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La Biennale di Venezia, Giardini, Pavillon de la Belgique © Maxime Delvaux

Dans cette perspective, Wallonie-Bruxelles International et le Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles au travers de la Cellule architecture, parties prenantes du projet, lancent un appel ouvert à toutes et tous (architecture et autres disciplines) et sans imposition de thématique, pour le commissariat de cette édition 2023.

 

Les projets devront:

  • développer un concept basé sur un thème pertinent ayant trait au discours architectural contemporain
  • être capables de résonner à l'international
  • démontrer une relation spécifique au discours architectural belge de nature à mettre en valeur les pratiques architecturales de la Belgique francophone
  • prendre la forme, au choix, d’expositions, installations, performances, workshops, lectures ou d'autres activités en tout genre
  • proposer un catalogue ou autre support imprimé

Les candidat.es doivent être établis à Bruxelles ou en Wallonie et s'exprimer en français. Les projets soumis peuvent être portés seul.e ou en équipe.

 

Vous êtes peut-être le futur commissaire du Pavillon belge à la Biennale de Venise 2023 !

 

Alors envoyez votre candidature à sabine.guisse@cfwb.be, avant le lundi 9 mai à 16h au plus tard.

 

Retrouvez l'appel à projets détaillé au bas de cette page et plus d'informations, comme les plans et les photos du pavillon, sur le site de la Cellule architecture.

 

 

 

 

 

Dans cette perspective, Wallonie-Bruxelles International et le Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles au travers de la Cellule architecture, parties prenantes du projet, lancent un appel ouvert à toutes et tous (architecture et autres disciplines) et sans imposition de thématique, pour le commissariat de cette édition 2023.

 

Les projets devront:

  • développer un concept basé sur un thème pertinent ayant trait au discours architectural contemporain
  • être capables de résonner à l'international
  • démontrer une relation spécifique au discours architectural belge de nature à mettre en valeur les pratiques architecturales de la Belgique francophone
  • prendre la forme, au choix, d’expositions, installations, performances, workshops, lectures ou d'autres activités en tout genre
  • proposer un catalogue ou autre support imprimé

Les candidat.es doivent être établis à Bruxelles ou en Wallonie et s'exprimer en français. Les projets soumis peuvent être portés seul.e ou en équipe.

 

Vous êtes peut-être le futur commissaire du Pavillon belge à la Biennale de Venise 2023 !

 

Alors envoyez votre candidature à sabine.guisse@cfwb.be, avant le lundi 9 mai à 16h au plus tard.

 

Retrouvez l'appel à projets détaillé au bas de cette page et plus d'informations, comme les plans et les photos du pavillon, sur le site de la Cellule architecture.

 

 

 

 

 

Documents liés

Bouton - en savoir plus

(c) Fotolia
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Profil des candidat(e)s 

  • Etre diplômé de l’école secondaire
  • Avoir moins de 25 ans et ne pas être d’origine Thaïlandaise
  • Etre en bonne santé
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Durée du programme 

4 ans

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Domaine(s) éligible(s) 

  • Nano
  • Aérospatial
  • Information et communication
  • Fabrication et design automobile
  • Intelligence artificielle et robotique
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Introduction des candidatures (délais, formulaires…) 

3 mai 2022

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Procédure générale de sélection

Dépôt des candidatures via le lien : https://admission.ise.eng.chula.ac.th/Inter/

Passation d’un test d’admission (option 1 test score ou option 2 portfolio).

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Modalités financières 

Couverture complète:

  • Frais de scolarité
  • Frais liés au programme
  • Un billet d’avion aller-retour en classe économie
  • Bourse mensuelle et logement
  • Assurance maladie

Couverture partielle:

  • Frais liés au programme
  • Assurance maladie

 

Vous trouverez l'appel à candidature détaillé sur le site de l’International School of Engineering (ISE), Faculty of Engineering, Chulalongkorn University.

 

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Contact 

ise.admission@chula.ac.th

 

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Profil des candidat(e)s 

  • Etre diplômé de l’école secondaire
  • Avoir moins de 25 ans et ne pas être d’origine Thaïlandaise
  • Etre en bonne santé
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Durée du programme 

4 ans

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Domaine(s) éligible(s) 

  • Nano
  • Aérospatial
  • Information et communication
  • Fabrication et design automobile
  • Intelligence artificielle et robotique
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Introduction des candidatures (délais, formulaires…) 

3 mai 2022

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Dépôt des candidatures via le lien : https://admission.ise.eng.chula.ac.th/Inter/

Passation d’un test d’admission (option 1 test score ou option 2 portfolio).

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Couverture complète:

  • Frais de scolarité
  • Frais liés au programme
  • Un billet d’avion aller-retour en classe économie
  • Bourse mensuelle et logement
  • Assurance maladie

Couverture partielle:

  • Frais liés au programme
  • Assurance maladie

 

Vous trouverez l'appel à candidature détaillé sur le site de l’International School of Engineering (ISE), Faculty of Engineering, Chulalongkorn University.

