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La Fédération Wallonie-Bruxelles y participera avec une délégation d’une vingtaine de personnes qui concourra dans 5 disciplines. Focus sur la chanson avec Estelle Baldé

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Qui est Estelle Baldé ?

Estelle Baldé est une auteure-compositrice-interprète belgo-guinéenne dont l’art reflète son métissage puisqu'il mêle influences rumba, bossa nova, soul, pop et ballade française. Préparée à une carrière dans la diplomatie internationale à travers ses études en sciences politiques et droit international, c’est pourtant vers la musique que son cœur  la guide.  

Son premier EP “Désir du cœur”, sorti en avril 2020, lui a valu une invitation par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) à Dubaï dans le cadre de l’inauguration de l’exposition universelle, une prestation live à TV5 Monde à Paris à l’occasion de la Journée internationale de la Francophonie 2021, des diffusions sur des chaines radios locales belges, une présence en couverture du magazine Brukmer, une programmation au festival Hello Summer 2021 et au Théâtre national lors des «Golden Afro Artistic Awards 2021».

 

Estelle Baldé a su puiser sa motivation dans ses premières expériences scéniques à l’international. A suivi une période d’introspection, de redirection artistique inspirée par des rencontres et collaborations durant lesquelles l’artiste a pu explorer de nouvelles sonorités. C’est donc tout naturellement qu’elle a clôturé l’année 2022 les étoiles dans les yeux, avec son second EP « Stella » (mot latin qui signifie « Etoile », origine du prénom Estelle) sorti le 15 Juillet 2022 : un projet rempli de spiritualité et d’énergies positives.

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Participation aux Jeux de la Francophonie

En juillet-août 2023, Estelle Baldé représentera la Fédération-Wallonie-Bruxelles au Jeux de la Francophonie dans la catégorie Chanson.

 

 «Etant issue d’un métissage 100% francophone puisque née d’un père guinéen et d’une mère belge francophone, participer aux Jeux de la Francophonie représente, dans un premier temps, le fait de célébrer l’union de mes parents. Grâce à eux, j’ai très tôt été sensibilisée à l’acceptation de l’autre, l’ouverture d’esprit et la compassion : des valeurs que je retrouve dans l’Organisation Internationale de la Francophonie.

 

Ensuite, à défaut de me lancer dans la diplomatie internationale suite à l’obtention de mes diplômes en sciences politiques et en droit, c’est à travers la musique que j’aspire à devenir “diplomate culturelle francophone” en promouvant le métissage et l’universalisme. Participer aux Jeux de la Francophonie est donc bien plus qu’un simple concours pour moi. Il s’agit de contribuer, à ma petite échelle, à la diversité et surtout à l’union entre les peuples et les cultures.»

 

Les chansons qu’Estelle Baldé y proposera, accompagnée de son groupe, sont issues de son dernier EP « Stella » et sont à l’image des valeurs qu’elle partage avec l’OIF.

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Déroulement du concours

L’artiste dispose d’un temps de concert de 15 minutes maximum pendant laquelle iel interprète plusieurs œuvres. Les chansons interprétées doivent être des œuvres récentes, créées durant la période de 24 mois précédant les Jeux. Cette discipline a figuré aux huit dernières éditions des Jeux de la Francophonie.

 

En savoir plus sur les Jeux de la Francophonie 2023.

 

Découvrez les portraits des artistes de la délégation belge francophone aux Jeux de la francophonie 2023, tout au long du mois de juillet sur notre site et nos réseaux sociaux Facebook WBI et LinkedIn WBI et ceux de la Fédération Wallonie Bruxelles, Culture.beFacebook culture.be et Instagram culture.be.  

 

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La Fédération Wallonie-Bruxelles y participera avec une délégation d’une vingtaine de personnes qui concourra dans 5 disciplines. Focus sur la chanson avec Estelle Baldé

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Qui est Estelle Baldé ?

Estelle Baldé est une auteure-compositrice-interprète belgo-guinéenne dont l’art reflète son métissage puisqu'il mêle influences rumba, bossa nova, soul, pop et ballade française. Préparée à une carrière dans la diplomatie internationale à travers ses études en sciences politiques et droit international, c’est pourtant vers la musique que son cœur  la guide.  

Son premier EP “Désir du cœur”, sorti en avril 2020, lui a valu une invitation par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) à Dubaï dans le cadre de l’inauguration de l’exposition universelle, une prestation live à TV5 Monde à Paris à l’occasion de la Journée internationale de la Francophonie 2021, des diffusions sur des chaines radios locales belges, une présence en couverture du magazine Brukmer, une programmation au festival Hello Summer 2021 et au Théâtre national lors des «Golden Afro Artistic Awards 2021».

 

Estelle Baldé a su puiser sa motivation dans ses premières expériences scéniques à l’international. A suivi une période d’introspection, de redirection artistique inspirée par des rencontres et collaborations durant lesquelles l’artiste a pu explorer de nouvelles sonorités. C’est donc tout naturellement qu’elle a clôturé l’année 2022 les étoiles dans les yeux, avec son second EP « Stella » (mot latin qui signifie « Etoile », origine du prénom Estelle) sorti le 15 Juillet 2022 : un projet rempli de spiritualité et d’énergies positives.

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Participation aux Jeux de la Francophonie

En juillet-août 2023, Estelle Baldé représentera la Fédération-Wallonie-Bruxelles au Jeux de la Francophonie dans la catégorie Chanson.

 

 «Etant issue d’un métissage 100% francophone puisque née d’un père guinéen et d’une mère belge francophone, participer aux Jeux de la Francophonie représente, dans un premier temps, le fait de célébrer l’union de mes parents. Grâce à eux, j’ai très tôt été sensibilisée à l’acceptation de l’autre, l’ouverture d’esprit et la compassion : des valeurs que je retrouve dans l’Organisation Internationale de la Francophonie.

 

Ensuite, à défaut de me lancer dans la diplomatie internationale suite à l’obtention de mes diplômes en sciences politiques et en droit, c’est à travers la musique que j’aspire à devenir “diplomate culturelle francophone” en promouvant le métissage et l’universalisme. Participer aux Jeux de la Francophonie est donc bien plus qu’un simple concours pour moi. Il s’agit de contribuer, à ma petite échelle, à la diversité et surtout à l’union entre les peuples et les cultures.»

 

Les chansons qu’Estelle Baldé y proposera, accompagnée de son groupe, sont issues de son dernier EP « Stella » et sont à l’image des valeurs qu’elle partage avec l’OIF.

