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24/11/2022
Typh Barrow | Les Belges Histoires

Hélas LA chanteuse de référence à ce moment-là, c’est Céline Dion et la petite Tiffany avec sa voix atypique est prise de doutes. Ce n’est pas grave, armée de son bagage piano solfège, la jeune musicienne bruxelloise compose et joue dans des pianos-bars ; une expérience qui lui servira toujours.

 

En 2003, elle rencontre François Leboutte, il est touché. Fort de l’émotion ressentie, il décide d’aider la jeune Tiffany à devenir Typh Barrow. Manager, directeur artistique et producteur, François l’aiguille, la pousse et la protège, avec amitié et respect. Le chemin sera long : entre ses études de droit (réussies en 2009) et sa passion, l’artiste travaille avec ténacité. Elle sort son premier single en 2012. Alors qu’elle commence à se faire un nom, sa voix la trahit. L’obligation de se taire pour éviter une opération devient l’occasion de réfléchir, de se poser… Un moment d’introspection qui ne nuira pas du tout à la chanteuse-compositrice qui puise son inspiration dans toutes ses expériences.

 

En 2013, sur YouTube, elle explose tout avec ses reprises inspirées, comme "Gangsta paradise" saluée par Coolio comme la meilleure des reprises de son tube. Le nom et la voix de Typh Barrow commencent à résonner en Belgique et à l’international. En 2018 l’album "Raw" confirme son talent : ses concerts sont sold-out et l’album devient disque d’Or, elle chante en duo avec Maurane (un de ses rêves) et rejoint son amie BJ Scott dans l’équipe de The Voice Belgique.

 

Artiste de l’année aux Octaves de la musique en 2019, elle sort en 2020, l’album "Aloha" qui sera un succès immédiat. Il reste cependant encore à Typh Barrow quelques rêves à réaliser, dont un, qui sera atteint en 2022 : chanter à Forest national. Un grand moment pour une celle qui n’aimait pas sa voix, parions qu’il y en aura d’autres.

 

 

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Les Belges Histoires - Les talents de Wallonie-Bruxelles

WBI, en partenariat avec la RTBF, vous propose de découvrir les portraits de belges francophones qui font rayonner Wallonie-Bruxelles.

Découvrez la série de portraits :
>> Les belges histoires

 

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Nos aides et services

Wallonie-Bruxelles International vous aide à développer vos projets à l’international avec des formations, des coachings, des missions de prospections, des aides financières…

>> Aides & services

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Hélas LA chanteuse de référence à ce moment-là, c’est Céline Dion et la petite Tiffany avec sa voix atypique est prise de doutes. Ce n’est pas grave, armée de son bagage piano solfège, la jeune musicienne bruxelloise compose et joue dans des pianos-bars ; une expérience qui lui servira toujours.

 

En 2003, elle rencontre François Leboutte, il est touché. Fort de l’émotion ressentie, il décide d’aider la jeune Tiffany à devenir Typh Barrow. Manager, directeur artistique et producteur, François l’aiguille, la pousse et la protège, avec amitié et respect. Le chemin sera long : entre ses études de droit (réussies en 2009) et sa passion, l’artiste travaille avec ténacité. Elle sort son premier single en 2012. Alors qu’elle commence à se faire un nom, sa voix la trahit. L’obligation de se taire pour éviter une opération devient l’occasion de réfléchir, de se poser… Un moment d’introspection qui ne nuira pas du tout à la chanteuse-compositrice qui puise son inspiration dans toutes ses expériences.

 

En 2013, sur YouTube, elle explose tout avec ses reprises inspirées, comme "Gangsta paradise" saluée par Coolio comme la meilleure des reprises de son tube. Le nom et la voix de Typh Barrow commencent à résonner en Belgique et à l’international. En 2018 l’album "Raw" confirme son talent : ses concerts sont sold-out et l’album devient disque d’Or, elle chante en duo avec Maurane (un de ses rêves) et rejoint son amie BJ Scott dans l’équipe de The Voice Belgique.

 

Artiste de l’année aux Octaves de la musique en 2019, elle sort en 2020, l’album "Aloha" qui sera un succès immédiat. Il reste cependant encore à Typh Barrow quelques rêves à réaliser, dont un, qui sera atteint en 2022 : chanter à Forest national. Un grand moment pour une celle qui n’aimait pas sa voix, parions qu’il y en aura d’autres.

 

 

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Les Belges Histoires - Les talents de Wallonie-Bruxelles

WBI, en partenariat avec la RTBF, vous propose de découvrir les portraits de belges francophones qui font rayonner Wallonie-Bruxelles.

