Projet conçu et porté par l’OIF, le Prix des cinq continents de la Francophonie permet de mettre en lumière des talents littéraires reflétant la diversité culturelle et éditoriale en langue française sur les cinq continents et de les promouvoir sur la scène littéraire internationale. Il distingue un texte narratif de fiction écrit directement en langue française, publié entre le 1er mai 2021 et le 30 avril 2022, quelles que soient la nationalité et la maturité littéraire de son auteur.
Retour au débutLe Prix des cinq continents de la Francophonie
- Une récompense chaque année d’un texte de fiction narratif (roman, récit et recueil de nouvelles) original d’expression française, dotation de 15 000 € pour le ou la lauréat(e) et 5 000€ pour la mention spéciale
- Un jury international composé de personnalités du monde littéraire
- Des comités de lecture dans plusieurs pays francophones
Candidatures
Les candidatures (jusqu’à 3 romans par maison d’édition) doivent être présentées par les éditeurs uniquement.
La réception des œuvres se fera jusqu’au 31 mai 2022 dernier délai.
Les inscriptions se font sur la plateforme dédiée à la littérature en Francophonie.
Retour au débutContacts
Myriam Senghor-Ba, Claudia Pietri et Audrey Thomas-Ratinier
Direction de la langue française et de la diversité des cultures francophones
Prix des cinq continents de la Francophonie
19-21 avenue Bosquet 75007 Paris
Courriel : 5continents@francophonie.org
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Projet conçu et porté par l’OIF, le Prix des cinq continents de la Francophonie permet de mettre en lumière des talents littéraires reflétant la diversité culturelle et éditoriale en langue française sur les cinq continents et de les promouvoir sur la scène littéraire internationale. Il distingue un texte narratif de fiction écrit directement en langue française, publié entre le 1er mai 2021 et le 30 avril 2022, quelles que soient la nationalité et la maturité littéraire de son auteur.
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- Une récompense chaque année d’un texte de fiction narratif (roman, récit et recueil de nouvelles) original d’expression française, dotation de 15 000 € pour le ou la lauréat(e) et 5 000€ pour la mention spéciale
- Un jury international composé de personnalités du monde littéraire
- Des comités de lecture dans plusieurs pays francophones
Candidatures
Les candidatures (jusqu’à 3 romans par maison d’édition) doivent être présentées par les éditeurs uniquement.
La réception des œuvres se fera jusqu’au 31 mai 2022 dernier délai.
Les inscriptions se font sur la plateforme dédiée à la littérature en Francophonie.
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Myriam Senghor-Ba, Claudia Pietri et Audrey Thomas-Ratinier
Direction de la langue française et de la diversité des cultures francophones
Prix des cinq continents de la Francophonie
19-21 avenue Bosquet 75007 Paris
Courriel : 5continents@francophonie.org
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Bouton - en savoir plus
Outils de formation, d’émancipation, le sport met ses valeurs au service de toutes les populations au Nord comme au Sud de la planète pour construire une société qui donne place aux femmes et aux hommes de manière égalitaire dans le respect des spécificités de chacun.
Se rencontrer, participer régulièrement à des activités sportives communes, se passionner, vivre les émotions de la victoire, d’une progression, autant de facteurs qui valorisent les capacités des femmes.
Dans le cadre de la CONFEJES (Conférence des ministres de la jeunesse et des sports de la Francophonie), institution intergouvernementale qui se mobilise depuis plus de 50 ans pour la promotion de la jeunesse, des sports et des loisirs au sein de l’espace francophone, un groupe constitué des représentantes des pays membres (GTCF) assure vigilance, conseils et partage de bonnes pratiques pour le développement du sport en faveur des jeunes filles et des femmes.
Les plaidoyers du GTCF concourent à rendre les femmes et les jeunes filles acteurs incontournables dans le développement des activités jeunesse, sport et loisir.
Formations, renforcement d’expertise, positionnement au sein des clubs, fédérations sportives et Ministères, permettent en outre d’envisager l’augmentation de la pratique sportive des jeunes filles et des femmes.
Ce développement du sport féminin, cercle vertueux, participe à l’insertion socioéconomique des femmes dans tous les secteurs d’activités.
Les principales missions de la CONFEJES sont:
- Conseiller et appuyer les pays membres ;
- Former les formateurs dont les pays ont besoin ;
- Contribuer au développement de l’élite sportive en Afrique ;
- Encourager les rencontres sportives et les rassemblements de jeunes ainsi que les initiatives d’insertion économiques proposées par les jeunes ;
- Promouvoir le développement inclusif du sport et le développement de la vie associative.
En soutenant les programmes de la CONFEJES, la FWB et la Wallonie, à travers Wallonie-Bruxelles International contribuent à la promotion des valeurs éthiques dans le sport, un défi pour l’émergence d’une société toujours plus juste et équilibrée, source de paix et développement.
Outils de formation, d’émancipation, le sport met ses valeurs au service de toutes les populations au Nord comme au Sud de la planète pour construire une société qui donne place aux femmes et aux hommes de manière égalitaire dans le respect des spécificités de chacun.
Se rencontrer, participer régulièrement à des activités sportives communes, se passionner, vivre les émotions de la victoire, d’une progression, autant de facteurs qui valorisent les capacités des femmes.
Dans le cadre de la CONFEJES (Conférence des ministres de la jeunesse et des sports de la Francophonie), institution intergouvernementale qui se mobilise depuis plus de 50 ans pour la promotion de la jeunesse, des sports et des loisirs au sein de l’espace francophone, un groupe constitué des représentantes des pays membres (GTCF) assure vigilance, conseils et partage de bonnes pratiques pour le développement du sport en faveur des jeunes filles et des femmes.
Les plaidoyers du GTCF concourent à rendre les femmes et les jeunes filles acteurs incontournables dans le développement des activités jeunesse, sport et loisir.
Formations, renforcement d’expertise, positionnement au sein des clubs, fédérations sportives et Ministères, permettent en outre d’envisager l’augmentation de la pratique sportive des jeunes filles et des femmes.
Ce développement du sport féminin, cercle vertueux, participe à l’insertion socioéconomique des femmes dans tous les secteurs d’activités.
Les principales missions de la CONFEJES sont:
- Conseiller et appuyer les pays membres ;
- Former les formateurs dont les pays ont besoin ;
- Contribuer au développement de l’élite sportive en Afrique ;
- Encourager les rencontres sportives et les rassemblements de jeunes ainsi que les initiatives d’insertion économiques proposées par les jeunes ;
- Promouvoir le développement inclusif du sport et le développement de la vie associative.
