
Depuis 1989, les Jeux de la Francophonie invitent, autour de valeurs de fraternité et de solidarité, la jeunesse de l’espace francophone à se rencontrer au travers d’épreuves sportives et de concours culturels.
Organisés tous les quatre ans par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), les Jeux sont le reflet de la diversité culturelle francophone. Dans un monde qui tend à s’uniformiser, ils représentent un carrefour d’échanges entre pays francophones. Ils offrent également une chance formidable à de jeunes talents de débuter une carrière professionnelle. La rencontre est au moins aussi importante que la compétition.
Cette neuvième édition accueillera une quarantaine de délégations, issues des 5 continents, soit plus de 1.500 jeunes âgés de 18 à 35 ans. A Kinshasa, 9 disciplines sportives sont prévues ainsi que 11 concours culturels.
Participation de la FW-B
La Fédération Wallonie-Bruxelles participe aux Jeux de la Francophonie depuis la première édition. Ceux-ci représentent une occasion unique pour de nombreux artistes et sportifs émergents de vivre l’expérience d’une première rencontre internationale et de se mesurer à des concurrents venus de tout l’espace francophone.
Plusieurs de nos représentants aux éditions précédentes se sont illustrés sur la scène internationale : Michèle Noiret (danse), Stéphanie Blanchoud (chanson), Nicolas Ancion (littérature) ou encore Stéphanie Roland (photographie).
Découvrez également la vidéo de CélénaSophia qui nous parle de leur participation aux Jeux de la Francophonie à Abidjan en 2017.
Lors de cette édition 2023, la FW-B sera présente avec une délégation d’une vingtaine de personnes qui concourra dans cinq disciplines culturelles : chanson, danse de création, hip-hop, littérature et peinture. Il n’y aura pas de délégation sportive de la FW-B lors des Jeux 2023.
Délégation Fédération Wallonie-Bruxelles :
- Peinture : Camille Stass
- Littérature : Cécile Hupin
- Chanson : Estelle Baldé
- Danse de création : KIFESH COMPANY
- Hip-hop : RUTHLESS
Retrouvez les portraits de tous ces artistes tout au long du mois de juillet 2023 sur notre site et nos réseaux sociaux Facebook WBI et LinkedIn WBI et ceux de la Fédération Wallonie Bruxelles, Culture.be, Facebook culture.be et Instagram culture.be.
La participation de la FW-B aux Jeux fait l’objet d’une concertation entre les différentes administrations concernées en l’occurrence l’Administration générale de la Culture et Wallonie-Bruxelles International (WBI).
Depuis 1989, les Jeux de la Francophonie invitent, autour de valeurs de fraternité et de solidarité, la jeunesse de l’espace francophone à se rencontrer au travers d’épreuves sportives et de concours culturels.
Organisés tous les quatre ans par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), les Jeux sont le reflet de la diversité culturelle francophone. Dans un monde qui tend à s’uniformiser, ils représentent un carrefour d’échanges entre pays francophones. Ils offrent également une chance formidable à de jeunes talents de débuter une carrière professionnelle. La rencontre est au moins aussi importante que la compétition.
Cette neuvième édition accueillera une quarantaine de délégations, issues des 5 continents, soit plus de 1.500 jeunes âgés de 18 à 35 ans. A Kinshasa, 9 disciplines sportives sont prévues ainsi que 11 concours culturels.
Participation de la FW-B
La Fédération Wallonie-Bruxelles participe aux Jeux de la Francophonie depuis la première édition. Ceux-ci représentent une occasion unique pour de nombreux artistes et sportifs émergents de vivre l’expérience d’une première rencontre internationale et de se mesurer à des concurrents venus de tout l’espace francophone.
Plusieurs de nos représentants aux éditions précédentes se sont illustrés sur la scène internationale : Michèle Noiret (danse), Stéphanie Blanchoud (chanson), Nicolas Ancion (littérature) ou encore Stéphanie Roland (photographie).
Découvrez également la vidéo de CélénaSophia qui nous parle de leur participation aux Jeux de la Francophonie à Abidjan en 2017.
