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(c) Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Chili
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Santiago, 14 décembre 2022

Afin de renforcer les liens d’amitiés entre le Chili et la Région Wallonne et la Fédération Wallonie-Bruxelles, et contribuer au développement de deux territoires, la VIIème Commission Mixte a eu lieu. L'Agence chilienne de coopération internationale au développement (AGCID) et Wallonie-Bruxelles International (WBI), ont approuvé 26 projets, faisant partie du programme de coopération bilatérale 2023-2025. De plus, cette Commission Mixte a pour la première fois approuvé des projets de coopération triangulaire avec un troisième pays d’Amérique Latine.

 

A l’occasion de la signature de cette CMP, le Directeur Général faisant fonction de l’AGCID, Enrique O’Farrill et l’Administratrice Générale de WBI, Pascale Delcomminette ont souligné les 25 ans d’une coopération bilatérale fructueuse ; cette relation se projetant dans l'avenir, en misant sur la collaboration pour un développement durable.

 

La Délégation officielle était composée de l'Ambassadeur de Belgique au Chili, Christian de Lannoy; Emmanuelle Dienga, représentante de WBI au Chili; Alexandre Gofflot, responsable des affaires latino-américaines de WBI; Didier De Leeuw, assistant pour les affaires latino-américaines et Clémentine Bourbon Denis, chargée de coopération de la représentation de WBI au Chili.

 

Pour la partie chilienne, la représentation était assurée par Juan Fierro, chef du département des négociations internationales, Iván Mertens, chef du département de la coordination du système national de coopération et Fabiola Viera, coordinatrice de programme du département des négociations internationales.

 

Le directeur exécutif faisant fonction de l'AGCID, Enrique O'Farrill, a souligné l’importance d’avoir pu soutenir cette rencontre de manière présentielle. Il a également ajouté « en 2023 commence une nouvelle étape de coopération entre les deux parties, car en plus de la vingtaine de projets approuvés pour la période 2023-2025, nous allons développer une coopération triangulaire comme nouveau mécanisme au sein de notre fructueuse coopération bilatérale déjà existante . Le Chili est reconnaissant et apprécie profondément l’engagement dont WBI a fait preuve au cours de ces années de coopération conjointe et nous espérons continuer à travailler ensemble pendant les 25 prochaines années.. »

 

De son côté, l’Administratrice Générale de WBI, Pascale Delcomminette a déclaré que « La coopération avec le Chili est très importante pour nous. En fait, c'est le seul pays d'Amérique latine où nous avons une représentation permanente par le biais de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles. Je suis très heureuse d'avoir pu signer en personne ce nouveau cycle de coopération et de célébrer avec nos partenaires de l'AGCID 25 ans de coopération fructueuse et diversifiée. Les projets reçus dans ce nouvel appel s'inscrivent dans le cadre des Objectifs de Développement Durable et démontrent une fois de plus l'engagement des opérateurs de chaque territoire à développer des relations et des échanges de qualité. Espérons que la coopération entre le Chili et Wallonie-Bruxelles continuera à se développer pendant de nombreuses années ».

 

Cette année, le Chili et la Wallonie-Bruxelles célèbrent 25 ans d'une solide relation de coopération, née de la signature et de la mise en œuvre de l'Accord-Cadre du 31 juillet 1997 entre la République du Chili et les gouvernements de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Région wallonne. A ce jour, cette relation a développé une série de projets abordant diverses questions telles que le développement productif, la décentralisation, le développement agricole, l'environnement, l'innovation, le développement durable, les échanges universitaires, entre autres.

 

Les commissions mixtes conjointes se tiennent tous les trois ans, en alternant le lieu de réunion. La dernière s'était tenue en 2018 à Bruxelles et avait approuvé 28 projets dans divers domaines thématiques. La pandémie a décalé la tenue de la VIIème Commission Mixte qui aurait dû se tenir en décembre 202; elle s’est donc déroulée en décembre 2022, à Santiago comme prévu.   

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Programme de coopération 2023-2025 

Les initiatives approuvées correspondent à la philosophie des appels à projets de coopération conjoints entre le Chili et Wallonie-Bruxelles, dans des domaines tels que la culture, l'éducation, l'innovation et la science, et les droits de l'homme.

 

Cette initiative permettra l'échange d'expériences entre les institutions chiliennes et leurs homologues de Wallonie-Bruxelles, favorisant le développement conjoint d'activités telles que des ateliers, des conférences, des séminaires, entre autres, ainsi que la promotion de l'échange d’experts et de chercheurs entre les deux territoires.

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Santiago, 14 décembre 2022

Afin de renforcer les liens d’amitiés entre le Chili et la Région Wallonne et la Fédération Wallonie-Bruxelles, et contribuer au développement de deux territoires, la VIIème Commission Mixte a eu lieu. L'Agence chilienne de coopération internationale au développement (AGCID) et Wallonie-Bruxelles International (WBI), ont approuvé 26 projets, faisant partie du programme de coopération bilatérale 2023-2025. De plus, cette Commission Mixte a pour la première fois approuvé des projets de coopération triangulaire avec un troisième pays d’Amérique Latine.

 

A l’occasion de la signature de cette CMP, le Directeur Général faisant fonction de l’AGCID, Enrique O’Farrill et l’Administratrice Générale de WBI, Pascale Delcomminette ont souligné les 25 ans d’une coopération bilatérale fructueuse ; cette relation se projetant dans l'avenir, en misant sur la collaboration pour un développement durable.

 

La Délégation officielle était composée de l'Ambassadeur de Belgique au Chili, Christian de Lannoy; Emmanuelle Dienga, représentante de WBI au Chili; Alexandre Gofflot, responsable des affaires latino-américaines de WBI; Didier De Leeuw, assistant pour les affaires latino-américaines et Clémentine Bourbon Denis, chargée de coopération de la représentation de WBI au Chili.

 

Pour la partie chilienne, la représentation était assurée par Juan Fierro, chef du département des négociations internationales, Iván Mertens, chef du département de la coordination du système national de coopération et Fabiola Viera, coordinatrice de programme du département des négociations internationales.