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Déroulement du concours

L’artiste dispose d’un temps de concert de 15 minutes maximum pendant laquelle iel interprète plusieurs œuvres. Les chansons interprétées doivent être des œuvres récentes, créées durant la période de 24 mois précédant les Jeux. Cette discipline a figuré aux huit dernières éditions des Jeux de la Francophonie.

 

En savoir plus sur les Jeux de la Francophonie 2023.

 

Découvrez les portraits des artistes de la délégation belge francophone aux Jeux de la francophonie 2023, tout au long du mois de juillet sur notre site et nos réseaux sociaux Facebook WBI et LinkedIn WBI et ceux de la Fédération Wallonie Bruxelles, Culture.beFacebook culture.be et Instagram culture.be.  

 

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Bouton - en savoir plus

 « Lisez-vous le belge ? » vous  propose à travers sa Sélection 2023, un échantillon représentatif de la diversité de la création contemporaine en Belgique francophone à un instant donné. Pour naviguer aisément d’un livre à l’autre, d’un genre à l’autre, outre le sommaire, des mots clés repris sous forme de hashtags vous permettent désormais d’identifier facilement les thématiques que chaque livre aborde. Disponible en anglais, vous pouvez également obtenir sur simple demande la version hispanique

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Cette sélection n’est ni plus ni moins qu’une invitation à entrer en livres belges.

Ne vous étonnez pas de voir des maisons d’édition françaises : c’est là aussi le reflet des dynamiques qui constituent notre paysage. Notre proximité avec la France créée une porosité tant en termes de création que d’édition. De la même manière, nous considérons comme auteur ou autrice belge toute personne écrivant en français sur le territoire belge francophone depuis au moins cinq ans. A l’image de Bruxelles, ville hautement cosmopolite qui agrège plus de 180 nationalités, la Belgique francophone est une terre fertile aux croisements, aux échanges, à la création littéraire, aux champs de pensée décloisonnants et qui accueille des trajectoires personnelles et artistiques hybrides, dont nous tentons de vous offrir ici un reflet.

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Profitez de cette sélection pour plonger dans les livres

Vous ne pourrez que mieux goûter à cette création vivante, inextinguible et prompte à dépasser ses frontières pour mieux vous toucher.

Dix professionnels au regard avisé ont participé à cette sélection :

  • Prose : Ariane Herman, Libraire et Fondatrice de la librairie Tulitu, Bruxelles & Jean-Claude Vantroyen, Responsable du supplément livres du quotidien Le Soir
  • BD : Erwin Dejasse, Historien de l’art, Enseignant et Commissaire d’exposition spécialisé BD & Clément Fourrey, Programmateur BD de la Foire du livre de Bruxelles
  • Poésie : Charlyne Audin, Enseignante et Présidente de la librairie le Comptoir du livre, Liège & Christophe Meurée, Premier Assistant aux Archives et Musée de la Littérature de Bruxelles
  • Jeunesse : Thalie Natkiel, Libraire jeunesse chez Tropismes, Bruxelles  & Carole Saturno, Directrice artistique de Picture ! Festival  
  • Non Fiction : Catherine Mangez, Libraire et Co-gérante, Librairie Papyrus, Namur & Olivier Verschueren, Libraire et Gérant, Librairie Livre aux Trésors, Liège

Vous pouvez télécharger la sélection « Lisez-vous le belge ? » 2023 ici ou encore sur la page dédiée. Pour la télécharger en anglais, il vous suffit de modifier la langue du site ou de vous rendre ici.

 

Ce projet a été coordonné par la société Altura Consultance, mis en page par Mona Habibbizadeh et les traductions ont été effectuées par Impact Traduction

 

Pour des informations sur les soutiens aux acteurs du livre et sur l'actualité suivez « Lisez-vous le belge ? ».

 

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 « Lisez-vous le belge ? » vous  propose à travers sa Sélection 2023, un échantillon représentatif de la diversité de la création contemporaine en Belgique francophone à un instant donné. Pour naviguer aisément d’un livre à l’autre, d’un genre à l’autre, outre le sommaire, des mots clés repris sous forme de hashtags vous permettent désormais d’identifier facilement les thématiques que chaque livre aborde. Disponible en anglais, vous pouvez également obtenir sur simple demande la version hispanique

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Cette sélection n’est ni plus ni moins qu’une invitation à entrer en livres belges.

Ne vous étonnez pas de voir des maisons d’édition françaises : c’est là aussi le reflet des dynamiques qui constituent notre paysage. Notre proximité avec la France créée une porosité tant en termes de création que d’édition. De la même manière, nous considérons comme auteur ou autrice belge toute personne écrivant en français sur le territoire belge francophone depuis au moins cinq ans. A l’image de Bruxelles, ville hautement cosmopolite qui agrège plus de 180 nationalités, la Belgique francophone est une terre fertile aux croisements, aux échanges, à la création littéraire, aux champs de pensée décloisonnants et qui accueille des trajectoires personnelles et artistiques hybrides, dont nous tentons de vous offrir ici un reflet.

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Vous ne pourrez que mieux goûter à cette création vivante, inextinguible et prompte à dépasser ses frontières pour mieux vous toucher.

Dix professionnels au regard avisé ont participé à cette sélection :

  • Prose : Ariane Herman, Libraire et Fondatrice de la librairie Tulitu, Bruxelles & Jean-Claude Vantroyen, Responsable du supplément livres du quotidien Le Soir
  • BD : Erwin Dejasse, Historien de l’art, Enseignant et Commissaire d’exposition spécialisé BD & Clément Fourrey, Programmateur BD de la Foire du livre de Bruxelles
  • Poésie : Charlyne Audin, Enseignante et Présidente de la librairie le Comptoir du livre, Liège & Christophe Meurée, Premier Assistant aux Archives et Musée de la Littérature de Bruxelles
  • Jeunesse : Thalie Natkiel, Libraire jeunesse chez Tropismes, Bruxelles  & Carole Saturno, Directrice artistique de Picture ! Festival  
  • Non Fiction : Catherine Mangez, Libraire et Co-gérante, Librairie Papyrus, Namur & Olivier Verschueren, Libraire et Gérant, Librairie Livre aux Trésors, Liège

Vous pouvez télécharger la sélection « Lisez-vous le belge ? » 2023 ici ou encore sur la page dédiée. Pour la télécharger en anglais, il vous suffit de modifier la langue du site ou de vous rendre ici.

