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15/03/2023
Couverture de Passer au sud en vietnamien

Dans le cadre de la célébration de la Journée internationale de la Francophonie 2023, la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam, en collaboration avec la compagnie vietnamienne de promotion de coopération culturelle et de communication Sao Bac-Média, publie en vietnamien le livre Passer au Sud de Jean-Pierre Outers.

 

La Délégation invite par ailleurs l’auteur à effectuer une mission au Vietnam pour rencontrer des lectrices et les lecteurs, des étudiantes et des étudiantts ainsi que des professionnelles et des professionnels du secteur du livre.

 

« Le voyage, le vrai, est toujours une histoire de chemins, où nous perdons forcément pieds. Mais que faire pour s’y retrouver, tâcher de comprendre l’Autre, toujours inaccessible? Pays renaissant, le Vietnam est en pleine mutation, saisi entre des traditions millénaires et une modernité échevelée. Passer au Sud résulte d’un postulat original, audacieux : un pays est à l’image de sa circulation. À partir de ce fil conducteur sérieux et léger se dessine peu à peu le tableau inédit d’un pays séduisant, loin des clichés du tourisme. Ni guide, ni récit, ni essai, ni fiction, ce livre inclassable est décidément tout à la fois. C’est que nous sommes précisément au cœur du voyage, et comme le Vietnam lui-même, à la croisée des chemins, lieu idéal pour s’ouvrir à de nouvelles voies ».

 

Jean-Pierre Outers est né près de Liège le 17 septembre 1953. Durant une trentaine d’années, il a travaillé dans différentes régions du monde dans le cadre de la coopération au développement. Il a déjà publiés: La tête ailleurs, Un Voyage à l'envers, À bicyclette-Petites histoires en équilibre.

 

AU PROGRAMME

 

HANOI:
 

-18/03/2023, 10h00: Rencontre et dédicace à la Bibliothèque nationale du Vietnam, 31 Trang Thi

-20/03/2023, 09h30: Débat avec les étudiants du Département de Français de l’Université de Hanoi, km9 Nguyen Trai

-21/03/2023, 09h30: Rencontre avec les étudiants du Département de Français de l’Université  de Langues et d’Etudes internationales-Université nationale du Vietnam à Hanoi, Route Pham Van Dong

-21/03/2023, 14h00: Échange avec les membres du Club de Français du Département de Français de l’Université  de Langues et d’Etudes internationales-Université nationale du Vietnam à Hanoi, Route Pham Van Dong

-22/03/2023,  14h00: Colloque avec les étudiants du Département de Lettres de l’Université des Sciences sociales et humaines-Université nationale du Vietnam à Hanoi

 

HUE:

 

23/03/2023, 09h00: Atelier avec les étudiants du Département de Français et de Russe de l’Université de Langues étrangère-Université de Hue

 

HOCHIMINH-VILLE:

 

-24/03/2023, 09h30: Échange avec les étudiants du Département de Français de l’Université d’Education de Hochiminh-ville

- 24/03/2023, 15h00: Colloque avec les étudiants du Département de Lettres de l’Université des Sciences sociales et humaines-Université nationale du Vietnam à Hochiminh-ville

 

 

Pour plus d’informations:

Le Tuyet Nhung - Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam

Centre DAEHA (5ème étage – # 505)/ 360 Kim Ma, Ba Dinh, Hanoi

Tél : (024) 3 831.52.41 / GSM : 09 04 20 79 89 - Courriel : nhungwb@walbruvietnam.org

 

 

 

 

 

Dans le cadre de la célébration de la Journée internationale de la Francophonie 2023, la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam, en collaboration avec la compagnie vietnamienne de promotion de coopération culturelle et de communication Sao Bac-Média, publie en vietnamien le livre Passer au Sud de Jean-Pierre Outers.

 

La Délégation invite par ailleurs l’auteur à effectuer une mission au Vietnam pour rencontrer des lectrices et les lecteurs, des étudiantes et des étudiantts ainsi que des professionnelles et des professionnels du secteur du livre.

 

« Le voyage, le vrai, est toujours une histoire de chemins, où nous perdons forcément pieds. Mais que faire pour s’y retrouver, tâcher de comprendre l’Autre, toujours inaccessible? Pays renaissant, le Vietnam est en pleine mutation, saisi entre des traditions millénaires et une modernité échevelée. Passer au Sud résulte d’un postulat original, audacieux : un pays est à l’image de sa circulation. À partir de ce fil conducteur sérieux et léger se dessine peu à peu le tableau inédit d’un pays séduisant, loin des clichés du tourisme. Ni guide, ni récit, ni essai, ni fiction, ce livre inclassable est décidément tout à la fois. C’est que nous sommes précisément au cœur du voyage, et comme le Vietnam lui-même, à la croisée des chemins, lieu idéal pour s’ouvrir à de nouvelles voies ».

 

Jean-Pierre Outers est né près de Liège le 17 septembre 1953. Durant une trentaine d’années, il a travaillé dans différentes régions du monde dans le cadre de la coopération au développement. Il a déjà publiés: La tête ailleurs, Un Voyage à l'envers, À bicyclette-Petites histoires en équilibre.

 

AU PROGRAMME

 

HANOI:
 

-18/03/2023, 10h00: Rencontre et dédicace à la Bibliothèque nationale du Vietnam, 31 Trang Thi

-20/03/2023, 09h30: Débat avec les étudiants du Département de Français de l’Université de Hanoi, km9 Nguyen Trai

-21/03/2023, 09h30: Rencontre avec les étudiants du Département de Français de l’Université  de Langues et d’Etudes internationales-Université nationale du Vietnam à Hanoi, Route Pham Van Dong

-21/03/2023, 14h00: Échange avec les membres du Club de Français du Département de Français de l’Université  de Langues et d’Etudes internationales-Université nationale du Vietnam à Hanoi, Route Pham Van Dong

-22/03/2023,  14h00: Colloque avec les étudiants du Département de Lettres de l’Université des Sciences sociales et humaines-Université nationale du Vietnam à Hanoi

 

HUE:

 

23/03/2023, 09h00: Atelier avec les étudiants du Département de Français et de Russe de l’Université de Langues étrangère-Université de Hue

 

HOCHIMINH-VILLE:

 

-24/03/2023, 09h30: Échange avec les étudiants du Département de Français de l’Université d’Education de Hochiminh-ville

- 24/03/2023, 15h00: Colloque avec les étudiants du Département de Lettres de l’Université des Sciences sociales et humaines-Université nationale du Vietnam à Hochiminh-ville

 

 

Pour plus d’informations:

Le Tuyet Nhung - Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam

Centre DAEHA (5ème étage – # 505)/ 360 Kim Ma, Ba Dinh, Hanoi

Tél : (024) 3 831.52.41 / GSM : 09 04 20 79 89 - Courriel : nhungwb@walbruvietnam.org

 

 

 

 

 

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14/03/2023
(c) Daily Science

À Mons, cependant, les recherches menées chez Multitel le démontrent aisément. « Depuis 2018, les chercheurs de ce Centre de recherche wallon spécialisé en technologies de l’information, travaillent à la mise au point d’un système de capture du mouvement performant », indique Jean-Yves Parfait, le responsable des projets en intelligence artificielle.

