Programme de Renforcement des Capacités pour l’Initiative de la Grande Muraille Verte pour le Sahara et le Sahel – Phase 2 (PRC2-IGMVSS) a été mis en œuvre de façon satisfaisante dans l’ensemble au regard de l’ensemble des critères d’évaluation définis. ».

 

En effet l’administrateur de programme de l’Association pour la promotion de l’éducation et de la formation à l’étranger (APEFE), Didier WOIRIN a laissé entendre qu’« on a une appréciation globale très positive de la mise en œuvre du projet. C’est pour cela que nous avons demandé à notre bailleur de fonds qui est la Coopération Belge au Développement, de poursuivre cet effort d’appui à l’Initiative de la Grande Muraille Verte ». Les choses sont du reste déjà avancées dans ce sens. En effet la Coordination nationale de l’IGMVSS, avec l’appui de l’APEFE, a déjà soumis auprès du bailleur un autre projet de 5 années pour couvrir la période allant de janvier 2022 à décembre 2026.

 

Le programme de Renforcement des Capacités pour l’IGMVSS est financé par la Coopération Belge et Wallonie-Bruxelles International (appui au volet communication) au travers de l’Association pour la Promotion de l'Education et de la Formation à l'Etranger et le gouvernement du Burkina Faso

A la faveur d'un petit-déjeuner de presse organisé le 17 décembre 2021 à Ouagadougou, les différents acteurs du projet ont tiré le bilan très satisfaisant de ces 5 années de coopération et se sont déclarés prêts à reconduire l'expérience. 

 

C’est à travers la projection d’un film documentaire-bilan et la présentation des conclusions du rapport d’évaluation externe du projet, que les acteurs de la mise en œuvre du projet ont fait le bilan du Programme. Les journalistes ont d’abord découvert un documentaire d’une cinquantaine de minutes qui retrace l’ensemble des activités qui ont été mises en oeuvre: pilotage et concertation, renforcement des capacités et suivi évaluation, communication et expérience pilote de déroulement du processus de restauration des terres dans la commune pilote de Bourzanga.

 

Il ressort globalement que le projet a permis la formation d’un millier d’agents et d’acteurs sur une centaine de thèmes environ.

 

En matière de suivi-évaluation, la CN-IGMVSS dispose d’une base de données géo-référencées qui permet la capitalisation des actions des différents intervenants dans la thématique gestion durable des terres. La communication n’a pas non plus été en reste avec entre autres du théâtre forum, des sessions d’information et de formation au profit des journalistes, une caravane de presse, la production et la diffusion de contenus avec des radios partenaires, mais aussi et surtout l’organisation annuelle de Prix Grande Muraille Verte en Journalisme pour la promotion de la gestion durable des terres.

 

Pour ce qui est de Bourzanga, l’important est la prise de conscience des acteurs de la commune, de la possibilité d’inverser la tendance de dégradation des terres au niveau local. Selon le Coordonnateur national, Adama DOULKOM, le Programme de Renforcement des Capacités pour l’Initiative de la Grande Muraille Verte pour le Sahara et le Sahel – Phase 2 (PRC2-IGMVSS) a permis de « donner les outils à des acteurs pour être efficaces au niveau institutionnel mais également au niveau terrain. Il y a également des actions concrètes qui ont été menées pour restaurer les terres, améliorer la production et la productivité et renforcer les revenus des communautés ».

 

A la suite de la projection du film documentaire-bilan, le Coordonnateur national a donné aux journalistes les grandes conclusions du rapport d’évaluation finale externe du projet commandité par le bailleur de fonds. Après avoir analysé la pertinence, la cohérence, l’efficacité, l’efficience, les effets/impacts, la durabilité et la prise en compte du genre dans la mise en œuvre du projet, il ressort du rapport que « Le Programme de Renforcement des Capacités pour l’Initiative de la Grande Muraille Verte pour le Sahara et le Sahel – Phase 2 (PRC2-IGMVSS) a été mis en œuvre de façon satisfaisante dans l’ensemble au regard de l’ensemble des critères d’évaluation définis. ».

 

En effet l’administrateur de programme de l’Association pour la promotion de l’éducation et de la formation à l’étranger (APEFE), Didier WOIRIN a laissé entendre qu’« on a une appréciation globale très positive de la mise en œuvre du projet. C’est pour cela que nous avons demandé à notre bailleur de fonds qui est la Coopération Belge au Développement, de poursuivre cet effort d’appui à l’Initiative de la Grande Muraille Verte ». Les choses sont du reste déjà avancées dans ce sens. En effet la Coordination nationale de l’IGMVSS, avec l’appui de l’APEFE, a déjà soumis auprès du bailleur un autre projet de 5 années pour couvrir la période allant de janvier 2022 à décembre 2026.

 

Le programme de Renforcement des Capacités pour l’IGMVSS est financé par la Coopération Belge et Wallonie-Bruxelles International (appui au volet communication) au travers de l’Association pour la Promotion de l'Education et de la Formation à l'Etranger et le gouvernement du Burkina Faso

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Cette rencontre a réuni l’ensemble des partenaires du programme, ainsi que des acteurs de la formation professionnelle en Haïti. L’atelier a permis de découvrir les résultats, les leçons apprises ainsi que les facteurs de réussite de cette initiative passionnante que l’APEFE a pu mettre en œuvre, aux côtés de l’Institut de la Formation Professionnelle (INFP) et des Centres de formations professionnelles (CFP) entre 2017 et 2021. 

 

Ce programme a notamment permis de promouvoir la création d’emplois et de revenus durables en faveur des jeunes haitien-ennes vulnérables #NEET, en appuyant les initiatives privées porteuses d’emplois et en renforçant les capacités humaines et institutionnelles des structures d’encadrement des partenaires du monde du travail et de la formation professionnelle dans les départements géographiques de l’Ouest, du Nord, du Sud, du Sud-Est, de l’Artibonite et du Centre du Pays.