 

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Contact 

ise.admission@chula.ac.th

 

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Grégory Nolens | CERHUM

Cette première mondiale voit son succès confirmé quelques semaines après l’intervention lorsque les médecins constatent que le greffon artificiel s’est parfaitement intégré. Ce miracle, on le doit à la persévérance et à la vision futuriste d’un homme : Grégory Nolens.

 

Enfant passionné par les récits de science-fiction où la technologie répare les humains, ce docteur en sciences biomédicales de l’Université de Liège fonde, en 2015, la société CERHUM. Après des années de recherche et de développement, soutenu par la Région wallonne, il atteint son but : créer des greffons totalement biocompatibles réalisés à base d’hydroxyapatite, un matériau constitué d’hydroxyde de calcium et de phosphate. En parallèle à ces travaux, Gregory Nolens collabore avec 3D-SIDE, une start-up wallonne qui développe un logiciel de planification d’interventions chirurgicales s’appuyant sur la technologie 3D.

 

De cette rencontre naît Mybone : un implant imprimé en 3D. Véritable prouesse technologique et médicale, le dispositif Mybone permet de réaliser une impression 3D sur-mesure pour chaque patient mais elle accroit également les performances thérapeutiques. En effet, ce « bout d’os » artificiel est strié de micro-canaux et de porosités permettant à l’os biologique de le reconnaître et de progressivement le recoloniser. « On est dans de la médecine régénérative et par rapport à un greffon artificiel classique, la reconstruction est 5 à 7 fois plus rapide”. Sa composition biocompatible lui permet également d’écarter significativement les risques d’infections ou de rejets. Un confort thérapeutique non négligeable pour le patient.

 

Avec des résultats post-cliniques très encourageants, les qualités de Mybone lui promettent un bel avenir dans les domaines de la chirurgie dentaire et esthétique, mais Gregory Nolens voit déjà plus loin. Il rêve de créer en 3D des tissus vivants et même des organes fonctionnels, tel un cœur ou un rein qui pourraient ainsi être réimplantés directement sur les patients… Et pourquoi pas ? Comme il le dit lui-même : « si vous avez un rêve, si vous y croyez, persévérez : vous y arriverez! » 

 

 

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Pour en savoir plus

https://www.cerhum.com

 

 

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Les Belges Histoires

WBI, en partenariat avec la RTBF, vous propose de découvrir les portraits de belges francophones qui font rayonner Wallonie-Bruxelles.

Découvrez la série de portraits : https://www.wbi.be/les-belges-histoires

 

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Nos aides et services

Wallonie-Bruxelles International vous aide à développer vos projets à l’international avec des formations, des coachings, des missions de prospections, des aides financières…

https://wbi.be/fr/service

 

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Cette première mondiale voit son succès confirmé quelques semaines après l’intervention lorsque les médecins constatent que le greffon artificiel s’est parfaitement intégré. Ce miracle, on le doit à la persévérance et à la vision futuriste d’un homme : Grégory Nolens.

 

Enfant passionné par les récits de science-fiction où la technologie répare les humains, ce docteur en sciences biomédicales de l’Université de Liège fonde, en 2015, la société CERHUM. Après des années de recherche et de développement, soutenu par la Région wallonne, il atteint son but : créer des greffons totalement biocompatibles réalisés à base d’hydroxyapatite, un matériau constitué d’hydroxyde de calcium et de phosphate. En parallèle à ces travaux, Gregory Nolens collabore avec 3D-SIDE, une start-up wallonne qui développe un logiciel de planification d’interventions chirurgicales s’appuyant sur la technologie 3D.

 

De cette rencontre naît Mybone : un implant imprimé en 3D. Véritable prouesse technologique et médicale, le dispositif Mybone permet de réaliser une impression 3D sur-mesure pour chaque patient mais elle accroit également les performances thérapeutiques. En effet, ce « bout d’os » artificiel est strié de micro-canaux et de porosités permettant à l’os biologique de le reconnaître et de progressivement le recoloniser. « On est dans de la médecine régénérative et par rapport à un greffon artificiel classique, la reconstruction est 5 à 7 fois plus rapide”. Sa composition biocompatible lui permet également d’écarter significativement les risques d’infections ou de rejets. Un confort thérapeutique non négligeable pour le patient.

 

Avec des résultats post-cliniques très encourageants, les qualités de Mybone lui promettent un bel avenir dans les domaines de la chirurgie dentaire et esthétique, mais Gregory Nolens voit déjà plus loin. Il rêve de créer en 3D des tissus vivants et même des organes fonctionnels, tel un cœur ou un rein qui pourraient ainsi être réimplantés directement sur les patients… Et pourquoi pas ? Comme il le dit lui-même : « si vous avez un rêve, si vous y croyez, persévérez : vous y arriverez! » 

 

 

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Pour en savoir plus

https://www.cerhum.com

 

 

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Les Belges Histoires

WBI, en partenariat avec la RTBF, vous propose de découvrir les portraits de belges francophones qui font rayonner Wallonie-Bruxelles.

