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En tant qu‘agence de coopération internationale intégrée au sein des relations internationales de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Wallonie et en tant qu’acteur de la coopération non gouvernementale belge, l’APEFE contribue à l’impact de la Belgique sur le développement international.

 

Pour ce faire, l’APEFE conclut des partenariats stratégiques, opérationnels et financiers avec les secteurs public et privé ainsi qu’avec les organisations de la société civile en Belgique et dans le monde. Ces partenariats permettent à l’APEFE de partager des connaissances et de mobiliser des ressources en faveur d’un développement durable.

 

Actuellement, l’APEFE met en œuvre une trentaine de projet dans une dizaine de pays en Belgique et en Afrique.

Au Burkina Faso, l’APEFE contribue :

  • Au développement de la médecine physique & réadaptation (MPR), et
  • À l’Initiative de la Grande Muraille Verte pour le Sahara et le Sahel (IGMVSS)

 

Le présent appel concerne le recrutement par l’APEFE d’un.e expert.e agriculture/environnement.

 

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Description de la fonction

En relation avec le Délégué général des Gouvernements de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Wallonie chargé de représenter les intérêts généraux de l’APEFE auprès du Gouvernement du Burkina Faso. L’Administrateur.trice des Programmes est responsable, pour ce qui concerne les engagements de l’APEFE, de la bonne exécution des conventions de partenariat, en cours ou à venir, liées aux programmes conformément aux exigences de la DGD. En sa qualité d’Expert.e «Agriculture/environnement», il/elle assure avec les partenaires la cogestion du programme PREPCl.

 

Plus spécifiquement:

 

En sa qualité d’Expert.e « Agriculture/environnement», délégué.e à la co-gestion du Projet de Restauration des Ecosystèmes de la région du Plateau Central (PRE-PCl)

 

Au titre de la gestion stratégique:

  • Participer activement à la gestion des cadres stratégiques communs avec les acteurs concernés ;
  • Assurer la veille stratégique et prospective dans son secteur d’intervention en restant à l’écoute de toute information susceptible de contribuer à l’amélioration de l'intervention de l’APEFE dans le secteur;
  • Assurer une réflexion prospective sur le développement de nouveaux partenariats et la recherche de financements complémentaires;
  • Veiller à l’alignement de l’intervention aux stratégies du pays partenaire, belges (DGD, WBI, APEFE) et internationales (ODD, IGMVSS,...);
  • Développer les réseaux, synergies et complémentarités dans le secteur;
  • Participer aux différents groupes de coordination entre partenaires dans le secteur;
  • Contribuer à la cogestion stratégique du programme avec les partenaires au sein de l’Unité de Gestion du Programme et du Comité de Pilotage ;
  • Au besoin, identifier et proposer le positionnement stratégique du programme (réorientation, développement de nouveaux partenariats…).

Au titre des opérations:

  • Assurer un dialogue opérationnel et politique permanent avec les partenaires, les collaborateurs et les autres acteurs du Programme;
  • Assurer la bonne mise en oeuvre des dispositions des conventions de partenariat et de collaboration;
  • Contribuer à la mise en oeuvre du programme, à toutes les étapes (prospection, préparation, mise en oeuvre, suivi, évaluation) en collaboration avec les autres parties prenantes et plus particulièrement les co-gestionnaires du Programme;
  • Veiller à la qualité des partenariats et contribuer à mettre en place les conditions relationnelles nécessaires et favorables à l’atteinte des résultats;
  • Assurer la co-gestion des ressources humaines, matérielles et financières affectées au Programme;
  • Assurer, avec les partenaires, la mise en place des dispositifs et processus de M&E, apprentissage, gestion des connaissances du programme;
  • Gérer les risques inhérents au Programme;
  • Organiser le rapportage et le suivi de la progression des indicateurs du programme de manière qualitative;
  • Encourager la prise en compte du genre et de l’environnement à chaque phase du cycle d’intervention.

Au titre de(s) Volet Relations publiques/ Communication/la Gestion de la Connaissance:

  • Organiser, avec les partenaires, la communication pour le développement adéquat, à tous les niveaux de l’action en étroite collaboration avec les parties concernées;
  • Contribuer activement à la gestion des connaissances en valorisant la capitalisation des acquis et des expériences et en participant activement à l’apprentissage collectif dans le cadre du CSC et en dehors;
  • Organiser, avec les partenaires, la communication et la présence sur les réseaux sociaux des programmes dans une perspective de communication pour le développement (C4D) ;
  • Contribuer, en concertation avec le siège de l’APEFE, à la communication interne et externe de l’APEFE en veillant au développement et à la continuité de sa visibilité;
  • Représenter l’APEFE au sein des cadres de concertation relatif au secteur concerné;
  • Assurer la gestion des connaissances en valorisant la capitalisation des acquis et des expériences et en participant activement à l’apprentissage collectif dans le cadre du Cadre Stratégique Commun et en dehors ;
  • Contribuer au processus d’apprentissage interne de l’APEFE en participant aux réflexions thématiques interpays – siège;
  • Contribuer à la promotion de l’image de l’APEFE et de manière élargie de WBI et de la Belgique ainsi que des partenaires locaux.

En sus, en sa qualité d’Administrateur.trice des Programmes de l’APEFE au Burkina FASO:

  • Représenter l’APEFE au Burkina Faso (notamment au niveau du Forum des acteurs belge, ...) ;
  • Mettre en cohérence et en congruence les interventions de l’APEFE;
  • Gérer les risques inhérents au bureau de l’APEFE ;
  • Coordonner et consolider le suivi et le rapportage de qualité des différentes interventions menées au Burkina Faso;
  • Superviser de manière participative et formative la gestion des ressources humaines affectées aux programmes et la cohérence de l’action de l’ensemble du personnel APEFE;
  • Organiser et contrôler la gestion comptable et financière des programmes et du bureau APEFE avant l’envoi des éléments comptables au siège ;
  • Organiser, en concertation avec les partenaires, les opérations de lancement et de clôture des programmes (communication, capitalisation, clôture financière, RH, administrative…);
  • Contribuer à la communication interne et externe de l’APEFE.

 

Toutes ces missions sont assurées en coordination avec le siège de l’APEFE à qui l’expert.e propose chaque année son plan annuel d’action. Par ailleurs, un canal d’échange d’information régulier sera entretenu, notamment au travers des réunions et un rapportage réguliers tout au long de l’année et selon les besoins.

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Profil

Niveau de formation requis :

Diplôme de master en agronomie ou environnement reconnu par la Fédération Wallonie-Bruxelles

Expérience requises :

  • Minimum 10 ans d’expérience pertinente dans le pilotage de projets de développement international en Afrique sub-saharienne, dont au moins 3 ans dans la région;
  • Minimum 5 ans d’expérience en gestion d’équipe dans des environnements multiculturels ;
  • Minimum 5 ans d’expérience pertinente dans le domaine d’expertise spécifique, à savoir dans le domaine de la gestion durable des terres ;
  • Expérience avérée en formulation de projet ;
  • Expérience avérée en en suivi-évaluation ;
  • Expérience avérée de négociations politiques et diplomatiques à haut niveau (institutions internationales ; Gouvernements ; structures ministérielles ...)