Lors de cette édition 2023, la FW-B sera présente avec une délégation d’une vingtaine de personnes qui concourra dans cinq disciplines culturelles : chanson, danse de création, hip-hop, littérature et peinture. Il n’y aura pas de délégation sportive de la FW-B lors des Jeux 2023.
Délégation Fédération Wallonie-Bruxelles :
- Peinture : Camille Stass
- Littérature : Cécile Hupin
- Chanson : Estelle Baldé
- Danse de création : KIFESH COMPANY
- Hip-hop : RUTHLESS
Retrouvez les portraits de tous ces artistes tout au long du mois de juillet 2023 sur notre site et nos réseaux sociaux Facebook WBI et LinkedIn WBI et ceux de la Fédération Wallonie Bruxelles, Culture.be, Facebook culture.be et Instagram culture.be.
La participation de la FW-B aux Jeux fait l’objet d’une concertation entre les différentes administrations concernées en l’occurrence l’Administration générale de la Culture et Wallonie-Bruxelles International (WBI).
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À côté, dans un autre périmètre, ce sont des bonbons et des sucettes, également de tailles et de formes diverses, qui sont à portée de pince du robot. Le bras articulé saisit chaque objet un à un et va les déposer dans leur zone de destination.
Dans le jargon, on parle de « picking ». Cela n’a l’air de rien, sauf quand on sait que pour chaque démonstration les objets sont jetés de manière aléatoire dans le périmètre de prélèvement. Et que, bien entendu, le robot n’est pas reprogrammé à chaque nouveau lot d’objets à déplacer. La machine opère donc seule. Elle analyse chaque nouvelle situation pour ensuite prendre en totale autonomie les meilleures décisions afin d’accomplir sa tâche. C’est ici qu’interviennent l’intelligence artificielle et le savoir-faire des partenaires d’IntegrIA Robotics, une spin-off de l’Université de Liège.
Retour au débutApprentissage renforcé pour robots autonomes
« Nous avons doté notre bras robotique d’une caméra capable de discerner des objets en trois dimensions », explique Tom Ewbank, le responsable technique de la société (Chief Technology officer). « Mais surtout, nous avons développé l’intelligence artificielle qui permet à ce robot de faire du picking le plus efficacement possible », précise l’ingénieur de recherche en informatique et en robotique.
« Notre IA est liée à la vision qu’elle a des doigts de la pince. Le prototype observe d’abord les objets disposés sous le regard de sa caméra. Il effectue ensuite quelques mouvements, afin de bien cerner la scène. Cela s’appelle du « deep reinforcement learning ». Le système envisage les différentes actions à entreprendre pour mener sa tâche à bien. Son réseau de neurones artificiels prend une image en entrée et il élabore ensuite un plan d’actions pour le robot », détaille-t-il, sur le stand de Wallonie-Bruxelles International, à la foire industrielle d’Hanovre, où il est venu vanter la qualité de son produit.
Retour au début
La carotte ou le bâton
« C’est un système qui apprend, un super modèle mathématique doté d’algorithmes d’optimisation des actions à entreprendre », continue Tom Ewbank. « Lors de la simulation, le robot accomplit différentes actions. Et nous pouvons, bien entendu, vérifier si ces tâches ont été correctement réalisées. Si c’est le cas, nous donnons une récompense (« +1 ») au système. S’il fait des bêtises, par exemple s’il pousse trop fort sur les objets, on lui assène une pénalité (« -0,xxx »). Le système va tenter d’optimiser son fonctionnement, afin de collecter le plus de récompenses. C’est comme cela qu’il tend vers un fonctionnement optimal. »
« Les applications potentielles de notre IA sont nombreuses et variées. Cela concerne toutes les situations où il existe une grande variété d’objets à attraper et pour lesquelles il n’est pas rentable de redévelopper un système spécifique », explique de son côté Audrey Lempereur, ingénieure «logiciels et IA» chez IntegrIA Robotics.
Retour au débutUn jumeau numérique comme banc d’essai
« Par exemple, dans le cas de petites séries de production ou dans la gestion de commandes en ligne. Notre software est adaptable. On peut recréer un jumeau digital de la situation sur laquelle on souhaite entraîner un système et le faire tourner afin qu’il soit ensuite performant face à la situation qu’il aura à traiter », dit-elle.