Découvrez la série de portraits : https://www.wbi.be/les-belges-histoires

 

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Capture d'écran du jeu VARIANT © Christian Du Brulle

Malheureusement, les étudiants ne se bousculent pas au portillon. La pénurie de ce type de têtes bien faites, en aval, dans le monde de l’entreprise, est claire. D’où les priorités wallonnes ainsi qu’en Fédération Wallonie-Bruxelles pour motiver les jeunes à opter pour des études en lien avec ces compétences. Comment rendre ces filières plus attractives? Les « serious games » ou jeux sérieux pourraient bien donner le coup de pouce nécessaire pour séduire les étudiants.

 

Un nouvel acteur américain y croit. Dès cet été, la spin-off Triseum ouvrira une filiale à Namur. Son but: rendre les « serious games » attractifs, y compris dans le monde de l’enseignement. « Nous avons déjà développé quatre jeux sérieux qui sont utilisés avec bonheur dans toute une série d’universités anglo-saxonnes », commente le Pr André Thomas, directeur du « Live Lab vizualisation » de l’Université américaine Texas A&M, et directeur de Triseum. « Nos jeux concernent l’apprentissage de l’histoire et de l’histoire de l’art, mais l’un d’eux, Variant, concerne l’apprentissage de divers concepts mathématiques. »

 

Dans ce jeu, les étudiants découvrent et mettent en application des notions liées aux limites, aux fonctions et autres sujets liés.

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Un centre wallon de développement des STEM

« En nous installant à Namur, notre stratégie est claire », explique André Thomas, en marge de la mission technologique organisée au Texas par l’AWEX (Agence wallonne à l’exportation et aux investissements étrangers) et Wallonie-Bruxelles International (WBI), dans le cadre du festival South by South West (SxSW). « Il s’agit, tout d’abord, d’établir notre présence sur le continent européen. Nos jeux éducatifs s’adressent en priorité au monde de l’enseignement. Nous travaillons donc avec des écoles. Et pour travailler avec des écoles européennes, il faut être établi en Europe », analyse-t-il.

 

Pourquoi avoir choisi Namur? « La Wallonie s’est imposée parce que c’est une région accueillante pour les entreprises et que nous disposons de l’accompagnement de l’AWEX, de WSL et de leur programme « Soft Landing » pour nous y établir ». Le programme Soft Landing est un accompagnement pour les investisseurs étrangers qui visent la Wallonie.

 

« Mais surtout, nous souhaitons faire de notre implantation en Wallonie notre centre de développement européen de jeux éducatifs consacrés aux STEM. Il y a en Wallonie une vraie volonté d’investir dans l’éducation aux STEM. Un autre avantage du choix de la Belgique pour notre arrivée en Europe concerne le brassage de langues qui existe dans le pays. Nos jeux vont devoir être traduits en plusieurs langues. Nous pensons qu’être implantés en Belgique est un atout pour trouver des collaborateurs multilingues », précise le Pr Thomas.

 

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Tous les jeux sont éducatifs

Et il en connaît un bout en matière de communication par l’image de synthèse. Le Pr Thomas a, en effet, été à l’origine de personnages graphiques pour les films Men In Black, Independance day ou encore l’opus « Tomorrow never dies » de la saga James Bond. C’est ce qui l’a amené à créer sa spin-off, laquelle utilise des concepts identiques pour développer des jeux éducatifs.

 

« Parce que le jeu, quel qu’il soit, est un vecteur d’apprentissage », martèle-t-il. « Même les jeux physiques, ludiques, de plateau, sont des sources d’apprentissage. Ne fut-ce que parce qu’il faut assimiler leurs règles pour ensuite avoir le plaisir d’y jouer. Pour les jeux sérieux, les jeux éducatifs, c’est la même chose. Ces jeux permettent de former les joueurs », dit-il sans détour. « Qu’il s’agisse d’inculquer des notions théoriques, pratiques ou même former aux bons gestes à appliquer dans diverses situations. »

 

« Le jeu éducatif est un véritable outil d’apprentissage qui a la même valeur qu’un livre ou qu’un manuel scolaire », détaille-t-il encore. « Le jeu éducatif ne doit pas porter sur des matières simples, mais des matières complexes, difficiles à assimiler. Si on peut admettre cela, alors le développement d’un jeu éducatif prend tout son sens. Toutefois, il faut encore qu’il soit en phase avec les programmes scolaires du pays où on l’utilisera et qu’il puisse s’y intégrer. Et que les acteurs de terrain et les décideurs en prennent conscience. » Il ne reste plus qu’à les… éduquer. C’est bien ce que compte faire Triseum dès son arrivée à Namur.