 

Le directeur exécutif faisant fonction de l'AGCID, Enrique O'Farrill, a souligné l’importance d’avoir pu soutenir cette rencontre de manière présentielle. Il a également ajouté « en 2023 commence une nouvelle étape de coopération entre les deux parties, car en plus de la vingtaine de projets approuvés pour la période 2023-2025, nous allons développer une coopération triangulaire comme nouveau mécanisme au sein de notre fructueuse coopération bilatérale déjà existante . Le Chili est reconnaissant et apprécie profondément l’engagement dont WBI a fait preuve au cours de ces années de coopération conjointe et nous espérons continuer à travailler ensemble pendant les 25 prochaines années.. »

 

De son côté, l’Administratrice Générale de WBI, Pascale Delcomminette a déclaré que « La coopération avec le Chili est très importante pour nous. En fait, c'est le seul pays d'Amérique latine où nous avons une représentation permanente par le biais de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles. Je suis très heureuse d'avoir pu signer en personne ce nouveau cycle de coopération et de célébrer avec nos partenaires de l'AGCID 25 ans de coopération fructueuse et diversifiée. Les projets reçus dans ce nouvel appel s'inscrivent dans le cadre des Objectifs de Développement Durable et démontrent une fois de plus l'engagement des opérateurs de chaque territoire à développer des relations et des échanges de qualité. Espérons que la coopération entre le Chili et Wallonie-Bruxelles continuera à se développer pendant de nombreuses années ».

 

Cette année, le Chili et la Wallonie-Bruxelles célèbrent 25 ans d'une solide relation de coopération, née de la signature et de la mise en œuvre de l'Accord-Cadre du 31 juillet 1997 entre la République du Chili et les gouvernements de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Région wallonne. A ce jour, cette relation a développé une série de projets abordant diverses questions telles que le développement productif, la décentralisation, le développement agricole, l'environnement, l'innovation, le développement durable, les échanges universitaires, entre autres.

 

Les commissions mixtes conjointes se tiennent tous les trois ans, en alternant le lieu de réunion. La dernière s'était tenue en 2018 à Bruxelles et avait approuvé 28 projets dans divers domaines thématiques. La pandémie a décalé la tenue de la VIIème Commission Mixte qui aurait dû se tenir en décembre 202; elle s’est donc déroulée en décembre 2022, à Santiago comme prévu.   

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Programme de coopération 2023-2025 

Les initiatives approuvées correspondent à la philosophie des appels à projets de coopération conjoints entre le Chili et Wallonie-Bruxelles, dans des domaines tels que la culture, l'éducation, l'innovation et la science, et les droits de l'homme.

 

Cette initiative permettra l'échange d'expériences entre les institutions chiliennes et leurs homologues de Wallonie-Bruxelles, favorisant le développement conjoint d'activités telles que des ateliers, des conférences, des séminaires, entre autres, ainsi que la promotion de l'échange d’experts et de chercheurs entre les deux territoires.

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(c) WBI

Ce comité a souligné les convergences entre nos réseaux de communicateurs publics. Il montre aussi l'importance de la présence de Wallonie-Bruxelles dans les relations de qualité entre la France et la Belgique Francophone.

 

La qualité de l'accueil des belges francophones est une valeur qui est déjà bien connue de nos partenaires à l'international. Cela fait partie de notre ADN et constitue également un atout considérable de notre diplomatie.

 

Yves Charmont, Délégué général de Cap’Com a rappelé le rôle de l'association et du réseau des acteurs de la communication publique francophone. Structurée en France autour des territoires, elle coopère également avec WBCom’ qui est son équivalent au niveau de Wallonie-Bruxelles et dont WBI est membre actif.

 

« L’accueil de ce comité de pilotage de Cap’Com par la Délégation Générale de Wallonie-Bruxelles à Paris est un honneur et s’inscrit dans une longue relation d’amitié entre les institutions belges et françaises. La présence de WBCom’ à ce comité est aussi un élément important car il témoigne des convergences des préoccupations entre nos réseaux de communicateurs publics. Notons que sur le plan de la communication et de l’attractivité locale, la Belgique francophone est très en pointe. Nous avons été impressionnés par certaines campagnes que nous avons observées.

 

Ces convergences se traduisent également dans la dimension du service public en tant que bien commun. Cette notion, qui nous apparait évidente ne l’est pas de la même manière  dans d’autres régions du monde. Mais il existe également des différences entre nous et cela contribue à l’enrichissement mutuel de nos membres. Enfin, nous avons la conviction qu’aujourd’hui, la communication publique est un levier essentiel pour la démocratie car elle vise à rapprocher le citoyen de la chose publique et le rendre acteur dans les nombreux défis auxquels la société est confrontée. Cela ne s’opère qu’à travers la bonne compréhension des enjeux et nécessite donc une médiation de qualité pour que le citoyen puisse opérer ses choix sur base de la meilleure information.

 

Les échanges de bonnes pratiques avec WBCom’, notre équivalent en Belgique francophone, sont le signe de la vision internationale du  réseau de Cap’Com. Cela est d’autant plus vrai que ce réseau est en train de s’agrandir. Nos partenaires non francophones sont également intéressés par cette démarche constructive et s’abonnent à notre infolettre de langue anglaise « Commonality ».

 

Gaël Lecomte, nouvelle présidente de WBCom’ le confirme l’intérêt de cette participation au réseau Cap’Com. : « C’est important pour une association comme WBCom’ de développer ses relations internationales. L’accueil du Comité de pilotage de Cap’Com ici dans notre Délégation Wallonie-Bruxelles à Paris contribue à notre volonté d’élargir notre propre réseau et aussi à un échange plus large des bonne pratiques avec d’autres pays. Cela contribue non seulement au développement des compétences mais aussi plus particulièrement pour WBCom, l’observation de l’évolution de CapCom est un bon exemple de ce que nous souhaitons mettre en place en Wallonie. Le but est de permettre le développement des compétences et de la pratique professionnelle de la communication de nos communicants francophones belges et nous remercions Wallonie-Bruxelles international d’avoir permis de rendre cet accueil de Cap’Com possible. »  

 

Marc Clairbois, le Délégué général Wallonie-Bruxelles en poste à Paris était présent pour souhaiter la bienvenue à ces acteurs de la communication publique, il a également rappelé l'importance de la présence de Wallonie-Bruxelles à Paris dans les relations de qualité entre la France et la Belgique Francophone.

 

Le fait que Wallonie-Bruxelles, en tant que membre de Cap’Com, réserve un accueil chaleureux à la tenue du comité de pilotage qui réunit tout le gratin de la communication des territoires français traduit assez bien l'image que reflète la Belgique Francophone aujourd'hui en France: Un partenaire de qualité et dynamique avec lequel il est tout simplement agréable de travailler. Ce comité a été une occasion de resituer la contribution de la Wallonie et de Bruxelles au cœur des échanges professionnels entre nos deux pays. La réponse enthousiaste à cette invitation en nos murs parisiens est le témoignage d'une relation positive et constructive de nos acteurs de la communication.

 

Plus d’informations sur les réseaux des communicants publics: https://www.cap-com.org/ et https://wbcom.be/.

