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Vous êtes étudiants en master ou doctorat en sciences humaines et sociales et vous envisagez votre terrain de recherche en Asie centrale?

 

L’Institut français d’études sur l’Asie centrale (IFEAC) propose des aides à la mobilité internationale pour le Kazakhstan, Kirghizstan, Ouzbékistan, Turkménistan, Tadjikistan.

Ces bourses sont d’une durée de 1 à 3 mois et destinées à couvrir les frais de transport des bénéficiaires. 

 

Elles sont ouvertes à toutes les disciplines des sciences humaines et sociales.

 

Pour en bénéficier, vous devez être inscrit dans un établissement d’enseignement supérieur français (ou européen au sens large) sans condition de nationalité et votre séjour doit se terminer le 1 décembre 2022 au plus tard.

 

Votre dossier devra comporter les pièces suivantes :

  • CV
  • Formulaire de candidature completé
  • Certificat de scolarité
  • Lettre de soutien de la personne qui supervise le mémoire (niveau Master) ou la thèse (niveau Doctorat)
  • Résumé du projet de recherche (1500 mots maximum).

 

Vous trouverez le formulaire de candidature à télécharger en bas de page et sur le site de l’Institut français d’études sur l’Asie centrale.

 

La date limite de retour des dossiers est fixée au 13 mars 2022 à minuit

Les dossiers seront évalués par le Conseil scientifique de l’IFEAC, en tenant compte de la qualité scientifique du dossier, de la pertinence du séjour de recherche et de sa faisabilité.



Les candidats seront informés du résultat au mois d’avril et pourront en principe effectuer leurs enquêtes de terrain à partir du 1er mai 2022.

 

Pour tout renseignement complémentaire, vous pouvez envoyer un message à ifeac.bichkek@gmail.com.

 

Vous êtes étudiants en master ou doctorat en sciences humaines et sociales et vous envisagez votre terrain de recherche en Asie centrale?

 

L’Institut français d’études sur l’Asie centrale (IFEAC) propose des aides à la mobilité internationale pour le Kazakhstan, Kirghizstan, Ouzbékistan, Turkménistan, Tadjikistan.

Ces bourses sont d’une durée de 1 à 3 mois et destinées à couvrir les frais de transport des bénéficiaires. 

 

Elles sont ouvertes à toutes les disciplines des sciences humaines et sociales.

 

Pour en bénéficier, vous devez être inscrit dans un établissement d’enseignement supérieur français (ou européen au sens large) sans condition de nationalité et votre séjour doit se terminer le 1 décembre 2022 au plus tard.

 

Votre dossier devra comporter les pièces suivantes :

  • CV
  • Formulaire de candidature completé
  • Certificat de scolarité
  • Lettre de soutien de la personne qui supervise le mémoire (niveau Master) ou la thèse (niveau Doctorat)
  • Résumé du projet de recherche (1500 mots maximum).

 

Vous trouverez le formulaire de candidature à télécharger en bas de page et sur le site de l’Institut français d’études sur l’Asie centrale.

 

La date limite de retour des dossiers est fixée au 13 mars 2022 à minuit

Les dossiers seront évalués par le Conseil scientifique de l’IFEAC, en tenant compte de la qualité scientifique du dossier, de la pertinence du séjour de recherche et de sa faisabilité.



Les candidats seront informés du résultat au mois d’avril et pourront en principe effectuer leurs enquêtes de terrain à partir du 1er mai 2022.

 

Pour tout renseignement complémentaire, vous pouvez envoyer un message à ifeac.bichkek@gmail.com.

 

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La journée internationale des droits des femmes 2022 (c) ONU femmes

La Journée internationale des droits des femmes est encore trop souvent mal comprise ou mal interprétée. Ainsi, nous entendons certaines personnes se souhaiter une « Bonne fête de la femme », et cette journée semble une bonne occasion pour offrir des fleurs à sa femme ou pour l’inviter au restaurant. De nombreuses marques ne s’y trompent pas et proposent différentes réductions en ce 8 mars, principalement sur des produits considérés comme typiquement féminins : des produits de beauté, des produits de nettoyage, du petit électro-ménager, des sous-vêtements, …

 

Cette récupération marketing cache mal les véritables enjeux et la signification de cette journée : l’égalité des femmes et des hommes n’est pas encore atteinte. Ni en Belgique ni ailleurs. Loin d’être une célébration « de la femme », à l’instar par exemple de la fête des mères, le 8 mars est au contraire une journée pour souligner que les droits des femmes ne sont pas acquis et qu’il reste encore pas mal de chemin à parcourir à différents niveaux.

 

Retour au début

Qu’est-ce que la Journée internationale des droits des femmes ? Et pourquoi le 8 mars ?

 

Officialisée le 16 décembre 1977, mais déjà célébrée dans de nombreux pays bien avant cette date, la journée internationale des droits des femmes vise à mettre en avant les femmes, leurs combats pour réduire les inégalités, et de manière générale, à sensibiliser tout un chacun sur les discriminations dont les femmes font encore l’objet, partout dans le monde.

 

Le 8 mars est la date qui a été choisie en Union soviétique pour célébrer cette journée. Lors de son officialisation par les Nations Unies en 1977, aucune date n’avait été spécifiée : l’ONU invitait simplement tous les Etats à célébrer une journée par an en faveur des droits des femmes. Le 8  mars s’est peu à peu imposé dans la tradition, et est devenu, aujourd’hui, dans la plupart des pays, la Journée internationale des Droits des Femmes.

 

Retour au début

Pourquoi est-ce important ?

