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ournée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes - 25 novembre -(c) Conseil de l'Europe

La violence faites aux femmes comprend différentes formes – sexuelle, physique, psychologique – et touche le monde entier. 

 

Problématique déjà préoccupante avant la pandémie, elle a été aggravée suite à la crise sanitaire : en période de confinement, une hausse des signalements des violences à l’égard des femmes a été constaté. Cette violence constitue une violation majeure des droits des femmes et est un problème de santé publique.

 

 

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Dans le monde, 81 000 femmes et filles ont été tuées en 2020 (ONU Femmes)

Selon les chiffres de l’Organisation mondiale de la santé, une fille ou une femme est tuée toutes les 11 minutes par un partenaire intime ou un membre de sa famille.

 

Afin de mieux comprendre l’ampleur de cette problématique, voici une infographie qui liste des exemples de violences subies par les femmes :

 

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Les répercussions

Les violences à l’égard des femmes et principalement les violences conjugales et les violences sexuelles ont de nombreuses conséquences sur la santé psychologique, physique, sexuelle et procréative des femmes. Parmi les conséquences, on retrouve notamment :

  • La mort ou le suicide dans les cas les plus extrêmes
  • Les traumatismes
  • Les grossesses non désirées
  • Les problèmes gynécologiques
  • Les infections sexuellement transmissibles 
  • Les dépressions
  • L’état de stress post-traumatique
  • La liste est longue…

 

Par ailleurs, les violences conjugales lors de la grossesse ont un risque de mener à une fausse couche, à la naissance d’un enfant mort-né ou encore à un accouchement prématuré. Selon une analyse menée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les femmes ayant subis de la violence au sein du couple ont deux fois plus de chance de rencontrer des problèmes de dépression ou d’alcoolisme.

 

Ces violences à l’égard des femmes ont également un impact important sur les enfants. Ils sont témoins des violences conjugales dans la famille et ont un risque de faire face à des troubles comportementaux et émotionnels.

 

 

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Dispositifs mis en place au niveau international

Convention d’Istanbul

Un des textes importants au sujet de la lutte contre les violences à l’égard des femmes est sans aucun doute la Convention du Conseil de l’Europe sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique, connue sous le nom de Convention d’Istanbul. Celle-ci constitue le premier instrument englobant au niveau européen pour limiter les violences sexuelles, physiques psychologiques et domestiques.

 

La convention établit notamment des normes contraignantes visant à lutter contre les violences faites aux femmes (violences physique, sexuelle ou morale, les mutilations génitales féminines, le harcèlement et le harcèlement sexuel, les mariages forcés, l’avortement ou encore les stérilisations forcées), prévient les violences basées sur le genre, protège les victimes, adopte une approche transfrontalière et introduit une définition du genre.

 

 

Contrairement aux précédents traités internationaux, cette convention vise à établir des politiques globales et coordonnées entre les institutions nationales et gouvernementales des pays membres de la convention concernant les activités de prévention, de poursuite et de protection.

 

Un groupe d’experts sur la lutte contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique – GREVIO – est chargé de suivre la mise en œuvre de la Convention par les parties. Selon le rapport d’évaluation du GREVIO de 2020 concernant la Belgique :

  • Le rapport constate une « relative invisibilisation au sein des politiques en Belgique des violences fondées sur le genre contre les femmes ».
  • Le rapport exprime son inquiétude face à la tendance à la baisse et à l’insuffisance de moyens consacrés aux politiques contre les violences faites aux femmes.
  • Malgré d’importants efforts déployés, le rapport constate que les refuges et les maisons d’accueil en Wallonie ne sont pas suffisants.

 

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Cadre « RESPECT des femmes »

 

ONU Femmes et l’Organisation mondiale de la santé ont mis en place en 2019 un cadre « Respect des femmes » visant à prévenir la violence à l’égard des femmes. Il énumère une multitude de mesures orientées vers l’action à l’attention des décideurs politiques et des responsables de la mise en œuvre des programmes tels que l’Organisation des Nations unies ou les organismes multilatéraux par exemple. Ce cadre leur propose une manière de concevoir, planifier, mettre en œuvre, suivre et évaluer les interventions des programmes au moyen de sept stratégies pour prévenir la violence à l’égard des femmes.

 

Chaque lettre du mot « RESPECT » signifie une stratégie du programme :

R : renforcer l’autonomisation des femmes

E : encourager les relations interpersonnelles égalitaires

S : sécuriser les cadres de vie

P : procurer des services dans les différents secteurs

E : éliminer la maltraitance des enfants et des adolescents

C : combattre la pauvreté

T : transformer les attitudes, croyances et normes

 

En pratique…

Le Guide propose des orientations et des conseils concernant la mise en place d’une stratégie de prévention nationale ou infranationale mais également sur la manière de renforcer un environnement favorable pour lutter contre les violences faites aux femmes. Par ailleurs, ce cadre partage des conseils sur la mise en place des sept stratégies.

 

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Et nos gouvernements ?

Les Ministres des Droits des femmes de la Wallonie, de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la COCOF ont élaboré un « Plan intra-francophone de lutte contre les violences faites aux femmes 2020-2024 ».

 

Ce Plan intra-francophone adopté pour la première fois en 2015 s’inscrit dans la lignée de la Convention d’Istanbul, adoptée en 2011 et ratifiée par la Belgique en 2016.

L’objectif poursuivi est d’éliminer toute forme de violence à l’égard des femmes basées sur le genre, et de ce fait, renforcer l’égalité femmes-hommes dans tous les milieux.

 

Le Plan intra-francophone 20-24 est composé de 18 objectifs stratégiques, répartis en 4 axes politiques majeurs qui sont les suivants :

  1. Mener une politique intégrée de lutte contre la violence basée sur le genre et collecter des données quantitatives et qualitatives sur toutes les formes de violence ;
  2. Renforcer l'information-sensibilisation du grand public, des professionnels ou encore du public de jeunes ;
  3. Protéger ou soutenir les victimes ;
  4. Suivi et prise en charge des auteurs.

 

Parmi les objectifs, citons par exemple l’accès au plus grand nombre aux outils de sensibilisation et de prévention, la généralisation des animations EVRAS (éducation à la vie relationnelle, éducative et sexuelle) dans les écoles et extrascolaires, la création d’un pôle de formation sur les violences de genre en Belgique francophone, assurer une meilleure coordination entre politique de l'accueil et du logement ou encore renforcer le suivi et la prise en charge des auteurs de violences.

 

 

Sources :

- Organisation mondiale de la Santé

- Le Parlement européen

- UN Women

- Le Conseil de l'Europe

 

 

 


 
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La violence faites aux femmes comprend différentes formes – sexuelle, physique, psychologique – et touche le monde entier. 

 

Problématique déjà préoccupante avant la pandémie, elle a été aggravée suite à la crise sanitaire : en période de confinement, une hausse des signalements des violences à l’égard des femmes a été constaté. Cette violence constitue une violation majeure des droits des femmes et est un problème de santé publique.

 

 

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Dans le monde, 81 000 femmes et filles ont été tuées en 2020 (ONU Femmes)

Selon les chiffres de l’Organisation mondiale de la santé, une fille ou une femme est tuée toutes les 11 minutes par un partenaire intime ou un membre de sa famille.

 

Afin de mieux comprendre l’ampleur de cette problématique, voici une infographie qui liste des exemples de violences subies par les femmes :

 

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Les répercussions

Les violences à l’égard des femmes et principalement les violences conjugales et les violences sexuelles ont de nombreuses conséquences sur la santé psychologique, physique, sexuelle et procréative des femmes. Parmi les conséquences, on retrouve notamment :

  • La mort ou le suicide dans les cas les plus extrêmes
  • Les traumatismes
  • Les grossesses non désirées
  • Les problèmes gynécologiques
  • Les infections sexuellement transmissibles 
  • Les dépressions
  • L’état de stress post-traumatique
  • La liste est longue…

 

Par ailleurs, les violences conjugales lors de la grossesse ont un risque de mener à une fausse couche, à la naissance d’un enfant mort-né ou encore à un accouchement prématuré. Selon une analyse menée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les femmes ayant subis de la violence au sein du couple ont deux fois plus de chance de rencontrer des problèmes de dépression ou d’alcoolisme.

 

Ces violences à l’égard des femmes ont également un impact important sur les enfants. Ils sont témoins des violences conjugales dans la famille et ont un risque de faire face à des troubles comportementaux et émotionnels.

 

 

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Dispositifs mis en place au niveau international

Convention d’Istanbul

Un des textes importants au sujet de la lutte contre les violences à l’égard des femmes est sans aucun doute la Convention du Conseil de l’Europe sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique, connue sous le nom de Convention d’Istanbul. Celle-ci constitue le premier instrument englobant au niveau européen pour limiter les violences sexuelles, physiques psychologiques et domestiques.

 

La convention établit notamment des normes contraignantes visant à lutter contre les violences faites aux femmes (violences physique, sexuelle ou morale, les mutilations génitales féminines, le harcèlement et le harcèlement sexuel, les mariages forcés, l’avortement ou encore les stérilisations forcées), prévient les violences basées sur le genre, protège les victimes, adopte une approche transfrontalière et introduit une définition du genre.

 

 

Contrairement aux précédents traités internationaux, cette convention vise à établir des politiques globales et coordonnées entre les institutions nationales et gouvernementales des pays membres de la convention concernant les activités de prévention, de poursuite et de protection.

 

Un groupe d’experts sur la lutte contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique – GREVIO – est chargé de suivre la mise en œuvre de la Convention par les parties. Selon le rapport d’évaluation du GREVIO de 2020 concernant la Belgique :

  • Le rapport constate une « relative invisibilisation au sein des politiques en Belgique des violences fondées sur le genre contre les femmes ».
  • Le rapport exprime son inquiétude face à la tendance à la baisse et à l’insuffisance de moyens consacrés aux politiques contre les violences faites aux femmes.
  • Malgré d’importants efforts déployés, le rapport constate que les refuges et les maisons d’accueil en Wallonie ne sont pas suffisants.

 

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Cadre « RESPECT des femmes »

 

ONU Femmes et l’Organisation mondiale de la santé ont mis en place en 2019 un cadre « Respect des femmes » visant à prévenir la violence à l’égard des femmes. Il énumère une multitude de mesures orientées vers l’action à l’attention des décideurs politiques et des responsables de la mise en œuvre des programmes tels que l’Organisation des Nations unies ou les organismes multilatéraux par exemple. Ce cadre leur propose une manière de concevoir, planifier, mettre en œuvre, suivre et évaluer les interventions des programmes au moyen de sept stratégies pour prévenir la violence à l’égard des femmes.

