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M pour Montréal est de retour en force cette année avec une formule hybride renouvelée. Du 16 au 19 novembre 2022, ce sont plus de 200 professionnels de l’industrie qui se déplaceront à Montréal pour prendre part à l’événement.

 

Les artistes souhaitant faire partie de la sélection officielle de cette édition extraordinaire peuvent répondre à l’appel de candidatures, présenté par la Caisse Desjardins de la Culture, jusqu’au 6 juin prochain minuit

 

Notez que des frais administratifs de 45$ CAD vous seront demandés pour garantir la considération de chaque dossier par notre équipe.

 

Pour toutes les informations et pour remplir votre formulaire d’application, rendez-vous sur la page dédiée à l’appel de candidatures 2022

 

M pour Montréal est un festival-conférence qui se déroule chaque novembre et présente une centaine d’artistes locaux et internationaux en pleine ascension ou déjà bien établis dans plus de 15 salles de spectacle partout à travers Montréal. Professionnels de l’industrie de haut niveau se mêlent aux fans et aux artistes durant l’un des événements les plus effervescents de l’automne. Depuis 2006, sa mission est simple : être LE point de rencontre par excellence pour les professionnels de l’industrie et les artistes de partout sur la planète et générer de réelles opportunités de développement de carrières et d’affaires.

M pour Montréal est de retour en force cette année avec une formule hybride renouvelée. Du 16 au 19 novembre 2022, ce sont plus de 200 professionnels de l’industrie qui se déplaceront à Montréal pour prendre part à l’événement.

 

Les artistes souhaitant faire partie de la sélection officielle de cette édition extraordinaire peuvent répondre à l’appel de candidatures, présenté par la Caisse Desjardins de la Culture, jusqu’au 6 juin prochain minuit

 

Notez que des frais administratifs de 45$ CAD vous seront demandés pour garantir la considération de chaque dossier par notre équipe.

 

Pour toutes les informations et pour remplir votre formulaire d’application, rendez-vous sur la page dédiée à l’appel de candidatures 2022

 

M pour Montréal est un festival-conférence qui se déroule chaque novembre et présente une centaine d’artistes locaux et internationaux en pleine ascension ou déjà bien établis dans plus de 15 salles de spectacle partout à travers Montréal. Professionnels de l’industrie de haut niveau se mêlent aux fans et aux artistes durant l’un des événements les plus effervescents de l’automne. Depuis 2006, sa mission est simple : être LE point de rencontre par excellence pour les professionnels de l’industrie et les artistes de partout sur la planète et générer de réelles opportunités de développement de carrières et d’affaires.

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Joachim Gérard

Bien décidé à se jouer du destin, le petit garçon apprend à marcher et n’utilise son fauteuil que pour parcourir de longues distances. Encadré et soutenu par une famille aimante qui le pousse à aller de l’avant, Joachim s’essaye à de nombreux sports tels que le tennis de table ou la natation qui le mène, dès l’âge de 8 ans, dans le circuit des compétitions. 

 

Vers 12 ans, privé d’activités physiques suite à une opération, il assiste au « Belgian Open Handisport », un tournoi de tennis en fauteuil roulant et c’est pour lui une véritable révélation! Fasciné par le jeu et la puissance des joueurs qu’il observe, Joachim veut lui aussi s’essayer à ce sport qu’il n’avait jusque-là jamais envisagé. En 2000, il dispute son premier match et ne raccrochera plus jamais sa raquette.

 

Le tennis devient alors central dans la vie du jeune homme. En parallèle de ses études, Joachim enchaine les victoires éclatantes et fin 2006, il est sacré champion du monde junior. Il n’a alors que 18 ans et le monde s’offre à lui. L’avenir le confirmera. En 2008, il remporte son premier tournoi ITF au Brésil, en 2010, il termine ses études en informatique mais son choix est fait : il sera tennisman professionnel.

 

Depuis, soutenu par l’Administration de l’éducation physique et des sports de la fédération Wallonie Bruxelles (Adeps) et la Ligue handisport francophone, Joachim ne cesse de révéler toute l’ampleur de son talent. Il remporte Roland Garros en double lors de sa première participation en 2014, décroche en 2016 la médaille de bronze aux JO de Rio puis se hisse en finales de masters et de grand Chelem dont celle de l’Open d’Australie, qu’il remporte en simple, le 17 février 2021. 