Découvrez la série de portraits :
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03/11/2022
Sarah Baatout à la Station Princesse Elizabeth en Antarctique

La Revue W+B n°157 est sortie !

C’est la rentrée, certes, mais prolongeons encore un moment le plaisir des vacances et des découvertes théâtrales à Avignon et à Venise, où les compagnies de Wallonie et de Bruxelles ont  encore une fois déployé tout leur talent. En parlant de théâtre, découvrons le Festival International Maboule, organisé par le Tof Théâtre, une compagnie de théâtre de marionnettes wallonne.

Intéressons-nous également au Trail Institute, spécialisé dans le domaine de l’intelligence artificielle, au futur incubateur inspiré de MolenGeek qui verra prochainement le jour à Casablanca,  au programme de volontariat européen pour la jeunesse et aux lauréats des Wallonia International Business Awards.

Laissons-nous transporter vers les étoiles avec Sarah Baatout, astrophysicienne de renommée internationale, et porter par la passion des fondatrices de l’Atelier Louves, un collectif artistique bruxellois.

Enfin, redécouvrons nos villes de manière originale à travers des parcours d’art urbain un peu partout en Wallonie et à Bruxelles.

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Au programme

  • Dossier : Venise... Avignon... Ce sentiment de l'été... Belge et intense...
  • Culture : Le Tof Théâtre, 35 ans de marionnettes à taille humaine
  • Portrait : Sarah Baatout, en route pour Mars
  • Design : Atelier Louves - La force de la meute
  • Jeunesse : "Je suis jeune, européen et volontaire"
  • Coopération au développement : Un centre de formation, d'incubation et de coworking de nouvelle génération en codage et marketing digital à Casablanca
  • Entreprise : Wallonia International Business Awards 2022 - Sept entreprises wallonnes performantes à l'étranger récompensées
  • Innovation : Trail Institute : L'avenir radieux de Wallonie-Bruxelles
  • Tourisme : En Ville ! Street Art et nouvelles technologies en Wallonie
  • Survols

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24/10/2022
L’Ambassadrice du Nigéria, la Directrice générale de l’UNESCO, la Sous-directrice à l’éducation et le Délégué général adjoint Wallonie-Bruxelles @ Steve Gentile.

«Lorsqu'une fille bénéficie d’une éducation, l’impact positif est considérable. L’éducation des filles renforce l’économie, réduit les inégalités et crée plus d'opportunités pour tous» - Maxime Woitrin, Délégué général adjoint. Wallonie-Bruxelles.

 

Les filles au premier plan au Nigeria – Portraits d'agents du changement est une exposition de photos organisée par l'UNESCO, avec le soutien des Délégations Wallonie-Bruxelles et du Nigéria auprès de l'UNESCO.

 

L'exposition, au siège de l’UNESCO à Paris du 5 au 19 octobre 2022, présente des portraits émouvants et sources d'inspiration d'acteurs du changement, de membres de la communauté et de filles, et raconte l'histoire d'une communauté qui se mobilise pour l'éducation des filles.

 

La pandémie de COVID-19 a creusé les inégalités dans la région de l'Afrique subsaharienne : les filles et les jeunes femmes sont les premières à quitter l'école, les moins susceptibles d'apprendre à la maison et les dernières à retourner en classe. Pour préserver les progrès accomplis et plaider en faveur de l'éducation des filles, l'UNESCO a déployé sa campagne Les filles au premier plan dans quatre pays d'Afrique subsaharienne, le Bénin, le Mali, le Nigeria et le Sénégal, avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International.

 

Le plaidoyer entrepris dans le cadre du projet au Nigeria a mis en évidence l'émergence d’agents du changement, qui, dotés de compétences, de ressources et de soutien, font progresser l'éducation des filles dans leurs communautés et contribuent à l'avènement de sociétés plus égalitaires.

 

L'exposition plaide pour l'importance de l'éducation des filles et des jeunes femmes, la continuité de leur apprentissage et la nécessité d'un engagement continu en faveur de l'égalité des genres dans et par l'éducation. Elle met en lumière les agents du changement et les défenseurs du progrès dans leurs communautés, responsabilisés par le travail du projet Les filles au premier plan au Nigeria.