 

Contrairement à une vision assez largement partagée, les femmes ne sont pas une minorité : elles constituent environ la moitié de l’humanité. Ce qui signifie qu’environ la moitié de l’humanité est systématiquement discriminée sur base de son sexe et des stéréotypes de genre. Il ne s’agit malheureusement pas que de discriminations : il s’agit aussi bien souvent de violences, de harcèlement, d’agressions sexuelles, d’inégalités salariales ou dans l’accès aux formations, emplois, promotions, …

C’est pour ne pas oublier ces luttes-là que la journée internationale des droits des femmes existe.

 

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Mais en Belgique, l’égalité est atteinte, les femmes ont les mêmes droits que les hommes…

 

Il est vrai qu’en droit, les femmes sont égales aux hommes. Mais dans les faits, aujourd’hui encore, elles sont par exemple, souvent moins bien payées que leurs homologues masculins ; la répartition des tâches ménagères et des soins aux enfants est encore en leur défaveur ; elles subissent, bien plus que les hommes, des actes de harcèlement de rue ou de harcèlement sexuel ; les violences conjugales concernent, dans une large majorité, des femmes, qui sont également bien plus nombreuses à succomber sous les coups de leur conjoint ou ex-conjoint que l’inverse.

 

Ceci étant, il importe de souligner que la Belgique est un pays où, pour les femmes, il fait meilleur vivre que dans bien d’autres pays, où les lois consacrent leur inégalité juridique, ou dans lesquels les mœurs sont telles que la violence à leur encontre est considérée comme légitime.

 

Nos Gouvernements, à tous les échelons, ont fait de cette question une priorité. C’est ainsi qu’il existe un plan genre au niveau wallon, au niveau de la Fédération Wallonie-Bruxelles, au niveau fédéral, et même au niveau européen. Ces plans visent les chantiers qui doivent encore être menés afin de réduire les inégalités, et prévoient des mesures concrètes pour y remédier.

 

WBI a également intégré l’égalité entre les femmes et les hommes dans ses priorités, et œuvre quotidiennement, de diverses façons, pour la réduction des inégalités, parce que oui, en ce 8 mars 2022, il est encore nécessaire de lutter pour que les femmes bénéficient, dans les faits, des mêmes droits et avantages que les hommes.

 

Bonne journée des Droits des Femmes à toutes et à tous !

 

Retrouvez les récits, ressources et origines de la Journée internationale des droits des femmes sur la page Journée internationale des femmes de l'ONU et sur ONU Femmes.

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La Journée internationale des droits des femmes est encore trop souvent mal comprise ou mal interprétée. Ainsi, nous entendons certaines personnes se souhaiter une « Bonne fête de la femme », et cette journée semble une bonne occasion pour offrir des fleurs à sa femme ou pour l’inviter au restaurant. De nombreuses marques ne s’y trompent pas et proposent différentes réductions en ce 8 mars, principalement sur des produits considérés comme typiquement féminins : des produits de beauté, des produits de nettoyage, du petit électro-ménager, des sous-vêtements, …

 

Cette récupération marketing cache mal les véritables enjeux et la signification de cette journée : l’égalité des femmes et des hommes n’est pas encore atteinte. Ni en Belgique ni ailleurs. Loin d’être une célébration « de la femme », à l’instar par exemple de la fête des mères, le 8 mars est au contraire une journée pour souligner que les droits des femmes ne sont pas acquis et qu’il reste encore pas mal de chemin à parcourir à différents niveaux.

 

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Qu’est-ce que la Journée internationale des droits des femmes ? Et pourquoi le 8 mars ?

 

Officialisée le 16 décembre 1977, mais déjà célébrée dans de nombreux pays bien avant cette date, la journée internationale des droits des femmes vise à mettre en avant les femmes, leurs combats pour réduire les inégalités, et de manière générale, à sensibiliser tout un chacun sur les discriminations dont les femmes font encore l’objet, partout dans le monde.

 

Le 8 mars est la date qui a été choisie en Union soviétique pour célébrer cette journée. Lors de son officialisation par les Nations Unies en 1977, aucune date n’avait été spécifiée : l’ONU invitait simplement tous les Etats à célébrer une journée par an en faveur des droits des femmes. Le 8  mars s’est peu à peu imposé dans la tradition, et est devenu, aujourd’hui, dans la plupart des pays, la Journée internationale des Droits des Femmes.

 

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Pourquoi est-ce important ?

 

Contrairement à une vision assez largement partagée, les femmes ne sont pas une minorité : elles constituent environ la moitié de l’humanité. Ce qui signifie qu’environ la moitié de l’humanité est systématiquement discriminée sur base de son sexe et des stéréotypes de genre. Il ne s’agit malheureusement pas que de discriminations : il s’agit aussi bien souvent de violences, de harcèlement, d’agressions sexuelles, d’inégalités salariales ou dans l’accès aux formations, emplois, promotions, …

C’est pour ne pas oublier ces luttes-là que la journée internationale des droits des femmes existe.

 

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Mais en Belgique, l’égalité est atteinte, les femmes ont les mêmes droits que les hommes…

 

Il est vrai qu’en droit, les femmes sont égales aux hommes. Mais dans les faits, aujourd’hui encore, elles sont par exemple, souvent moins bien payées que leurs homologues masculins ; la répartition des tâches ménagères et des soins aux enfants est encore en leur défaveur ; elles subissent, bien plus que les hommes, des actes de harcèlement de rue ou de harcèlement sexuel ; les violences conjugales concernent, dans une large majorité, des femmes, qui sont également bien plus nombreuses à succomber sous les coups de leur conjoint ou ex-conjoint que l’inverse.