 

Touche-à-tout, passionné, combatif, rien ne semble pouvoir contenter l’appétit féroce de ce passionné. Armé d’une détermination sans faille et d’une soif de victoires, Joachim Gérard continue de nous écrire les chapitres d’une très belle histoire. 

 

Découvrez les autres épisodes: https://www.youtube.com/playlist?list=PLR92G6D3xglDTnzUhIcuqWPgWfrbIu_FH

 

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Pour en savoir plus

Page Wikipédia

Facebook

Twitter

 

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Les Belges Histoires

WBI, en partenariat avec la RTBF, vous propose de découvrir les portraits de belges francophones qui font rayonner Wallonie-Bruxelles.

 

Découvrez la série de portraits : https://www.wbi.be/les-belges-histoires

 

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Nos aides et services

Wallonie-Bruxelles International vous aide à développer vos projets à l’international avec des formations, des coachings, des missions de prospections, des aides financières…

 

https://wbi.be/fr/service

 
 
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Bien décidé à se jouer du destin, le petit garçon apprend à marcher et n’utilise son fauteuil que pour parcourir de longues distances. Encadré et soutenu par une famille aimante qui le pousse à aller de l’avant, Joachim s’essaye à de nombreux sports tels que le tennis de table ou la natation qui le mène, dès l’âge de 8 ans, dans le circuit des compétitions. 

 

Vers 12 ans, privé d’activités physiques suite à une opération, il assiste au « Belgian Open Handisport », un tournoi de tennis en fauteuil roulant et c’est pour lui une véritable révélation! Fasciné par le jeu et la puissance des joueurs qu’il observe, Joachim veut lui aussi s’essayer à ce sport qu’il n’avait jusque-là jamais envisagé. En 2000, il dispute son premier match et ne raccrochera plus jamais sa raquette.

 

Le tennis devient alors central dans la vie du jeune homme. En parallèle de ses études, Joachim enchaine les victoires éclatantes et fin 2006, il est sacré champion du monde junior. Il n’a alors que 18 ans et le monde s’offre à lui. L’avenir le confirmera. En 2008, il remporte son premier tournoi ITF au Brésil, en 2010, il termine ses études en informatique mais son choix est fait : il sera tennisman professionnel.

 

Depuis, soutenu par l’Administration de l’éducation physique et des sports de la fédération Wallonie Bruxelles (Adeps) et la Ligue handisport francophone, Joachim ne cesse de révéler toute l’ampleur de son talent. Il remporte Roland Garros en double lors de sa première participation en 2014, décroche en 2016 la médaille de bronze aux JO de Rio puis se hisse en finales de masters et de grand Chelem dont celle de l’Open d’Australie, qu’il remporte en simple, le 17 février 2021. 

 

Touche-à-tout, passionné, combatif, rien ne semble pouvoir contenter l’appétit féroce de ce passionné. Armé d’une détermination sans faille et d’une soif de victoires, Joachim Gérard continue de nous écrire les chapitres d’une très belle histoire. 

 

Découvrez les autres épisodes: https://www.youtube.com/playlist?list=PLR92G6D3xglDTnzUhIcuqWPgWfrbIu_FH

 

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Les Belges Histoires

WBI, en partenariat avec la RTBF, vous propose de découvrir les portraits de belges francophones qui font rayonner Wallonie-Bruxelles.

 

Découvrez la série de portraits : https://www.wbi.be/les-belges-histoires

 

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Le photographe Jim Sumkay et le réalisateur Patrice Leconte (c) J. Van Belle - WBI

Parcourir les photographies de Jim Sumkay, c’est l’occasion d’une balade visuelle intrépide au cœur de nos vies et de notre quotidien.  Sa marque de fabrique: débusquer des situations où émergent l’ironie ou l’humour  en sous-titres réels. Les mots des enseignes, des affiches, des banderoles surgissent derrière le quidam. Chaque scène prend une toute autre allure et s’illustre souvent d’un malicieux double sens.

 

Né en 1954, Jim Sumkay est venu à la photographie tardivement. Formé au dessin, devenu éducateur, il chine aux puces et enrichit son quotidien de multiples trouvailles.