 

Chaque lettre du mot « RESPECT » signifie une stratégie du programme :

R : renforcer l’autonomisation des femmes

E : encourager les relations interpersonnelles égalitaires

S : sécuriser les cadres de vie

P : procurer des services dans les différents secteurs

E : éliminer la maltraitance des enfants et des adolescents

C : combattre la pauvreté

T : transformer les attitudes, croyances et normes

 

En pratique…

Le Guide propose des orientations et des conseils concernant la mise en place d’une stratégie de prévention nationale ou infranationale mais également sur la manière de renforcer un environnement favorable pour lutter contre les violences faites aux femmes. Par ailleurs, ce cadre partage des conseils sur la mise en place des sept stratégies.

 

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Et nos gouvernements ?

Les Ministres des Droits des femmes de la Wallonie, de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la COCOF ont élaboré un « Plan intra-francophone de lutte contre les violences faites aux femmes 2020-2024 ».

 

Ce Plan intra-francophone adopté pour la première fois en 2015 s’inscrit dans la lignée de la Convention d’Istanbul, adoptée en 2011 et ratifiée par la Belgique en 2016.

L’objectif poursuivi est d’éliminer toute forme de violence à l’égard des femmes basées sur le genre, et de ce fait, renforcer l’égalité femmes-hommes dans tous les milieux.

 

Le Plan intra-francophone 20-24 est composé de 18 objectifs stratégiques, répartis en 4 axes politiques majeurs qui sont les suivants :

  1. Mener une politique intégrée de lutte contre la violence basée sur le genre et collecter des données quantitatives et qualitatives sur toutes les formes de violence ;
  2. Renforcer l'information-sensibilisation du grand public, des professionnels ou encore du public de jeunes ;
  3. Protéger ou soutenir les victimes ;
  4. Suivi et prise en charge des auteurs.

 

Parmi les objectifs, citons par exemple l’accès au plus grand nombre aux outils de sensibilisation et de prévention, la généralisation des animations EVRAS (éducation à la vie relationnelle, éducative et sexuelle) dans les écoles et extrascolaires, la création d’un pôle de formation sur les violences de genre en Belgique francophone, assurer une meilleure coordination entre politique de l'accueil et du logement ou encore renforcer le suivi et la prise en charge des auteurs de violences.

 

 

Sources :

- Organisation mondiale de la Santé

- Le Parlement européen

- UN Women

- Le Conseil de l'Europe

 

 

 


 
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Bouton - en savoir plus

(c) WBT-David Samyn

Un véritable florilège de bières diverses aux saveurs variées et hautes en couleurs. A tel point que chacun peut y trouver une petite mousse à son goût. Des productions uniques d’une petite brasserie aux fameuses bières trappistes, de la blonde la plus pâle aux brunes ardentes, en passant par les ambrées incandescentes, il y en a pour toutes les envies en Wallonie. Une réputation reconnue internationalement. A tel point que la culture de la bière en Belgique a été sacrée patrimoine culturel et immatériel de l’humanité par l’Unesco en 2016. Pour vous faire une idée de cette richesse, une carte reprend les brasseries wallonnes proposant une visite de leur établissement et une dégustation des bières produites sur place. 

 

Pour aller plus loin : www.visitwallonia.be/bieres, www.visitwallonia.be/jaime/wallonie-gourmande

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Savoir-faire ancestral

Depuis quelques années, le monde brassicole connaît un nouvel essor. Au XXe siècle, la Belgique comptait près de 3 300 brasseries. Si, dans les années 80, la Wallonie affichait 24 brasseries, aujourd’hui, elles sont plus d’une centaine. Un véritable engouement pour les microbrasseries est né entre 2010 et 2015. De nouvelles brasseries ouvrent leurs portes tous les mois. Mais d’où vient cette effervescence ?

 

Aujourd’hui, la plupart d’entre nous sont à la recherche de produits locaux de qualité. Les circuits courts ont la cote. Les bières artisanales sont de plus en plus recherchées. Les microbrasseries sont tendance partout dans le monde, en Wallonie peut-être plus qu’ailleurs grâce à son passé brassicole. Avec le regain d’intérêt pour les produits locaux, les habitudes des amateurs de bière ont évolué. Ils sont devenus plus exigeants. Désormais, ils sont à la recherche de produits originaux, de saveurs uniques. Les microbrasseries peuvent répondre à ces goûts particuliers. Les petits brasseurs wallons ont à cœur d’utiliser des produits locaux et de créer de nouvelles saveurs. Ils ont ce savoir-faire ancestral reconnu dans le monde inscrit dans leur ADN. Actuellement, une centaine de passionnés s’attèlent à créer sans cesse de nouvelles saveurs.

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Les microbrasseries à la loupe

Mais c’est quoi une microbrasserie ? En fait, il n’existe pas vraiment de définition claire et précise. C’est avant tout une question de quantité de production. En Belgique, on considère qu’une brasserie qui produit moins que 12,500 hectolitres de bière par an peut se voir qualifiée de microbrasserie, ou encore de brasserie artisanale, de tradition ou encore familiale. Certains brasseurs aiment se distinguer en parlant de nano-brasserie, de pico-brasserie, ou encore de fermenterie. Une microbrasserie produit généralement moins de 15 000 barils de bière par an et adopte souvent une technique spécifique. Au début, nombreux sont les microbrasseurs qui se sont lancés aves leurs amis pour se faire plaisir. D’autres ont voulu se concentrer sur le style de bière qu’ils apprécient. Certains s’y sont mis par rébellion envers l’industrie de la bière. C’est ainsi qu’au début des années 80 est né le mouvement des microbrasseries.

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Un produit naturel

La bière est un produit naturel, ses ingrédients sont simples. Elle est faite d’abord de beaucoup d’eau dont les caractéristiques vont influencer le goût. Ensuite de malt tiré d’une céréale, généralement de l’orge germée et séchée, qui va donner la couleur. D’autres céréales non maltées peuvent intervenir dans sa fabrication comme le froment, le seigle, l’épeautre, l’avoine, le maïs ou le riz. La bière, c’est évidemment aussi du houblon, une plante grimpante dont les cônes apportent l’amertume. C’est enfin de la levure de bière, un champignon qui va permettre la fermentation alcoolique. Le brasseur apporte la touche finale qui distinguera sa bière des autres et lui donnera sa saveur particulière.

 

Pour aller plus loin: www.apaqw.be/informations-generales-sur-les-bieres, www.trinquonslocal.be/nos-brasseries.

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Une infinité de couleurs et de goûts

Aujourd’hui, la Wallonie compte plus de 500 bières différentes, pour tous les goûts et de toutes les couleurs : blondes, brunes, ambrées, fruitées, épicées, stouts ou bières de saison, sans oublier les fameuses bières trappistes. En quoi se distinguent-elles ?

 

La bière blanche est une blonde non filtrée avec adjonction d’une proportion de froment rendant sa robe blanche et laiteuse. On y retrouve souvent des notes de boulangerie et des agrumes comme le citron. La blonde est brassée à base de malts clairs. Plus ou moins forte selon la quantité de matières premières, elle présente souvent une robe jaune dorée et développe des arômes d’agrumes, de fleurs blanches ou de levures. Pour la brune, le brasseur utilise des malts torréfiés avec parfois l’ajout de caramel, ce qui lui donne une robe sombre. Elle développe des arômes de cacao, de fruits rouges et d’épices. Logiquement, la bière ambrée se place entre la brune et la blonde avec une légère utilisation de malts torréfiés. Dotée d’une belle robe orange, elle peut développer des arômes de caramel tout en conservant des notes florales et fruitées. La stout est une brune pour laquelle l’utilisation de malts torréfiés est poussée à l’extrême. De robe noire, il développe des arômes de café grillé et de chocolat noir. La bière fruitée peut être blonde, ambrées, brune ou blanche. Le brasseur lui a ajouté des fruits ou des arômes de fruits. La bière de saison est une blonde légère et plutôt houblonnée. La bière épicée compte un taux d’alcool élevé et une forte dose d’épices. Elle peut être blonde, ambrée ou brune, comme la bière de Noël appréciée en hiver.

 

Les bières trappistes de Wallonie sont encore élaborées de manière traditionnelle au cœur d’abbayes cisterciennes, sous le contrôle de la communauté trappiste. Leur goût varie selon la marque. Il n’existe que onze authentiques bières trappistes dans le monde dont trois sont brassées en Wallonie, Chimay, Orval et Rochefort. Si les brasseries de ces abbayes ne sont pas visitables, l’Abbaye d’Orval et l’Espace Chimay proposent une exposition didactique, ainsi qu’une dégustation sur place. La trappiste de Rochefort se savoure dans les établissements de la ville, à proximité de l’abbaye.

 

 

Consultez la carte des brasseries wallonnes à visiter.

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Et pour compléter votre visite…

En Wallonie, différents lieux touristiques et musées sont dédiés à la culture de la bière. C’est le cas de l’Abbaye de Maredsous, de la Maison Leffe à Dinant, du Musée de la bière à Saint-Vith, du Musée de la bière du Château de l’Avouerie d’Anthisnes, du Musée des bières belges à Lustin… Ces endroits vous permettront de compléter agréablement votre visite. Visiter des microbrasseries en Wallonie, c’est aussi l’occasion de découvrir cette région riche de son patrimoine, de sa culture, de ses paysages variés et, bien entendu, de sa gastronomie.

 

Par Jacqueline Remits

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Un véritable florilège de bières diverses aux saveurs variées et hautes en couleurs. A tel point que chacun peut y trouver une petite mousse à son goût. Des productions uniques d’une petite brasserie aux fameuses bières trappistes, de la blonde la plus pâle aux brunes ardentes, en passant par les ambrées incandescentes, il y en a pour toutes les envies en Wallonie. Une réputation reconnue internationalement. A tel point que la culture de la bière en Belgique a été sacrée patrimoine culturel et immatériel de l’humanité par l’Unesco en 2016. Pour vous faire une idée de cette richesse, une carte reprend les brasseries wallonnes proposant une visite de leur établissement et une dégustation des bières produites sur place. 

 

Pour aller plus loin : www.visitwallonia.be/bieres, www.visitwallonia.be/jaime/wallonie-gourmande

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Savoir-faire ancestral

Depuis quelques années, le monde brassicole connaît un nouvel essor. Au XXe siècle, la Belgique comptait près de 3 300 brasseries. Si, dans les années 80, la Wallonie affichait 24 brasseries, aujourd’hui, elles sont plus d’une centaine. Un véritable engouement pour les microbrasseries est né entre 2010 et 2015. De nouvelles brasseries ouvrent leurs portes tous les mois. Mais d’où vient cette effervescence ?