 

Pour donner à ces portraits toute la visibilité qu’ils méritent, la Délégation Wallonie-Bruxelles à Paris a organisé avec le soutien de la Délégation du Nigéria un vernissage le mardi 11 octobre 2022. Cet événement, qui s’inscrivait dans les célébrations de la 10e édition de la journée internationale de la fille, a rassemblé une centaine de participants dont de nombreux diplomates, Ambassadeur, la  Directrice générale de l’UNESCO Audrey Azoulay et la Sous-directrice générale à l’Éducation Stefania Giannini.

 

Lors de leurs interventions, la Sous-Directrice Éducation, l’Ambassadrice du Nigéria et le Délégué général adjoint Wallonie-Bruxelles, Maxime Woitrin, ont souligné l’importance fondamentale de l’éducation des filles. Tant l’UNESCO que le Nigéria ont salué le soutien de Wallonie-Bruxelles à ce projet.

 

 

 

«Lorsqu'une fille bénéficie d’une éducation, l’impact positif est considérable. L’éducation des filles renforce l’économie, réduit les inégalités et crée plus d'opportunités pour tous» - Maxime Woitrin, Délégué général adjoint. Wallonie-Bruxelles.

 

Les filles au premier plan au Nigeria – Portraits d'agents du changement est une exposition de photos organisée par l'UNESCO, avec le soutien des Délégations Wallonie-Bruxelles et du Nigéria auprès de l'UNESCO.

 

L'exposition, au siège de l’UNESCO à Paris du 5 au 19 octobre 2022, présente des portraits émouvants et sources d'inspiration d'acteurs du changement, de membres de la communauté et de filles, et raconte l'histoire d'une communauté qui se mobilise pour l'éducation des filles.

 

La pandémie de COVID-19 a creusé les inégalités dans la région de l'Afrique subsaharienne : les filles et les jeunes femmes sont les premières à quitter l'école, les moins susceptibles d'apprendre à la maison et les dernières à retourner en classe. Pour préserver les progrès accomplis et plaider en faveur de l'éducation des filles, l'UNESCO a déployé sa campagne Les filles au premier plan dans quatre pays d'Afrique subsaharienne, le Bénin, le Mali, le Nigeria et le Sénégal, avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International.

 

Le plaidoyer entrepris dans le cadre du projet au Nigeria a mis en évidence l'émergence d’agents du changement, qui, dotés de compétences, de ressources et de soutien, font progresser l'éducation des filles dans leurs communautés et contribuent à l'avènement de sociétés plus égalitaires.

 

L'exposition plaide pour l'importance de l'éducation des filles et des jeunes femmes, la continuité de leur apprentissage et la nécessité d'un engagement continu en faveur de l'égalité des genres dans et par l'éducation. Elle met en lumière les agents du changement et les défenseurs du progrès dans leurs communautés, responsabilisés par le travail du projet Les filles au premier plan au Nigeria.

 

Pour donner à ces portraits toute la visibilité qu’ils méritent, la Délégation Wallonie-Bruxelles à Paris a organisé avec le soutien de la Délégation du Nigéria un vernissage le mardi 11 octobre 2022. Cet événement, qui s’inscrivait dans les célébrations de la 10e édition de la journée internationale de la fille, a rassemblé une centaine de participants dont de nombreux diplomates, Ambassadeur, la  Directrice générale de l’UNESCO Audrey Azoulay et la Sous-directrice générale à l’Éducation Stefania Giannini.

 

Lors de leurs interventions, la Sous-Directrice Éducation, l’Ambassadrice du Nigéria et le Délégué général adjoint Wallonie-Bruxelles, Maxime Woitrin, ont souligné l’importance fondamentale de l’éducation des filles. Tant l’UNESCO que le Nigéria ont salué le soutien de Wallonie-Bruxelles à ce projet.

 

 

 

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18/10/2022

Le mardi 11 octobre s’est déroulé de manière virtuelle la signature de la sélection définitive des projets de recherche conjoints déposés dans le cadre du Protocole d’Accord liant Wallonie-Bruxelles International (WBI) et le Conseil national brésilien des agences de financement des États (CONFAP).

 

Un Protocole d’Accord entre WBI et le CONFAP a été signé à Bruxelles en août 2020. L’objectif principal de cet accord est de soutenir des projets de coopération scientifique conjoints entre des groupes de recherche brésiliens et ceux de Wallonie-Bruxelles afin de favoriser les échanges et encourager une recherche de pointe entre les deux territoires.
 
Les thématiques de coopération prioritaires déterminées par Wallonie-Bruxelles et le partenaire brésilien sont les suivantes :

  • Les matériaux circulaires ;
  • Les innovations pour une santé renforcée ;
  • Les innovations pour des modes de conception et de production agiles et sûrs ;
  • Les systèmes énergétiques et habitat durables ;
  • Les chaines agroalimentaires du futur et gestion innovante de l'environnement ;
  • L’aéronautique et l’espace ;
  • La digitalisation.