Compétences et connaissances requises :

  • Excellentes capacité de coordination, de planification, d’organisation et de gestion ;
  • Grande capacité d’écoute, de dialogue et capacité à fédérer ;
  • Axé résultats et proactif ;
  • Aptitude avérée à la communication orale et écrite ;
  • Capacité d’analyse et de synthèse ;
  • Connaissance approfondie des méthodologies de gestion de projet, et de suivi-évaluation ;
  • Sensibilité en matière d’égalité, d’équité et de genre ;
  • Parfaite maîtrise du français à l’oral et à l’écrit ;
  • Permis de conduire B ;
  • Engagement à respecter la charte éthique de l’APEFE.

Connaissances spécifiques considérée comme un atout :

  • Connaissance des acteurs nationaux, régionaux et sectoriels et leurs mandats respectifs ;
  • Connaissance de l’initiative de la Grande Muraille Verte pour le Sahara et le Sahel, des engagements internationaux en matière de récupération des terres, de la finance climatique;
  • Connaissance dans le secteur de la Santé;
  • Expérience antérieure avec la DGD, l’UE , l’OMS, la FAO (partenaires de l’APEFE au Burkina Faso);
  • Lien privilégié avec la Belgique.
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Candidature

Lettre de motivation dans la langue de l’offre et le CV au format européen sont à envoyer par voie électronique, au plus tard le 03.04.2022, à l’adresse suivante : candidatures@apefe.org avec copie à a.germeau@apefe.org avec la mention BURKINA FASO AP 2022 portée dans l’objet du message.

 

Retrouvez l'offre complète ci-dessous.

 

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En tant qu‘agence de coopération internationale intégrée au sein des relations internationales de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Wallonie et en tant qu’acteur de la coopération non gouvernementale belge, l’APEFE contribue à l’impact de la Belgique sur le développement international.

 

Pour ce faire, l’APEFE conclut des partenariats stratégiques, opérationnels et financiers avec les secteurs public et privé ainsi qu’avec les organisations de la société civile en Belgique et dans le monde. Ces partenariats permettent à l’APEFE de partager des connaissances et de mobiliser des ressources en faveur d’un développement durable.

 

Actuellement, l’APEFE met en œuvre une trentaine de projet dans une dizaine de pays en Belgique et en Afrique.

Au Burkina Faso, l’APEFE contribue :

  • Au développement de la médecine physique & réadaptation (MPR), et
  • À l’Initiative de la Grande Muraille Verte pour le Sahara et le Sahel (IGMVSS)

 

Le présent appel concerne le recrutement par l’APEFE d’un.e expert.e agriculture/environnement.

 

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Description de la fonction

En relation avec le Délégué général des Gouvernements de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Wallonie chargé de représenter les intérêts généraux de l’APEFE auprès du Gouvernement du Burkina Faso. L’Administrateur.trice des Programmes est responsable, pour ce qui concerne les engagements de l’APEFE, de la bonne exécution des conventions de partenariat, en cours ou à venir, liées aux programmes conformément aux exigences de la DGD. En sa qualité d’Expert.e «Agriculture/environnement», il/elle assure avec les partenaires la cogestion du programme PREPCl.

 

Plus spécifiquement:

 

En sa qualité d’Expert.e « Agriculture/environnement», délégué.e à la co-gestion du Projet de Restauration des Ecosystèmes de la région du Plateau Central (PRE-PCl)

 

Au titre de la gestion stratégique:

  • Participer activement à la gestion des cadres stratégiques communs avec les acteurs concernés ;
  • Assurer la veille stratégique et prospective dans son secteur d’intervention en restant à l’écoute de toute information susceptible de contribuer à l’amélioration de l'intervention de l’APEFE dans le secteur;
  • Assurer une réflexion prospective sur le développement de nouveaux partenariats et la recherche de financements complémentaires;
  • Veiller à l’alignement de l’intervention aux stratégies du pays partenaire, belges (DGD, WBI, APEFE) et internationales (ODD, IGMVSS,...);
  • Développer les réseaux, synergies et complémentarités dans le secteur;
  • Participer aux différents groupes de coordination entre partenaires dans le secteur;
  • Contribuer à la cogestion stratégique du programme avec les partenaires au sein de l’Unité de Gestion du Programme et du Comité de Pilotage ;
  • Au besoin, identifier et proposer le positionnement stratégique du programme (réorientation, développement de nouveaux partenariats…).

Au titre des opérations:

  • Assurer un dialogue opérationnel et politique permanent avec les partenaires, les collaborateurs et les autres acteurs du Programme;
  • Assurer la bonne mise en oeuvre des dispositions des conventions de partenariat et de collaboration;
  • Contribuer à la mise en oeuvre du programme, à toutes les étapes (prospection, préparation, mise en oeuvre, suivi, évaluation) en collaboration avec les autres parties prenantes et plus particulièrement les co-gestionnaires du Programme;
  • Veiller à la qualité des partenariats et contribuer à mettre en place les conditions relationnelles nécessaires et favorables à l’atteinte des résultats;
  • Assurer la co-gestion des ressources humaines, matérielles et financières affectées au Programme;
  • Assurer, avec les partenaires, la mise en place des dispositifs et processus de M&E, apprentissage, gestion des connaissances du programme;
  • Gérer les risques inhérents au Programme;
  • Organiser le rapportage et le suivi de la progression des indicateurs du programme de manière qualitative;
  • Encourager la prise en compte du genre et de l’environnement à chaque phase du cycle d’intervention.

Au titre de(s) Volet Relations publiques/ Communication/la Gestion de la Connaissance:

  • Organiser, avec les partenaires, la communication pour le développement adéquat, à tous les niveaux de l’action en étroite collaboration avec les parties concernées;
  • Contribuer activement à la gestion des connaissances en valorisant la capitalisation des acquis et des expériences et en participant activement à l’apprentissage collectif dans le cadre du CSC et en dehors;
  • Organiser, avec les partenaires, la communication et la présence sur les réseaux sociaux des programmes dans une perspective de communication pour le développement (C4D) ;
  • Contribuer, en concertation avec le siège de l’APEFE, à la communication interne et externe de l’APEFE en veillant au développement et à la continuité de sa visibilité;
  • Représenter l’APEFE au sein des cadres de concertation relatif au secteur concerné;
  • Assurer la gestion des connaissances en valorisant la capitalisation des acquis et des expériences et en participant activement à l’apprentissage collectif dans le cadre du Cadre Stratégique Commun et en dehors ;
  • Contribuer au processus d’apprentissage interne de l’APEFE en participant aux réflexions thématiques interpays – siège;
  • Contribuer à la promotion de l’image de l’APEFE et de manière élargie de WBI et de la Belgique ainsi que des partenaires locaux.

En sus, en sa qualité d’Administrateur.trice des Programmes de l’APEFE au Burkina FASO:

  • Représenter l’APEFE au Burkina Faso (notamment au niveau du Forum des acteurs belge, ...) ;
  • Mettre en cohérence et en congruence les interventions de l’APEFE;
  • Gérer les risques inhérents au bureau de l’APEFE ;
  • Coordonner et consolider le suivi et le rapportage de qualité des différentes interventions menées au Burkina Faso;
  • Superviser de manière participative et formative la gestion des ressources humaines affectées aux programmes et la cohérence de l’action de l’ensemble du personnel APEFE;
  • Organiser et contrôler la gestion comptable et financière des programmes et du bureau APEFE avant l’envoi des éléments comptables au siège ;
  • Organiser, en concertation avec les partenaires, les opérations de lancement et de clôture des programmes (communication, capitalisation, clôture financière, RH, administrative…);
  • Contribuer à la communication interne et externe de l’APEFE.