 

Aujourd’hui, la plupart d’entre nous sont à la recherche de produits locaux de qualité. Les circuits courts ont la cote. Les bières artisanales sont de plus en plus recherchées. Les microbrasseries sont tendance partout dans le monde, en Wallonie peut-être plus qu’ailleurs grâce à son passé brassicole. Avec le regain d’intérêt pour les produits locaux, les habitudes des amateurs de bière ont évolué. Ils sont devenus plus exigeants. Désormais, ils sont à la recherche de produits originaux, de saveurs uniques. Les microbrasseries peuvent répondre à ces goûts particuliers. Les petits brasseurs wallons ont à cœur d’utiliser des produits locaux et de créer de nouvelles saveurs. Ils ont ce savoir-faire ancestral reconnu dans le monde inscrit dans leur ADN. Actuellement, une centaine de passionnés s’attèlent à créer sans cesse de nouvelles saveurs.

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Les microbrasseries à la loupe

Mais c’est quoi une microbrasserie ? En fait, il n’existe pas vraiment de définition claire et précise. C’est avant tout une question de quantité de production. En Belgique, on considère qu’une brasserie qui produit moins que 12,500 hectolitres de bière par an peut se voir qualifiée de microbrasserie, ou encore de brasserie artisanale, de tradition ou encore familiale. Certains brasseurs aiment se distinguer en parlant de nano-brasserie, de pico-brasserie, ou encore de fermenterie. Une microbrasserie produit généralement moins de 15 000 barils de bière par an et adopte souvent une technique spécifique. Au début, nombreux sont les microbrasseurs qui se sont lancés aves leurs amis pour se faire plaisir. D’autres ont voulu se concentrer sur le style de bière qu’ils apprécient. Certains s’y sont mis par rébellion envers l’industrie de la bière. C’est ainsi qu’au début des années 80 est né le mouvement des microbrasseries.

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Un produit naturel

La bière est un produit naturel, ses ingrédients sont simples. Elle est faite d’abord de beaucoup d’eau dont les caractéristiques vont influencer le goût. Ensuite de malt tiré d’une céréale, généralement de l’orge germée et séchée, qui va donner la couleur. D’autres céréales non maltées peuvent intervenir dans sa fabrication comme le froment, le seigle, l’épeautre, l’avoine, le maïs ou le riz. La bière, c’est évidemment aussi du houblon, une plante grimpante dont les cônes apportent l’amertume. C’est enfin de la levure de bière, un champignon qui va permettre la fermentation alcoolique. Le brasseur apporte la touche finale qui distinguera sa bière des autres et lui donnera sa saveur particulière.

 

Pour aller plus loin: www.apaqw.be/informations-generales-sur-les-bieres, www.trinquonslocal.be/nos-brasseries.

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Une infinité de couleurs et de goûts

Aujourd’hui, la Wallonie compte plus de 500 bières différentes, pour tous les goûts et de toutes les couleurs : blondes, brunes, ambrées, fruitées, épicées, stouts ou bières de saison, sans oublier les fameuses bières trappistes. En quoi se distinguent-elles ?

 

La bière blanche est une blonde non filtrée avec adjonction d’une proportion de froment rendant sa robe blanche et laiteuse. On y retrouve souvent des notes de boulangerie et des agrumes comme le citron. La blonde est brassée à base de malts clairs. Plus ou moins forte selon la quantité de matières premières, elle présente souvent une robe jaune dorée et développe des arômes d’agrumes, de fleurs blanches ou de levures. Pour la brune, le brasseur utilise des malts torréfiés avec parfois l’ajout de caramel, ce qui lui donne une robe sombre. Elle développe des arômes de cacao, de fruits rouges et d’épices. Logiquement, la bière ambrée se place entre la brune et la blonde avec une légère utilisation de malts torréfiés. Dotée d’une belle robe orange, elle peut développer des arômes de caramel tout en conservant des notes florales et fruitées. La stout est une brune pour laquelle l’utilisation de malts torréfiés est poussée à l’extrême. De robe noire, il développe des arômes de café grillé et de chocolat noir. La bière fruitée peut être blonde, ambrées, brune ou blanche. Le brasseur lui a ajouté des fruits ou des arômes de fruits. La bière de saison est une blonde légère et plutôt houblonnée. La bière épicée compte un taux d’alcool élevé et une forte dose d’épices. Elle peut être blonde, ambrée ou brune, comme la bière de Noël appréciée en hiver.

 

Les bières trappistes de Wallonie sont encore élaborées de manière traditionnelle au cœur d’abbayes cisterciennes, sous le contrôle de la communauté trappiste. Leur goût varie selon la marque. Il n’existe que onze authentiques bières trappistes dans le monde dont trois sont brassées en Wallonie, Chimay, Orval et Rochefort. Si les brasseries de ces abbayes ne sont pas visitables, l’Abbaye d’Orval et l’Espace Chimay proposent une exposition didactique, ainsi qu’une dégustation sur place. La trappiste de Rochefort se savoure dans les établissements de la ville, à proximité de l’abbaye.

 

 

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Et pour compléter votre visite…

En Wallonie, différents lieux touristiques et musées sont dédiés à la culture de la bière. C’est le cas de l’Abbaye de Maredsous, de la Maison Leffe à Dinant, du Musée de la bière à Saint-Vith, du Musée de la bière du Château de l’Avouerie d’Anthisnes, du Musée des bières belges à Lustin… Ces endroits vous permettront de compléter agréablement votre visite. Visiter des microbrasseries en Wallonie, c’est aussi l’occasion de découvrir cette région riche de son patrimoine, de sa culture, de ses paysages variés et, bien entendu, de sa gastronomie.

 

Par Jacqueline Remits

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Journée internationale des profs de français 2023
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Un rendez-vous annuel et plus de 180 activités à travers le monde

Pour la cinquième année, la Fédération internationale des professeurs de français s'associe à plusieurs organisations de l’écosystème éducationnel francophone pour l'organisation de cette journée. L'objectif est de célébrer les près de 900 000 professeur.e.s de français dans le monde et de valoriser le métier d’enseignant.e de français.

 

Chaque jour, aux quatre coins de la planète, pratiquant un métier qu’ils ont souvent choisi par passion de la pédagogie et par amour de la belle langue, des enseignantes et des enseignants font découvrir à leurs apprenants la richesse du français. Ils peuvent en être fiers:

 

Fiers d’être des médiateurs linguistiques et culturels qui ouvrent à leurs élèves les portes de l’échange et du dialogue avec plus de 320 millions de personnes dans le monde, et au-delà avec tous les peuples francophones et francophiles, à la fois divers et liés par l’esprit de la démocratie.

Fiers de faire découvrir de nouveaux horizons intellectuels à leurs élèves, de les aider à se doter des outils de compréhension d’un monde complexe dans lequel le plurilinguisme est un atout indispensable.

Fiers de construire un tremplin vers la réussite personnelle et professionnelle. En enseignant le français, les enseignantes et les enseignants offrent à leurs apprenants une chance unique d’accéder aux meilleures universités et formations, pour pouvoir se réaliser et permettre aux sociétés de répondre aux défis actuels et futurs – climatiques, technologiques, professionnels, notamment.

Fiers, enfin, de relever chaque jour les défis innombrables d’un métier parfois difficile, mais toujours passionnant et profondément utile.

 

Pour toutes ces raisons et bien d’autres, les millions d’enseignantes et d’enseignants « de » et « en » français peuvent être fières et fiers d’enseigner le français !

 

Si c'est la Fédération Internationale des Professeurs de Français qui coordonne l’organisation de la journée, ce sont bien les actrices et les acteurs sur le terrain qui, dans chaque pays, réunissent les institutions et les personnes engagées dans l’enseignement du et en français pour construire le programme. L'objectif est de proposer des activités qui permettent de aloriser le métier d’enseignant de français par des activités et des évènements qui vont créer du lien et de la solidarité. C’est un jour où les enseignants vont échanger, se réunir pour des moments conviviaux, partager leurs expériences et leurs pratiques.

 

La Fédération Wallonie-Bruxelles a fait du français et de l'éducation deux de ses priorités. WBI soutient dès lors les initiatives dans le cadre de ces priorités.

 

Découvrez l'allocution de Pascale Delcomminette, Administratrice générale de WBI, à cette occasion:

 

 

 

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Le parrain 2023: Abdou Diouf

 

Abdou Diouf, ancien président du Sénégal et ancien Secrétaire général de la Francophonie, parraine l’événement de cette année. A cette occasion, il a adressé une lettre aux enseignants, dans laquelle il souligne que :

 

‘’Promouvoir la langue française, singulièrement comme langue étrangère ou seconde, c’est en effet favoriser l’inspiration réciproque d’un pays à l’autre, d’un continent à l’autre, c’est contribuer sans cesse à la régénération des mots, des idées, des imaginaires, des concepts, des perceptions de l’homme et du monde.’’

 

Retrouvez l'intégralité de la lettre.

 

 

En soutien aux professeur.e.s de français dans le monde, Louise Mushikiwabosecrétaire générale de l'Organisation internationale de la francophonie (OIF) a également tenu à leur rendre hommage. 

 

"[...] Vous faites de la langue française un outil magique de compréhension et de cohésion qui transcende le foisonnement des cultures. Vous abattez les frontières géographiques, vous déjouez la grammaire et les styles, vous bousculez les imaginaires. Vous êtes les passeurs de mots, d’idées, mais aussi de valeurs inhérentes à cette langue nécessairement décentrée et enrichie par son ouverture. La langue française est ainsi bien celle des productions littéraires, des recherches et des pensées issues des cinq continents de la francophonie."

 

Retrouvez l'intégralité de la lettre ouverte.

 

 

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Lancement de la plateforme "Parlons français"

A l'occasion de la 5e Journée internationale des professeurs de français, l'OIF lance la plateforme "Parlons français". Elle s’adresse aux enseignants de et en français, aux professionnels de l’éducation, aux jeunes apprenants de français, aux cadres administratifs et fonctionnaires internationaux, et à toutes celles et ceux qui s’intéressent à la langue française, à son enseignement, à son rayonnement et aux valeurs de la Francophonie. Son objectif : favoriser un enseignement et un apprentissage de qualité.

 

Cette plateforme permet ainsi aux aux enseignants de et en français de se former pour renforcer leurs compétences, de participer à des formations continues, de bénéficier d’un accompagnement personnalisé, de disposer d'un cartable numérique, de partager et explorer des ressources pédagogiques et de partager ses connaissances et son savoir-faire.