 

 

Ce comité a souligné les convergences entre nos réseaux de communicateurs publics. Il montre aussi l'importance de la présence de Wallonie-Bruxelles dans les relations de qualité entre la France et la Belgique Francophone.

 

La qualité de l'accueil des belges francophones est une valeur qui est déjà bien connue de nos partenaires à l'international. Cela fait partie de notre ADN et constitue également un atout considérable de notre diplomatie.

 

Yves Charmont, Délégué général de Cap’Com a rappelé le rôle de l'association et du réseau des acteurs de la communication publique francophone. Structurée en France autour des territoires, elle coopère également avec WBCom’ qui est son équivalent au niveau de Wallonie-Bruxelles et dont WBI est membre actif.

 

« L’accueil de ce comité de pilotage de Cap’Com par la Délégation Générale de Wallonie-Bruxelles à Paris est un honneur et s’inscrit dans une longue relation d’amitié entre les institutions belges et françaises. La présence de WBCom’ à ce comité est aussi un élément important car il témoigne des convergences des préoccupations entre nos réseaux de communicateurs publics. Notons que sur le plan de la communication et de l’attractivité locale, la Belgique francophone est très en pointe. Nous avons été impressionnés par certaines campagnes que nous avons observées.

 

Ces convergences se traduisent également dans la dimension du service public en tant que bien commun. Cette notion, qui nous apparait évidente ne l’est pas de la même manière  dans d’autres régions du monde. Mais il existe également des différences entre nous et cela contribue à l’enrichissement mutuel de nos membres. Enfin, nous avons la conviction qu’aujourd’hui, la communication publique est un levier essentiel pour la démocratie car elle vise à rapprocher le citoyen de la chose publique et le rendre acteur dans les nombreux défis auxquels la société est confrontée. Cela ne s’opère qu’à travers la bonne compréhension des enjeux et nécessite donc une médiation de qualité pour que le citoyen puisse opérer ses choix sur base de la meilleure information.

 

Les échanges de bonnes pratiques avec WBCom’, notre équivalent en Belgique francophone, sont le signe de la vision internationale du  réseau de Cap’Com. Cela est d’autant plus vrai que ce réseau est en train de s’agrandir. Nos partenaires non francophones sont également intéressés par cette démarche constructive et s’abonnent à notre infolettre de langue anglaise « Commonality ».

 

Gaël Lecomte, nouvelle présidente de WBCom’ le confirme l’intérêt de cette participation au réseau Cap’Com. : « C’est important pour une association comme WBCom’ de développer ses relations internationales. L’accueil du Comité de pilotage de Cap’Com ici dans notre Délégation Wallonie-Bruxelles à Paris contribue à notre volonté d’élargir notre propre réseau et aussi à un échange plus large des bonne pratiques avec d’autres pays. Cela contribue non seulement au développement des compétences mais aussi plus particulièrement pour WBCom, l’observation de l’évolution de CapCom est un bon exemple de ce que nous souhaitons mettre en place en Wallonie. Le but est de permettre le développement des compétences et de la pratique professionnelle de la communication de nos communicants francophones belges et nous remercions Wallonie-Bruxelles international d’avoir permis de rendre cet accueil de Cap’Com possible. »  

 

Marc Clairbois, le Délégué général Wallonie-Bruxelles en poste à Paris était présent pour souhaiter la bienvenue à ces acteurs de la communication publique, il a également rappelé l'importance de la présence de Wallonie-Bruxelles à Paris dans les relations de qualité entre la France et la Belgique Francophone.

 

Le fait que Wallonie-Bruxelles, en tant que membre de Cap’Com, réserve un accueil chaleureux à la tenue du comité de pilotage qui réunit tout le gratin de la communication des territoires français traduit assez bien l'image que reflète la Belgique Francophone aujourd'hui en France: Un partenaire de qualité et dynamique avec lequel il est tout simplement agréable de travailler. Ce comité a été une occasion de resituer la contribution de la Wallonie et de Bruxelles au cœur des échanges professionnels entre nos deux pays. La réponse enthousiaste à cette invitation en nos murs parisiens est le témoignage d'une relation positive et constructive de nos acteurs de la communication.

 

Plus d’informations sur les réseaux des communicants publics: https://www.cap-com.org/ et https://wbcom.be/.

 

 

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(c) Belgium Foreign Affairs

À l’occasion de la mission économique belge princière au Japon et à l’initiative de WBCampus, l’association de l’industrie des jeux vidéo Walga s’est associée au comité japonais du Bit Summit pour organiser une game jam mixte Belgique-Japon sur le thème de l'Équilibre entre la société et l’environnement.

 

Plus de 180 étudiant.e.s belges et japonais se sont rencontré.e.s en distanciel du 2 au 4 décembre avec pour mission de créer un prototype de jeu vidéo.

Accompagné.e.s par une douzaine de coach.e.s professionnel.le.s et enseignant.e.s, ils ont mis en commun leurs compétences techniques, artistiques mais aussi organisationnelles, marketing et même de traduction pour faciliter les échanges.

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Une game jam, c’est l’équivalent d’un hackaton pour les jeux vidéo.

La mission : créer un jeu vidéo en 48 heures, l’espace d’un week-end et en ligne.

Les contraintes : le temps naturellement, car un week-end, c’est court. Le thème aussi : Équilibre.

Les joueurs ont dû développer un jeu autour de la coexistence de la société avec la nature, afin de préserver notre environnement.

 

Le graphisme présentait une autre contrainte : les joueurs étaient invités à faire référence à l’univers de Jean-Michel Folon, dont la Princesse Astrid a inauguré l’exposition au Musée Hakusa Sonso - Kyoto, ou aux arts graphiques des estampes japonaises s'appuyant sur les cinq éléments de la culture japonaise (terre, eau, feu, vent, vide) . Ils ont veillé à concevoir un jeu coopératif, sans perdant ni gagnant. Challenge supplémentaire : les 20 équipes en lice étaient constituées de 8 à 10 étudiants belges et japonais qui se rencontraient pour la première fois.

 

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Pourquoi des équipes mixtes ?

Pour prouver que la langue et la culture ne sont pas des obstacles et pour ouvrir les portes de l’industrie des jeux vidéo aux étudiants stagiaires et à la recherche d’emploi.

 

Monsieur Shinagawa, directeur général chez Bandai Namco, affirme que son entreprise, et toutes les autres, sont à la recherche de talents. Avec la game jam, il est le témoin de la qualité des formations offertes en Wallonie-Bruxelles telles le bachelier en art numérique et le master en jeux vidéo à l’ESA Saint Luc à Bruxelles, le bachelier en écriture Multimédia à la Haute école de Liège, les formations en industries créatives et numériques de la Haute Ecole Albert Jacquard à Namur et bien d’autres, représentées ici dans le panel des étudiants belges francophones sélectionnés.