 

Plusieurs résultats ont été mis à l’honneur lors de cette restitution :

  • L’appui à l’insertion socio-professionnelle au sein des Centres de Formation Professionnelle (CFP)
  • La formation Mobile, dispositif d’inclusion pour les jeunes vulnérables Leave no one behind
  • L’entrepreneuriat, tremplin vers un travail décent
  • La formation à distance via le numérique Digital for Education
  • La promotion du Genre, Éducation inclusive, Environnement
  • Le dispositif de suivi-évaluation pour une meilleure efficacité des résultats. 

Le programme PACERD est mis en œuvre par l’APEFE en partenariat avec l’Institut National de Formation Professionnelle, les Centres de formation professionnelles, TVET Academy, Groupe One, Schneider Electric, Le Bureau du Secrétaire d’État à l’intégration des personnes handicapées (BSEIPH), Geomoun, Humanité et Inclusion, RESEDH, Haïti Adolescent Girls Network, OCCDH, RENAFAM, Lionel Meinertzhagen, l’Ambassade de Belgique à Cuba et la Banque Mondiale.

 


Le PACERD est financé par la Coopération belge au Développement (DGD) et Wallonie-Bruxelles International (WBI).

Cette rencontre a réuni l’ensemble des partenaires du programme, ainsi que des acteurs de la formation professionnelle en Haïti. L’atelier a permis de découvrir les résultats, les leçons apprises ainsi que les facteurs de réussite de cette initiative passionnante que l’APEFE a pu mettre en œuvre, aux côtés de l’Institut de la Formation Professionnelle (INFP) et des Centres de formations professionnelles (CFP) entre 2017 et 2021. 

 

Ce programme a notamment permis de promouvoir la création d’emplois et de revenus durables en faveur des jeunes haitien-ennes vulnérables #NEET, en appuyant les initiatives privées porteuses d’emplois et en renforçant les capacités humaines et institutionnelles des structures d’encadrement des partenaires du monde du travail et de la formation professionnelle dans les départements géographiques de l’Ouest, du Nord, du Sud, du Sud-Est, de l’Artibonite et du Centre du Pays.

 

Plusieurs résultats ont été mis à l’honneur lors de cette restitution :

  • L’appui à l’insertion socio-professionnelle au sein des Centres de Formation Professionnelle (CFP)
  • La formation Mobile, dispositif d’inclusion pour les jeunes vulnérables Leave no one behind
  • L’entrepreneuriat, tremplin vers un travail décent
  • La formation à distance via le numérique Digital for Education
  • La promotion du Genre, Éducation inclusive, Environnement
  • Le dispositif de suivi-évaluation pour une meilleure efficacité des résultats. 

Le programme PACERD est mis en œuvre par l’APEFE en partenariat avec l’Institut National de Formation Professionnelle, les Centres de formation professionnelles, TVET Academy, Groupe One, Schneider Electric, Le Bureau du Secrétaire d’État à l’intégration des personnes handicapées (BSEIPH), Geomoun, Humanité et Inclusion, RESEDH, Haïti Adolescent Girls Network, OCCDH, RENAFAM, Lionel Meinertzhagen, l’Ambassade de Belgique à Cuba et la Banque Mondiale.

 


Le PACERD est financé par la Coopération belge au Développement (DGD) et Wallonie-Bruxelles International (WBI).

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Première mission accomplie pour les écoles belges au Maroc et leurs partenaires de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Les premiers inspecteurs de l'Education nationale du Maroc ont achevé avec succès leur formation CAAPPP. Ils sont fin prêts à débuter leur nouveau métier d'accompagnateurs et formateurs des nouveaux enseignants et enseignantes du préscolaire marocain.

 

La formation commanditée par le Ministre de l'Education nationale a été pensée avec la volonté de contribuer à la réussite de la généralisation du préscolaire au Maroc sous l’impulsion de SM Mohamed VI. En tout, 300 inspecteurs répartis en 3 promotions seront mis à niveau et outillés pour participer à la mise en oeuvre rapide de ce chantier royal.

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Le préscolaire, une expertise Wallonie-Bruxelles en soutien du chantier royal marocain

Si tout ne se joue pas avant 6 ans, de nombreux travaux scientifiques démontrent qu'aujourd’hui les relations affectives nouées dans les premières années de la petite enfance laissent une empreinte indélébile et essentielle qui influencera nos relations adultes. En Fédération Wallonie-Bruxelles, l’obligation scolaire ne commence qu’à six ans. Pourtant, les enfants sont presque tous inscrits à l’école maternelle dès l’âge de trois ans. Il y a donc sans conteste un consensus social sur l’importance de cette première étape de la scolarité. A raison ! Les premières années de vie sont cruciales pour le développement physique, neurologique, cognitif et socio-affectif. Encadrés et stimulés, les enfants qui fréquentent l’école maternelle s’épanouissent davantage. Il est aussi plus rare qu’ils doublent ou abandonnent les cours en primaire. Plusieurs études scientifiques démontrent que les enfants les plus vulnérables ont le plus à y gagner. L’enseignement préscolaire est donc le meilleur moyen d’offrir des chances équitables à tous les enfants.

 

A partir de ce constat, il est essentiel de renforcer le professionnalisme des acteurs de première ligne. La recherche en éducation, la formation en 3 années de Bachelor, et les pratiques éducatives en Fédération Wallonie-Bruxelles sont à la pointe dans ce domaine, et l'expertise belge francophone est régulièrement sollicitée chez nos voisins et au-delà. 

 

Les écoles belges et leurs partenaires académiques ont donc répondu présents à la sollicitation marocaine et élaboré un cursus innovant, intensif, basé sur l'approche par compétence et les interactivités.

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La formation CAAPPP en quelques mots

Cette formation CAAPPP s’inscrit dans un esprit de co-construction puisqu’elle est conçue par des pédagogues belges (les écoles belges au Maroc - EBM, les Hautes écoles Vinci et Condorcet, l'Inspection scolaire de la Fédération Wallonie-Bruxelles, l'Université catholique de Louvain) en collaboration avec les experts des Académies régionales (AREF), auteurs du cadre curriculaire l'enseignement préscolaire marocain. Ceux-ci connaissent bien notre modèle d'enseignement pour avoir bien souvent déjà bénéficié de stages de formation à la Haute Ecole Condorcet au cours des 20 dernières années.