« Notre but est de proposer un package logiciel à nos clients », précise le CTO de l’entreprise. « Mais nous pourrions aussi simplement vendre des services. »
Le bras articulé présenté à la foire industrielle d’Hanovre est une vitrine convaincante du savoir-faire de la jeune entreprise. « Mais nous aimerions encore perfectionner le système », indique Loïc Sacré, le troisième membre de la spin-off. « Par exemple, en rendant les mouvements du robot plus fluides».
De retour à Liège, dans leur bureau et leur laboratoire du Sart-Tilman, l’équipe d’ingénieurs garde ses objectifs bien en tête: développer des solutions robotiques innovantes à base d’intelligence artificielle pour l’industrie.
Source: Daily Science - Christian Du Brulle
Retour au débutÀ côté, dans un autre périmètre, ce sont des bonbons et des sucettes, également de tailles et de formes diverses, qui sont à portée de pince du robot. Le bras articulé saisit chaque objet un à un et va les déposer dans leur zone de destination.
Dans le jargon, on parle de « picking ». Cela n’a l’air de rien, sauf quand on sait que pour chaque démonstration les objets sont jetés de manière aléatoire dans le périmètre de prélèvement. Et que, bien entendu, le robot n’est pas reprogrammé à chaque nouveau lot d’objets à déplacer. La machine opère donc seule. Elle analyse chaque nouvelle situation pour ensuite prendre en totale autonomie les meilleures décisions afin d’accomplir sa tâche. C’est ici qu’interviennent l’intelligence artificielle et le savoir-faire des partenaires d’IntegrIA Robotics, une spin-off de l’Université de Liège.
Retour au débutApprentissage renforcé pour robots autonomes
« Nous avons doté notre bras robotique d’une caméra capable de discerner des objets en trois dimensions », explique Tom Ewbank, le responsable technique de la société (Chief Technology officer). « Mais surtout, nous avons développé l’intelligence artificielle qui permet à ce robot de faire du picking le plus efficacement possible », précise l’ingénieur de recherche en informatique et en robotique.
« Notre IA est liée à la vision qu’elle a des doigts de la pince. Le prototype observe d’abord les objets disposés sous le regard de sa caméra. Il effectue ensuite quelques mouvements, afin de bien cerner la scène. Cela s’appelle du « deep reinforcement learning ». Le système envisage les différentes actions à entreprendre pour mener sa tâche à bien. Son réseau de neurones artificiels prend une image en entrée et il élabore ensuite un plan d’actions pour le robot », détaille-t-il, sur le stand de Wallonie-Bruxelles International, à la foire industrielle d’Hanovre, où il est venu vanter la qualité de son produit.
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La carotte ou le bâton
« C’est un système qui apprend, un super modèle mathématique doté d’algorithmes d’optimisation des actions à entreprendre », continue Tom Ewbank. « Lors de la simulation, le robot accomplit différentes actions. Et nous pouvons, bien entendu, vérifier si ces tâches ont été correctement réalisées. Si c’est le cas, nous donnons une récompense (« +1 ») au système. S’il fait des bêtises, par exemple s’il pousse trop fort sur les objets, on lui assène une pénalité (« -0,xxx »). Le système va tenter d’optimiser son fonctionnement, afin de collecter le plus de récompenses. C’est comme cela qu’il tend vers un fonctionnement optimal. »
« Les applications potentielles de notre IA sont nombreuses et variées. Cela concerne toutes les situations où il existe une grande variété d’objets à attraper et pour lesquelles il n’est pas rentable de redévelopper un système spécifique », explique de son côté Audrey Lempereur, ingénieure «logiciels et IA» chez IntegrIA Robotics.
Retour au débutUn jumeau numérique comme banc d’essai
« Par exemple, dans le cas de petites séries de production ou dans la gestion de commandes en ligne. Notre software est adaptable. On peut recréer un jumeau digital de la situation sur laquelle on souhaite entraîner un système et le faire tourner afin qu’il soit ensuite performant face à la situation qu’il aura à traiter », dit-elle.