 

Toutes ces missions sont assurées en coordination avec le siège de l’APEFE à qui l’expert.e propose chaque année son plan annuel d’action. Par ailleurs, un canal d’échange d’information régulier sera entretenu, notamment au travers des réunions et un rapportage réguliers tout au long de l’année et selon les besoins.

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Profil

Niveau de formation requis :

Diplôme de master en agronomie ou environnement reconnu par la Fédération Wallonie-Bruxelles

Expérience requises :

  • Minimum 10 ans d’expérience pertinente dans le pilotage de projets de développement international en Afrique sub-saharienne, dont au moins 3 ans dans la région;
  • Minimum 5 ans d’expérience en gestion d’équipe dans des environnements multiculturels ;
  • Minimum 5 ans d’expérience pertinente dans le domaine d’expertise spécifique, à savoir dans le domaine de la gestion durable des terres ;
  • Expérience avérée en formulation de projet ;
  • Expérience avérée en en suivi-évaluation ;
  • Expérience avérée de négociations politiques et diplomatiques à haut niveau (institutions internationales ; Gouvernements ; structures ministérielles ...)

Compétences et connaissances requises :

  • Excellentes capacité de coordination, de planification, d’organisation et de gestion ;
  • Grande capacité d’écoute, de dialogue et capacité à fédérer ;
  • Axé résultats et proactif ;
  • Aptitude avérée à la communication orale et écrite ;
  • Capacité d’analyse et de synthèse ;
  • Connaissance approfondie des méthodologies de gestion de projet, et de suivi-évaluation ;
  • Sensibilité en matière d’égalité, d’équité et de genre ;
  • Parfaite maîtrise du français à l’oral et à l’écrit ;
  • Permis de conduire B ;
  • Engagement à respecter la charte éthique de l’APEFE.

Connaissances spécifiques considérée comme un atout :

  • Connaissance des acteurs nationaux, régionaux et sectoriels et leurs mandats respectifs ;
  • Connaissance de l’initiative de la Grande Muraille Verte pour le Sahara et le Sahel, des engagements internationaux en matière de récupération des terres, de la finance climatique;
  • Connaissance dans le secteur de la Santé;
  • Expérience antérieure avec la DGD, l’UE , l’OMS, la FAO (partenaires de l’APEFE au Burkina Faso);
  • Lien privilégié avec la Belgique.
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Candidature

Lettre de motivation dans la langue de l’offre et le CV au format européen sont à envoyer par voie électronique, au plus tard le 03.04.2022, à l’adresse suivante : candidatures@apefe.org avec copie à a.germeau@apefe.org avec la mention BURKINA FASO AP 2022 portée dans l’objet du message.

 

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Offre complète 716.56 Ko

Bouton - en savoir plus

Initié comme action pilote en 2019, le Fonds de coopération de la Grande Région est reconduit par le Sommet de la Grande Région en 2022. Renforcer le sentiment d’appartenance des 11,6 millions habitants de la Grande Région à cet espace de vie partagé et à ce territoire commun de coopération, tel est l’objectif que poursuit le Sommet de la Grande Région en renouvelant un tel instrument de soutien aux petits projets transfrontaliers citoyens.

 

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Subvention

Un projet approuvé au titre du Fonds de coopération peut être soutenu jusqu’à 90% de son coût total TTC réel, et ce dans une fourchette de minimum 500 € à maximum 2.000 €. Le versement de la subvention se fait à l’adresse de l'opérateur dit chef de file du projet (bénéficiaire et interlocuteur référant pour le projet). Il intervient en aval du projet et sur remise du dossier de clôture complet (téléchargeable en pièce jointe).

 

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Appel à projets

Publié ce 15 mars 2022, l’appel à projets (téléchargeable en pièce jointe) détaille et précise les conditions d’éligibilité et les modalités de dépôt d’une demande de subvention au titre du Fonds de coopération 2022.

 

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Conditions d’éligibilité en bref

Objectifs du projet : favoriser la proximité citoyenne en Grande Région par des actions relatives à

  • l’organisation de manifestations, conférences ou évènements ponctuels
  • la constitution et mise en place de coopérations ou réseaux
  • la réalisation d’outils de communication

Lieu et période de mise en œuvre

  • territoire éligible de la Grande Région (voir Appel à projets 2022)
  • année civile 2022 (31 décembre 2022 au plus tard)

Composition du partenariat : partenariat transfrontalier de petites structures dotées d'une personnalité morale associant au moins deux opérateurs issus d’au minimum deux territoires composant la Grande Région de deux pays différents.

 

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Dépôt des demandes

Les demandes de subvention peuvent être introduites tout au long de l’année à condition que le dossier de demande complet (formulaire et annexes, téléchargeable en pièce jointe) soit soumis au plus tard 8 semaines avant le démarrage du projet. Les fonds sont attribués dans la limite du montant global disponible (30.000 €).

 

Elles doivent être formulées en français OU en allemand sur base du formulaire de demande (en pièce jointe) et sont adressées par l'opérateur chef de file au Secrétariat du Sommet de la Grande Région à l’adresse : secretariat.sommet@granderegion.net.

 

Pour les projets approuvés, un guide à l’adresse des opérateurs de projets (téléchargeable en pièce jointe) détaille l’ensemble des éléments utiles et nécessaires à la bonne mise en œuvre et au bon suivi règlementaire et administratif de votre projet.

 

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Contact

Secrétariat du Sommet de la Grande Région
Maison de la Grande Région
11, bd JF Kennedy
L-4170 Esch-sur-Alzette
secretariat.sommet@granderegion.net
+352 247 80 159

 

 

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Initié comme action pilote en 2019, le Fonds de coopération de la Grande Région est reconduit par le Sommet de la Grande Région en 2022. Renforcer le sentiment d’appartenance des 11,6 millions habitants de la Grande Région à cet espace de vie partagé et à ce territoire commun de coopération, tel est l’objectif que poursuit le Sommet de la Grande Région en renouvelant un tel instrument de soutien aux petits projets transfrontaliers citoyens.

 

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Un projet approuvé au titre du Fonds de coopération peut être soutenu jusqu’à 90% de son coût total TTC réel, et ce dans une fourchette de minimum 500 € à maximum 2.000 €. Le versement de la subvention se fait à l’adresse de l'opérateur dit chef de file du projet (bénéficiaire et interlocuteur référant pour le projet). Il intervient en aval du projet et sur remise du dossier de clôture complet (téléchargeable en pièce jointe).

 

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Appel à projets

Publié ce 15 mars 2022, l’appel à projets (téléchargeable en pièce jointe) détaille et précise les conditions d’éligibilité et les modalités de dépôt d’une demande de subvention au titre du Fonds de coopération 2022.

 

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Conditions d’éligibilité en bref

Objectifs du projet : favoriser la proximité citoyenne en Grande Région par des actions relatives à

  • l’organisation de manifestations, conférences ou évènements ponctuels
  • la constitution et mise en place de coopérations ou réseaux
  • la réalisation d’outils de communication

Lieu et période de mise en œuvre

  • territoire éligible de la Grande Région (voir Appel à projets 2022)
  • année civile 2022 (31 décembre 2022 au plus tard)

Composition du partenariat : partenariat transfrontalier de petites structures dotées d'une personnalité morale associant au moins deux opérateurs issus d’au minimum deux territoires composant la Grande Région de deux pays différents.

