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La délégation belge à la NAFSA 2022 à Denver

L’édition 2022 de ce rendez-vous incontournable a regroupé plus de 6000 délégués académiques désireux de renforcer leurs partenariats internationaux. De nombreux pays et institutions faitières de l’enseignement supérieur y étaient représentés dans le centre de conférence, tels que Campus France, le DAAD ou encore la Fulbright. Via son stand, WB Campus a pu promouvoir l’offre d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

 

La délégation belge francophone ayant participé à cette action de promotion était composée de 15 représentants issus de quatre universités et de trois hautes écoles de la FWB ainsi que d’un représentant de Wallonie-Bruxelles Campus. Lors de cette semaine, ceux-ci ont pu rencontrer des partenaires existants et signer de nouveaux accords avec des établissements d’enseignement supérieur du monde entier.

 

Enfin, grâce au soutien de WBI et en collaboration avec nos collègues flamands et la Fulbright, une réception de networking belge a été organisée. En tant que représentante de la Fédération Wallonie-Bruxelles, la Directrice-Présidente de la Haute École Léonard De Vinci, Madame Valérie Bieva, a tenu un discours sur la diversité du paysage de l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles et l’importance donnée par les établissements à l’internationalisation.

 

Vers le site de la NAFSA.

L’édition 2022 de ce rendez-vous incontournable a regroupé plus de 6000 délégués académiques désireux de renforcer leurs partenariats internationaux. De nombreux pays et institutions faitières de l’enseignement supérieur y étaient représentés dans le centre de conférence, tels que Campus France, le DAAD ou encore la Fulbright. Via son stand, WB Campus a pu promouvoir l’offre d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

 

La délégation belge francophone ayant participé à cette action de promotion était composée de 15 représentants issus de quatre universités et de trois hautes écoles de la FWB ainsi que d’un représentant de Wallonie-Bruxelles Campus. Lors de cette semaine, ceux-ci ont pu rencontrer des partenaires existants et signer de nouveaux accords avec des établissements d’enseignement supérieur du monde entier.

 

Enfin, grâce au soutien de WBI et en collaboration avec nos collègues flamands et la Fulbright, une réception de networking belge a été organisée. En tant que représentante de la Fédération Wallonie-Bruxelles, la Directrice-Présidente de la Haute École Léonard De Vinci, Madame Valérie Bieva, a tenu un discours sur la diversité du paysage de l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles et l’importance donnée par les établissements à l’internationalisation.

 

Vers le site de la NAFSA.

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Jean-Pierre Van Oudenhove avec l'innovation proposée par GenieVision © Christian Du Brulle

Cet électron libre de l’entreprise AGC (en réalité, une jeune unité du groupe), a développé un système de visualisation des travaux en trois dimensions qui tient dans une tablette connectée. Voici quelques jours, les pères de ce projet étaient à la foire industrielle d’Hanovre. A l’invitation de Wallonie-Bruxelles International et de l’AWEX, l’Agence wallonne à l’exportation, ils y présentaient leur nouvel outil.

 

« Nous amenons enfin et de manière accessible la 3D sur les chantiers de construction ou de rénovation », explique Jean-Pierre Van Oudenhove, une des quatre personnes à l’origine de ce projet désormais commercialisé. « Jusqu’à présent, la 3D dans le domaine de la construction était plutôt quelque chose de bling-bling, voire une sorte d’outil de visualisation globale d’un projet. Ce que nous proposons est un système de terrain, qui est utile dès la conception du projet jusqu’au contrôle des différentes phases du chantier. »

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Un « gamer » à la rescousse

Non seulement ce système permet de préparer un chantier de construction ou de rénovation d’un bâtiment, mais il permet aussi de contrôler la bonne mise en place des équipements qui doivent y être installés (câbles, tuyauterie, etc.). Le tout grâce à la réalité augmentée. Pour rendre l’outil attractif et simple d’usage, les initiateurs du projet n’ont pas hésité à inclure un « gamer » dans le développement de leur système. Et cela se remarque. L’interface est simple d’usage et présente une ergonomie bien pensée.

 

« Dans le cadre d’une rénovation », reprend Jean-Pierre Van Oudenhove, « GenieVision est d’abord nourri par des prises de vue du bâtiment dénudé réalisées au moyen de la caméra LiDAR de la tablette. Cela donne un modèle en 3D de la structure avec une précision de géolocalisation de l’ordre de 3 centimètres. Certes, c’est un peu moins précis qu’un relevé millimétrique fait par un géomètre, mais cette capture 3D du bâtiment est immédiate, donc moins coûteuse, et est suffisante pour un suivi des travaux. »

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Outil de suivi et de reporting

« Sur cette matrice qui peut être partagée dans un « cloud », nous ajoutons, en réalité augmentée, les équipements à installer. Ceux-ci sont directement positionnés dans le bâtiment. En cours de chantier, quand on pointe la tablette et sa caméra vers une partie du bâtiment, cela permet de suivre l’évolution des travaux et le placement correct des équipements. L’outil géolocalise chaque image. Il permet, en un coup d’œil, de détecter d’éventuels problèmes, d’annoter les images et de les faire remonter en direct vers le bureau. C’est donc aussi un bel outil de reporting ».

 

Mieux encore, en détectant tout de suite un problème, cela permet de réagir sans attendre. « Dans un système classique de suivi de chantier, avec des plans en 2D, la détection de ce type de problèmes peut parfois mener à de longs et coûteux travaux de rectification », précise le bioingénieur, spécialisé en géomatique.

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Les problèmes structurels détectés rapidement

A Hanovre, la démonstration est convaincante. Les promoteurs de GenieVision n’ont détecté aucun souci avec la structure de la halle 2 de la grande foire industrielle allemande, où était installé le pavillon commun à WBI et à l’Awex.