 

Les intervenants sont issus des hautes écoles ou universités belges francophones et experts dans les domaines de l’éducation, de la psychopédagogie, de la psychomotricité, de l’ingénierie de formation, de l’andragogie, avec des profils variés : professeurs, maîtres-assistants, inspectrices, maîtres de formation pratique, conseillers pédagogiques des écoles belges du Maroc, permettant des va-et-vient entre pratique de terrain et conceptualisation.

 

Les 220h de formation, complétées par des séances d'observations dans les classes des EBM et des écoles publiques des différentes provinces du Royaume, doivent amener les Inspecteurs à enrichir leurs compétences d’accompagnateurs et de formateurs d’éducateurs et éducatrices.

 

Chaque lauréat repart avec un Certificat d'Aptitude à l'Accompagnement des Pratiques Pédagogiques Préscolaires (CAAPPP) délivré en fin de formation, après présentation devant un jury d’experts d’une capsule vidéo éducative réalisée dans les studios multimédia équipés par la Délégation générale Wallonie-Bruxelles avec l'encadrement des formateurs.

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La première promotion

Perturbée par la situation sanitaire, la première session de formation complète s’est finalisée le 3 décembre 2021. 96 inspecteurs ont réussi avec succès la formation et reçu le Certificat d’Aptitude à l’Accompagnement des Pratiques Pédagogiques Préscolaires. Les 2 prochaines sessions de formation seront lancées en 2022, dans le même cadre, avec 200 autres inspecteurs provenant des 12 académies régionales du Royaume du Maroc.

 

Pour chaque promotion, la Fédération Wallonie-Bruxelles s’est également engagée à accueillir 12 d'entre eux, représentant toutes les régions du Maroc pendant trois missions qui seront organisées en Belgique en 2021 et 2022, en partenariat avec la Haute École Condorcet.  La première de ces missions s’est déroulée du 21 au 28 novembre 2021. 10 inspecteurs marocains ont pu participer à un programme riche de visites de Hautes Écoles pédagogiques, d’écoles préscolaires et de rencontres avec des professionnels de l’éducation préscolaire (enseignants, pédagogues, instituteurs, inspecteurs, directeurs). Ils ont pu découvrir des initiatives mises en place au sein des écoles, découvrir l’enseignement préscolaire spécialisé pour les enfants porteurs de handicaps, discuter de dispositifs pédagogiques spécifiques au cycle préscolaire entre autres.

 

Cette coopération s'inscrit dans le cadre de l'Accord de coopération entre le Maroc, la Fédération Wallonie-Bruxelles et la Wallonie signé en 1999 et plus particulièrement de l'Entente de collaboration signée entre le Ministre de l'Éducation nationale du Royaume du Maroc, M Saad Amzazi et le Ministre-Président de la Fédération Wallonie-Bruxelles, M. Pierre-Yves Jeholet, en janvier 2021. 

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Première mission accomplie pour les écoles belges au Maroc et leurs partenaires de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Les premiers inspecteurs de l'Education nationale du Maroc ont achevé avec succès leur formation CAAPPP. Ils sont fin prêts à débuter leur nouveau métier d'accompagnateurs et formateurs des nouveaux enseignants et enseignantes du préscolaire marocain.

 

La formation commanditée par le Ministre de l'Education nationale a été pensée avec la volonté de contribuer à la réussite de la généralisation du préscolaire au Maroc sous l’impulsion de SM Mohamed VI. En tout, 300 inspecteurs répartis en 3 promotions seront mis à niveau et outillés pour participer à la mise en oeuvre rapide de ce chantier royal.

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Le préscolaire, une expertise Wallonie-Bruxelles en soutien du chantier royal marocain

Si tout ne se joue pas avant 6 ans, de nombreux travaux scientifiques démontrent qu'aujourd’hui les relations affectives nouées dans les premières années de la petite enfance laissent une empreinte indélébile et essentielle qui influencera nos relations adultes. En Fédération Wallonie-Bruxelles, l’obligation scolaire ne commence qu’à six ans. Pourtant, les enfants sont presque tous inscrits à l’école maternelle dès l’âge de trois ans. Il y a donc sans conteste un consensus social sur l’importance de cette première étape de la scolarité. A raison ! Les premières années de vie sont cruciales pour le développement physique, neurologique, cognitif et socio-affectif. Encadrés et stimulés, les enfants qui fréquentent l’école maternelle s’épanouissent davantage. Il est aussi plus rare qu’ils doublent ou abandonnent les cours en primaire. Plusieurs études scientifiques démontrent que les enfants les plus vulnérables ont le plus à y gagner. L’enseignement préscolaire est donc le meilleur moyen d’offrir des chances équitables à tous les enfants.

 

A partir de ce constat, il est essentiel de renforcer le professionnalisme des acteurs de première ligne. La recherche en éducation, la formation en 3 années de Bachelor, et les pratiques éducatives en Fédération Wallonie-Bruxelles sont à la pointe dans ce domaine, et l'expertise belge francophone est régulièrement sollicitée chez nos voisins et au-delà. 

 

Les écoles belges et leurs partenaires académiques ont donc répondu présents à la sollicitation marocaine et élaboré un cursus innovant, intensif, basé sur l'approche par compétence et les interactivités.

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La formation CAAPPP en quelques mots

Cette formation CAAPPP s’inscrit dans un esprit de co-construction puisqu’elle est conçue par des pédagogues belges (les écoles belges au Maroc - EBM, les Hautes écoles Vinci et Condorcet, l'Inspection scolaire de la Fédération Wallonie-Bruxelles, l'Université catholique de Louvain) en collaboration avec les experts des Académies régionales (AREF), auteurs du cadre curriculaire l'enseignement préscolaire marocain. Ceux-ci connaissent bien notre modèle d'enseignement pour avoir bien souvent déjà bénéficié de stages de formation à la Haute Ecole Condorcet au cours des 20 dernières années.

 

Les intervenants sont issus des hautes écoles ou universités belges francophones et experts dans les domaines de l’éducation, de la psychopédagogie, de la psychomotricité, de l’ingénierie de formation, de l’andragogie, avec des profils variés : professeurs, maîtres-assistants, inspectrices, maîtres de formation pratique, conseillers pédagogiques des écoles belges du Maroc, permettant des va-et-vient entre pratique de terrain et conceptualisation.