 

Source: article de Christian Du Brulle pour Daily Science

 

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Malheureusement, les étudiants ne se bousculent pas au portillon. La pénurie de ce type de têtes bien faites, en aval, dans le monde de l’entreprise, est claire. D’où les priorités wallonnes ainsi qu’en Fédération Wallonie-Bruxelles pour motiver les jeunes à opter pour des études en lien avec ces compétences. Comment rendre ces filières plus attractives? Les « serious games » ou jeux sérieux pourraient bien donner le coup de pouce nécessaire pour séduire les étudiants.

 

Un nouvel acteur américain y croit. Dès cet été, la spin-off Triseum ouvrira une filiale à Namur. Son but: rendre les « serious games » attractifs, y compris dans le monde de l’enseignement. « Nous avons déjà développé quatre jeux sérieux qui sont utilisés avec bonheur dans toute une série d’universités anglo-saxonnes », commente le Pr André Thomas, directeur du « Live Lab vizualisation » de l’Université américaine Texas A&M, et directeur de Triseum. « Nos jeux concernent l’apprentissage de l’histoire et de l’histoire de l’art, mais l’un d’eux, Variant, concerne l’apprentissage de divers concepts mathématiques. »

 

Dans ce jeu, les étudiants découvrent et mettent en application des notions liées aux limites, aux fonctions et autres sujets liés.

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Un centre wallon de développement des STEM

« En nous installant à Namur, notre stratégie est claire », explique André Thomas, en marge de la mission technologique organisée au Texas par l’AWEX (Agence wallonne à l’exportation et aux investissements étrangers) et Wallonie-Bruxelles International (WBI), dans le cadre du festival South by South West (SxSW). « Il s’agit, tout d’abord, d’établir notre présence sur le continent européen. Nos jeux éducatifs s’adressent en priorité au monde de l’enseignement. Nous travaillons donc avec des écoles. Et pour travailler avec des écoles européennes, il faut être établi en Europe », analyse-t-il.

 

Pourquoi avoir choisi Namur? « La Wallonie s’est imposée parce que c’est une région accueillante pour les entreprises et que nous disposons de l’accompagnement de l’AWEX, de WSL et de leur programme « Soft Landing » pour nous y établir ». Le programme Soft Landing est un accompagnement pour les investisseurs étrangers qui visent la Wallonie.

 

« Mais surtout, nous souhaitons faire de notre implantation en Wallonie notre centre de développement européen de jeux éducatifs consacrés aux STEM. Il y a en Wallonie une vraie volonté d’investir dans l’éducation aux STEM. Un autre avantage du choix de la Belgique pour notre arrivée en Europe concerne le brassage de langues qui existe dans le pays. Nos jeux vont devoir être traduits en plusieurs langues. Nous pensons qu’être implantés en Belgique est un atout pour trouver des collaborateurs multilingues », précise le Pr Thomas.

 

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Tous les jeux sont éducatifs

Et il en connaît un bout en matière de communication par l’image de synthèse. Le Pr Thomas a, en effet, été à l’origine de personnages graphiques pour les films Men In Black, Independance day ou encore l’opus « Tomorrow never dies » de la saga James Bond. C’est ce qui l’a amené à créer sa spin-off, laquelle utilise des concepts identiques pour développer des jeux éducatifs.

 

« Parce que le jeu, quel qu’il soit, est un vecteur d’apprentissage », martèle-t-il. « Même les jeux physiques, ludiques, de plateau, sont des sources d’apprentissage. Ne fut-ce que parce qu’il faut assimiler leurs règles pour ensuite avoir le plaisir d’y jouer. Pour les jeux sérieux, les jeux éducatifs, c’est la même chose. Ces jeux permettent de former les joueurs », dit-il sans détour. « Qu’il s’agisse d’inculquer des notions théoriques, pratiques ou même former aux bons gestes à appliquer dans diverses situations. »

 

« Le jeu éducatif est un véritable outil d’apprentissage qui a la même valeur qu’un livre ou qu’un manuel scolaire », détaille-t-il encore. « Le jeu éducatif ne doit pas porter sur des matières simples, mais des matières complexes, difficiles à assimiler. Si on peut admettre cela, alors le développement d’un jeu éducatif prend tout son sens. Toutefois, il faut encore qu’il soit en phase avec les programmes scolaires du pays où on l’utilisera et qu’il puisse s’y intégrer. Et que les acteurs de terrain et les décideurs en prennent conscience. » Il ne reste plus qu’à les… éduquer. C’est bien ce que compte faire Triseum dès son arrivée à Namur.

 

Source: article de Christian Du Brulle pour Daily Science

 

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7 théâtres implantés en France et en Belgique, à la faveur de leurs convergences artistiques et humaines, et à l’initiative du Théâtre La Cité, ont décidé de s'associer pour réunir leurs savoir-faire, leurs moyens, autour du programme « Le Réel Enjeu ».

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Pour qui?

L’appel à candidature est ouvert aux compagnies professionnelles internationales qui travaillent sur un projet autour des écritures du réel dont la première est prévue au plus tôt en 2024.

 

Huit projets de spectacles seront sélectionnés à la suite de ce présent appel, dont à minima 2 équipes belges francophones (FWB) et 2 équipes françaises.