Parmi elles, son premier appareil photo numérique. Un objet qui tombe à pic dans la vie chaotique à l’époque du photographe. Il le sauve en lui offrant une addiction positive: la photographie.

 

La photographie numérique, c’est comme une gourmandise autorisée. Jim Sumkay déclenche la prise de vue avec appétit, son œil embrasse avec voracité.

Résultat: 120.000 photos accessibles sur son site depuis le 1er mai 2005 en exposition permanente ouverte à tous les publics. Il est d’ailleurs l’un des premiers à créer une galerie de photographies en ligne.

 

Cette forme de partage, c’est un mélange de générosité et de pédagogie. Une façon, après les accidents de parcours, de se risquer au dehors, de « s’autoriser à être fier de ce qu’on fait et de gagner en confiance grâce aux regards et retours positifs du public ».

 

C’est aussi ouvrir le regard des autres, montrer que la poésie, l’humour ou le voyage sont partout. Chacun peut s’emparer de ces histoires que les murs et les gens racontent.

 

Cette exposition regroupe une soixantaine de photographies foisonnant d’anecdotes, sans mise en scène mais proposant  des rencontres impromptues, des hasards heureux ou des instantanés provoqués.

 

En ce jeudi 10 février, elle a bénéficié de la visite d’un visiteur exceptionnel, le réalisateur Patrice Leconte, ami de longue date de Jim Sumkay. Ils se sont rencontrés à Namur sur le plateau radio du Jeu des dictionnaires. Ce jour-là, Jim Sumkay capte une image de Patrice Leconte à la sauvette alors qu’il dédicace son livre en coulisses. La photo a plu et l’amitié est née.

Le réalisateur qualifie son ami street photographe, de « piéton attentif qui n'en finit pas de regarder et de faire des photos ». 30 par jour qu’il lui envoie quotidiennement. Une discipline créative qui ne cesse de surprendre.

 

Leur point commun : le regard

 

Chacun choisit son image et ce qu’il veut montrer du réel. Depuis le film Tandem en 1987, Patrice Leconte a choisi en effet de devenir le cadreur de ses films pour « faire lui-même les images qu’il a dans la tête ».

 

Sa visite à l’Espace Wallonie de Bruxelles est l’occasion d’évoquer son nouveau film, Maigret, adaptation du roman de Simenon, Maigret et la jeune morte, avec Gérard Depardieu dans le rôle principal. Un roman bouleversant où l’enquête, comme souvent chez Simenon, sert de prétexte à l’observation des caractères, des relations, des lieux, des climats.

 

On comprend alors le regard affectueux et pétillant que porte Patrice Leconte, habitué des répliques qui font mouche, sur les photographies souvent espiègles, parfois impertinentes et si typiques de Jim Sumkay« Ses photos font se télescoper les images et les mots. Il a l’œil. 99% des gens ne verraient pas ça ».

 

Ils ont en commun une façon de regarder derrière le quotidien, « de tirer les fils d’histoires et d’imaginer la même vie en un peu mieux ». Un éclat de l’enfance qu’ils n’ont pas quittée.

 

Une exposition noir et blanc fourmillant d’histoires prêtes à se raconter.

 

A découvrir à l’Espace Wallonie à Bruxelles jusqu’au 19 mars 2022         

 

Entrée libre

Rue du Marché aux Herbes, 25-27

1000 Bruxelles

 

Heures d'ouverture

En février

Du mardi au samedi de 10h à 13h30 et de 14h à 17h

Les jours fériés de 13h à 18h (hors dimanche et lundi)

En mars

Du mardi au samedi de 11h à 13h30 et de 14h à 18h

Les jours fériés de 13h à 18h (hors dimanche et lundi)

Parcourir les photographies de Jim Sumkay, c’est l’occasion d’une balade visuelle intrépide au cœur de nos vies et de notre quotidien.  Sa marque de fabrique: débusquer des situations où émergent l’ironie ou l’humour  en sous-titres réels. Les mots des enseignes, des affiches, des banderoles surgissent derrière le quidam. Chaque scène prend une toute autre allure et s’illustre souvent d’un malicieux double sens.

 

Né en 1954, Jim Sumkay est venu à la photographie tardivement. Formé au dessin, devenu éducateur, il chine aux puces et enrichit son quotidien de multiples trouvailles.