 

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Dépôt des demandes

Les demandes de subvention peuvent être introduites tout au long de l’année à condition que le dossier de demande complet (formulaire et annexes, téléchargeable en pièce jointe) soit soumis au plus tard 8 semaines avant le démarrage du projet. Les fonds sont attribués dans la limite du montant global disponible (30.000 €).

 

Elles doivent être formulées en français OU en allemand sur base du formulaire de demande (en pièce jointe) et sont adressées par l'opérateur chef de file au Secrétariat du Sommet de la Grande Région à l’adresse : secretariat.sommet@granderegion.net.

 

Pour les projets approuvés, un guide à l’adresse des opérateurs de projets (téléchargeable en pièce jointe) détaille l’ensemble des éléments utiles et nécessaires à la bonne mise en œuvre et au bon suivi règlementaire et administratif de votre projet.

 

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Secrétariat du Sommet de la Grande Région
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L-4170 Esch-sur-Alzette
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Versant Medjerda - Tunisie - décembre 2021 (c) DGWB Tunisie

Créé en 1996, le Conseil mondial de l'eau est le fondateur et le co-organisateur du Forum mondial de l'eau. Le Conseil se concentre sur les dimensions politiques de la sécurité, de l'adaptation et de la durabilité de l'eau. Le Conseil mondial de l'eau représente plus de 300 organisations dans plus de 50 pays.

Cette plateforme unique et les décideurs clés du domaine organisent le plus grand événement sur l'eau, le Forum Mondial de l'Eau. Prévu tous les trois ans, le 9e Forum sera le premier de ce type à se tenir en Afrique subsaharienne - Dakar.

 

Pour son édition 2022, le Forum met l’accent sur quatre priorités à savoir:

  1. la sécurité de l’eau et de l’assainissement
  2. l’eau pour le développement rural
  3. la coopération
  4. les « Outils et Moyens » incluant les questions cruciales du financement, de la gouvernance, de la gestion des connaissances et des innovations ; quatre axes qui constituent des priorités pour l'Afrique, mais aussi pour le monde dans sa globalité.

 

Avec 19 acteurs spécialisés du secteur de l’eau, c'est une forte présence belge qui est attendue du 21 au 26 mars 2022, à Dakar, dont des acteurs de coopération Wallonie-Bruxelles International, notamment, l’Aquapôle de l’Université de Liège, Louvain4water de l’Université Catholique de Louvain et la Société Wallonne Des Eaux.

 

Wallonie-Bruxelles International est un acteur majeur dans le secteur de l’eau, à travers ses programmes de coopération entre autres avec le Sénégal et la Tunisie.

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Au Sénégal

En République du Sénégal, pays organisateur du Forum, WBI coopère depuis de nombreuses années avec les autorités sénégalaises pour mettre en œuvre des projets qui visent à appuyer la gestion et la protection des ressources en eau d’un point de vue quantitatif et qualitatif dans différentes régions, principalement, la région agricole des Niayes (littoral nord) et autour du lac de Guiers, situé dans la région nord du Sénégal, à 250km de Dakar et qui contribue à hauteur de 40 % à l'approvisionnement en eau potable de la capitale Dakar.

 

Lors du renouvellement du dernier programme de coopération pour la période 2021-2024, il a été décidé de mettre l’accent sur deux projets, dans la continuité des actions précédentes avec d’une part un projet visant à mettre en œuvre un Programme de Gestion Intégrée et optimale des Ressources en Eau de l’écosystème côtiers des Niayes et de la réserve d’eau douce de Bango, et d’autre part un projet visant à améliorer la gestion des pesticides agricoles dans le bassin du lac de Guiers afin de minimiser leur impact sur les milieux aquatiques et la population locale.

 

Ces projets bénéficient d’un partenariat interuniversitaire avec l’appui des administrations compétentes. Ils sont pilotés par l’ULG, l’UCL, la Société wallonne des eaux et le SPW Wallonie en collaboration avec l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) à Dakar ainsi que la Direction de la Gestion et de la Planification des Ressources en eau (DGPRE) et l’Office des Lacs et Cours d’Eau (OLAC).

 

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En Tunisie

La Tunisie, à travers son programme de coopération dans le secteur de l’eau, avec Wallonie-Bruxelles International, sera mise en lumière, grâce à la projection, pour la première fois, du court documentaire, réalisé en décembre 2021, sur les projets "eau" de la programmation en cours.

 

5 projets développés entre acteurs scientifiques tunisiens et wallons avec le soutien financier de Wallonie-Bruxelles International, ainsi qu’un projet de jumelage entre la Société Wallonne des Eaux et le Ministère Tunisien de l’Agriculture et des Ressources Hydrauliques et de la Pêche avec le soutien financier de l’Union Européenne, sont discutés et leurs acteurs interviewés dans le cadre de ce documentaire.

 

Les projets en question, traitent des problématiques cruciales dans un contexte de stress hydrique en Tunisie, notamment, la gouvernance et la surveillance de la ressource en eau de la Medjerda, la gouvernance du système de distribution de Sidi Salem, la proposition du procédé innovant de traitement des eaux usées, et la promotion d’une technique d’épuration utilisant le traitement par les algues. La Société Wallonne des Eaux, de son coté, œuvre en Tunisie, pour appuyer le ministère de l’Agriculture, des Ressources Hydrauliques et de la Pêche dans la mise en œuvre du nouveau code des eaux et des approches stratégiques afférentes, notamment en matière de police de l’eau. Il s’agit de renforcer les capacités humaines, institutionnelles et opérationnelles des acteurs impliqués dans la gestion du domaine public hydraulique et la police de l’eau pour la maîtrise de l’utilisation des ressources hydriques et l’application du nouveau code des eaux.

 

 

 

 

 

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Créé en 1996, le Conseil mondial de l'eau est le fondateur et le co-organisateur du Forum mondial de l'eau. Le Conseil se concentre sur les dimensions politiques de la sécurité, de l'adaptation et de la durabilité de l'eau. Le Conseil mondial de l'eau représente plus de 300 organisations dans plus de 50 pays.

Cette plateforme unique et les décideurs clés du domaine organisent le plus grand événement sur l'eau, le Forum Mondial de l'Eau. Prévu tous les trois ans, le 9e Forum sera le premier de ce type à se tenir en Afrique subsaharienne - Dakar.

 

Pour son édition 2022, le Forum met l’accent sur quatre priorités à savoir:

  1. la sécurité de l’eau et de l’assainissement
  2. l’eau pour le développement rural
  3. la coopération
  4. les « Outils et Moyens » incluant les questions cruciales du financement, de la gouvernance, de la gestion des connaissances et des innovations ; quatre axes qui constituent des priorités pour l'Afrique, mais aussi pour le monde dans sa globalité.

 

Avec 19 acteurs spécialisés du secteur de l’eau, c'est une forte présence belge qui est attendue du 21 au 26 mars 2022, à Dakar, dont des acteurs de coopération Wallonie-Bruxelles International, notamment, l’Aquapôle de l’Université de Liège, Louvain4water de l’Université Catholique de Louvain et la Société Wallonne Des Eaux.

 

Wallonie-Bruxelles International est un acteur majeur dans le secteur de l’eau, à travers ses programmes de coopération entre autres avec le Sénégal et la Tunisie.

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Au Sénégal

En République du Sénégal, pays organisateur du Forum, WBI coopère depuis de nombreuses années avec les autorités sénégalaises pour mettre en œuvre des projets qui visent à appuyer la gestion et la protection des ressources en eau d’un point de vue quantitatif et qualitatif dans différentes régions, principalement, la région agricole des Niayes (littoral nord) et autour du lac de Guiers, situé dans la région nord du Sénégal, à 250km de Dakar et qui contribue à hauteur de 40 % à l'approvisionnement en eau potable de la capitale Dakar.