En soutenant les programmes de la CONFEJES, la FWB et la Wallonie, à travers Wallonie-Bruxelles International contribuent à la promotion des valeurs éthiques dans le sport, un défi pour l’émergence d’une société toujours plus juste et équilibrée, source de paix et développement.
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Après une carrière professionnelle émaillée de métiers peu épanouissants, Yves Dejardin décide en 2015 de tout plaquer pour lancer une nouvelle activité et vivre sa passion. Il sait ce qu’il veut faire : créer des luminaires. Soutenu et encouragé par son épouse, il se lance afin de créer sa marque Art Maker. Succès oblige, il investit un plus grand atelier pour répondre aux commandes qui, très vite, affluent. Art Maker est aujourd’hui une structure de 3 personnes qui produit une centaine de pièces par mois.
Luminaires, objets d’art aux finitions soignées, fabriquées à la main et sur mesure, selon un procédé de fabrication simple mais original, ses créations sont présentées avec l’aide de Wallonie-Bruxelles Design Mode (WBDM) - une agence satellite de Wallonie-Bruxelles International (WBI) - au prestigieux « Salon Maison& Objet » de Paris. Ses luminaires attirent très vite l’attention d’architectes d’intérieurs et de décorateurs belges et étrangers. Aujourd’hui, on les retrouve de Liège à New York. L’exportation est un élément important pour lui car, comme il le souligne : « En Belgique on est reconnu comme étant extrêmement créatifs, c’est bien de faire rayonner nos savoir-faire et notre créativité à l’étranger. »
Bien sûr, ce succès florissant a attiré l’attention de grandes enseignes de création de luminaires qui lui ont proposé d’éditer ses lampes de façon industrielle, mais il a refusé.
Sa démarche créative est artisanale, locale (tant dans l’ancrage liégeois de l’atelier que dans le choix des essences de bois travaillées) et à taille humaine. C’est son souhait et sa fierté : il aime rencontrer ses clients et pas une seule lampe ne sort de l’atelier sans qu’il y ait mis la main. Sa quête de perfection, son envie de créer des pièces exclusives continuent de le porter. Yves Dejardin a bel et bien fait de son rêve un métier.
Retour au début
Pour en savoir plus
https://www.facebook.com/ArtMaker.be/
https://www.instagram.com/designartmaker/
https://www.pinterest.com/artmakerbelgium/_created/
Retour au débutLes Belges Histoires
WBI, en partenariat avec la RTBF, vous propose de découvrir les portraits de belges francophones qui font rayonner Wallonie-Bruxelles.
Découvrez la série de portraits : https://www.wbi.be/les-belges-histoires
Retour au débutNos aides et services
L’aventure d’Yves Dujardin vous inspire ? Vous souhaiteriez bénéficier d’un soutien dans votre domaine?
Wallonie-Bruxelles International vous aide à développer vos projets à l’international avec des formations, des coachings, des missions de prospections, des aides financières…
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Après une carrière professionnelle émaillée de métiers peu épanouissants, Yves Dejardin décide en 2015 de tout plaquer pour lancer une nouvelle activité et vivre sa passion. Il sait ce qu’il veut faire : créer des luminaires. Soutenu et encouragé par son épouse, il se lance afin de créer sa marque Art Maker. Succès oblige, il investit un plus grand atelier pour répondre aux commandes qui, très vite, affluent. Art Maker est aujourd’hui une structure de 3 personnes qui produit une centaine de pièces par mois.
Luminaires, objets d’art aux finitions soignées, fabriquées à la main et sur mesure, selon un procédé de fabrication simple mais original, ses créations sont présentées avec l’aide de Wallonie-Bruxelles Design Mode (WBDM) - une agence satellite de Wallonie-Bruxelles International (WBI) - au prestigieux « Salon Maison& Objet » de Paris. Ses luminaires attirent très vite l’attention d’architectes d’intérieurs et de décorateurs belges et étrangers. Aujourd’hui, on les retrouve de Liège à New York. L’exportation est un élément important pour lui car, comme il le souligne : « En Belgique on est reconnu comme étant extrêmement créatifs, c’est bien de faire rayonner nos savoir-faire et notre créativité à l’étranger. »
Bien sûr, ce succès florissant a attiré l’attention de grandes enseignes de création de luminaires qui lui ont proposé d’éditer ses lampes de façon industrielle, mais il a refusé.
Sa démarche créative est artisanale, locale (tant dans l’ancrage liégeois de l’atelier que dans le choix des essences de bois travaillées) et à taille humaine. C’est son souhait et sa fierté : il aime rencontrer ses clients et pas une seule lampe ne sort de l’atelier sans qu’il y ait mis la main. Sa quête de perfection, son envie de créer des pièces exclusives continuent de le porter. Yves Dejardin a bel et bien fait de son rêve un métier.
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Ecoutez-vous le Belge ? | Charles
Au Japon, dont on connaît le respect particulier porté à la notion d’apprentissage, cette mobilité des étudiants et du corps professoral n’est pourtant pas évidente.
C’est un travail de veille rigoureux qui a permis de révéler l’intérêt de certains établissements d’enseignements supérieurs japonais pour leurs pairs belges francophones.
Retour au début
Les bourses ASEM-Duo
Dans le paysage universitaire japonais, l’ouverture particulière aux échanges interuniversitaires de la KSU sous la présidence de M. Oussouby Sacko, a favorisé la rencontre des intérêts communs des deux établissements.
La présence au sein même de l’Université Seika à Kyoto, de Céline Mariage, Agente de Liaison Académique et Cuturelle (ALAC) pour WBI, a permis de faire aboutir le souhait déjà ancien, de l’ENSAV-La Cambre de se rapprocher de l’enseignement artistique japonais.
Les deux établissements ont ainsi fait appel dans un premier temps à la bourse de mobilité ASEM-DUO qui offre la possibilité à des professeurs ou chercheurs d’effectuer un échange par paire entre l’Asie et la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Appuyée par la persévérance d’Aline Baudet, professeure en charge des relations internationales de La Cambre, l’expertise de terrain de Céline Mariage, saisissant les intérêts propres aux deux écoles et orientant vers des programmes de bourses adéquats, et enfin la motivation de la KSU, via le professeur Hiroshi Ashida vice-président et alumni de l’ULB et le représentant des relations internationales Manabu Kitawaki, cette demande a abouti à un premier échange dès ce mois de février avec la venue pour trois semaines de Kinué Fukuoka, professeur de mode.