Parmi elles, son premier appareil photo numérique. Un objet qui tombe à pic dans la vie chaotique à l’époque du photographe. Il le sauve en lui offrant une addiction positive: la photographie.

 

La photographie numérique, c’est comme une gourmandise autorisée. Jim Sumkay déclenche la prise de vue avec appétit, son œil embrasse avec voracité.

Résultat: 120.000 photos accessibles sur son site depuis le 1er mai 2005 en exposition permanente ouverte à tous les publics. Il est d’ailleurs l’un des premiers à créer une galerie de photographies en ligne.

 

Cette forme de partage, c’est un mélange de générosité et de pédagogie. Une façon, après les accidents de parcours, de se risquer au dehors, de « s’autoriser à être fier de ce qu’on fait et de gagner en confiance grâce aux regards et retours positifs du public ».

 

C’est aussi ouvrir le regard des autres, montrer que la poésie, l’humour ou le voyage sont partout. Chacun peut s’emparer de ces histoires que les murs et les gens racontent.

 

Cette exposition regroupe une soixantaine de photographies foisonnant d’anecdotes, sans mise en scène mais proposant  des rencontres impromptues, des hasards heureux ou des instantanés provoqués.

 

En ce jeudi 10 février, elle a bénéficié de la visite d’un visiteur exceptionnel, le réalisateur Patrice Leconte, ami de longue date de Jim Sumkay. Ils se sont rencontrés à Namur sur le plateau radio du Jeu des dictionnaires. Ce jour-là, Jim Sumkay capte une image de Patrice Leconte à la sauvette alors qu’il dédicace son livre en coulisses. La photo a plu et l’amitié est née.

Le réalisateur qualifie son ami street photographe, de « piéton attentif qui n'en finit pas de regarder et de faire des photos ». 30 par jour qu’il lui envoie quotidiennement. Une discipline créative qui ne cesse de surprendre.

 

Leur point commun : le regard

 

Chacun choisit son image et ce qu’il veut montrer du réel. Depuis le film Tandem en 1987, Patrice Leconte a choisi en effet de devenir le cadreur de ses films pour « faire lui-même les images qu’il a dans la tête ».

 

Sa visite à l’Espace Wallonie de Bruxelles est l’occasion d’évoquer son nouveau film, Maigret, adaptation du roman de Simenon, Maigret et la jeune morte, avec Gérard Depardieu dans le rôle principal. Un roman bouleversant où l’enquête, comme souvent chez Simenon, sert de prétexte à l’observation des caractères, des relations, des lieux, des climats.

 

On comprend alors le regard affectueux et pétillant que porte Patrice Leconte, habitué des répliques qui font mouche, sur les photographies souvent espiègles, parfois impertinentes et si typiques de Jim Sumkay« Ses photos font se télescoper les images et les mots. Il a l’œil. 99% des gens ne verraient pas ça ».

 

Ils ont en commun une façon de regarder derrière le quotidien, « de tirer les fils d’histoires et d’imaginer la même vie en un peu mieux ». Un éclat de l’enfance qu’ils n’ont pas quittée.

 

Une exposition noir et blanc fourmillant d’histoires prêtes à se raconter.

 

A découvrir à l’Espace Wallonie à Bruxelles jusqu’au 19 mars 2022         

 

Entrée libre

Rue du Marché aux Herbes, 25-27

1000 Bruxelles

 

Heures d'ouverture

En février

Du mardi au samedi de 10h à 13h30 et de 14h à 17h

Les jours fériés de 13h à 18h (hors dimanche et lundi)

En mars

Du mardi au samedi de 11h à 13h30 et de 14h à 18h

Les jours fériés de 13h à 18h (hors dimanche et lundi)

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Réseau diplomatique Wallonie-Bruxelles | © Polygraph

 

En vue du prochain mouvement diplomatique de septembre 2023, les gouvernements Wallon et de la Fédération Wallonie-Bruxelles ont décidé de fixer des orientations nouvelles pour leur réseau diplomatique à l’étranger.

Les notes de politique internationale (NPI) de la Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles ont identifié les leviers d’actions et les différents défis à relever afin d’assurer à la Wallonie et à la Fédération Wallonie-Bruxelles leur place sur la scène internationale.