 

«Au départ, il s’agissait d’un projet développé en collaboration par une entreprise wallonne qui souhaitait vérifier s’il était possible de surveiller à domicile des patients parkinsoniens au moyen de caméras suivant en continu leurs comportements», explique le polytechnicien de l’UMons. «Depuis, nous l’avons adapté au secteur équin. Et plus globalement, à la médecine vétérinaire».

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Surveillance des patients à domicile

La première étude menée par Multitel visait à déterminer dans quelle mesure un système de surveillance visuel des patients, doublé d’une intelligence artificielle, pouvait s’avérer pertinent pour détecter l’évolution de leur pathologie. Il s’agissait aussi d’identifier les technologies les plus simples à utiliser et les types de capteurs à mettre en œuvre pour arriver à cette solution.

 

« Cette étude a notamment montré qu’il était possible d’effectuer le suivi de Parkinsoniens à domicile, avec des caméras classiques, sans que cela implique la pose de capteurs spécifiques sur la personne », explique l’ingénieur en électronique, spécialiste du traitement du signal. « De quoi pouvoir détecter des symptômes moteurs trahissant une évolution de la maladie entre deux visites chez le neurologue, par exemple une dégradation de l’amplitude ou de la vitesse des mouvements du patient.»

 

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Animaux de laboratoire et médecine vétérinaire

À la suite de ce premier succès, l’équipe de Multitel s’est lancée dans un projet complémentaire, concernant cette fois le monde animal.

 

«Nous avons pu montrer tout récemment, grâce à une collaboration menée sur fonds propres avec l’université américaine Texas A&M, que notre technologie pouvait parfaitement réaliser des captures de mouvements chez des rongeurs utilisés en laboratoire », reprend le chercheur. « Il est, en effet, intéressant d’observer leurs comportements lors de diverses phases d’une expérience. Cela peut apporter une série d’informations complémentaires utiles aux scientifiques.»

 

Le nouveau projet de Multitel s’intitule « Pegase ». Il concerne cette fois le monde équin. Ceci explique la participation du responsable du département « Intelligence Artificielle » du Centre de recherche agréé wallon à une vaste mission scientifique organisée en février 2023 en Scandinavie sur la thématique du cheval, par le service Recherche et Innovation de Wallonie-Bruxelles International .

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Maîtriser la chaîne complète de traitement des informations

Certes, le suivi d’animaux au moyen d’un simple smartphone et sans doter les sujets de capteurs spécifiques, est possible. L’étude réalisée avec Texas A&M l’a montrée. Avec Pegase, il s’agit de pouvoir s’assurer que la détection de problèmes, comme des cas de boiterie, peut se faire via une meilleure gestion des flux d’images livrés par le système de surveillance, via un algorithme de notation semi-automatique des images.

 

«Classiquement, quand on surveille à distance des animaux par un ensemble de caméras, cela nécessite que quelqu’un regarde les images en continu afin d’identifier un comportement inhabituel», repend Jean-Yves Parfait, dont le Centre de recherche fait partie de l’Institut wallon Trail, regroupant les acteurs de l’IA en Wallonie, qui participait également à la mission scientifique de WBI en Scandinavie.

 

«Visionner en continu ces images est long et fastidieux. Sur de longues périodes, cela devient très vite impayable, voire impossible », dit le chercheur. « D’où le recours à l’intelligence artificielle pour assurer cette détection.»

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Améliorer la portabilité des systèmes

« En intelligence artificielle, l’annotation des images est un point bloquant », détaille l’ingénieur. «Dans un système de ce type, il faut pouvoir annoter plusieurs milliers, voire plusieurs dizaines de milliers d’images prenant en compte à chaque fois différents points du squelette afin de détecter une situation spécifique. Cela devient rapidement ingérable concernant la gestion des données. La solution passe par le développement d’une solution qui ne nécessite que quelques centaines d’images à traiter pour obtenir le résultat escompté. Cela permet de suivre en continu le comportement d’animaux dans des étables ou des écuries.»

 

Le souci auquel est aujourd’hui confronté l’ingénieur concerne la portabilité de ce système. Les tests et les validations acquises jusqu’à présent l’ont été dans des salles d’expérience de Multitel. Il faut à présent rendre ce système mobile, afin de pouvoir l’utiliser dans des étables, des écuries, etc. Mais aussi améliorer ses capacités, notamment afin de lui permettre de faire des acquisitions en images infrarouges en même temps que des observations dans le domaine visible. Ceci, afin de pouvoir mener des observations en continu, y compris de nuit. Bref en étant le plus flexible possible.

 

À Oslo puis à Uppsala, Jean-Yves Parfait a multiplié les contacts avec les scientifiques belges et scandinaves. Son but: identifier d’autres cas d’applications potentielles pour Pegase. Mais aussi identifier d’éventuels partenaires pour ce projet et sa commercialisation. Multitel ne commercialise pas directement les solutions qu’il développe. Cela passe nécessairement par des partenariats.

 

Source: article de Christian Du Brulle pour Daily Science

 

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À Mons, cependant, les recherches menées chez Multitel le démontrent aisément. « Depuis 2018, les chercheurs de ce Centre de recherche wallon spécialisé en technologies de l’information, travaillent à la mise au point d’un système de capture du mouvement performant », indique Jean-Yves Parfait, le responsable des projets en intelligence artificielle.

 

«Au départ, il s’agissait d’un projet développé en collaboration par une entreprise wallonne qui souhaitait vérifier s’il était possible de surveiller à domicile des patients parkinsoniens au moyen de caméras suivant en continu leurs comportements», explique le polytechnicien de l’UMons. «Depuis, nous l’avons adapté au secteur équin. Et plus globalement, à la médecine vétérinaire».

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Surveillance des patients à domicile

La première étude menée par Multitel visait à déterminer dans quelle mesure un système de surveillance visuel des patients, doublé d’une intelligence artificielle, pouvait s’avérer pertinent pour détecter l’évolution de leur pathologie. Il s’agissait aussi d’identifier les technologies les plus simples à utiliser et les types de capteurs à mettre en œuvre pour arriver à cette solution.

 

« Cette étude a notamment montré qu’il était possible d’effectuer le suivi de Parkinsoniens à domicile, avec des caméras classiques, sans que cela implique la pose de capteurs spécifiques sur la personne », explique l’ingénieur en électronique, spécialiste du traitement du signal. « De quoi pouvoir détecter des symptômes moteurs trahissant une évolution de la maladie entre deux visites chez le neurologue, par exemple une dégradation de l’amplitude ou de la vitesse des mouvements du patient.»

 

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Animaux de laboratoire et médecine vétérinaire

À la suite de ce premier succès, l’équipe de Multitel s’est lancée dans un projet complémentaire, concernant cette fois le monde animal.