Motivation, persévérance et bienveillance auront permis d’atteindre le point vélique nécessaire à la signature de ce Memorandum of Understanding (MoU), le 14 mars à Bruxelles, augurant d’échanges fructueux entre les deux établissements.
Grâce à la venue du représentant des relations internationales de la KSU, Monsieur Kitawaki, d'autres établissements de FWB ont été approchés avec lesquelles l'université japonaise est en passe de signer un accord.
Ainsi, l'Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles (ARBA) réalisera un échange dans son secteur Design-Textile et l'Université de Liège travaille à une collaboration avec la faculté de culture générale.
4 bourses ASEM-Duo entre des établissements d'enseignement supérieur ou acteur culturel japonais et de Fédération Wallonie-Bruxelles ont été mises en place depuis l'arrivée de l'ALAC au Japon.
Retour au débutLa rencontre
Le 13 mars dernier, à l’heure où les frontières s’ouvraient à peine, 7 étudiantes de l'Université Seika de Kyoto sont arrivées à Bruxelles pour participer à une semaine de workshops d’illustrations et de scénographie lors de « la semaine atypique » organisée chaque année par La Cambre.
Afin de faciliter leur intégration et accélérer les coopérations, chaque étudiante a rencontré son « binôme » belge avec lequel travailler les futurs projets exposés en fin de semaine.
Pour vivre une immersion complète et pour réduire les coûts de ce voyage, elles étaient par ailleurs hébergées chez des étudiants de La Cambre.
La rencontre certes souriante et immédiate fut pour autant un choc pour un certain nombre de participants des deux pays.
Comment se parler, se découvrir dans un temps si court avec des langues si distantes et surtout comment travailler et produire ensemble quand au premier abord on ne perçoit que les différences ?
Le programme de visites et workshops, étoffé et audacieux concocté par les professeurs et encadrants de cette semaine atypique aurait effrayé plus d’un.
Mais cette hyper sollicitation a au contraire éveillé les énergies, permis d’aller à l’essentiel et de développer des axes créatifs jouant sur les points communs et les différences ressenties par les étudiants entre leurs cultures.
Des traits ou des pointillés pour dessiner la pluie à Kyoto ou à Bruxelles par Miho Takamatsu et William Denis
Devant la difficulté à communiquer, chacun a cherché dans ses ressources, s’est débarrassé des aspérités et a relevé le défi d’une expression à la fois commune, rigoureuse et personnelle.
Les mots comme des murs ou comme une invitation au mélange par Kyoka Inamura et Clara Lehon
Les incongruités, telle la flânerie, cet art de se balader sans but ni raison qu'on goûte partigulièrement à Bruxelles et les gourmandises, comme les mythiques frites belges, ont séduit. Les sols typiques aux pavés communs ont rappelé les allées sacrées des temples japonais. Les larges ciels de Bruxelles, ouverts malgré la grisaille, ont offert des perspectives inédites aux kyotoïtes.
Chemin printanier. Même route même paysage par Kaho Hayashi et Maïlys Ravussin
Accompagnés par les conseils et les encouragements de Catherine Warmoes, professeur de dessin, Aline Baudet professeur en communication visuelle et graphique et Kinué Fukuoka professeur de mode, les étudiants ont relevé le défi de réaliser en moins de quatre jours une exposition de leurs travaux communs.
Retour au début
ShuHaRi
Lors de cette semaine dense, élèves comme professeurs ont avancé sur la route de leur apprentissage. En imitant, confrontant, s'écartant, chacun a dû ouvrir sa créativité à l'autre.
S'il est difficile pour certains de savoir encore quels impacts concrets aura ce séjour sur leur parcour, la plupart des étudiantes japonaises ont l'intuition que cette expérience changera quelque chose dans leur production. D'autres savent déjà qu"elles souhaitent revenir et étudier ici.
Retour au débutAu Japon, dont on connaît le respect particulier porté à la notion d’apprentissage, cette mobilité des étudiants et du corps professoral n’est pourtant pas évidente.
C’est un travail de veille rigoureux qui a permis de révéler l’intérêt de certains établissements d’enseignements supérieurs japonais pour leurs pairs belges francophones.
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Les bourses ASEM-Duo
Dans le paysage universitaire japonais, l’ouverture particulière aux échanges interuniversitaires de la KSU sous la présidence de M. Oussouby Sacko, a favorisé la rencontre des intérêts communs des deux établissements.
La présence au sein même de l’Université Seika à Kyoto, de Céline Mariage, Agente de Liaison Académique et Cuturelle (ALAC) pour WBI, a permis de faire aboutir le souhait déjà ancien, de l’ENSAV-La Cambre de se rapprocher de l’enseignement artistique japonais.
Les deux établissements ont ainsi fait appel dans un premier temps à la bourse de mobilité ASEM-DUO qui offre la possibilité à des professeurs ou chercheurs d’effectuer un échange par paire entre l’Asie et la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Appuyée par la persévérance d’Aline Baudet, professeure en charge des relations internationales de La Cambre, l’expertise de terrain de Céline Mariage, saisissant les intérêts propres aux deux écoles et orientant vers des programmes de bourses adéquats, et enfin la motivation de la KSU, via le professeur Hiroshi Ashida vice-président et alumni de l’ULB et le représentant des relations internationales Manabu Kitawaki, cette demande a abouti à un premier échange dès ce mois de février avec la venue pour trois semaines de Kinué Fukuoka, professeur de mode.
Motivation, persévérance et bienveillance auront permis d’atteindre le point vélique nécessaire à la signature de ce Memorandum of Understanding (MoU), le 14 mars à Bruxelles, augurant d’échanges fructueux entre les deux établissements.
Grâce à la venue du représentant des relations internationales de la KSU, Monsieur Kitawaki, d'autres établissements de FWB ont été approchés avec lesquelles l'université japonaise est en passe de signer un accord.
Ainsi, l'Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles (ARBA) réalisera un échange dans son secteur Design-Textile et l'Université de Liège travaille à une collaboration avec la faculté de culture générale.
4 bourses ASEM-Duo entre des établissements d'enseignement supérieur ou acteur culturel japonais et de Fédération Wallonie-Bruxelles ont été mises en place depuis l'arrivée de l'ALAC au Japon.
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Le 13 mars dernier, à l’heure où les frontières s’ouvraient à peine, 7 étudiantes de l'Université Seika de Kyoto sont arrivées à Bruxelles pour participer à une semaine de workshops d’illustrations et de scénographie lors de « la semaine atypique » organisée chaque année par La Cambre.
