A travers les regards d’artistes, d’étudiants, de chercheurs et d’entrepreneurs, l’exposition questionne les implications du développement des technologies d'intelligence artificielle et leurs limites dans l’imitation des processus naturels, des comportements humains et de la créativité.
Le public découvrira le monde des deepfakes, des robots, des machines imitant les humains et les environnements générés par des algorithmes.
Yves BIGOT, Directeur général de la chaîne TV5 Monde, nous présente l'émission "300 Millions de critiques". C'est le seul magazine francophone qui analyse l’actualité culturelle à travers les regards croisés de journalistes belges, suisses, canadiens, africains et français. "300 Millions de critiques" est l’émission qui se concentre exclusivement sur des thématiques francophones, tous domaines culturels confondus : littérature, musique, cinéma, arts contemporains… dans toute la Francophonie.
La Revue W+B n°151 est disponible !
Afin de mettre un peu de côté la morosité ambiante actuelle, la Revue W+B a souhaité, pour ce premier numéro de 2021, vous mettre du baume au coeur et aux papilles avec un dossier consacré aux gourmandises wallonnes. Qu’ils soient chocolatiers, restaurateurs, brasseurs, vignerons ou distillateurs, de nombreux producteurs wallons utilisent des produits locaux, bios ou issus de circuits courts et prennent ainsi le chemin d’une production et d’une consommation durables.
Rencontre également avec Tania Garbarski et Charlie Dupont, couple attachant à la ville comme à la scène, et Gaspard Giersé, qui propose des visites insolites de Bruxelles.
Découverte aussi de la marque de vêtements pour enfants Bonjour Maurice, des lauréats du Grand Prix Wallon à l’Exportation 2020, des dernières innovations de la société DreamWall, des témoignages de jeunes qui ont pu réaliser leurs projets malgré la pandémie et des formations professionnelles pour personnes handicapées proposées par l’APEFE en Haïti.
Enfin, des balades en Wallonie sans voiture, de quoi profiter des premiers rayons de soleil du printemps tout en favorisant la mobilité douce.
Bonne lecture !
Retour au débutAu programme
- Dossier : Gourmandises wallonnes : bons produits et circuits courts
- Portrait : Tania Garbarski et Charlie Dupont, l'art de s'aimer
- Culture : Gaspard Giersé, le gars d'à côté
- Mode : T'as le bonjour de Maurice - L'histoire est belle, l'histoire est belge
- Jeunesse : Des jeunes qui bougent
- Coopération au développement : Haïti : former pour mieux réinsérer
- Entreprise : Grand Prix Wallonie à l'Exportation 2020 : cérémonie virtuelle et talents réels
- Innovation : La réalité augmentée et virtuelle depuis Charleroi
- Tourisme : Et si on partait à la découverte de la Wallonie en train, à pied ou à vélo ?
- Survols
Téléchargez-la sur notre site ou visualisez-la ici.
Retour au début
Documents liés
En plein confinement mondial le 25 mars 2020, l’UNESCO a lancé la Coalition mondiale pour l’éducation visant à répondre aux conséquences de la crise de la COVID notamment en matière de genre.
Selon l'UNESCO, plus de 11 millions de filles risquent de ne pas retourner à l’école suite à la pandémie.
Sur proposition de la DGWB Paris, WBI a décidé de soutenir l’action de l’UNESCO dans quatre pays d’Afrique subsaharienne (Bénin, Mali, Nigeria, et Sénégal) où les risques de déscolarisation des filles sont accrus.
L’aide de WBI, d’un montant de 50.000 EUR, permettra à l’UNESCO de développer un plaidoyer aux niveaux national et local pour promouvoir le retour dans des conditions sûres des filles à l’école, d’assurer le droit des filles à une éducation de qualité et d’atténuer les risques de violence basée sur le genre, de mariage précoce et forcé.
Sur le long terme, l’aide contribuera à l’autonomisation des filles au travers de l’éducation avec des conséquences sanitaires, économiques et sociales positives pour les filles elles-mêmes, leurs familles et leurs communautés.
Ce soutien s’inscrit dans les priorités de la Fédération Wallonie-Bruxelles sur l’égalité des genres et l’éducation et participe à la contribution de Wallonie-Bruxelles aux Objectifs de Développement Durable.
En plein confinement mondial le 25 mars 2020, l’UNESCO a lancé la Coalition mondiale pour l’éducation visant à répondre aux conséquences de la crise de la COVID notamment en matière de genre.
Selon l'UNESCO, plus de 11 millions de filles risquent de ne pas retourner à l’école suite à la pandémie.
Sur proposition de la DGWB Paris, WBI a décidé de soutenir l’action de l’UNESCO dans quatre pays d’Afrique subsaharienne (Bénin, Mali, Nigeria, et Sénégal) où les risques de déscolarisation des filles sont accrus.