 

« Par contre, lors de la présentation de notre système à des clients potentiels, nous avons pu, quasi immédiatement, identifier chez certains d’entre eux quelques soucis structurels », confie Jean-Pierre Van Oudenhove. « Dans un parking à plusieurs étages, nous avons ainsi pu constater que d’un étage à l’autre, les colonnes soutenant les niveaux n’étaient pas toujours situées les unes sur les autres… »

 

L’utilisation de l’outil BIM (Building Information Management) dans le secteur industriel peut également s’avérer intéressante. « Dans les usines, les machines sont régulièrement adaptées, améliorées, changées », indique encore le bioingénieur spécialisé en géomatique. « Le démontage de certaines d’entre elles et l’installation de nouveaux équipements peuvent poser des problèmes en ce qui concerne l’espace disponible. Avant même de commencer les travaux, et même au niveau de la phase de conceptualisation des changements, ce genre de situation peut facilement être détecté », assure-t-il.

 

Abordable ce système? Assurément. La licence mensuelle se chiffre à quelques centaines d’euros. Et le logiciel n’est pas simplement livré aux clients intéressés. Une formation et un accompagnement de terrain sont également proposés par les partenaires du projet. Histoire de détecter tout de suite d’éventuels problèmes immobiliers…

 

Sources Daily Science. Article de Christian Du Brulle.

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Cet électron libre de l’entreprise AGC (en réalité, une jeune unité du groupe), a développé un système de visualisation des travaux en trois dimensions qui tient dans une tablette connectée. Voici quelques jours, les pères de ce projet étaient à la foire industrielle d’Hanovre. A l’invitation de Wallonie-Bruxelles International et de l’AWEX, l’Agence wallonne à l’exportation, ils y présentaient leur nouvel outil.

 

« Nous amenons enfin et de manière accessible la 3D sur les chantiers de construction ou de rénovation », explique Jean-Pierre Van Oudenhove, une des quatre personnes à l’origine de ce projet désormais commercialisé. « Jusqu’à présent, la 3D dans le domaine de la construction était plutôt quelque chose de bling-bling, voire une sorte d’outil de visualisation globale d’un projet. Ce que nous proposons est un système de terrain, qui est utile dès la conception du projet jusqu’au contrôle des différentes phases du chantier. »

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Un « gamer » à la rescousse

Non seulement ce système permet de préparer un chantier de construction ou de rénovation d’un bâtiment, mais il permet aussi de contrôler la bonne mise en place des équipements qui doivent y être installés (câbles, tuyauterie, etc.). Le tout grâce à la réalité augmentée. Pour rendre l’outil attractif et simple d’usage, les initiateurs du projet n’ont pas hésité à inclure un « gamer » dans le développement de leur système. Et cela se remarque. L’interface est simple d’usage et présente une ergonomie bien pensée.

 

« Dans le cadre d’une rénovation », reprend Jean-Pierre Van Oudenhove, « GenieVision est d’abord nourri par des prises de vue du bâtiment dénudé réalisées au moyen de la caméra LiDAR de la tablette. Cela donne un modèle en 3D de la structure avec une précision de géolocalisation de l’ordre de 3 centimètres. Certes, c’est un peu moins précis qu’un relevé millimétrique fait par un géomètre, mais cette capture 3D du bâtiment est immédiate, donc moins coûteuse, et est suffisante pour un suivi des travaux. »

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Outil de suivi et de reporting

« Sur cette matrice qui peut être partagée dans un « cloud », nous ajoutons, en réalité augmentée, les équipements à installer. Ceux-ci sont directement positionnés dans le bâtiment. En cours de chantier, quand on pointe la tablette et sa caméra vers une partie du bâtiment, cela permet de suivre l’évolution des travaux et le placement correct des équipements. L’outil géolocalise chaque image. Il permet, en un coup d’œil, de détecter d’éventuels problèmes, d’annoter les images et de les faire remonter en direct vers le bureau. C’est donc aussi un bel outil de reporting ».

 

Mieux encore, en détectant tout de suite un problème, cela permet de réagir sans attendre. « Dans un système classique de suivi de chantier, avec des plans en 2D, la détection de ce type de problèmes peut parfois mener à de longs et coûteux travaux de rectification », précise le bioingénieur, spécialisé en géomatique.

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Les problèmes structurels détectés rapidement

A Hanovre, la démonstration est convaincante. Les promoteurs de GenieVision n’ont détecté aucun souci avec la structure de la halle 2 de la grande foire industrielle allemande, où était installé le pavillon commun à WBI et à l’Awex.

 

« Par contre, lors de la présentation de notre système à des clients potentiels, nous avons pu, quasi immédiatement, identifier chez certains d’entre eux quelques soucis structurels », confie Jean-Pierre Van Oudenhove. « Dans un parking à plusieurs étages, nous avons ainsi pu constater que d’un étage à l’autre, les colonnes soutenant les niveaux n’étaient pas toujours situées les unes sur les autres… »

 

L’utilisation de l’outil BIM (Building Information Management) dans le secteur industriel peut également s’avérer intéressante. « Dans les usines, les machines sont régulièrement adaptées, améliorées, changées », indique encore le bioingénieur spécialisé en géomatique. « Le démontage de certaines d’entre elles et l’installation de nouveaux équipements peuvent poser des problèmes en ce qui concerne l’espace disponible. Avant même de commencer les travaux, et même au niveau de la phase de conceptualisation des changements, ce genre de situation peut facilement être détecté », assure-t-il.

 

Abordable ce système? Assurément. La licence mensuelle se chiffre à quelques centaines d’euros. Et le logiciel n’est pas simplement livré aux clients intéressés. Une formation et un accompagnement de terrain sont également proposés par les partenaires du projet. Histoire de détecter tout de suite d’éventuels problèmes immobiliers…

 

Sources Daily Science. Article de Christian Du Brulle.