Afin de faciliter leur intégration et accélérer les coopérations, chaque étudiante a rencontré son « binôme » belge avec lequel travailler les futurs projets exposés en fin de semaine.
Pour vivre une immersion complète et pour réduire les coûts de ce voyage, elles étaient par ailleurs hébergées chez des étudiants de La Cambre.
La rencontre certes souriante et immédiate fut pour autant un choc pour un certain nombre de participants des deux pays.
Comment se parler, se découvrir dans un temps si court avec des langues si distantes et surtout comment travailler et produire ensemble quand au premier abord on ne perçoit que les différences ?
Le programme de visites et workshops, étoffé et audacieux concocté par les professeurs et encadrants de cette semaine atypique aurait effrayé plus d’un.
Mais cette hyper sollicitation a au contraire éveillé les énergies, permis d’aller à l’essentiel et de développer des axes créatifs jouant sur les points communs et les différences ressenties par les étudiants entre leurs cultures.
Des traits ou des pointillés pour dessiner la pluie à Kyoto ou à Bruxelles par Miho Takamatsu et William Denis
Devant la difficulté à communiquer, chacun a cherché dans ses ressources, s’est débarrassé des aspérités et a relevé le défi d’une expression à la fois commune, rigoureuse et personnelle.
Les mots comme des murs ou comme une invitation au mélange par Kyoka Inamura et Clara Lehon
Les incongruités, telle la flânerie, cet art de se balader sans but ni raison qu'on goûte partigulièrement à Bruxelles et les gourmandises, comme les mythiques frites belges, ont séduit. Les sols typiques aux pavés communs ont rappelé les allées sacrées des temples japonais. Les larges ciels de Bruxelles, ouverts malgré la grisaille, ont offert des perspectives inédites aux kyotoïtes.
Chemin printanier. Même route même paysage par Kaho Hayashi et Maïlys Ravussin
Accompagnés par les conseils et les encouragements de Catherine Warmoes, professeur de dessin, Aline Baudet professeur en communication visuelle et graphique et Kinué Fukuoka professeur de mode, les étudiants ont relevé le défi de réaliser en moins de quatre jours une exposition de leurs travaux communs.
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ShuHaRi
Lors de cette semaine dense, élèves comme professeurs ont avancé sur la route de leur apprentissage. En imitant, confrontant, s'écartant, chacun a dû ouvrir sa créativité à l'autre.
S'il est difficile pour certains de savoir encore quels impacts concrets aura ce séjour sur leur parcour, la plupart des étudiantes japonaises ont l'intuition que cette expérience changera quelque chose dans leur production. D'autres savent déjà qu"elles souhaitent revenir et étudier ici.
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Bourses de formation linguistique en Slovaquie
Un nouvel appel à candidatures est lancé pour des bourses de formation linguistique en Slovaquie pour l’année académique 2022-2023. Le Ministère de l’éducation, des sciences, de la recherche et du sport de la République Slovaque procèdera à la sélection de 3 candidats de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Profil des candidats
- Etudiants en Bac, master ou doctorat
- Chercheurs ou enseignants
Durée du programme : de 3 à 10 mois
Introduction des candidatures (délais, formulaires…) : 30 avril 2022
Procédure générale de sélection
Dépôt des candidatures : le formulaire doit être téléchargé via ce lien. Il doit ensuite être imprimé et envoyé en version papier au Ministère de l’éducation, des sciences, de la recherche et du sport de la République Slovaque.
Modalités financières
- Étudiants en bac et master : 280 €/mois
- Doctorants : 330 €/mois
- Chercheurs et professeurs d’université : 550 €/mois
Personne de contact (gestionnaire du programme) : Andrea Jančová Andrea.Jancova@mzv.sk
Retour au début
Bourses d’étude, de recherche et pour des cours d’été en Lettonie
L’État Letton offre des bourses d’étude, de recherche et pour des cours d’été dans ses universités à des ressortissants de plus de quarante pays à travers le monde, dont la Belgique.
Profil des candidat(e)s
- Bourses d’étude : Étudiants d’établissements d’enseignement supérieur belge francophone ayant réussi au minimum une année universitaire
- Bourses pour la recherche : Employés académiques et scientifiques d’établissements d’enseignement supérieur belge francophone
- Bourses pour les cours d’été : Étudiants et employés académiques et scientifiques d’établissements d’enseignement supérieur belge francophone
Durée du programme
- Bourses d’étude : jusqu’à 10 mois (pour les doctorants - jusqu'à 11 mois)
- Bourses pour la recherche : Jusqu’à 5 mois
- Bourses pour les cours d’été : Voir les détails des cours d'été
Introduction des candidatures (délais, formulaires…)
Date butoir d’introduction des candidatures : 1er avril 2022
Procédure générale de sélection
- Bourses d’étude : Via le formulaire en ligne. Les résultats seront annoncés avant la fin du mois de juin 2022.
- Bourses pour la recherche : Via le formulaire en ligne. Les résultats seront annoncés avant la fin du mois de juin 2022.
- Bourses pour les cours d’été : dépend du cours d’été, voir la liste des cours d'été.
Modalités financières
- Bourses d’étude
- étudiants en bac et en master : 500€/mois
- doctorants : 700 €/mois
- Bourses pour la recherche : 30€/jours et 300€/mois pour l’hébergement
- Bourses pour les cours d’été : 711€ pour la durée du cours d’été. Les bourses seront transférées par le VIAA aux organisateurs des cours d'été, aucun argent ne sera remis aux boursiers lettons. Les participants aux cours d'été doivent couvrir eux-mêmes les frais de voyage du pays d'origine au lieu de l'école d'été en Lettonie.
Personne de contact (gestionnaire du programme)
Pour plus d’informations : www.viaa.gov.lv/scholarships
Contact : scholarships@viaa.gov.lv
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Bourses de formation linguistique en Slovaquie
Un nouvel appel à candidatures est lancé pour des bourses de formation linguistique en Slovaquie pour l’année académique 2022-2023. Le Ministère de l’éducation, des sciences, de la recherche et du sport de la République Slovaque procèdera à la sélection de 3 candidats de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Profil des candidats
- Etudiants en Bac, master ou doctorat
- Chercheurs ou enseignants
Durée du programme : de 3 à 10 mois
Introduction des candidatures (délais, formulaires…) : 30 avril 2022
Procédure générale de sélection
Dépôt des candidatures : le formulaire doit être téléchargé via ce lien. Il doit ensuite être imprimé et envoyé en version papier au Ministère de l’éducation, des sciences, de la recherche et du sport de la République Slovaque.