L’aide de WBI, d’un montant de 50.000 EUR, permettra à l’UNESCO de développer un plaidoyer aux niveaux national et local pour promouvoir le retour dans des conditions sûres des filles à l’école, d’assurer le droit des filles à une éducation de qualité et d’atténuer les risques de violence basée sur le genre, de mariage précoce et forcé.
Sur le long terme, l’aide contribuera à l’autonomisation des filles au travers de l’éducation avec des conséquences sanitaires, économiques et sociales positives pour les filles elles-mêmes, leurs familles et leurs communautés.
Ce soutien s’inscrit dans les priorités de la Fédération Wallonie-Bruxelles sur l’égalité des genres et l’éducation et participe à la contribution de Wallonie-Bruxelles aux Objectifs de Développement Durable.
Bouton - en savoir plus
La Revue W+B n°150 est sortie!
Et voici que 2020 se termine… Année particulière s’il en est, durant laquelle nous avons dû apprendre à vivre autrement, à travailler autrement. Cette année fut difficile pour chacun et chacune d’entre nous. Par la force des choses, nous avons dû nous approprier de nouvelles façons d’avancer, de consolider nos relations familiales, amicales, sociales. Mais cela nous a aussi permis de faire preuve de créativité et de solidarité face à cette épreuve.
Nous avons décidé de mettre en avant nos chercheurs, nos universités, nos entreprises, nos hôpitaux… qui ont su mettre leurs talents respectifs au service de la collectivité. Et de montrer comment cette solidarité permet à Wallonie-Bruxelles d’être à la pointe de la recherche face au coronavirus.
La culture est un des domaines durement touché par cette crise, notamment le cinéma. Nous avons donné la parole à quelques acteurs du secteur.
Nous faisons également le point sur la bonne santé des biotechs en Wallonie et à Bruxelles, nous découvrons comment les huiles essentielles pourraient remplacer le glyphosate, nous rencontrons Alex Vizorek, ainsi que la créatrice de la marque de cosmétiques naturels Bobone.
Entre autres découvertes…
Bonne lecture !
Au programme
- Dossier : Wallonie-Bruxelles : pourquoi est-on à la pointe de la recherche face au coronavirus?
- Portrait : Alex Vizorek : plus que de l'humour belge, un belge qui fait de l'humour
- Culture : Le cinéma belge confronté à la Covid 19
- Mode/Design : Bobone, la crème de la crème
- Jeunesse : Crise Covid 19 : quel impact sur le travail auprès des jeunes en Europe?
- Coopération au développement : DEFI-Archipelago : Objectif formation
- Entreprise : Le secret de la bonne santé du secteur des biotechs wallonnes
- Innovation : Des huiles essentielles développées en Wallonie pour remplacer le glyphosate
- Tourisme : L'Euro Space Center fait peau neuve et met le cap sur Mars!
- Gastronomie : "40 visites gourmandes en Wallonie" : une nouvelle carte qui se déguste
- Survols
Téléchargez-la sur notre site ou visualisez-la ici.
Documents liés
Ce 17 décembre 2020, à Paris, l’UNESCO a estimé que l’Art musical des Sonneurs de Trompe – une technique instrumentale liée au chant, à la maîtrise du souffle, au vibrato, à la résonance des lieux et à la convivialité – méritait de figurer sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité. Les ministres Bénédicte Linard et Jan Jambon, compétents respectivement pour la Culture en Fédération Wallonie-Bruxelles et en Communauté flamande, se réjouissent de cette bonne nouvelle.
Selon la Convention UNESCO de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, celui-ci englobe les traditions héritées de nos ancêtres et toujours pratiquées grâce à la transmission de génération en génération (arts du spectacle, pratiques sociales, rituels, événements festifs, savoir-faire artisanal…). Ce patrimoine est représentatif d’une identité et d’une grande diversité culturelle.
Le dossier de demande de reconnaissance a été introduit par la France au nom de quatre pays associés à savoir la Belgique, le Luxembourg, l’Italie et la France. Cette demande a été soutenue par plusieurs partenaires tels que la Fédération Internationale des Trompes de France, la Fédération des Trompes du Benelux, des ONG spécialisées (comme CEMPER en Communauté flamande) ainsi que la communauté des sonneurs de trompe. L’évaluation du dossier, qui prévoit une procédure de sélection très stricte, a duré un an et demi.