 

Les 220h de formation, complétées par des séances d'observations dans les classes des EBM et des écoles publiques des différentes provinces du Royaume, doivent amener les Inspecteurs à enrichir leurs compétences d’accompagnateurs et de formateurs d’éducateurs et éducatrices.

 

Chaque lauréat repart avec un Certificat d'Aptitude à l'Accompagnement des Pratiques Pédagogiques Préscolaires (CAAPPP) délivré en fin de formation, après présentation devant un jury d’experts d’une capsule vidéo éducative réalisée dans les studios multimédia équipés par la Délégation générale Wallonie-Bruxelles avec l'encadrement des formateurs.

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La première promotion

Perturbée par la situation sanitaire, la première session de formation complète s’est finalisée le 3 décembre 2021. 96 inspecteurs ont réussi avec succès la formation et reçu le Certificat d’Aptitude à l’Accompagnement des Pratiques Pédagogiques Préscolaires. Les 2 prochaines sessions de formation seront lancées en 2022, dans le même cadre, avec 200 autres inspecteurs provenant des 12 académies régionales du Royaume du Maroc.

 

Pour chaque promotion, la Fédération Wallonie-Bruxelles s’est également engagée à accueillir 12 d'entre eux, représentant toutes les régions du Maroc pendant trois missions qui seront organisées en Belgique en 2021 et 2022, en partenariat avec la Haute École Condorcet.  La première de ces missions s’est déroulée du 21 au 28 novembre 2021. 10 inspecteurs marocains ont pu participer à un programme riche de visites de Hautes Écoles pédagogiques, d’écoles préscolaires et de rencontres avec des professionnels de l’éducation préscolaire (enseignants, pédagogues, instituteurs, inspecteurs, directeurs). Ils ont pu découvrir des initiatives mises en place au sein des écoles, découvrir l’enseignement préscolaire spécialisé pour les enfants porteurs de handicaps, discuter de dispositifs pédagogiques spécifiques au cycle préscolaire entre autres.

 

Cette coopération s'inscrit dans le cadre de l'Accord de coopération entre le Maroc, la Fédération Wallonie-Bruxelles et la Wallonie signé en 1999 et plus particulièrement de l'Entente de collaboration signée entre le Ministre de l'Éducation nationale du Royaume du Maroc, M Saad Amzazi et le Ministre-Président de la Fédération Wallonie-Bruxelles, M. Pierre-Yves Jeholet, en janvier 2021. 

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A cette occasion, une cérémonie de clôture a eu lieu à Kigali le 16 décembre 2021.

 

Nous avons pu compter sur la présence des différents partenaires institutionnels qui ont conjointement mis ce programme en oeuvre avec l'APEFE : le Ministère de la Fonction Publique et du Travail, le Ministère de l'Education et la Fédération du Secteur Privé.
Madame Fanfan RWANYINDO KAYIRWANGWA, Ministre de la Fonction Publique et du Travail, nous a fait l’honneur de sa présence ainsi que Monsieur Bert Versmessen, Ambassadeur de Belgique au Rwanda.

Madame Pascale Delcominette, Administratrice déléguée de l'APEFE, a pu être présente virtuellement avec un discours saluant les résultats du programme envers la jeunesse Rwandaise.

A cette occasion, une cérémonie de clôture a eu lieu à Kigali le 16 décembre 2021.

 

Nous avons pu compter sur la présence des différents partenaires institutionnels qui ont conjointement mis ce programme en oeuvre avec l'APEFE : le Ministère de la Fonction Publique et du Travail, le Ministère de l'Education et la Fédération du Secteur Privé.
Madame Fanfan RWANYINDO KAYIRWANGWA, Ministre de la Fonction Publique et du Travail, nous a fait l’honneur de sa présence ainsi que Monsieur Bert Versmessen, Ambassadeur de Belgique au Rwanda.

Madame Pascale Delcominette, Administratrice déléguée de l'APEFE, a pu être présente virtuellement avec un discours saluant les résultats du programme envers la jeunesse Rwandaise.

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Deux films de Wallonie-Bruxelles ont gagné les compétitions officielles du 21ème Festival international du film « WATCH DOCS. Les droits de l’homme au cinéma » qui vient de se terminer le 19 décembre.

 

Traitant de l'odyssée des victimes de crimes de guerre en République démocratique du Congo, le documentaire « En route pour le milliard » de Dieudo Hamadi a gagné la compétition principale. Le jury du festival a justifié sa décision : «Le Grand Prix du festival est attribué au film qui présente le parcours des victimes de la guerre des Six Jours d'une manière captivante et pleine de célébrations inattendues, en montrant leur beauté, leur courage, leur joie et leur volonté de vivre. Nous avons apprécié le film pour sa capacité à transmettre les difficultés rencontrées par des héros pleins de fierté et de dignité. Pour avoir montré les corps mutilés de manière équilibrée et aussi pour la représentation théâtrale du traumatisme subi par la population de Kisangani».

 

Le film «Aya» de Simon Coulibaly Gillard a gagné le Prix du Chien vert à la Compétition verte qui récompense les documentaires les plus remarquables alliant droits de l'homme et sensibilité écologique. Dans la justification de sa décision, le jury a souligné que ce prix est attribué au film «Aya» «pour avoir été présent là où les effets de la catastrophe climatique se font déjà sentir et pour avoir utilisé le langage du cinéma plutôt que le militantisme, la politique ou la science.»

 

Les deux films ont été projetés à Varsovie en première polonaise. Le Bureau Wallonie-Bruxelles à Varsovie a soutenu cet événement qui est préparé par la Fondation Helsinki, une ONG indépendante pour les droits de l’homme en Pologne.

Deux films de Wallonie-Bruxelles ont gagné les compétitions officielles du 21ème Festival international du film « WATCH DOCS. Les droits de l’homme au cinéma » qui vient de se terminer le 19 décembre.