 

«Nous avons pu montrer tout récemment, grâce à une collaboration menée sur fonds propres avec l’université américaine Texas A&M, que notre technologie pouvait parfaitement réaliser des captures de mouvements chez des rongeurs utilisés en laboratoire », reprend le chercheur. « Il est, en effet, intéressant d’observer leurs comportements lors de diverses phases d’une expérience. Cela peut apporter une série d’informations complémentaires utiles aux scientifiques.»

 

Le nouveau projet de Multitel s’intitule « Pegase ». Il concerne cette fois le monde équin. Ceci explique la participation du responsable du département « Intelligence Artificielle » du Centre de recherche agréé wallon à une vaste mission scientifique organisée en février 2023 en Scandinavie sur la thématique du cheval, par le service Recherche et Innovation de Wallonie-Bruxelles International .

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Maîtriser la chaîne complète de traitement des informations

Certes, le suivi d’animaux au moyen d’un simple smartphone et sans doter les sujets de capteurs spécifiques, est possible. L’étude réalisée avec Texas A&M l’a montrée. Avec Pegase, il s’agit de pouvoir s’assurer que la détection de problèmes, comme des cas de boiterie, peut se faire via une meilleure gestion des flux d’images livrés par le système de surveillance, via un algorithme de notation semi-automatique des images.

 

«Classiquement, quand on surveille à distance des animaux par un ensemble de caméras, cela nécessite que quelqu’un regarde les images en continu afin d’identifier un comportement inhabituel», repend Jean-Yves Parfait, dont le Centre de recherche fait partie de l’Institut wallon Trail, regroupant les acteurs de l’IA en Wallonie, qui participait également à la mission scientifique de WBI en Scandinavie.

 

«Visionner en continu ces images est long et fastidieux. Sur de longues périodes, cela devient très vite impayable, voire impossible », dit le chercheur. « D’où le recours à l’intelligence artificielle pour assurer cette détection.»

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Améliorer la portabilité des systèmes

« En intelligence artificielle, l’annotation des images est un point bloquant », détaille l’ingénieur. «Dans un système de ce type, il faut pouvoir annoter plusieurs milliers, voire plusieurs dizaines de milliers d’images prenant en compte à chaque fois différents points du squelette afin de détecter une situation spécifique. Cela devient rapidement ingérable concernant la gestion des données. La solution passe par le développement d’une solution qui ne nécessite que quelques centaines d’images à traiter pour obtenir le résultat escompté. Cela permet de suivre en continu le comportement d’animaux dans des étables ou des écuries.»

 

Le souci auquel est aujourd’hui confronté l’ingénieur concerne la portabilité de ce système. Les tests et les validations acquises jusqu’à présent l’ont été dans des salles d’expérience de Multitel. Il faut à présent rendre ce système mobile, afin de pouvoir l’utiliser dans des étables, des écuries, etc. Mais aussi améliorer ses capacités, notamment afin de lui permettre de faire des acquisitions en images infrarouges en même temps que des observations dans le domaine visible. Ceci, afin de pouvoir mener des observations en continu, y compris de nuit. Bref en étant le plus flexible possible.

 

À Oslo puis à Uppsala, Jean-Yves Parfait a multiplié les contacts avec les scientifiques belges et scandinaves. Son but: identifier d’autres cas d’applications potentielles pour Pegase. Mais aussi identifier d’éventuels partenaires pour ce projet et sa commercialisation. Multitel ne commercialise pas directement les solutions qu’il développe. Cela passe nécessairement par des partenariats.

 

Source: article de Christian Du Brulle pour Daily Science

 

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13/03/2023
Affiche de Hadir Jallali, École Supérieure des Arts Saint-Luc Liège

Petits et grands sont invités à jouer avec la langue en s'appropriant le thème du « temps » à travers un programme riche et varié ! 

 

L’opération La Langue française en fête, qui s’articule autour du 20 mars, Journée internationale de la Francophonie, offre un moment de créativité à tous les amoureux de la langue française. De multiples activités ludiques, conviviales et inventives sont proposées aux publics de tous âges, un peu partout en Fédération Wallonie-Bruxelles. Le but est de rappeler à l’ensemble des citoyennes et citoyens que les mots leur appartiennent et qu’ils peuvent donner libre cours à leur imagination à travers eux.

 

Comme chaque année, les membres du Réseau Opale (Belgique, France, Suisse, Québec et Organisation Internationale de la Francophonie) ont choisi dix mots pour célébrer la langue française. En 2023, les mots année-lumière, avant-jour, dare-dare, déjà-vu, hivernage, lambiner, plus-que-parfait, rythmer, synchrone, tic-tac sont mis à l’honneur autour du slogan « Dis-moi dix mots à tous les temps ».

 

En Wallonie et à Bruxelles, un programme varié a été concocté en vue de surprendre petits et grands: ateliers d’écriture, exposition sonore, cuisine poétique, ateliers participatifs de typographie, un festival de « contes au salon », concerts, scène ouverte de slam, passer une nuit japonaise à la bibliothèque… et la liste ne s’arrête pas là !

 

Découvrez la programmation complète.

 

Petits et grands sont invités à jouer avec la langue en s'appropriant le thème du « temps » à travers un programme riche et varié ! 

 

L’opération La Langue française en fête, qui s’articule autour du 20 mars, Journée internationale de la Francophonie, offre un moment de créativité à tous les amoureux de la langue française. De multiples activités ludiques, conviviales et inventives sont proposées aux publics de tous âges, un peu partout en Fédération Wallonie-Bruxelles. Le but est de rappeler à l’ensemble des citoyennes et citoyens que les mots leur appartiennent et qu’ils peuvent donner libre cours à leur imagination à travers eux.

 

Comme chaque année, les membres du Réseau Opale (Belgique, France, Suisse, Québec et Organisation Internationale de la Francophonie) ont choisi dix mots pour célébrer la langue française. En 2023, les mots année-lumière, avant-jour, dare-dare, déjà-vu, hivernage, lambiner, plus-que-parfait, rythmer, synchrone, tic-tac sont mis à l’honneur autour du slogan « Dis-moi dix mots à tous les temps ».

 

En Wallonie et à Bruxelles, un programme varié a été concocté en vue de surprendre petits et grands: ateliers d’écriture, exposition sonore, cuisine poétique, ateliers participatifs de typographie, un festival de « contes au salon », concerts, scène ouverte de slam, passer une nuit japonaise à la bibliothèque… et la liste ne s’arrête pas là !

 

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09/03/2023
L’équipe d’Astragales sur scène pour Kiss and Cry (c) DGWB Chili

Pour cette édition anniversaire, nos artistes francophones belges étaient bien représentés. Tout d’abord, par une présence digitale sur la plateforme en ligne du festival, teatroamil.tv à travers les pièces Marche Salope de Céline Chariot et le théâtre d’ombres pour enfants Omelette de la compagnie Clair de lune qui ont été mises à disposition du public pendant plusieurs semaines.