 

Ce projet a été coordonné par la société Altura Consultance, mis en page par Mona Habibbizadeh et les traductions ont été effectuées par Impact Traduction

 

Pour des informations sur les soutiens aux acteurs du livre et sur l'actualité suivez « Lisez-vous le belge ? ».

 

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Depuis 1989, les Jeux de la Francophonie invitent, autour de valeurs de fraternité et de solidarité, la jeunesse de l’espace francophone à se rencontrer au travers d’épreuves sportives et de concours culturels.

 

Organisés tous les quatre ans par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), les Jeux sont le reflet de la diversité culturelle francophone. Dans un monde qui tend à s’uniformiser, ils représentent un carrefour d’échanges entre pays francophones. Ils offrent également une chance formidable à de jeunes talents de débuter une carrière professionnelle. La rencontre est au moins aussi importante que la compétition.

 

Cette neuvième édition accueillera une quarantaine de délégations, issues des 5 continents, soit plus de 1.500 jeunes âgés de 18 à 35 ans. A Kinshasa, 9 disciplines sportives sont prévues ainsi que 11 concours culturels.

Participation de la FW-B

La Fédération Wallonie-Bruxelles participe aux Jeux de la Francophonie depuis la première édition. Ceux-ci représentent une occasion unique pour de nombreux artistes et sportifs émergents de vivre l’expérience d’une première rencontre internationale et de se mesurer à des concurrents venus de tout l’espace francophone. 

 

Plusieurs de nos représentants aux éditions précédentes se sont illustrés sur la scène internationale : Michèle Noiret (danse), Stéphanie Blanchoud (chanson), Nicolas Ancion (littérature) ou encore Stéphanie Roland (photographie).

 

Découvrez également la vidéo de CélénaSophia qui nous parle de leur participation aux Jeux de la Francophonie à Abidjan en 2017.

 

 

Lors de cette édition 2023, la FW-B sera présente avec une délégation d’une vingtaine de personnes qui concourra dans cinq disciplines culturelles : chanson, danse de création, hip-hop, littérature et peinture. Il n’y aura pas de délégation sportive de la FW-B lors des Jeux 2023.

 

Délégation Fédération Wallonie-Bruxelles :

Retrouvez les portraits de tous ces artistes tout au long du mois de juillet 2023 sur notre site et nos réseaux sociaux Facebook WBI et LinkedIn WBI et ceux de la Fédération Wallonie Bruxelles, Culture.be, Facebook culture.be et Instagram culture.be.  

 

La participation de la FW-B aux Jeux fait l’objet d’une concertation entre les différentes administrations concernées en l’occurrence l’Administration générale de la Culture et Wallonie-Bruxelles International (WBI). 

 

Plus d’informations sur le site des Jeux de la Francophonie

Depuis 1989, les Jeux de la Francophonie invitent, autour de valeurs de fraternité et de solidarité, la jeunesse de l’espace francophone à se rencontrer au travers d’épreuves sportives et de concours culturels.

 

Organisés tous les quatre ans par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), les Jeux sont le reflet de la diversité culturelle francophone. Dans un monde qui tend à s’uniformiser, ils représentent un carrefour d’échanges entre pays francophones. Ils offrent également une chance formidable à de jeunes talents de débuter une carrière professionnelle. La rencontre est au moins aussi importante que la compétition.

 

Cette neuvième édition accueillera une quarantaine de délégations, issues des 5 continents, soit plus de 1.500 jeunes âgés de 18 à 35 ans. A Kinshasa, 9 disciplines sportives sont prévues ainsi que 11 concours culturels.

Participation de la FW-B

La Fédération Wallonie-Bruxelles participe aux Jeux de la Francophonie depuis la première édition. Ceux-ci représentent une occasion unique pour de nombreux artistes et sportifs émergents de vivre l’expérience d’une première rencontre internationale et de se mesurer à des concurrents venus de tout l’espace francophone. 

 

Plusieurs de nos représentants aux éditions précédentes se sont illustrés sur la scène internationale : Michèle Noiret (danse), Stéphanie Blanchoud (chanson), Nicolas Ancion (littérature) ou encore Stéphanie Roland (photographie).

 

Découvrez également la vidéo de CélénaSophia qui nous parle de leur participation aux Jeux de la Francophonie à Abidjan en 2017.

 

 

Lors de cette édition 2023, la FW-B sera présente avec une délégation d’une vingtaine de personnes qui concourra dans cinq disciplines culturelles : chanson, danse de création, hip-hop, littérature et peinture. Il n’y aura pas de délégation sportive de la FW-B lors des Jeux 2023.

 

Délégation Fédération Wallonie-Bruxelles :

Retrouvez les portraits de tous ces artistes tout au long du mois de juillet 2023 sur notre site et nos réseaux sociaux Facebook WBI et LinkedIn WBI et ceux de la Fédération Wallonie Bruxelles, Culture.be, Facebook culture.be et Instagram culture.be.  

 

La participation de la FW-B aux Jeux fait l’objet d’une concertation entre les différentes administrations concernées en l’occurrence l’Administration générale de la Culture et Wallonie-Bruxelles International (WBI). 

 

Plus d’informations sur le site des Jeux de la Francophonie

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La France est une évidence culturelle qu’on ne présente plus. En matière d’humour, les représentants belges francophones jouissent depuis plusieurs années d’une reconnaissance toute particulière sur la scène parisienne. C’est dans l’optique de continuer à bénéficier de cette vague positive que, sur proposition de son Ministre-Président, Pierre-Yves Jeholet, la Fédération Wallonie-Bruxelles, à travers Wallonie-Bruxelles International, a décidé d’organiser la « Quinzaine de l’Humour à Paris ».

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La Quinzaine de l’Humour à Paris 

Cette Quinzaine, qui se tiendra entre le 29 novembre et le 13 décembre 2023, a pour objectif de faire rayonner les humoristes belges francophones et de permettre à des talents de se faire connaitre dans la capitale française. Elle démarrera par deux soirées de présélection organisées les 11 et 12 septembre à Bruxelles et à Liège, en partenariat avec la Fédération Belge des Professionnels de l’Humour (FBPH). Ces soirées de présélection permettront à 20 artistes de la Fédération Wallonie-Bruxelles (10 par soirée) de montrer sur scène tout leur talent à un jury de renom. Lors de ces soirées de présélection, une partie de l’audience sera réservée à un public de professionnels. L’autre partie sera transformée en billetterie ouverte à tous afin de garantir aux artistes une audience variée et dynamique.