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Rencontre entre Elio Di Rupo, Ministre-Président de Wallonie, et Mark Rutte, Premier Ministre des Pays-Bas © Cabinet du Ministre-Président Elio Di Rupo

À l’occasion d’une rencontre à La Haye, le Ministre-Président de Wallonie, Elio Di Rupo, et le Premier Ministre des Pays-Bas, Mark Rutte, se sont accordés sur une feuille de route pour les deux années à venir. Avec cette feuille de route, les gouvernements wallon et néerlandais entendent renforcer la coopération au-delà des zones transfrontalières dans des domaines aussi variés que l’agriculture, la santé publique, l’emploi, la recherche et l’innovation, l’environnement, l'aménagement du territoire, la mobilité.

 

Au cours des deux prochaines années, la Wallonie et les Pays-Bas s’engagent, notamment, à mettre en place une structure d’échanges qui se réunira une à deux fois par an pour aborder les questions frontalières liées à l’aménagement du territoire et à l’environnement ou encore, organiser un partage des enseignements à la suite des importantes inondations de juillet 2021. La Wallonie et les Pays-Bas entendent également continuer à encourager, à l’instar de ceux développés ces dernières années, les partenariats visant à améliorer les connaissances en matière de santé, de recherche et d’innovation

 

Cette rencontre a également été l’occasion pour les deux Chefs de Gouvernement d’aborder les grands dossiers et enjeux européens. Au premier rang desquels la guerre en Ukraine et les urgences qu’elle impose à l’Union européenne en termes de réduction de la dépendance énergétique à l’égard des énergies fossiles russes et plus largement d’accélération de la transition énergétique, mais aussi le renforcement de la défense européenne dans le cadre de l’UE et de l’OTAN. Les deux Chefs de Gouvernement ont également partagé leur point de vue sur des règles de gouvernance économique de l’Union européenne et ont parlé de la politique commerciale de l’UE.

 

Pour le Ministre-Président de Wallonie, Elio Di Rupo : « La crise de la COVID-19 a encore souligné à quel point la coopération transfrontalière est essentielle. La feuille de route Wallonie-Pays-Bas est une opportunité à la fois pour le développement des échanges bilatéraux mais aussi pour l’amélioration de la qualité de vie dans les bassins et régions transfrontalières ! »

 

-> Retrouvez la feuille de route

 

CONTACT

Sylvain Jonckheere | Porte-parole d’Elio DI RUPO
0495/74.97.40 – sylvain.jonckheere@gov.wallonie.be

À l’occasion d’une rencontre à La Haye, le Ministre-Président de Wallonie, Elio Di Rupo, et le Premier Ministre des Pays-Bas, Mark Rutte, se sont accordés sur une feuille de route pour les deux années à venir. Avec cette feuille de route, les gouvernements wallon et néerlandais entendent renforcer la coopération au-delà des zones transfrontalières dans des domaines aussi variés que l’agriculture, la santé publique, l’emploi, la recherche et l’innovation, l’environnement, l'aménagement du territoire, la mobilité.

 

Au cours des deux prochaines années, la Wallonie et les Pays-Bas s’engagent, notamment, à mettre en place une structure d’échanges qui se réunira une à deux fois par an pour aborder les questions frontalières liées à l’aménagement du territoire et à l’environnement ou encore, organiser un partage des enseignements à la suite des importantes inondations de juillet 2021. La Wallonie et les Pays-Bas entendent également continuer à encourager, à l’instar de ceux développés ces dernières années, les partenariats visant à améliorer les connaissances en matière de santé, de recherche et d’innovation

 

Cette rencontre a également été l’occasion pour les deux Chefs de Gouvernement d’aborder les grands dossiers et enjeux européens. Au premier rang desquels la guerre en Ukraine et les urgences qu’elle impose à l’Union européenne en termes de réduction de la dépendance énergétique à l’égard des énergies fossiles russes et plus largement d’accélération de la transition énergétique, mais aussi le renforcement de la défense européenne dans le cadre de l’UE et de l’OTAN. Les deux Chefs de Gouvernement ont également partagé leur point de vue sur des règles de gouvernance économique de l’Union européenne et ont parlé de la politique commerciale de l’UE.

 

Pour le Ministre-Président de Wallonie, Elio Di Rupo : « La crise de la COVID-19 a encore souligné à quel point la coopération transfrontalière est essentielle. La feuille de route Wallonie-Pays-Bas est une opportunité à la fois pour le développement des échanges bilatéraux mais aussi pour l’amélioration de la qualité de vie dans les bassins et régions transfrontalières ! »

 

-> Retrouvez la feuille de route

 

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Sylvain Jonckheere | Porte-parole d’Elio DI RUPO
0495/74.97.40 – sylvain.jonckheere@gov.wallonie.be

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(c) Fotolia
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Missions et responsabilités

  • Conseil, information et soutien pédagogique aux porteurs de projets tout au long du processus de conception et de réalisation des projets, y compris l’organisation de réunions d’information 
  • Suivi administratif des projets 
  • Établissement et développement de contacts avec les différents milieux de la jeunesse pour assurer une large diffusion des possibilités offertes par le programme 
  • Contribution au développement d’outils et de méthodes visant à améliorer la qualité des projets de mobilité et/ou de solidarité dans le cadre du  programme Erasmus+
  • Analyse qualitative des candidatures et suivi des projets (retours aux candidats)
  • Analyse qualitative et financière des rapports finaux
  • Représentation du BIJ lors de réunions des Agences nationales  en charge du  programme Erasmus+  et/ou séminaires en lien avec le programme
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Activités correspondantes