 

Traitant de l'odyssée des victimes de crimes de guerre en République démocratique du Congo, le documentaire « En route pour le milliard » de Dieudo Hamadi a gagné la compétition principale. Le jury du festival a justifié sa décision : «Le Grand Prix du festival est attribué au film qui présente le parcours des victimes de la guerre des Six Jours d'une manière captivante et pleine de célébrations inattendues, en montrant leur beauté, leur courage, leur joie et leur volonté de vivre. Nous avons apprécié le film pour sa capacité à transmettre les difficultés rencontrées par des héros pleins de fierté et de dignité. Pour avoir montré les corps mutilés de manière équilibrée et aussi pour la représentation théâtrale du traumatisme subi par la population de Kisangani».

 

Le film «Aya» de Simon Coulibaly Gillard a gagné le Prix du Chien vert à la Compétition verte qui récompense les documentaires les plus remarquables alliant droits de l'homme et sensibilité écologique. Dans la justification de sa décision, le jury a souligné que ce prix est attribué au film «Aya» «pour avoir été présent là où les effets de la catastrophe climatique se font déjà sentir et pour avoir utilisé le langage du cinéma plutôt que le militantisme, la politique ou la science.»

 

Les deux films ont été projetés à Varsovie en première polonaise. Le Bureau Wallonie-Bruxelles à Varsovie a soutenu cet événement qui est préparé par la Fondation Helsinki, une ONG indépendante pour les droits de l’homme en Pologne.

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Une bonne gestion, sauvegarde et  valorisation de l’écosystème forestier sont donc nécessaires pour un meilleur équilibre environnemental, surtout dans un pays comme le Maroc, dont la biodiversité compte parmi les plus riches du bassin méditerranéen.

 

En février 2020, une nouvelle stratégie "Forêts du Maroc" a été adoptée avec un plan Génération Green 2020-2030, basés sur un modèle de gestion inclusif, durable et créateur de richesse qui réconcilie les Marocains et la forêt. Avec comme objectifs le repeuplement de 133.000 ha de forêts, en commençant par le reboisement de 50.000 ha chaque année en vue d’atteindre l’objectif de 100.000 ha reboisés chaque année à la fin de la stratégie.

 

À travers la nouvelle Agence des Eaux et Forêts, cette stratégie mise gros sur la valorisation des parcs nationaux, en prenant comme parc pilote et modèle celui d’Ifrane. Sa particularité ? Il est hôte de la maison de la cédraie, un magnifique écomusée à l’entrée du parc qui livre à ses visiteurs tous les secrets de la forêt de la cédraie, et des activités s’y liant.

 

Inaugurée en 2018, la Maison de la Cédraie constitue une belle concrétisation du partenariat historique entre les Eaux et Forêts du Maroc et de la Wallonie. Soutenu par  Wallonie-Bruxelles International, cet écomusée est l'une des plus belles réalisations du scénographe belge Daniel Steenhaut.

 

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Qu’en est il des autres collaborations maroco-wallonne ?

L’histoire commence dès la fin des années 1970, où un partenariat entre l’Université Catholique de Louvain (UCL) et l’Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II (IAV) a vu le jour pour la formation d’ingénieurs des Eaux et Forêts. S’en est suivi, un partenariat entre le Ministère des Eaux et Forêts marocain et la Division de la Nature et des Forêts du Ministère de la Région wallonne.

 

Dans les années 2000, et avec l’apogée de la bulle technologique, l’air était à l’informatisation. Avec le soutien du département Nature et Forêts wallon, l’administration forestière était l'une des premières administrations marocaines à digitaliser sa gestion. Une modernisation qui ressort comme un axe principal dans la nouvelle stratégie forestière du Royaume qui met l’accent sur la numérisation des moyens de gestion du secteur, la modernisation et le développement des parcours techniques forestiers.

 

Une gestion durable qui passe aussi par l’ouverture des parc nationaux et leurs centres d’information au public. Tel est le but du projet « accueil du public au sein des trois parcs nationaux : Toubkal, Al Houceima et Ifrane » qui s'inscrit dans la 7ème commission mixte permanente entre Wallonie Bruxelles et le Maroc. Ou encore la  mise en place d’un Festival du Film et de la Photo Nature dans la Maison de la Cédraie, dont la première édition était organisée en 2019.

 

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Des livres … Il y en a eu 

  • 1998 : Edition du livre « L’Arganier, une espèce fruitière-forestière à usages multiples ». Ce livre a reçu le premier prix Hassan II pour l’environnement  décerné par le Secrétariat d’Etat marocain de l’environnement
  • 1999 : Edition du livre « Grand livre de la forêt marocaine »
  • 2001 : Edition du « Grand livre de la forêt marocaine » qui a bénéficié du patronage de sa majesté le roi Mohamed VI et de S.A.R. le prince Laurent
  • 2006 : Edition du livre « le Cèdre de l’Atlas, Mémoire du Temps »

Nous vous invitons très chaudement à visiter la Maison de la Cédraie et le Parc national d'Ifrane!

 

Découvrez toutes les actualités de Wallonie-Bruxelles au Maroc sur le site de notre Délégation générale.

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Une bonne gestion, sauvegarde et  valorisation de l’écosystème forestier sont donc nécessaires pour un meilleur équilibre environnemental, surtout dans un pays comme le Maroc, dont la biodiversité compte parmi les plus riches du bassin méditerranéen.

 

En février 2020, une nouvelle stratégie "Forêts du Maroc" a été adoptée avec un plan Génération Green 2020-2030, basés sur un modèle de gestion inclusif, durable et créateur de richesse qui réconcilie les Marocains et la forêt. Avec comme objectifs le repeuplement de 133.000 ha de forêts, en commençant par le reboisement de 50.000 ha chaque année en vue d’atteindre l’objectif de 100.000 ha reboisés chaque année à la fin de la stratégie.

 

À travers la nouvelle Agence des Eaux et Forêts, cette stratégie mise gros sur la valorisation des parcs nationaux, en prenant comme parc pilote et modèle celui d’Ifrane. Sa particularité ? Il est hôte de la maison de la cédraie, un magnifique écomusée à l’entrée du parc qui livre à ses visiteurs tous les secrets de la forêt de la cédraie, et des activités s’y liant.