Le réseau diplomatique à l’étranger doit jouer un rôle prépondérant dans l’activation de ces leviers, que ce soit dans le domaine diplomatique, économique, scientifique et culturel.

Afin de pouvoir continuer à défendre et à promouvoir les intérêts et les atouts de la Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles dans un monde en constante mutation, ce réseau doit s’adapter au contexte dans lequel il évolue et aux moyens dont il dispose. Dans certains cas, cela implique une concentration des forces au bénéfice d’une meilleure visibilité.

Voici un état des lieux des principaux changements qui prendront effet lors du prochain mouvement diplomatique de septembre 2023. Les autres postes du réseau diplomatique à l’étranger restent en l’état.

 

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Europe

Ouverture d’une délégation générale au Royaume-Uni

Suite au Brexit, le positionnement politique et institutionnel du Royaume-Uni a grandement évolué depuis le précédent mouvement diplomatique. La coopération bilatérale ne peut en effet plus se faire via les instances européennes. Il est donc essentiel de repenser la relation avec le Royaume-Uni et de la reconstruire sur de nouvelles bases pour positionner la Wallonie et la Fédération Wallonie- Bruxelles comme partenaires-clés du Royaume-Uni.

 

Ouverture d’une délégation générale en Espagne, avec accréditation sur le Portugal

Les deux éditions de Casa Valonia (2019 et 2021) ont donné un coup de projecteur sur les atouts de la Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles en Espagne. Elles ont montré l’intérêt et la reconnaissance de l’Espagne pour nos différents domaines de compétences, qu’ils soient culturels, académiques, scientifiques, économiques ou commerciaux.

Outre l’importance du marché espagnol pour les échanges économiques, une coopération existe en matière de partenariats académiques, scientifiques et culturels.

Un raisonnement similaire peut être tenu pour le Portugal qui nous offre un accès plus aisé au monde lusophone, notamment africain et d’Amérique latine.

 

Fermeture de la délégation générale aux Pays-Bas

Cette fermeture s’explique notamment par la dynamique européenne mais aussi par les interactions politiques fortes dans le cadre de l’écosystème transfrontalier et interrégional qui rend le rôle d’une représentation institutionnelle moins utile.

 

Fermeture des délégations générales à Varsovie et à Bucarest

Depuis l’adhésion de ces pays à l’Union européenne, la coopération bilatérale s’est trouvée impactée dans la mesure où les relations s’inscrivent désormais au travers de la coopération européenne.

En ce qui concerne la Pologne, la fermeture de la délégation générale à Varsovie a été prise en réaction aux multiples dérives du pouvoir polonais. La situation politique interne ne permet malheureusement toujours pas de restaurer une coopération institutionnelle avec ce pays.

En ce qui concerne la Roumanie, les actions actuellement menées s’inscrivent surtout dans l’accompagnement de projets sectoriels à partir du siège de WBI, et moins dans une dynamique diplomatique. Par ailleurs, le curseur francophone constitue toujours une plus-value mais est géré au niveau multilatéral, directement au départ des instances de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF).

 

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Amérique du Nord et centrale

Ouverture d’un bureau diplomatique à New York

L’arrivée de l’administration Biden et les signaux positifs donnés par les États-Unis dans une série de matières qui concernent directement les Régions et Communautés (développement durable, climat, droits humains, santé, numérique, collaboration en termes de recherche-innovation…) permet de réfléchir à une présence plus institutionnelle.

La création d’un poste à New York permettra de parfaire la couverture diplomatique pour les autres questions multilatérales liées à l’ONU (en renfort à notre dispositif actuel, à savoir les Délégations auprès de l’Union européenne, à Paris (couvrant l’OIF, l’UNESCO et l’OCDE) et à Genève). New York abrite en effet quatre des cinq principales instances des Nations Unies ainsi que le siège de plusieurs programmes ou agences importants.

 

Fermeture du bureau APEFE à Haïti

L’Association pour la Promotion de l’Education et de la Formation à l’Etranger (APEFE) ayant annoncé son retrait de Haïti pour la fin 2021, le bureau APEFE auquel se rattachait l’action de WBI sera fermé, et ce dans un contexte où les conditions de sécurité ne permettent plus d’assurer un travail serein et proactif. Par ailleurs, Haïti ne fait plus partie des pays prioritaires de coopération.