 

Ensuite, à l’occasion de la semaine de programmateurs, Céline Chariot et Jean-Louis Colinet, directeur du Festival de Liège, se sont rendus au Festival Teatro a Mil, témoignant de leur intérêt pour cet évènement. Des nouvelles collaborations ont pu voir le jour grâce à ces visites, notamment un projet photographique de Céline Chariot, qui sera exposé à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes. 

 

Wallonie-Bruxelles Théâtre Danse, notre agence de promotion des arts de la scène, était également de la partie pour participer à la semaine de programmateurs du festival, platea 23 ; mais aussi afin de rencontrer une série d’opérateurs locaux du monde du théâtre et du cirque souhaitant partir en prospection en Fédération Wallonie-Bruxelles.

 

Quant aux représentations en présentiel, le public chilien et international a pu durant 4 dates apprécier la pièce interprétée par David Murgia, Discours à la nation au centre culturel Gabriela Mistral. Ce monologue invitant les spectateurs dans un monde engagé, peuplé de personnages attachants, de violences et poésie, a suscité énormément d’intérêt des participants locaux et internationaux.

 

Plus tard durant la première semaine du mois de mars, en clôture du festival, « Kiss&Cry » a conquis, dix ans après sa première présentation au Chili, une nouvelle fois les salles. Durant quatre représentations au Théâtre Municipal de las Condes, cette création vivante de Jaco Van Dormael et Michèle Anne de Mey a à nouveau bousculé les frontières de toutes les disciplines artistiques, mélangeant à la fois le cinéma, la danse, le texte, le théâtre.

Notre Délégation et nos partenaires culturels de Wallonie Bruxelles ont durant toutes ces semaines pu récolter les fruits d’une belle coopération avec les organisateurs et ainsi valoriser la convention signée en décembre dernier avec le Festival.

Pour cette édition anniversaire, nos artistes francophones belges étaient bien représentés. Tout d’abord, par une présence digitale sur la plateforme en ligne du festival, teatroamil.tv à travers les pièces Marche Salope de Céline Chariot et le théâtre d’ombres pour enfants Omelette de la compagnie Clair de lune qui ont été mises à disposition du public pendant plusieurs semaines.

 

Ensuite, à l’occasion de la semaine de programmateurs, Céline Chariot et Jean-Louis Colinet, directeur du Festival de Liège, se sont rendus au Festival Teatro a Mil, témoignant de leur intérêt pour cet évènement. Des nouvelles collaborations ont pu voir le jour grâce à ces visites, notamment un projet photographique de Céline Chariot, qui sera exposé à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes. 

 

Wallonie-Bruxelles Théâtre Danse, notre agence de promotion des arts de la scène, était également de la partie pour participer à la semaine de programmateurs du festival, platea 23 ; mais aussi afin de rencontrer une série d’opérateurs locaux du monde du théâtre et du cirque souhaitant partir en prospection en Fédération Wallonie-Bruxelles.

 

Quant aux représentations en présentiel, le public chilien et international a pu durant 4 dates apprécier la pièce interprétée par David Murgia, Discours à la nation au centre culturel Gabriela Mistral. Ce monologue invitant les spectateurs dans un monde engagé, peuplé de personnages attachants, de violences et poésie, a suscité énormément d’intérêt des participants locaux et internationaux.

 

Plus tard durant la première semaine du mois de mars, en clôture du festival, « Kiss&Cry » a conquis, dix ans après sa première présentation au Chili, une nouvelle fois les salles. Durant quatre représentations au Théâtre Municipal de las Condes, cette création vivante de Jaco Van Dormael et Michèle Anne de Mey a à nouveau bousculé les frontières de toutes les disciplines artistiques, mélangeant à la fois le cinéma, la danse, le texte, le théâtre.

Notre Délégation et nos partenaires culturels de Wallonie Bruxelles ont durant toutes ces semaines pu récolter les fruits d’une belle coopération avec les organisateurs et ainsi valoriser la convention signée en décembre dernier avec le Festival.

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09/03/2023
Les Belges Histoires | Maison Éole

A 44 ans, Anne-Sophie Charle décide donc de passer du monde « dur » de la politique à la « légèreté » de l’univers cosmétique. Enfin légèreté, entendons-nous: pour cette fille de pharmacienne, il est hors de question de se lancer sans pouvoir revendiquer une réelle efficacité. Elle sélectionne dans le vignoble des produits à analyser: feuilles, sarments et lie puis les envoie au CeREF Santé, entre autres, afin de découvrir s’ils recèlent des actifs utilisables.  Et c’est le cas: les sarments de la vigne contiennent un polyphénol 5 à 10 fois plus efficace que ce que l’on peut trouver sur le marché cosmétique à l’époque. 

 

Mais les valeurs d’Anne Sophie Charle la poussent plus loin. Les produits, végans et 100% naturels, sont aussi - excepté pour le parfum - 100 % belges: « En tant qu’entrepreneur, on a une responsabilité de valoriser les savoir-faire à côté de chez nous. » Ils sont aussi écoresponsables: « Je voulais inciter le consommateur à consommer la cosmétique autrement. » Quant au packaging, pensé avec le designer Charles Kaisin, il est réutilisable: les flacons en verre sont emballés dans de jolis coffrets en bois qui peuvent être utilisés à d’autres fins. 

 

Anne-Sophie Charle rejoint aussi ses valeurs familiales en choisissant de vendre Maison Éole en pharmacie. Séduits par les recherches scientifiques qui ont présidé à la création des produits, leur efficacité, mais aussi, par leur origine belge, 140 points de vente ont déjà accepté de la distribuer. Nous sommes fin 2022. Maison Éole a déployé ses ailes, on ne peut que lui souhaiter bon vent. 

 

Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de Wallonie-Bruxelles International

 

 

En savoir plus

Le site officiel de Maison Éole

La page Facebook de Maison Éole

 

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Les Belges Histoires - Les talents de Wallonie-Bruxelles

WBI, en partenariat avec la RTBF, vous propose de découvrir les portraits de belges francophones qui font rayonner Wallonie-Bruxelles.

Découvrez la série de portraits :

>> Les Belges Histoires

 

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Nos aides et services

Wallonie-Bruxelles International vous aide à développer vos projets à l’international avec des formations, des coachings, des missions de prospections, des aides financières…

>> Aides & services

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A 44 ans, Anne-Sophie Charle décide donc de passer du monde « dur » de la politique à la « légèreté » de l’univers cosmétique. Enfin légèreté, entendons-nous: pour cette fille de pharmacienne, il est hors de question de se lancer sans pouvoir revendiquer une réelle efficacité. Elle sélectionne dans le vignoble des produits à analyser: feuilles, sarments et lie puis les envoie au CeREF Santé, entre autres, afin de découvrir s’ils recèlent des actifs utilisables.  Et c’est le cas: les sarments de la vigne contiennent un polyphénol 5 à 10 fois plus efficace que ce que l’on peut trouver sur le marché cosmétique à l’époque. 

