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La secrétaire générale de l’OIF Louise Mushikiwabo avec le Prof. Benoît Macq et les représentants WBI – AWEX sur le stand Digital Wallonia

Action récurrente sur laquelle se retrouvent Wallonie-Bruxelles International et l’AWEX, l'opportunité a été donnée cette année, à une délégation de chercheurs spécialisés en intelligence artificielle de l’initiative structurante du TRAIL Institutede participer au salon des technologies de Paris à la Porte de Versailles, qui se concentrait spécifiquement sur l’IA lors de cette édition. Une quinzaine de chercheurs, principalement issus de l’unité de recherche du Prof. Benoît Macq de l’UCLouvain, mais aussi de Multitel, du Réseau Lieu, de Sirris et de Mecatech se sont déplacés les 15 et 16 juin afin de nourrir leur réflexion et initier des potentielles collaborations avec des centres de recherche et start-ups françaises.

 

Pour accompagner cette mission, une partie de la délégation a eu le plaisir de rencontrer le Ministre Wallon de l’Economie et de la Recherche Willy Borsus, mais surtout de participer à un souper organisé par WBI en présence du Secrétaire d’Etat dédié au numérique Mathieu Michel. Le SE s’est ensuite rendu le 16 juin sur le stand Digital Wallonia où nombreuses start-ups wallonnes étaient présentes et sur lequel un village francophone était organisé avec la présence du célèbre environnementaliste suisse Bertrand Piccard. La délégation de chercheurs a pu participer à un tour élaboré sur mesure des opérateurs du salon qui partageaient les mêmes focus de recherche dans l’IA. Enfin tous les acteurs wallons du numérique présents sur Vivatech, chercheurs, entrepreneurs se sont retrouvés pour un dîner au soir, dans le magnifique cadre de la Résidence de l’Ambassadeur de Belgique en France où le Secrétaire d’Etat a donné un discours de clôture.

 

Toujours dans une dynamique institutionnelle très importante, il est important de noter que les représentants de WBI et de l’AWEX ont eu le privilège d’accueillir sur le stand Digital Wallonia, la Secrétaire Générale de l’Organisation Internationale de la Francophonie Louise Mushikiwabo. Cette rencontre s’est déroulée en lien avec la volonté de l’OIF de faire du numérique un de ses axes stratégiques majeurs, en réduisant la fracture numérique et d'offrir la possibilité à la Francophonie de se diffuser très largement dans le digital.

 

Cette mission avec la délégation du TRAIL s’inscrit dans une collaboration très intense des institutions wallonnes dans ce domaine d’innovation stratégique, après notamment une « université d’été » organisée l’année dernière sur le plateau de Paris-Saclay avec le Prof Benoît Macq et une dizaine de chercheurs doctorants. Le TRAIL, soutenu par WBI et le service recherche et innovation, reproduira cette activité cette année à Berlin, où foisonnent également de nombreux experts dans un écosystème de l’intelligence artificielle innovant.

 

Action récurrente sur laquelle se retrouvent Wallonie-Bruxelles International et l’AWEX, l'opportunité a été donnée cette année, à une délégation de chercheurs spécialisés en intelligence artificielle de l’initiative structurante du TRAIL Institutede participer au salon des technologies de Paris à la Porte de Versailles, qui se concentrait spécifiquement sur l’IA lors de cette édition. Une quinzaine de chercheurs, principalement issus de l’unité de recherche du Prof. Benoît Macq de l’UCLouvain, mais aussi de Multitel, du Réseau Lieu, de Sirris et de Mecatech se sont déplacés les 15 et 16 juin afin de nourrir leur réflexion et initier des potentielles collaborations avec des centres de recherche et start-ups françaises.

 

Pour accompagner cette mission, une partie de la délégation a eu le plaisir de rencontrer le Ministre Wallon de l’Economie et de la Recherche Willy Borsus, mais surtout de participer à un souper organisé par WBI en présence du Secrétaire d’Etat dédié au numérique Mathieu Michel. Le SE s’est ensuite rendu le 16 juin sur le stand Digital Wallonia où nombreuses start-ups wallonnes étaient présentes et sur lequel un village francophone était organisé avec la présence du célèbre environnementaliste suisse Bertrand Piccard. La délégation de chercheurs a pu participer à un tour élaboré sur mesure des opérateurs du salon qui partageaient les mêmes focus de recherche dans l’IA. Enfin tous les acteurs wallons du numérique présents sur Vivatech, chercheurs, entrepreneurs se sont retrouvés pour un dîner au soir, dans le magnifique cadre de la Résidence de l’Ambassadeur de Belgique en France où le Secrétaire d’Etat a donné un discours de clôture.

 

Toujours dans une dynamique institutionnelle très importante, il est important de noter que les représentants de WBI et de l’AWEX ont eu le privilège d’accueillir sur le stand Digital Wallonia, la Secrétaire Générale de l’Organisation Internationale de la Francophonie Louise Mushikiwabo. Cette rencontre s’est déroulée en lien avec la volonté de l’OIF de faire du numérique un de ses axes stratégiques majeurs, en réduisant la fracture numérique et d'offrir la possibilité à la Francophonie de se diffuser très largement dans le digital.

 

Cette mission avec la délégation du TRAIL s’inscrit dans une collaboration très intense des institutions wallonnes dans ce domaine d’innovation stratégique, après notamment une « université d’été » organisée l’année dernière sur le plateau de Paris-Saclay avec le Prof Benoît Macq et une dizaine de chercheurs doctorants. Le TRAIL, soutenu par WBI et le service recherche et innovation, reproduira cette activité cette année à Berlin, où foisonnent également de nombreux experts dans un écosystème de l’intelligence artificielle innovant.

 

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Cette plateforme initiée par Wallonie-Bruxelles International pour le livre belge francophone est dédiée aux professionnels étrangers : maisons d’édition, traducteurs, programmateurs d’événements ou de foires et salons, journalistes et chercheurs.

 

La plateforme www.lisezvouslebelge.be est élaborée comme une boussole qui redirige vers les sites existants en Belgique. Cet espace digital est un portail par lequel les professionnels étrangers peuvent entrer en contact avec les livres belges francophones.

 

Ils y trouveront :

  • De l’information sur notre paysage au travers de liens renvoyant vers les sites dédiés aux maisons d’édition et aux auteurs & autrices
  • Des outils et supports qui mettent en exergue la qualité de la production en Fédération Wallonie-Bruxelles (catalogues, sélection d’auteurs et autrices, etc.)
  • L’agenda des foires dans le monde où la Fédération Wallonie-Bruxelles est présente
  • Des renseignements sur les partenariats et les aides possibles

 

Cet outil s’inscrit dans le cadre de « Lisez-vous le belge ? », la marque de promotion des livres belges francophones à l’étranger. Cette appellation a été créée lors de la mise à l’honneur de la Fédération Wallonie-Bruxelles au Salon du livre de Genève en 2019, dans un souci d’identification de notre scène en Francophonie et dans le monde.

 

Le label s’est immédiatement affiché comme une dénomination fédératrice pour les professionnels en Belgique et est devenu significatif pour les professionnels étrangers : Wallonie-Bruxelles International, en collaboration avec le Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles, ont décidé qu’il deviendrait la marque au travers de laquelle les lettres et livres de Belgique francophone pourraient se promouvoir de par le monde.

 

« Lisez-vous le belge ? » est aussi le nom d’une campagne qui existe depuis 2020 et qui vise à promouvoir, en Belgique, durant un mois chaque automne, les productions littéraires et livresques issues de la Fédération Wallonie-Bruxelles. C’est la raison pour laquelle le site internet héberge les contenus relatifs à cette campagne.

 

Désormais doté d’un site, de réseaux sociaux afférents et d’outils de promotion qui se multiplient - à l’instar de la sélection annuelle - « Lisez-vous le belge ? » se veut porteur de l’ambition des pouvoirs publics à faire rayonner le livre belge à l’international, en phase avec les besoins des opérateurs du secteur.