Modalités financières
- Étudiants en bac et master : 280 €/mois
- Doctorants : 330 €/mois
- Chercheurs et professeurs d’université : 550 €/mois
Personne de contact (gestionnaire du programme) : Andrea Jančová Andrea.Jancova@mzv.sk
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Bourses d’étude, de recherche et pour des cours d’été en Lettonie
L’État Letton offre des bourses d’étude, de recherche et pour des cours d’été dans ses universités à des ressortissants de plus de quarante pays à travers le monde, dont la Belgique.
Profil des candidat(e)s
- Bourses d’étude : Étudiants d’établissements d’enseignement supérieur belge francophone ayant réussi au minimum une année universitaire
- Bourses pour la recherche : Employés académiques et scientifiques d’établissements d’enseignement supérieur belge francophone
- Bourses pour les cours d’été : Étudiants et employés académiques et scientifiques d’établissements d’enseignement supérieur belge francophone
Durée du programme
- Bourses d’étude : jusqu’à 10 mois (pour les doctorants - jusqu'à 11 mois)
- Bourses pour la recherche : Jusqu’à 5 mois
- Bourses pour les cours d’été : Voir les détails des cours d'été
Introduction des candidatures (délais, formulaires…)
Date butoir d’introduction des candidatures : 1er avril 2022
Procédure générale de sélection
- Bourses d’étude : Via le formulaire en ligne. Les résultats seront annoncés avant la fin du mois de juin 2022.
- Bourses pour la recherche : Via le formulaire en ligne. Les résultats seront annoncés avant la fin du mois de juin 2022.
- Bourses pour les cours d’été : dépend du cours d’été, voir la liste des cours d'été.
Modalités financières
- Bourses d’étude
- étudiants en bac et en master : 500€/mois
- doctorants : 700 €/mois
- Bourses pour la recherche : 30€/jours et 300€/mois pour l’hébergement
- Bourses pour les cours d’été : 711€ pour la durée du cours d’été. Les bourses seront transférées par le VIAA aux organisateurs des cours d'été, aucun argent ne sera remis aux boursiers lettons. Les participants aux cours d'été doivent couvrir eux-mêmes les frais de voyage du pays d'origine au lieu de l'école d'été en Lettonie.
Personne de contact (gestionnaire du programme)
Pour plus d’informations : www.viaa.gov.lv/scholarships
Contact : scholarships@viaa.gov.lv
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Ce 8 mars, c’était la Journée internationale des Droits des femmes. Mais il est évident que, au-delà de cette journée symbolique, c’est bien toute l’année que ces droits doivent être défendus et respectés. Wallonie-Bruxelles International prend ses responsabilités en la matière. C’est ainsi que deux référents « genre » ont été nommés, afin de mieux sensibiliser à cette thématique et de faire bouger les mentalités. Explications et présentations de projets dans ce nouveau numéro de la Revue W+B.
Un numéro de découvertes aussi, avec un « parcours Magritte » à Bruxelles, le Forum « Paroles de rue » de l’asbl Dynamo International, les programmes de l’APEFE pour la période 2022-2026, la société Vésale Bioscience, le salon South by Southwest ou le whisky Belgian Owl.
Egalement des rencontres au programme, avec la créatrice Marie-Laurence Stevigny (MLStudio) et le designer Alain Gilles.
Et puis profitons du soleil printanier qui montre son nez pour faire de jolies balades alliant nature et culture.
Bonne lecture !
Au programme
- Dossier : Les Droits des femmes au coeur des préoccupations de Wallonie-Bruxelles International
- Culture : Ceci n'est pas une vie (mais l'oeuvre d'une vie)
- Portrait : Marie-Laurence Stevigny
- Design : Le Design pour seconde vie
- Jeunesse : La Parole est à la rue
- Coopération au développement : La Coopération au développement a bien changé
- Entreprise : Vésale Bioscience, start-up la plus innovante d'Europe
- Innovation : Wallonie-Bruxelles et le festival SXSW, une histoire partie pour durer
- Tourisme : La Wallonie, pays de nature, pays de culture
- Gastronomie : Belgian Owl, un whisky wallon élu meilleur whisky européen
- Survols
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Ce 8 mars, c’était la Journée internationale des Droits des femmes. Mais il est évident que, au-delà de cette journée symbolique, c’est bien toute l’année que ces droits doivent être défendus et respectés. Wallonie-Bruxelles International prend ses responsabilités en la matière. C’est ainsi que deux référents « genre » ont été nommés, afin de mieux sensibiliser à cette thématique et de faire bouger les mentalités. Explications et présentations de projets dans ce nouveau numéro de la Revue W+B.
Un numéro de découvertes aussi, avec un « parcours Magritte » à Bruxelles, le Forum « Paroles de rue » de l’asbl Dynamo International, les programmes de l’APEFE pour la période 2022-2026, la société Vésale Bioscience, le salon South by Southwest ou le whisky Belgian Owl.
Egalement des rencontres au programme, avec la créatrice Marie-Laurence Stevigny (MLStudio) et le designer Alain Gilles.
Et puis profitons du soleil printanier qui montre son nez pour faire de jolies balades alliant nature et culture.
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Au programme
- Dossier : Les Droits des femmes au coeur des préoccupations de Wallonie-Bruxelles International
- Culture : Ceci n'est pas une vie (mais l'oeuvre d'une vie)
- Portrait : Marie-Laurence Stevigny
- Design : Le Design pour seconde vie
- Jeunesse : La Parole est à la rue
- Coopération au développement : La Coopération au développement a bien changé
- Entreprise : Vésale Bioscience, start-up la plus innovante d'Europe
- Innovation : Wallonie-Bruxelles et le festival SXSW, une histoire partie pour durer
- Tourisme : La Wallonie, pays de nature, pays de culture
- Gastronomie : Belgian Owl, un whisky wallon élu meilleur whisky européen
- Survols
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C’est dans les infrastructures de la Mars Desert research station (MDRS), installées dans un environnement isolé, aux reliefs rappelant ce que l’on trouve à la surface de la planète rouge, que huit étudiants de l’association M.A.R.S UCLouvain vont passer deux semaines, entre le 27 mars et le 9 avril.