 

Les candidat·e·s doivent se rendre disponibles les 6 et 7 octobre 2022 pour la présentation de leur projet et la rencontre avec les professionnel·le·s.

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Pourquoi?

Pour les huit projets sélectionnés dans l’appel, sont proposés:

  • Deux journées de présentation des projets dans leur état d’avancement (lecture, présentation performée…), une en Belgique et une en France
  • Un temps de rencontre avec des professionnel·le·s, en France et en Belgique lors de ces deux journées

À l’issue de ces deux journées, deux lauréat·e·s, un·e en « production » et l’autre en « recherche », seront sélectionné·e·s par les partenaires du Réel Enjeu. Iels bénéficieront:

 

  • d’un apport en numéraire à la production pour l’un des deux projets : 10 000 €
  • d’une bourse de recherche pour l’autre projet : 4 000 €
  • d’espaces d’accueil en résidence chez les partenaires du Réel Enjeu dans la mesure des calendriers et des fiches techniques
  • d’un réseau d’accompagnement professionnel : production, communication, dramaturgie, artistique, stratégie de diffusion, présentation professionnelle.
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Candidatures

 

Quatre étapes:

  • Compléter le formulaire en ligne
  • Pitcher un projet en 3 minutes en vidéo
  • Joindre tous les documents annexes (dossier complet, liens vidéo, revue de presse)
  • S’informer sur les lieux en allant visiter leur site et les fiches techniques des plateaux respectifs

 

Clôture des candidatures le 30 avril 2022.

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Partenaires

L'Ancre Théâtre Royal - Le Théâtre La Cité - Le Théâtre des Doms

Le Forum Jacques Prévert - Le Théâtre Jean Vilar - Théâtre de La Renaissance - Le 140

 

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7 théâtres implantés en France et en Belgique, à la faveur de leurs convergences artistiques et humaines, et à l’initiative du Théâtre La Cité, ont décidé de s'associer pour réunir leurs savoir-faire, leurs moyens, autour du programme « Le Réel Enjeu ».

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Pour qui?

L’appel à candidature est ouvert aux compagnies professionnelles internationales qui travaillent sur un projet autour des écritures du réel dont la première est prévue au plus tôt en 2024.

 

Huit projets de spectacles seront sélectionnés à la suite de ce présent appel, dont à minima 2 équipes belges francophones (FWB) et 2 équipes françaises.

 

Les candidat·e·s doivent se rendre disponibles les 6 et 7 octobre 2022 pour la présentation de leur projet et la rencontre avec les professionnel·le·s.

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Pourquoi?

Pour les huit projets sélectionnés dans l’appel, sont proposés:

  • Deux journées de présentation des projets dans leur état d’avancement (lecture, présentation performée…), une en Belgique et une en France
  • Un temps de rencontre avec des professionnel·le·s, en France et en Belgique lors de ces deux journées

À l’issue de ces deux journées, deux lauréat·e·s, un·e en « production » et l’autre en « recherche », seront sélectionné·e·s par les partenaires du Réel Enjeu. Iels bénéficieront:

 

  • d’un apport en numéraire à la production pour l’un des deux projets : 10 000 €
  • d’une bourse de recherche pour l’autre projet : 4 000 €
  • d’espaces d’accueil en résidence chez les partenaires du Réel Enjeu dans la mesure des calendriers et des fiches techniques
  • d’un réseau d’accompagnement professionnel : production, communication, dramaturgie, artistique, stratégie de diffusion, présentation professionnelle.
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Candidatures

 

Quatre étapes:

  • Compléter le formulaire en ligne
  • Pitcher un projet en 3 minutes en vidéo
  • Joindre tous les documents annexes (dossier complet, liens vidéo, revue de presse)
  • S’informer sur les lieux en allant visiter leur site et les fiches techniques des plateaux respectifs

 

Clôture des candidatures le 30 avril 2022.

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Partenaires

L'Ancre Théâtre Royal - Le Théâtre La Cité - Le Théâtre des Doms

Le Forum Jacques Prévert - Le Théâtre Jean Vilar - Théâtre de La Renaissance - Le 140

 

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Depuis 2019, Wallonie-Bruxelles International, la Délégation générale du gouvernement de la Flandre en France, Kunstenpunt et la Direction des Arts plastiques contemporains de la Fédération Wallonie-Bruxelles ont favorisé une présence belge à Arles durant les journées professionnelles.

 

Cette année, ils y organiseront une rencontre professionnelle et publique, le 7 juillet.

 

Outre la mise en réseau internationale, cette rencontre mettra à l’honneur une cinquantaine d’éditions ou auto-éditions parues entre 2019 et 2022 et centrées sur le travail d’un ou plusieurs artistes résidant en Belgique.

 

Celles-ci feront, en outre, l’objet d’un achat afin de favoriser la manipulation des ouvrages et, à l’issue de la rencontre, seront mises en dépôt dans un lieu dédié à la photographie susceptible d’en assurer une consultation publique.