 

Pour les établissements francophones, le site favorise le réseautage et la mise en œuvre de projets communs, notamment à travers les échanges scolaires. Enfin, les apprenants du français peuvent bénéficier de ressources contextualisées et participer à des activités francophones.

 

A cette occasion, découvrez le webinaire de lancement de la plateforme "Construisons ensemble un avenir en français".

 

 

 

 

 

 

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Un rendez-vous annuel et plus de 180 activités à travers le monde

Pour la cinquième année, la Fédération internationale des professeurs de français s'associe à plusieurs organisations de l’écosystème éducationnel francophone pour l'organisation de cette journée. L'objectif est de célébrer les près de 900 000 professeur.e.s de français dans le monde et de valoriser le métier d’enseignant.e de français.

 

Chaque jour, aux quatre coins de la planète, pratiquant un métier qu’ils ont souvent choisi par passion de la pédagogie et par amour de la belle langue, des enseignantes et des enseignants font découvrir à leurs apprenants la richesse du français. Ils peuvent en être fiers:

 

Fiers d’être des médiateurs linguistiques et culturels qui ouvrent à leurs élèves les portes de l’échange et du dialogue avec plus de 320 millions de personnes dans le monde, et au-delà avec tous les peuples francophones et francophiles, à la fois divers et liés par l’esprit de la démocratie.

Fiers de faire découvrir de nouveaux horizons intellectuels à leurs élèves, de les aider à se doter des outils de compréhension d’un monde complexe dans lequel le plurilinguisme est un atout indispensable.

Fiers de construire un tremplin vers la réussite personnelle et professionnelle. En enseignant le français, les enseignantes et les enseignants offrent à leurs apprenants une chance unique d’accéder aux meilleures universités et formations, pour pouvoir se réaliser et permettre aux sociétés de répondre aux défis actuels et futurs – climatiques, technologiques, professionnels, notamment.

Fiers, enfin, de relever chaque jour les défis innombrables d’un métier parfois difficile, mais toujours passionnant et profondément utile.

 

Pour toutes ces raisons et bien d’autres, les millions d’enseignantes et d’enseignants « de » et « en » français peuvent être fières et fiers d’enseigner le français !

 

Si c'est la Fédération Internationale des Professeurs de Français qui coordonne l’organisation de la journée, ce sont bien les actrices et les acteurs sur le terrain qui, dans chaque pays, réunissent les institutions et les personnes engagées dans l’enseignement du et en français pour construire le programme. L'objectif est de proposer des activités qui permettent de aloriser le métier d’enseignant de français par des activités et des évènements qui vont créer du lien et de la solidarité. C’est un jour où les enseignants vont échanger, se réunir pour des moments conviviaux, partager leurs expériences et leurs pratiques.

 

La Fédération Wallonie-Bruxelles a fait du français et de l'éducation deux de ses priorités. WBI soutient dès lors les initiatives dans le cadre de ces priorités.

 

Découvrez l'allocution de Pascale Delcomminette, Administratrice générale de WBI, à cette occasion:

 

 

 

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Le parrain 2023: Abdou Diouf

 

Abdou Diouf, ancien président du Sénégal et ancien Secrétaire général de la Francophonie, parraine l’événement de cette année. A cette occasion, il a adressé une lettre aux enseignants, dans laquelle il souligne que :

 

‘’Promouvoir la langue française, singulièrement comme langue étrangère ou seconde, c’est en effet favoriser l’inspiration réciproque d’un pays à l’autre, d’un continent à l’autre, c’est contribuer sans cesse à la régénération des mots, des idées, des imaginaires, des concepts, des perceptions de l’homme et du monde.’’

 

Retrouvez l'intégralité de la lettre.

 

 

En soutien aux professeur.e.s de français dans le monde, Louise Mushikiwabosecrétaire générale de l'Organisation internationale de la francophonie (OIF) a également tenu à leur rendre hommage. 

 

"[...] Vous faites de la langue française un outil magique de compréhension et de cohésion qui transcende le foisonnement des cultures. Vous abattez les frontières géographiques, vous déjouez la grammaire et les styles, vous bousculez les imaginaires. Vous êtes les passeurs de mots, d’idées, mais aussi de valeurs inhérentes à cette langue nécessairement décentrée et enrichie par son ouverture. La langue française est ainsi bien celle des productions littéraires, des recherches et des pensées issues des cinq continents de la francophonie."

 

Retrouvez l'intégralité de la lettre ouverte.

 

 

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Lancement de la plateforme "Parlons français"

A l'occasion de la 5e Journée internationale des professeurs de français, l'OIF lance la plateforme "Parlons français". Elle s’adresse aux enseignants de et en français, aux professionnels de l’éducation, aux jeunes apprenants de français, aux cadres administratifs et fonctionnaires internationaux, et à toutes celles et ceux qui s’intéressent à la langue française, à son enseignement, à son rayonnement et aux valeurs de la Francophonie. Son objectif : favoriser un enseignement et un apprentissage de qualité.

 

Cette plateforme permet ainsi aux aux enseignants de et en français de se former pour renforcer leurs compétences, de participer à des formations continues, de bénéficier d’un accompagnement personnalisé, de disposer d'un cartable numérique, de partager et explorer des ressources pédagogiques et de partager ses connaissances et son savoir-faire.

 

Pour les établissements francophones, le site favorise le réseautage et la mise en œuvre de projets communs, notamment à travers les échanges scolaires. Enfin, les apprenants du français peuvent bénéficier de ressources contextualisées et participer à des activités francophones.

 

A cette occasion, découvrez le webinaire de lancement de la plateforme "Construisons ensemble un avenir en français".

 

 

 

 

 

 

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Le Ministre-Président de la FWB et l'équipe de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Maroc (c) J. Van Belle - WBI

Le Ministre-Président a été reçu par l'équipe de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Maroc, menée par la Déléguée générale Chiraz El Fassi, en poste depuis peu. Durant ces quelques jours, il a pu visiter plusieurs projets et aller à la rencontre de nombreux partenaires de Wallonie-Bruxelles et de l'APEFE au Maroc.

 

Il a ainsi rencontré le Ministre des Affaires étrangères Nasser Bourita, pour un échange sur la coopération étroite entre le Maroc et la Fédération Wallonie-Bruxelles, notamment en matière de culture, d'éducation, de sport et de jeunesse.

 

Il a également eu un entretien avec la représentante de l’UNICEF au Maroc et des associations partenaires actives sur le terrain des régions touchées par le séisme de septembre dans la province d'Al Haouz.

 

Pierre-Yves Jeholet a aussi participé à une rencontre avec les équipes du programme Min Ajliki, qui vise à réduire les inégalités et à soutenir l'entrepreneuriat féminin au Maroc.

 

Il s'est rendu à Chichaoua, région fortement touchée par le séisme du 8 septembre, pour rencontrer l'Association Tildat, qui oeuvre pour l’intégration de la femme. Une session de « Pitch ton projet » a permis aux membres de l'association de présenter leurs projets d’entrepreneuriat. Une belle opportunité d'échange, de partage et de soutien riche et émouvante. Cette rencontre a été organisée par l'équipe de l'Apefe au Maroc.

 

Les Ecoles belges au Maroc ont pu également bénéficier de la présence du Ministre-Président. Il a ainsi inauguré deux nouvelles sections du réseau : le chantier de l’Ecole du Dehors à Casablanca et de la section du secondaire à Rabat. L’occasion pour lui de souligner la qualité et le sérieux du programme d’enseignement de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de profiter de moments de rencontre avec les membres de la direction, les enseignants et les élèves des Ecoles belges du Maroc.

 

Cette visite au Maroc comptait aussi dans son programme l'inauguration de la première édition du Salon International du Livre Enfant et Jeunesse à Casablanca, aux côtés du Ministre de la Culture, de la Jeunesse et de la Communication, Monsieur Mehdi Bensaid, du Wali de Casablanca, Monsieur Mohamed M'hidia et de la maire de Casablanca, Madame Nabila Rmili. Ensemble, ils ont inauguré le stand de la Fédération Wallonie-Bruxelles « Lisez-vous le belge ? », qui mettait en valeur la littérature belge francophone dans le secteur jeunesse et de l’enfance. 

 

Par ailleurs, Pierre-Yves Jeholet a profité de son séjour marocain pour rencontrer la Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle (HACA) du Maroc, qu'un partenariat de longue date unit au Conseil Supérieur de l’Audiovisuel de Belgique, le CSA, qui utilise depuis 2011 le système de monitoring informatique de la HACA (HMS). La Présidente, Madame Latifa Akharbach, a accueilli la délégation et de riches échanges ont eu lieu.

 

Une autre rencontre importante de cette visite, celle avec le Ministre de l'Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports, Chakib Benmoussa. La coopération historique en matière d’éducation et le lancement de la diplomatie sportive entre nos deux régions ont été largement évoqués par les deux Ministres à la lumière des projets prévus dans le programme bilatéral de travail 2023-2027 entre Wallonie-Bruxelles et le Royaume du Maroc. La rencontre s'est poursuivie par la visite du Complexe Mohammed VI de Football. Ce centre national est doté d’infrastructures et d’équipements de pointe. Il est destiné à accueillir les équipes nationales en stages de préparation, ainsi que les équipes nationales étrangères.

 

Enfin, l'opportunité était belle de fêter le 1er anniversaire de LionsGeek ! Un an déjà que cete structure d’accompagnement des jeunes porteurs de projets dans les nouveaux métiers du digital existe. Un magnifique projet visant à faciliter l’accès à la technologie et à l’entrepreneuriat des jeunes !

 

Un séjour riche et intense pour le Ministre-Président Pierre-Yves Jeholet, qui, à la faveur de nombreuses rencontres et visites, a pu réaffirmer la force des liens entre le royaume du Maroc et la Fédération Wallonie-Bruxelles.

Le Ministre-Président a été reçu par l'équipe de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Maroc, menée par la Déléguée générale Chiraz El Fassi, en poste depuis peu. Durant ces quelques jours, il a pu visiter plusieurs projets et aller à la rencontre de nombreux partenaires de Wallonie-Bruxelles et de l'APEFE au Maroc.

 

Il a ainsi rencontré le Ministre des Affaires étrangères Nasser Bourita, pour un échange sur la coopération étroite entre le Maroc et la Fédération Wallonie-Bruxelles, notamment en matière de culture, d'éducation, de sport et de jeunesse.

 

Il a également eu un entretien avec la représentante de l’UNICEF au Maroc et des associations partenaires actives sur le terrain des régions touchées par le séisme de septembre dans la province d'Al Haouz.