« Au cours de cette simulation de mission martienne, nous allons nous livrer à une série d’expériences scientifiques », explique Cyril Wain, commandant de cette mission. A cause des reports de la mission, l’ingénieur civil électricien a d’ores et déjà bouclé son cursus académique. Il est le seul membre de l’équipage qui est désormais entré dans la vie active. Cela n’a toutefois pas entamé son intérêt pour cette expérience.
Retour au début
De la spiruline comme complément alimentaire
« Habituellement, ce genre de mission se prépare pendant un an », précise Jean Jacobs doctorant (FNRS/FRIA) au laboratoire de biochimie de l’Institut de Duve, à l’UCLouvain. « Avec la pandémie, nous avons bénéficié d’un peu plus de temps. Notre équipage, riche de quatre hommes et quatre femmes, est prêt à mener ses recherches. »
Les deux semaines de simulation vont se dérouler en autonomie. La nourriture de l’équipage sera essentiellement lyophilisée. Ce qui mènera Jean Jacobs à suivre divers aspects du métabolisme de chaque membre de l’équipage. « Il s’agira d’évaluer comment nos organismes s’adaptent au nouveau mode d’alimentation, mais aussi au stress engendré par ce genre de séjour confiné et à l’absence de lumière du jour. Pour ce faire, des échantillons d’urine et un prélèvement d’une goutte de sang chez chacun, à différents moments de la mission, seront réalisés », explique-t-il.
Une collaboration avec le Centre d’étude nucléaire de Mol (SCK-CEN) devrait également permettre d’évaluer l’attrait d’un apport en spiruline, une algue prise sous forme de complément alimentaire, sur le métabolisme de l’équipage. « Notre groupe forme une cohorte intéressante et homogène », souligne Cyril Wain. « Nous avons tous le même âge, entre 20 et 30 ans, et nous allons tous être soumis aux mêmes conditions de vie, à la même alimentation. »
Retour au débutLa gestion de l’équipage par intelligence artificielle
D’autres expériences plus en phase avec l’astronomie, la géologie, les ressources humaines sont également au programme. « Je vais mener une expérience au moyen d’un radar de sol (Ground penetration radar) » reprend Cyril Wain. « Il s’agit d’évaluer la présence d’eau dans le sol et d’identifier les sites les plus adéquats pour l’installation d’un système d’irrigation ».
De la photogrammétrie est également prévue. Il s’agit d’effectuer un relevé en trois dimensions des environs de la station.
Une expérience proposée par Michael Saint-Guillain, un ancien participant d’une telle mission (en 2018), et qui a, depuis lors, lancé sa spin-off Rombio, sera également réalisée. Elle concerne les horaires qui vont rythmer les tâches dévolues à chaque membre l’équipage. Les huit membres de l’équipe ont chacun un rôle à jouer au sein de la station (gestion du dôme, des eaux usées, des télescopes de la MDRS). Ils ont également chacun leur expérience personnelle à mener à bien. Que se passerait-il en cas d’imprévu? Comme cela peut se produire lors d’une véritable mission spatiale? C’est ce que l’expérience proposée par Michael Saint-Guillain se propose d’évaluer, en utilisant notamment l’intelligence artificielle.
Retour au début
Une expérience humaine et formative
Parmi les autres expériences de l’équipage belge en Utah, pointons encore une étude sur l’hypnose, le sommeil des astronautes, la pose d’un fixateur externe sur un membre en cas de fracture, la microbiologie, les apports alimentaires basés sur de la farine d’insectes, l’impression 3D destinée à fabriquer à la demande l’un ou l’autre outil manquant.
Ce genre de simulation coûte entre 20.000 et 30.000 euros. Pour cette mission martienne, les étudiants de l’UCLouvain bénéficient de plusieurs sponsors, dont le service Recherche et Innovation de Wallonie-Bruxelles International (WBI), qui intervient dans leurs frais de voyage. La Sabca, AerospaceLab ou encore le Centre d’étude nucléaire de Mol (SCK-CEN), participent aussi à leur aventure. « Soit sous forme de financements, soit en matériel », précise Jean Jacobs.
Quel est l’attrait principal de ce genre d’expérience de simulation de mission spatiale pour des étudiants universitaires? L’ingénieur en aérospatial Guerric de Crombrugghe, désormais directeur général de ScanWorld, et qui fut un des premiers étudiants de l’UCLouvain à participer à ce genre d’expérience, en 2008, est très clair: « c’est avant tout une expérience formative et humaine très intéressante » estime-t-il. Le compte rendu d’une de ses journées dans le désert de l’Utah est disponible sur son blog.
Source: Christian Du Brulle pour Daily Science
Retour au débutC’est dans les infrastructures de la Mars Desert research station (MDRS), installées dans un environnement isolé, aux reliefs rappelant ce que l’on trouve à la surface de la planète rouge, que huit étudiants de l’association M.A.R.S UCLouvain vont passer deux semaines, entre le 27 mars et le 9 avril.
« Au cours de cette simulation de mission martienne, nous allons nous livrer à une série d’expériences scientifiques », explique Cyril Wain, commandant de cette mission. A cause des reports de la mission, l’ingénieur civil électricien a d’ores et déjà bouclé son cursus académique. Il est le seul membre de l’équipage qui est désormais entré dans la vie active. Cela n’a toutefois pas entamé son intérêt pour cette expérience.
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De la spiruline comme complément alimentaire
« Habituellement, ce genre de mission se prépare pendant un an », précise Jean Jacobs doctorant (FNRS/FRIA) au laboratoire de biochimie de l’Institut de Duve, à l’UCLouvain. « Avec la pandémie, nous avons bénéficié d’un peu plus de temps. Notre équipage, riche de quatre hommes et quatre femmes, est prêt à mener ses recherches. »
Les deux semaines de simulation vont se dérouler en autonomie. La nourriture de l’équipage sera essentiellement lyophilisée. Ce qui mènera Jean Jacobs à suivre divers aspects du métabolisme de chaque membre de l’équipage. « Il s’agira d’évaluer comment nos organismes s’adaptent au nouveau mode d’alimentation, mais aussi au stress engendré par ce genre de séjour confiné et à l’absence de lumière du jour. Pour ce faire, des échantillons d’urine et un prélèvement d’une goutte de sang chez chacun, à différents moments de la mission, seront réalisés », explique-t-il.