 

Afin d’en réaliser la sélection, un open call est lancé à destination de l’ensemble du secteur photographique belge.
 

En pratique

5 avril : Lancement de l’open call

 

10 mai : Deadline pour la réception des éditions et/ou l’envoi des pdf des éditions + inscription obligatoire via ce formulaire d'inscription

  • Adresse du dépôt des éditions : Tipi Bookshop, 186 rue de l'Hôtel des Monnaies, 1060 Saint-Gilles
  • Adresse pour l’envoi des PDF (au-delà de 20 MO, l’envoi via un lien wetransfer ou zip est à privilégier) : belgianbooksarles2022@gmail.com

 

Cet envoi devra impérativement être accompagné des informations suivantes :

  • Nom et prénom du déposant
  • Adresse mail et adresse postale pour le renvoi éventuel de l’édition
  • Auteur(s), titre, éditeur(s) et année de publication

 

13 mai : Sélection des éditions (qui tendra au niveau de la représentation des artistes vers une parité entre Communautés et  H/F tout en veillant aux critères d’inclusivité et de diversité)
réalisée par :

  • Anne-Françoise Lesuisse – BIP (Liège)
  • Tine Guns– Photographe
  • Andréa Copetti – Tipi Bookshop
  • Stefan Vanthuyne – Belgian Platform for Photobooks

En présence des institutions partenaires
 

Entre le 16 et le 20 mai : Renvoi des éditions non retenues (prise en charge par les partenaires institutionnels)
 

Infos et contacts

 

https://www.wbi.be/ - https://www.kunsten.be/ - http://www.artsplastiques.cfwb.be/

Depuis 2019, Wallonie-Bruxelles International, la Délégation générale du gouvernement de la Flandre en France, Kunstenpunt et la Direction des Arts plastiques contemporains de la Fédération Wallonie-Bruxelles ont favorisé une présence belge à Arles durant les journées professionnelles.

 

Cette année, ils y organiseront une rencontre professionnelle et publique, le 7 juillet.

 

Outre la mise en réseau internationale, cette rencontre mettra à l’honneur une cinquantaine d’éditions ou auto-éditions parues entre 2019 et 2022 et centrées sur le travail d’un ou plusieurs artistes résidant en Belgique.

 

Celles-ci feront, en outre, l’objet d’un achat afin de favoriser la manipulation des ouvrages et, à l’issue de la rencontre, seront mises en dépôt dans un lieu dédié à la photographie susceptible d’en assurer une consultation publique.

 

Afin d’en réaliser la sélection, un open call est lancé à destination de l’ensemble du secteur photographique belge.
 

En pratique

5 avril : Lancement de l’open call

 

10 mai : Deadline pour la réception des éditions et/ou l’envoi des pdf des éditions + inscription obligatoire via ce formulaire d'inscription

  • Adresse du dépôt des éditions : Tipi Bookshop, 186 rue de l'Hôtel des Monnaies, 1060 Saint-Gilles
  • Adresse pour l’envoi des PDF (au-delà de 20 MO, l’envoi via un lien wetransfer ou zip est à privilégier) : belgianbooksarles2022@gmail.com

 

Cet envoi devra impérativement être accompagné des informations suivantes :

  • Nom et prénom du déposant
  • Adresse mail et adresse postale pour le renvoi éventuel de l’édition
  • Auteur(s), titre, éditeur(s) et année de publication

 

13 mai : Sélection des éditions (qui tendra au niveau de la représentation des artistes vers une parité entre Communautés et  H/F tout en veillant aux critères d’inclusivité et de diversité)
réalisée par :

  • Anne-Françoise Lesuisse – BIP (Liège)
  • Tine Guns– Photographe
  • Andréa Copetti – Tipi Bookshop
  • Stefan Vanthuyne – Belgian Platform for Photobooks

En présence des institutions partenaires
 

Entre le 16 et le 20 mai : Renvoi des éditions non retenues (prise en charge par les partenaires institutionnels)
 

Infos et contacts

 

https://www.wbi.be/ - https://www.kunsten.be/ - http://www.artsplastiques.cfwb.be/

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L’autorité de gestion et le Secrétariat conjoint sont responsables de la mise en œuvre administrative et financière du programme de coopération. Les membres du GECT sont la Région Grand Est et le Ministère de l’Energie et de l’Aménagement du territoire du Grand-Duché de Luxembourg.

 

En raison du chevauchement de la période de programmation actuelle Interreg V et de la future période Interreg VI, l’année 2023 sera particulièrement chargée. D’un côté, les travaux de clôture sont à mener à bien pour le programme en cours, de l’autre, le lancement du nouveau programme aura lieu avec un premier appel à projets. Dans ce cadre, le programme est à la recherche d’un renforcement temporaire de l’équipe du Secrétariat conjoint.