 

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Amérique latine

Suppression des postes de conseillers diplomatiques en Colombie et en Argentine

Les précédents Gouvernements avaient identifié un point d’attention pour ces deux pays, notamment en matière d’enseignement supérieur (plusieurs foires y sont organisées et les écoles d’enseignement supérieur sont attentives à ces deux pays). Le mouvement diplomatique n’a pu pourvoir ces deux postes réservés à des Conseillers diplomatiques. Force est de constater qu’il n’y a donc pas de besoins réels à un niveau diplomatique.

 

Mise en place d’une délégation multiservices au Chili

Le maintien d’une délégation générale ne semble pas l’option la plus efficiente en l’état. Néanmoins, notre programme de travail reste actif, notamment au travers de partenariats culturels, académiques, scientifiques et d’un regain d’intérêt culturel francophile au Chili.

 

Enfin, concernant la République Démocratique du Congo, l’adjonction d’un Conseiller diplomatique au sein du bureau local de Lubumbashi ne constitue plus une priorité, grâce au travail effectué par l’équipe locale, sous la supervision diplomatique de la Délégation à Kinshasa. Le bureau de Lubumbashi permet d’assurer un suivi territorial, notamment avec le Katanga, sachant qu’il est difficile physiquement d’assurer ce suivi au départ de Kinshasa et des pays voisins de la RDC.

 

Pierre-Yves Jeholet, Ministre-Président de la Fédération Wallonie-Bruxelles : «Le réseau diplomatique de la Fédération Wallonie-Bruxelles est essentiel au rayonnement de nos talents, notamment nos talents sportifs, culturels et académiques, sur la scène internationale. Il est dès lors important de pouvoir l’évaluer constamment et d’oser redéfinir de nouvelles orientations en lien avec nos notes de politique internationale. Cette nouvelle répartition s’inscrit dans une ambition forte pour les enjeux internationaux liés aux compétences de la Fédération Wallonie-Bruxelles. »

 

Elio Di Rupo, Ministre-Président de la Wallonie : « Cette décision permet de mieux déployer le réseau diplomatique de la Wallonie et de mieux l’intégrer dans un monde en constante évolution. Il s’agit d’une étape importante pour une région qui entend valoriser son patrimoine humain, matériel et immatériel, et qui cherche à intensifier sa visibilité internationale au bénéfice de ses entreprises et de sa population. »

 

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Synthèse pour le prochain mouvement diplomatique 2023

DG: Délégué(e) général(e)

C: Conseiller(e)

CEC: Conseillers économiques et commerciaux

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En vue du prochain mouvement diplomatique de septembre 2023, les gouvernements Wallon et de la Fédération Wallonie-Bruxelles ont décidé de fixer des orientations nouvelles pour leur réseau diplomatique à l’étranger.

Les notes de politique internationale (NPI) de la Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles ont identifié les leviers d’actions et les différents défis à relever afin d’assurer à la Wallonie et à la Fédération Wallonie-Bruxelles leur place sur la scène internationale.

Le réseau diplomatique à l’étranger doit jouer un rôle prépondérant dans l’activation de ces leviers, que ce soit dans le domaine diplomatique, économique, scientifique et culturel.

Afin de pouvoir continuer à défendre et à promouvoir les intérêts et les atouts de la Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles dans un monde en constante mutation, ce réseau doit s’adapter au contexte dans lequel il évolue et aux moyens dont il dispose. Dans certains cas, cela implique une concentration des forces au bénéfice d’une meilleure visibilité.

Voici un état des lieux des principaux changements qui prendront effet lors du prochain mouvement diplomatique de septembre 2023. Les autres postes du réseau diplomatique à l’étranger restent en l’état.

 

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Europe

Ouverture d’une délégation générale au Royaume-Uni

Suite au Brexit, le positionnement politique et institutionnel du Royaume-Uni a grandement évolué depuis le précédent mouvement diplomatique. La coopération bilatérale ne peut en effet plus se faire via les instances européennes. Il est donc essentiel de repenser la relation avec le Royaume-Uni et de la reconstruire sur de nouvelles bases pour positionner la Wallonie et la Fédération Wallonie- Bruxelles comme partenaires-clés du Royaume-Uni.