 

Mais les valeurs d’Anne Sophie Charle la poussent plus loin. Les produits, végans et 100% naturels, sont aussi - excepté pour le parfum - 100 % belges: « En tant qu’entrepreneur, on a une responsabilité de valoriser les savoir-faire à côté de chez nous. » Ils sont aussi écoresponsables: « Je voulais inciter le consommateur à consommer la cosmétique autrement. » Quant au packaging, pensé avec le designer Charles Kaisin, il est réutilisable: les flacons en verre sont emballés dans de jolis coffrets en bois qui peuvent être utilisés à d’autres fins. 

 

Anne-Sophie Charle rejoint aussi ses valeurs familiales en choisissant de vendre Maison Éole en pharmacie. Séduits par les recherches scientifiques qui ont présidé à la création des produits, leur efficacité, mais aussi, par leur origine belge, 140 points de vente ont déjà accepté de la distribuer. Nous sommes fin 2022. Maison Éole a déployé ses ailes, on ne peut que lui souhaiter bon vent. 

 

Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de Wallonie-Bruxelles International

 

 

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08/03/2023
La Citadelle et la Collégiale Notre-Dame de Dinant © WBT – Anibal Trejo

Rencontre avec Pierre Coenegrachts, Directeur général adjoint de VISITWallonia.

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Pouvez-vous nous rappeler brièvement le rôle de VISITWallonia ?

Cela fait 40 ans maintenant que notre organisme met son expertise au service de la promotion du tourisme à l’étranger. Aujourd’hui, nous marquons un virage important. VISITWallonia, cette marque forte, née pendant la période Covid et déjà largement véhiculée via notre site web et de larges campagnes de presse, devient le nouveau nom de l’asbl Wallonie Belgique Tourisme. C’est une évolution marquante pour l’avenir, et ce dans une logique d’appellation unique partagée par de nombreux acteurs du secteur.

 

Pour rappel, nos marchés prioritaires sont la Belgique francophone et néerlandophone, les Pays-Bas, la France, l’Allemagne, le Royaume Uni et l’Italie. D’autres actions sont menées, sur ces marchés et d’autres, en synergie avec l’Agence Wallonne à l’Exportation (AWEX) et Wallonie-Bruxelles International (WBI). Non seulement nous partageons les mêmes locaux à l’étranger dans plusieurs pays mais nous organisons également des événements ponctuels sur d’autres marchés. A titre d’exemple, nous étions présents ensemble, VISITWallonia, AWEX et WBI, en novembre 2021 sur le Pavillon belge de l’Exposition universelle à Dubaï pour la Semaine wallonne.

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Quelle est votre histoire et quelles sont les évolutions marquantes des politiques et actions menées au fil de ces dernières décennies ?

Notre parcours a été jalonné de grandes étapes qui ont suivi les changements de politique institutionnelle belge. Tout commence en 1982, année de la création de l’Office de Promotion du Tourisme de Wallonie et de Bruxelles (OPT) par la Communauté française. Les missions définies de cette jeune fondation d’utilité publique étaient de s’occuper tant du tourisme de loisirs que du tourisme d’affaires. Nous avions à l’époque des bureaux dans une vingtaine de pays considérés comme des marchés porteurs où nous étions présents conjointement avec la communauté flamande. Nous travaillions alors en lien étroit avec la Sabena, notre compagnie nationale. En 1994, nouvelle étape : la gestion du tourisme francophone est déléguée conjointement à la Région wallonne et à la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles Capitale.

 

Ensuite en 2007, s’opère un changement important avec la création d’une asbl dont l’assemblée générale est largement ouverte au secteur privé. L’idée est de créer des synergies entre opérateurs publics et privés dans un esprit de coopération et d’investissements partagés, avec l’objectif de toucher de nouveaux marchés et publics cibles. C’est l’époque où naissent les Clubs de Promotion qui sont encore bien présents. En 2011, nous changeons de patronyme pour devenir Wallonie Bruxelles Tourisme asbl, nouvelle étape.

 

Enfin, en 2017 (en lien avec la 6e Réforme de l’Etat), nous devenons Wallonie Belgique Tourisme asbl et, si notre siège social demeure à Bruxelles, notre siège opérationnel déménage vers Namur. Aujourd’hui, nos trois régions sont maîtresses de leur promotion touristique et nos campagnes sont principalement orchestrées en fonction de critères économiques, mêmes si les critères culturels sont toujours aussi présents. En effet, le tourisme se révèle être un marché porteur, générateur de plus de 85.000 emplois en Wallonie, majoritairement non délocalisables, et représente près de 4,1 % du Produit Intérieur Brut wallon (PIB).

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Quelles sont actuellement les lignes de force de cette promotion et la stratégie pour renforcer notre image touristique dans et hors de nos frontières ?

Le secteur se professionnalise très rapidement. Nous avons travaillé pour renforcer d’une part l’accueil linguistique, et d’autre part la digitalisation de nos partenaires opérateurs touristiques et la mise en ligne des offres de séjours et d’excursions via le site www.VISITWallonia.be. De nos jours, tout se réserve essentiellement en ligne et le travail de promotion digitale évolue sans cesse. Nous ciblons par exemple aussi les bloggeurs et influenceurs qui sont très suivis, la nature de notre travail change et cela demande aussi beaucoup de souplesse et d’adaptabilité.

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Y a-t-il eu des campagnes de promotion qui vous ont marqué des années 80 jusqu’à aujourd’hui ?

Au départ, les campagnes étaient essentiellement nationales. Par exemple, « Belgium, the surprise package of Europe », une campagne menée avec la Sabena dans les années 80, visait le public anglo- saxon et particulièrement américain intéressé plutôt par un tourisme de city trips ou encore de mémoire. En 2019, nous avons mené une campagne, en coordination avec ETC (European Travel Commission), autour du Slow tourisme en partenariat étroit avec le Grand Est français et le Grand-Duché de Luxembourg. Son fil rouge invitait les publics à prendre le temps de découvrir un autre visage de l’Europe. L’écotourisme continue de progresser et l’offre s’étoffe. Nous avons par exemple participé au développement, en 2021, de l’application « CIRKWI » qui connait un franc succès. Celle- ci reprend une large offre de randonnées pédestres et de circuits à vélo à travers la Wallonie et la Belgique.

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Et demain, comment se profilera la demande ? Quelle évolution voyez-vous apparaître ?

Le travail de promotion se décline déjà davantage autour d’une offre saisonnière, ce qui permet de  découvrir la Wallonie douze mois par an. Les rythmes de congés scolaires et la crise énergétique auront un impact à court et moyen terme et feront évoluer les comportements. Le message que nous souhaitons faire passer est que la Wallonie possède de nombreux atouts. Depuis la crise de la Covid, les publics belges et des pays limitrophes ont redécouvert la richesse de notre patrimoine et les séjours courts à proximité séduisent toujours plus.
Partir en vacances en Wallonie, ce n’est pas un plan B mais un vrai choix assumé !