C’est dans ce contexte qu’a été lancé un appel à projets au premier semestre 2022 en vue de sélectionner une série de nouveaux projets de coopération conjoints pour la période 2022-2024. Dix-neuf Etats brésiliens ont manifesté leur intérêt à participer à l'appel à projets au travers du CONFAP, ce qui démontre la volonté du Brésil de développer les échanges scientifiques et académiques avec Wallonie-Bruxelles. Nous ne pouvons que nous réjouir d'une telle dynamique.

 

Au total, dix-neuf projets ont été déposés et ont fait l’objet d’une évaluation par les experts compétents. Compte tenu des financements disponibles au sein de chaque institution, des retombées économiques attendues et une répartition géographique au Brésil, ce sont finalement neuf projets qui ont pu être définitivement sélectionnés par WBI et le CONFAP.


 
WBI et le CONFAP se félicitent donc des projets de grande qualité qui ont pu être sélectionnés et remercient l’ensemble des opérateurs d’avoir manifesté leur intérêt en répondant de manière aussi active à cet appel à projets. 

Le mardi 11 octobre s’est déroulé de manière virtuelle la signature de la sélection définitive des projets de recherche conjoints déposés dans le cadre du Protocole d’Accord liant Wallonie-Bruxelles International (WBI) et le Conseil national brésilien des agences de financement des États (CONFAP).

 

Un Protocole d’Accord entre WBI et le CONFAP a été signé à Bruxelles en août 2020. L’objectif principal de cet accord est de soutenir des projets de coopération scientifique conjoints entre des groupes de recherche brésiliens et ceux de Wallonie-Bruxelles afin de favoriser les échanges et encourager une recherche de pointe entre les deux territoires.
 
Les thématiques de coopération prioritaires déterminées par Wallonie-Bruxelles et le partenaire brésilien sont les suivantes :

  • Les matériaux circulaires ;
  • Les innovations pour une santé renforcée ;
  • Les innovations pour des modes de conception et de production agiles et sûrs ;
  • Les systèmes énergétiques et habitat durables ;
  • Les chaines agroalimentaires du futur et gestion innovante de l'environnement ;
  • L’aéronautique et l’espace ;
  • La digitalisation.

C’est dans ce contexte qu’a été lancé un appel à projets au premier semestre 2022 en vue de sélectionner une série de nouveaux projets de coopération conjoints pour la période 2022-2024. Dix-neuf Etats brésiliens ont manifesté leur intérêt à participer à l'appel à projets au travers du CONFAP, ce qui démontre la volonté du Brésil de développer les échanges scientifiques et académiques avec Wallonie-Bruxelles. Nous ne pouvons que nous réjouir d'une telle dynamique.

 

Au total, dix-neuf projets ont été déposés et ont fait l’objet d’une évaluation par les experts compétents. Compte tenu des financements disponibles au sein de chaque institution, des retombées économiques attendues et une répartition géographique au Brésil, ce sont finalement neuf projets qui ont pu être définitivement sélectionnés par WBI et le CONFAP.


 
WBI et le CONFAP se félicitent donc des projets de grande qualité qui ont pu être sélectionnés et remercient l’ensemble des opérateurs d’avoir manifesté leur intérêt en répondant de manière aussi active à cet appel à projets. 

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13/10/2022

À cette occasion, WBI organise différentes activités dont notamment la publication d’un dossier spécial « 40 ans » dans la Revue W+B, la diffusion de vidéos inédites et la tenue d’une cérémonie en 2023 au Théâtre National Wallonie-Bruxelles. Dans le cadre de cet anniversaire, retour sur les moments forts de ces 40 ans de relations internationales.

 

> Découvrez les vidéos en bas de page

 

De manière assez inédite sur la scène internationale, la Constitution belge confère aux Communautés et aux Régions la politique internationale de leurs propres compétences. C’est dans ce cadre qu’a été instauré, en 1982, le Commissariat général aux Relations internationales (CGRI), la toute première institution chargée de mettre en œuvre la politique internationale de la Communauté française de Belgique. La création du CGRI ouvrira la voie à la diplomatie francophone, alors essentiellement axée sur la coopération culturelle, l’éducation et la promotion de la langue française.

 

A son tour, la Région wallonne développait sa propre politique internationale à travers une direction des relations internationales (DRI). En 2008, la fusion des deux administrations donnera naissance à Wallonie-Bruxelles International (WBI), avec l’ambition permanente de renforcer la cohérence et l’impact de notre action à l’international.