« Notre but est de proposer un package logiciel à nos clients », précise le CTO de l’entreprise. « Mais nous pourrions aussi simplement vendre des services. »
Le bras articulé présenté à la foire industrielle d’Hanovre est une vitrine convaincante du savoir-faire de la jeune entreprise. « Mais nous aimerions encore perfectionner le système », indique Loïc Sacré, le troisième membre de la spin-off. « Par exemple, en rendant les mouvements du robot plus fluides».
De retour à Liège, dans leur bureau et leur laboratoire du Sart-Tilman, l’équipe d’ingénieurs garde ses objectifs bien en tête: développer des solutions robotiques innovantes à base d’intelligence artificielle pour l’industrie.
Source: Daily Science - Christian Du Brulle
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Voyage dans l'intelligence artificielle de la Wallonie et de Bruxelles !
L’intelligence artificielle (IA pour les intimes) est un secteur auquel on ne peut plus échapper. En Wallonie et à Bruxelles, nous avons cette énorme chance d’avoir des chercheurs, des centres de recherche, des entreprises qui nous placent à la pointe du domaine. Mais comment faire pour y rester ? Eléments de réponse dans ce nouveau numéro de la Revue W+B.
Nous allons également découvrir la Mosa Ballet School, école internationale qui entend placer Liège et la Wallonie sur la carte du monde de la danse classique et contemporaine, le programme Discover EU qui permet aux jeunes de 18 ans de découvrir l’Europe en train, l’Abbaye de Maredsous qui fête ses 150 ans et l’entreprise de biotech TheraVet, pionnière dans le traitement des maladies ostéoarticulaires des animaux de compagnie.
Enfin, nous allons rencontrer la chanteuse Elia Rose, la créatrice de bijoux Aurore Havenne et Stéphan Plumat, qui prend une retraite bien méritée après une vie professionnelle dédiée à la coopération au développement de Wallonie-Bruxelles.
Au programme
- Dossier : Intelligence artificielle : une terre fertile en recherche et en développement avec des chercheurs de pointe
- Culture : Liège danse, dense !
- Portrait : Ne pas être là où on l'attend, Elia Rose surprend !
- Jeunesse : Roulez jeunesse
- Coopération au développement : Stéphan Plumat : l'APEFE, l'histoire d'une vie
- Tourisme : L'esprit est bien là
- Mode : Aurore Havenne, la force de la simplicité
- Entreprise : TheraVet, des produits vétérinaires wallons bientôt disponibles sur les cinq continents
- Survols
Voyage dans l'intelligence artificielle de la Wallonie et de Bruxelles !
L’intelligence artificielle (IA pour les intimes) est un secteur auquel on ne peut plus échapper. En Wallonie et à Bruxelles, nous avons cette énorme chance d’avoir des chercheurs, des centres de recherche, des entreprises qui nous placent à la pointe du domaine. Mais comment faire pour y rester ? Eléments de réponse dans ce nouveau numéro de la Revue W+B.
Nous allons également découvrir la Mosa Ballet School, école internationale qui entend placer Liège et la Wallonie sur la carte du monde de la danse classique et contemporaine, le programme Discover EU qui permet aux jeunes de 18 ans de découvrir l’Europe en train, l’Abbaye de Maredsous qui fête ses 150 ans et l’entreprise de biotech TheraVet, pionnière dans le traitement des maladies ostéoarticulaires des animaux de compagnie.
Enfin, nous allons rencontrer la chanteuse Elia Rose, la créatrice de bijoux Aurore Havenne et Stéphan Plumat, qui prend une retraite bien méritée après une vie professionnelle dédiée à la coopération au développement de Wallonie-Bruxelles.
Au programme
- Dossier : Intelligence artificielle : une terre fertile en recherche et en développement avec des chercheurs de pointe
- Culture : Liège danse, dense !
- Portrait : Ne pas être là où on l'attend, Elia Rose surprend !
- Jeunesse : Roulez jeunesse
- Coopération au développement : Stéphan Plumat : l'APEFE, l'histoire d'une vie
- Tourisme : L'esprit est bien là
- Mode : Aurore Havenne, la force de la simplicité
- Entreprise : TheraVet, des produits vétérinaires wallons bientôt disponibles sur les cinq continents
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Scivias, la plateforme qui agit pour un secteur de la musique plus inclusif en Fédération Wallonie-Bruxelles vient de publier une étude sur la place des femmes et des minorités de genre dans les programmations de festivals estivaux. Dans la lignée des différents rapports publiés depuis 2019, Scivias poursuit son travail d’objectivation chiffrée de la présence des femmes et des personnes minorisées de genre dans le secteur de la musique en Fédération Wallonie-Bruxelles.