 

Par Emmanuelle Dejaiffe

 

Cet article est issu de la Revue W+B n°158.
 

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Rencontre avec Pierre Coenegrachts, Directeur général adjoint de VISITWallonia.

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Pouvez-vous nous rappeler brièvement le rôle de VISITWallonia ?

Cela fait 40 ans maintenant que notre organisme met son expertise au service de la promotion du tourisme à l’étranger. Aujourd’hui, nous marquons un virage important. VISITWallonia, cette marque forte, née pendant la période Covid et déjà largement véhiculée via notre site web et de larges campagnes de presse, devient le nouveau nom de l’asbl Wallonie Belgique Tourisme. C’est une évolution marquante pour l’avenir, et ce dans une logique d’appellation unique partagée par de nombreux acteurs du secteur.

 

Pour rappel, nos marchés prioritaires sont la Belgique francophone et néerlandophone, les Pays-Bas, la France, l’Allemagne, le Royaume Uni et l’Italie. D’autres actions sont menées, sur ces marchés et d’autres, en synergie avec l’Agence Wallonne à l’Exportation (AWEX) et Wallonie-Bruxelles International (WBI). Non seulement nous partageons les mêmes locaux à l’étranger dans plusieurs pays mais nous organisons également des événements ponctuels sur d’autres marchés. A titre d’exemple, nous étions présents ensemble, VISITWallonia, AWEX et WBI, en novembre 2021 sur le Pavillon belge de l’Exposition universelle à Dubaï pour la Semaine wallonne.

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Quelle est votre histoire et quelles sont les évolutions marquantes des politiques et actions menées au fil de ces dernières décennies ?

Notre parcours a été jalonné de grandes étapes qui ont suivi les changements de politique institutionnelle belge. Tout commence en 1982, année de la création de l’Office de Promotion du Tourisme de Wallonie et de Bruxelles (OPT) par la Communauté française. Les missions définies de cette jeune fondation d’utilité publique étaient de s’occuper tant du tourisme de loisirs que du tourisme d’affaires. Nous avions à l’époque des bureaux dans une vingtaine de pays considérés comme des marchés porteurs où nous étions présents conjointement avec la communauté flamande. Nous travaillions alors en lien étroit avec la Sabena, notre compagnie nationale. En 1994, nouvelle étape : la gestion du tourisme francophone est déléguée conjointement à la Région wallonne et à la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles Capitale.

 

Ensuite en 2007, s’opère un changement important avec la création d’une asbl dont l’assemblée générale est largement ouverte au secteur privé. L’idée est de créer des synergies entre opérateurs publics et privés dans un esprit de coopération et d’investissements partagés, avec l’objectif de toucher de nouveaux marchés et publics cibles. C’est l’époque où naissent les Clubs de Promotion qui sont encore bien présents. En 2011, nous changeons de patronyme pour devenir Wallonie Bruxelles Tourisme asbl, nouvelle étape.

 

Enfin, en 2017 (en lien avec la 6e Réforme de l’Etat), nous devenons Wallonie Belgique Tourisme asbl et, si notre siège social demeure à Bruxelles, notre siège opérationnel déménage vers Namur. Aujourd’hui, nos trois régions sont maîtresses de leur promotion touristique et nos campagnes sont principalement orchestrées en fonction de critères économiques, mêmes si les critères culturels sont toujours aussi présents. En effet, le tourisme se révèle être un marché porteur, générateur de plus de 85.000 emplois en Wallonie, majoritairement non délocalisables, et représente près de 4,1 % du Produit Intérieur Brut wallon (PIB).

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Quelles sont actuellement les lignes de force de cette promotion et la stratégie pour renforcer notre image touristique dans et hors de nos frontières ?

Le secteur se professionnalise très rapidement. Nous avons travaillé pour renforcer d’une part l’accueil linguistique, et d’autre part la digitalisation de nos partenaires opérateurs touristiques et la mise en ligne des offres de séjours et d’excursions via le site www.VISITWallonia.be. De nos jours, tout se réserve essentiellement en ligne et le travail de promotion digitale évolue sans cesse. Nous ciblons par exemple aussi les bloggeurs et influenceurs qui sont très suivis, la nature de notre travail change et cela demande aussi beaucoup de souplesse et d’adaptabilité.

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Y a-t-il eu des campagnes de promotion qui vous ont marqué des années 80 jusqu’à aujourd’hui ?

Au départ, les campagnes étaient essentiellement nationales. Par exemple, « Belgium, the surprise package of Europe », une campagne menée avec la Sabena dans les années 80, visait le public anglo- saxon et particulièrement américain intéressé plutôt par un tourisme de city trips ou encore de mémoire. En 2019, nous avons mené une campagne, en coordination avec ETC (European Travel Commission), autour du Slow tourisme en partenariat étroit avec le Grand Est français et le Grand-Duché de Luxembourg. Son fil rouge invitait les publics à prendre le temps de découvrir un autre visage de l’Europe. L’écotourisme continue de progresser et l’offre s’étoffe. Nous avons par exemple participé au développement, en 2021, de l’application « CIRKWI » qui connait un franc succès. Celle- ci reprend une large offre de randonnées pédestres et de circuits à vélo à travers la Wallonie et la Belgique.

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Et demain, comment se profilera la demande ? Quelle évolution voyez-vous apparaître ?

Le travail de promotion se décline déjà davantage autour d’une offre saisonnière, ce qui permet de  découvrir la Wallonie douze mois par an. Les rythmes de congés scolaires et la crise énergétique auront un impact à court et moyen terme et feront évoluer les comportements. Le message que nous souhaitons faire passer est que la Wallonie possède de nombreux atouts. Depuis la crise de la Covid, les publics belges et des pays limitrophes ont redécouvert la richesse de notre patrimoine et les séjours courts à proximité séduisent toujours plus.
Partir en vacances en Wallonie, ce n’est pas un plan B mais un vrai choix assumé !

 

Par Emmanuelle Dejaiffe

 

Cet article est issu de la Revue W+B n°158.
 

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07/03/2023
Journée internationale des Droits des Femmes 2023

La fin de l’année 2022 a montré encore une fois que le combat mené pour les droits des femmes n’est pas terminé. Partout dans le monde, les femmes sont encore sujettes à des discriminations et à la répression de leurs droits fondamentaux.