 

Au fil des réformes de l’Etat successives, les compétences des Régions et des Communautés ont été fortement élargies et, par extension, celles de WBI.

 

Aujourd’hui, WBI met en œuvre la politique internationale des trois gouvernements francophones de Belgique ; la Wallonie, la Fédération Wallonie-Bruxelles et la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale, dans des matières allant de la culture et l’éducation, à l’économie, en passant par l’environnement, les droits humains, le sport, la jeunesse, l’éducation, la recherche et la coopération au développement.

 

Depuis l’ouverture, à Québec, de la première Délégation de la Communauté française, en 1982 et le premier accord international bilatéral, signé le 7 février 1984, entre la Communauté française et le Bénin, un long chemin a été parcouru.

 

Ces célébrations seront l’occasion de revenir sur les temps forts de la construction de la diplomatie des entités fédérées francophones mais aussi d’en évoquer les profondes transformations qui permettent désormais à la Belgique francophone d’entretenir des relations bilatérales avec près de 80 pays et des relations multilatérales avec des acteurs multilatéraux de premier plan (OIF, UNESCO, CDHNU, OMS, OIT…). C’est aussi l’occasion d’évoquer son avenir et le développement à l’international de secteurs de pointe majeurs comme l’innovation, les industries créatives ou encore le développement durable. 

 

WBI a été conçu par le législateur pour assurer le rôle, en quelques sortes, de ministère des Affaires étrangères des francophones de Belgique avec une double mission, diplomatique et opérationnelle, afin d’assurer le rayonnement des francophones sur la scène internationale. Pour ce faire, WBI dispose d’un réseau diplomatique structuré sur les cinq continents, mais aussi d’agences sectorielles (WB Images, WB Musiques, WB Théâtre Danse, WB Architectures, WB Design Mode et WB Campus) ainsi que de centres culturels et scènes dynamiques à Paris, Avignon et Kinshasa.

 

En 40 ans, la diplomatie belge francophone a renforcé son soutien aux opérateurs, entrepreneurs, talents et aux valeurs de la Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles grâce à ses réseaux diplomatiques sectoriels. Face aux défis qui existent dans un monde qui se complexifie, ce maillage international permet des synergies de plus en plus nombreuses et efficaces au profit de nos opérateurs et d’un impact plus important de nos entités.

 

 

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Wallonie-Bruxelles International célèbre 40 ans de diplomatie francophone

 

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Wallonie-Bruxelles International face aux défis du monde

 

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Wallonie-Bruxelles International et la Francophonie

 

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Wallonie-Bruxelles International au service des talents

 

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Wallonie-Bruxelles International face aux grands enjeux de l’avenir

 

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À cette occasion, WBI organise différentes activités dont notamment la publication d’un dossier spécial « 40 ans » dans la Revue W+B, la diffusion de vidéos inédites et la tenue d’une cérémonie en 2023 au Théâtre National Wallonie-Bruxelles. Dans le cadre de cet anniversaire, retour sur les moments forts de ces 40 ans de relations internationales.

 

> Découvrez les vidéos en bas de page

 

De manière assez inédite sur la scène internationale, la Constitution belge confère aux Communautés et aux Régions la politique internationale de leurs propres compétences. C’est dans ce cadre qu’a été instauré, en 1982, le Commissariat général aux Relations internationales (CGRI), la toute première institution chargée de mettre en œuvre la politique internationale de la Communauté française de Belgique. La création du CGRI ouvrira la voie à la diplomatie francophone, alors essentiellement axée sur la coopération culturelle, l’éducation et la promotion de la langue française.

 

A son tour, la Région wallonne développait sa propre politique internationale à travers une direction des relations internationales (DRI). En 2008, la fusion des deux administrations donnera naissance à Wallonie-Bruxelles International (WBI), avec l’ambition permanente de renforcer la cohérence et l’impact de notre action à l’international.

 

Au fil des réformes de l’Etat successives, les compétences des Régions et des Communautés ont été fortement élargies et, par extension, celles de WBI.

 

Aujourd’hui, WBI met en œuvre la politique internationale des trois gouvernements francophones de Belgique ; la Wallonie, la Fédération Wallonie-Bruxelles et la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale, dans des matières allant de la culture et l’éducation, à l’économie, en passant par l’environnement, les droits humains, le sport, la jeunesse, l’éducation, la recherche et la coopération au développement.