 

Pierre-Yves Jeholet a aussi participé à une rencontre avec les équipes du programme Min Ajliki, qui vise à réduire les inégalités et à soutenir l'entrepreneuriat féminin au Maroc.

 

Il s'est rendu à Chichaoua, région fortement touchée par le séisme du 8 septembre, pour rencontrer l'Association Tildat, qui oeuvre pour l’intégration de la femme. Une session de « Pitch ton projet » a permis aux membres de l'association de présenter leurs projets d’entrepreneuriat. Une belle opportunité d'échange, de partage et de soutien riche et émouvante. Cette rencontre a été organisée par l'équipe de l'Apefe au Maroc.

 

Les Ecoles belges au Maroc ont pu également bénéficier de la présence du Ministre-Président. Il a ainsi inauguré deux nouvelles sections du réseau : le chantier de l’Ecole du Dehors à Casablanca et de la section du secondaire à Rabat. L’occasion pour lui de souligner la qualité et le sérieux du programme d’enseignement de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de profiter de moments de rencontre avec les membres de la direction, les enseignants et les élèves des Ecoles belges du Maroc.

 

Cette visite au Maroc comptait aussi dans son programme l'inauguration de la première édition du Salon International du Livre Enfant et Jeunesse à Casablanca, aux côtés du Ministre de la Culture, de la Jeunesse et de la Communication, Monsieur Mehdi Bensaid, du Wali de Casablanca, Monsieur Mohamed M'hidia et de la maire de Casablanca, Madame Nabila Rmili. Ensemble, ils ont inauguré le stand de la Fédération Wallonie-Bruxelles « Lisez-vous le belge ? », qui mettait en valeur la littérature belge francophone dans le secteur jeunesse et de l’enfance. 

 

Par ailleurs, Pierre-Yves Jeholet a profité de son séjour marocain pour rencontrer la Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle (HACA) du Maroc, qu'un partenariat de longue date unit au Conseil Supérieur de l’Audiovisuel de Belgique, le CSA, qui utilise depuis 2011 le système de monitoring informatique de la HACA (HMS). La Présidente, Madame Latifa Akharbach, a accueilli la délégation et de riches échanges ont eu lieu.

 

Une autre rencontre importante de cette visite, celle avec le Ministre de l'Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports, Chakib Benmoussa. La coopération historique en matière d’éducation et le lancement de la diplomatie sportive entre nos deux régions ont été largement évoqués par les deux Ministres à la lumière des projets prévus dans le programme bilatéral de travail 2023-2027 entre Wallonie-Bruxelles et le Royaume du Maroc. La rencontre s'est poursuivie par la visite du Complexe Mohammed VI de Football. Ce centre national est doté d’infrastructures et d’équipements de pointe. Il est destiné à accueillir les équipes nationales en stages de préparation, ainsi que les équipes nationales étrangères.

 

Enfin, l'opportunité était belle de fêter le 1er anniversaire de LionsGeek ! Un an déjà que cete structure d’accompagnement des jeunes porteurs de projets dans les nouveaux métiers du digital existe. Un magnifique projet visant à faciliter l’accès à la technologie et à l’entrepreneuriat des jeunes !

 

Un séjour riche et intense pour le Ministre-Président Pierre-Yves Jeholet, qui, à la faveur de nombreuses rencontres et visites, a pu réaffirmer la force des liens entre le royaume du Maroc et la Fédération Wallonie-Bruxelles.

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Katia Lanero Zamora et Mauricio Electorat à la Chaire Bolaño de l’Université Diego Portales (c) Représentation W-B au Chili

A l’invitation de l’Université Diego Portales à Santiago, Katia Lanero Zamora a participé à la prestigieuse chaire de littérature en hommage à Roberto Bolaño. Ensuite, à l’initiative de la Représentation Wallonie-Bruxelles et de ses partenaires, la mission a parcouru trois villes importantes du Chili : Santiago, Concepcion, Valparaiso.

 

Mme Lanero Zamora a présenté son travail littéraire aux étudiants, en particulier autour de la fantasy et de la science-fiction, en présentant notamment son dernier roman La Machine. Elle a également partagé son expérience d’écriture de scénarios pour des séries télévisées et des podcasts. Son intervention à l’Université Diego Portales a été animée par l’écrivain et traducteur Mauricio Electorat, également professeur de cette faculté.

 

A la suite de cette intervention, diverses rencontres avec des professeurs et étudiants chiliens ont été organisées tant à Santiago qu’en région. En effet, Katia Lanero Zamora s’est rendue à l’Université Bernardo O’Higgins, pour laquelle elle a enregistré un podcast intitulé « Ruta francofona » produit par le centre d’employabilité francophone de l’université, et a échangé avec des professeurs et étudiants autour de la lecture. Elle a également rencontré plusieurs classes du lycée français de Santiago. En effet, l’année dernière son roman La Machine avait été sélectionnée pour le prix Macondo, qui est un prix littéraire organisé par plusieurs lycées français d’Amérique Latine.

 

En région, des activités ont été organisées à l’Université de Concepcion (à 500km au sud de Santiago), en particulier avec les étudiants de la filière de traduction qui ont échangé avec l’autrice autour de leur traduction de ses deux livres jeunesse Albigondine est une fée et Gunther le menteur. Une conférence sur la littérature jeunesse et un atelier d’écriture de contes ont aussi été proposés aux étudiants. Une rencontre avec une classe du lycée français de cette ville a également eu lieu.

 

Le dernier jour de mission a été consacré à la ville de Valparaiso (à 150km de Santiago, sur le littoral) avec une rencontre avec les étudiants de l’Université de Playa Ancha. A cette occasion, les professeurs et étudiants en littérature ont pu échanger avec Katia Lanero Zamora sur son processus d’écriture et de construction de scénarios ainsi qu’autour de quelques recommandations de lectures belges francophones.

 

Sans oublier des rencontres avec des éditeurs, la participation à la fête du Roi à l’Ambassade de Belgique ou encore une séance de dédicaces dans une librairie francophone de Santiago... Une belle promotion des lettres belges francophones au pied de la cordillère des Andes !

 

Retrouvez l'intervention de Katia Lanero Zamora à la Chaire Bolaño

 


Ecoutez le Podcast Ruta francófona de l’Université Bernardo O’Higgins

 

 

 

A l’invitation de l’Université Diego Portales à Santiago, Katia Lanero Zamora a participé à la prestigieuse chaire de littérature en hommage à Roberto Bolaño. Ensuite, à l’initiative de la Représentation Wallonie-Bruxelles et de ses partenaires, la mission a parcouru trois villes importantes du Chili : Santiago, Concepcion, Valparaiso.

 

Mme Lanero Zamora a présenté son travail littéraire aux étudiants, en particulier autour de la fantasy et de la science-fiction, en présentant notamment son dernier roman La Machine. Elle a également partagé son expérience d’écriture de scénarios pour des séries télévisées et des podcasts. Son intervention à l’Université Diego Portales a été animée par l’écrivain et traducteur Mauricio Electorat, également professeur de cette faculté.

 

A la suite de cette intervention, diverses rencontres avec des professeurs et étudiants chiliens ont été organisées tant à Santiago qu’en région. En effet, Katia Lanero Zamora s’est rendue à l’Université Bernardo O’Higgins, pour laquelle elle a enregistré un podcast intitulé « Ruta francofona » produit par le centre d’employabilité francophone de l’université, et a échangé avec des professeurs et étudiants autour de la lecture. Elle a également rencontré plusieurs classes du lycée français de Santiago. En effet, l’année dernière son roman La Machine avait été sélectionnée pour le prix Macondo, qui est un prix littéraire organisé par plusieurs lycées français d’Amérique Latine.

 

En région, des activités ont été organisées à l’Université de Concepcion (à 500km au sud de Santiago), en particulier avec les étudiants de la filière de traduction qui ont échangé avec l’autrice autour de leur traduction de ses deux livres jeunesse Albigondine est une fée et Gunther le menteur. Une conférence sur la littérature jeunesse et un atelier d’écriture de contes ont aussi été proposés aux étudiants. Une rencontre avec une classe du lycée français de cette ville a également eu lieu.

 

Le dernier jour de mission a été consacré à la ville de Valparaiso (à 150km de Santiago, sur le littoral) avec une rencontre avec les étudiants de l’Université de Playa Ancha. A cette occasion, les professeurs et étudiants en littérature ont pu échanger avec Katia Lanero Zamora sur son processus d’écriture et de construction de scénarios ainsi qu’autour de quelques recommandations de lectures belges francophones.

 

Sans oublier des rencontres avec des éditeurs, la participation à la fête du Roi à l’Ambassade de Belgique ou encore une séance de dédicaces dans une librairie francophone de Santiago... Une belle promotion des lettres belges francophones au pied de la cordillère des Andes !

 

Retrouvez l'intervention de Katia Lanero Zamora à la Chaire Bolaño

 


Ecoutez le Podcast Ruta francófona de l’Université Bernardo O’Higgins

 

 

 

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Pour célébrer cette 6ème édition du Festival du Film d’Amour de Wallonie-Bruxelles au Vietnam, la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam souhaite offrir six cadeaux Coup de cœur aux cinéphiles de Hanoi et de Hochiminh-ville.

 

Des sujets complètement différents autour du thème Amour nous amèneront à vivre des émotions diverses et intenses: Bonheur, Tristesse, Colère, Nostalgie, Compassion ou Enthousiasme… à travers des œuvres extraordinaires de grands noms du cinéma tels que les frères Dardenne, Bouli Lanners ou d’un tout nouveau visage comme Emmanuelle Nicot avec son premier long-métrage DALVA.

 

 

 

Les amateurs du 7ème art à Hanoi et à Hochiminh-ville auront l’occasion de partager leur sentiment avec M. André Ceuterick, ancien Délégué général du Festival International du Film d’Amour de Mons et Président de l’Association ASBL Ciné-Loisirs - notre partenaire pour cette manifestation cinématographique qui est  devenue depuis 2016 le rendez-vous des films d’auteurs belges au Vietnam.

 

  • Du 26 novembre au 01 décembre 2023 à Hanoi 

Studio national du Film documentaire et scientifique, 465 Hoàng Hoa Tham

  • Du 29 novembre au 04 décembre 2023 à Hochiminh-ville

Hochiminh-ville: DCINE Ben Thanh, 6 Mac Dinh Chi, 1er arrondissement

 

Ne ratez pas cette aventure cinématographique!