 

Inaugurée en 2018, la Maison de la Cédraie constitue une belle concrétisation du partenariat historique entre les Eaux et Forêts du Maroc et de la Wallonie. Soutenu par  Wallonie-Bruxelles International, cet écomusée est l'une des plus belles réalisations du scénographe belge Daniel Steenhaut.

 

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Qu’en est il des autres collaborations maroco-wallonne ?

L’histoire commence dès la fin des années 1970, où un partenariat entre l’Université Catholique de Louvain (UCL) et l’Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II (IAV) a vu le jour pour la formation d’ingénieurs des Eaux et Forêts. S’en est suivi, un partenariat entre le Ministère des Eaux et Forêts marocain et la Division de la Nature et des Forêts du Ministère de la Région wallonne.

 

Dans les années 2000, et avec l’apogée de la bulle technologique, l’air était à l’informatisation. Avec le soutien du département Nature et Forêts wallon, l’administration forestière était l'une des premières administrations marocaines à digitaliser sa gestion. Une modernisation qui ressort comme un axe principal dans la nouvelle stratégie forestière du Royaume qui met l’accent sur la numérisation des moyens de gestion du secteur, la modernisation et le développement des parcours techniques forestiers.

 

Une gestion durable qui passe aussi par l’ouverture des parc nationaux et leurs centres d’information au public. Tel est le but du projet « accueil du public au sein des trois parcs nationaux : Toubkal, Al Houceima et Ifrane » qui s'inscrit dans la 7ème commission mixte permanente entre Wallonie Bruxelles et le Maroc. Ou encore la  mise en place d’un Festival du Film et de la Photo Nature dans la Maison de la Cédraie, dont la première édition était organisée en 2019.

 

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Des livres … Il y en a eu 

  • 1998 : Edition du livre « L’Arganier, une espèce fruitière-forestière à usages multiples ». Ce livre a reçu le premier prix Hassan II pour l’environnement  décerné par le Secrétariat d’Etat marocain de l’environnement
  • 1999 : Edition du livre « Grand livre de la forêt marocaine »
  • 2001 : Edition du « Grand livre de la forêt marocaine » qui a bénéficié du patronage de sa majesté le roi Mohamed VI et de S.A.R. le prince Laurent
  • 2006 : Edition du livre « le Cèdre de l’Atlas, Mémoire du Temps »

Nous vous invitons très chaudement à visiter la Maison de la Cédraie et le Parc national d'Ifrane!

 

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11ème CMP entre le Vietnam et Wallonie-Bruxelles en présence de Monsieur Pham Hoang Mai, Directeur général du Département des Relations économiques extérieures du MPI et M. Nicolas Dervaux, Représentant des gouvernements de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Wallonie au Vietnam

La Belgique et le Vietnam entretiennent des relations diplomatiques officielles depuis 1973.

 

Mais c’est par un biais différent que Wallonie-Bruxelles initie dès les années 90, ses relations puis sa coopération avec le Vietnam. Ce pays alors en pleine mutation, est en demande de collaborations. La Francophonie va se révéler un vecteur de liens fondamental.

 

En 1993, le Gouvernement de la Communauté française de Belgique et le Gouvernement de la République Socialiste du Vietnam signent un accord culturel.

 

L’Association pour la Promotion de l'Education et de la Formation à l'Etranger (APEFE) ouvre en 1994, une mission qui permet la mise à disposition de conseillers pédagogiques pour les classes bilingues et d'enseignants dans les Universités d'économie de Hanoï et de Hô Chi Minh-Ville initiant les premiers échanges académiques.

 

Dans le contexte de la préparation du 7e sommet de la Francophonie au Vietnam, Wallonie-Bruxelles ouvre une Délégation générale à Hanoï en 1996, officialisant ainsi sa relation privilégiée avec le Vietnam. Cette représentation diplomatique officielle est chargée de coordonner les échanges tant institutionnels qu’opérationnels entre le Vietnam et Wallonie-Bruxelles.

 

Ce 7e Sommet de la Francophonie (1997), qui avait pour thème le « développement économique et social », a marqué un tournant important dans l’histoire de la Francophonie multilatérale en affirmant le rôle politique de l’Agence intergouvernementale de la Francophonie qui deviendra quelques années plus tard l’Organisation internationale de la Francophonie. Ce Sommet a vu la désignation de son Secrétaire général, Boutros Boutros-Ghali, mais aussi celle de son Administrateur général, Roger Dehaybe, ancien Commissaire général du Commissariat général aux relations internationales (CGRI) ancêtre de Wallonie-Bruxelles international.

 

 

 

Six ans après l’ouverture de la Délégation, ces relations bilatérales naissantes ont connu une deuxième accélération importante avec la signature en 2002 d’un Accord de coopération entre les Gouvernements de la République Socialiste du Vietnam et de la Communauté française de Belgique, de la Région Wallonne et de la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale.

 

Depuis lors, 33 visites officielles de haut niveau ont permis de renforcer ce partenariat de longue date et de confiance mutuelle, le partage d’expertise permettant à chaque partenaire de se comprendre et de faire évoluer ses connaissances.

 

Au total, 783 projets gagnants-gagnants validés par 10 Commissions mixtes permanentes ont enregistrés des résultats satisfaisants.

 

Le bilan est réjouissant avec 805 vietnamiens bénéficiaires de bourses et le nombre remarquable de 1998 experts qui ont participé à de nombreux échanges.

 

Cette coopération s’ancre notamment dans la santé, l’environnement, les nouvelles technologies, l’enseignement supérieur, la formation professionnelle et la recherche scientifique, ainsi que la culture et la Francophonie, dont le Vietnam est membre depuis 1970.

 

Wallonie-Bruxelles a également contribué au développement significatif du réseau de la médecine de famille sur presque tout le territoire du Vietnam.

 

Concernant la culture, la Délégation générale Wallonie-Bruxelles est l’initiatrice de plusieurs manifestations culturelles importantes au Vietnam, comme le Festival de Musique européenne, le Festival du Film Documentaire Vietnam-Europe, le Festival de Danse européenne…

 

Après 25 ans de collaboration et fortes d’un bilan positif, les deux parties engagées ont choisi de renouveler leur coopération à travers la signature d’une 11ème Commission mixte permanente permettant d’encadrer un nouveau programme de coopération pour les trois années à venir.