Une collaboration avec le Centre d’étude nucléaire de Mol (SCK-CEN) devrait également permettre d’évaluer l’attrait d’un apport en spiruline, une algue prise sous forme de complément alimentaire, sur le métabolisme de l’équipage. « Notre groupe forme une cohorte intéressante et homogène », souligne Cyril Wain. « Nous avons tous le même âge, entre 20 et 30 ans, et nous allons tous être soumis aux mêmes conditions de vie, à la même alimentation. »
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D’autres expériences plus en phase avec l’astronomie, la géologie, les ressources humaines sont également au programme. « Je vais mener une expérience au moyen d’un radar de sol (Ground penetration radar) » reprend Cyril Wain. « Il s’agit d’évaluer la présence d’eau dans le sol et d’identifier les sites les plus adéquats pour l’installation d’un système d’irrigation ».
De la photogrammétrie est également prévue. Il s’agit d’effectuer un relevé en trois dimensions des environs de la station.
Une expérience proposée par Michael Saint-Guillain, un ancien participant d’une telle mission (en 2018), et qui a, depuis lors, lancé sa spin-off Rombio, sera également réalisée. Elle concerne les horaires qui vont rythmer les tâches dévolues à chaque membre l’équipage. Les huit membres de l’équipe ont chacun un rôle à jouer au sein de la station (gestion du dôme, des eaux usées, des télescopes de la MDRS). Ils ont également chacun leur expérience personnelle à mener à bien. Que se passerait-il en cas d’imprévu? Comme cela peut se produire lors d’une véritable mission spatiale? C’est ce que l’expérience proposée par Michael Saint-Guillain se propose d’évaluer, en utilisant notamment l’intelligence artificielle.
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Une expérience humaine et formative
Parmi les autres expériences de l’équipage belge en Utah, pointons encore une étude sur l’hypnose, le sommeil des astronautes, la pose d’un fixateur externe sur un membre en cas de fracture, la microbiologie, les apports alimentaires basés sur de la farine d’insectes, l’impression 3D destinée à fabriquer à la demande l’un ou l’autre outil manquant.
Ce genre de simulation coûte entre 20.000 et 30.000 euros. Pour cette mission martienne, les étudiants de l’UCLouvain bénéficient de plusieurs sponsors, dont le service Recherche et Innovation de Wallonie-Bruxelles International (WBI), qui intervient dans leurs frais de voyage. La Sabca, AerospaceLab ou encore le Centre d’étude nucléaire de Mol (SCK-CEN), participent aussi à leur aventure. « Soit sous forme de financements, soit en matériel », précise Jean Jacobs.
Quel est l’attrait principal de ce genre d’expérience de simulation de mission spatiale pour des étudiants universitaires? L’ingénieur en aérospatial Guerric de Crombrugghe, désormais directeur général de ScanWorld, et qui fut un des premiers étudiants de l’UCLouvain à participer à ce genre d’expérience, en 2008, est très clair: « c’est avant tout une expérience formative et humaine très intéressante » estime-t-il. Le compte rendu d’une de ses journées dans le désert de l’Utah est disponible sur son blog.
Source: Christian Du Brulle pour Daily Science
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L’Établissement Spécialisé de la Francophonie pour l’Administration et le Management (ESFAM) est un institut de l’Agence Universitaire de la Francophonie, basé à Sofia, en Bulgarie. Sa mission est de former en langue française des spécialistes de haut niveau en gestion des administrations et des entreprises pour contribuer au développement des pays de la zone Europe Centrale et Orientale. En formation initiale, il propose des cursus en un an qui permettent d’obtenir des diplômes de master de grandes universités françaises et belges.
Retour au débutMasters proposés
- Master Management et Administration des Entreprises: master de l’Université de Nantes (France)
- Master Management public: master de l’Université de Liège (Belgique)
- Master Management des PME et des territoires touristiques: master de l’Université de Corse Pasquale Paoli (France)
- Master Transports Internationaux: master de l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne (France)
- Master Supply Chain Management: master de l’Université Paris 2 Panthéon Assas (France)
Conditions pour postuler
- avoir validé 4 années d’enseignement supérieur ou acquis l’équivalent de 240 crédits européens ;
- avoir appris le français avec un niveau minimum B1.
Pour poser votre candidature, vous devez créer votre dossier sur le site de l’ESFAM.
Ce dossier permet aussi de postuler au tarif subventionné AUF, ainsi qu’à différentes bourses.
Il est possible de postuler sur plusieurs formations, mais il faut déposer un dossier spécifique par formation.
Retour au débutTarif d’inscription
Tarif plein
Le tarif d’inscription à l’ESFAM, quel que soit le Master, est de 4000 € pour un an. Ce tarif comprend l’inscription à l’université partenaire, et couvre les frais pédagogiques. Il ne comprend pas le logement, l’assurance et la nourriture.
Tarif subventionné AUF
Le tarif d'inscription subventionné s'élève à 300 €.
Sont éligibles au tarif subventionné :
De droit :
- Les étudiants de la nationalité des pays suivants : Albanie, Arménie, Azerbaïdjan, Biélorussie, Bosnie-Herzégovine, Bulgarie, Croatie, Estonie, Géorgie, Grèce, Hongrie, Lettonie, Lituanie, Kazakhstan, Kirghizistan, Kosovo, Macédoine du Nord, Monténégro, Moldavie, Ouzbékistan, Pologne, République tchèque, Roumanie, Russie, Serbie, Slovaquie, Slovénie, Tadjikistan, Turkménistan, Turquie, Ukraine.
- Les étudiants en cours d’études dans les universités diplômantes de l’ESFAM : Corse, Paris 1, Paris 2, Nantes, Liège.
- Les étudiants en cours d’études dans les universités partenaires de l’ESFAM.
Sur dossier (bourses de l’AUF) :
Les étudiants du monde entier, diplômés d’une université membre de l’AUF ou d’une structure associée à l’AUF, et portant un projet professionnel de qualité.
Retour au débutBourses d’études
Grâce à des fonds de Wallonie Bruxelles International (WBI) et du Gouvernement de la République de Bulgarie, certains étudiants de l’ESFAM peuvent recevoir une bourse d’études. Elles sont contingentées et attribuées sur des critères de qualité du projet professionnel.
Bourses de WBI
Montant annuel : 2000 €.
Condition d’éligibilité : être ressortissant d’un des pays suivants — Albanie, Arménie, Azerbaïdjan, Biélorussie, Bosnie-Herzégovine, Bulgarie, Croatie, Estonie, Fédération de Russie, Géorgie, Hongrie, Kazakhstan, Kirghizistan, Kosovo, Lettonie, Lituanie, Macédoine du Nord, Monténégro, Ouzbékistan, Pologne, République de Moldavie, République Tchèque, Roumanie, Serbie, Slovaquie, Slovénie, Tadjikistan, Turkménistan, Ukraine.