 

La situation est préoccupante dans plusieurs pays à travers le monde, comme en Afghanistan, en Iran ou encore aux Etats-Unis où le droit à l’interruption volontaire de grossesse n’est plus garanti dans l’ensemble du pays, mettant à mal le combat mené pour le droit à l’avortement et l’accès aux soins de santé pour les femmes. La Turquie quant à elle a enregistré un chiffre record de féminicides en 2022, au lendemain de sa sortie de la Convention d’Istanbul, premier traité international qui vise à prendre des mesures contraignantes concernant les violences faites aux femmes et à identifier et poursuivre les auteurs de ces violences. Dans ce pays, en moyenne, une femme est tuée chaque jour sous les coups de son conjoint ou de son ex-conjoint. Du côté de l’Amérique latine, un hôpital brésilien a refusé l’avortement à une jeune fille de 11 ans victime de viol, procédure pourtant légale. A la suite d’un combat juridique éprouvant, la fillette a enfin pu avorter, un événement parmi tant d’autres qui témoigne du sexisme institutionnel. La situation est également alarmante en Europe : l’Espagne qui a fait de la lutte contre les violences faites aux femmes une priorité nationale – le seul Etat européen à avoir une juridiction spécialisée dans les violences de genre –, enregistre une forte augmentation des féminicides dans le pays. Ces régressions nous montrent que nous devons poursuivre notre action pour défendre fermement les droits des femmes à travers le monde.

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Pourquoi cette journée ?

La journée internationale des droits des femmes, célébrée le 8 mars ne consiste pas à fêter la femme, vision stéréotypée et erronée encore très présente dans l’espace public, mais à mettre en avant les inégalités, le sexisme, les violences et les discriminations dont les femmes font l’objet et à revendiquer une totale égalité entre femmes et hommes. 

 

Officialisée en 1977 par l’Organisation des Nations unies, la journée internationale des droits des femmes est célébrée dans les quatre coins du monde à cette date. Cette journée permet de porter une attention particulière et de sensibiliser tout un chacun aux inégalités de genre, à la situation des droits des femmes dans le monde ainsi qu’aux discriminations qui touchent les femmes au quotidien. D’après une étude réalisée par Amnesty International en 2020, les femmes et les filles sont surreprésentées parmi les victimes de viols et de violences sexuelles en Belgique. Les femmes sont également beaucoup plus exposées au harcèlement de rue, et, à la violence conjugale, et certaines en meurent. Par ailleurs, c’est également l’occasion de montrer les différentes avancées réalisées en la matière et de mettre en avant les femmes qui luttent pour éliminer les inégalités.

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La situation des droits des femmes en Belgique

Bien que la Belgique soit une bonne élève en matière des droits des femmes, des inégalités existent encore. Parmi celles-ci, on retrouve une inégalité salariale et professionnelle, une inégale répartition des tâches domestiques, le sexisme dans la publicité, les stéréotypes de genre, les violences sexistes et sexuelles encore présentes à l’encontre des femmes… la liste est longue.

Soucieux de la question, les différents Gouvernements belges ont pris diverses mesures à leur niveau. Parmi celles-ci, se trouve le « Plan droits des femmes 2020-2024 » adopté par la Fédération Wallonie-Bruxelles qui vise à renforcer les droits des femmes, sans distinction de genre, sexe, culture, etc.

 

L’objectif de ce plan est de lutter contre les inégalités de genre et de combattre particulièrement les violences faites aux femmes. Il se décline en 4 axes :

  • Lutter contre les violences faites aux femmes
  • Déconstruire les stéréotypes et agir sur les représentations
  • Assurer une meilleure représentation des femmes dans tous les secteurs professionnels et à tous les niveaux dans les instances de décision et postes à responsabilités
  • Faciliter la conciliation vie privée – vie professionnelle

Chacun des axes recouvre diverses mesures. Citons par exemple la lutte contre le sexisme dans la publicité, la prévention des violences gynécologiques et obstétricales ou encore l’accompagnement de la maternité en prison. Par ailleurs, Wallonie-Bruxelles International œuvre au quotidien à une intégration de la notion du genre dans l’ensemble de ses politiques et actions afin de lutter contre toute forme d’inégalité entre femmes et hommes.

 

Afin de coordonner son action internationale, WBI a choisi une thématique bisannuelle, dans laquelle les actions menées par tous ses agents pourraient s’inscrire. La thématique de l’année 2023-2024 est « La place des femmes dans l’espace public ». Dans cette perspective, WBI a décidé de mettre un coup de projecteur sur la place des femmes dans le sport, amateur et de haut niveau et de donner la parole à trois sportives pour nous parler du sexisme encore trop présent dans le milieu sportif. Par ailleurs, le « Plan droits des femmes 2020-2024 » comprend également plusieurs mesures visant spécifiquement le milieu sportif. Dans ce cadre, nous avons rencontré trois membres du collectif « Balance ton sport ».

 

 

Agathe Duclos et Lorraine Willocx, deux joueuses de rugby amatrices, sont co-fondatrices de la page « Débrief du vestiaire » sur les réseaux sociaux qui met en lumière le sexisme dans le sport. Elles sont par ailleurs membres de « Balance ton sport », un collectif qui réunit plusieurs sportives et sportifs dont l’objectif est de dénoncer les discriminations et les violences sexistes dans le milieu. 

 

Anna Van Bellinghen, sportive professionnelle d’haltérophilie, a représenté à plusieurs reprises la Belgique lors de compétitions internationales, notamment aux jeux olympiques d’été à Tokyo en 2020. Médaillée une multitude de fois aux championnats d’Europe d’haltérophilie, Anna Van Bellinghen est également une sportive engagée dans la lutte féministe. Elle a notamment dénoncé le sexisme présent dans le milieu sportif à travers la lettre ouverte adressée par le collectif « Balance ton sport ». 


 

 

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La fin de l’année 2022 a montré encore une fois que le combat mené pour les droits des femmes n’est pas terminé. Partout dans le monde, les femmes sont encore sujettes à des discriminations et à la répression de leurs droits fondamentaux.

 

La situation est préoccupante dans plusieurs pays à travers le monde, comme en Afghanistan, en Iran ou encore aux Etats-Unis où le droit à l’interruption volontaire de grossesse n’est plus garanti dans l’ensemble du pays, mettant à mal le combat mené pour le droit à l’avortement et l’accès aux soins de santé pour les femmes. La Turquie quant à elle a enregistré un chiffre record de féminicides en 2022, au lendemain de sa sortie de la Convention d’Istanbul, premier traité international qui vise à prendre des mesures contraignantes concernant les violences faites aux femmes et à identifier et poursuivre les auteurs de ces violences. Dans ce pays, en moyenne, une femme est tuée chaque jour sous les coups de son conjoint ou de son ex-conjoint. Du côté de l’Amérique latine, un hôpital brésilien a refusé l’avortement à une jeune fille de 11 ans victime de viol, procédure pourtant légale. A la suite d’un combat juridique éprouvant, la fillette a enfin pu avorter, un événement parmi tant d’autres qui témoigne du sexisme institutionnel. La situation est également alarmante en Europe : l’Espagne qui a fait de la lutte contre les violences faites aux femmes une priorité nationale – le seul Etat européen à avoir une juridiction spécialisée dans les violences de genre –, enregistre une forte augmentation des féminicides dans le pays. Ces régressions nous montrent que nous devons poursuivre notre action pour défendre fermement les droits des femmes à travers le monde.

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Pourquoi cette journée ?