 

 

Plus d’infos :

 

Le site internet : http://www.lisezvouslebelge.be

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/lisezvouslebelge/

Facebook: https://www.facebook.com/lisezvouslebelge

Instagram: @lisezvouslebelge

 

 

Cette plateforme initiée par Wallonie-Bruxelles International pour le livre belge francophone est dédiée aux professionnels étrangers : maisons d’édition, traducteurs, programmateurs d’événements ou de foires et salons, journalistes et chercheurs.

 

La plateforme www.lisezvouslebelge.be est élaborée comme une boussole qui redirige vers les sites existants en Belgique. Cet espace digital est un portail par lequel les professionnels étrangers peuvent entrer en contact avec les livres belges francophones.

 

Ils y trouveront :

  • De l’information sur notre paysage au travers de liens renvoyant vers les sites dédiés aux maisons d’édition et aux auteurs & autrices
  • Des outils et supports qui mettent en exergue la qualité de la production en Fédération Wallonie-Bruxelles (catalogues, sélection d’auteurs et autrices, etc.)
  • L’agenda des foires dans le monde où la Fédération Wallonie-Bruxelles est présente
  • Des renseignements sur les partenariats et les aides possibles

 

Cet outil s’inscrit dans le cadre de « Lisez-vous le belge ? », la marque de promotion des livres belges francophones à l’étranger. Cette appellation a été créée lors de la mise à l’honneur de la Fédération Wallonie-Bruxelles au Salon du livre de Genève en 2019, dans un souci d’identification de notre scène en Francophonie et dans le monde.

 

Le label s’est immédiatement affiché comme une dénomination fédératrice pour les professionnels en Belgique et est devenu significatif pour les professionnels étrangers : Wallonie-Bruxelles International, en collaboration avec le Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles, ont décidé qu’il deviendrait la marque au travers de laquelle les lettres et livres de Belgique francophone pourraient se promouvoir de par le monde.

 

« Lisez-vous le belge ? » est aussi le nom d’une campagne qui existe depuis 2020 et qui vise à promouvoir, en Belgique, durant un mois chaque automne, les productions littéraires et livresques issues de la Fédération Wallonie-Bruxelles. C’est la raison pour laquelle le site internet héberge les contenus relatifs à cette campagne.

 

Désormais doté d’un site, de réseaux sociaux afférents et d’outils de promotion qui se multiplient - à l’instar de la sélection annuelle - « Lisez-vous le belge ? » se veut porteur de l’ambition des pouvoirs publics à faire rayonner le livre belge à l’international, en phase avec les besoins des opérateurs du secteur.

 

 

Plus d’infos :

 

Le site internet : http://www.lisezvouslebelge.be

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/lisezvouslebelge/

Facebook: https://www.facebook.com/lisezvouslebelge

Instagram: @lisezvouslebelge

 

 

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Les mangroves d'Abu Dhabi, île de Reem (c) Abdulrahman Rezki

Wallonie-Bruxelles International et le bureau AWEX à Dubaï ont cette année encore collaboré avec le Festival International Nature Namur (FINN) pour célébrer la Journée mondiale de l'environnement, le dimanche 5 juin 2022.

 

L'auditorium de l'Alliance Française d'une capacité de 100 personnes était comble et de nombreux enfants étaient présents avec leurs parents.

 

Parmi 16 films sur la biodiversité présentés, le public de Dubaï a élu Rencontre du matin de Clarisse Debatty & Jules Rasummy comme son favori.

 

Dans une forêt colorée d'un tapis de jacinthes sauvages, un photographe passionné de nature profite du calme du matin pour s'aventurer discrètement. Il espère rencontrer un animal précis en chemin... 

 

En parallèle, était organisé cette année, un concours photo local qui a permis de découvrir de nombreux talents. Des participants potentiels pour la prochaine édition du FINN!

 

Colin Beaton, photographe primé par la Royal Photographic Society de Londres, a élu la photographie gagnante réalisée par un jeune résident des Émirats arabes unis, Abdulrahman Rezki,  "Les mangroves d'Abu Dhabi, île de Reem".

 

Selon Colin Beaton, « Ce plan aérien bien composé des mangroves est une perspective remarquable sur l'intersection entre la terre et l'eau aux EAU. Les détails de l'image révèlent la complexité et les textures de ces écosystèmes fragiles et interdépendants. L'utilisation de la lumière est bien faite et les couleurs sont bien équilibrées, fortes caractéristiques techniques démontrées. Dans l'ensemble, ces images transmettent une énorme quantité d'informations sur un environnement naturel magnifique et important, unique à la région et fondamentalement important à préserver. »

 

Le public a apprécié les gaufres liégeoises servies chaudes à la sortie de la projection des courts-métrages et la "sieste électro" d'un DJ local belge !

 

 

Wallonie-Bruxelles International et le bureau AWEX à Dubaï ont cette année encore collaboré avec le Festival International Nature Namur (FINN) pour célébrer la Journée mondiale de l'environnement, le dimanche 5 juin 2022.

 

L'auditorium de l'Alliance Française d'une capacité de 100 personnes était comble et de nombreux enfants étaient présents avec leurs parents.

 

Parmi 16 films sur la biodiversité présentés, le public de Dubaï a élu Rencontre du matin de Clarisse Debatty & Jules Rasummy comme son favori.

 

Dans une forêt colorée d'un tapis de jacinthes sauvages, un photographe passionné de nature profite du calme du matin pour s'aventurer discrètement. Il espère rencontrer un animal précis en chemin... 

 

En parallèle, était organisé cette année, un concours photo local qui a permis de découvrir de nombreux talents. Des participants potentiels pour la prochaine édition du FINN!

 

Colin Beaton, photographe primé par la Royal Photographic Society de Londres, a élu la photographie gagnante réalisée par un jeune résident des Émirats arabes unis, Abdulrahman Rezki,  "Les mangroves d'Abu Dhabi, île de Reem".

 

Selon Colin Beaton, « Ce plan aérien bien composé des mangroves est une perspective remarquable sur l'intersection entre la terre et l'eau aux EAU. Les détails de l'image révèlent la complexité et les textures de ces écosystèmes fragiles et interdépendants. L'utilisation de la lumière est bien faite et les couleurs sont bien équilibrées, fortes caractéristiques techniques démontrées. Dans l'ensemble, ces images transmettent une énorme quantité d'informations sur un environnement naturel magnifique et important, unique à la région et fondamentalement important à préserver. »

 

Le public a apprécié les gaufres liégeoises servies chaudes à la sortie de la projection des courts-métrages et la "sieste électro" d'un DJ local belge !

 

 

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(c) Rideau

Avec ses 50 spectacles, sa dynamique Place du marché, ses rendez-vous professionnels, ses rencontres-causeries, ses activités de développement professionnel, ses fins de soirée et 5 à 7 festifs, RIDEAU propose un événement incontournable pour tous les professionnels du spectacle.

 

L'édition 2023 aura lieu du 12 au 16 février à Québec. Vous êtes actifs dans le domaine de la musique, de la danse, du théâtre ou des arts de la parole, du cirque ou des arts de la rue et de l'humour et vous souhaitez participer?

 

La période de dépôt des candidatures pour les vitrines de la sélection internationale est ouverte jusqu'au 23 août 2023 sur la Plateforme Scène Pro.