 

Les chargé.e.s de mission "Gestion projets" assure un soutien dans la gestion administrative des projets en vue de pouvoir assurer leur clôture. Ce travail comporte un travail de suivi de la mise en œuvre physique et financière des projets. Ces tâches sont menées en concertation et coordination avec les chargés de mission "Gestion projets" en place ainsi qu’avec toute l’équipe du secrétariat conjoint. En outre, les chargé.e de mission "Gestion projets" travaille en étroite coopération avec les Contrôleurs de premier niveau, les Points de contact et les Autorités partenaires. Les 2 personnes recrutées seront employées par le GECT "Autorité de Gestion” sous droit privé luxembourgeois.

 

A pourvoir

2 postes à temps plein (40 heures par semaine) à durée déterminée pour dix-huit mois. Ils débuteront le 1er juillet 2022 et s’achèveront le 31 décembre 2023.

 

Date limite des candidatures : 29 avril 2022 à 17h.

 

Vous trouverez l'offre d'emploi complète en pièce jointe.

L’autorité de gestion et le Secrétariat conjoint sont responsables de la mise en œuvre administrative et financière du programme de coopération. Les membres du GECT sont la Région Grand Est et le Ministère de l’Energie et de l’Aménagement du territoire du Grand-Duché de Luxembourg.

 

En raison du chevauchement de la période de programmation actuelle Interreg V et de la future période Interreg VI, l’année 2023 sera particulièrement chargée. D’un côté, les travaux de clôture sont à mener à bien pour le programme en cours, de l’autre, le lancement du nouveau programme aura lieu avec un premier appel à projets. Dans ce cadre, le programme est à la recherche d’un renforcement temporaire de l’équipe du Secrétariat conjoint.

 

Les chargé.e.s de mission "Gestion projets" assure un soutien dans la gestion administrative des projets en vue de pouvoir assurer leur clôture. Ce travail comporte un travail de suivi de la mise en œuvre physique et financière des projets. Ces tâches sont menées en concertation et coordination avec les chargés de mission "Gestion projets" en place ainsi qu’avec toute l’équipe du secrétariat conjoint. En outre, les chargé.e de mission "Gestion projets" travaille en étroite coopération avec les Contrôleurs de premier niveau, les Points de contact et les Autorités partenaires. Les 2 personnes recrutées seront employées par le GECT "Autorité de Gestion” sous droit privé luxembourgeois.

 

A pourvoir

2 postes à temps plein (40 heures par semaine) à durée déterminée pour dix-huit mois. Ils débuteront le 1er juillet 2022 et s’achèveront le 31 décembre 2023.

 

Date limite des candidatures : 29 avril 2022 à 17h.

 

Vous trouverez l'offre d'emploi complète en pièce jointe.

Documents liés

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(c) J. Van Belle - WBI

Assister à un spectacle jeune public, c'est toujours une expérience particulière, un moment émouvant. Surtout avec un jeune public dans la salle. Il faut oublier que l'on est un adulte, mettre de côté les cases dans lesquelles nous avons l'habitude, poussés par la société, de ranger les choses, les gens. Surtout, il faut arrêter de penser et se laisser porter, emporter par nos émotions, nos sentiments, par le moment présent.

 

Quand on assiste à un spectacle "adulte", entre adultes, il convient de se taire, pour écouter religieusement les comédiens. Et quand quelqu'un ose ouvrir la bouche, c'est un "chut" énergique qui accueille ses paroles, afin qu'il cesse de troubler notre écoute. Avec des enfants dans la salle, il faut laisser ces habitudes à l'entrée et accepter de vivre ce moment entièrement, accepter les réactions à haute voix, les cris d'exclamation, les rires à gorge déployée, les enfants qui se lèvent. Bref, accepter toute la spontanéité dont seuls les enfants sont capables. Et accepter de se reconnecter à l'enfant qui est en nous pour profiter pleinement de l'expérience qui nous est offerte.

 

C'est ce que le Théâtre des Doms nous a offert, avec ce Focus Jeune Public. Trois jours créatifs et inspirants, dédiés au théâtre jeune public. Six spectacles (cinq de la Fédération Wallonie-Bruxelles et un du Sud de la France), une rencontre entre professionnels belges francophones et français autour des questions de diffusion internationale, un moment de création artistique autour d'une thématique imposée et des discussions passionnées à la sortie des spectacles. Parce que le théâtre, pour petits comme pour grands, c'est ça aussi, des rencontres, des discussions, de l'émulation !

 

Une première édition réussie, qui, on l'espère, en appellera d'autres!

 

Spectacles présentés

Norman, c'est comme normal à une lettre près

par la Kosmocompany - dès 7 ans

Un spectacle touchant, qui questionne la notion de genre à travers l'anecdote, pas si anecdotique, du vêtement. Le rapport à la norme, l'acceptation de la différence, les codes d'appartenance aux genres, telles sont les questions auxquelles Norman et ses parents doivent faire face.