 

Ceci étant, il importe de souligner que la Belgique est un pays où, pour les femmes, il fait meilleur vivre que dans bien d’autres pays, où les lois consacrent leur inégalité juridique, ou dans lesquels les mœurs sont telles que la violence à leur encontre est considérée comme légitime.

 

Nos Gouvernements, à tous les échelons, ont fait de cette question une priorité. C’est ainsi qu’il existe un plan genre au niveau wallon, au niveau de la Fédération Wallonie-Bruxelles, au niveau fédéral, et même au niveau européen. Ces plans visent les chantiers qui doivent encore être menés afin de réduire les inégalités, et prévoient des mesures concrètes pour y remédier.

 

WBI a également intégré l’égalité entre les femmes et les hommes dans ses priorités, et œuvre quotidiennement, de diverses façons, pour la réduction des inégalités, parce que oui, en ce 8 mars 2022, il est encore nécessaire de lutter pour que les femmes bénéficient, dans les faits, des mêmes droits et avantages que les hommes.

 

Bonne journée des Droits des Femmes à toutes et à tous !

 

Retrouvez les récits, ressources et origines de la Journée internationale des droits des femmes sur la page Journée internationale des femmes de l'ONU et sur ONU Femmes.

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Du 11 au 20 mars 2022, une vingtaine d’entités, entreprises, universités, wallonnes participent à la 13e mission technologique au Texas de Wallonie-Bruxelles International (WBI) et de l’Agence wallonne à l’Exportation et aux Investissements étrangers (AWEX). Cette mission et leur participation au Festival South by Southwest seront pour elles des moments privilégiés pour aborder le marché américain ou y renforcer leur présence. Mais pourquoi passer par le Texas ?

 

L’anecdote historique fait remonter la relation entre la Wallonie et le Texas à 1839. Une époque où le Texas est une République qui vient de déclarer son indépendance à Washington-on-the-Brazos (la Belgique fut d’ailleurs l’un des tout premiers pays à reconnaître la République), et trouve enfin un lieu pour édifier sa capitale. L’endroit n’est qu’un petit village sur les rives du Colorado et il ne s’appelle pas encore Austin mais… Waterloo.

 

Cette connexion patronymique avec le Brabant Wallon ne tiendra malheureusement pas bien longtemps, la bourgade étant très rapidement rebaptisée en l’honneur de Stephen F. Austin, « le père » du Texas. Peut-on y voir une anecdote prémonitoire de futures relations entre la Wallonie et le Texas? Pourquoi pas ? Le fait est que deux siècles plus tard, les deux écosystèmes entretiennent toujours des liens particuliers.

 

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Liens historiques…

L’un de ces liens – peut-être prémonitoire lui aussi - s’est tissé au crépuscule de la Seconde guerre mondiale, durant la Bataille des Ardennes. Dans les rangs des G.I., c’est l’Université de Texas A&M qui a formé le plus grand nombre d’officiers présents sur le front. Et dans le Lone Star State, on ne l’a pas oublié. Au point qu’en 2013, ce souvenir donne lieu au jumelage de la ville de Bastogne avec les municipalités sur lesquelles s’étend l’Université de Texas A&M : Bryan et College Station. Dans la foulée se monte en Belgique, la première exposition temporaire du nouveau Bastogne War Museum. Pour son inauguration, l’événement « Texas Aggies Go To War » attire plus d’un millier de Texans en terre ardennaise. Après avoir été le fer de lance du musée pendant deux ans, il s’est définitivement installé au Texas. Sur le campus de Texas A&M, cela va sans dire.

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… et économiques

Si ces initiatives ont vu le jour, c’est notamment grâce aux relations qu’entretiennent l’AWEX et l’Université de Texas A&M depuis plus de 15 ans.

« La Wallonie a intensifié ses relations économiques avec le Texas dès 2005, » se souvient Philippe Lachapelle, directeur de l’équipe Innovation de l’AWEX. « A l’époque, nous avions noté que l’Université de Texas A&M intégrait toutes les disciplines inscrites dans le Plan Marshall. Quant à l’Etat en lui-même, il recélait et recèle toujours des avantages économiques et fiscaux particulièrement avantageux, qui en font la 2e économie américaine et la 14e à l’échelle mondiale.

 

A l’origine, le Texas représentait donc une porte d’entrée très intéressante pour pénétrer le marché (nord-) américain. Avec Texas A&M, nous nous sommes efforcés d’identifier des opportunités de collaboration avec la politique industrielle de la Wallonie. Des liens importants se sont alors noués. Avec l’université dans un premier temps, avec les acteurs économiques qui l’entourent dans un second temps. De fil en aiguille, nous avons bâti au Texas un cadre accueillant pour que nos entreprises – essentiellement technologiques – puissent y trouver un terreau propice à leur développement sur le sol américain : ressources humaines, capital, propriété intellectuelle, opportunités de marché,… »

 

En 15 ans, près de 300 entreprises wallonnes ont participé aux missions technologiques de l’AWEX, et une quinzaine d’entre elles ont implanté une filiale au Texas.