 

A l’issue des deux soirées, le jury, composé de professionnels du secteur, sélectionnera 10 humoristes qui auront la chance de pouvoir se produire durant trois soirs de suite dans les salles parisiennes partenaires (Les Blancs Manteaux, La scène Barbès-Comedy Club, The Joke Comedy Club, Le Point-Virgule, L’Apollo Théâtre). Ces représentations seront précédées d’un gala d’ouverture qui se tiendra le 28 novembre 2023 au Centre Wallonie-Bruxelles à Paris, soirée durant laquelle les lauréats se produiront à tour de rôle pendant 10 minutes.

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Soutien du Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles au secteur culturel

Dès le début de la crise sanitaire et l’arrêt de l’activité des secteurs culturels, le Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles a adopté une série de mesures de soutien à ces derniers, y compris à l’International.

 

Après un travail de réflexion entamé avec Wallonie-Bruxelles International (WBI) et les représentants des secteurs concernés, il a été décidé de concrétiser, sur l’année 2023, des actions pour favoriser le redéploiement de la culture belge francophone sur le plan international. Ces actions visent également à mettre en lumière des disciplines parfois moins soutenues, comme l’humour.

 

En effet, le secteur de l’humour n’était pas, jusqu’il y a peu, reconnu de manière spécifique au sein des politiques culturelles. À la suite de la crise de la Covid, qui a accentué les difficultés de ce pan d’activités artistiques, la Fédération Wallonie-Bruxelles a donné une place à part entière à ce secteur dans le paysage culturel en lui accordant une reconnaissance spécifique dans le cadre du nouveau décret Arts de la scène et en soutenant la création de la Fédération Belge des Professionnels de l’Humour (FBPH).

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Appel à candidatures

L’appel à candidatures est ouvert à tous les humoristes de plus de 18 ans de la Fédération Wallonie-Bruxelles et sera opérationnalisé par WBI en collaboration avec la FBPH (le fait d’être membre de la fédération n’est nullement une condition d’éligibilité). Les candidatures devront être adressées avant le 31 juillet 2023 à l’adresse info@fbph.be.

 

Celles-ci seront traitées par un comité artistique qui déterminera les 20 artistes qui seront contactés lors de la dernière quinzaine d’août.

 

Retrouvez l'Appel à candidatures (Processus de candidature et de sélection)  en document lié ci-dessous.

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La France est une évidence culturelle qu’on ne présente plus. En matière d’humour, les représentants belges francophones jouissent depuis plusieurs années d’une reconnaissance toute particulière sur la scène parisienne. C’est dans l’optique de continuer à bénéficier de cette vague positive que, sur proposition de son Ministre-Président, Pierre-Yves Jeholet, la Fédération Wallonie-Bruxelles, à travers Wallonie-Bruxelles International, a décidé d’organiser la « Quinzaine de l’Humour à Paris ».

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La Quinzaine de l’Humour à Paris 

Cette Quinzaine, qui se tiendra entre le 29 novembre et le 13 décembre 2023, a pour objectif de faire rayonner les humoristes belges francophones et de permettre à des talents de se faire connaitre dans la capitale française. Elle démarrera par deux soirées de présélection organisées les 11 et 12 septembre à Bruxelles et à Liège, en partenariat avec la Fédération Belge des Professionnels de l’Humour (FBPH). Ces soirées de présélection permettront à 20 artistes de la Fédération Wallonie-Bruxelles (10 par soirée) de montrer sur scène tout leur talent à un jury de renom. Lors de ces soirées de présélection, une partie de l’audience sera réservée à un public de professionnels. L’autre partie sera transformée en billetterie ouverte à tous afin de garantir aux artistes une audience variée et dynamique.

 

A l’issue des deux soirées, le jury, composé de professionnels du secteur, sélectionnera 10 humoristes qui auront la chance de pouvoir se produire durant trois soirs de suite dans les salles parisiennes partenaires (Les Blancs Manteaux, La scène Barbès-Comedy Club, The Joke Comedy Club, Le Point-Virgule, L’Apollo Théâtre). Ces représentations seront précédées d’un gala d’ouverture qui se tiendra le 28 novembre 2023 au Centre Wallonie-Bruxelles à Paris, soirée durant laquelle les lauréats se produiront à tour de rôle pendant 10 minutes.

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Soutien du Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles au secteur culturel

Dès le début de la crise sanitaire et l’arrêt de l’activité des secteurs culturels, le Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles a adopté une série de mesures de soutien à ces derniers, y compris à l’International.

 

Après un travail de réflexion entamé avec Wallonie-Bruxelles International (WBI) et les représentants des secteurs concernés, il a été décidé de concrétiser, sur l’année 2023, des actions pour favoriser le redéploiement de la culture belge francophone sur le plan international. Ces actions visent également à mettre en lumière des disciplines parfois moins soutenues, comme l’humour.

 

En effet, le secteur de l’humour n’était pas, jusqu’il y a peu, reconnu de manière spécifique au sein des politiques culturelles. À la suite de la crise de la Covid, qui a accentué les difficultés de ce pan d’activités artistiques, la Fédération Wallonie-Bruxelles a donné une place à part entière à ce secteur dans le paysage culturel en lui accordant une reconnaissance spécifique dans le cadre du nouveau décret Arts de la scène et en soutenant la création de la Fédération Belge des Professionnels de l’Humour (FBPH).

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Appel à candidatures

L’appel à candidatures est ouvert à tous les humoristes de plus de 18 ans de la Fédération Wallonie-Bruxelles et sera opérationnalisé par WBI en collaboration avec la FBPH (le fait d’être membre de la fédération n’est nullement une condition d’éligibilité). Les candidatures devront être adressées avant le 31 juillet 2023 à l’adresse info@fbph.be.

 

Celles-ci seront traitées par un comité artistique qui déterminera les 20 artistes qui seront contactés lors de la dernière quinzaine d’août.

 

Retrouvez l'Appel à candidatures (Processus de candidature et de sélection)  en document lié ci-dessous.

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Robot développé par IntegrIA Robotics © IntegrIA Robotics

 À côté, dans un autre périmètre, ce sont des bonbons et des sucettes, également de tailles et de formes diverses, qui sont à portée de pince du robot. Le bras articulé saisit chaque objet un à un et va les déposer dans leur zone de destination.