Bourses du Gouvernement de la République de Bulgarie
Montant annuel : 1500 €.
Condition d’éligibilité : être ressortissant d’un des pays suivants — Albanie, Arménie, Biélorussie, Bosnie-Herzégovine, Géorgie, République de Macédoine du Nord, République de Moldavie, Serbie, Ukraine.
Si comme Smilja Gorčić, vous souhaitez acquérir des compétences administratives de haut niveau et vivre une expérience personnelle et professionnelle enrichissante, postulez à l'ESFAM.
Toutes les informations sont disponibles sur le site de l'école.
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L’Établissement Spécialisé de la Francophonie pour l’Administration et le Management (ESFAM) est un institut de l’Agence Universitaire de la Francophonie, basé à Sofia, en Bulgarie. Sa mission est de former en langue française des spécialistes de haut niveau en gestion des administrations et des entreprises pour contribuer au développement des pays de la zone Europe Centrale et Orientale. En formation initiale, il propose des cursus en un an qui permettent d’obtenir des diplômes de master de grandes universités françaises et belges.
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- Master Management et Administration des Entreprises: master de l’Université de Nantes (France)
- Master Management public: master de l’Université de Liège (Belgique)
- Master Management des PME et des territoires touristiques: master de l’Université de Corse Pasquale Paoli (France)
- Master Transports Internationaux: master de l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne (France)
- Master Supply Chain Management: master de l’Université Paris 2 Panthéon Assas (France)
Conditions pour postuler
- avoir validé 4 années d’enseignement supérieur ou acquis l’équivalent de 240 crédits européens ;
- avoir appris le français avec un niveau minimum B1.
Pour poser votre candidature, vous devez créer votre dossier sur le site de l’ESFAM.
Ce dossier permet aussi de postuler au tarif subventionné AUF, ainsi qu’à différentes bourses.
Il est possible de postuler sur plusieurs formations, mais il faut déposer un dossier spécifique par formation.
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Tarif plein
Le tarif d’inscription à l’ESFAM, quel que soit le Master, est de 4000 € pour un an. Ce tarif comprend l’inscription à l’université partenaire, et couvre les frais pédagogiques. Il ne comprend pas le logement, l’assurance et la nourriture.
Tarif subventionné AUF
Le tarif d'inscription subventionné s'élève à 300 €.
Sont éligibles au tarif subventionné :
De droit :
- Les étudiants de la nationalité des pays suivants : Albanie, Arménie, Azerbaïdjan, Biélorussie, Bosnie-Herzégovine, Bulgarie, Croatie, Estonie, Géorgie, Grèce, Hongrie, Lettonie, Lituanie, Kazakhstan, Kirghizistan, Kosovo, Macédoine du Nord, Monténégro, Moldavie, Ouzbékistan, Pologne, République tchèque, Roumanie, Russie, Serbie, Slovaquie, Slovénie, Tadjikistan, Turkménistan, Turquie, Ukraine.
- Les étudiants en cours d’études dans les universités diplômantes de l’ESFAM : Corse, Paris 1, Paris 2, Nantes, Liège.
- Les étudiants en cours d’études dans les universités partenaires de l’ESFAM.
Sur dossier (bourses de l’AUF) :
Les étudiants du monde entier, diplômés d’une université membre de l’AUF ou d’une structure associée à l’AUF, et portant un projet professionnel de qualité.
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Grâce à des fonds de Wallonie Bruxelles International (WBI) et du Gouvernement de la République de Bulgarie, certains étudiants de l’ESFAM peuvent recevoir une bourse d’études. Elles sont contingentées et attribuées sur des critères de qualité du projet professionnel.
Bourses de WBI
Montant annuel : 2000 €.
Condition d’éligibilité : être ressortissant d’un des pays suivants — Albanie, Arménie, Azerbaïdjan, Biélorussie, Bosnie-Herzégovine, Bulgarie, Croatie, Estonie, Fédération de Russie, Géorgie, Hongrie, Kazakhstan, Kirghizistan, Kosovo, Lettonie, Lituanie, Macédoine du Nord, Monténégro, Ouzbékistan, Pologne, République de Moldavie, République Tchèque, Roumanie, Serbie, Slovaquie, Slovénie, Tadjikistan, Turkménistan, Ukraine.
Bourses du Gouvernement de la République de Bulgarie
Montant annuel : 1500 €.
Condition d’éligibilité : être ressortissant d’un des pays suivants — Albanie, Arménie, Biélorussie, Bosnie-Herzégovine, Géorgie, République de Macédoine du Nord, République de Moldavie, Serbie, Ukraine.
Si comme Smilja Gorčić, vous souhaitez acquérir des compétences administratives de haut niveau et vivre une expérience personnelle et professionnelle enrichissante, postulez à l'ESFAM.
Toutes les informations sont disponibles sur le site de l'école.
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La Revue W+B n°155 est accessible !
Ce 8 mars, c’était la Journée internationale des Droits des femmes. Mais il est évident que, au-delà de cette journée symbolique, c’est bien toute l’année que ces droits doivent être défendus et respectés. Wallonie-Bruxelles International prend ses responsabilités en la matière. C’est ainsi que deux référents « genre » ont été nommés, afin de mieux sensibiliser à cette thématique et de faire bouger les mentalités. Explications et présentations de projets dans ce nouveau numéro de la Revue W+B.
Un numéro de découvertes aussi, avec un « parcours Magritte » à Bruxelles, le Forum « Paroles de rue » de l’asbl Dynamo International, les programmes de l’APEFE pour la période 2022-2026, la société Vésale Bioscience, le salon South by Southwest ou le whisky Belgian Owl.
Egalement des rencontres au programme, avec la créatrice Marie-Laurence Stevigny (MLStudio) et le designer Alain Gilles.
Et puis profitons du soleil printanier qui montre son nez pour faire de jolies balades alliant nature et culture.
Bonne lecture !
Retour au débutAu programme
- Dossier : Les Droits des femmes au coeur des préoccupations de Wallonie-Bruxelles International
- Culture : Ceci n'est pas une vie (mais l'oeuvre d'une vie)
- Portrait : Marie-Laurence Stevigny
- Design : Le Design pour seconde vie
- Jeunesse : La Parole est à la rue
- Coopération au développement : La Coopération au développement a bien changé
- Entreprise : Vésale Bioscience, start-up la plus innovante d'Europe
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