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Critères de sélection

  • Qualité artistique - Qualité du spectacle, parcours de l’artiste et/ou du groupe 
  • Potentiel de tournée en salles - Antécédents de tournée, potentiel de tournée selon le type de formation et possibilité d’adapter le spectacle à différentes salles 
  • Originalité - Matériel apportant une couleur particulière dans le paysage culturel 
  • Nouveauté de la proposition artistique - Matériel jamais présenté à RIDEAU, spectacle récent ou qui a peu tourné au Québec 
  • Appréciation personnelle - Coup de cœur, motivation à faire circuler le spectacle 
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Dossier de candidature

  • Pour l'ensemble des candidatures, une présentation générale du projet, une fiche technique et un calendrier de tournées sont à minima requis.
  • Pour les candidatures dans le domaine musical, des liens audio et vidéo (extrait musical) sont demandés.
  • Un lien vidéo vers une captation de la version intégrale du spectacle est attendue également pour les domaines suivants: danse, théâtre, arts de la parole, cirque, arts de la rue et humour.
Retour au début

Exigences et particularités

  • Sont admissibles à la Sélection internationale les artistes professionnels dont le spectacle présente un potentiel de tournée et dont la résidence permanente est hors du Canada.
  • L’offre de spectacle de l’artiste ou du groupe doit être inscrite sur Scène Pro. Consulter la marche à suivre.
  • L’artiste ou le groupe doit être disponible du 12 au 16 février 2023 pour la vitrine (à Québec).
  • Les artistes ou groupes présenteront leur spectacle d’une durée déterminée par RIDEAU.
  • Aucun cachet ne sera versé aux artistes ou groupes invités.
  • L’artiste ou le groupe devra obligatoirement inscrire son spectacle sur la plateforme Scène Pro et en assumer les frais d’inscription annuelle de 65 $ (taxes en sus). À la suite de la validation de son inscription, le spectacle doit être déposé pour une demande de vitrine à RIDEAU 2023 – aucun frais applicable.
  • Si le spectacle est déjà inscrit sur Scène Pro et que l’inscription vient à échéance en cours de processus, la réinscription et le paiement des coûts de 65 $ (taxes en sus) sont obligatoires.
  • RIDEAU assure les frais d’hébergement des artistes et d’un (1) technicien en occupation double ainsi que les indemnités quotidiennes (per diem) pour une durée maximale de trois nuitées.
  • RIDEAU offre aux artistes, représentant et technicien les accréditations à l’événement ; accès au Forum, vitrines, cocktails et gala.
  • Les titres de transport aérien ou par bateau (cargo) ou toutes autres dépenses sont à la charge des artistes ou groupes invités. Cependant, les dates de réception et de départ du matériel doivent être validées par le directeur technique ou par la responsable de la programmation de RIDEAU.
  • Le transport terrestre des artistes et de leurs bagages est fourni par RIDEAU, de l’aéroport (Québec ou Montréal) à l’hôtel, de l’hôtel à la salle de spectacle pour l’installation et pour la représentation. RIDEAU assume le transport entre le 11 et le 17 février 2023. Tout autre transport terrestre devra être assumé par l’artiste ou le groupe. RIDEAU n’assume pas les frais de location de véhicule.
  • Les artistes ou groupes sélectionnés doivent être obligatoirement représentés à la Place du marché (3 jours), soit par eux-mêmes ou leur représentant.
  • RIDEAU offrira une scène (plateau) appropriée, avec les équipements de son et d’éclairage préalablement déterminés par le directeur technique de RIDEAU. Tout équipement particulier sera à la charge de l’artiste ou du groupe.
  • Les règles émises par la CNESST et la Direction de la santé publique dans le contexte de la pandémie de la COVID-19 devront être respectées par l’artiste ou le groupe, par l’équipe du lieu de présentation et l’équipe de RIDEAU.

 

Retrouvez les informations détaillées et la marche à suivre pour vous inscrire sur le site du Rideau.

 

Contact

 

programmation@associationrideau.ca

 

 

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Avec ses 50 spectacles, sa dynamique Place du marché, ses rendez-vous professionnels, ses rencontres-causeries, ses activités de développement professionnel, ses fins de soirée et 5 à 7 festifs, RIDEAU propose un événement incontournable pour tous les professionnels du spectacle.

 

L'édition 2023 aura lieu du 12 au 16 février à Québec. Vous êtes actifs dans le domaine de la musique, de la danse, du théâtre ou des arts de la parole, du cirque ou des arts de la rue et de l'humour et vous souhaitez participer?

 

La période de dépôt des candidatures pour les vitrines de la sélection internationale est ouverte jusqu'au 23 août 2023 sur la Plateforme Scène Pro.

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  • Qualité artistique - Qualité du spectacle, parcours de l’artiste et/ou du groupe 
  • Potentiel de tournée en salles - Antécédents de tournée, potentiel de tournée selon le type de formation et possibilité d’adapter le spectacle à différentes salles 
  • Originalité - Matériel apportant une couleur particulière dans le paysage culturel 
  • Nouveauté de la proposition artistique - Matériel jamais présenté à RIDEAU, spectacle récent ou qui a peu tourné au Québec 
  • Appréciation personnelle - Coup de cœur, motivation à faire circuler le spectacle 
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Dossier de candidature

  • Pour l'ensemble des candidatures, une présentation générale du projet, une fiche technique et un calendrier de tournées sont à minima requis.
  • Pour les candidatures dans le domaine musical, des liens audio et vidéo (extrait musical) sont demandés.
  • Un lien vidéo vers une captation de la version intégrale du spectacle est attendue également pour les domaines suivants: danse, théâtre, arts de la parole, cirque, arts de la rue et humour.
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Exigences et particularités

  • Sont admissibles à la Sélection internationale les artistes professionnels dont le spectacle présente un potentiel de tournée et dont la résidence permanente est hors du Canada.
  • L’offre de spectacle de l’artiste ou du groupe doit être inscrite sur Scène Pro. Consulter la marche à suivre.
  • L’artiste ou le groupe doit être disponible du 12 au 16 février 2023 pour la vitrine (à Québec).
  • Les artistes ou groupes présenteront leur spectacle d’une durée déterminée par RIDEAU.
  • Aucun cachet ne sera versé aux artistes ou groupes invités.
  • L’artiste ou le groupe devra obligatoirement inscrire son spectacle sur la plateforme Scène Pro et en assumer les frais d’inscription annuelle de 65 $ (taxes en sus). À la suite de la validation de son inscription, le spectacle doit être déposé pour une demande de vitrine à RIDEAU 2023 – aucun frais applicable.
  • Si le spectacle est déjà inscrit sur Scène Pro et que l’inscription vient à échéance en cours de processus, la réinscription et le paiement des coûts de 65 $ (taxes en sus) sont obligatoires.
  • RIDEAU assure les frais d’hébergement des artistes et d’un (1) technicien en occupation double ainsi que les indemnités quotidiennes (per diem) pour une durée maximale de trois nuitées.
  • RIDEAU offre aux artistes, représentant et technicien les accréditations à l’événement ; accès au Forum, vitrines, cocktails et gala.
  • Les titres de transport aérien ou par bateau (cargo) ou toutes autres dépenses sont à la charge des artistes ou groupes invités. Cependant, les dates de réception et de départ du matériel doivent être validées par le directeur technique ou par la responsable de la programmation de RIDEAU.
  • Le transport terrestre des artistes et de leurs bagages est fourni par RIDEAU, de l’aéroport (Québec ou Montréal) à l’hôtel, de l’hôtel à la salle de spectacle pour l’installation et pour la représentation. RIDEAU assume le transport entre le 11 et le 17 février 2023. Tout autre transport terrestre devra être assumé par l’artiste ou le groupe. RIDEAU n’assume pas les frais de location de véhicule.
  • Les artistes ou groupes sélectionnés doivent être obligatoirement représentés à la Place du marché (3 jours), soit par eux-mêmes ou leur représentant.
  • RIDEAU offrira une scène (plateau) appropriée, avec les équipements de son et d’éclairage préalablement déterminés par le directeur technique de RIDEAU. Tout équipement particulier sera à la charge de l’artiste ou du groupe.
  • Les règles émises par la CNESST et la Direction de la santé publique dans le contexte de la pandémie de la COVID-19 devront être respectées par l’artiste ou le groupe, par l’équipe du lieu de présentation et l’équipe de RIDEAU.