 

Dans le jargon, on parle de « picking ». Cela n’a l’air de rien, sauf quand on sait que pour chaque démonstration les objets sont jetés de manière aléatoire dans le périmètre de prélèvement. Et que, bien entendu, le robot n’est pas reprogrammé à chaque nouveau lot d’objets à déplacer. La machine opère donc seule. Elle analyse chaque nouvelle situation pour ensuite prendre en totale autonomie les meilleures décisions afin d’accomplir sa tâche. C’est ici qu’interviennent l’intelligence artificielle et le savoir-faire des partenaires d’IntegrIA Robotics, une spin-off de l’Université de Liège.

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Apprentissage renforcé pour robots autonomes

« Nous avons doté notre bras robotique d’une caméra capable de discerner des objets en trois dimensions », explique Tom Ewbank, le responsable technique de la société (Chief Technology officer). « Mais surtout, nous avons développé l’intelligence artificielle qui permet à ce robot de faire du picking le plus efficacement possible », précise l’ingénieur de recherche en informatique et en robotique.

 

« Notre IA est liée à la vision qu’elle a des doigts de la pince. Le prototype observe d’abord les objets disposés sous le regard de sa caméra. Il effectue ensuite quelques mouvements, afin de bien cerner la scène. Cela s’appelle du « deep reinforcement learning ». Le système envisage les différentes actions à entreprendre pour mener sa tâche à bien. Son réseau de neurones artificiels prend une image en entrée et il élabore ensuite un plan d’actions pour le robot », détaille-t-il, sur le stand de Wallonie-Bruxelles International, à la foire industrielle d’Hanovre, où il est venu vanter la qualité de son produit.

 

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La carotte ou le bâton

« C’est un système qui apprend, un super modèle mathématique doté d’algorithmes d’optimisation des actions à entreprendre », continue Tom Ewbank. « Lors de la simulation, le robot accomplit différentes actions. Et nous pouvons, bien entendu, vérifier si ces tâches ont été correctement réalisées. Si c’est le cas, nous donnons une récompense (« +1 ») au système. S’il fait des bêtises, par exemple s’il pousse trop fort sur les objets, on lui assène une pénalité (« -0,xxx »). Le système va tenter d’optimiser son fonctionnement, afin de collecter le plus de récompenses. C’est comme cela qu’il tend vers un fonctionnement optimal. »

 

« Les applications potentielles de notre IA sont nombreuses et variées. Cela concerne toutes les situations où il existe une grande variété d’objets à attraper et pour lesquelles il n’est pas rentable de redévelopper un système spécifique », explique de son côté Audrey Lempereur, ingénieure «logiciels et IA» chez IntegrIA Robotics.

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Un jumeau numérique comme banc d’essai

« Par exemple, dans le cas de petites séries de production ou dans la gestion de commandes en ligne. Notre software est adaptable. On peut recréer un jumeau digital de la situation sur laquelle on souhaite entraîner un système et le faire tourner afin qu’il soit ensuite performant face à la situation qu’il aura à traiter », dit-elle.

 

« Notre but est de proposer un package logiciel à nos clients », précise le CTO de l’entreprise. « Mais nous pourrions aussi simplement vendre des services. »

 

Le bras articulé présenté à la foire industrielle d’Hanovre est une vitrine convaincante du savoir-faire de la jeune entreprise. « Mais nous aimerions encore perfectionner le système », indique Loïc Sacré, le troisième membre de la spin-off. « Par exemple, en rendant les mouvements du robot plus fluides».

 

De retour à Liège, dans leur bureau et leur laboratoire du Sart-Tilman, l’équipe d’ingénieurs garde ses objectifs bien en tête: développer des solutions robotiques innovantes à base d’intelligence artificielle pour l’industrie.

 

Source: Daily Science - Christian Du Brulle

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 À côté, dans un autre périmètre, ce sont des bonbons et des sucettes, également de tailles et de formes diverses, qui sont à portée de pince du robot. Le bras articulé saisit chaque objet un à un et va les déposer dans leur zone de destination.

 

Dans le jargon, on parle de « picking ». Cela n’a l’air de rien, sauf quand on sait que pour chaque démonstration les objets sont jetés de manière aléatoire dans le périmètre de prélèvement. Et que, bien entendu, le robot n’est pas reprogrammé à chaque nouveau lot d’objets à déplacer. La machine opère donc seule. Elle analyse chaque nouvelle situation pour ensuite prendre en totale autonomie les meilleures décisions afin d’accomplir sa tâche. C’est ici qu’interviennent l’intelligence artificielle et le savoir-faire des partenaires d’IntegrIA Robotics, une spin-off de l’Université de Liège.

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Apprentissage renforcé pour robots autonomes

« Nous avons doté notre bras robotique d’une caméra capable de discerner des objets en trois dimensions », explique Tom Ewbank, le responsable technique de la société (Chief Technology officer). « Mais surtout, nous avons développé l’intelligence artificielle qui permet à ce robot de faire du picking le plus efficacement possible », précise l’ingénieur de recherche en informatique et en robotique.

 

« Notre IA est liée à la vision qu’elle a des doigts de la pince. Le prototype observe d’abord les objets disposés sous le regard de sa caméra. Il effectue ensuite quelques mouvements, afin de bien cerner la scène. Cela s’appelle du « deep reinforcement learning ». Le système envisage les différentes actions à entreprendre pour mener sa tâche à bien. Son réseau de neurones artificiels prend une image en entrée et il élabore ensuite un plan d’actions pour le robot », détaille-t-il, sur le stand de Wallonie-Bruxelles International, à la foire industrielle d’Hanovre, où il est venu vanter la qualité de son produit.

 

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La carotte ou le bâton

« C’est un système qui apprend, un super modèle mathématique doté d’algorithmes d’optimisation des actions à entreprendre », continue Tom Ewbank. « Lors de la simulation, le robot accomplit différentes actions. Et nous pouvons, bien entendu, vérifier si ces tâches ont été correctement réalisées. Si c’est le cas, nous donnons une récompense (« +1 ») au système. S’il fait des bêtises, par exemple s’il pousse trop fort sur les objets, on lui assène une pénalité (« -0,xxx »). Le système va tenter d’optimiser son fonctionnement, afin de collecter le plus de récompenses. C’est comme cela qu’il tend vers un fonctionnement optimal. »

 

« Les applications potentielles de notre IA sont nombreuses et variées. Cela concerne toutes les situations où il existe une grande variété d’objets à attraper et pour lesquelles il n’est pas rentable de redévelopper un système spécifique », explique de son côté Audrey Lempereur, ingénieure «logiciels et IA» chez IntegrIA Robotics.