 

A la poursuite de l'oie sauvage

par l'Agora Theater - dès 5 ans

C'est l'histoire d'une ptite fille partie à la recherche d'une oie. Différents personnages se croisent, dans un voyage en forme de quête de soi-même. Basé sur une fable de Hannah Arendt, ce spectacle réveille le désir d'exploration et de compréhesion en chacun de nous.

 

Ballon Bandit

par l'Inti Théâtre - dès 2 ans et demi

David Bowie et un ballon jaune, cela suffit pour embarquer le public, du plus petit au plus grand, dans un moment aussi rythmé que poétique ! Un spectacle rafraîchissant, où la solitude se transforme en une danse légère et décalée.

 

Alberta Tonnerre

par la Compagnie des Mutants - dès 6 ans

Une atmosphère onirique, un théâtre d’objet fabuleux, la musique de Purcell, il n’en faut pas plus pour faire de ce spectacle un moment suspendu ! Une manière subtile et délicate d'aborder la question de la disparition d'un être cher.

 

MIKE

par le Théâtre de l'E.V.N.I. - dès 14 ans

Une réflexion sur les effets du regard des autres sur soi qui nous confronte à nos doutes, nos peurs, notre vision de nous-mêmes. Entre ce que l’on rêve d’être et l’image que les autres nous renvoient, comment se situe-t-on? Entre l'identité, le désir de reconnaissance et la liberté, comment se construit-on?

 

TARAG !

par la Compagnie des Passages - dès 8 ans

Une insulte jetée dans la cour de récré, un désir absolu de comprendre, la découverte d’un univers insoupçonné... une émouvante façon de traiter la question du harcèlement scolaire.

 

Copyright : J. Van Belle - WBI

Assister à un spectacle jeune public, c'est toujours une expérience particulière, un moment émouvant. Surtout avec un jeune public dans la salle. Il faut oublier que l'on est un adulte, mettre de côté les cases dans lesquelles nous avons l'habitude, poussés par la société, de ranger les choses, les gens. Surtout, il faut arrêter de penser et se laisser porter, emporter par nos émotions, nos sentiments, par le moment présent.

 

Quand on assiste à un spectacle "adulte", entre adultes, il convient de se taire, pour écouter religieusement les comédiens. Et quand quelqu'un ose ouvrir la bouche, c'est un "chut" énergique qui accueille ses paroles, afin qu'il cesse de troubler notre écoute. Avec des enfants dans la salle, il faut laisser ces habitudes à l'entrée et accepter de vivre ce moment entièrement, accepter les réactions à haute voix, les cris d'exclamation, les rires à gorge déployée, les enfants qui se lèvent. Bref, accepter toute la spontanéité dont seuls les enfants sont capables. Et accepter de se reconnecter à l'enfant qui est en nous pour profiter pleinement de l'expérience qui nous est offerte.

 

C'est ce que le Théâtre des Doms nous a offert, avec ce Focus Jeune Public. Trois jours créatifs et inspirants, dédiés au théâtre jeune public. Six spectacles (cinq de la Fédération Wallonie-Bruxelles et un du Sud de la France), une rencontre entre professionnels belges francophones et français autour des questions de diffusion internationale, un moment de création artistique autour d'une thématique imposée et des discussions passionnées à la sortie des spectacles. Parce que le théâtre, pour petits comme pour grands, c'est ça aussi, des rencontres, des discussions, de l'émulation !

 

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par la Kosmocompany - dès 7 ans

Un spectacle touchant, qui questionne la notion de genre à travers l'anecdote, pas si anecdotique, du vêtement. Le rapport à la norme, l'acceptation de la différence, les codes d'appartenance aux genres, telles sont les questions auxquelles Norman et ses parents doivent faire face.

 

A la poursuite de l'oie sauvage

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C'est l'histoire d'une ptite fille partie à la recherche d'une oie. Différents personnages se croisent, dans un voyage en forme de quête de soi-même. Basé sur une fable de Hannah Arendt, ce spectacle réveille le désir d'exploration et de compréhesion en chacun de nous.

 

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David Bowie et un ballon jaune, cela suffit pour embarquer le public, du plus petit au plus grand, dans un moment aussi rythmé que poétique ! Un spectacle rafraîchissant, où la solitude se transforme en une danse légère et décalée.

 

Alberta Tonnerre

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Une atmosphère onirique, un théâtre d’objet fabuleux, la musique de Purcell, il n’en faut pas plus pour faire de ce spectacle un moment suspendu ! Une manière subtile et délicate d'aborder la question de la disparition d'un être cher.

 

MIKE

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Une réflexion sur les effets du regard des autres sur soi qui nous confronte à nos doutes, nos peurs, notre vision de nous-mêmes. Entre ce que l’on rêve d’être et l’image que les autres nous renvoient, comment se situe-t-on? Entre l'identité, le désir de reconnaissance et la liberté, comment se construit-on?

 

TARAG !

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Une insulte jetée dans la cour de récré, un désir absolu de comprendre, la découverte d’un univers insoupçonné... une émouvante façon de traiter la question du harcèlement scolaire.

 

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