 

Retrouvez les informations détaillées et la marche à suivre pour vous inscrire sur le site du Rideau.

 

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programmation@associationrideau.ca

 

 

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Le Directeur du Bureau Belge de Taipei Mr Frédéric Verheyden, en compagnie de l’équipe AWEX-WBI à Taipei Philippe Tzou et Angela Hsu, devant le pavillon belge de WBI au Taipei Int’l Book Exhibition (c) AWEX-WBI - Philippe TZOU

Après 2 années d’absence à cause du COVID, ce salon a accueilli 358 exposants de 31 pays, dont la France qui était mise à l'honneur et l’Ukraine, invitée exceptionnellement cette année.


Le salon a recensé environ 250 000 visiteurs en 6 jours (du 2 au 7 juin dont deux journées en nocturne) et organisé quelque 500 ateliers d’animation autours d’auteurs & autrices et sur des thématiques et titres récemment parus.

 

Le stand de Wallonie-Bruxelles International, aux couleurs de « Lisez-vous le belge ? », a présenté des titres jeunesses (Alice, A Pas de Loups, Cotcotcot, Esperluète, Versant Sud), des bandes dessinées grand public (Casterman, Kennes Editions) et alternatives (L’Employé du Moi, Frémok), des livres d’art et d’éveil artistique (Kate’Art) ainsi que des parutions de la Fondation Maurice Carême, sans oublier l’original collectif de fanzines Blow Books.


Trois animations ont eu lieu autour de la bande dessinée et des livres jeunesse sur le podium du Salon International situé à côté du stand belge francophone avec :

  • Wu Pinglu, traductrice taiwanaise du roman graphique « Ne m’oublie pas » d’Alix Garin paru chez Le Lombard en Belgique et chez Faces Publishing à Taiwan 
  • Marine Schneider, autrice-illustratrice notamment publiée aux éditions Versant Sud 
  • Angélique Lin, fondatrice et gérante de la Librairie Maison Temps-Rêves à Taipei

De nombreux professionnels de l’édition à Taiwan ont pu découvrir sur le stand, les nouveautés et titres phares des maisons d’édition de Wallonie-Bruxelles, où A Pas de Loups, CotCotCot et Kennes Editions notamment, exposaient pour la première fois.

  

Afin de permettre aux visiteurs de se procurer ces livres, WBI s’est associée cette année avec la librairie Maison Temps-Rêves, spécialisée dans la vente de livres d’illustration en langues étrangères à Taipei. Pour cela, la librairie a commandé plusieurs titres de certaines des maisons d’éditions belges exposant sur le stand et a contribué à faire parler de la présence belge sur le salon auprès de ses « fans »  (plus de 22 000 followers sur Facebook!).

 

Le public a également largement apprécié les 5 interviews filmées sous-titrées en chinois que WBI et l’AWEX avaient mis à disposition sur la chaine YouTube du bureau de Taipei et présentant des maisons d’éditions de livres jeunesse exposant sur ce salon. Elles ont permis aux lecteurs chinois de comprendre l’historique et la philosophie sous tendant la démarche de ces maisons d’éditions aux identités toutes spécifiques mais dont les magnifiques histoires et les fascinantes illustrations ont su toucher chaque visiteur.

 

Grâce au travail de relations presse de Philippe Tzou, conseiller économique et commercial de l’AWEX à Taipei, ce stand a bénéficié de deux parutions en français dans des médias francophones à Taiwan, sur Taiwan Info, site d’info du ministère des affaires étrangères et sur Radio Taiwan International section française, radio menée et financée par le Ministère de la Culture de Taiwan. La presse locale a également relayé l'événement avec un reportage en chinois dans le Economic Daily.

 

Tout savoir sur le TIBE Salon International du Livre de Taipei 2022

Contact

Philippe Tzou

Conseiller Economique & Commercial à Taipei

Tel: +886 958 161 976

p.tzou@awex-wallonia.com

 

Après 2 années d’absence à cause du COVID, ce salon a accueilli 358 exposants de 31 pays, dont la France qui était mise à l'honneur et l’Ukraine, invitée exceptionnellement cette année.


Le salon a recensé environ 250 000 visiteurs en 6 jours (du 2 au 7 juin dont deux journées en nocturne) et organisé quelque 500 ateliers d’animation autours d’auteurs & autrices et sur des thématiques et titres récemment parus.

 

Le stand de Wallonie-Bruxelles International, aux couleurs de « Lisez-vous le belge ? », a présenté des titres jeunesses (Alice, A Pas de Loups, Cotcotcot, Esperluète, Versant Sud), des bandes dessinées grand public (Casterman, Kennes Editions) et alternatives (L’Employé du Moi, Frémok), des livres d’art et d’éveil artistique (Kate’Art) ainsi que des parutions de la Fondation Maurice Carême, sans oublier l’original collectif de fanzines Blow Books.


Trois animations ont eu lieu autour de la bande dessinée et des livres jeunesse sur le podium du Salon International situé à côté du stand belge francophone avec :

  • Wu Pinglu, traductrice taiwanaise du roman graphique « Ne m’oublie pas » d’Alix Garin paru chez Le Lombard en Belgique et chez Faces Publishing à Taiwan 
  • Marine Schneider, autrice-illustratrice notamment publiée aux éditions Versant Sud 
  • Angélique Lin, fondatrice et gérante de la Librairie Maison Temps-Rêves à Taipei

De nombreux professionnels de l’édition à Taiwan ont pu découvrir sur le stand, les nouveautés et titres phares des maisons d’édition de Wallonie-Bruxelles, où A Pas de Loups, CotCotCot et Kennes Editions notamment, exposaient pour la première fois.

  

Afin de permettre aux visiteurs de se procurer ces livres, WBI s’est associée cette année avec la librairie Maison Temps-Rêves, spécialisée dans la vente de livres d’illustration en langues étrangères à Taipei. Pour cela, la librairie a commandé plusieurs titres de certaines des maisons d’éditions belges exposant sur le stand et a contribué à faire parler de la présence belge sur le salon auprès de ses « fans »  (plus de 22 000 followers sur Facebook!).

 

Le public a également largement apprécié les 5 interviews filmées sous-titrées en chinois que WBI et l’AWEX avaient mis à disposition sur la chaine YouTube du bureau de Taipei et présentant des maisons d’éditions de livres jeunesse exposant sur ce salon. Elles ont permis aux lecteurs chinois de comprendre l’historique et la philosophie sous tendant la démarche de ces maisons d’éditions aux identités toutes spécifiques mais dont les magnifiques histoires et les fascinantes illustrations ont su toucher chaque visiteur.

 

Grâce au travail de relations presse de Philippe Tzou, conseiller économique et commercial de l’AWEX à Taipei, ce stand a bénéficié de deux parutions en français dans des médias francophones à Taiwan, sur Taiwan Info, site d’info du ministère des affaires étrangères et sur Radio Taiwan International section française, radio menée et financée par le Ministère de la Culture de Taiwan. La presse locale a également relayé l'événement avec un reportage en chinois dans le Economic Daily.

 

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Philippe Tzou

Conseiller Economique & Commercial à Taipei

Tel: +886 958 161 976

p.tzou@awex-wallonia.com

 

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TRINKHALL by Atelier Beguin-Massart

> TREETEK by Matador / de Alzua +

> PONTS DES ARTS by V+ / HBAAT

> iMAL by Central / NP2F

> TRINKHALL by Atelier Beguin-Massart

> URSULINEN by Label

> CIME CONDUCTIVE by A229

> MEXICO by Vers.A

 

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TREETEK by Matador / de Alzua +

Découvrez le projet Rives de la Haute Deûle à Lille une friche industrielle est réhabilitée à partir de la magnifique manufacture Le Blan-Laffont. Au bord du parc la mettant en valeur, le bureau Matador vient de livrer, en association avec l’agence de Alzua+, un édifice de bureau de 6.000m².