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Un jumeau numérique comme banc d’essai

« Par exemple, dans le cas de petites séries de production ou dans la gestion de commandes en ligne. Notre software est adaptable. On peut recréer un jumeau digital de la situation sur laquelle on souhaite entraîner un système et le faire tourner afin qu’il soit ensuite performant face à la situation qu’il aura à traiter », dit-elle.

 

« Notre but est de proposer un package logiciel à nos clients », précise le CTO de l’entreprise. « Mais nous pourrions aussi simplement vendre des services. »

 

Le bras articulé présenté à la foire industrielle d’Hanovre est une vitrine convaincante du savoir-faire de la jeune entreprise. « Mais nous aimerions encore perfectionner le système », indique Loïc Sacré, le troisième membre de la spin-off. « Par exemple, en rendant les mouvements du robot plus fluides».

 

De retour à Liège, dans leur bureau et leur laboratoire du Sart-Tilman, l’équipe d’ingénieurs garde ses objectifs bien en tête: développer des solutions robotiques innovantes à base d’intelligence artificielle pour l’industrie.

 

Source: Daily Science - Christian Du Brulle

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(c) Fotolia

Initié en 2020 par le Centre Wallonie-Bruxelles à Paris, le Festival (((INTERFERENCE_S))) se donne pour ambition de révéler une infime partie de la polysémie des explorations sonores et de mettre en évidence des créations développées à partir de matière sonore.

 

Pour enjeu obsessionnel : le son - non pas comme médium illustratif, ni comme vecteur magnifiant une image statique ou en mouvement mais le son comme matière propre.

 

Délibérément décloisonnant, s’infiltrant dans les espaces poreux du Centre, (((INTERFERENCE_S))) agrège des œuvres laboratoires – de l’installation au podcast en passant par des concerts
électroacoustiques, bruitistes et des films…

 

Dans le cadre de ce festival, le Centre lance un appel à l’adresse d’auteur.ices au bénéfice de l’écriture d’une fiction radiophonique de maximum 20 minutes, présentée sous la forme de dialogue, de monologue, de scénario radiophonique, à enregistrer au sein du studio de l’ACSR (Bruxelles) et en vue d’une programmation au festival (((INTERFERENCE_S))) 2024.

 

A l’heure où la création radiophonique transcende la seule diffusion hertzienne, le Centre entend ainsi contribuer à favoriser la recherche en écritures fictionnelles ayant vocation à se déployer en Cyberespace.

 

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Critères d'éligibilité

  • Auteur.ice attestant d’un ancrage en Fédération Wallonie-Bruxelles ; c’est à dire avoir un domicile ou siège social en Wallonie ou à Bruxelles
  • L’auteur.ice peut présenter au maximum deux projets
  • L’oeuvre doit être produite en français
  • Tous les genres sont admis dès lors qu’ils relèvent du champ fictionnel
  • Le podcast n’excèdera pas 20 minutes
  • Il ne pourra s’agir d’une oeuvre chorale, en raison des conditions techniques du studio, deux à trois voix seront envisageables
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A soumettre

  • Un dossier complet présentant dans l’ordre :
    • Une note d’intention
    • Une lettre de motivation
    • Un extrait du texte de la fiction ou un début de script (min 4.000 signes espaces compris)
    • Curriculum vitae de l’auteur.ice, ainsi que des partenaires avec lesquel.le.s il ou elle souhaite collaborer pour ce projet (comédien.ne.s, realisateur.rice.s, etc).
    • Un ou deux liens vers de précédentes créations audiovisuelles et/ou d’écritures
  • Les candidatures sont à envoyer exclusivement en version numérique à l’adresse suivante: c.henriet@cwb.fr
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Le projet sélectionné

  • Bénéficiera d’une bourse de 3.000 euros
  • Sera enregistré au sein du studio de l’ACSR (Bruxelles)
  • Sera programmé dans le cadre du festival (((INTERFERENCE_S))) en mai 2024
  • Sera diffusé sur radiola.be et Radio fractale (radio web du Centre)
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Agenda

  • Soumission des candidatures > 31 octobre 2023
  • Examen des dossiers > novembre 2023
  • Notification des résultats > décembre 2023
  • Les candidat.e.s non retenu.e.s seront avisé.e.s par courriel
  • Enregistrement du podcast en 2024 

Retrouvez l'annonce détaillée en pièce jointe.

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Initié en 2020 par le Centre Wallonie-Bruxelles à Paris, le Festival (((INTERFERENCE_S))) se donne pour ambition de révéler une infime partie de la polysémie des explorations sonores et de mettre en évidence des créations développées à partir de matière sonore.

 

Pour enjeu obsessionnel : le son - non pas comme médium illustratif, ni comme vecteur magnifiant une image statique ou en mouvement mais le son comme matière propre.

 

Délibérément décloisonnant, s’infiltrant dans les espaces poreux du Centre, (((INTERFERENCE_S))) agrège des œuvres laboratoires – de l’installation au podcast en passant par des concerts
électroacoustiques, bruitistes et des films…

 

Dans le cadre de ce festival, le Centre lance un appel à l’adresse d’auteur.ices au bénéfice de l’écriture d’une fiction radiophonique de maximum 20 minutes, présentée sous la forme de dialogue, de monologue, de scénario radiophonique, à enregistrer au sein du studio de l’ACSR (Bruxelles) et en vue d’une programmation au festival (((INTERFERENCE_S))) 2024.

 

A l’heure où la création radiophonique transcende la seule diffusion hertzienne, le Centre entend ainsi contribuer à favoriser la recherche en écritures fictionnelles ayant vocation à se déployer en Cyberespace.