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SXSW : capitale éphémère des industries créatives

Une partie de cette délégation mettra ensuite le cap sur South by Southwest (SXSW), le festival international d’art et d’innovation technologiques le plus important d’Amérique du Nord. Organisé du 11 au 20 mars à Austin, il réunira notamment une vingtaine d’innovateurs wallons désireux d’aborder ce secteur d’activité particulièrement vaste. Le stand que WBI et l’AWEX tiennent sur le festival s’inscrira comme l’épicentre d’un florilège d’opportunités d’affaires : rendez-vous B2B sur place, mais aussi sessions de networking sur le rooftop d’un cabinet d’avocats partenaire, petit-déjeuner wallon, Belgian Beer Café, Village francophone, rencontres avec des acteurs technologiques québécois,…

 

« WBI et l’AWEX sont présents sur le Festival depuis 2018, avec pour objectif de présenter nos pépites innovantes, nos centres de recherche et nos laboratoires universitaires, de placer la Belgique sur la carte mondiale de l’innovation et de se laisser inspirer par les dernières tendances créatives et technologiques, » explique Marie Beheyt, Project manager Recherche & Innovation de WBI. « Les entités du sud du pays qui feront le déplacement à Austin évoluent dans les domaines tels que la réalité virtuelle, le transmédia, l’intelligence artificielle, le cinéma, l’art sonore, le digital, l’automatisation de la magie et les cultures créatives. Les Universités de Liège, Mons et Louvain seront également de la partie. »

 

Cette présence dynamique et fidèle de WBI et de l’AWEX au Festival South By Southwest participe notamment d’une ouverture internationale sur le milieu musical belge.

Ainsi, le groupe bruxellois Plain Jane, d'alternative country – folk, fait cette année, partie de la programmation officielle du plus grand festival de musique du monde.

 

De la technologie au service de la créativité, de la créativité au service de la technologie… l’innovation wallonne se montrera non seulement polymorphe mais aussi foisonnante !

 

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Du 11 au 20 mars 2022, une vingtaine d’entités, entreprises, universités, wallonnes participent à la 13e mission technologique au Texas de Wallonie-Bruxelles International (WBI) et de l’Agence wallonne à l’Exportation et aux Investissements étrangers (AWEX). Cette mission et leur participation au Festival South by Southwest seront pour elles des moments privilégiés pour aborder le marché américain ou y renforcer leur présence. Mais pourquoi passer par le Texas ?

 

L’anecdote historique fait remonter la relation entre la Wallonie et le Texas à 1839. Une époque où le Texas est une République qui vient de déclarer son indépendance à Washington-on-the-Brazos (la Belgique fut d’ailleurs l’un des tout premiers pays à reconnaître la République), et trouve enfin un lieu pour édifier sa capitale. L’endroit n’est qu’un petit village sur les rives du Colorado et il ne s’appelle pas encore Austin mais… Waterloo.

 

Cette connexion patronymique avec le Brabant Wallon ne tiendra malheureusement pas bien longtemps, la bourgade étant très rapidement rebaptisée en l’honneur de Stephen F. Austin, « le père » du Texas. Peut-on y voir une anecdote prémonitoire de futures relations entre la Wallonie et le Texas? Pourquoi pas ? Le fait est que deux siècles plus tard, les deux écosystèmes entretiennent toujours des liens particuliers.

 

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Liens historiques…

L’un de ces liens – peut-être prémonitoire lui aussi - s’est tissé au crépuscule de la Seconde guerre mondiale, durant la Bataille des Ardennes. Dans les rangs des G.I., c’est l’Université de Texas A&M qui a formé le plus grand nombre d’officiers présents sur le front. Et dans le Lone Star State, on ne l’a pas oublié. Au point qu’en 2013, ce souvenir donne lieu au jumelage de la ville de Bastogne avec les municipalités sur lesquelles s’étend l’Université de Texas A&M : Bryan et College Station. Dans la foulée se monte en Belgique, la première exposition temporaire du nouveau Bastogne War Museum. Pour son inauguration, l’événement « Texas Aggies Go To War » attire plus d’un millier de Texans en terre ardennaise. Après avoir été le fer de lance du musée pendant deux ans, il s’est définitivement installé au Texas. Sur le campus de Texas A&M, cela va sans dire.

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… et économiques

Si ces initiatives ont vu le jour, c’est notamment grâce aux relations qu’entretiennent l’AWEX et l’Université de Texas A&M depuis plus de 15 ans.

« La Wallonie a intensifié ses relations économiques avec le Texas dès 2005, » se souvient Philippe Lachapelle, directeur de l’équipe Innovation de l’AWEX. « A l’époque, nous avions noté que l’Université de Texas A&M intégrait toutes les disciplines inscrites dans le Plan Marshall. Quant à l’Etat en lui-même, il recélait et recèle toujours des avantages économiques et fiscaux particulièrement avantageux, qui en font la 2e économie américaine et la 14e à l’échelle mondiale.

 

A l’origine, le Texas représentait donc une porte d’entrée très intéressante pour pénétrer le marché (nord-) américain. Avec Texas A&M, nous nous sommes efforcés d’identifier des opportunités de collaboration avec la politique industrielle de la Wallonie. Des liens importants se sont alors noués. Avec l’université dans un premier temps, avec les acteurs économiques qui l’entourent dans un second temps. De fil en aiguille, nous avons bâti au Texas un cadre accueillant pour que nos entreprises – essentiellement technologiques – puissent y trouver un terreau propice à leur développement sur le sol américain : ressources humaines, capital, propriété intellectuelle, opportunités de marché,… »

 

En 15 ans, près de 300 entreprises wallonnes ont participé aux missions technologiques de l’AWEX, et une quinzaine d’entre elles ont implanté une filiale au Texas.