 

Depuis l’ouverture, à Québec, de la première Délégation de la Communauté française, en 1982 et le premier accord international bilatéral, signé le 7 février 1984, entre la Communauté française et le Bénin, un long chemin a été parcouru.

 

Ces célébrations seront l’occasion de revenir sur les temps forts de la construction de la diplomatie des entités fédérées francophones mais aussi d’en évoquer les profondes transformations qui permettent désormais à la Belgique francophone d’entretenir des relations bilatérales avec près de 80 pays et des relations multilatérales avec des acteurs multilatéraux de premier plan (OIF, UNESCO, CDHNU, OMS, OIT…). C’est aussi l’occasion d’évoquer son avenir et le développement à l’international de secteurs de pointe majeurs comme l’innovation, les industries créatives ou encore le développement durable. 

 

WBI a été conçu par le législateur pour assurer le rôle, en quelques sortes, de ministère des Affaires étrangères des francophones de Belgique avec une double mission, diplomatique et opérationnelle, afin d’assurer le rayonnement des francophones sur la scène internationale. Pour ce faire, WBI dispose d’un réseau diplomatique structuré sur les cinq continents, mais aussi d’agences sectorielles (WB Images, WB Musiques, WB Théâtre Danse, WB Architectures, WB Design Mode et WB Campus) ainsi que de centres culturels et scènes dynamiques à Paris, Avignon et Kinshasa.

 

En 40 ans, la diplomatie belge francophone a renforcé son soutien aux opérateurs, entrepreneurs, talents et aux valeurs de la Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles grâce à ses réseaux diplomatiques sectoriels. Face aux défis qui existent dans un monde qui se complexifie, ce maillage international permet des synergies de plus en plus nombreuses et efficaces au profit de nos opérateurs et d’un impact plus important de nos entités.

 

 

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Wallonie-Bruxelles International célèbre 40 ans de diplomatie francophone

 

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Wallonie-Bruxelles International et la Francophonie

 

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03/10/2022
Les magnifiques et captivantes avancées francophones sur Mars © M.A.R.S. UCLouvain / Graphisme : Polygraph

La Revue W+B n°156 est disponible !

En cet été 2022, les festivals reprennent enfin vie. Après deux années complètement chamboulées, nos mois de juillet et août vont à nouveau pouvoir vibrer au rythme des concerts, des pièces de théâtre, des performances de rue et autres réjouissances dont nous avons malheureusement dû nous passer pendant plusieurs mois. De quoi faire du bien à notre moral, ainsi qu’à tous les artistes qui peuvent enfin reprendre la route.

C’est aussi l’occasion de mettre en lumière le Festival Le Court en dit long, festival de courts métrages de Wallonie-Bruxelles au Centre Wallonie-Bruxelles de Paris, qui fête ses 30 ans.

Ce numéro propose également de découvrir la Semaine du numérique à Québec, le programme IFADEM, la société Orthodyne ou encore le projet de simulation d’une mission habitée sur Mars.

Sans oublier le nouveau « Pass Wallonie », qui vous permettra de partir à la découverte des pépites wallonnes.

Enfin, rencontre avec Manon Lepomme, humoriste, et Chris Alexxa, créatrice de bijoux.

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Au programme

  • Dossier : Les festivals d'été reprennent vie
  • Culture : Le Court en dit long, 30e édition du festival du court-métrage
  • Portrait : Manon Lepomme, bilan de vie... à 33 ans !
  • Mode : Chris Alexxa, une passion en or massif
  • Innovation : Les magnifiques et captivantes avancées francophones sur Mars
  • Jeunesse : Je ne suis pas un numérique mais un homme libre
  • Coopération au développement : Après la RDC et le Sénégal, l'Apefe soutient la formation continue des enseignants au Bénin
  • Entreprise : Une filiale américaine pour Orthodyne
  • Tourisme : Un pass pour découvrir la Wallonie à prix réduits
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23/06/2022
Rapport d'activités WBI 2021

Sur le plan sanitaire, l’année a été marquée par la pandémie et par la reprise post-Covid. Chez nous, la Wallonie a été frappée en juillet par de terribles inondations qui ont causé de lourdes pertes humaines et des dommages considérables. 

Wallonie-Bruxelles international (WBI) s’est adapté face à cette année d’épreuves. Résilience, agilité et solidarité ont été les maîtres-mots au niveau des services à Bruxelles et à l’échelle de ses réseaux à l’étranger.