 

Lors du renouvellement du dernier programme de coopération pour la période 2021-2024, il a été décidé de mettre l’accent sur deux projets, dans la continuité des actions précédentes avec d’une part un projet visant à mettre en œuvre un Programme de Gestion Intégrée et optimale des Ressources en Eau de l’écosystème côtiers des Niayes et de la réserve d’eau douce de Bango, et d’autre part un projet visant à améliorer la gestion des pesticides agricoles dans le bassin du lac de Guiers afin de minimiser leur impact sur les milieux aquatiques et la population locale.

 

Ces projets bénéficient d’un partenariat interuniversitaire avec l’appui des administrations compétentes. Ils sont pilotés par l’ULG, l’UCL, la Société wallonne des eaux et le SPW Wallonie en collaboration avec l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) à Dakar ainsi que la Direction de la Gestion et de la Planification des Ressources en eau (DGPRE) et l’Office des Lacs et Cours d’Eau (OLAC).

 

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En Tunisie

La Tunisie, à travers son programme de coopération dans le secteur de l’eau, avec Wallonie-Bruxelles International, sera mise en lumière, grâce à la projection, pour la première fois, du court documentaire, réalisé en décembre 2021, sur les projets "eau" de la programmation en cours.

 

5 projets développés entre acteurs scientifiques tunisiens et wallons avec le soutien financier de Wallonie-Bruxelles International, ainsi qu’un projet de jumelage entre la Société Wallonne des Eaux et le Ministère Tunisien de l’Agriculture et des Ressources Hydrauliques et de la Pêche avec le soutien financier de l’Union Européenne, sont discutés et leurs acteurs interviewés dans le cadre de ce documentaire.

 

Les projets en question, traitent des problématiques cruciales dans un contexte de stress hydrique en Tunisie, notamment, la gouvernance et la surveillance de la ressource en eau de la Medjerda, la gouvernance du système de distribution de Sidi Salem, la proposition du procédé innovant de traitement des eaux usées, et la promotion d’une technique d’épuration utilisant le traitement par les algues. La Société Wallonne des Eaux, de son coté, œuvre en Tunisie, pour appuyer le ministère de l’Agriculture, des Ressources Hydrauliques et de la Pêche dans la mise en œuvre du nouveau code des eaux et des approches stratégiques afférentes, notamment en matière de police de l’eau. Il s’agit de renforcer les capacités humaines, institutionnelles et opérationnelles des acteurs impliqués dans la gestion du domaine public hydraulique et la police de l’eau pour la maîtrise de l’utilisation des ressources hydriques et l’application du nouveau code des eaux.

 

 

 

 

 

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(c) J. Van Belle - WBI

Parmi les invités :

Vous pouvez visionner ici la 1ère émission diffusée le samedi 12/03. Les deux prochains épisodes seront diffusées le samedi 19/03 et le samedi 26/03 à 19h (heure de Bruxelles) sur TV5Monde.

 

Cette escale bruxelloise de l'émission "400 millions de critiques" a reçu le soutien de Visit Brussels et de Wallonie-Bruxelles International.

 

Premier grand magazine culturel francophone au monde, concept original 100% TV5Monde, "400 millions de critiques" revient sur l'actualité culturelle francophone à travers les regards croisés de journalistes belges, suisses, canadiens, québécois et français.

Parmi les invités :

Vous pouvez visionner ici la 1ère émission diffusée le samedi 12/03. Les deux prochains épisodes seront diffusées le samedi 19/03 et le samedi 26/03 à 19h (heure de Bruxelles) sur TV5Monde.

 

Cette escale bruxelloise de l'émission "400 millions de critiques" a reçu le soutien de Visit Brussels et de Wallonie-Bruxelles International.

 

Premier grand magazine culturel francophone au monde, concept original 100% TV5Monde, "400 millions de critiques" revient sur l'actualité culturelle francophone à travers les regards croisés de journalistes belges, suisses, canadiens, québécois et français.

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Mais on ne mange pas dans un vaisseau spatial comme sur Terre. « Or, le succès des longues missions spatiales passe aussi par l’estomac des astronautes », estime le Pr Éric Haubruge, co-fondateur du Smart Gastronomy Lab et conseiller auprès du recteur de l’Université de Liège. Le chercheur belge participe à la 13e mission technologique au Texas de Wallonie-Bruxelles International (WBI) et de l’Agence wallonne à l’Exportation et aux Investissements étrangers (AWEX). Il a visité le « Food technology facility for electron beam and Space food research » de l’Université Texas A&M et son centre de recherche spécialisé dans ce domaine. Un tremplin pour des collaborations futures.

 

Pour garantir le bien être de l'équipage et la réussite de la mission, la qualité de la nourriture s'avère donc essentiel. « Il ne s’agit pas simplement de bien calculer les quantités de protéines et les apports d’autres éléments nutritionnels de chaque repas », précise Éric Haubruge. « Il faut aussi que les aliments soient agréables à consommer et aussi frais que possible. C’est ici que se situent nos travaux concernant la nourriture spatiale. »

 

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Des algues, des insectes et des champignons au menu

Cette dimension plaisir des repas joue énormément sur la psychologie de la personne, et donc sur ses performances. Cela passe par la qualité des ingrédients, leur préparation et leur présentation, leur texture, leur goût, leur odeur. Or, actuellement, ces différents paramètres sont réduits à leur plus simple expression. Irradiés et emballés sous vide avant d’être expédiées dans l’espace, les rations des astronautes ne ressemblent guère à ce qu’on retrouve sur Terre.

 

L’option étudiée au Smart Gastronomy Lab ? « Elle passe par la disponibilité de trois types d’aliments de base frais qui devraient être produits et préparés à bord même des vaisseaux spatiaux », détaille le scientifique. « Des algues (comme la spiruline), des insectes et des champignons, des aliments dont on pourrait modifier la structure, le goût, façonner l’apparence et la texture, mais qui conservent leurs qualités nutritionnelles. »

 

« Cuisiner dans ce type d’environnement, avec des contraintes spécifiques liées à la microgravité, cela représente un défi », dit le Pr Haubruge. « On ne sait pas bien émulsionner dans l’espace. Le cisaillement dans la structure des aliments pose également un problème. La cuisson ne peut pas se faire comme sur Terre. »

 

« Pour l’instant, nous travaillons sur les textures des aliments reconstitués au départ de ces ingrédients de base », continue-t-il. « Dans nos restaurants terrestres aussi, la cuisine, c’est de la science. Une science qui vise à construire un aliment qui plaît.»

 

« Au ‘Food technology facility for electron beam and Space food research’ de Texas A&M, on produit les rations alimentaires envoyées sur la Station spatiale internationale », poursuit le chercheur du laboratoire gembloutois qui accompagnait une mission de l’Awex, l’Agence wallonne aux exportations) et de WBI (Wallonie-Bruxelles International).

 

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Cuisson par extrusion

« On y effectue aussi des recherches plus fondamentales. Des collaborations sont envisageables. D’autant plus que, comme nous, ils travaillent sur les diverses dimensions de cette problématique. Il y a la production de matière fraîche, sa transformation et sa préparation, mais également les aspects technologiques qui y sont liés. »

 

« On ne cuisine par en microgravité comme on le fait sur Terre : pas question d’y faire bouillir une marmite d’eau, par exemple. Il faut passer par un système de cuisson par extrusion, une technique qui rappelle l’impression en trois dimensions. Il y a aussi la question des déchets et de leur recyclage, des cycles de productions des matières premières, de l’énergie disponible pour faire fonctionner les bio et les photo-réacteurs.»