Matador

de Alzua +

 

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PONTS DES ARTS by V+ / HBAAT

Découvrez le projet "Pont des Arts", pôle culturel situé au cœur de la métropole lilloise à Marcq-en-Baroeul et né de l'association HBAAT avec les bruxellois de V+ livré cette année et qui se distingue par son intégration dans le contexte urbain comme par la générosité de ses espaces intérieurs.

V+

 

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iMAL by Central / NP2F

IMAL est un lieu unique dans le paysage bruxellois. Plus qu'un centre d'art, il prend sa pertinence tant par la culture qu'il propose que par sa situation urbaine. Une culture de la coproduction, ancrée dans son temps. Un lieu accessible, à la croisée de deux quartiers, capable de fédérer un public pluriel par la transversalité de ses activités. Une ancienne usine située le long du canal de Bruxelles a l'ambition de devenir le Centre des Arts, des Sciences, de la Technologie, de l'Innovation et de l'Inclusion.

central-net.eu/

 

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TRINKHALL by Atelier Beguin-Massart

Rénovation et extension des surfaces d'expositions permanente et temporaire du musée, réserves et ateliers, brasserie, bureaux et salle d'activité pédagogiques.

beguin-massart.be/portfolio_page/trinkhall/

 

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URSULINEN by Label

Ecole. Le site des Ursulines, au centre de Malines, en Belgique, se caractérise par un mélange de types et de styles de constructions sans aucune définition claire. Composé de différents bâtiments publics entrelacés avec des habitations privées, l'ensemble se présente comme un morceau de tissu urbain labyrinthique et à peine lisible.

labelarchitecture.be/project/ursulinen-2/

 

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CIME CONDUCTIVE by A229

Le projet consiste en la création d’une nouvelle école secondaire de type 4 (handicap moteur), suivant la pédagogie conductive.

a229.be/post/182241378826

 

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MEXICO by Vers.A

Construction d'un immeuble de logements et d'un pocket parc.

versa-architecture.be/MEXICO

 

 

Ces capsules ont été produites par Wallonie-Bruxelles Architectures et réalisées par Jonathan Ortegat entouré d’une équipe composée de Jeanne Debarsy pour le son, Loup Mormont pour la musique, Jean Forest pour le graphisme et de Lucien Keler pour la colorimétrie.

 

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> TREETEK by Matador / de Alzua +

> PONTS DES ARTS by V+ / HBAAT

> iMAL by Central / NP2F

> TRINKHALL by Atelier Beguin-Massart

> URSULINEN by Label

> CIME CONDUCTIVE by A229

> MEXICO by Vers.A

 

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TREETEK by Matador / de Alzua +

Découvrez le projet Rives de la Haute Deûle à Lille une friche industrielle est réhabilitée à partir de la magnifique manufacture Le Blan-Laffont. Au bord du parc la mettant en valeur, le bureau Matador vient de livrer, en association avec l’agence de Alzua+, un édifice de bureau de 6.000m².

Matador

de Alzua +

 

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PONTS DES ARTS by V+ / HBAAT

Découvrez le projet "Pont des Arts", pôle culturel situé au cœur de la métropole lilloise à Marcq-en-Baroeul et né de l'association HBAAT avec les bruxellois de V+ livré cette année et qui se distingue par son intégration dans le contexte urbain comme par la générosité de ses espaces intérieurs.

V+

 

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iMAL by Central / NP2F

IMAL est un lieu unique dans le paysage bruxellois. Plus qu'un centre d'art, il prend sa pertinence tant par la culture qu'il propose que par sa situation urbaine. Une culture de la coproduction, ancrée dans son temps. Un lieu accessible, à la croisée de deux quartiers, capable de fédérer un public pluriel par la transversalité de ses activités. Une ancienne usine située le long du canal de Bruxelles a l'ambition de devenir le Centre des Arts, des Sciences, de la Technologie, de l'Innovation et de l'Inclusion.

central-net.eu/

 

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TRINKHALL by Atelier Beguin-Massart

Rénovation et extension des surfaces d'expositions permanente et temporaire du musée, réserves et ateliers, brasserie, bureaux et salle d'activité pédagogiques.

beguin-massart.be/portfolio_page/trinkhall/

 

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URSULINEN by Label

Ecole. Le site des Ursulines, au centre de Malines, en Belgique, se caractérise par un mélange de types et de styles de constructions sans aucune définition claire. Composé de différents bâtiments publics entrelacés avec des habitations privées, l'ensemble se présente comme un morceau de tissu urbain labyrinthique et à peine lisible.

labelarchitecture.be/project/ursulinen-2/

 

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CIME CONDUCTIVE by A229

Le projet consiste en la création d’une nouvelle école secondaire de type 4 (handicap moteur), suivant la pédagogie conductive.

a229.be/post/182241378826

 

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MEXICO by Vers.A

Construction d'un immeuble de logements et d'un pocket parc.

versa-architecture.be/MEXICO

 

 

Ces capsules ont été produites par Wallonie-Bruxelles Architectures et réalisées par Jonathan Ortegat entouré d’une équipe composée de Jeanne Debarsy pour le son, Loup Mormont pour la musique, Jean Forest pour le graphisme et de Lucien Keler pour la colorimétrie.

 

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Webinaire de présentation des programmes de financements internationaux

Le but était de diffuser l’information et les possibilités de financement pour les centres de recherches, qu’ils soient wallons ou brésiliens, et de faciliter les échanges et les connexions entre ceux-ci.

 

Cette activité présentait les programmes IRA-SME et CORNET, et les opportunités qu’ils offrent. Embrapii, organisation gouvernementale qui soutient les centres de recherche brésiliens, et son pendant wallon, le SPW-EER, ont également proposé une présentation de leurs activités et expliqué comment les centres de recherches peuvent intégrer ce type de programmes. Enfin, le réseau Enterprise Europe Network, que ce soit au Brésil ou en Wallonie, a présenté ses objectifs et quels types d’opérateurs ils peuvent viser.

 

L’objectif du webinaire était d’attirer des acteurs wallons et brésiliens de la recherche à s’intéresser aux opportunités de financement et encourager des futurs projets de collaboration. Sur une centaine de personnes inscrites, 50 se sont connectées en ligne des deux côtés de l’Atlantique afin d’assister aux présentations.

 

Vous pourrez trouver ci-dessous la rediffusion des présentations, mais également les diaporamas des intervenants en documents joints.

 

Le but était de diffuser l’information et les possibilités de financement pour les centres de recherches, qu’ils soient wallons ou brésiliens, et de faciliter les échanges et les connexions entre ceux-ci.

 

Cette activité présentait les programmes IRA-SME et CORNET, et les opportunités qu’ils offrent. Embrapii, organisation gouvernementale qui soutient les centres de recherche brésiliens, et son pendant wallon, le SPW-EER, ont également proposé une présentation de leurs activités et expliqué comment les centres de recherches peuvent intégrer ce type de programmes. Enfin, le réseau Enterprise Europe Network, que ce soit au Brésil ou en Wallonie, a présenté ses objectifs et quels types d’opérateurs ils peuvent viser.

 

L’objectif du webinaire était d’attirer des acteurs wallons et brésiliens de la recherche à s’intéresser aux opportunités de financement et encourager des futurs projets de collaboration. Sur une centaine de personnes inscrites, 50 se sont connectées en ligne des deux côtés de l’Atlantique afin d’assister aux présentations.

 

Vous pourrez trouver ci-dessous la rediffusion des présentations, mais également les diaporamas des intervenants en documents joints.

 

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(c) Unesco

Malgré la fermeture des écoles due à la COVID-19, Fatouma, une élève malienne a pu poursuivre sa scolarité grâce à ce programme de sensibilisation.

 

"J’ai dû travailler pour aider mes parents et ma famille pendant la pandémie de COVID-19. Les séances de sensibilisation m’ont donné la force de retourner à l’école."