Dans le contexte de pandémie et de reprise, WBI a fait preuve de créativité, d’adaptation et de rebond en trouvant de nouveaux chemins vers ses partenaires privilégiés et en modifiant ses actions. C’est aussi une année qui s’inscrit dans la relance avec le retour de premières grandes actions au niveau international. C’est le cas notamment de la semaine Wallonie-Bruxelles à l’Exposition universelle de Dubaï en novembre 2021 qui a été couronnée de succès.

Sur le plan mondial, WBI a suivi de près les soubresauts géopolitiques, ainsi que la situation économique marquée notamment par une inflation importante. Cette adaptabilité est le résultat de la veille stratégique menée par WBI en tant qu’administration des relations internationales au service de la Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB).

Dans notre monde en mutation, les réseaux à l’étranger de WBI se sont adaptés tant au niveau diplomatique, avec les Délégation générales, qu’au niveau sectoriel, avec les Agents de Liaison Scientifique (ALS), les Agents de Liaison Académique et Culturelle (ALAC) et les Chargés de projet. C’est aussi le fruit des synergies avec le réseau des Conseillers économiques et commerciaux (CEC) de l’Agence wallonne à l’Exportation et aux Investissements étrangers (AWEX) et les représentants de l’Association pour la Promotion de l’Education et de la Formation à l’Etranger (APEFE) et ceux de Wallonie-Belgique Tourisme (WBT). Cette agilité de nos réseaux dans le monde s’est opérée en relation étroite avec les services au siège.

L’objectif est de garder le cap de nos missions tout en nous adaptant à la ligne d’horizon mouvante, à la situation sanitaire, aux évolutions géopolitiques et aux nécessaires changements stratégiques. Cette ligne directrice veut optimiser le fonctionnement de WBI pour être encore plus efficace et pour mieux soutenir les ambitions des talents, des opérateurs et des valeurs de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Région wallonne.

Au regard des défis de demain, WBI est au service des citoyens, des opérateurs, des talents, des élus parlementaires et des Gouvernements de la Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles pour leur rayonnement international. Grâce à ses équipes de qualité au siège et dans le monde, WBI offre à nos usagers un accompagnement renforcé en Belgique et à travers le monde. Avec cet écosystème et cette approche globale, nous sommes à leurs côtés pour les accompagner dans leurs ambitions, leurs projets et leurs réalisations.

Nous vous souhaitons une belle découverte de nos actions. Bonne lecture de notre Rapport d’Activités 2021!

 

 

21/06/2022
Tania Garbarski et Charlie Dupont

Aujourd’hui après 20 ans de mariage, de passions communes et de collaborations artistiques, ces deux pépites belges ne forment qu’une seule et même étoile qui illumine les cieux de ceux qui les regardent.

 

Vous les voyez jouer sur les planches, présenter les « Magritte », incarner des rôles du petit et du grand écran, remporter de multiples prix… Tania et Charlie rayonnent. Cela fait longtemps que leur terrain de jeu s’étend à l’international, à l’image de la pièce des « Aventures de Zelinda et Lindoro » de Carlo Goldoni à la très prestigieuse distribution franco-belge. En tournée à Nice, Liège et Paris, le duo Dupont-Garbarski ou Garbarski-Dupont sèment l’énergie et l’humour dans le cœur de leurs partenaires.

 

« Tania et Charlie, c’est de l’enthousiasme et du bonheur. On le sent quand ils sont sur scène »» explique le Directeur technique du Théâtre National de Nice. Félicien Juttner, acteur de théâtre français, surenchérit : « Je ne me rends même pas compte qu’on travaille tellement on se marre. Tout ça se fait ensemble, jouer et travailler, on n’arrive pas bien à faire la différence. »

 

Quel est leur secret ? « Rentrer dans la peau d’un personnage et raconter une histoire sur scène, c’est là où je me sens bien. » Tania avoue se sentir plus à l’aise sur scène que dans la vie. Raconter des histoires c’est plus que son métier, elle en a besoin.  Charlie, lui, ressent la salle comme une seule et même personne à qui il parlerait… avant d’ajouter avec malice :     « Il n’y a qu’une règle : c’est qu’il n’y a pas de règle ! »

 

Leur force ? C’est leur union. Tania raconte qu’ils sont plus forts à deux. « Ce métier est quand même fou et le vivre à deux, c’est extrêmement précieux pour moi. Tous les soirs, on se jette quand même un peu dans le vide. Tout peut arriver et ça nous met dans un état qui pourrait être de la fébrilité ou du trac mais qui est surtout un état génialissime qui se transmet au spectateur ici et maintenant. » Charlie rappelle qu’il fait ce métier pour partager des émotions. « C’est très important de créer… parce qu’on est l’histoire que l’on se raconte de soi. »