Le comité d’évaluation de la Convention a particulièrement apprécié les mesures de sauvegarde entourant l’art musical des sonneurs comme le développement de l’offre de formations, de stages et de concours internationaux. La notion de partage et l’enrichissement des répertoires ainsi que la réelle démocratisation de la pratique, qui permet à chacun sans distinction de niveau d’instruction, de milieu socio-culturel, de genre ou d’âge de jouer de la trompe et de participer à sa valorisation en Belgique, ont également été salués. Enfin, le comité a apprécié la sensibilisation à l’environnement qu’inclut cette pratique ; celle-ci est renforcée par les cérémonies et les concerts en plein air qui favorisent le lien avec la nature et la beauté des paysages.
Cette reconnaissance est un encouragement moral important pour l’Art musical des Sonneurs de Trompe dans notre pays et une récompense pour toutes celles et tous ceux qui s’impliquent en Flandre et en Wallonie, afin de garder en vie cette riche culture musicale.
Plus d’informations sur la reconnaissance de l’Art musical des Sonneurs de trompe en Fédération Wallonie-Bruxelles.
Toutes les informations sur le dossier UNESCO dont le film officiel de présentation.
Ce 17 décembre 2020, à Paris, l’UNESCO a estimé que l’Art musical des Sonneurs de Trompe – une technique instrumentale liée au chant, à la maîtrise du souffle, au vibrato, à la résonance des lieux et à la convivialité – méritait de figurer sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité. Les ministres Bénédicte Linard et Jan Jambon, compétents respectivement pour la Culture en Fédération Wallonie-Bruxelles et en Communauté flamande, se réjouissent de cette bonne nouvelle.
Selon la Convention UNESCO de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, celui-ci englobe les traditions héritées de nos ancêtres et toujours pratiquées grâce à la transmission de génération en génération (arts du spectacle, pratiques sociales, rituels, événements festifs, savoir-faire artisanal…). Ce patrimoine est représentatif d’une identité et d’une grande diversité culturelle.
Le dossier de demande de reconnaissance a été introduit par la France au nom de quatre pays associés à savoir la Belgique, le Luxembourg, l’Italie et la France. Cette demande a été soutenue par plusieurs partenaires tels que la Fédération Internationale des Trompes de France, la Fédération des Trompes du Benelux, des ONG spécialisées (comme CEMPER en Communauté flamande) ainsi que la communauté des sonneurs de trompe. L’évaluation du dossier, qui prévoit une procédure de sélection très stricte, a duré un an et demi.
Le comité d’évaluation de la Convention a particulièrement apprécié les mesures de sauvegarde entourant l’art musical des sonneurs comme le développement de l’offre de formations, de stages et de concours internationaux. La notion de partage et l’enrichissement des répertoires ainsi que la réelle démocratisation de la pratique, qui permet à chacun sans distinction de niveau d’instruction, de milieu socio-culturel, de genre ou d’âge de jouer de la trompe et de participer à sa valorisation en Belgique, ont également été salués. Enfin, le comité a apprécié la sensibilisation à l’environnement qu’inclut cette pratique ; celle-ci est renforcée par les cérémonies et les concerts en plein air qui favorisent le lien avec la nature et la beauté des paysages.
Cette reconnaissance est un encouragement moral important pour l’Art musical des Sonneurs de Trompe dans notre pays et une récompense pour toutes celles et tous ceux qui s’impliquent en Flandre et en Wallonie, afin de garder en vie cette riche culture musicale.
Plus d’informations sur la reconnaissance de l’Art musical des Sonneurs de trompe en Fédération Wallonie-Bruxelles.
Toutes les informations sur le dossier UNESCO dont le film officiel de présentation.
Bouton - en savoir plus
La 3ème édition des Grands Rendez-vous Québec/Wallonie-Bruxelles aura lieu en ligne en décembre 2020 et janvier 2021. Les projets sont à déposer pour le 1er décembre 2020 à midi.
Les Grands Rendez-vous ont été initiés par le Ministère des Relations internationales et de la Francophonie (MRIF) et Wallonie-Bruxelles International (WBI) dans le but d’approfondir les échanges entre Wallonie˗Bruxelles et le Québec sur une série de thématiques.
« C’est pas le bout du monde » en Haïti, une émission produite par Maurice Maréchal avec la collaboration de l’APEFE, l’AWEX et de WBI. Le système éducatif haïtien connaît une importante fragilité avec un taux de fréquentation scolaire faible et de grandes disparités entre les genres.
Wallonie-Bruxelles International (WBI) est l'administration publique chargée des relations internationales Wallonie-Bruxelles. Elle est l'instrument de la politique internationale menée par la Wallonie, la Fédération Wallonie-Bruxelles et la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale.
Wallonie-Bruxelles International s'est mise à l'heure écossaise et a soutenu, avec Wallonie-Bruxelles Théâtre Danse, 4 compagnies belges francophones au Fringe Festival, un des plus grands festivals des arts vivants d’Europe.