 

Ouverture d’une délégation générale en Espagne, avec accréditation sur le Portugal

Les deux éditions de Casa Valonia (2019 et 2021) ont donné un coup de projecteur sur les atouts de la Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles en Espagne. Elles ont montré l’intérêt et la reconnaissance de l’Espagne pour nos différents domaines de compétences, qu’ils soient culturels, académiques, scientifiques, économiques ou commerciaux.

Outre l’importance du marché espagnol pour les échanges économiques, une coopération existe en matière de partenariats académiques, scientifiques et culturels.

Un raisonnement similaire peut être tenu pour le Portugal qui nous offre un accès plus aisé au monde lusophone, notamment africain et d’Amérique latine.

 

Fermeture de la délégation générale aux Pays-Bas

Cette fermeture s’explique notamment par la dynamique européenne mais aussi par les interactions politiques fortes dans le cadre de l’écosystème transfrontalier et interrégional qui rend le rôle d’une représentation institutionnelle moins utile.

 

Fermeture des délégations générales à Varsovie et à Bucarest

Depuis l’adhésion de ces pays à l’Union européenne, la coopération bilatérale s’est trouvée impactée dans la mesure où les relations s’inscrivent désormais au travers de la coopération européenne.

En ce qui concerne la Pologne, la fermeture de la délégation générale à Varsovie a été prise en réaction aux multiples dérives du pouvoir polonais. La situation politique interne ne permet malheureusement toujours pas de restaurer une coopération institutionnelle avec ce pays.

En ce qui concerne la Roumanie, les actions actuellement menées s’inscrivent surtout dans l’accompagnement de projets sectoriels à partir du siège de WBI, et moins dans une dynamique diplomatique. Par ailleurs, le curseur francophone constitue toujours une plus-value mais est géré au niveau multilatéral, directement au départ des instances de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF).

 

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Amérique du Nord et centrale

Ouverture d’un bureau diplomatique à New York

L’arrivée de l’administration Biden et les signaux positifs donnés par les États-Unis dans une série de matières qui concernent directement les Régions et Communautés (développement durable, climat, droits humains, santé, numérique, collaboration en termes de recherche-innovation…) permet de réfléchir à une présence plus institutionnelle.

La création d’un poste à New York permettra de parfaire la couverture diplomatique pour les autres questions multilatérales liées à l’ONU (en renfort à notre dispositif actuel, à savoir les Délégations auprès de l’Union européenne, à Paris (couvrant l’OIF, l’UNESCO et l’OCDE) et à Genève). New York abrite en effet quatre des cinq principales instances des Nations Unies ainsi que le siège de plusieurs programmes ou agences importants.

 

Fermeture du bureau APEFE à Haïti

L’Association pour la Promotion de l’Education et de la Formation à l’Etranger (APEFE) ayant annoncé son retrait de Haïti pour la fin 2021, le bureau APEFE auquel se rattachait l’action de WBI sera fermé, et ce dans un contexte où les conditions de sécurité ne permettent plus d’assurer un travail serein et proactif. Par ailleurs, Haïti ne fait plus partie des pays prioritaires de coopération.

 

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Amérique latine

Suppression des postes de conseillers diplomatiques en Colombie et en Argentine

Les précédents Gouvernements avaient identifié un point d’attention pour ces deux pays, notamment en matière d’enseignement supérieur (plusieurs foires y sont organisées et les écoles d’enseignement supérieur sont attentives à ces deux pays). Le mouvement diplomatique n’a pu pourvoir ces deux postes réservés à des Conseillers diplomatiques. Force est de constater qu’il n’y a donc pas de besoins réels à un niveau diplomatique.

 

Mise en place d’une délégation multiservices au Chili

Le maintien d’une délégation générale ne semble pas l’option la plus efficiente en l’état. Néanmoins, notre programme de travail reste actif, notamment au travers de partenariats culturels, académiques, scientifiques et d’un regain d’intérêt culturel francophile au Chili.

 

Enfin, concernant la République Démocratique du Congo, l’adjonction d’un Conseiller diplomatique au sein du bureau local de Lubumbashi ne constitue plus une priorité, grâce au travail effectué par l’équipe locale, sous la supervision diplomatique de la Délégation à Kinshasa. Le bureau de Lubumbashi permet d’assurer un suivi territorial, notamment avec le Katanga, sachant qu’il est difficile physiquement d’assurer ce suivi au départ de Kinshasa et des pays voisins de la RDC.