Volet information

  • Renseignements généraux  et techniques sur le programmes Erasmus+: par téléphone, e-mail ou en rendez-vous 
  • Organisation de séances d’information sur le programme et/ou actions spécifiques du programme 
  • Prises de contact personnalisées avec des structures pouvant jouer le rôle de relais auprès d’autres associations ou groupes informels de jeunes 
  • Site, réseaux sociaux et publications du BIJ : collecte de témoignages et d’exemples de bonnes pratiques, rédaction d’articles et de posts pour les réseaux sociaux…

Volet soutien

  • Aide aux porteurs de projets dans l’élaboration du projet et de la demande de subvention en lien avec les critères des programmes 
  • Suivi individualisé des nouveaux porteurs de projets : informations, formation, soutien continu

Volet suivi des projets

  • Analyse des candidatures et des rapports finaux/ suivi administratif des projets:
    • Analyse qualitative et budgétaire des projets, en utilisant les outils informatiques ad hoc
    • Présentation des projets en comité d’évaluation
    • Feedback écrit et oral aux bénéficiaires sur les décisions de sélection
    • Analyse qualitative et budgétaire des rapports finaux,  en utilisant les outils informatiques ad hoc
  • Visites de contrôle des projets en cours et formalisation des conclusions dans un rapport écrit 
  • Plan de travail, rapports et bilans : Contribution au plan de travail et rapports annuels

Volet formation

  • Organisation de séminaires et/ou formations, le cas échéant.

Divers

  • Participation aux réunions et formations à destination du personnel des Agences nationales et autres réunions/séminaires européens ou internationaux en rapport avec les programmes
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​Sélection et Candidature 

La sélection se fera au moyen de deux épreuves:

  • Epreuve écrite 

Cette épreuve sera destinée à évaluer les compétences des candidats.

Les candidats ayant obtenu les 10 meilleurs résultats à l’épreuve écrite (60% des points minimum) sont invités à l’épreuve finale.

  • Epreuve finale 

Il s’agira d’une épreuve orale sous forme d’un entretien visant à évaluer le profil du candidat en accord avec les compétences, la motivation et les affinités avec le travail sur le terrain.

Les épreuves se déroulent à Bruxelles.

Dossier de candidature​

 

Les candidatures peuvent être envoyées par courriel recrutement@wbi.be ou par courrier postal pour le  15 juin 2022 à minuit (cachet de la poste faisant foi) à l’attention de :

 

Madame Pascale Delcomminette

Administratrice générale de WBI

Place Sainctelette, 2

B-1080 Bruxelles

 

Le dossier de candidature comprend :

  • une copie du/des diplôme(s) [accompagnée(s) de l’équivalence dans le cas de diplôme(s) non belge(s)] 
  • une lettre de motivation 
  • un curriculum vitae détaillé

Un dossier incomplet ou envoyé hors délai n’est pas pris en compte.

 

Retrouvez l'annonce détaillée dans le document lié en bas de page.

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Missions et responsabilités

  • Conseil, information et soutien pédagogique aux porteurs de projets tout au long du processus de conception et de réalisation des projets, y compris l’organisation de réunions d’information 
  • Suivi administratif des projets 
  • Établissement et développement de contacts avec les différents milieux de la jeunesse pour assurer une large diffusion des possibilités offertes par le programme 
  • Contribution au développement d’outils et de méthodes visant à améliorer la qualité des projets de mobilité et/ou de solidarité dans le cadre du  programme Erasmus+
  • Analyse qualitative des candidatures et suivi des projets (retours aux candidats)
  • Analyse qualitative et financière des rapports finaux
  • Représentation du BIJ lors de réunions des Agences nationales  en charge du  programme Erasmus+  et/ou séminaires en lien avec le programme
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Activités correspondantes

Volet information

  • Renseignements généraux  et techniques sur le programmes Erasmus+: par téléphone, e-mail ou en rendez-vous 
  • Organisation de séances d’information sur le programme et/ou actions spécifiques du programme 
  • Prises de contact personnalisées avec des structures pouvant jouer le rôle de relais auprès d’autres associations ou groupes informels de jeunes 
  • Site, réseaux sociaux et publications du BIJ : collecte de témoignages et d’exemples de bonnes pratiques, rédaction d’articles et de posts pour les réseaux sociaux…

Volet soutien

  • Aide aux porteurs de projets dans l’élaboration du projet et de la demande de subvention en lien avec les critères des programmes 
  • Suivi individualisé des nouveaux porteurs de projets : informations, formation, soutien continu

Volet suivi des projets

  • Analyse des candidatures et des rapports finaux/ suivi administratif des projets:
    • Analyse qualitative et budgétaire des projets, en utilisant les outils informatiques ad hoc
    • Présentation des projets en comité d’évaluation
    • Feedback écrit et oral aux bénéficiaires sur les décisions de sélection
    • Analyse qualitative et budgétaire des rapports finaux,  en utilisant les outils informatiques ad hoc
  • Visites de contrôle des projets en cours et formalisation des conclusions dans un rapport écrit 
  • Plan de travail, rapports et bilans : Contribution au plan de travail et rapports annuels

Volet formation

  • Organisation de séminaires et/ou formations, le cas échéant.

Divers

  • Participation aux réunions et formations à destination du personnel des Agences nationales et autres réunions/séminaires européens ou internationaux en rapport avec les programmes
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​Sélection et Candidature 

La sélection se fera au moyen de deux épreuves:

  • Epreuve écrite 

Cette épreuve sera destinée à évaluer les compétences des candidats.

Les candidats ayant obtenu les 10 meilleurs résultats à l’épreuve écrite (60% des points minimum) sont invités à l’épreuve finale.