 

Pour mener ses recherches à bien, Éric Haubruge espère pouvoir bénéficier du soutien de l’Agence spatiale européenne (ESA). Celle-ci s’intéresse depuis longtemps à la problématique alimentaire dans l’espace. Elle a lancé un nouvel appel aux chercheurs à ce propos. Sa sélection de projets devrait être connue dans les semaines qui viennent. A Gembloux, les cuistots de l’espace ont déjà enfilé leur tablier.

 

Source: Daily Science

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Mais on ne mange pas dans un vaisseau spatial comme sur Terre. « Or, le succès des longues missions spatiales passe aussi par l’estomac des astronautes », estime le Pr Éric Haubruge, co-fondateur du Smart Gastronomy Lab et conseiller auprès du recteur de l’Université de Liège. Le chercheur belge participe à la 13e mission technologique au Texas de Wallonie-Bruxelles International (WBI) et de l’Agence wallonne à l’Exportation et aux Investissements étrangers (AWEX). Il a visité le « Food technology facility for electron beam and Space food research » de l’Université Texas A&M et son centre de recherche spécialisé dans ce domaine. Un tremplin pour des collaborations futures.

 

Pour garantir le bien être de l'équipage et la réussite de la mission, la qualité de la nourriture s'avère donc essentiel. « Il ne s’agit pas simplement de bien calculer les quantités de protéines et les apports d’autres éléments nutritionnels de chaque repas », précise Éric Haubruge. « Il faut aussi que les aliments soient agréables à consommer et aussi frais que possible. C’est ici que se situent nos travaux concernant la nourriture spatiale. »

 

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Des algues, des insectes et des champignons au menu

Cette dimension plaisir des repas joue énormément sur la psychologie de la personne, et donc sur ses performances. Cela passe par la qualité des ingrédients, leur préparation et leur présentation, leur texture, leur goût, leur odeur. Or, actuellement, ces différents paramètres sont réduits à leur plus simple expression. Irradiés et emballés sous vide avant d’être expédiées dans l’espace, les rations des astronautes ne ressemblent guère à ce qu’on retrouve sur Terre.

 

L’option étudiée au Smart Gastronomy Lab ? « Elle passe par la disponibilité de trois types d’aliments de base frais qui devraient être produits et préparés à bord même des vaisseaux spatiaux », détaille le scientifique. « Des algues (comme la spiruline), des insectes et des champignons, des aliments dont on pourrait modifier la structure, le goût, façonner l’apparence et la texture, mais qui conservent leurs qualités nutritionnelles. »

 

« Cuisiner dans ce type d’environnement, avec des contraintes spécifiques liées à la microgravité, cela représente un défi », dit le Pr Haubruge. « On ne sait pas bien émulsionner dans l’espace. Le cisaillement dans la structure des aliments pose également un problème. La cuisson ne peut pas se faire comme sur Terre. »

 

« Pour l’instant, nous travaillons sur les textures des aliments reconstitués au départ de ces ingrédients de base », continue-t-il. « Dans nos restaurants terrestres aussi, la cuisine, c’est de la science. Une science qui vise à construire un aliment qui plaît.»

 

« Au ‘Food technology facility for electron beam and Space food research’ de Texas A&M, on produit les rations alimentaires envoyées sur la Station spatiale internationale », poursuit le chercheur du laboratoire gembloutois qui accompagnait une mission de l’Awex, l’Agence wallonne aux exportations) et de WBI (Wallonie-Bruxelles International).

 

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Cuisson par extrusion

« On y effectue aussi des recherches plus fondamentales. Des collaborations sont envisageables. D’autant plus que, comme nous, ils travaillent sur les diverses dimensions de cette problématique. Il y a la production de matière fraîche, sa transformation et sa préparation, mais également les aspects technologiques qui y sont liés. »

 

« On ne cuisine par en microgravité comme on le fait sur Terre : pas question d’y faire bouillir une marmite d’eau, par exemple. Il faut passer par un système de cuisson par extrusion, une technique qui rappelle l’impression en trois dimensions. Il y a aussi la question des déchets et de leur recyclage, des cycles de productions des matières premières, de l’énergie disponible pour faire fonctionner les bio et les photo-réacteurs.»

 

Pour mener ses recherches à bien, Éric Haubruge espère pouvoir bénéficier du soutien de l’Agence spatiale européenne (ESA). Celle-ci s’intéresse depuis longtemps à la problématique alimentaire dans l’espace. Elle a lancé un nouvel appel aux chercheurs à ce propos. Sa sélection de projets devrait être connue dans les semaines qui viennent. A Gembloux, les cuistots de l’espace ont déjà enfilé leur tablier.

 

Source: Daily Science

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© Lola Mansour / © Guillaume Druez

Guillaume Druez se consacrera à l’écriture de sa prochaine œuvre de fiction sur les marginalités – subies ou voulues, violentes ou revendiquées. Parler de ces êtres que l’on ne peut placer dans aucune case, ranger dans aucune catégorie. Faire coïncider marginalité des personnages et marginalité de la langue.

 

Lola Mansour, également Judokate professionnelle, en profitera quant à elle pour avancer sur son deuxième roman et sur un nouveau projet, plus abstrait, en prévision des JO de Paris 2024, ouvrage collectif qui se construira au gré des rencontres avec des sportifs/sportives qui font bouger les lignes.

Biographie

Guillaume Druez

Auteur, acteur et metteur en scène belge, il est né en 1989 à Bruxelles. Il obtient un Master en Langues et littératures françaises et romanes de l’Université Libre de Bruxelles en 2012 et enseigne le français en promotion sociale l’année scolaire suivante. En 2013, Guillaume entre en art dramatique au Conservatoire de Mons. Diplômé en 2017, il a depuis joué sur les scènes du Théâtre de Vidy-Lausanne et de la Comédie de Genève sous la direction de Maya Bösch (dans « Pièces de guerre en Suisse » d’Antoinette Rychner), et sur celles du Rideau de Bruxelles et du MARS (Mons) dans « Tu fais la femme » de Carole Lambert. Sa première pièce en tant qu’auteur (« Bocal ») a été créée aux Riches-Claires en 2019. Guillaume met en scène Stéphane Bissot dans sa deuxième pièce (« Nous, les grosses ») au Théâtre de la Vie en décembre 2020, projet pour lequel il a obtenu le soutien du Conseil d’Aide aux Projets Théâtraux de la Fédération Wallonie-Bruxelles, et dont le texte est publié aux Editions des « Oiseaux de Nuit ». Guillaume montera par ailleurs sur la scène du Théâtre Royal du Parc en novembre 2022 dans « Animal Farm » mis en scène par Thierry Debroux et sur celle des Riches-Claires en mars 2023 dans son solo « Coeur de pédé ». 