 

Fatouma Adiawiakoye, élève du primaire âgée de 13 ans, originaire de la région de Tombouctou (Mali), n’est pas allée à l’école durant les longues fermetures dues à la COVID-19.

 

Bien que l’enseignement primaire soit obligatoire au Mali, près d’un tiers des enfants en âge d’aller à l’école ne sont pas scolarisés, et le taux d’abandon avant la fin du cycle primaire atteint environ la même proportion. Ce problème est aggravé par une insécurité persistante qui entraîne la fermeture des établissements scolaires dans certaines régions, due à la pauvreté et à des pratiques traditionnelles qui font obstacle à l’éducation des filles. D’après les données nationales, 15 % des filles maliennes sont mariées avant leurs 15 ans, et 53 % avant leurs 18 ans.

 

C’est dans ce contexte que 1 533 établissements d’enseignement ont dû fermer leurs portes dans le pays pour lutter contre la pandémie de COVID-19, entraînant la déscolarisation de 403 200 enfants, selon les estimations, et exposant les filles et les jeunes femmes au risque de mariage précoce et de grossesse non désirée. « Dans ma région, les filles qui ne vont pas à l’école se marient très tôt, indique Fatouma. Si nous fermons à nouveau les écoles, le nombre de mariages précoces augmentera. »

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Les filles au premier plan

Pour garantir la continuité de l’éducation des filles et leur retour à l’école en toute sécurité, l’UNESCO a lancé la campagne Les filles au premier plan, qui a touché environ 400 millions de personnes dans le monde.

 

Cette campagne a été mise en œuvre avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International, dans le cadre d’un projet multipays qui a concerné quatre pays d’Afrique subsaharienne : le Bénin, le Mali, le Nigéria et le Sénégal. L’accent a été mis sur les régions présentant les taux d’abandon les plus élevés et les taux de rescolarisation les plus faibles chez les filles.

 

Au Mali, les activités ont porté sur la sensibilisation des filles, des membres des communautés, des chefs de village et des parents à l’importance de l’éducation. Elles ont reçu le soutien du Ministère de l’éducation et de l’Académie d’enseignement de Tombouctou, ainsi que de partenaires tels que l’Union des radios et télévisions libres du Mali. Les messages et matériels de la campagne ont été traduits dans les trois langues nationales (fulfulde, songhai et tamasheq) afin de faciliter et favoriser la mobilisation à l’échelle locale.

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Plaidoyer en faveur de l’éducation des filles

« Disons NON à la fermeture des écoles, pour quelque cause que ce soit, déclare Fatouma. L’éducation des filles est une priorité. » La participation de la jeune fille à une séance de sensibilisation l’a convaincue que «l’éducation doit figurer au premier plan des préoccupations des parents, en particulier pour nous, les filles qui vivent dans des régions où les traditions et les coutumes nous font abandonner l’école pour nous marier».

 

Grâce à l’organisation de 24 séances de sensibilisation et au déploiement de 30 caravanes d’information dans 12 villages, à la diffusion de 630 émissions par des radios communautaires et à la distribution de matériels à 17 écoles, plus de 550 000 personnes ont été touchées et sensibilisées à l’importance de l’éducation des filles dans 7 communes, y compris celle de Tombouctou, dont Fatouma est originaire.

 

« Les messages de sensibilisation adressés aux communautés ont aidé mes camarades filles à rester à l’école. »

 

Sa cousine Rokiatou, par exemple, avait abandonné ses études après l’apparition de la menstruation, mais grâce aux messages diffusés par la station de radio Jamana, elle a pu reprendre le chemin de l’école et achève actuellement sa sixième année de scolarité.

 

Les activités mises en œuvre ont eu un impact qui a largement dépassé les communautés visées et le public ciblé, à savoir les filles. Elles ont notamment aidé le frère aîné de Fatouma à retourner à l’école après deux d’absence, pendant lesquels il a travaillé comme maçon. Il a obtenu une moyenne de 13 sur 20 à son premier semestre de reprise.

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UNESCO Bamako - Impact durable et effet multiplicateur

Les activités mises en œuvre ont un effet multiplicateur au-delà de la fin du projet : plus de villages se mobilisent, les radios continuent de diffuser les messages sur l’éducation des filles, et de nouveaux matériels sont traduits.

 

À la suite du projet, l’Académie d’enseignement de Tombouctou a reçu un nombre croissant de demandes concernant des activités et des matériels de sensibilisation supplémentaires sur l’éducation des filles de la part de centres pédagogiques et d’écoles qui ne faisaient pas partie de la zone couverte par le projet. Les responsables communautaires ont également été mobilisés et se sont unanimement engagés pour favoriser la continuité de l’éducation des filles et leur retour à l’école par le biais de l’information et de la sensibilisation.

 

Une quinzaine d’établissements auraient rouvert à la suite des séances de sensibilisation organisées dans le cadre du projet, d’après le Directeur de l’Académie d’enseignement de Tombouctou pour l’année scolaire 2021-2022. Les matériels du projet sont également communiqués aux centres d’animation pédagogiques de six communes pour servir de modèle à des activités de sensibilisation des jeunes.

 

Fatouma défend l’éducation des filles et attend la suite avec impatience : « Je voudrais continuer mes études et devenir médecin pour sauver des enfants et aider les filles victimes de violence et de mariages forcés. J’encourage toutes les filles à poursuivre leur scolarité, car l’avenir de la région de Tombouctou en dépend. »

 

Davantage d’activités de plaidoyer et de sensibilisation doivent être mises en œuvre pour s’assurer que les filles continuent d’apprendre, et pour préserver les progrès accomplis en matière d’égalité des genres dans et par l’éducation. Ce travail a contribué au Programme phare pour le genre de la Coalition mondiale pour l’éducation et a été financé par Wallonie-Bruxelles International.

 

Source: article paru le 30 mai 2022 sur le site de l'UNESCO 

 

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Malgré la fermeture des écoles due à la COVID-19, Fatouma, une élève malienne a pu poursuivre sa scolarité grâce à ce programme de sensibilisation.

 

"J’ai dû travailler pour aider mes parents et ma famille pendant la pandémie de COVID-19. Les séances de sensibilisation m’ont donné la force de retourner à l’école."

 

Fatouma Adiawiakoye, élève du primaire âgée de 13 ans, originaire de la région de Tombouctou (Mali), n’est pas allée à l’école durant les longues fermetures dues à la COVID-19.

 

Bien que l’enseignement primaire soit obligatoire au Mali, près d’un tiers des enfants en âge d’aller à l’école ne sont pas scolarisés, et le taux d’abandon avant la fin du cycle primaire atteint environ la même proportion. Ce problème est aggravé par une insécurité persistante qui entraîne la fermeture des établissements scolaires dans certaines régions, due à la pauvreté et à des pratiques traditionnelles qui font obstacle à l’éducation des filles. D’après les données nationales, 15 % des filles maliennes sont mariées avant leurs 15 ans, et 53 % avant leurs 18 ans.

 

C’est dans ce contexte que 1 533 établissements d’enseignement ont dû fermer leurs portes dans le pays pour lutter contre la pandémie de COVID-19, entraînant la déscolarisation de 403 200 enfants, selon les estimations, et exposant les filles et les jeunes femmes au risque de mariage précoce et de grossesse non désirée. « Dans ma région, les filles qui ne vont pas à l’école se marient très tôt, indique Fatouma. Si nous fermons à nouveau les écoles, le nombre de mariages précoces augmentera. »

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Les filles au premier plan

Pour garantir la continuité de l’éducation des filles et leur retour à l’école en toute sécurité, l’UNESCO a lancé la campagne Les filles au premier plan, qui a touché environ 400 millions de personnes dans le monde.