 

Pour plus d’informations:

Le Tuyet Nhung - Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam

Centre DAEHA (5ème étage – # 505)/ 360 Kim Ma, Ba Dinh, Hanoi

Tél : (024) 3 831.52.41 / GSM : 09 04 20 79 89 - Courriel : nhungwb@walbruvietnam.org

Pour célébrer cette 6ème édition du Festival du Film d’Amour de Wallonie-Bruxelles au Vietnam, la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam souhaite offrir six cadeaux Coup de cœur aux cinéphiles de Hanoi et de Hochiminh-ville.

 

Des sujets complètement différents autour du thème Amour nous amèneront à vivre des émotions diverses et intenses: Bonheur, Tristesse, Colère, Nostalgie, Compassion ou Enthousiasme… à travers des œuvres extraordinaires de grands noms du cinéma tels que les frères Dardenne, Bouli Lanners ou d’un tout nouveau visage comme Emmanuelle Nicot avec son premier long-métrage DALVA.

 

 

 

Les amateurs du 7ème art à Hanoi et à Hochiminh-ville auront l’occasion de partager leur sentiment avec M. André Ceuterick, ancien Délégué général du Festival International du Film d’Amour de Mons et Président de l’Association ASBL Ciné-Loisirs - notre partenaire pour cette manifestation cinématographique qui est  devenue depuis 2016 le rendez-vous des films d’auteurs belges au Vietnam.

 

  • Du 26 novembre au 01 décembre 2023 à Hanoi 

Studio national du Film documentaire et scientifique, 465 Hoàng Hoa Tham

  • Du 29 novembre au 04 décembre 2023 à Hochiminh-ville

Hochiminh-ville: DCINE Ben Thanh, 6 Mac Dinh Chi, 1er arrondissement

 

Ne ratez pas cette aventure cinématographique!

 

Pour plus d’informations:

Le Tuyet Nhung - Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam

Centre DAEHA (5ème étage – # 505)/ 360 Kim Ma, Ba Dinh, Hanoi

Tél : (024) 3 831.52.41 / GSM : 09 04 20 79 89 - Courriel : nhungwb@walbruvietnam.org

Documents liés

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(c) Daily Science

Cet événement, qui en est cette année à sa cinquième édition, croise les initiatives numériques dans de multiples domaines. La dernière édition avait mis Bruxelles et la Wallonie à l’honneur. Et en matière de travaux publics, c’est une innovation issue de Wallonie picarde qui occupait le devant de la scène. Il s’agit d’une solution de la gestion « carbone » des chantiers proposée par BizzDev, à Tournai.

 

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Surveiller les gaz à effet de serre

« Pour réduire les émissions de gaz à effet de serre de certains de nos prochains chantiers, nous comptons nous inspirer du modèle tournaisien », indique Jean-Francois D’Amour, directeur général de Magog, une ville située à une centaine de kilomètres à l’est de Montréal. M. D’Amour intervenait dans un échange portant sur les territoires connectés et intelligents.

 

L’exemple tournaisien? Il s’agit d’une initiative qui a vu le jour pour la première fois dans le cadre du vaste chantier de la traversée de Tournai. Ce chantier concernait la mise à niveau de l’Escaut afin que des péniches de 2000 tonnes puissent y circuler sans entraves. C’était déjà globalement le cas, sauf sur le tronçon tournaisien d’un peu plus de deux kilomètres. La traversée de la ville par les bateaux y était réduite et le trafic réglé par une circulation alternée.

 

 

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Proactivité du SPW Mobilité et infrastructure

« Dans le cadre de la politique globale de réduction des émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2030, le Service public de Wallonie (SPW) Mobilité et Infrastructure avait décidé d’être proactif avec ce chantier », rappelle Christophe Vanmuysen, inspecteur général du SPW Mobilité et Infrastructure (Département Expertises Hydraulique et Environnement).

 

« Des clauses particulières relatives aux émissions de gaz à effet de serre du chantier et le reporting de celles-ci ont ainsi été incluses dans le cahier des charges. Il était aussi demandé aux entreprises intéressées d’indiquer quelles mesures elles comptaient prendre pour limiter ces nuisances. L’objectif principal étant d’être globalement cohérent avec la logique du transfert modal du transport de marchandises. Et ce, dans une dynamique environnementale. En sachant que le transport par voie d’eau permet de massifier les marchandises, et donc de limiter les nuisances au niveau du bruit et des émissions de gaz à effet de serre. »

 

« Par rapport au trafic routier, le transport fluvial génère trois fois moins d’émissions de CO2, consomme de trois à six fois moins de carburant et produit 45 fois moins de bruit », précise le SPW.

 

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Une innovation appréciée par les entreprises

« Les entreprises soumissionnaires ont joué le jeu. Mieux encore, elles ont intégré, pour certaines, cette nouvelle approche environnementale à d’autres volets de leur fonctionnement que ceux strictement liés au chantier concerné, comme les émissions de GES de leur siège administratif », indique Valentine Verdonck, Directrice générale adjointe de la société Bizzdev. Sa société participait à Montréal connecte, tout comme une septantaine d’autres acteurs wallons du numérique emmenés sur place par Wallonie-Bruxelles International et l’Awex (l’Agence wallonne aux exportations).

 

Capter et digérer une foule de données quasi en temps réel concernant l’impact environnemental d’un chantier n’est pas une mince affaire. C’est là que le savoir-faire des équipes de BizzDev fait la différence.

 

Qu’il s’agisse de prendre en compte les données « carbone » liées aux déplacements du personnel de et vers le chantier, la gestion et le choix des matières premières, le charroi nécessaire, la gestion des déchets et leur évacuation ou encore le choix des équipements à utiliser, l’entreprise tournaisienne a la réponse. Elle a développé une plateforme applicative web pour le suivi des opérations sociales et le calcul du bilan carbone.

 

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Un meilleur service à la population

Pour la traversée de Tournai, la satisfaction par rapport à cette innovation est claire. « Après ce chantier, nous avons pu mettre cette solution à disposition de dix autres chantiers », souligne Mme Verdonck. Désormais, son entreprise lorgne vers le Québec. Et la ville de Magog en particulier, où elle a déjà établi un bureau.

 

« Nous allons lancer, l’an prochain, un ou deux appels incluant cette dimension environnementale pour nos chantiers », indique Jean-Francois D’Amour, directeur général de Magog, qui était précédemment venu en mission en Wallonie pour mieux comprendre les attraits et les limites liées à cette dimension environnementale en matière de travaux publics. « Contrairement à la Wallonie, cette contrainte environnementale n’est pas présente au Canada. Rien n’oblige les entrepreneurs à contrôler leurs émissions de gaz à effet de serre. Mais nous sommes persuadés que cela présente une plus-value pour l’environnement et les services que nous rendons à la population », conclut-il.

 

Source: Christian Dubrulle pour Daily Science.

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Cet événement, qui en est cette année à sa cinquième édition, croise les initiatives numériques dans de multiples domaines. La dernière édition avait mis Bruxelles et la Wallonie à l’honneur. Et en matière de travaux publics, c’est une innovation issue de Wallonie picarde qui occupait le devant de la scène. Il s’agit d’une solution de la gestion « carbone » des chantiers proposée par BizzDev, à Tournai.

 

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Surveiller les gaz à effet de serre

« Pour réduire les émissions de gaz à effet de serre de certains de nos prochains chantiers, nous comptons nous inspirer du modèle tournaisien », indique Jean-Francois D’Amour, directeur général de Magog, une ville située à une centaine de kilomètres à l’est de Montréal. M. D’Amour intervenait dans un échange portant sur les territoires connectés et intelligents.

 

L’exemple tournaisien? Il s’agit d’une initiative qui a vu le jour pour la première fois dans le cadre du vaste chantier de la traversée de Tournai. Ce chantier concernait la mise à niveau de l’Escaut afin que des péniches de 2000 tonnes puissent y circuler sans entraves. C’était déjà globalement le cas, sauf sur le tronçon tournaisien d’un peu plus de deux kilomètres. La traversée de la ville par les bateaux y était réduite et le trafic réglé par une circulation alternée.

 

 

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Proactivité du SPW Mobilité et infrastructure

« Dans le cadre de la politique globale de réduction des émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2030, le Service public de Wallonie (SPW) Mobilité et Infrastructure avait décidé d’être proactif avec ce chantier », rappelle Christophe Vanmuysen, inspecteur général du SPW Mobilité et Infrastructure (Département Expertises Hydraulique et Environnement).

 

« Des clauses particulières relatives aux émissions de gaz à effet de serre du chantier et le reporting de celles-ci ont ainsi été incluses dans le cahier des charges. Il était aussi demandé aux entreprises intéressées d’indiquer quelles mesures elles comptaient prendre pour limiter ces nuisances. L’objectif principal étant d’être globalement cohérent avec la logique du transfert modal du transport de marchandises. Et ce, dans une dynamique environnementale. En sachant que le transport par voie d’eau permet de massifier les marchandises, et donc de limiter les nuisances au niveau du bruit et des émissions de gaz à effet de serre. »

 

« Par rapport au trafic routier, le transport fluvial génère trois fois moins d’émissions de CO2, consomme de trois à six fois moins de carburant et produit 45 fois moins de bruit », précise le SPW.

 

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Une innovation appréciée par les entreprises

« Les entreprises soumissionnaires ont joué le jeu. Mieux encore, elles ont intégré, pour certaines, cette nouvelle approche environnementale à d’autres volets de leur fonctionnement que ceux strictement liés au chantier concerné, comme les émissions de GES de leur siège administratif », indique Valentine Verdonck, Directrice générale adjointe de la société Bizzdev. Sa société participait à Montréal connecte, tout comme une septantaine d’autres acteurs wallons du numérique emmenés sur place par Wallonie-Bruxelles International et l’Awex (l’Agence wallonne aux exportations).

 

Capter et digérer une foule de données quasi en temps réel concernant l’impact environnemental d’un chantier n’est pas une mince affaire. C’est là que le savoir-faire des équipes de BizzDev fait la différence.

 

Qu’il s’agisse de prendre en compte les données « carbone » liées aux déplacements du personnel de et vers le chantier, la gestion et le choix des matières premières, le charroi nécessaire, la gestion des déchets et leur évacuation ou encore le choix des équipements à utiliser, l’entreprise tournaisienne a la réponse. Elle a développé une plateforme applicative web pour le suivi des opérations sociales et le calcul du bilan carbone.

 

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Un meilleur service à la population

Pour la traversée de Tournai, la satisfaction par rapport à cette innovation est claire. « Après ce chantier, nous avons pu mettre cette solution à disposition de dix autres chantiers », souligne Mme Verdonck. Désormais, son entreprise lorgne vers le Québec. Et la ville de Magog en particulier, où elle a déjà établi un bureau.