 

La game jam a réuni plus de 120 étudiants belges issus de 22 écoles et universités de la Fédération Wallonie-Bruxelles et 70 étudiants japonais issus des écoles de graphisme et d’animation de la région du Kansai, dont l’université Seika qui a récemment signé un Mémorum d’entente avec l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Visuels- La Cambre.

 

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19 jeux en 48 heures

Le résultat est impressionnant avec 19 projets qui ont été présentés sur la chaîne Twitch WalgaTV. Le public invité à découvrir et tester les jeux sur la plateforme itch.io, a pu voter pour ses favoris et déterminer les 8 jeux finalistes nominés pour un des awards.

 

Parmi ces 19 jeux également présentés à un jury professionnel belgo-japonais issu des sérails académique et industriel, "Ecooks" a remporté tous les suffrages. Il est animé par deux personnages évoluant dans deux univers, le Japon et la Belgique. Au terme d'un parcours périlleux semé d'épreuves, les deux héros se retrouvent. Ce jeu représente l'esprit dans lequel s'est déroulé cette mission mettant l'accent sur les liens d'amitié qui unissent les deux pays.

 

Plusieurs équipes ont également été mises à l’honneur par la Princesse Astrid et Madame Pascale Delcomminette, CEO de WBI, pour la qualité du jeu, la meilleure programmation et le meilleur graphisme et enfin, pour leur capacité à se coordonner et travailler ensemble.

 

La cérémonie de remise de prix a eu lieu dans un endroit emblématique, le musée du manga de Kyoto, abrité dans une ancienne école primaire.

Cette cérémonie marque la fin de la mission princière d’une façon festive et décidemment tournée vers l’avenir. Les représentants des écoles belges et japonaises ont confirmé leur volonté d’accueillir des étudiants et des stagiaires dès l’année scolaire prochaine.

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À l’occasion de la mission économique belge princière au Japon et à l’initiative de WBCampus, l’association de l’industrie des jeux vidéo Walga s’est associée au comité japonais du Bit Summit pour organiser une game jam mixte Belgique-Japon sur le thème de l'Équilibre entre la société et l’environnement.

 

Plus de 180 étudiant.e.s belges et japonais se sont rencontré.e.s en distanciel du 2 au 4 décembre avec pour mission de créer un prototype de jeu vidéo.

Accompagné.e.s par une douzaine de coach.e.s professionnel.le.s et enseignant.e.s, ils ont mis en commun leurs compétences techniques, artistiques mais aussi organisationnelles, marketing et même de traduction pour faciliter les échanges.

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Une game jam, c’est l’équivalent d’un hackaton pour les jeux vidéo.

La mission : créer un jeu vidéo en 48 heures, l’espace d’un week-end et en ligne.

Les contraintes : le temps naturellement, car un week-end, c’est court. Le thème aussi : Équilibre.

Les joueurs ont dû développer un jeu autour de la coexistence de la société avec la nature, afin de préserver notre environnement.

 

Le graphisme présentait une autre contrainte : les joueurs étaient invités à faire référence à l’univers de Jean-Michel Folon, dont la Princesse Astrid a inauguré l’exposition au Musée Hakusa Sonso - Kyoto, ou aux arts graphiques des estampes japonaises s'appuyant sur les cinq éléments de la culture japonaise (terre, eau, feu, vent, vide) . Ils ont veillé à concevoir un jeu coopératif, sans perdant ni gagnant. Challenge supplémentaire : les 20 équipes en lice étaient constituées de 8 à 10 étudiants belges et japonais qui se rencontraient pour la première fois.

 

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Pourquoi des équipes mixtes ?

Pour prouver que la langue et la culture ne sont pas des obstacles et pour ouvrir les portes de l’industrie des jeux vidéo aux étudiants stagiaires et à la recherche d’emploi.

 

Monsieur Shinagawa, directeur général chez Bandai Namco, affirme que son entreprise, et toutes les autres, sont à la recherche de talents. Avec la game jam, il est le témoin de la qualité des formations offertes en Wallonie-Bruxelles telles le bachelier en art numérique et le master en jeux vidéo à l’ESA Saint Luc à Bruxelles, le bachelier en écriture Multimédia à la Haute école de Liège, les formations en industries créatives et numériques de la Haute Ecole Albert Jacquard à Namur et bien d’autres, représentées ici dans le panel des étudiants belges francophones sélectionnés.

 

La game jam a réuni plus de 120 étudiants belges issus de 22 écoles et universités de la Fédération Wallonie-Bruxelles et 70 étudiants japonais issus des écoles de graphisme et d’animation de la région du Kansai, dont l’université Seika qui a récemment signé un Mémorum d’entente avec l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Visuels- La Cambre.

 

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19 jeux en 48 heures

Le résultat est impressionnant avec 19 projets qui ont été présentés sur la chaîne Twitch WalgaTV. Le public invité à découvrir et tester les jeux sur la plateforme itch.io, a pu voter pour ses favoris et déterminer les 8 jeux finalistes nominés pour un des awards.

 

Parmi ces 19 jeux également présentés à un jury professionnel belgo-japonais issu des sérails académique et industriel, "Ecooks" a remporté tous les suffrages. Il est animé par deux personnages évoluant dans deux univers, le Japon et la Belgique. Au terme d'un parcours périlleux semé d'épreuves, les deux héros se retrouvent. Ce jeu représente l'esprit dans lequel s'est déroulé cette mission mettant l'accent sur les liens d'amitié qui unissent les deux pays.

 

Plusieurs équipes ont également été mises à l’honneur par la Princesse Astrid et Madame Pascale Delcomminette, CEO de WBI, pour la qualité du jeu, la meilleure programmation et le meilleur graphisme et enfin, pour leur capacité à se coordonner et travailler ensemble.

 

La cérémonie de remise de prix a eu lieu dans un endroit emblématique, le musée du manga de Kyoto, abrité dans une ancienne école primaire.

Cette cérémonie marque la fin de la mission princière d’une façon festive et décidemment tournée vers l’avenir. Les représentants des écoles belges et japonaises ont confirmé leur volonté d’accueillir des étudiants et des stagiaires dès l’année scolaire prochaine.

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Cette mobilité intelligente va parfois se nicher dans des domaines surprenants. La métropole catalane mise, en effet, sur le solaire appliqué à la micro-mobilité.

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Tapis photovoltaïque pour trottinettes

Une des innovations mises en avant est développée par Yup (your urban parking), une entreprise espagnole : il s’agit d’un système de places de stationnement du genre Villo, mais dédiées aux trottinettes électriques.