 

Cette campagne a été mise en œuvre avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International, dans le cadre d’un projet multipays qui a concerné quatre pays d’Afrique subsaharienne : le Bénin, le Mali, le Nigéria et le Sénégal. L’accent a été mis sur les régions présentant les taux d’abandon les plus élevés et les taux de rescolarisation les plus faibles chez les filles.

 

Au Mali, les activités ont porté sur la sensibilisation des filles, des membres des communautés, des chefs de village et des parents à l’importance de l’éducation. Elles ont reçu le soutien du Ministère de l’éducation et de l’Académie d’enseignement de Tombouctou, ainsi que de partenaires tels que l’Union des radios et télévisions libres du Mali. Les messages et matériels de la campagne ont été traduits dans les trois langues nationales (fulfulde, songhai et tamasheq) afin de faciliter et favoriser la mobilisation à l’échelle locale.

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Plaidoyer en faveur de l’éducation des filles

« Disons NON à la fermeture des écoles, pour quelque cause que ce soit, déclare Fatouma. L’éducation des filles est une priorité. » La participation de la jeune fille à une séance de sensibilisation l’a convaincue que «l’éducation doit figurer au premier plan des préoccupations des parents, en particulier pour nous, les filles qui vivent dans des régions où les traditions et les coutumes nous font abandonner l’école pour nous marier».

 

Grâce à l’organisation de 24 séances de sensibilisation et au déploiement de 30 caravanes d’information dans 12 villages, à la diffusion de 630 émissions par des radios communautaires et à la distribution de matériels à 17 écoles, plus de 550 000 personnes ont été touchées et sensibilisées à l’importance de l’éducation des filles dans 7 communes, y compris celle de Tombouctou, dont Fatouma est originaire.

 

« Les messages de sensibilisation adressés aux communautés ont aidé mes camarades filles à rester à l’école. »

 

Sa cousine Rokiatou, par exemple, avait abandonné ses études après l’apparition de la menstruation, mais grâce aux messages diffusés par la station de radio Jamana, elle a pu reprendre le chemin de l’école et achève actuellement sa sixième année de scolarité.

 

Les activités mises en œuvre ont eu un impact qui a largement dépassé les communautés visées et le public ciblé, à savoir les filles. Elles ont notamment aidé le frère aîné de Fatouma à retourner à l’école après deux d’absence, pendant lesquels il a travaillé comme maçon. Il a obtenu une moyenne de 13 sur 20 à son premier semestre de reprise.

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UNESCO Bamako - Impact durable et effet multiplicateur

Les activités mises en œuvre ont un effet multiplicateur au-delà de la fin du projet : plus de villages se mobilisent, les radios continuent de diffuser les messages sur l’éducation des filles, et de nouveaux matériels sont traduits.

 

À la suite du projet, l’Académie d’enseignement de Tombouctou a reçu un nombre croissant de demandes concernant des activités et des matériels de sensibilisation supplémentaires sur l’éducation des filles de la part de centres pédagogiques et d’écoles qui ne faisaient pas partie de la zone couverte par le projet. Les responsables communautaires ont également été mobilisés et se sont unanimement engagés pour favoriser la continuité de l’éducation des filles et leur retour à l’école par le biais de l’information et de la sensibilisation.

 

Une quinzaine d’établissements auraient rouvert à la suite des séances de sensibilisation organisées dans le cadre du projet, d’après le Directeur de l’Académie d’enseignement de Tombouctou pour l’année scolaire 2021-2022. Les matériels du projet sont également communiqués aux centres d’animation pédagogiques de six communes pour servir de modèle à des activités de sensibilisation des jeunes.

 

Fatouma défend l’éducation des filles et attend la suite avec impatience : « Je voudrais continuer mes études et devenir médecin pour sauver des enfants et aider les filles victimes de violence et de mariages forcés. J’encourage toutes les filles à poursuivre leur scolarité, car l’avenir de la région de Tombouctou en dépend. »

 

Davantage d’activités de plaidoyer et de sensibilisation doivent être mises en œuvre pour s’assurer que les filles continuent d’apprendre, et pour préserver les progrès accomplis en matière d’égalité des genres dans et par l’éducation. Ce travail a contribué au Programme phare pour le genre de la Coalition mondiale pour l’éducation et a été financé par Wallonie-Bruxelles International.

 

Source: article paru le 30 mai 2022 sur le site de l'UNESCO 

 

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La délégation belge à la NAFSA 2022 à Denver

L’édition 2022 de ce rendez-vous incontournable a regroupé plus de 6000 délégués académiques désireux de renforcer leurs partenariats internationaux. De nombreux pays et institutions faitières de l’enseignement supérieur y étaient représentés dans le centre de conférence, tels que Campus France, le DAAD ou encore la Fulbright. Via son stand, WB Campus a pu promouvoir l’offre d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

 

La délégation belge francophone ayant participé à cette action de promotion était composée de 15 représentants issus de quatre universités et de trois hautes écoles de la FWB ainsi que d’un représentant de Wallonie-Bruxelles Campus. Lors de cette semaine, ceux-ci ont pu rencontrer des partenaires existants et signer de nouveaux accords avec des établissements d’enseignement supérieur du monde entier.

 

Enfin, grâce au soutien de WBI et en collaboration avec nos collègues flamands et la Fulbright, une réception de networking belge a été organisée. En tant que représentante de la Fédération Wallonie-Bruxelles, la Directrice-Présidente de la Haute École Léonard De Vinci, Madame Valérie Bieva, a tenu un discours sur la diversité du paysage de l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles et l’importance donnée par les établissements à l’internationalisation.

 

Vers le site de la NAFSA.

L’édition 2022 de ce rendez-vous incontournable a regroupé plus de 6000 délégués académiques désireux de renforcer leurs partenariats internationaux. De nombreux pays et institutions faitières de l’enseignement supérieur y étaient représentés dans le centre de conférence, tels que Campus France, le DAAD ou encore la Fulbright. Via son stand, WB Campus a pu promouvoir l’offre d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

 

La délégation belge francophone ayant participé à cette action de promotion était composée de 15 représentants issus de quatre universités et de trois hautes écoles de la FWB ainsi que d’un représentant de Wallonie-Bruxelles Campus. Lors de cette semaine, ceux-ci ont pu rencontrer des partenaires existants et signer de nouveaux accords avec des établissements d’enseignement supérieur du monde entier.

 

Enfin, grâce au soutien de WBI et en collaboration avec nos collègues flamands et la Fulbright, une réception de networking belge a été organisée. En tant que représentante de la Fédération Wallonie-Bruxelles, la Directrice-Présidente de la Haute École Léonard De Vinci, Madame Valérie Bieva, a tenu un discours sur la diversité du paysage de l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles et l’importance donnée par les établissements à l’internationalisation.

 

Vers le site de la NAFSA.

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Jean-Pierre Van Oudenhove avec l'innovation proposée par GenieVision © Christian Du Brulle

Cet électron libre de l’entreprise AGC (en réalité, une jeune unité du groupe), a développé un système de visualisation des travaux en trois dimensions qui tient dans une tablette connectée. Voici quelques jours, les pères de ce projet étaient à la foire industrielle d’Hanovre. A l’invitation de Wallonie-Bruxelles International et de l’AWEX, l’Agence wallonne à l’exportation, ils y présentaient leur nouvel outil.

 

« Nous amenons enfin et de manière accessible la 3D sur les chantiers de construction ou de rénovation », explique Jean-Pierre Van Oudenhove, une des quatre personnes à l’origine de ce projet désormais commercialisé. « Jusqu’à présent, la 3D dans le domaine de la construction était plutôt quelque chose de bling-bling, voire une sorte d’outil de visualisation globale d’un projet. Ce que nous proposons est un système de terrain, qui est utile dès la conception du projet jusqu’au contrôle des différentes phases du chantier. »

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Un « gamer » à la rescousse

Non seulement ce système permet de préparer un chantier de construction ou de rénovation d’un bâtiment, mais il permet aussi de contrôler la bonne mise en place des équipements qui doivent y être installés (câbles, tuyauterie, etc.). Le tout grâce à la réalité augmentée. Pour rendre l’outil attractif et simple d’usage, les initiateurs du projet n’ont pas hésité à inclure un « gamer » dans le développement de leur système. Et cela se remarque. L’interface est simple d’usage et présente une ergonomie bien pensée.