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SXSW : capitale éphémère des industries créatives

Une partie de cette délégation mettra ensuite le cap sur South by Southwest (SXSW), le festival international d’art et d’innovation technologiques le plus important d’Amérique du Nord. Organisé du 11 au 20 mars à Austin, il réunira notamment une vingtaine d’innovateurs wallons désireux d’aborder ce secteur d’activité particulièrement vaste. Le stand que WBI et l’AWEX tiennent sur le festival s’inscrira comme l’épicentre d’un florilège d’opportunités d’affaires : rendez-vous B2B sur place, mais aussi sessions de networking sur le rooftop d’un cabinet d’avocats partenaire, petit-déjeuner wallon, Belgian Beer Café, Village francophone, rencontres avec des acteurs technologiques québécois,…

 

« WBI et l’AWEX sont présents sur le Festival depuis 2018, avec pour objectif de présenter nos pépites innovantes, nos centres de recherche et nos laboratoires universitaires, de placer la Belgique sur la carte mondiale de l’innovation et de se laisser inspirer par les dernières tendances créatives et technologiques, » explique Marie Beheyt, Project manager Recherche & Innovation de WBI. « Les entités du sud du pays qui feront le déplacement à Austin évoluent dans les domaines tels que la réalité virtuelle, le transmédia, l’intelligence artificielle, le cinéma, l’art sonore, le digital, l’automatisation de la magie et les cultures créatives. Les Universités de Liège, Mons et Louvain seront également de la partie. »

 

Cette présence dynamique et fidèle de WBI et de l’AWEX au Festival South By Southwest participe notamment d’une ouverture internationale sur le milieu musical belge.

Ainsi, le groupe bruxellois Plain Jane, d'alternative country – folk, fait cette année, partie de la programmation officielle du plus grand festival de musique du monde.

 

De la technologie au service de la créativité, de la créativité au service de la technologie… l’innovation wallonne se montrera non seulement polymorphe mais aussi foisonnante !

 

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Affiche AKDT 2022

Le temps d’une semaine de stage, à Libramont ou Neufchâteau, l’AKDT, la Royale Académie Internationale d'été de Wallonie,  vous entraîne dans la spirale positive de ses activités qui vous libérera de vos pensées et de vos impératifs habituels !

 

Avec ses 60 années d’existence, l’académie d’été vous promet une programmation de près de 200 stages de qualité avec des professeurs aux domaines d’expertise incontestés.

 

Les quatre familles d’ateliers que sont la Musique, les Arts plastiques, les Danses et musiques du monde et les Arts du spectacle, ont renouvelé leurs propositions portées par les goûts du jour de chacun des conseillers artistiques: Vincent Dujardin, François Liénard, Christine Stanczyk et Grégoire-Gabriel Vanrobays.

 

Ferez-vous partie de cette 60ème saison exceptionnelle qui proposera en dehors des cours,  des concerts, conférences, spectacles, expo pour un mois de juillet marqué par le retour de l’art, de la culture et du divertissement ?

 

Découvrez le programme complet des stages et des formations pour les enfants, adolescents et adultes, avec un accompagnement adapté à l’âge, au niveau et aux besoins.

 

Sources: Le site de l'AKDT

Le temps d’une semaine de stage, à Libramont ou Neufchâteau, l’AKDT, la Royale Académie Internationale d'été de Wallonie,  vous entraîne dans la spirale positive de ses activités qui vous libérera de vos pensées et de vos impératifs habituels !

 

Avec ses 60 années d’existence, l’académie d’été vous promet une programmation de près de 200 stages de qualité avec des professeurs aux domaines d’expertise incontestés.

 

Les quatre familles d’ateliers que sont la Musique, les Arts plastiques, les Danses et musiques du monde et les Arts du spectacle, ont renouvelé leurs propositions portées par les goûts du jour de chacun des conseillers artistiques: Vincent Dujardin, François Liénard, Christine Stanczyk et Grégoire-Gabriel Vanrobays.

 

Ferez-vous partie de cette 60ème saison exceptionnelle qui proposera en dehors des cours,  des concerts, conférences, spectacles, expo pour un mois de juillet marqué par le retour de l’art, de la culture et du divertissement ?

 

Découvrez le programme complet des stages et des formations pour les enfants, adolescents et adultes, avec un accompagnement adapté à l’âge, au niveau et aux besoins.

 

Sources: Le site de l'AKDT

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Le stand et la délégation WBI-AWEX au Festival SXSW

South by Southwest est une référence mondiale et se produit chaque année à la même période, mêlant des artistes en quête de reconnaissance, des ingénieurs tournés vers l’avenir, des curieux, des passionnés, des personnalités dont le nom n’est plus inconnu, des startups et des grandes entreprises. C’est un foisonnement d’idées se réunissant autour de conférences sur la technologie, la culture et l’innovation, d’échanges, de stupéfactions et de prix parfois décernés. En 2019, SXSW avait rassemblé plus de 400 000 participants sur 735 espaces d’exposition, plus de 2100 conférences, la visibilité de 4000 médias et a compté 106 pays et territoires représentés.

 

Fort de la convergence de la musique, du cinéma et du secteur de la créativité, aujourd’hui encore – et peut-être même possédé d’une conviction plus affirmée – l’âme initiale de SXSW est intacte. Celle-ci est un outil d’apprentissage, de rencontre et de partage qui permet aux créatifs du monde entier de se développer tout en se rassemblant et en s’enrichissant les uns des autres.

 

Chaque année c’est la collaboration de WBI (Wallonie-Bruxelles International) et de l’AWEX (Agence wallonne à l'Exportation et aux Investissements étrangers) et qui permet à certains de ses innovateurs de représenter ce que notre belle région est capable de produire. Après l’édition de 2020 annulée à la dernière minute suite à la pandémie mondiale et une édition 2021 virtuelle, la Wallonie se remet à nouveau en route vers le Texas. Du 11 au 20 mars 2022, South by Southwest redonnera à la ville d’Austin sa portée mondiale et il sera enfin question pour la région Wallonne d’exporter ses joyaux.