 

« Nous allons lancer, l’an prochain, un ou deux appels incluant cette dimension environnementale pour nos chantiers », indique Jean-Francois D’Amour, directeur général de Magog, qui était précédemment venu en mission en Wallonie pour mieux comprendre les attraits et les limites liées à cette dimension environnementale en matière de travaux publics. « Contrairement à la Wallonie, cette contrainte environnementale n’est pas présente au Canada. Rien n’oblige les entrepreneurs à contrôler leurs émissions de gaz à effet de serre. Mais nous sommes persuadés que cela présente une plus-value pour l’environnement et les services que nous rendons à la population », conclut-il.

 

Source: Christian Dubrulle pour Daily Science.

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Conditions d'engagement

  • Etre titulaire d’un Diplôme de l’enseignement supérieur (Graduat, Bachelier ou équivalent) orientation Assistant.e de direction permettant d’accéder à une fonction du niveau B au moins telle que définie dans l’arrêté du 5 décembre 2008 des Gouvernement wallon et de la Communauté française portant statut administratif et pécuniaire des membres du personnel de Wallonie Bruxelles International (WBI). (ainsi que l’attestation d’équivalence dans le cas d’un diplôme autre que belge. Procédure : Fédération Wallonie-Bruxelles - 02/690.89.00 – http://www.equivalences.cfwb.be/)
  • Bien que cela constitue un atout, WBI n’exige pas une expérience antérieure dans le cadre des projets européens. Il est par contre attendu des collaborateurs.rices du projet stratégique "Observatoire" qu’ils.elles soient motivé.es, enthousiastes et créatifs.ves, et qu’ils.elles puissent s’adapter à un environnement de travail bouillonnant.  
  • Etre de bonne conduite et de bonne moralité 
  • Jouir des droits civils et politiques 
  • Posséder les aptitudes requises pour la fonction
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Description de la fonction

La Coopération Territoriale Européenne (CTE) est un axe important de la politique de cohésion de l’Union européenne permettant de favoriser tous les échanges transfrontaliers et transnationaux en Europe. La politique de cohésion couvre aujourd’hui 1/3 du budget de l’Union européenne. Elle constitue le principal outil d'investissement de l'UE pour atteindre les objectifs "Europe 2020" : créer de la croissance et des emplois, s'attaquer au changement climatique et à la dépendance énergétique et réduire la pauvreté et l'exclusion sociale.

WBI est l’acteur principal de la mise en œuvre de la CTE en Région wallonne et en Fédération Wallonie-Bruxelles. Depuis 1990, c’est sous le nom des divers programmes INTERREG que la CTE est plus communément connue des citoyens.
INTERREG fait travailler ensemble des acteurs issus d’Etats membres différents, qu’ils soient contigus ou pas. Cependant on ne coopère pas de la même façon avec un voisin proche ou un voisin lointain.

C’est pourquoi l’Union européenne a organisé la CTE en 3 types des programmes. La liste des programmes Interreg dont WBI est partie prenante est reprise ci-dessous :

  • la coopération transfrontalière : France-Wallonie-Vlaanderen, Euregio/Meuse-Rhin et Grande Région
  • la coopération transnationale : Europe du Nord-Ouest
  • la coopération interrégionale : Europe, URBACT et INTERACT

WBI intervient dans ces 3 types de coopération afin que sur notre territoire, les programmes soient mis en œuvre de façon efficace. Il s’agit d’être partie prenante dans la mise en place incontournable, des structures administratives, budgétaires et de contrôle imposées par les règlements de l’UE et dans les comités de suivi et de sélection des projets, jusqu’à l’accompagnement sur le terrain des porteurs de projets.

Le projet stratégique "Observatoire"

Dans le cadre du programme Interreg France-Wallonie-Vlaanderen, le projet stratégique "Observatoire" s’inscrit dans la priorité 5 du Programme de coopération "Renforcer les capacités des autorités publiques dans le processus de prise de décision et d’organisation de la gouvernance et de la coopération territoriale" et dans l’objectif spécifique 6.1 "Renforcer les capacités institutionnelles des pouvoirs publics, en particulier ceux chargés de gérer un territoire spécifique, et des parties prenantes".

L’objectif est d’impliquer les institutions/organisations actuelles qui produisent des données statistiques officielles, de contribuer à la structuration systématique des observations et analyses (donnant lieu à un réflexe transfrontalier), de les intégrer à un réseau transfrontalier et de renforcer la communication entre elles en vue de permettre la définition et la mise en œuvre de politiques publiques et de coopération transfrontalière.

La réalisation des missions de l’Observatoire sera confiée à un consortium opérationnel s’appuyant sur les structures suivantes : Wallonie-Bruxelles international (chef de file du consortium), les provinces de Flandre occidentale et orientale, Vlaio, la Région Grand Est, la Région Hauts de France, l’Etat français.

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Missions/Responsabilités

L’agent travaillera sous la responsabilité du Coordonnateur du projet, de la Coordinatrice du département CTE et Europe des voisins, de l’Inspecteur général en charge des Affaires bilatérales et de la coopération territoriale et de l’Administratrice générale de WBI.

L’agent est responsable de l'appui à la mise en œuvre du projet dans toutes ses composantes et travaille en étroite collaboration avec le Consortium opérationnel, le Comité stratégique du projet, les représentants du versant wallon.

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Connaissances

  • Maîtrise parfaite, tant à l’oral qu’à l’écrit, de la langue française 
  • Excellente connaissance de la suite Office 365 : Teams, Word, Excel, Powerpoint, bases de données…
  • Connaissance générale des institutions européennes, de la Belgique fédérale et des institutions et administrations de la Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles 
  • Capacité de communication claire tant à l’oral qu’à l’écrit 
  • Présente ses écrits de manière professionnelle, selon les règles et les procédures prévues 
  • Utilise la structure et la terminologie appropriée et, ce sans faire de fautes d’orthographe
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Sélection

1. Epreuve écrite : Cette épreuve sera destinée à évaluer les compétences des candidats. Les candidats ayant obtenu les 10 meilleurs résultats à l’épreuve écrite (60% des points minimum) sont invités à l’épreuve finale.

2. Epreuve finale : Il s’agira d’une épreuve orale sous forme d’un entretien visant à évaluer le profil du candidat en accord avec les compétences, la motivation et les affinités avec le travail sur le terrain.

Les épreuves se dérouleront à Bruxelles.

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Dossier de candidature

Le dossier de candidature est à envoyer par courriel (recrutement@wbi.be) ou par courrier postal (cachet de la poste faisant foi), au plus tard le 6 décembre 2023, à l’attention de :

Madame Pascale Delcomminette
Administratrice générale de WBI
Place Sainctelette, 2
B-1080 Bruxelles

Le dossier de candidature comprend :

  • une copie du/des diplôme(s) [accompagnée(s) de l’équivalence dans le cas de diplôme(s) non belge(s)]
  • une lettre de motivation
  • un curriculum vitae détaillé

Un dossier incomplet ou envoyé hors délai n’est pas pris en compte.

Retrouvez plus de détails sur cette offre d'emploi dans le document en pièce jointe.

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Conditions d'engagement

  • Etre titulaire d’un Diplôme de l’enseignement supérieur (Graduat, Bachelier ou équivalent) orientation Assistant.e de direction permettant d’accéder à une fonction du niveau B au moins telle que définie dans l’arrêté du 5 décembre 2008 des Gouvernement wallon et de la Communauté française portant statut administratif et pécuniaire des membres du personnel de Wallonie Bruxelles International (WBI). (ainsi que l’attestation d’équivalence dans le cas d’un diplôme autre que belge. Procédure : Fédération Wallonie-Bruxelles - 02/690.89.00 – http://www.equivalences.cfwb.be/)
  • Bien que cela constitue un atout, WBI n’exige pas une expérience antérieure dans le cadre des projets européens. Il est par contre attendu des collaborateurs.rices du projet stratégique "Observatoire" qu’ils.elles soient motivé.es, enthousiastes et créatifs.ves, et qu’ils.elles puissent s’adapter à un environnement de travail bouillonnant.  
  • Etre de bonne conduite et de bonne moralité 
  • Jouir des droits civils et politiques 
  • Posséder les aptitudes requises pour la fonction
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Description de la fonction

La Coopération Territoriale Européenne (CTE) est un axe important de la politique de cohésion de l’Union européenne permettant de favoriser tous les échanges transfrontaliers et transnationaux en Europe. La politique de cohésion couvre aujourd’hui 1/3 du budget de l’Union européenne. Elle constitue le principal outil d'investissement de l'UE pour atteindre les objectifs "Europe 2020" : créer de la croissance et des emplois, s'attaquer au changement climatique et à la dépendance énergétique et réduire la pauvreté et l'exclusion sociale.

WBI est l’acteur principal de la mise en œuvre de la CTE en Région wallonne et en Fédération Wallonie-Bruxelles. Depuis 1990, c’est sous le nom des divers programmes INTERREG que la CTE est plus communément connue des citoyens.
INTERREG fait travailler ensemble des acteurs issus d’Etats membres différents, qu’ils soient contigus ou pas. Cependant on ne coopère pas de la même façon avec un voisin proche ou un voisin lointain.

C’est pourquoi l’Union européenne a organisé la CTE en 3 types des programmes. La liste des programmes Interreg dont WBI est partie prenante est reprise ci-dessous :

  • la coopération transfrontalière : France-Wallonie-Vlaanderen, Euregio/Meuse-Rhin et Grande Région
  • la coopération transnationale : Europe du Nord-Ouest
  • la coopération interrégionale : Europe, URBACT et INTERACT

WBI intervient dans ces 3 types de coopération afin que sur notre territoire, les programmes soient mis en œuvre de façon efficace. Il s’agit d’être partie prenante dans la mise en place incontournable, des structures administratives, budgétaires et de contrôle imposées par les règlements de l’UE et dans les comités de suivi et de sélection des projets, jusqu’à l’accompagnement sur le terrain des porteurs de projets.

Le projet stratégique "Observatoire"

Dans le cadre du programme Interreg France-Wallonie-Vlaanderen, le projet stratégique "Observatoire" s’inscrit dans la priorité 5 du Programme de coopération "Renforcer les capacités des autorités publiques dans le processus de prise de décision et d’organisation de la gouvernance et de la coopération territoriale" et dans l’objectif spécifique 6.1 "Renforcer les capacités institutionnelles des pouvoirs publics, en particulier ceux chargés de gérer un territoire spécifique, et des parties prenantes".