 

Et Charlie se raconte merveilleusement bien dans « La faute à Rousseau ». Actuelle série française dont il campe le premier rôle : Benjamin Rousseau, le nouveau prof de philo du lycée La Fontaine est un esprit libre, animé par la passion de la vérité. Celle qui se cache derrière les grands textes et, surtout, derrière les gens… A nouveau sous les feux de la rampe française, Charlie reconnait : « Le complexe belge est en train de disparaitre mais il y a toujours quelque chose que j’appelle le syndrome André Breton, qui part d’une qualité que l’on a : notre forme d’incapacité à se prendre au sérieux ! »  Pour lui la Belgique est un pays qui représente l’univers en tout petit. « Aujourd’hui, on commence à prendre conscience que ce petit laboratoire est aussi une éponge de toutes ces choses qui viennent d’ailleurs… c’est intéressant en fait ! ». La belgitude continue de rayonner grâce à ses ambassadeurs… Tania et Charlie : MERCI !

 

 

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Les Belges Histoires

WBI, en partenariat avec la RTBF, vous propose de découvrir les portraits de belges francophones qui font rayonner Wallonie-Bruxelles.

Découvrez la série de portraits : https://www.wbi.be/les-belges-histoires

 

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Aujourd’hui après 20 ans de mariage, de passions communes et de collaborations artistiques, ces deux pépites belges ne forment qu’une seule et même étoile qui illumine les cieux de ceux qui les regardent.

 

Vous les voyez jouer sur les planches, présenter les « Magritte », incarner des rôles du petit et du grand écran, remporter de multiples prix… Tania et Charlie rayonnent. Cela fait longtemps que leur terrain de jeu s’étend à l’international, à l’image de la pièce des « Aventures de Zelinda et Lindoro » de Carlo Goldoni à la très prestigieuse distribution franco-belge. En tournée à Nice, Liège et Paris, le duo Dupont-Garbarski ou Garbarski-Dupont sèment l’énergie et l’humour dans le cœur de leurs partenaires.

 

« Tania et Charlie, c’est de l’enthousiasme et du bonheur. On le sent quand ils sont sur scène »» explique le Directeur technique du Théâtre National de Nice. Félicien Juttner, acteur de théâtre français, surenchérit : « Je ne me rends même pas compte qu’on travaille tellement on se marre. Tout ça se fait ensemble, jouer et travailler, on n’arrive pas bien à faire la différence. »

 

Quel est leur secret ? « Rentrer dans la peau d’un personnage et raconter une histoire sur scène, c’est là où je me sens bien. » Tania avoue se sentir plus à l’aise sur scène que dans la vie. Raconter des histoires c’est plus que son métier, elle en a besoin.  Charlie, lui, ressent la salle comme une seule et même personne à qui il parlerait… avant d’ajouter avec malice :     « Il n’y a qu’une règle : c’est qu’il n’y a pas de règle ! »

 

Leur force ? C’est leur union. Tania raconte qu’ils sont plus forts à deux. « Ce métier est quand même fou et le vivre à deux, c’est extrêmement précieux pour moi. Tous les soirs, on se jette quand même un peu dans le vide. Tout peut arriver et ça nous met dans un état qui pourrait être de la fébrilité ou du trac mais qui est surtout un état génialissime qui se transmet au spectateur ici et maintenant. » Charlie rappelle qu’il fait ce métier pour partager des émotions. « C’est très important de créer… parce qu’on est l’histoire que l’on se raconte de soi. »

 

Et Charlie se raconte merveilleusement bien dans « La faute à Rousseau ». Actuelle série française dont il campe le premier rôle : Benjamin Rousseau, le nouveau prof de philo du lycée La Fontaine est un esprit libre, animé par la passion de la vérité. Celle qui se cache derrière les grands textes et, surtout, derrière les gens… A nouveau sous les feux de la rampe française, Charlie reconnait : « Le complexe belge est en train de disparaitre mais il y a toujours quelque chose que j’appelle le syndrome André Breton, qui part d’une qualité que l’on a : notre forme d’incapacité à se prendre au sérieux ! »  Pour lui la Belgique est un pays qui représente l’univers en tout petit. « Aujourd’hui, on commence à prendre conscience que ce petit laboratoire est aussi une éponge de toutes ces choses qui viennent d’ailleurs… c’est intéressant en fait ! ». La belgitude continue de rayonner grâce à ses ambassadeurs… Tania et Charlie : MERCI !

 

 

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