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Un stand 100% belge

WBI-AWEX dispose cette année d’un stand 100% belge sur le Trade Show, en collaboration avec le Flanders Investment and Trade (FIT). Flamands, Bruxellois et Wallons ont pour objectif de présenter des entreprises innovantes, centres de recherche et laboratoires universitaires, de contribuer plus largement à placer la Belgique sur la carte mondiale de l’innovation et de capter l’inspiration issue des dernières tendances créatives et technologiques.

Parallèlement au salon, des événements de networking ont été organisés ainsi qu’un focus entre le Québec et la Wallonie. Les entreprises wallonnes participeront également au « Village Francophone » un événement privé organisé en marge de SXSW pour vanter les atouts de la francophonie.

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Une délégation très variée

Plus d’une quarantaine d’innovateurs belges, dont une vingtaine de wallons seront présents sur le Festival pour représenter la Belgique aux USA. Les entités du sud du pays faisant le déplacement cette année évoluent dans les domaines tels que la réalité virtuelle, le transmédia, l’intelligence artificielle, le cinéma, l’art sonore, le digital, l’automatisation de la magie et les cultures créatives. Les Universités de Liège, Mons et Louvain seront également de la partie.

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Dans quel but ?

Il est également important de souligner que la participation de ces entreprises et opérateurs au festival texan, permet à celles-ci de s’incorporer et de participer à un réseau d’opportunités. En effet, la forte concentration de passionnés et de professionnels est bénéfique à tous nos représentants car elle rend possible un networking et un partage qui dans d’autres circonstances n’auraient jamais pu être envisagés. Car rencontrer des experts dans son propre domaine d’action et de recherche facilite et rend possible de futurs partenariats commerciaux. D’un autre côté, SXSW est un évènement majeur pour s’informer des tendances et influences de demain, que ce soit à grande échelle ou à celle, plus personnelle, du secteur d’activité de nos entreprises présentes.

 

De belles choses se profilent une nouvelle fois pour le futur de la Wallonie et de Bruxelles !

 

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South by Southwest est une référence mondiale et se produit chaque année à la même période, mêlant des artistes en quête de reconnaissance, des ingénieurs tournés vers l’avenir, des curieux, des passionnés, des personnalités dont le nom n’est plus inconnu, des startups et des grandes entreprises. C’est un foisonnement d’idées se réunissant autour de conférences sur la technologie, la culture et l’innovation, d’échanges, de stupéfactions et de prix parfois décernés. En 2019, SXSW avait rassemblé plus de 400 000 participants sur 735 espaces d’exposition, plus de 2100 conférences, la visibilité de 4000 médias et a compté 106 pays et territoires représentés.

 

Fort de la convergence de la musique, du cinéma et du secteur de la créativité, aujourd’hui encore – et peut-être même possédé d’une conviction plus affirmée – l’âme initiale de SXSW est intacte. Celle-ci est un outil d’apprentissage, de rencontre et de partage qui permet aux créatifs du monde entier de se développer tout en se rassemblant et en s’enrichissant les uns des autres.

 

Chaque année c’est la collaboration de WBI (Wallonie-Bruxelles International) et de l’AWEX (Agence wallonne à l'Exportation et aux Investissements étrangers) et qui permet à certains de ses innovateurs de représenter ce que notre belle région est capable de produire. Après l’édition de 2020 annulée à la dernière minute suite à la pandémie mondiale et une édition 2021 virtuelle, la Wallonie se remet à nouveau en route vers le Texas. Du 11 au 20 mars 2022, South by Southwest redonnera à la ville d’Austin sa portée mondiale et il sera enfin question pour la région Wallonne d’exporter ses joyaux.

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Un stand 100% belge

WBI-AWEX dispose cette année d’un stand 100% belge sur le Trade Show, en collaboration avec le Flanders Investment and Trade (FIT). Flamands, Bruxellois et Wallons ont pour objectif de présenter des entreprises innovantes, centres de recherche et laboratoires universitaires, de contribuer plus largement à placer la Belgique sur la carte mondiale de l’innovation et de capter l’inspiration issue des dernières tendances créatives et technologiques.

Parallèlement au salon, des événements de networking ont été organisés ainsi qu’un focus entre le Québec et la Wallonie. Les entreprises wallonnes participeront également au « Village Francophone » un événement privé organisé en marge de SXSW pour vanter les atouts de la francophonie.

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Une délégation très variée

Plus d’une quarantaine d’innovateurs belges, dont une vingtaine de wallons seront présents sur le Festival pour représenter la Belgique aux USA. Les entités du sud du pays faisant le déplacement cette année évoluent dans les domaines tels que la réalité virtuelle, le transmédia, l’intelligence artificielle, le cinéma, l’art sonore, le digital, l’automatisation de la magie et les cultures créatives. Les Universités de Liège, Mons et Louvain seront également de la partie.

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Dans quel but ?

Il est également important de souligner que la participation de ces entreprises et opérateurs au festival texan, permet à celles-ci de s’incorporer et de participer à un réseau d’opportunités. En effet, la forte concentration de passionnés et de professionnels est bénéfique à tous nos représentants car elle rend possible un networking et un partage qui dans d’autres circonstances n’auraient jamais pu être envisagés. Car rencontrer des experts dans son propre domaine d’action et de recherche facilite et rend possible de futurs partenariats commerciaux. D’un autre côté, SXSW est un évènement majeur pour s’informer des tendances et influences de demain, que ce soit à grande échelle ou à celle, plus personnelle, du secteur d’activité de nos entreprises présentes.