 

Lola Mansour

Judokate professionnelle, en dehors des tatamis Lola Mansour écrit. Elle commença a écrire de façon plus structurée a l’âge de 17 ans, seule dans sa chambre d’hôtel, lors de stages sportifs. Ce loisir ponctuel, se combinant parfaitement avec le rythme effréné, exigé par le sport de haut niveau, s’est rapidement transformé en « addiction ». Ainsi, pendant toutes ces années, son notebook, greffé dans son sac à dos, l’a accompagnée dans les aéroports, hôtels, salles de pesée et compétitions. Grâce au concours de la Fondation Laure Nobels, elle a publié en 2008 son premier roman « Ceinture Blanche ». Militante féministe, ambassadrice de "Give and Take" et co-fondatrice du mouvement "Balance Ton Sport", elle cumule différentes activités qui visent toutes un même objectif : l'épanouissement de nos multiples aptitudes (sportives, culturelles, sociales) au service d'une société plus inclusive et égalitaire. 

 

Retrouvez les bourses de résidence d'auteurs sur le site de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

Guillaume Druez se consacrera à l’écriture de sa prochaine œuvre de fiction sur les marginalités – subies ou voulues, violentes ou revendiquées. Parler de ces êtres que l’on ne peut placer dans aucune case, ranger dans aucune catégorie. Faire coïncider marginalité des personnages et marginalité de la langue.

 

Lola Mansour, également Judokate professionnelle, en profitera quant à elle pour avancer sur son deuxième roman et sur un nouveau projet, plus abstrait, en prévision des JO de Paris 2024, ouvrage collectif qui se construira au gré des rencontres avec des sportifs/sportives qui font bouger les lignes.

Biographie

Guillaume Druez

Auteur, acteur et metteur en scène belge, il est né en 1989 à Bruxelles. Il obtient un Master en Langues et littératures françaises et romanes de l’Université Libre de Bruxelles en 2012 et enseigne le français en promotion sociale l’année scolaire suivante. En 2013, Guillaume entre en art dramatique au Conservatoire de Mons. Diplômé en 2017, il a depuis joué sur les scènes du Théâtre de Vidy-Lausanne et de la Comédie de Genève sous la direction de Maya Bösch (dans « Pièces de guerre en Suisse » d’Antoinette Rychner), et sur celles du Rideau de Bruxelles et du MARS (Mons) dans « Tu fais la femme » de Carole Lambert. Sa première pièce en tant qu’auteur (« Bocal ») a été créée aux Riches-Claires en 2019. Guillaume met en scène Stéphane Bissot dans sa deuxième pièce (« Nous, les grosses ») au Théâtre de la Vie en décembre 2020, projet pour lequel il a obtenu le soutien du Conseil d’Aide aux Projets Théâtraux de la Fédération Wallonie-Bruxelles, et dont le texte est publié aux Editions des « Oiseaux de Nuit ». Guillaume montera par ailleurs sur la scène du Théâtre Royal du Parc en novembre 2022 dans « Animal Farm » mis en scène par Thierry Debroux et sur celle des Riches-Claires en mars 2023 dans son solo « Coeur de pédé ». 

 

Lola Mansour

Judokate professionnelle, en dehors des tatamis Lola Mansour écrit. Elle commença a écrire de façon plus structurée a l’âge de 17 ans, seule dans sa chambre d’hôtel, lors de stages sportifs. Ce loisir ponctuel, se combinant parfaitement avec le rythme effréné, exigé par le sport de haut niveau, s’est rapidement transformé en « addiction ». Ainsi, pendant toutes ces années, son notebook, greffé dans son sac à dos, l’a accompagnée dans les aéroports, hôtels, salles de pesée et compétitions. Grâce au concours de la Fondation Laure Nobels, elle a publié en 2008 son premier roman « Ceinture Blanche ». Militante féministe, ambassadrice de "Give and Take" et co-fondatrice du mouvement "Balance Ton Sport", elle cumule différentes activités qui visent toutes un même objectif : l'épanouissement de nos multiples aptitudes (sportives, culturelles, sociales) au service d'une société plus inclusive et égalitaire. 

 

Retrouvez les bourses de résidence d'auteurs sur le site de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

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(c) Fotolia
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Conditions d'engagement

  • Etre titulaire d’un Diplôme de l’enseignement supérieur (Graduat, Bachelier ou équivalent) en comptabilité permettant d’accéder à une fonction du niveau B au moins telle que définie dans l’arrêté des Gouvernement wallon et de la Fédération Wallonie-Bruxelles portant statut administratif et pécuniaire des membres du personnel de Wallonie Bruxelles International(WBI). (ainsi que l’attestation d’équivalence dans le cas d’un diplôme autre que belge. Procédure : Fédération Wallonie-Bruxelles - 02/690.89.00 – http://www.equivalences.cfwb.be/)
  • Etre de bonne conduite et de bonne moralité 
  • Jouir des droits civils et politiques 
  • Posséder les aptitudes requises pour la fonction
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Description de la fonction

  • Assurer le traitement des demandes de liquidation 
  • Participation à la clôture
  • Encodage dans le logiciel du rapprochement facture/engagement 
  • Imputation dans les comptes 
  • Vérification dans les dossiers de liquidation (complétude, respect des dispositions bloquantes, sondage arithmétique) 
  • Passage des écritures d’O.D. pour la clôture 
  • Justification de comptes 
  • Salaires 
  • Amortissements
  • Extraits 
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Connaissances

  • Très bonnes connaissances en comptabilité (techniques comptables et budgétaires)
  • Connaissances en bureautique (Word, Excel niveau intermédiaire ; filtre, tri, formules…)
  • Connaissances logiciels de comptabilité PIA, EPM, Vanilla, Immo...
  • Maîtrise parfaite du français tant à l’oral qu’à l’écrit
  • Connaissance du décret WBfin est un plus
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Sélection

  • Epreuve écrite : Cette épreuve sera destinée à évaluer les compétences des candidats. Les candidats ayant obtenu les 10 meilleurs résultats à l’épreuve écrite (60% des points minimum) sont invités à l’épreuve finale.
  • Epreuve finale : Il s’agira d’une épreuve orale sous forme d’un entretien visant à évaluer le profil du candidat en accord avec les compétences, la motivation et les affinités avec le travail sur le terrain.

L’épreuve se déroule à Bruxelles.

 

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Dossier de candidature

Le dossier de candidature est à envoyer par courriel (recrutement@wbi.be) ou par courrier postal (cachet de la poste faisant foi), au plus tard le 31 mars à minuit, à l’attention de :

 

Madame Pascale Delcomminette
Administratrice générale de WBI
Place Sainctelette, 2
B-1080 Bruxelles

 

Le dossier de candidature comprend 

  • un curriculum vitae détaillé 
  • une copie du/des diplôme(s) [accompagnée(s) de l’équivalence dans le cas de diplôme(s) non belge(s)] 
  • une lettre de motivation

Un dossier incomplet ou envoyé hors délai n’est pas pris en compte.

 

Vous trouverez l'offre d'emploi détaillée en pièce jointe.
 