 

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Critères d'éligibilité

  • Auteur.ice attestant d’un ancrage en Fédération Wallonie-Bruxelles ; c’est à dire avoir un domicile ou siège social en Wallonie ou à Bruxelles
  • L’auteur.ice peut présenter au maximum deux projets
  • L’oeuvre doit être produite en français
  • Tous les genres sont admis dès lors qu’ils relèvent du champ fictionnel
  • Le podcast n’excèdera pas 20 minutes
  • Il ne pourra s’agir d’une oeuvre chorale, en raison des conditions techniques du studio, deux à trois voix seront envisageables
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A soumettre

  • Un dossier complet présentant dans l’ordre :
    • Une note d’intention
    • Une lettre de motivation
    • Un extrait du texte de la fiction ou un début de script (min 4.000 signes espaces compris)
    • Curriculum vitae de l’auteur.ice, ainsi que des partenaires avec lesquel.le.s il ou elle souhaite collaborer pour ce projet (comédien.ne.s, realisateur.rice.s, etc).
    • Un ou deux liens vers de précédentes créations audiovisuelles et/ou d’écritures
  • Les candidatures sont à envoyer exclusivement en version numérique à l’adresse suivante: c.henriet@cwb.fr
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Le projet sélectionné

  • Bénéficiera d’une bourse de 3.000 euros
  • Sera enregistré au sein du studio de l’ACSR (Bruxelles)
  • Sera programmé dans le cadre du festival (((INTERFERENCE_S))) en mai 2024
  • Sera diffusé sur radiola.be et Radio fractale (radio web du Centre)
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Agenda

  • Soumission des candidatures > 31 octobre 2023
  • Examen des dossiers > novembre 2023
  • Notification des résultats > décembre 2023
  • Les candidat.e.s non retenu.e.s seront avisé.e.s par courriel
  • Enregistrement du podcast en 2024 

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(c) WBDM
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Qu’est-ce que le Fashion Programme ?

Depuis 2017, Wallonie-Bruxelles Design Mode soutient les projets de mode déjà bien implantés sur le marché belge en leur donnant accès à des outils de développement adaptés à leurs besoins, à leurs ambitions internationales et à la réalité du marché.

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Quelles sont les aides?

En 2024, WBDM offre:

  • Une subvention-projet (de 10.000€ à 35.000€) à 4 entreprises actives dans la mode pour leur développement international. Cette aide doit servir à consolider un projet d’exportation déjà en voie de développement.
  • Un accompagnement personnalisé avec un·e coach professionnel·le permettant à 6 designers de parfaire leur stratégie de développement international (image, positionnement, communication, plan de collection, recherche de partenaires…), octroyé au travers de bourses de coaching de 4000€ HTVA.
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Eligibilité

Les marques qui peuvent bénéficier de nos aides doivent avoir leur siège social, une filiale ou une succursale en Wallonie ou à Bruxelles.

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Critères de sélection

Les critères peuvent varier en fonction de la subvention demandée et concernent:

  • le nombre de collections réalisées;
  • le nombre de points de vente en Belgique et à l’étranger;
  • la stratégie de développement à l’international;
  • la stratégie de communication;
  • l’équipe mise en place.

Une attention particulière sera portée aux efforts en matière de développement durable sans que ce soit un critère de sélection.

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Dates à retenir

  • 23.08.2023: séance d’information
  • 10.09.2023 : date limite d’envoi du dossier de candidature en ligne
  • 11.10.2023 : annonce des résultats de la présélection
  • 17.10.2023 : présentation devant le jury international pour les demandes des 4 subventions
  • 24.10.2023: présentation devant l’équipe de WBDM pour les demandes de coaching
  • 1.12.2023 – 30.11.2024: durée du programme
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Pour déposer votre candidature

  1. Lisez attentivement le règlement de participation.
  2. Complétez le formulaire de candidature en ligne et ajoutez-y les pièces jointes nécessaires.
  3. Date limite: le 10.09.2023 à minuit.
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Plus d'infos

Posez toutes vos questions lors de la séance d’infos le 23.08.2023 de 10h à 12h chez WBDM et en ligne.

Inscription gratuite mais obligatoire.

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Contacts

Aline Lermusieaux, +32 24218209.

 

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Qu’est-ce que le Fashion Programme ?

Depuis 2017, Wallonie-Bruxelles Design Mode soutient les projets de mode déjà bien implantés sur le marché belge en leur donnant accès à des outils de développement adaptés à leurs besoins, à leurs ambitions internationales et à la réalité du marché.

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Quelles sont les aides?

En 2024, WBDM offre:

  • Une subvention-projet (de 10.000€ à 35.000€) à 4 entreprises actives dans la mode pour leur développement international. Cette aide doit servir à consolider un projet d’exportation déjà en voie de développement.
  • Un accompagnement personnalisé avec un·e coach professionnel·le permettant à 6 designers de parfaire leur stratégie de développement international (image, positionnement, communication, plan de collection, recherche de partenaires…), octroyé au travers de bourses de coaching de 4000€ HTVA.
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  • le nombre de collections réalisées;
  • le nombre de points de vente en Belgique et à l’étranger;
  • la stratégie de développement à l’international;
  • la stratégie de communication;
  • l’équipe mise en place.

Une attention particulière sera portée aux efforts en matière de développement durable sans que ce soit un critère de sélection.

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Dates à retenir

  • 23.08.2023: séance d’information
  • 10.09.2023 : date limite d’envoi du dossier de candidature en ligne
  • 11.10.2023 : annonce des résultats de la présélection
  • 17.10.2023 : présentation devant le jury international pour les demandes des 4 subventions
  • 24.10.2023: présentation devant l’équipe de WBDM pour les demandes de coaching
  • 1.12.2023 – 30.11.2024: durée du programme
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Pour déposer votre candidature

  1. Lisez attentivement le règlement de participation.
  2. Complétez le formulaire de candidature en ligne et ajoutez-y les pièces jointes nécessaires.
  3. Date limite: le 10.09.2023 à minuit.
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Posez toutes vos questions lors de la séance d’infos le 23.08.2023 de 10h à 12h chez WBDM et en ligne.

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Contacts

Aline Lermusieaux, +32 24218209.

 

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La chanteuse Elia Rose © Mendori Production | Graphisme : Polygraph

Voyage dans l'intelligence artificielle de la Wallonie et de Bruxelles !

 

L’intelligence artificielle (IA pour les intimes) est un secteur auquel on ne peut plus échapper. En Wallonie et à Bruxelles, nous avons cette énorme chance d’avoir des chercheurs, des centres de recherche, des entreprises qui nous placent à la pointe du domaine. Mais comment faire pour y rester ? Eléments de réponse dans ce nouveau numéro de la Revue W+B.

 

Nous allons également découvrir la Mosa Ballet School, école internationale qui entend placer Liège et la Wallonie sur la carte du monde de la danse classique et contemporaine, le programme Discover EU qui permet aux jeunes de 18 ans de découvrir l’Europe en train, l’Abbaye de Maredsous qui fête ses 150 ans et l’entreprise de biotech TheraVet, pionnière dans le traitement des maladies ostéoarticulaires des animaux de compagnie.