 

Ses bornes d’accroche permettent de ne plus voir traîner les trottinettes n’importe où sur les trottoirs quand elles ne sont pas utilisées. Mais surtout, elles sont couplées à une sorte de tapis photovoltaïque qui permet de les recharger quand elles y sont garées.

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Des parkings privés avec bornes de recharge ouverts au public

Valoriser le temps de stationnement « partagé » est une idée qui a aussi inspiré Pascal Repjuk, le patron de Capflow et de Data Vision systems, originaire de Thulin en Hainaut. L’innovation qu’il met en avant concerne les voitures électriques.

 

Ce pionnier en matière d’ouverture de barrières de parking et de paiement via lecture de plaques d’immatriculation des voitures, travaille actuellement sur la mise en place de solutions de parking à la demande qui mettrait en relation les automobilistes avec des gestionnaires de parkings privés. « Nous ne parlons pas ici de grands parkings privés accessibles au public », précise-t-il. « Mais de places munies de bornes de recharge situées dans des résidences privées ou des entreprises.»

 

« Le parc de véhicules électriques ne cesse de croître », dit-il encore. « Dans le même temps, le développement du réseau de bornes de recharge ne suit pas le même rythme. Or, des places de parking privées munies de bornes existent et ne sont pas utilisées en continu. »

 

D’où son projet de faire se rencontrer la demande avec une offre bien présente, qui ne demande qu’à être optimisée. Et de permettre au conducteur d’un véhicule électrique en déplacement de pouvoir réserver, à destination et suffisamment longtemps pour recharger ses batteries, une telle place de parking connectée.

« L’automobiliste a ainsi la certitude de trouver où se garer et de pouvoir recharger ses batteries. C’est aussi un stress en moins lié à l’autonomie de son véhicule. Il est certain de pouvoir rentrer chez lui en fin de journée.»

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Un guide pratique

L’idée est séduisante. Surtout quand on sait qu’une voiture reste 96 % du temps garée, comme le rappelle le quatrième guide pratique de la Smart city, proposé par le Smart City Institute (HEC Liège), et qui est dédié à « la mobilité de demain ».

 

« Ce guide a particulièrement bien été reçu en Wallonie », souligne Audrey Lebas, du Smart City Institute, autrice de ce document. Présente au SmartCity Expo World Congress, à l’invitation du département Recherche et Innovation de Wallonie-Bruxelles International, elle précise: « il fait le point sur toute une série d’enjeux liés à la mobilité, qu’il s’agisse de l’intermodalité, de l’aménagement du territoire ou encore de la gouvernance. Sans oublier des informations très concrètes sur ce qu’est un véhicule électrique, hybride, roulant à l’hydrogène, autonome, connecté, partagé… ».

 

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Carports solaires privés avec batteries

Revenons-en à Capflow. Pour optimiser davantage les places de stationnement avec possibilité de recharge, y compris à domicile, Pascal Repjuk propose d’optimiser l’utilisation de l’énergie photoélectrique produite à domicile.

 

« Un carport équipé de panneaux solaires est une solution intéressante », indique-t-il. « Mais si le véhicule n’est pas présent, cette énergie n’est pas consommée ». Sa solution? Doter le carport solaire d’un système de batteries qui emmagasine l’électricité solaire produite en journée pour recharger partiellement le véhicule la nuit, une fois celui-ci rentré au bercail.

 

L’entreprise spécialisée dans le software s’est dès lors lancée dans la production d’un hardware, comme le concède son patron.

« Nous avons pu étendre nos services grâce la mise sur pied d’une collaboration avec un partenaire européen. Nous visons désormais le marché résidentiel grâce à cette coentreprise », conclut-il.

 

Source: article de Christian Du Brulle pour Daily Science.

 

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Tapis photovoltaïque pour trottinettes

Une des innovations mises en avant est développée par Yup (your urban parking), une entreprise espagnole : il s’agit d’un système de places de stationnement du genre Villo, mais dédiées aux trottinettes électriques.

 

Ses bornes d’accroche permettent de ne plus voir traîner les trottinettes n’importe où sur les trottoirs quand elles ne sont pas utilisées. Mais surtout, elles sont couplées à une sorte de tapis photovoltaïque qui permet de les recharger quand elles y sont garées.

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Des parkings privés avec bornes de recharge ouverts au public

Valoriser le temps de stationnement « partagé » est une idée qui a aussi inspiré Pascal Repjuk, le patron de Capflow et de Data Vision systems, originaire de Thulin en Hainaut. L’innovation qu’il met en avant concerne les voitures électriques.

 

Ce pionnier en matière d’ouverture de barrières de parking et de paiement via lecture de plaques d’immatriculation des voitures, travaille actuellement sur la mise en place de solutions de parking à la demande qui mettrait en relation les automobilistes avec des gestionnaires de parkings privés. « Nous ne parlons pas ici de grands parkings privés accessibles au public », précise-t-il. « Mais de places munies de bornes de recharge situées dans des résidences privées ou des entreprises.»

 

« Le parc de véhicules électriques ne cesse de croître », dit-il encore. « Dans le même temps, le développement du réseau de bornes de recharge ne suit pas le même rythme. Or, des places de parking privées munies de bornes existent et ne sont pas utilisées en continu. »

 

D’où son projet de faire se rencontrer la demande avec une offre bien présente, qui ne demande qu’à être optimisée. Et de permettre au conducteur d’un véhicule électrique en déplacement de pouvoir réserver, à destination et suffisamment longtemps pour recharger ses batteries, une telle place de parking connectée.

« L’automobiliste a ainsi la certitude de trouver où se garer et de pouvoir recharger ses batteries. C’est aussi un stress en moins lié à l’autonomie de son véhicule. Il est certain de pouvoir rentrer chez lui en fin de journée.»

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Un guide pratique

L’idée est séduisante. Surtout quand on sait qu’une voiture reste 96 % du temps garée, comme le rappelle le quatrième guide pratique de la Smart city, proposé par le Smart City Institute (HEC Liège), et qui est dédié à « la mobilité de demain ».

 

« Ce guide a particulièrement bien été reçu en Wallonie », souligne Audrey Lebas, du Smart City Institute, autrice de ce document. Présente au SmartCity Expo World Congress, à l’invitation du département Recherche et Innovation de Wallonie-Bruxelles International, elle précise: « il fait le point sur toute une série d’enjeux liés à la mobilité, qu’il s’agisse de l’intermodalité, de l’aménagement du territoire ou encore de la gouvernance. Sans oublier des informations très concrètes sur ce qu’est un véhicule électrique, hybride, roulant à l’hydrogène, autonome, connecté, partagé… ».