 

De belles choses se profilent une nouvelle fois pour le futur de la Wallonie et de Bruxelles !

 

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M. Geoffroi Montpetit, Administrateur de l’OIF, Alain Verhaagen pour l'APEFE et le Prof. Slim Khalbous, Recteur de l’Agence Universitaire de la Francophonie.

L'Association pour la Promotion de l'Education et de la Formation à l'Etranger contribue ainsi à la formation des enseignants de ses pays partenaires, d’abord en République Démocratique du Congo, puis au Sénégal à partir de 2017.

 

L'objectif commun, à travers cette initiative, est d’améliorer la qualité des enseignements et des apprentissages, spécialement pour les filles. Les compétences professionnelles des enseignants et du personnel d'encadrement sont ainsi renforcées tout au long de la vie. L'appui est particulièrement affirmé en milieu rural.

 

Ces interventions ont permis d’introduire des méthodologies innovantes pour former et améliorer les pratiques professionnelles des enseignants auprès des élèves afin d’augmenter le taux de réussite scolaire, notamment par la mise en place d’un dispositif hybride de formation à distance via le numérique. 

 

La dernière réunion du Comité de pilotage de l'IFADEM, Initiative francophone pour la formation à distance des maîtres, a permis de souligner le bilan posisitif de ce dispositif de collaboration entre structures francophones.

 

Elle s’est tenue le samedi 19 février 2022 à Dakar sous la co-présidence de M. Geoffroi Montpetit, Administrateur de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et du Prof. Slim Khalbous, Recteur de l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF).

 

Ce Comité de pilotage a réuni les Ministres de l’Education des pays membres de l’Initiative IFADEM, M. le Secrétaire général de la CONFEMEN (Conférence des ministres de l'Education des Etats et gouvernements de la Francophonie) et Mme la Directrice de l'Institut de la Francophonie pour l'Education et la Formation (IFEF - OIF), ainsi que les partenaires techniques et financiers, dont la Coopération Belge au Développement et Wallonie-Bruxelles International à travers l’APEFE.

 

Avec la formation de plus de 8 000 enseignants et enseignantes en République Démocratique du Congo et au Sénégal, le bilan annoncé lors de cette réunion, par Pascale Delcomminette, Administratrice générale de WBI et administratrice déléguée de l’APEFE est très positif.

 

Il offre un socle de confiance pour les années à venir auquel vient répondre la Coopération fédéral belge en offrant un appui de 5,8 millions d'euros pour former plus de 8 000 enseignants au Bénin, en RDC et au Sénégal sur la période 2022-2026. 

 

Afin de poursuivre cette fructueuse collaboration, l'administrateur de l’OIF, le recteur de l’AUF et le Prof. Alain Verhaagen, représentant l’Administratrice déléguée de l’APEFE ont décidé de conjuguer leurs efforts et de cumuler leurs capacités à travers la signature d'un accord cadre pour appuyer la mise en œuvre d’IFADEM. 

Cette nouvelle collaboration s'inscrit en cohérence avec les poliques sectorielles des pays partenaires afin de répondre au mieux à la réalité de chacun.

 

La réunion de ce 19 février, a également permis aux différents partenaires, d'échanger sur l'avancement des programmes dans leurs pays respectifs, les bonnes pratiques, de mutualiser les expériences et de proposer des pistes pour l’avenir d’IFADEM au bénéfice de l’amélioration de la formation des enseignants et de la qualité des enseignements.

L'Association pour la Promotion de l'Education et de la Formation à l'Etranger contribue ainsi à la formation des enseignants de ses pays partenaires, d’abord en République Démocratique du Congo, puis au Sénégal à partir de 2017.

 

L'objectif commun, à travers cette initiative, est d’améliorer la qualité des enseignements et des apprentissages, spécialement pour les filles. Les compétences professionnelles des enseignants et du personnel d'encadrement sont ainsi renforcées tout au long de la vie. L'appui est particulièrement affirmé en milieu rural.

 

Ces interventions ont permis d’introduire des méthodologies innovantes pour former et améliorer les pratiques professionnelles des enseignants auprès des élèves afin d’augmenter le taux de réussite scolaire, notamment par la mise en place d’un dispositif hybride de formation à distance via le numérique. 

 

La dernière réunion du Comité de pilotage de l'IFADEM, Initiative francophone pour la formation à distance des maîtres, a permis de souligner le bilan posisitif de ce dispositif de collaboration entre structures francophones.

 

Elle s’est tenue le samedi 19 février 2022 à Dakar sous la co-présidence de M. Geoffroi Montpetit, Administrateur de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et du Prof. Slim Khalbous, Recteur de l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF).

 

Ce Comité de pilotage a réuni les Ministres de l’Education des pays membres de l’Initiative IFADEM, M. le Secrétaire général de la CONFEMEN (Conférence des ministres de l'Education des Etats et gouvernements de la Francophonie) et Mme la Directrice de l'Institut de la Francophonie pour l'Education et la Formation (IFEF - OIF), ainsi que les partenaires techniques et financiers, dont la Coopération Belge au Développement et Wallonie-Bruxelles International à travers l’APEFE.

 

Avec la formation de plus de 8 000 enseignants et enseignantes en République Démocratique du Congo et au Sénégal, le bilan annoncé lors de cette réunion, par Pascale Delcomminette, Administratrice générale de WBI et administratrice déléguée de l’APEFE est très positif.