 

Deux axes majeurs ont été retenus pour cette nouvelle période de coopération.

  • La formation avec le développement de ressources humaines qualifiées dans les secteurs de la santé, l’éducation, la formation continue, la langue française, le droit et les industries culturelles.
  • La recherche appliquée et le développement industriel touchant aux domaines de la santé ou de l’environnement avec pour objectif une valorisation économique de la recherche scientifique en synergie avec l’Agence wallonne à l’Exportation et aux Investissements étrangers (AWEX) pour les secteurs de l’agriculture et de la logistique notamment.

 

27 projets ont ainsi été retenus pour le programme de travail 2022-2024 et recevront le soutien des deux parties. Souhaitons leur un succès aussi enthousiasmant que ces 25 années de coopération.

 

Suivez nos actualités pour vous tenir informé de l’évolution de ces projets.

 

Nouveau programme de coopération entre le Vietnam et Wallonie-Bruxelles

 

Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam

La Belgique et le Vietnam entretiennent des relations diplomatiques officielles depuis 1973.

 

Mais c’est par un biais différent que Wallonie-Bruxelles initie dès les années 90, ses relations puis sa coopération avec le Vietnam. Ce pays alors en pleine mutation, est en demande de collaborations. La Francophonie va se révéler un vecteur de liens fondamental.

 

En 1993, le Gouvernement de la Communauté française de Belgique et le Gouvernement de la République Socialiste du Vietnam signent un accord culturel.

 

L’Association pour la Promotion de l'Education et de la Formation à l'Etranger (APEFE) ouvre en 1994, une mission qui permet la mise à disposition de conseillers pédagogiques pour les classes bilingues et d'enseignants dans les Universités d'économie de Hanoï et de Hô Chi Minh-Ville initiant les premiers échanges académiques.

 

Dans le contexte de la préparation du 7e sommet de la Francophonie au Vietnam, Wallonie-Bruxelles ouvre une Délégation générale à Hanoï en 1996, officialisant ainsi sa relation privilégiée avec le Vietnam. Cette représentation diplomatique officielle est chargée de coordonner les échanges tant institutionnels qu’opérationnels entre le Vietnam et Wallonie-Bruxelles.

 

Ce 7e Sommet de la Francophonie (1997), qui avait pour thème le « développement économique et social », a marqué un tournant important dans l’histoire de la Francophonie multilatérale en affirmant le rôle politique de l’Agence intergouvernementale de la Francophonie qui deviendra quelques années plus tard l’Organisation internationale de la Francophonie. Ce Sommet a vu la désignation de son Secrétaire général, Boutros Boutros-Ghali, mais aussi celle de son Administrateur général, Roger Dehaybe, ancien Commissaire général du Commissariat général aux relations internationales (CGRI) ancêtre de Wallonie-Bruxelles international.

 

 

 

Six ans après l’ouverture de la Délégation, ces relations bilatérales naissantes ont connu une deuxième accélération importante avec la signature en 2002 d’un Accord de coopération entre les Gouvernements de la République Socialiste du Vietnam et de la Communauté française de Belgique, de la Région Wallonne et de la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale.

 

Depuis lors, 33 visites officielles de haut niveau ont permis de renforcer ce partenariat de longue date et de confiance mutuelle, le partage d’expertise permettant à chaque partenaire de se comprendre et de faire évoluer ses connaissances.

 

Au total, 783 projets gagnants-gagnants validés par 10 Commissions mixtes permanentes ont enregistrés des résultats satisfaisants.

 

Le bilan est réjouissant avec 805 vietnamiens bénéficiaires de bourses et le nombre remarquable de 1998 experts qui ont participé à de nombreux échanges.

 

Cette coopération s’ancre notamment dans la santé, l’environnement, les nouvelles technologies, l’enseignement supérieur, la formation professionnelle et la recherche scientifique, ainsi que la culture et la Francophonie, dont le Vietnam est membre depuis 1970.

 

Wallonie-Bruxelles a également contribué au développement significatif du réseau de la médecine de famille sur presque tout le territoire du Vietnam.

 

Concernant la culture, la Délégation générale Wallonie-Bruxelles est l’initiatrice de plusieurs manifestations culturelles importantes au Vietnam, comme le Festival de Musique européenne, le Festival du Film Documentaire Vietnam-Europe, le Festival de Danse européenne…

 

Après 25 ans de collaboration et fortes d’un bilan positif, les deux parties engagées ont choisi de renouveler leur coopération à travers la signature d’une 11ème Commission mixte permanente permettant d’encadrer un nouveau programme de coopération pour les trois années à venir.

 

Deux axes majeurs ont été retenus pour cette nouvelle période de coopération.

  • La formation avec le développement de ressources humaines qualifiées dans les secteurs de la santé, l’éducation, la formation continue, la langue française, le droit et les industries culturelles.
  • La recherche appliquée et le développement industriel touchant aux domaines de la santé ou de l’environnement avec pour objectif une valorisation économique de la recherche scientifique en synergie avec l’Agence wallonne à l’Exportation et aux Investissements étrangers (AWEX) pour les secteurs de l’agriculture et de la logistique notamment.

 

27 projets ont ainsi été retenus pour le programme de travail 2022-2024 et recevront le soutien des deux parties. Souhaitons leur un succès aussi enthousiasmant que ces 25 années de coopération.

 

Suivez nos actualités pour vous tenir informé de l’évolution de ces projets.