 

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Carports solaires privés avec batteries

Revenons-en à Capflow. Pour optimiser davantage les places de stationnement avec possibilité de recharge, y compris à domicile, Pascal Repjuk propose d’optimiser l’utilisation de l’énergie photoélectrique produite à domicile.

 

« Un carport équipé de panneaux solaires est une solution intéressante », indique-t-il. « Mais si le véhicule n’est pas présent, cette énergie n’est pas consommée ». Sa solution? Doter le carport solaire d’un système de batteries qui emmagasine l’électricité solaire produite en journée pour recharger partiellement le véhicule la nuit, une fois celui-ci rentré au bercail.

 

L’entreprise spécialisée dans le software s’est dès lors lancée dans la production d’un hardware, comme le concède son patron.

« Nous avons pu étendre nos services grâce la mise sur pied d’une collaboration avec un partenaire européen. Nous visons désormais le marché résidentiel grâce à cette coentreprise », conclut-il.

 

Source: article de Christian Du Brulle pour Daily Science.

 

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25 ans de coopération entre Wallonie-Bruxelles et le Chili

Dans le cadre de la célébration des 25 ans de la coopération bilatérale entre Wallonie-Bruxelles et le Chili, la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Chili aura le plaisir de recevoir en mission officielle Pascale Delcomminette, Administratrice Générale de Wallonie-Bruxelles International dans quelques semaines.

 

La semaine du 12 décembre aura lieu la Septième Commission Mixte Permanente durant laquelle, Wallonie-Bruxelles International et l’AGCID, l’Agence Chilienne de Coopération Internationale au Développement vont renouveler leur collaboration pour la période 2023-2025.

 

Cet accord permettra de continuer à développer de nouveaux projets entre les deux territoires dans les domaines de la coopération académique, de la recherche et de l’innovation, des industries créatives et culturelles et des droits humains.

 

Pour l’occasion, nous sommes ravis de vous présenter une vidéo anniversaire proposée par Pascale Delcomminette, dans laquelle elle remercie les différents acteurs de coopération de longue date.

 

Bon visionnage !

 

Dans le cadre de la célébration des 25 ans de la coopération bilatérale entre Wallonie-Bruxelles et le Chili, la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Chili aura le plaisir de recevoir en mission officielle Pascale Delcomminette, Administratrice Générale de Wallonie-Bruxelles International dans quelques semaines.

 

La semaine du 12 décembre aura lieu la Septième Commission Mixte Permanente durant laquelle, Wallonie-Bruxelles International et l’AGCID, l’Agence Chilienne de Coopération Internationale au Développement vont renouveler leur collaboration pour la période 2023-2025.

 

Cet accord permettra de continuer à développer de nouveaux projets entre les deux territoires dans les domaines de la coopération académique, de la recherche et de l’innovation, des industries créatives et culturelles et des droits humains.

 

Pour l’occasion, nous sommes ravis de vous présenter une vidéo anniversaire proposée par Pascale Delcomminette, dans laquelle elle remercie les différents acteurs de coopération de longue date.

 

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© Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Québec

Découvrez les événements marquants des 40 années de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Québec au travers d'une ligne du temps interactive !

À découvrir ci-dessous (défilement possible de haut en bas et de gauche à droite) ou en ligne !

Bonne découverte.

 

 

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Exposition Folon au musée Hakusa Sonso à Kyoto © musée Hakusa Sonso - WBI - AWEX

Dans le cadre de la mission princière, Wallonie Bruxelles International et l’Agence wallonne à l'Exportation et aux Investissements étrangers mettent à l’honneur les sculptures de Jean-Michel Folon (1934-2005), captées à travers le regard de son ami Thierry Renauld. Cette exposition rassemble une trentaine de clichés du photographe bruxellois, pris entre 1995 et 2020. Une plongée vibrante et vivante dans l’univers sculptural de l’artiste belge, complétée d’une vingtaine de sculptures originales de l’artiste, exceptionnellement prêtées pour l’occasion.

 

Thierry Renauld, né en 1955, développe depuis l’âge de 12 ans une véritable passion pour la photographie qu’il vit comme une quête spirituelle personnelle visant à scruter la force contemplative de l’image photographique. C’est un jour de 1995 que le photographe Thierry Renaud découvre par hasard la première exposition de sculptures que Jean-Michel Folon installe à Bruxelles, au Petit Sablon. Bouleversé, il offre à l’artiste quelques semaines plus tard, un petit recueil contenant des photos des sculptures, en dialogue avec un texte sensible écrit par un de ses amis, Jean-Claude Georges. Folon s’enthousiasme vivement de ce regard porté sur ses créations et propose à Thierry Renauld de photographier dorénavant ses principales expositions de sculptures.

 

De sa complicité avec le photographe, Folon avait écrit: « Parfois, quelque chose arrive, qui donne un sens à vos créations. La rencontre de Thierry Renauld a représenté pour moi un moment rare, il avait lu dans mes pensées (...) Quand le soleil caresse ma sculpture, il lui donne une vie différente de l’instant suivant. Lorsque le regard de Thierry regarde une sculpture, il suit le chemin du soleil. Son regard écoute la lumière. Par le regard de Thierry Renauld, ma sculpture se lisait comme une poésie imprévue. »

 

La sculpture « Le Secret » posée devant l’atelier de l’artiste Kansestu Hashimoto, semble en contemplation devant le magnifique jardin du musée qui offre une vue époustouflante sur la Montagne de l’Est, Higashiyama. Dans l’atelier, une centaine de personnes, des curateurs de musées japonais et des représentants du monde culturel, se sont réunies pour découvrir l’œuvre sculpturale de Jean-Michel Folon, très bien connu au Japon pour ses illustrations.

 

L’artiste a durant sa vie accordé une importance centrale à l’équilibre et la coexistence avec la planète autant qu’aux Droits de l’Homme, deux thématiques abordées durant la mission princière au Japon. Pour autant, c’est la poésie et la gentillesse qui émane de son personnage central, l’homme au chapeau, lorsqu’il est touché par la lumière qui marque les esprits et attire notre imagination vers de nouvelles contrées.

 

Si vous êtes de passage au Japon, n'hésitez pas un seul instant. L'exposition a lieu du 10 décembre 2022 au 9 janvier 2023, au musée Hakusa Sonso à Kyoto.

 

Dans le cadre de la mission princière, Wallonie Bruxelles International et l’Agence wallonne à l'Exportation et aux Investissements étrangers mettent à l’honneur les sculptures de Jean-Michel Folon (1934-2005), captées à travers le regard de son ami Thierry Renauld. Cette exposition rassemble une trentaine de clichés du photographe bruxellois, pris entre 1995 et 2020. Une plongée vibrante et vivante dans l’univers sculptural de l’artiste belge, complétée d’une vingtaine de sculptures originales de l’artiste, exceptionnellement prêtées pour l’occasion.