La journée internationale des droits des femmes, célébrée le 8 mars ne consiste pas à fêter la femme, vision stéréotypée et erronée encore très présente dans l’espace public, mais à mettre en avant les inégalités, le sexisme, les violences et les discriminations dont les femmes font l’objet et à revendiquer une totale égalité entre femmes et hommes. 

 

Officialisée en 1977 par l’Organisation des Nations unies, la journée internationale des droits des femmes est célébrée dans les quatre coins du monde à cette date. Cette journée permet de porter une attention particulière et de sensibiliser tout un chacun aux inégalités de genre, à la situation des droits des femmes dans le monde ainsi qu’aux discriminations qui touchent les femmes au quotidien. D’après une étude réalisée par Amnesty International en 2020, les femmes et les filles sont surreprésentées parmi les victimes de viols et de violences sexuelles en Belgique. Les femmes sont également beaucoup plus exposées au harcèlement de rue, et, à la violence conjugale, et certaines en meurent. Par ailleurs, c’est également l’occasion de montrer les différentes avancées réalisées en la matière et de mettre en avant les femmes qui luttent pour éliminer les inégalités.

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La situation des droits des femmes en Belgique

Bien que la Belgique soit une bonne élève en matière des droits des femmes, des inégalités existent encore. Parmi celles-ci, on retrouve une inégalité salariale et professionnelle, une inégale répartition des tâches domestiques, le sexisme dans la publicité, les stéréotypes de genre, les violences sexistes et sexuelles encore présentes à l’encontre des femmes… la liste est longue.

Soucieux de la question, les différents Gouvernements belges ont pris diverses mesures à leur niveau. Parmi celles-ci, se trouve le « Plan droits des femmes 2020-2024 » adopté par la Fédération Wallonie-Bruxelles qui vise à renforcer les droits des femmes, sans distinction de genre, sexe, culture, etc.

 

L’objectif de ce plan est de lutter contre les inégalités de genre et de combattre particulièrement les violences faites aux femmes. Il se décline en 4 axes :

  • Lutter contre les violences faites aux femmes
  • Déconstruire les stéréotypes et agir sur les représentations
  • Assurer une meilleure représentation des femmes dans tous les secteurs professionnels et à tous les niveaux dans les instances de décision et postes à responsabilités
  • Faciliter la conciliation vie privée – vie professionnelle

Chacun des axes recouvre diverses mesures. Citons par exemple la lutte contre le sexisme dans la publicité, la prévention des violences gynécologiques et obstétricales ou encore l’accompagnement de la maternité en prison. Par ailleurs, Wallonie-Bruxelles International œuvre au quotidien à une intégration de la notion du genre dans l’ensemble de ses politiques et actions afin de lutter contre toute forme d’inégalité entre femmes et hommes.

 

Afin de coordonner son action internationale, WBI a choisi une thématique bisannuelle, dans laquelle les actions menées par tous ses agents pourraient s’inscrire. La thématique de l’année 2023-2024 est « La place des femmes dans l’espace public ». Dans cette perspective, WBI a décidé de mettre un coup de projecteur sur la place des femmes dans le sport, amateur et de haut niveau et de donner la parole à trois sportives pour nous parler du sexisme encore trop présent dans le milieu sportif. Par ailleurs, le « Plan droits des femmes 2020-2024 » comprend également plusieurs mesures visant spécifiquement le milieu sportif. Dans ce cadre, nous avons rencontré trois membres du collectif « Balance ton sport ».

 

 

Agathe Duclos et Lorraine Willocx, deux joueuses de rugby amatrices, sont co-fondatrices de la page « Débrief du vestiaire » sur les réseaux sociaux qui met en lumière le sexisme dans le sport. Elles sont par ailleurs membres de « Balance ton sport », un collectif qui réunit plusieurs sportives et sportifs dont l’objectif est de dénoncer les discriminations et les violences sexistes dans le milieu. 

 

Anna Van Bellinghen, sportive professionnelle d’haltérophilie, a représenté à plusieurs reprises la Belgique lors de compétitions internationales, notamment aux jeux olympiques d’été à Tokyo en 2020. Médaillée une multitude de fois aux championnats d’Europe d’haltérophilie, Anna Van Bellinghen est également une sportive engagée dans la lutte féministe. Elle a notamment dénoncé le sexisme présent dans le milieu sportif à travers la lettre ouverte adressée par le collectif « Balance ton sport ». 


 

 

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20/02/2023
EU's response to the earthquake in Türkiye and Syria©European Union, 2023 (photographe: Begum Iman - CC BY-ND 2.0)

Le Gouvernement wallon a décidé de renforcer son aide humanitaire d’urgence pour venir en aide aux victimes des terribles séismes qui ont frappé la Turquie et la Syrie. Ces derniers jours, le bilan n’a cessé de s’alourdir. Le Gouvernement a dès lors décidé d’apporter un soutien humanitaire plus conséquent. Aux 250.000€ annoncés ce lundi, le Gouvernement ajoute 750.000€. Il mobilise ainsi au total 1 million d’euros.

 

Ce soutien humanitaire se fera au travers du consortium 12-12. Le consortium 12-12 est constitué des sept grandes organisations humanitaires belges (Caritas International, Croix-Rouge, Handicap International, Médecins du Monde, Oxfam, Plan International et UNICEF). L’objectif de ce consortium est de permettre de rassembler via une seule entité l’ensemble des dons des particuliers, pouvoirs publics et entreprises.

 

La semaine dernière, le Gouvernement avait imaginé contribuer à l’opération B-FAST (Belgian First Aid & Support Team). Cette décision avait été prise avant que le consortium 12-12 ne soit, à nouveau, activé. Depuis le 12 février, le consortium 12-12 s’est toutefois réactivé afin d’apporter son soutien à la Turquie et la Syrie. Le Gouvernement a donc décidé de privilégier cette option.

Le Gouvernement wallon a décidé de renforcer son aide humanitaire d’urgence pour venir en aide aux victimes des terribles séismes qui ont frappé la Turquie et la Syrie. Ces derniers jours, le bilan n’a cessé de s’alourdir. Le Gouvernement a dès lors décidé d’apporter un soutien humanitaire plus conséquent. Aux 250.000€ annoncés ce lundi, le Gouvernement ajoute 750.000€. Il mobilise ainsi au total 1 million d’euros.

 

Ce soutien humanitaire se fera au travers du consortium 12-12. Le consortium 12-12 est constitué des sept grandes organisations humanitaires belges (Caritas International, Croix-Rouge, Handicap International, Médecins du Monde, Oxfam, Plan International et UNICEF). L’objectif de ce consortium est de permettre de rassembler via une seule entité l’ensemble des dons des particuliers, pouvoirs publics et entreprises.

 

La semaine dernière, le Gouvernement avait imaginé contribuer à l’opération B-FAST (Belgian First Aid & Support Team). Cette décision avait été prise avant que le consortium 12-12 ne soit, à nouveau, activé. Depuis le 12 février, le consortium 12-12 s’est toutefois réactivé afin d’apporter son soutien à la Turquie et la Syrie. Le Gouvernement a donc décidé de privilégier cette option.

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