 

« Dans le cadre d’une rénovation », reprend Jean-Pierre Van Oudenhove, « GenieVision est d’abord nourri par des prises de vue du bâtiment dénudé réalisées au moyen de la caméra LiDAR de la tablette. Cela donne un modèle en 3D de la structure avec une précision de géolocalisation de l’ordre de 3 centimètres. Certes, c’est un peu moins précis qu’un relevé millimétrique fait par un géomètre, mais cette capture 3D du bâtiment est immédiate, donc moins coûteuse, et est suffisante pour un suivi des travaux. »

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Outil de suivi et de reporting

« Sur cette matrice qui peut être partagée dans un « cloud », nous ajoutons, en réalité augmentée, les équipements à installer. Ceux-ci sont directement positionnés dans le bâtiment. En cours de chantier, quand on pointe la tablette et sa caméra vers une partie du bâtiment, cela permet de suivre l’évolution des travaux et le placement correct des équipements. L’outil géolocalise chaque image. Il permet, en un coup d’œil, de détecter d’éventuels problèmes, d’annoter les images et de les faire remonter en direct vers le bureau. C’est donc aussi un bel outil de reporting ».

 

Mieux encore, en détectant tout de suite un problème, cela permet de réagir sans attendre. « Dans un système classique de suivi de chantier, avec des plans en 2D, la détection de ce type de problèmes peut parfois mener à de longs et coûteux travaux de rectification », précise le bioingénieur, spécialisé en géomatique.

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Les problèmes structurels détectés rapidement

A Hanovre, la démonstration est convaincante. Les promoteurs de GenieVision n’ont détecté aucun souci avec la structure de la halle 2 de la grande foire industrielle allemande, où était installé le pavillon commun à WBI et à l’Awex.

 

« Par contre, lors de la présentation de notre système à des clients potentiels, nous avons pu, quasi immédiatement, identifier chez certains d’entre eux quelques soucis structurels », confie Jean-Pierre Van Oudenhove. « Dans un parking à plusieurs étages, nous avons ainsi pu constater que d’un étage à l’autre, les colonnes soutenant les niveaux n’étaient pas toujours situées les unes sur les autres… »

 

L’utilisation de l’outil BIM (Building Information Management) dans le secteur industriel peut également s’avérer intéressante. « Dans les usines, les machines sont régulièrement adaptées, améliorées, changées », indique encore le bioingénieur spécialisé en géomatique. « Le démontage de certaines d’entre elles et l’installation de nouveaux équipements peuvent poser des problèmes en ce qui concerne l’espace disponible. Avant même de commencer les travaux, et même au niveau de la phase de conceptualisation des changements, ce genre de situation peut facilement être détecté », assure-t-il.

 

Abordable ce système? Assurément. La licence mensuelle se chiffre à quelques centaines d’euros. Et le logiciel n’est pas simplement livré aux clients intéressés. Une formation et un accompagnement de terrain sont également proposés par les partenaires du projet. Histoire de détecter tout de suite d’éventuels problèmes immobiliers…

 

Sources Daily Science. Article de Christian Du Brulle.

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Cet électron libre de l’entreprise AGC (en réalité, une jeune unité du groupe), a développé un système de visualisation des travaux en trois dimensions qui tient dans une tablette connectée. Voici quelques jours, les pères de ce projet étaient à la foire industrielle d’Hanovre. A l’invitation de Wallonie-Bruxelles International et de l’AWEX, l’Agence wallonne à l’exportation, ils y présentaient leur nouvel outil.

 

« Nous amenons enfin et de manière accessible la 3D sur les chantiers de construction ou de rénovation », explique Jean-Pierre Van Oudenhove, une des quatre personnes à l’origine de ce projet désormais commercialisé. « Jusqu’à présent, la 3D dans le domaine de la construction était plutôt quelque chose de bling-bling, voire une sorte d’outil de visualisation globale d’un projet. Ce que nous proposons est un système de terrain, qui est utile dès la conception du projet jusqu’au contrôle des différentes phases du chantier. »

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Un « gamer » à la rescousse

Non seulement ce système permet de préparer un chantier de construction ou de rénovation d’un bâtiment, mais il permet aussi de contrôler la bonne mise en place des équipements qui doivent y être installés (câbles, tuyauterie, etc.). Le tout grâce à la réalité augmentée. Pour rendre l’outil attractif et simple d’usage, les initiateurs du projet n’ont pas hésité à inclure un « gamer » dans le développement de leur système. Et cela se remarque. L’interface est simple d’usage et présente une ergonomie bien pensée.

 

« Dans le cadre d’une rénovation », reprend Jean-Pierre Van Oudenhove, « GenieVision est d’abord nourri par des prises de vue du bâtiment dénudé réalisées au moyen de la caméra LiDAR de la tablette. Cela donne un modèle en 3D de la structure avec une précision de géolocalisation de l’ordre de 3 centimètres. Certes, c’est un peu moins précis qu’un relevé millimétrique fait par un géomètre, mais cette capture 3D du bâtiment est immédiate, donc moins coûteuse, et est suffisante pour un suivi des travaux. »

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Outil de suivi et de reporting

« Sur cette matrice qui peut être partagée dans un « cloud », nous ajoutons, en réalité augmentée, les équipements à installer. Ceux-ci sont directement positionnés dans le bâtiment. En cours de chantier, quand on pointe la tablette et sa caméra vers une partie du bâtiment, cela permet de suivre l’évolution des travaux et le placement correct des équipements. L’outil géolocalise chaque image. Il permet, en un coup d’œil, de détecter d’éventuels problèmes, d’annoter les images et de les faire remonter en direct vers le bureau. C’est donc aussi un bel outil de reporting ».

 

Mieux encore, en détectant tout de suite un problème, cela permet de réagir sans attendre. « Dans un système classique de suivi de chantier, avec des plans en 2D, la détection de ce type de problèmes peut parfois mener à de longs et coûteux travaux de rectification », précise le bioingénieur, spécialisé en géomatique.

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Les problèmes structurels détectés rapidement

A Hanovre, la démonstration est convaincante. Les promoteurs de GenieVision n’ont détecté aucun souci avec la structure de la halle 2 de la grande foire industrielle allemande, où était installé le pavillon commun à WBI et à l’Awex.

 

« Par contre, lors de la présentation de notre système à des clients potentiels, nous avons pu, quasi immédiatement, identifier chez certains d’entre eux quelques soucis structurels », confie Jean-Pierre Van Oudenhove. « Dans un parking à plusieurs étages, nous avons ainsi pu constater que d’un étage à l’autre, les colonnes soutenant les niveaux n’étaient pas toujours situées les unes sur les autres… »

 

L’utilisation de l’outil BIM (Building Information Management) dans le secteur industriel peut également s’avérer intéressante. « Dans les usines, les machines sont régulièrement adaptées, améliorées, changées », indique encore le bioingénieur spécialisé en géomatique. « Le démontage de certaines d’entre elles et l’installation de nouveaux équipements peuvent poser des problèmes en ce qui concerne l’espace disponible. Avant même de commencer les travaux, et même au niveau de la phase de conceptualisation des changements, ce genre de situation peut facilement être détecté », assure-t-il.

 

Abordable ce système? Assurément. La licence mensuelle se chiffre à quelques centaines d’euros. Et le logiciel n’est pas simplement livré aux clients intéressés. Une formation et un accompagnement de terrain sont également proposés par les partenaires du projet. Histoire de détecter tout de suite d’éventuels problèmes immobiliers…

 

Sources Daily Science. Article de Christian Du Brulle.

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