  • Epreuve finale 

Il s’agira d’une épreuve orale sous forme d’un entretien visant à évaluer le profil du candidat en accord avec les compétences, la motivation et les affinités avec le travail sur le terrain.

Les épreuves se déroulent à Bruxelles.

Dossier de candidature​

 

Les candidatures peuvent être envoyées par courriel recrutement@wbi.be ou par courrier postal pour le  15 juin 2022 à minuit (cachet de la poste faisant foi) à l’attention de :

 

Madame Pascale Delcomminette

Administratrice générale de WBI

Place Sainctelette, 2

B-1080 Bruxelles

 

Le dossier de candidature comprend :

  • une copie du/des diplôme(s) [accompagnée(s) de l’équivalence dans le cas de diplôme(s) non belge(s)] 
  • une lettre de motivation 
  • un curriculum vitae détaillé

Un dossier incomplet ou envoyé hors délai n’est pas pris en compte.

 

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MIMA

Entrepreneur curieux, autodidacte et enthousiaste, il a embarqué dans ce projet son épouse Florence, mais aussi, Alice van den Abeele et Raphaël Cruyt de la galerie A.L.I.C.E.

 

Ensemble, ils ont fondé le MIMA, le « Millennium Iconoclast Museum of Art » consacré à l’art urbain et à la culture 2.0.  Situé à Molenbeek dans les anciennes brasseries Belle-Vue,  c’est le premier au monde à célébrer les arts urbains et cette culture qui jusqu’alors ne trouvait à s’exprimer que dans la rue et sur les réseaux.

 

Depuis son ouverture en 2016, le MIMA a questionné l’anthropomorphisme, la normalité, la désobéissance civile ou encore l’ombre et la lumière au cinéma… Autant d’expositions réjouissantes, portes d’entrées vers la culture 2.0 que les visiteurs, les plus jeunes surtout mais pas uniquement, poussent avec plaisir et curiosité, car elles leurs permettent de prendre du recul sur ce qui fait leur culture et que l’on déconsidère parfois. Populaire, ce n’est pas péjoratif, le MIMA invite ses visiteurs néophytes ou initiés, à la curiosité. « Un musée c’est une liberté de penser, une liberté de regard, c’est une aventure esthétique, philosophique et intellectuelle…  C’est un tel cadeau de pouvoir avoir une passion que si je peux la transmettre à quelqu’un d’autre, ce sera merveilleux ».

 

« Ce n’est pas parce que l’on est dans un petit pays qu’il faut voir petit » martèle Michel de Launoit, « Aujourd’hui avec les réseaux on a les outils pour faire le tour du monde : le MIMA en est la preuve ».

 

 

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Pour en savoir plus

http://www.mimamuseum.eu/

https://www.facebook.com/mimamuseumbrussels

https://twitter.com/mimamuseum

https://www.instagram.com/mimamuseum/

 

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Les Belges Histoires

WBI, en partenariat avec la RTBF, vous propose de découvrir les portraits de belges francophones qui font rayonner Wallonie-Bruxelles.

Découvrez la série de portraits : https://www.wbi.be/les-belges-histoires

 

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Nos aides et services

Wallonie-Bruxelles International vous aide à développer vos projets à l’international avec des formations, des coachings, des missions de prospections, des aides financières…

https://wbi.be/fr/service

 

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Entrepreneur curieux, autodidacte et enthousiaste, il a embarqué dans ce projet son épouse Florence, mais aussi, Alice van den Abeele et Raphaël Cruyt de la galerie A.L.I.C.E.

 

Ensemble, ils ont fondé le MIMA, le « Millennium Iconoclast Museum of Art » consacré à l’art urbain et à la culture 2.0.  Situé à Molenbeek dans les anciennes brasseries Belle-Vue,  c’est le premier au monde à célébrer les arts urbains et cette culture qui jusqu’alors ne trouvait à s’exprimer que dans la rue et sur les réseaux.

 

Depuis son ouverture en 2016, le MIMA a questionné l’anthropomorphisme, la normalité, la désobéissance civile ou encore l’ombre et la lumière au cinéma… Autant d’expositions réjouissantes, portes d’entrées vers la culture 2.0 que les visiteurs, les plus jeunes surtout mais pas uniquement, poussent avec plaisir et curiosité, car elles leurs permettent de prendre du recul sur ce qui fait leur culture et que l’on déconsidère parfois. Populaire, ce n’est pas péjoratif, le MIMA invite ses visiteurs néophytes ou initiés, à la curiosité. « Un musée c’est une liberté de penser, une liberté de regard, c’est une aventure esthétique, philosophique et intellectuelle…  C’est un tel cadeau de pouvoir avoir une passion que si je peux la transmettre à quelqu’un d’autre, ce sera merveilleux ».

 

« Ce n’est pas parce que l’on est dans un petit pays qu’il faut voir petit » martèle Michel de Launoit, « Aujourd’hui avec les réseaux on a les outils pour faire le tour du monde : le MIMA en est la preuve ».

 

 

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Pour en savoir plus

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https://www.facebook.com/mimamuseumbrussels

https://twitter.com/mimamuseum

https://www.instagram.com/mimamuseum/

 

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Les Belges Histoires

WBI, en partenariat avec la RTBF, vous propose de découvrir les portraits de belges francophones qui font rayonner Wallonie-Bruxelles.

Découvrez la série de portraits : https://www.wbi.be/les-belges-histoires

 

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Nos aides et services

Wallonie-Bruxelles International vous aide à développer vos projets à l’international avec des formations, des coachings, des missions de prospections, des aides financières…

https://wbi.be/fr/service

 

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(c) DGWB Chili

Ce colloque de formation continue est destiné aux professeurs et futurs professeurs de français langue étrangère (FLE) du Chili. Il est co-organisé par l’Institut français et la Délégation générale en collaboration avec des institutions proposant l’enseignement du français en secondaire ou supérieur (universités, lycées français…).