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Conditions d'engagement

  • Etre titulaire d’un Diplôme de l’enseignement supérieur (Graduat, Bachelier ou équivalent) en comptabilité permettant d’accéder à une fonction du niveau B au moins telle que définie dans l’arrêté des Gouvernement wallon et de la Fédération Wallonie-Bruxelles portant statut administratif et pécuniaire des membres du personnel de Wallonie Bruxelles International(WBI). (ainsi que l’attestation d’équivalence dans le cas d’un diplôme autre que belge. Procédure : Fédération Wallonie-Bruxelles - 02/690.89.00 – http://www.equivalences.cfwb.be/)
  • Etre de bonne conduite et de bonne moralité 
  • Jouir des droits civils et politiques 
  • Posséder les aptitudes requises pour la fonction
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Description de la fonction

  • Assurer le traitement des demandes de liquidation 
  • Participation à la clôture
  • Encodage dans le logiciel du rapprochement facture/engagement 
  • Imputation dans les comptes 
  • Vérification dans les dossiers de liquidation (complétude, respect des dispositions bloquantes, sondage arithmétique) 
  • Passage des écritures d’O.D. pour la clôture 
  • Justification de comptes 
  • Salaires 
  • Amortissements
  • Extraits 
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Connaissances

  • Très bonnes connaissances en comptabilité (techniques comptables et budgétaires)
  • Connaissances en bureautique (Word, Excel niveau intermédiaire ; filtre, tri, formules…)
  • Connaissances logiciels de comptabilité PIA, EPM, Vanilla, Immo...
  • Maîtrise parfaite du français tant à l’oral qu’à l’écrit
  • Connaissance du décret WBfin est un plus
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Sélection

  • Epreuve écrite : Cette épreuve sera destinée à évaluer les compétences des candidats. Les candidats ayant obtenu les 10 meilleurs résultats à l’épreuve écrite (60% des points minimum) sont invités à l’épreuve finale.
  • Epreuve finale : Il s’agira d’une épreuve orale sous forme d’un entretien visant à évaluer le profil du candidat en accord avec les compétences, la motivation et les affinités avec le travail sur le terrain.

L’épreuve se déroule à Bruxelles.

 

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Le dossier de candidature est à envoyer par courriel (recrutement@wbi.be) ou par courrier postal (cachet de la poste faisant foi), au plus tard le 31 mars à minuit, à l’attention de :

 

Madame Pascale Delcomminette
Administratrice générale de WBI
Place Sainctelette, 2
B-1080 Bruxelles

 

Le dossier de candidature comprend 

  • un curriculum vitae détaillé 
  • une copie du/des diplôme(s) [accompagnée(s) de l’équivalence dans le cas de diplôme(s) non belge(s)] 
  • une lettre de motivation

Un dossier incomplet ou envoyé hors délai n’est pas pris en compte.

 

Vous trouverez l'offre d'emploi détaillée en pièce jointe.
 

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Documents liés

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Les architectes Aloys Beguin et Brigitte Massart

L’association de ces deux esprits curieux démarre lorsque Aloys remporte le concours de réaménagement de la Place saint Léonard. Le défi est de taille : créer une esplanade conviviale, là où se tenait autrefois une prison, afin de revitaliser la vie de ce quartier liégeois un peu perdu au bout de la rue Féronstrée. Aujourd’hui, cette friche est devenue un espace vert et ludique que les habitants se sont rappropriés. Une réussite pour l’Atelier d’architecture Beguin Massart.

 

Depuis 1991, leurs talents créatifs et complémentaires sont reconnus et récompensés à travers le monde : Prix de l’urbanisme de la Ville de Liège, Mention « Highly Commended » aux « 6th European Urban and Regional Planning Awards 2006 » à Séville, Nomination au grand prix d’architecture de Wallonie 2012.

 

 

Il faut dire que l’atelier d’architecture s’est attelé à des projets très variés : extension de musées, restauration de bâtiments classés (le projet Extension du Trésor de la Cathédrale,) aménagement d’espaces publics, de lieux commerciaux, construction de maisons individuelles… Les deux architectes ont également exploré les domaines de la scénographie et du design en concevant des luminaires et du mobilier. Et on ne peut évidemment ne pas citer leur dernier chantier liégeois : celui de l’extension et de la rénovation du Trinkhall Museum. Un projet pour lequel ils ont été nominés en 2020 au « Prix européen pour l’architecture contemporaine Mies Van Der Rohe ».
 

De l‘ancien bâtiment, plus rien ne se devine, une annexe a été ajoutée et l’ensemble a été englobé dans une résille opaline aux contours fluides déposée comme une lanterne au cœur du Parc d’Avroy. Un bâtiment translucide qui n’accueille jamais le soleil mais rend la lumière douce et maternelle pour sublimer sans abîmer les œuvres qu’accueille le musée.

 

Pour Brigitte Massart, l’architecture est à la fois un espace, une lumière qui traverse la fenêtre. Dans la ville, c’est un bâtiment que l’on côtoie, que l’on apprécie et qui crée finalement la toile de fond de notre vie… Une toile de fond que ces deux esthètes ont incontestablement contribué à embellir !

 

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Pour en savoir plus

Atelier d’Architecture Aloys Beguin – Brigitte Massart SPRL

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Les Belges Histoires

WBI, en partenariat avec la RTBF, vous propose de découvrir les portraits de belges francophones qui font rayonner Wallonie-Bruxelles.

 

Découvrez la série de portraits : https://www.wbi.be/les-belges-histoires

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Nos aides et services

Wallonie-Bruxelles International vous aide à développer vos projets à l’international avec des formations, des coachings, des missions de prospections, des aides financières…

 

https://wbi.be/fr/service

 

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L’association de ces deux esprits curieux démarre lorsque Aloys remporte le concours de réaménagement de la Place saint Léonard. Le défi est de taille : créer une esplanade conviviale, là où se tenait autrefois une prison, afin de revitaliser la vie de ce quartier liégeois un peu perdu au bout de la rue Féronstrée. Aujourd’hui, cette friche est devenue un espace vert et ludique que les habitants se sont rappropriés. Une réussite pour l’Atelier d’architecture Beguin Massart.

 

Depuis 1991, leurs talents créatifs et complémentaires sont reconnus et récompensés à travers le monde : Prix de l’urbanisme de la Ville de Liège, Mention « Highly Commended » aux « 6th European Urban and Regional Planning Awards 2006 » à Séville, Nomination au grand prix d’architecture de Wallonie 2012.

 

 

Il faut dire que l’atelier d’architecture s’est attelé à des projets très variés : extension de musées, restauration de bâtiments classés (le projet Extension du Trésor de la Cathédrale,) aménagement d’espaces publics, de lieux commerciaux, construction de maisons individuelles… Les deux architectes ont également exploré les domaines de la scénographie et du design en concevant des luminaires et du mobilier. Et on ne peut évidemment ne pas citer leur dernier chantier liégeois : celui de l’extension et de la rénovation du Trinkhall Museum. Un projet pour lequel ils ont été nominés en 2020 au « Prix européen pour l’architecture contemporaine Mies Van Der Rohe ».
 

De l‘ancien bâtiment, plus rien ne se devine, une annexe a été ajoutée et l’ensemble a été englobé dans une résille opaline aux contours fluides déposée comme une lanterne au cœur du Parc d’Avroy. Un bâtiment translucide qui n’accueille jamais le soleil mais rend la lumière douce et maternelle pour sublimer sans abîmer les œuvres qu’accueille le musée.

 

Pour Brigitte Massart, l’architecture est à la fois un espace, une lumière qui traverse la fenêtre. Dans la ville, c’est un bâtiment que l’on côtoie, que l’on apprécie et qui crée finalement la toile de fond de notre vie… Une toile de fond que ces deux esthètes ont incontestablement contribué à embellir !

 

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Les Belges Histoires

WBI, en partenariat avec la RTBF, vous propose de découvrir les portraits de belges francophones qui font rayonner Wallonie-Bruxelles.

 

Découvrez la série de portraits : https://www.wbi.be/les-belges-histoires

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Wallonie-Bruxelles International vous aide à développer vos projets à l’international avec des formations, des coachings, des missions de prospections, des aides financières…

 

https://wbi.be/fr/service

 

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