 

Thierry Renauld, né en 1955, développe depuis l’âge de 12 ans une véritable passion pour la photographie qu’il vit comme une quête spirituelle personnelle visant à scruter la force contemplative de l’image photographique. C’est un jour de 1995 que le photographe Thierry Renaud découvre par hasard la première exposition de sculptures que Jean-Michel Folon installe à Bruxelles, au Petit Sablon. Bouleversé, il offre à l’artiste quelques semaines plus tard, un petit recueil contenant des photos des sculptures, en dialogue avec un texte sensible écrit par un de ses amis, Jean-Claude Georges. Folon s’enthousiasme vivement de ce regard porté sur ses créations et propose à Thierry Renauld de photographier dorénavant ses principales expositions de sculptures.

 

De sa complicité avec le photographe, Folon avait écrit: « Parfois, quelque chose arrive, qui donne un sens à vos créations. La rencontre de Thierry Renauld a représenté pour moi un moment rare, il avait lu dans mes pensées (...) Quand le soleil caresse ma sculpture, il lui donne une vie différente de l’instant suivant. Lorsque le regard de Thierry regarde une sculpture, il suit le chemin du soleil. Son regard écoute la lumière. Par le regard de Thierry Renauld, ma sculpture se lisait comme une poésie imprévue. »

 

La sculpture « Le Secret » posée devant l’atelier de l’artiste Kansestu Hashimoto, semble en contemplation devant le magnifique jardin du musée qui offre une vue époustouflante sur la Montagne de l’Est, Higashiyama. Dans l’atelier, une centaine de personnes, des curateurs de musées japonais et des représentants du monde culturel, se sont réunies pour découvrir l’œuvre sculpturale de Jean-Michel Folon, très bien connu au Japon pour ses illustrations.

 

L’artiste a durant sa vie accordé une importance centrale à l’équilibre et la coexistence avec la planète autant qu’aux Droits de l’Homme, deux thématiques abordées durant la mission princière au Japon. Pour autant, c’est la poésie et la gentillesse qui émane de son personnage central, l’homme au chapeau, lorsqu’il est touché par la lumière qui marque les esprits et attire notre imagination vers de nouvelles contrées.

 

Si vous êtes de passage au Japon, n'hésitez pas un seul instant. L'exposition a lieu du 10 décembre 2022 au 9 janvier 2023, au musée Hakusa Sonso à Kyoto.

 

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La délégation Wallonie-Bruxelles à l'Université d'Osaka © WBI - AWEX

A l’occasion de la mission princière au Japon une importante délégation académique, conduite par la Rectrice de l'Université de Liège, Mme Anne-Sophie Nyssen et la CEO de WBI-AWEX, Mme Pascale Delcomminette et composée des représentants des universités et de hautes-écoles de la Fédération Wallonie-Bruxelles, ont rendu visite à l'Université d'Osaka sur son campus de Suita dans un objectif d’échanges autour des enjeux communs d’internationalisation des programmes éducatifs et de recherche, de soutien de l’excellence scientifique et de sa valorisation au service de la société. Les accords de collaborations entre les universités de Liège et d’Osaka dans le domaine de la formation des ingénieurs et de la recherche dans les sciences du vivant ont été mis en avant. La délégation a visité différentes infrastructures correspondantes de l’université d’Osaka.

 

Pascale Delcomminette a présenté les stratégies et assuré de son soutien les initiatives politiques mises en œuvre en Wallonie et en Fédération Wallonie Bruxelles pour soutenir les filières de formation et  l'innovation scientifique et technologique, notamment dans les domaines des sciences du vivant et de l’ingiénieur.

 

Elle a réaffirmé le soutien de Wallonie-Bruxelles International pour davantage d’accords de collaborations et d’échanges de talents et de savoir entre les organisations académiques francophones et japonaises. Elle a invité les étudiants et chercheurs japonais à venir valoriser leur formation dans notre région et encouragé les étudiants de nos universités et hautes écoles à l’ouverture et la mobilité internationale.

 

Le Professeur Pierre Duisinx de l’ULiège a présenté au nom des représentants académiques présents, les initiatives et les écosystèmes régionaux tels que le programme WELBIO, qui coordonne la valorisation industrielle de l’excellence scientifique de la Fédération dans les domaines stratégiques clés des biotechnologies et des sciences du vivant. Il a illustré la fécondité des accords de collaboration entre l’ULiège et l’université d’Osaka dans le domaine de la formation des ingénieurs et du transfert de valeur entre la recherche et l’industrie afin d’encourager les organisations académiques présentes à en nouer de semblables dans leur domaine d’expertise.

 

Située au nord d'Osaka, l'université d'Osaka possède trois campus dans les villes de Suita, Toyonaka et Minoh. Avec ses 11 écoles, ses 16 écoles supérieures, ses 25 centres et installations d'instituts de recherche, ses quatre bibliothèques et ses deux hôpitaux universitaires, l'université d'Osaka accueille 15 000 étudiants et forme 3000 candidats doctorants avec une large offre d'études universitaires et de recherche et technologie de pointe, soutenue par de nombreux programmes spécifiques de collaboration internationale pour les étudiants et les chercheurs. L'université figure parmi les 200 meilleures universités mondiales selon le Shanghai Jiao Tong Ranking 2020.

 

 

A l’occasion de la mission princière au Japon une importante délégation académique, conduite par la Rectrice de l'Université de Liège, Mme Anne-Sophie Nyssen et la CEO de WBI-AWEX, Mme Pascale Delcomminette et composée des représentants des universités et de hautes-écoles de la Fédération Wallonie-Bruxelles, ont rendu visite à l'Université d'Osaka sur son campus de Suita dans un objectif d’échanges autour des enjeux communs d’internationalisation des programmes éducatifs et de recherche, de soutien de l’excellence scientifique et de sa valorisation au service de la société. Les accords de collaborations entre les universités de Liège et d’Osaka dans le domaine de la formation des ingénieurs et de la recherche dans les sciences du vivant ont été mis en avant. La délégation a visité différentes infrastructures correspondantes de l’université d’Osaka.

 

Pascale Delcomminette a présenté les stratégies et assuré de son soutien les initiatives politiques mises en œuvre en Wallonie et en Fédération Wallonie Bruxelles pour soutenir les filières de formation et  l'innovation scientifique et technologique, notamment dans les domaines des sciences du vivant et de l’ingiénieur.

 

Elle a réaffirmé le soutien de Wallonie-Bruxelles International pour davantage d’accords de collaborations et d’échanges de talents et de savoir entre les organisations académiques francophones et japonaises. Elle a invité les étudiants et chercheurs japonais à venir valoriser leur formation dans notre région et encouragé les étudiants de nos universités et hautes écoles à l’ouverture et la mobilité internationale.