 

Pierre-Yves Jeholet, Ministre-Président de la Fédération Wallonie-Bruxelles : «Le réseau diplomatique de la Fédération Wallonie-Bruxelles est essentiel au rayonnement de nos talents, notamment nos talents sportifs, culturels et académiques, sur la scène internationale. Il est dès lors important de pouvoir l’évaluer constamment et d’oser redéfinir de nouvelles orientations en lien avec nos notes de politique internationale. Cette nouvelle répartition s’inscrit dans une ambition forte pour les enjeux internationaux liés aux compétences de la Fédération Wallonie-Bruxelles. »

 

Elio Di Rupo, Ministre-Président de la Wallonie : « Cette décision permet de mieux déployer le réseau diplomatique de la Wallonie et de mieux l’intégrer dans un monde en constante évolution. Il s’agit d’une étape importante pour une région qui entend valoriser son patrimoine humain, matériel et immatériel, et qui cherche à intensifier sa visibilité internationale au bénéfice de ses entreprises et de sa population. »

 

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Synthèse pour le prochain mouvement diplomatique 2023

DG: Délégué(e) général(e)

C: Conseiller(e)

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 La 20ème édition de la Biennale CINARS aura lieu du 7 au 12 novembre 2022 à Montréal sous forme hybride.

 

Depuis 1984, CINARS organise tous les deux ans à Montréal une des plus importantes rencontres internationales des arts de la scène avec plus de 1921 professionnels de 54 pays dont 433 diffuseurs parmi les plus importants à travers le monde.

 

Pendant une semaine, plus de 253 spectacles du Québec, du Canada et de l’étranger, des ateliers, des événements de réseautage et une salle d’exposition sont proposés aux participants. Après dix-neuf éditions, la Biennale CINARS est devenue un événement pluridisciplinaire incontournable dans le paysage de la diffusion internationale des arts de la scène.

 

La programmation officielle comprendra des prestations intégrales de maximum 90 minutes en danse, théâtre, arts multidisciplinaires / cirque et arts numériques et des extraits de 25 minutes en musique. En plus des vitrines régulières en musique, deux vitrines spéciales seront consacrées à la musique classique et la musique francophone présentées en partenariat avec le festival Coup de Cœur Francophone.

 

Conditions

L’appel à candidatures est ouvert aux artistes de tous les pays jusqu'au 9 février à 17h (heure de Montréal).

Attention les frais de dossier à l'inscription s'élèvent à 120 $, taxes incluses et non remboursables.

Vous trouverez le règlement détailé ci-dessous.

 

Pour candidater, il vous suffit de remplir le formulaire en ligne.

 

Retrouvez toutes les informations utiles sur le site de CINARS.

 La 20ème édition de la Biennale CINARS aura lieu du 7 au 12 novembre 2022 à Montréal sous forme hybride.

 

Depuis 1984, CINARS organise tous les deux ans à Montréal une des plus importantes rencontres internationales des arts de la scène avec plus de 1921 professionnels de 54 pays dont 433 diffuseurs parmi les plus importants à travers le monde.

 

Pendant une semaine, plus de 253 spectacles du Québec, du Canada et de l’étranger, des ateliers, des événements de réseautage et une salle d’exposition sont proposés aux participants. Après dix-neuf éditions, la Biennale CINARS est devenue un événement pluridisciplinaire incontournable dans le paysage de la diffusion internationale des arts de la scène.

 

La programmation officielle comprendra des prestations intégrales de maximum 90 minutes en danse, théâtre, arts multidisciplinaires / cirque et arts numériques et des extraits de 25 minutes en musique. En plus des vitrines régulières en musique, deux vitrines spéciales seront consacrées à la musique classique et la musique francophone présentées en partenariat avec le festival Coup de Cœur Francophone.

 

Conditions

L’appel à candidatures est ouvert aux artistes de tous les pays jusqu'au 9 février à 17h (heure de Montréal).

Attention les frais de dossier à l'inscription s'élèvent à 120 $, taxes incluses et non remboursables.

Vous trouverez le règlement détailé ci-dessous.

 

Pour candidater, il vous suffit de remplir le formulaire en ligne.

 

Retrouvez toutes les informations utiles sur le site de CINARS.

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