L'équipe de Scivias a compté les artistes à l'affiche de 36 festivals de l'été (dont Couleur Café, Les Ardentes, LaSemo, Dour festival, Les Francofolies de Spa, Dinant Jazz, Esperanzah!, Durbuy Rock, LaSemo, Gouvy Jazz & Blues Festival, Micro Festival, Ronquières, Gaume Jazz, Festival d'art de Huy, Les Solidarités). Et sans surprise, les femmes et les minorités de genre restent largement sous-représentées sur scène.
À l’instar du premier rapport sur les festivals publié en 2022, Scivias souhaite mettre en lumière l’inégal accès genré aux scènes musicales et encourager dans un même temps l’ensemble des professionnel·les à agir activement pour tendre vers une plus grande égalité. Vous pouvez désormais en découvrir les principaux enseignements dans le rapport 2023.
Sources: Wallonie-Bruxelles Musiques (WBM) et Scivias.
Scivias, la plateforme qui agit pour un secteur de la musique plus inclusif en Fédération Wallonie-Bruxelles vient de publier une étude sur la place des femmes et des minorités de genre dans les programmations de festivals estivaux. Dans la lignée des différents rapports publiés depuis 2019, Scivias poursuit son travail d’objectivation chiffrée de la présence des femmes et des personnes minorisées de genre dans le secteur de la musique en Fédération Wallonie-Bruxelles.
L'équipe de Scivias a compté les artistes à l'affiche de 36 festivals de l'été (dont Couleur Café, Les Ardentes, LaSemo, Dour festival, Les Francofolies de Spa, Dinant Jazz, Esperanzah!, Durbuy Rock, LaSemo, Gouvy Jazz & Blues Festival, Micro Festival, Ronquières, Gaume Jazz, Festival d'art de Huy, Les Solidarités). Et sans surprise, les femmes et les minorités de genre restent largement sous-représentées sur scène.
À l’instar du premier rapport sur les festivals publié en 2022, Scivias souhaite mettre en lumière l’inégal accès genré aux scènes musicales et encourager dans un même temps l’ensemble des professionnel·les à agir activement pour tendre vers une plus grande égalité. Vous pouvez désormais en découvrir les principaux enseignements dans le rapport 2023.
Sources: Wallonie-Bruxelles Musiques (WBM) et Scivias.
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Voyage dans l'intelligence artificielle de la Wallonie et de Bruxelles
L’intelligence artificielle (IA pour les intimes) est un secteur auquel on ne peut plus échapper. En Wallonie et à Bruxelles, nous avons cette énorme chance d’avoir des chercheurs, des centres de recherche, des entreprises qui nous placent à la pointe du domaine. Mais comment faire pour y rester ? Eléments de réponse dans ce nouveau numéro de la Revue W+B.
Nous allons également découvrir la Mosa Ballet School, école internationale qui entend placer Liège et la Wallonie sur la carte du monde de la danse classique et contemporaine, le programme Discover EU qui permet aux jeunes de 18 ans de découvrir l’Europe en train, l’Abbaye de Maredsous qui fête ses 150 ans et l’entreprise de biotech TheraVet, pionnière dans le traitement des maladies ostéoarticulaires des animaux de compagnie.
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L’occasion d’en profiter pour découvrir un coin de cette région accueillante aux richesses insoupçonnées et de vivre de nouvelles émotions.