 

Le Professeur Pierre Duisinx de l’ULiège a présenté au nom des représentants académiques présents, les initiatives et les écosystèmes régionaux tels que le programme WELBIO, qui coordonne la valorisation industrielle de l’excellence scientifique de la Fédération dans les domaines stratégiques clés des biotechnologies et des sciences du vivant. Il a illustré la fécondité des accords de collaboration entre l’ULiège et l’université d’Osaka dans le domaine de la formation des ingénieurs et du transfert de valeur entre la recherche et l’industrie afin d’encourager les organisations académiques présentes à en nouer de semblables dans leur domaine d’expertise.

 

Située au nord d'Osaka, l'université d'Osaka possède trois campus dans les villes de Suita, Toyonaka et Minoh. Avec ses 11 écoles, ses 16 écoles supérieures, ses 25 centres et installations d'instituts de recherche, ses quatre bibliothèques et ses deux hôpitaux universitaires, l'université d'Osaka accueille 15 000 étudiants et forme 3000 candidats doctorants avec une large offre d'études universitaires et de recherche et technologie de pointe, soutenue par de nombreux programmes spécifiques de collaboration internationale pour les étudiants et les chercheurs. L'université figure parmi les 200 meilleures universités mondiales selon le Shanghai Jiao Tong Ranking 2020.

 

 

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(c) DGWB Maroc

L’une des conférences a d’ailleurs été organisée par la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Maroc en partenariat avec Visa For Music afin d’échanger sur les travaux de recherche sur les Industries Culturelles et Créatives, rappelant l’étude commanditée par la Délégation générale et la FICC publiée en janvier 2022 (retrouvez l’étude sur ce lien).

 

Cette conférence intitulée "Quelle musique pour quelle industrie ? Restitution des travaux de recherche sur les ICC au Maroc et à l’étranger" a vu la participation de Benjamin Schoos, au parcours atypique allant de la composition et de la production musicale à la direction d’institution telle que la SABAM et à la présidence actuelle du Conseil supérieur de la Culture en Fédération Wallonie-Bruxelles. Les riches échanges ont été partagés avec le Délégué général, Motonobu Kasajima, la Directrice d’Africalia, Dorine Rurashitse, la Directrice adjointe de l’IFMaroc, Ina Pouant, un représentant de l’Université Senghor, Ribio Nzeza Bunketi Buse, et un représentant du bureau de l’Unesco au Maroc, Karim Hendili, modérés par Oulfa Sennani.

 

Un peu plus tôt dans la journée, Gérald Lambert, artiste et producteur en Belgique, a participé à la conférence "L’export de la musique, vers quels marchés ? Quelles opportunités pour l’exportation de la musique aujourd’hui" avec des interventions particulièrement appréciées.

 

La conférence sur la mobilité internationale des artistes "Repenser la mobilité des artistes et des professionnels des secteurs culturels et créatifs" a pu bénéficier de l’apport de l’aisbl On The Move située à Bruxelles dont le réseau compte 45 organisations internationales partenaires.

 

Et pour conclure cette participation d’acteurs culturels et structures belges aux différents panels de Visa for Music, Carole U. Karemera, de par son expérience en Belgique et au Rwanda, a enrichi les échanges de la conférence sur "La langue comme outil structurant des expressions musicales: quels rôles, enjeux et impacts ?"

 

Outre, cette présence belge au sein des conférences de VFM, la Belgique a été représentée au sein du programme avec le DJ set de Rokia Bamba, qui a ouvert le programme de concerts de Visa For Music dès la soirée d’ouverture, après le cocktail offert par la Délégation générale Wallonie-Bruxelles aux professionnels et invités.

 

Une 9ème édition qui a compté également la présence de professionnels du marché de la musique en Belgique venus à la rencontre des artistes du continent.

 

La 10ème édition en 2023 s’annonce déjà comme un moment important pour le développement en constante évolution du marché de la musique et des industries musicales au Maroc, sur le continent africain et la région MENA.

L’une des conférences a d’ailleurs été organisée par la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Maroc en partenariat avec Visa For Music afin d’échanger sur les travaux de recherche sur les Industries Culturelles et Créatives, rappelant l’étude commanditée par la Délégation générale et la FICC publiée en janvier 2022 (retrouvez l’étude sur ce lien).

 

Cette conférence intitulée "Quelle musique pour quelle industrie ? Restitution des travaux de recherche sur les ICC au Maroc et à l’étranger" a vu la participation de Benjamin Schoos, au parcours atypique allant de la composition et de la production musicale à la direction d’institution telle que la SABAM et à la présidence actuelle du Conseil supérieur de la Culture en Fédération Wallonie-Bruxelles. Les riches échanges ont été partagés avec le Délégué général, Motonobu Kasajima, la Directrice d’Africalia, Dorine Rurashitse, la Directrice adjointe de l’IFMaroc, Ina Pouant, un représentant de l’Université Senghor, Ribio Nzeza Bunketi Buse, et un représentant du bureau de l’Unesco au Maroc, Karim Hendili, modérés par Oulfa Sennani.

 

Un peu plus tôt dans la journée, Gérald Lambert, artiste et producteur en Belgique, a participé à la conférence "L’export de la musique, vers quels marchés ? Quelles opportunités pour l’exportation de la musique aujourd’hui" avec des interventions particulièrement appréciées.

 

La conférence sur la mobilité internationale des artistes "Repenser la mobilité des artistes et des professionnels des secteurs culturels et créatifs" a pu bénéficier de l’apport de l’aisbl On The Move située à Bruxelles dont le réseau compte 45 organisations internationales partenaires.

 

Et pour conclure cette participation d’acteurs culturels et structures belges aux différents panels de Visa for Music, Carole U. Karemera, de par son expérience en Belgique et au Rwanda, a enrichi les échanges de la conférence sur "La langue comme outil structurant des expressions musicales: quels rôles, enjeux et impacts ?"

 

Outre, cette présence belge au sein des conférences de VFM, la Belgique a été représentée au sein du programme avec le DJ set de Rokia Bamba, qui a ouvert le programme de concerts de Visa For Music dès la soirée d’ouverture, après le cocktail offert par la Délégation générale Wallonie-Bruxelles aux professionnels et invités.

 

Une 9ème édition qui a compté également la présence de professionnels du marché de la musique en Belgique venus à la rencontre des artistes du continent.

 

La 10ème édition en 2023 s’annonce déjà comme un moment important pour le développement en constante évolution du marché de la musique et des industries musicales au Maroc, sur le continent africain et la région MENA.

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