 

Nouveau programme de coopération entre le Vietnam et Wallonie-Bruxelles

 

Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam

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(c) Fotolia
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Mission

  • Gestion du budget des dépenses et recettes du BIJ ;
  • Gestion des comptabilités économiques et budgétaire du BIJ ;
  • Gestion des rapports à la Commission européenne ;
  • Référent des structures d’audit, de contrôle externe et de conseil tant au niveau comptable que budgétaire.
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Description de la fonction

En tant que Responsable financier, l’agent sera en charge de :

  • Assurer que la Direction du BIJ dispose de toutes les données pour lui permettre de faire des propositions budgétaires, tant à l’initial, qu’aux ajustements.
  • Contrôle de gestion au niveau de l’enveloppe budgétaire disponible ;
  • Instaurer et utiliser un système de contrôle de gestion et de reporting efficace, transparent et automatisé ;
  • Assurer l’ordonnancement de toutes les dépenses et de transférer les demandes de payements au Trésorier
  • Assurer la clôture des comptes du BIJ au 31 décembre et de fournir les éléments de clôture aux audits et tout organisme ou Administration susceptible de les demander
  • Assurer certains « reportings » aux Audits dans le cadre de la gestion des programmes financés par la Commission Européenne

Au niveau de la supervision du service : gérer les ressources humaines mises à disposition du service « Comptabilité ». Cette gestion inclus notamment l’évaluation, et le suivi individualisé de chaque agent (gestion des compétences, performances…).

 

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Compétences

  • Maîtrise parfaite de la langue française tant à l’oral qu’à l’écrit ;
  • Connaissance approfondie des législations applicables à la procédure d’établissement, de suivi et de contrôle des budgets dans le contexte particulier du BIJ, notamment de la gestion de fonds européens ;
  • Connaissance de l’environnement institutionnel du BIJ ;
  • Bonnes connaissances des outils bureautique (suite MS OFFICE) et capacité de les exploiter: Word, Excel, Access, Outlook, PowerPoint notamment ;
  • La connaissance de l’anglais est un atout.
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Conditions d'engagement

  • Etre titulaire d’un Diplôme universitaire/de niveau universitaire (master 2) permettant d’accéder à une fonction du niveau A au moins telle que définie dans l’arrêté des Gouvernement wallon et de la Fédération Wallonie-Bruxelles portant statut administratif et pécuniaire des membres du personnel de Wallonie Bruxelles International (WBI) (ainsi que l’attestation d’équivalence dans le cas d’un diplôme autre que belge. Procédure : Fédération Wallonie-Bruxelles - 02/690.89.00 – http://www.equivalences.cfwb.be/) ;
  • Etre de bonne conduite et de bonne moralité ;
  • Jouir des droits civils et politiques ;
  • Posséder les aptitudes requises pour la fonction.
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Dossier de candidature

Le dossier de candidature est à envoyer par courriel (recrutement@wbi.be) ou par courrier postal (cachet de la poste faisant foi), au plus tard le 7 janvier 2022 à minuit, à l’attention de :

 

Madame Pascale Delcomminette
Administratrice générale de WBI
Place Sainctelette, 2
B-1080 Bruxelles

 

Le dossier de candidature comprend :

  • une copie du/des diplôme(s) [accompagnée(s) de l’équivalence dans le cas de diplôme(s) non belge(s)] ;
  • une lettre de motivation ;
  • un curriculum vitae détaillé.

Un dossier incomplet ou envoyé hors délai n’est pas pris en compte.

 

Retrouvez l'appel à candidatures complet en pièce jointe.
 

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Mission

  • Gestion du budget des dépenses et recettes du BIJ ;
  • Gestion des comptabilités économiques et budgétaire du BIJ ;
  • Gestion des rapports à la Commission européenne ;
  • Référent des structures d’audit, de contrôle externe et de conseil tant au niveau comptable que budgétaire.
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Description de la fonction

En tant que Responsable financier, l’agent sera en charge de :

  • Assurer que la Direction du BIJ dispose de toutes les données pour lui permettre de faire des propositions budgétaires, tant à l’initial, qu’aux ajustements.
  • Contrôle de gestion au niveau de l’enveloppe budgétaire disponible ;
  • Instaurer et utiliser un système de contrôle de gestion et de reporting efficace, transparent et automatisé ;
  • Assurer l’ordonnancement de toutes les dépenses et de transférer les demandes de payements au Trésorier
  • Assurer la clôture des comptes du BIJ au 31 décembre et de fournir les éléments de clôture aux audits et tout organisme ou Administration susceptible de les demander
  • Assurer certains « reportings » aux Audits dans le cadre de la gestion des programmes financés par la Commission Européenne

Au niveau de la supervision du service : gérer les ressources humaines mises à disposition du service « Comptabilité ». Cette gestion inclus notamment l’évaluation, et le suivi individualisé de chaque agent (gestion des compétences, performances…).

 

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Compétences

  • Maîtrise parfaite de la langue française tant à l’oral qu’à l’écrit ;
  • Connaissance approfondie des législations applicables à la procédure d’établissement, de suivi et de contrôle des budgets dans le contexte particulier du BIJ, notamment de la gestion de fonds européens ;
  • Connaissance de l’environnement institutionnel du BIJ ;
  • Bonnes connaissances des outils bureautique (suite MS OFFICE) et capacité de les exploiter: Word, Excel, Access, Outlook, PowerPoint notamment ;
  • La connaissance de l’anglais est un atout.
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Conditions d'engagement

  • Etre titulaire d’un Diplôme universitaire/de niveau universitaire (master 2) permettant d’accéder à une fonction du niveau A au moins telle que définie dans l’arrêté des Gouvernement wallon et de la Fédération Wallonie-Bruxelles portant statut administratif et pécuniaire des membres du personnel de Wallonie Bruxelles International (WBI) (ainsi que l’attestation d’équivalence dans le cas d’un diplôme autre que belge. Procédure : Fédération Wallonie-Bruxelles - 02/690.89.00 – http://www.equivalences.cfwb.be/) ;
  • Etre de bonne conduite et de bonne moralité ;
  • Jouir des droits civils et politiques ;
  • Posséder les aptitudes requises pour la fonction.
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Le dossier de candidature est à envoyer par courriel (recrutement@wbi.be) ou par courrier postal (cachet de la poste faisant foi), au plus tard le 7 janvier 2022 à minuit, à l’attention de :

 

Madame Pascale Delcomminette
Administratrice générale de WBI
Place Sainctelette, 2
B-1080 Bruxelles

 

Le dossier de candidature comprend :

  • une copie du/des diplôme(s) [accompagnée(s) de l’équivalence dans le cas de diplôme(s) non belge(s)] ;
  • une lettre de motivation ;
  • un curriculum vitae détaillé.

Un dossier incomplet ou envoyé hors délai n’est pas pris en compte.

 

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