 

Pendant 3 samedis du mois de mai, les participants ont pu profiter de 11 cycles d’atelier en une, deux ou trois séances sur les apports de différentes disciplines à l’enseignement du FLE. Les sujets étaient variés, on pourra citer entre autres l’animation d’un atelier d’écriture en ligne, l’apport des sciences à l’enseignement du FLE, l’expression graphique ou encore l’enseignement à travers le cinéma.

 

Pour la Fédération Wallonie-Bruxelles, nous avons pu compter sur l’expertise d’Aliénor Debrocq, écrivaine belge de langue française, qui a présenté les différentes approches de l’atelier d’écriture dans le cas particulier d’une animation à distance ; ainsi que sur la participation d’Audrey Thonard, professeur de didactique du FLE à l’ULiège, qui a proposé un atelier sur les outils numériques pour enseigner mais également s’autoformer.

 

Au total, environ une soixantaine de personnes ont pu profiter de ces différents ateliers ainsi que des sessions parallèles proposés par des partenaires non institutionnels (librairie francophone, éditeurs FLE…). Une session plus informelle a également été organisée pour célébrer la clôture de cet événement au cours de laquelle un quizz a été organisé et des bandes dessinées belges francophones ont été offertes aux gagnants par la Délégation générale Wallonie-Bruxelles.
 

Ce colloque de formation continue est destiné aux professeurs et futurs professeurs de français langue étrangère (FLE) du Chili. Il est co-organisé par l’Institut français et la Délégation générale en collaboration avec des institutions proposant l’enseignement du français en secondaire ou supérieur (universités, lycées français…).

 

Pendant 3 samedis du mois de mai, les participants ont pu profiter de 11 cycles d’atelier en une, deux ou trois séances sur les apports de différentes disciplines à l’enseignement du FLE. Les sujets étaient variés, on pourra citer entre autres l’animation d’un atelier d’écriture en ligne, l’apport des sciences à l’enseignement du FLE, l’expression graphique ou encore l’enseignement à travers le cinéma.

 

Pour la Fédération Wallonie-Bruxelles, nous avons pu compter sur l’expertise d’Aliénor Debrocq, écrivaine belge de langue française, qui a présenté les différentes approches de l’atelier d’écriture dans le cas particulier d’une animation à distance ; ainsi que sur la participation d’Audrey Thonard, professeur de didactique du FLE à l’ULiège, qui a proposé un atelier sur les outils numériques pour enseigner mais également s’autoformer.

 

Au total, environ une soixantaine de personnes ont pu profiter de ces différents ateliers ainsi que des sessions parallèles proposés par des partenaires non institutionnels (librairie francophone, éditeurs FLE…). Une session plus informelle a également été organisée pour célébrer la clôture de cet événement au cours de laquelle un quizz a été organisé et des bandes dessinées belges francophones ont été offertes aux gagnants par la Délégation générale Wallonie-Bruxelles.
 

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L’ingénieur Sylvain Petré (VOCSens) active une des boules du Wallonium © Christian Du Brulle

Ces deux démonstrateurs technologiques wallons ne manquent pas d’attirer le regard à la foire d’Hanovre, où se tient le grand rendez-vous industriel et technologique européen «Hannover Messe».

 

« Chaque boule du Wallonium, dont le nom s’inspire d’un autre cristal de fer bien connu en Belgique, l’Atomium, est une vitrine des technologies et des savoir-faire wallons », explique le Dr Ahmed Rassili, responsable du développement au CRM group (Centre de recherches métallurgiques) de Liège.

 

Le Wallonium sur le stand de WBI et l’AWEX à l’Hannover Messe © Christian Du Brulle

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Deux vitrines technologiques

 

Le CRM est un des partenaires du Wallonium et l’actuel coordinateur de ce projet artistico-technologique. « Cette structure, dont cinq boules forment un W, est le fruit d’une collaboration entre différents centres de recherche et d’une PME », reprend Ahmed Rassili.

 

« Dans cette boule, par exemple, c’est Materia Nova, le centre de recherches montois spécialisé dans les matériaux, qui est à la manœuvre. Les particules qu’on voit en mouvement sont à la base des particules de céramique, une matière qui n’est pas vraiment magnétique. Mais grâce à un traitement de surface réalisé à Mons, elles le sont devenues. »

 

Plus haut dans la Wallonium, c’est une des expertises de Sirris qui est présentée. La sphère illustre une technique d’impression 3D de type additive, mêlant titane et polymère. Ailleurs, une boule clignote de diverses couleurs. Il s’agit de réseaux de capteurs redondants développés par le Cetic, le Centre d’excellence en technologie de l’information et de la communication, basé à Charleroi.

 

« Chaque réseau prend le relais de son compagnon si celui-ci connaît une perturbation. La transmission des informations est ainsi assurée », précise le Dr Rassili.

 

Une des boules du Wallonium: micro fluidique du Centre de recherches Sirris © Christian Du Brulle

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Un circuit électronique souple imprimé sur du métal

Le CRM est lui aussi présent sur la Wallonium. Notamment avec une illustration d’un circuit électronique flexible imprimé sur métal. Une série de couches ultra minces permettent d’abord la dépose d’un isolant, puis c’est l’impression du circuit à proprement dit qui est effectuée.