 

Il offre un socle de confiance pour les années à venir auquel vient répondre la Coopération fédéral belge en offrant un appui de 5,8 millions d'euros pour former plus de 8 000 enseignants au Bénin, en RDC et au Sénégal sur la période 2022-2026. 

 

Afin de poursuivre cette fructueuse collaboration, l'administrateur de l’OIF, le recteur de l’AUF et le Prof. Alain Verhaagen, représentant l’Administratrice déléguée de l’APEFE ont décidé de conjuguer leurs efforts et de cumuler leurs capacités à travers la signature d'un accord cadre pour appuyer la mise en œuvre d’IFADEM. 

Cette nouvelle collaboration s'inscrit en cohérence avec les poliques sectorielles des pays partenaires afin de répondre au mieux à la réalité de chacun.

 

La réunion de ce 19 février, a également permis aux différents partenaires, d'échanger sur l'avancement des programmes dans leurs pays respectifs, les bonnes pratiques, de mutualiser les expériences et de proposer des pistes pour l’avenir d’IFADEM au bénéfice de l’amélioration de la formation des enseignants et de la qualité des enseignements.

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Vanessa Wyckmans-Vaxelaire

Et pourtant, depuis leurs deux premiers hectares de vignes plantées en 2009 et les cuvées qui se sont succédées, le couple a prouvé qu’un projet aussi fou pouvait mener à la réussite et à la reconnaissance. 

 

Ils ont planté leurs premières vignes au cœur du « Vignoulle », un lieu-dit au passé viticole. Répartis autour du château de Bioul, dans la province de Namur (Sud de la Belgique), les 11 hectares de vignes entretenues avec amour par leurs vignerons font revivre les coteaux d’autrefois. Le Domaine de Bioul produit aujourd’hui des vins blancs, rosés, rouges et même un crémant de Wallonie! Une appellation aujourd’hui reconnue qui rencontre d’ailleurs un très beau succès auprès des cavistes, sommeliers et autres amateurs en Belgique et ailleurs…

 

Andy et Vanessa Wyckmans-Vaxelaire travaillent dans le respect de l’environnement. Biodynamie, permaculture et choix de cépages naturellement résistants aux maladies ont apporté au domaine la certification Bio en 2020. Une belle reconnaissance pour Vanessa qui considère ses vignes comme des êtres vivants.  Mais la philosophie nature des vins du Château de Bioul est encore amplifiée par le travail de Mélanie Chéreau, leur maître de chai, qui vinifie en musique: les ondes et les vibrations de la musique classique ayant un effet positif sur la fermentation.   

 

Le Domaine de Bioul est aussi un château qui propose d’autres découvertes: gustatives, avec son restaurant et ses paniers pique-nique à emporter en balade et muséales avec son parcours interactif Made in Bioul. Vanessa Wyckmans-Vaxelaire espère également développer des chambres d’hôtes. Un nouveau pari qu’elle ne devrait pas avoir de mal à réussir! 

 

Découvrez les autres épisodes : https://www.youtube.com/playlist?list=PLR92G6D3xglDTnzUhIcuqWPgWfrbIu_FH

 

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Pour en savoir plus

Château de Bioul

Instagram

 

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A découvrir

Visite du Château de Bioul

Visiter Bioul

 

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Les Belges Histoires

WBI, en partenariat avec la RTBF, vous propose de découvrir les portraits de belges francophones qui font rayonner Wallonie-Bruxelles.

Découvrez la série de portraits

 

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Nos aides et services

Wallonie-Bruxelles International vous aide à développer vos projets à l’international avec des formations, des coachings, des missions de prospections, des aides financières…

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Et pourtant, depuis leurs deux premiers hectares de vignes plantées en 2009 et les cuvées qui se sont succédées, le couple a prouvé qu’un projet aussi fou pouvait mener à la réussite et à la reconnaissance. 

 

Ils ont planté leurs premières vignes au cœur du « Vignoulle », un lieu-dit au passé viticole. Répartis autour du château de Bioul, dans la province de Namur (Sud de la Belgique), les 11 hectares de vignes entretenues avec amour par leurs vignerons font revivre les coteaux d’autrefois. Le Domaine de Bioul produit aujourd’hui des vins blancs, rosés, rouges et même un crémant de Wallonie! Une appellation aujourd’hui reconnue qui rencontre d’ailleurs un très beau succès auprès des cavistes, sommeliers et autres amateurs en Belgique et ailleurs…

 

Andy et Vanessa Wyckmans-Vaxelaire travaillent dans le respect de l’environnement. Biodynamie, permaculture et choix de cépages naturellement résistants aux maladies ont apporté au domaine la certification Bio en 2020. Une belle reconnaissance pour Vanessa qui considère ses vignes comme des êtres vivants.  Mais la philosophie nature des vins du Château de Bioul est encore amplifiée par le travail de Mélanie Chéreau, leur maître de chai, qui vinifie en musique: les ondes et les vibrations de la musique classique ayant un effet positif sur la fermentation.   

 

Le Domaine de Bioul est aussi un château qui propose d’autres découvertes: gustatives, avec son restaurant et ses paniers pique-nique à emporter en balade et muséales avec son parcours interactif Made in Bioul. Vanessa Wyckmans-Vaxelaire espère également développer des chambres d’hôtes. Un nouveau pari qu’elle ne devrait pas avoir de mal à réussir! 

 

Découvrez les autres épisodes : https://www.youtube.com/playlist?list=PLR92G6D3xglDTnzUhIcuqWPgWfrbIu_FH

 

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