L’objectif est d’impliquer les institutions/organisations actuelles qui produisent des données statistiques officielles, de contribuer à la structuration systématique des observations et analyses (donnant lieu à un réflexe transfrontalier), de les intégrer à un réseau transfrontalier et de renforcer la communication entre elles en vue de permettre la définition et la mise en œuvre de politiques publiques et de coopération transfrontalière.

La réalisation des missions de l’Observatoire sera confiée à un consortium opérationnel s’appuyant sur les structures suivantes : Wallonie-Bruxelles international (chef de file du consortium), les provinces de Flandre occidentale et orientale, Vlaio, la Région Grand Est, la Région Hauts de France, l’Etat français.

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Missions/Responsabilités

L’agent travaillera sous la responsabilité du Coordonnateur du projet, de la Coordinatrice du département CTE et Europe des voisins, de l’Inspecteur général en charge des Affaires bilatérales et de la coopération territoriale et de l’Administratrice générale de WBI.

L’agent est responsable de l'appui à la mise en œuvre du projet dans toutes ses composantes et travaille en étroite collaboration avec le Consortium opérationnel, le Comité stratégique du projet, les représentants du versant wallon.

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  • Maîtrise parfaite, tant à l’oral qu’à l’écrit, de la langue française 
  • Excellente connaissance de la suite Office 365 : Teams, Word, Excel, Powerpoint, bases de données…
  • Connaissance générale des institutions européennes, de la Belgique fédérale et des institutions et administrations de la Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles 
  • Capacité de communication claire tant à l’oral qu’à l’écrit 
  • Présente ses écrits de manière professionnelle, selon les règles et les procédures prévues 
  • Utilise la structure et la terminologie appropriée et, ce sans faire de fautes d’orthographe
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Sélection

1. Epreuve écrite : Cette épreuve sera destinée à évaluer les compétences des candidats. Les candidats ayant obtenu les 10 meilleurs résultats à l’épreuve écrite (60% des points minimum) sont invités à l’épreuve finale.

2. Epreuve finale : Il s’agira d’une épreuve orale sous forme d’un entretien visant à évaluer le profil du candidat en accord avec les compétences, la motivation et les affinités avec le travail sur le terrain.

Les épreuves se dérouleront à Bruxelles.

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Dossier de candidature

Le dossier de candidature est à envoyer par courriel (recrutement@wbi.be) ou par courrier postal (cachet de la poste faisant foi), au plus tard le 6 décembre 2023, à l’attention de :

Madame Pascale Delcomminette
Administratrice générale de WBI
Place Sainctelette, 2
B-1080 Bruxelles

Le dossier de candidature comprend :

  • une copie du/des diplôme(s) [accompagnée(s) de l’équivalence dans le cas de diplôme(s) non belge(s)]
  • une lettre de motivation
  • un curriculum vitae détaillé

Un dossier incomplet ou envoyé hors délai n’est pas pris en compte.

Retrouvez plus de détails sur cette offre d'emploi dans le document en pièce jointe.

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Signature de l'accord-cadre entre l'OIT et la Wallonie (c) Cabinet d’Elio Di Rupo
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Une coopération renforcée

En décembre 2021, le Gouvernement wallon établissait un nouveau cadre pour l’action multilatérale de la Wallonie. L’objectif de la Région est de développer notamment les relations diplomatiques avec certaines organisations internationales. Le Gouvernement a dès lors identifié différentes organisations internationales prioritaires, dont l’OIT.

 

Le Ministre-Président a concrétisé cet engagement en signant ce mardi un accord-cadre entre l’OIT et la Wallonie. La signature de cet accord est un premier pas dans le renforcement de la coopération entre les deux entités et intègre la Wallonie dans la Coalition mondiale pour la justice sociale. L’objectif est de faire avancer la justice sociale et promouvoir le travail décent.

 

Cet accord-cadre définit des priorités stratégiques et géographiques sur base desquels des projets concrets seront financés. Les priorités stratégiques définies sont la promotion du dialogue social, du tripartisme (coopération entre les gouvernements, les organisations d’employeurs et les organisations des travailleurs), de la liberté d’association et de négociation collective ainsi que du travail décent. Les emplois décents font référence aux emplois correctement rémunérés, sécurisés, respectant les conditions de travail, offrant une protection sociale, etc. Le travail décent et correctement rémunéré est une des priorités de l’OIT au vu des défis que celui-ci représente dans de nombreux pays du monde.

 

 

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Des projets concrets pour renforcer la justice sociale

Les deux parties de l’accord ont également accordé une importance particulière à la question de la gouvernance. Un contrôle strict des projets financés et de leurs avancées sera effectué. L’objectif est d’identifier les projets qui fonctionnent le mieux afin de rediriger les moyens financiers mis à dispositions vers les projets les plus porteurs pour la Wallonie et l’OIT.

 

Les discussions entre l’OIT et la Wallonie vont se poursuivre dans les prochaines semaines afin d’arrêter les projets concrets à financer suite à la signature de l’Accord-cadre.

 

Par ailleurs, cet accord s’inscrit pleinement dans les objectifs de la « Coalition mondiale pour la justice sociale », initiée il y a moins d’un an par le Directeur-général de l’OIT. Cette coalition a pour objectif de faciliter et renforcer l’action collective en réunissant un maximum d’acteurs (organisations internationales, secteur privé, société civile, etc.) pour promouvoir la justice sociale.

 

Pour Elio Di Rupo : « Nous assistons dans de nombreuses régions du monde à une dégradation importante des conditions de travail des travailleurs. La Wallonie souhaite s’engager aux côtés de l’OIT pour promouvoir partout dans le monde la justice sociale et la protection des travailleurs. »

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Une coopération renforcée

En décembre 2021, le Gouvernement wallon établissait un nouveau cadre pour l’action multilatérale de la Wallonie. L’objectif de la Région est de développer notamment les relations diplomatiques avec certaines organisations internationales. Le Gouvernement a dès lors identifié différentes organisations internationales prioritaires, dont l’OIT.

 

Le Ministre-Président a concrétisé cet engagement en signant ce mardi un accord-cadre entre l’OIT et la Wallonie. La signature de cet accord est un premier pas dans le renforcement de la coopération entre les deux entités et intègre la Wallonie dans la Coalition mondiale pour la justice sociale. L’objectif est de faire avancer la justice sociale et promouvoir le travail décent.

 

Cet accord-cadre définit des priorités stratégiques et géographiques sur base desquels des projets concrets seront financés. Les priorités stratégiques définies sont la promotion du dialogue social, du tripartisme (coopération entre les gouvernements, les organisations d’employeurs et les organisations des travailleurs), de la liberté d’association et de négociation collective ainsi que du travail décent. Les emplois décents font référence aux emplois correctement rémunérés, sécurisés, respectant les conditions de travail, offrant une protection sociale, etc. Le travail décent et correctement rémunéré est une des priorités de l’OIT au vu des défis que celui-ci représente dans de nombreux pays du monde.

 

 

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Des projets concrets pour renforcer la justice sociale

Les deux parties de l’accord ont également accordé une importance particulière à la question de la gouvernance. Un contrôle strict des projets financés et de leurs avancées sera effectué. L’objectif est d’identifier les projets qui fonctionnent le mieux afin de rediriger les moyens financiers mis à dispositions vers les projets les plus porteurs pour la Wallonie et l’OIT.

 

Les discussions entre l’OIT et la Wallonie vont se poursuivre dans les prochaines semaines afin d’arrêter les projets concrets à financer suite à la signature de l’Accord-cadre.

 

Par ailleurs, cet accord s’inscrit pleinement dans les objectifs de la « Coalition mondiale pour la justice sociale », initiée il y a moins d’un an par le Directeur-général de l’OIT. Cette coalition a pour objectif de faciliter et renforcer l’action collective en réunissant un maximum d’acteurs (organisations internationales, secteur privé, société civile, etc.) pour promouvoir la justice sociale.

 

Pour Elio Di Rupo : « Nous assistons dans de nombreuses régions du monde à une dégradation importante des conditions de travail des travailleurs. La Wallonie souhaite s’engager aux côtés de l’OIT pour promouvoir partout dans le monde la justice sociale et la protection des travailleurs. »

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Sommet intermédiaire de la Grande Région à Tawern (c) Grande Région

La rencontre fut l’occasion, pour les représentants des exécutifs, d’échanger sur les priorités de la Grande Région et pour la présidente de faire le point sur les réalisations à mi-mandat mettant l’accent sur l’approvisionnement énergétique durable et sur la mobilité transfrontalière, le marché du travail commun, le développement de la protection civile transfrontalière ainsi que la coopération dans le domaine de la santé.

 

La coopération étroite avec les partenaires de la Grande Région est un symbole important de la diversité vécue et de l'échange culturel en Europe. "Au cours des dernières années, nous avons surmonté ensemble de nombreuses crises et nous nous sommes rapprochés les uns des autres. Les questions de société sont les mêmes dans toutes nos régions. Travaillons ensemble pour relever les défis et saisir les opportunités qui se présentent à nous", a souligné la Ministre-Présidente Malu Dreyer.

 

A cette occasion Monsieur le Ministre-Président, Elio di Rupo, a confirmé le soutien de la Wallonie à la mise en oeuvre de l’observatoire des données de santé en Grande Région qui nécessite un travail collégial entre nos régions mais également un relai efficace vers les différents niveaux de pouvoirs des états membres pour rendre possible l’accessibilité et le partage de ces données.

La rencontre fut l’occasion, pour les représentants des exécutifs, d’échanger sur les priorités de la Grande Région et pour la présidente de faire le point sur les réalisations à mi-mandat mettant l’accent sur l’approvisionnement énergétique durable et sur la mobilité transfrontalière, le marché du travail commun, le développement de la protection civile transfrontalière ainsi que la coopération dans le domaine de la santé.

 

La coopération étroite avec les partenaires de la Grande Région est un symbole important de la diversité vécue et de l'échange culturel en Europe. "Au cours des dernières années, nous avons surmonté ensemble de nombreuses crises et nous nous sommes rapprochés les uns des autres. Les questions de société sont les mêmes dans toutes nos régions. Travaillons ensemble pour relever les défis et saisir les opportunités qui se présentent à nous", a souligné la Ministre-Présidente Malu Dreyer.

 

A cette occasion Monsieur le Ministre-Président, Elio di Rupo, a confirmé le soutien de la Wallonie à la mise en oeuvre de l’observatoire des données de santé en Grande Région qui nécessite un travail collégial entre nos régions mais également un relai efficace vers les différents niveaux de pouvoirs des états membres pour rendre possible l’accessibilité et le partage de ces données.

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