 

Quel est l’intérêt d’imprimer un circuit électronique sur du métal ? « Pensez aux voitures », suggère Ahmed Rassili. « Elles sont de plus en plus bardées de capteurs et d’électronique embarquée. Pour interconnecter ces systèmes, remplacer les fils électriques par des circuits imprimés signifie un gain de poids et donc de consommation de carburant. »

 

Le Wallonium existe depuis trois ans. Il ne cesse d’évoluer. De nouvelles boules y ont fait leur apparition, dont celle mettant en avant une technologie développée par la PME VOCSens, spin-off de l’UCLouvain. « Il s’agit de notre caméra environnementale EnviCam », explique Thomas Walewyns, CEO de VOCsens. « Elle permet de surveiller l’environnement en détectant et en caractérisant la présence de molécules de gaz de diverses natures. »

 

L’Innovation Loop du CRM group © Christian Du Brulle

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Une boucle de l’innovation très métallique

Sur le stand commun du service Recherche et Innovation de Wallonie-Bruxelles International et de l’Agence Wallonne à l’exportation, une autre œuvre d’art technologique attend les visiteurs: l’Innovation Loop. Elle concentre diverses technologies du CRM group.

 

« Ce serpent qui se mord la queue met en lumière l’innovation de notre centre de recherches tout au long de la chaîne de valeurs des matériaux métalliques », explique l’ingénieur Florian Dawance, du CRM group.

 

« Chaque écaille du serpent illustre une facette de nos plateformes thématiques axées sur la transition énergétique, l’économie circulaire, la numérisation, les techniques de fabrication avancées ou encore la construction. »

 

Un exemple? Pour boucler la boucle du recyclage et viser le zéro déchet en matière de métaux, le centre de recherche a élaboré une technologie permettant l’évaporation du zinc sous vide. Cela permet de dégalvaniser l’acier zingué et d’ainsi récupérer le zinc pour ensuite le réutiliser. Une technologie parmi d’autres, dont celle d’un nouveau four plasma polyvalent unique, inauguré lui tout récemment.

 

Pour les acteurs wallons mis en lumière à travers l’Innovation Loop et le Wallonium, tout comme pour les autres entreprises venues vendre leurs expertises à Hanovre sur le stand de WBI et de l’AWEX, le déplacement aura assurément été fertile et riche en contacts. « Nous nouons des contacts de qualité », confirme Tijani Tabarrant, Ingénieur de Recherche au Laboratoire d’analyses par réactions nucléaires de l’Université de Namur. Accompagné d’un doctorant, il est venu présenter à Hanovre les services d’ICS, une spin-off qui propose à ses clients une série de services liés aux traitements des surfaces.

 

Source: Daily Science - article de Christian Du Brulle

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Ces deux démonstrateurs technologiques wallons ne manquent pas d’attirer le regard à la foire d’Hanovre, où se tient le grand rendez-vous industriel et technologique européen «Hannover Messe».

 

« Chaque boule du Wallonium, dont le nom s’inspire d’un autre cristal de fer bien connu en Belgique, l’Atomium, est une vitrine des technologies et des savoir-faire wallons », explique le Dr Ahmed Rassili, responsable du développement au CRM group (Centre de recherches métallurgiques) de Liège.

 

Le Wallonium sur le stand de WBI et l’AWEX à l’Hannover Messe © Christian Du Brulle

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Deux vitrines technologiques

 

Le CRM est un des partenaires du Wallonium et l’actuel coordinateur de ce projet artistico-technologique. « Cette structure, dont cinq boules forment un W, est le fruit d’une collaboration entre différents centres de recherche et d’une PME », reprend Ahmed Rassili.

 

« Dans cette boule, par exemple, c’est Materia Nova, le centre de recherches montois spécialisé dans les matériaux, qui est à la manœuvre. Les particules qu’on voit en mouvement sont à la base des particules de céramique, une matière qui n’est pas vraiment magnétique. Mais grâce à un traitement de surface réalisé à Mons, elles le sont devenues. »

 

Plus haut dans la Wallonium, c’est une des expertises de Sirris qui est présentée. La sphère illustre une technique d’impression 3D de type additive, mêlant titane et polymère. Ailleurs, une boule clignote de diverses couleurs. Il s’agit de réseaux de capteurs redondants développés par le Cetic, le Centre d’excellence en technologie de l’information et de la communication, basé à Charleroi.

 

« Chaque réseau prend le relais de son compagnon si celui-ci connaît une perturbation. La transmission des informations est ainsi assurée », précise le Dr Rassili.

 

Une des boules du Wallonium: micro fluidique du Centre de recherches Sirris © Christian Du Brulle

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Un circuit électronique souple imprimé sur du métal

Le CRM est lui aussi présent sur la Wallonium. Notamment avec une illustration d’un circuit électronique flexible imprimé sur métal. Une série de couches ultra minces permettent d’abord la dépose d’un isolant, puis c’est l’impression du circuit à proprement dit qui est effectuée.

 

Quel est l’intérêt d’imprimer un circuit électronique sur du métal ? « Pensez aux voitures », suggère Ahmed Rassili. « Elles sont de plus en plus bardées de capteurs et d’électronique embarquée. Pour interconnecter ces systèmes, remplacer les fils électriques par des circuits imprimés signifie un gain de poids et donc de consommation de carburant. »

 

Le Wallonium existe depuis trois ans. Il ne cesse d’évoluer. De nouvelles boules y ont fait leur apparition, dont celle mettant en avant une technologie développée par la PME VOCSens, spin-off de l’UCLouvain. « Il s’agit de notre caméra environnementale EnviCam », explique Thomas Walewyns, CEO de VOCsens. « Elle permet de surveiller l’environnement en détectant et en caractérisant la présence de molécules de gaz de diverses natures. »

 

L’Innovation Loop du CRM group © Christian Du Brulle

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Une boucle de l’innovation très métallique

Sur le stand commun du service Recherche et Innovation de Wallonie-Bruxelles International et de l’Agence Wallonne à l’exportation, une autre œuvre d’art technologique attend les visiteurs: l’Innovation Loop. Elle concentre diverses technologies du CRM group.