 

Enfin, nous allons rencontrer la chanteuse Elia Rose, la créatrice de bijoux Aurore Havenne et Stéphan Plumat, qui prend une retraite bien méritée après une vie professionnelle dédiée à la coopération au développement de Wallonie-Bruxelles.

Au programme

  • Dossier : Intelligence artificielle : une terre fertile en recherche et en développement avec des chercheurs de pointe
  • Culture : Liège danse, dense !
  • Portrait : Ne pas être là où on l'attend, Elia Rose surprend !
  • Jeunesse : Roulez jeunesse
  • Coopération au développement : Stéphan Plumat : l'APEFE, l'histoire d'une vie
  • Tourisme : L'esprit est bien là
  • Mode : Aurore Havenne, la force de la simplicité
  • Entreprise : TheraVet, des produits vétérinaires wallons bientôt disponibles sur les cinq continents
  • Survols 

Vous souhaitez vous abonner gratuitement à la Revue W+B ? Rien de plus simple, inscrivez-vous en quelques secondes !

 

Voyage dans l'intelligence artificielle de la Wallonie et de Bruxelles !

 

L’intelligence artificielle (IA pour les intimes) est un secteur auquel on ne peut plus échapper. En Wallonie et à Bruxelles, nous avons cette énorme chance d’avoir des chercheurs, des centres de recherche, des entreprises qui nous placent à la pointe du domaine. Mais comment faire pour y rester ? Eléments de réponse dans ce nouveau numéro de la Revue W+B.

 

Nous allons également découvrir la Mosa Ballet School, école internationale qui entend placer Liège et la Wallonie sur la carte du monde de la danse classique et contemporaine, le programme Discover EU qui permet aux jeunes de 18 ans de découvrir l’Europe en train, l’Abbaye de Maredsous qui fête ses 150 ans et l’entreprise de biotech TheraVet, pionnière dans le traitement des maladies ostéoarticulaires des animaux de compagnie.

 

Enfin, nous allons rencontrer la chanteuse Elia Rose, la créatrice de bijoux Aurore Havenne et Stéphan Plumat, qui prend une retraite bien méritée après une vie professionnelle dédiée à la coopération au développement de Wallonie-Bruxelles.

Au programme

  • Dossier : Intelligence artificielle : une terre fertile en recherche et en développement avec des chercheurs de pointe
  • Culture : Liège danse, dense !
  • Portrait : Ne pas être là où on l'attend, Elia Rose surprend !
  • Jeunesse : Roulez jeunesse
  • Coopération au développement : Stéphan Plumat : l'APEFE, l'histoire d'une vie
  • Tourisme : L'esprit est bien là
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  • Entreprise : TheraVet, des produits vétérinaires wallons bientôt disponibles sur les cinq continents
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Documents liés

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(c) SCIVIAS

Scivias, la plateforme qui agit pour un secteur de la musique plus inclusif en Fédération Wallonie-Bruxelles vient de publier une étude sur la place des femmes et des minorités de genre dans les programmations de festivals estivaux. Dans la lignée des différents rapports publiés depuis 2019, Scivias poursuit son travail d’objectivation chiffrée de la présence des femmes et des personnes minorisées de genre dans le secteur de la musique en Fédération Wallonie-Bruxelles.

 

L'équipe de Scivias a compté les artistes à l'affiche de 36 festivals de l'été (dont Couleur Café, Les Ardentes, LaSemo, Dour festival, Les Francofolies de Spa, Dinant Jazz, Esperanzah!, Durbuy Rock, LaSemo, Gouvy Jazz & Blues Festival, Micro Festival, Ronquières, Gaume Jazz, Festival d'art de Huy, Les Solidarités). Et sans surprise, les femmes et les minorités de genre restent largement sous-représentées sur scène.

 

À l’instar du premier rapport sur les festivals publié en 2022, Scivias souhaite mettre en lumière l’inégal accès genré aux scènes musicales et encourager dans un même temps l’ensemble des professionnel·les à agir activement pour tendre vers une plus grande égalité. Vous pouvez désormais en découvrir les principaux enseignements dans le rapport 2023.

 

Sources: Wallonie-Bruxelles Musiques (WBM) et Scivias.

Scivias, la plateforme qui agit pour un secteur de la musique plus inclusif en Fédération Wallonie-Bruxelles vient de publier une étude sur la place des femmes et des minorités de genre dans les programmations de festivals estivaux. Dans la lignée des différents rapports publiés depuis 2019, Scivias poursuit son travail d’objectivation chiffrée de la présence des femmes et des personnes minorisées de genre dans le secteur de la musique en Fédération Wallonie-Bruxelles.

 

L'équipe de Scivias a compté les artistes à l'affiche de 36 festivals de l'été (dont Couleur Café, Les Ardentes, LaSemo, Dour festival, Les Francofolies de Spa, Dinant Jazz, Esperanzah!, Durbuy Rock, LaSemo, Gouvy Jazz & Blues Festival, Micro Festival, Ronquières, Gaume Jazz, Festival d'art de Huy, Les Solidarités). Et sans surprise, les femmes et les minorités de genre restent largement sous-représentées sur scène.

 

À l’instar du premier rapport sur les festivals publié en 2022, Scivias souhaite mettre en lumière l’inégal accès genré aux scènes musicales et encourager dans un même temps l’ensemble des professionnel·les à agir activement pour tendre vers une plus grande égalité. Vous pouvez désormais en découvrir les principaux enseignements dans le rapport 2023.

 

Sources: Wallonie-Bruxelles Musiques (WBM) et Scivias.

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La chanteuse Elia Rose © Mendori Production | Graphisme : Polygraph

Voyage dans l'intelligence artificielle de la Wallonie et de Bruxelles

L’intelligence artificielle (IA pour les intimes) est un secteur auquel on ne peut plus échapper. En Wallonie et à Bruxelles, nous avons cette énorme chance d’avoir des chercheurs, des centres de recherche, des entreprises qui nous placent à la pointe du domaine. Mais comment faire pour y rester ? Eléments de réponse dans ce nouveau numéro de la Revue W+B.

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Enfin, nous allons rencontrer la chanteuse Elia Rose, la créatrice de bijoux Aurore Havenne et Stéphan Plumat, qui prend une retraite bien méritée après une vie professionnelle dédiée à la coopération au développement de Wallonie-Bruxelles.

Au programme

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  • Portrait : Ne pas être là où on l'attend, Elia Rose surprend !
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