 

« Ce serpent qui se mord la queue met en lumière l’innovation de notre centre de recherches tout au long de la chaîne de valeurs des matériaux métalliques », explique l’ingénieur Florian Dawance, du CRM group.

 

« Chaque écaille du serpent illustre une facette de nos plateformes thématiques axées sur la transition énergétique, l’économie circulaire, la numérisation, les techniques de fabrication avancées ou encore la construction. »

 

Un exemple? Pour boucler la boucle du recyclage et viser le zéro déchet en matière de métaux, le centre de recherche a élaboré une technologie permettant l’évaporation du zinc sous vide. Cela permet de dégalvaniser l’acier zingué et d’ainsi récupérer le zinc pour ensuite le réutiliser. Une technologie parmi d’autres, dont celle d’un nouveau four plasma polyvalent unique, inauguré lui tout récemment.

 

Pour les acteurs wallons mis en lumière à travers l’Innovation Loop et le Wallonium, tout comme pour les autres entreprises venues vendre leurs expertises à Hanovre sur le stand de WBI et de l’AWEX, le déplacement aura assurément été fertile et riche en contacts. « Nous nouons des contacts de qualité », confirme Tijani Tabarrant, Ingénieur de Recherche au Laboratoire d’analyses par réactions nucléaires de l’Université de Namur. Accompagné d’un doctorant, il est venu présenter à Hanovre les services d’ICS, une spin-off qui propose à ses clients une série de services liés aux traitements des surfaces.

 

Source: Daily Science - article de Christian Du Brulle

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Bouton - en savoir plus

Pour cette édition, la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam a le grand plaisir de proposer au public une histoire de famille très personnelle mais qui aborde un sujet tabou: la toxicomanie.

 

Petit Samedii de la réalisatrice belge francophone Paloma Sermon-Daï est un documentaire très touchant et d’une grande humanité, sur l’amour entre mère et fils. Ce film de Wallonie-Bruxelles sera précédé d’un documentaire vietnamien, intitulé Le conte de fée au village Rào Tre de Nguyễn Văn Kiểm.

 

Cette manifestation cinématographique réunissant 11 pays dont le Vietnam, se déroule du 03 au 12 juin 2022, à Hanoï, au Studio national du Film documentaire et scientifique.

Chaque soirée sera l'occasion de découvrir un documentaire vietnamien et un film européen.

 

La Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam, un des fondateurs d’EUNIC VIETNAM - Réseau des Instituts culturels nationaux de l’Union européenne, coordonne cet événement depuis cinq ans.                

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Synopsis

Damien Samedi a 43 ans. Quand il était enfant, dans son village wallon en bord de Meuse, on l’appelait le "Petit Samedi". Pour sa mère Ysma, Damien est toujours son gamin, celui qu’elle n’a jamais abandonné lorsqu’il est tombé dans la drogue. Un fils qui a, malgré tout, cherché à protéger sa mère. Un homme qui tente de se libérer de ses addictions et qui fait face à son histoire pour s’en sortir.

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Récompenses

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Date

Lundi, 06/06/2022

19h00: Le conte de fée au village Rào Tre

19h35: Petit Samedi

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Lieu

Hanoi: Studio national du Film documentaire et scientifique, 465 Hoang Hoa Tham

Entrée libre, Version originale sous-titrée en vietnamien

https://vimeo.com/390984178

 

Pour plus d’informations:

Le Tuyet Nhung - Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam

Centre DAEHA (5ème étage - # 505)/ 360 Kim Ma, Ba Dinh, Hanoi

Tél : +84 (024) 3 831.52.41 / GSM : +84 (0) 9 04 20 79 89

Courriel : nhungwb@walbruvietnam.org

 

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Pour cette édition, la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam a le grand plaisir de proposer au public une histoire de famille très personnelle mais qui aborde un sujet tabou: la toxicomanie.

 

Petit Samedii de la réalisatrice belge francophone Paloma Sermon-Daï est un documentaire très touchant et d’une grande humanité, sur l’amour entre mère et fils. Ce film de Wallonie-Bruxelles sera précédé d’un documentaire vietnamien, intitulé Le conte de fée au village Rào Tre de Nguyễn Văn Kiểm.

 

Cette manifestation cinématographique réunissant 11 pays dont le Vietnam, se déroule du 03 au 12 juin 2022, à Hanoï, au Studio national du Film documentaire et scientifique.

Chaque soirée sera l'occasion de découvrir un documentaire vietnamien et un film européen.

 

La Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam, un des fondateurs d’EUNIC VIETNAM - Réseau des Instituts culturels nationaux de l’Union européenne, coordonne cet événement depuis cinq ans.                

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Synopsis

Damien Samedi a 43 ans. Quand il était enfant, dans son village wallon en bord de Meuse, on l’appelait le "Petit Samedi". Pour sa mère Ysma, Damien est toujours son gamin, celui qu’elle n’a jamais abandonné lorsqu’il est tombé dans la drogue. Un fils qui a, malgré tout, cherché à protéger sa mère. Un homme qui tente de se libérer de ses addictions et qui fait face à son histoire pour s’en sortir.

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Date

Lundi, 06/06/2022

19h00: Le conte de fée au village Rào Tre

19h35: Petit Samedi

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Lieu

Hanoi: Studio national du Film documentaire et scientifique, 465 Hoang Hoa Tham

Entrée libre, Version originale sous-titrée en vietnamien

https://vimeo.com/390984178

 

Pour plus d’informations:

Le Tuyet Nhung - Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam

Centre DAEHA (5ème étage - # 505)/ 360 Kim Ma, Ba Dinh, Hanoi

Tél : +84 (024) 3 831.52.41 / GSM : +84 (0) 9 04 20 79 89

Courriel : nhungwb@walbruvietnam.org

 

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