Commençons de manière flamboyante avec Les Ardentes à Liège. Ce festival, 17e du nom, s’impose désormais comme l’un des événements européens majeurs dans le hip-hop et les musiques urbaines. Du 6 au 9 juillet à Rocourt, sur les hauteurs de la Cité Ardente. L’avantage de ce lieu est sa capacité qui permet d’attirer de grands noms, des artistes internationaux venant des Etats-Unis, de Grande-Bretagne, de France, de Belgique, comme Travis Scott, Kendrick Lamar, J Balvin, Playboi Carti… Programmer ce type d’artistes place Les Ardentes en compétition avec les plus grands festivals d’Europe, voire du monde. Egalement au programme, la Franco-Malienne Aya Nakamura, la Belge Lous and the Yakuza dont la carrière a fort décollé en France et que le festival est très heureux d’accueillir à Liège. Et Booba, premier rappeur français à remplir le stade de France et qui vient pour la troisième fois aux Ardentes. « L’objectif est d’avoir chaque année les plus grands noms du rap international », précisent les organisateurs qui attendent 65 000 personnes par jour, dont 45 % d’étrangers, surtout des Français. Parmi les nouveautés, l’agrandissement du camping doté de logements cosy. Un festival européen qui joue désormais dans la cour des grands festivals du monde.
Retour au débutNouvelle scène à Dour
Si vous voulez du métal, du hardcore, c’est à Dour Festival que ça se passe. Du 12 au 16 juillet, hip-hop, soul, métal, r’n’b du monde entier, le festival annonce « la meilleure liste d’artistes électroniques de son histoire » avec, en tête d’affiche, l’artiste coréenne Peggy Gou. D’autres artistes de renommée internationale sont annoncés comme le producteur-compositeur français Pedro Winter, ou encore le compositeur britannique Aphex Twin qui clôturera le festival, 14 ans après son unique passage à Dour. Damso, Orelsan, ou encore Lomepal figurent parmi les grands noms de la liste des rappeurs francophones. Pour cette édition, l’artiste et actrice Janelle Monàe, The Blaze, Phoenix, dEUS ou La Femme forment les têtes d’affiche de la musique « indie ». Lous and The Yakuza se produira également à Dour. Une nouvelle scène, « Le Garage », un espace de 1 000 places dédié aux guitares de tous styles, du rock au métal, de la cold wave au punk hardcore. Le 13 juillet, la scène proposera une journée metal hardcore avec les groupes français Punish Yourself et Tagada Jones, les Américains Attila et le groupe belge de heavy metal Do or Die. Les autres jours du festival sur la même scène une large palette de styles avec, entre autres, le trio néerlandais coldwave Ambassade et les New-yorkais du punk-hardcore Show me the Body.
Retour au débutRetour des animations en ville à Spa
Si, pour vous, la chanson française prime, en particulier dans un cadre enchanteur, direction Les Francofolies de Spa, du 20 au 23 juillet. D’autant que, cette année, ce sera vraiment la fête. Elle marque, en effet, le retour des animations en ville avec des « Bars en folie », des terrasses animées par des artistes, une scène gratuite avec concerts découvertes pendant quatre jours et les Francos juniors pour les enfants et les familles. « On a souhaité investir des moyens et de l’énergie », souligne Yoann Frédéric, le nouveau directeur général du festival. L’identité des Francofolies va bien au-delà des concerts dans le parc Francofou, c’est aussi l’ambiance, conviviale, joyeuse, qui s’empare du centre-ville. » Au total près de 140 concerts se dérouleront dans la cité thermale dans douze lieux avec du beau monde. Jugez plutôt, Juliette Armanet, Mika, Rori, Peet, Roméo Elvis, Soprano, Big Flo & Oli, Loïc Nottet, Mentissa, fête à Cali, Florent Pagny, Kendji Girac, Christophe Willem et Marc Lavoine.
Vous cherchez une sortie festive en famille ? Rendez-vous à Esperanzah ! Sa 21e édition, du 27 au 30 juillet, est unique à plus d’un titre. Par son site d’abord. Vous en connaissez beaucoup, vous, des festivals qui se déroulent dans une abbaye ? C’est le cas d’Esperanzah ! à l’abbaye de Floreffe bordée par un méandre de la Sambre. Le festival se différencie aussi par son esprit engagé. Car depuis ses débuts, s’il est un moment de fête, il a à cœur de mettre à l’honneur la citoyenneté, le développement durable et l’égalité des chances. Un festival pour tous, jeunes et moins jeunes, artistes belges et étrangers, dans la diversité culturelle, musique, artistes de rue, cinéma, photographie, théâtre, arts plastiques et visuels. Afro-pop psychédélique, rap, électro, soul, hip-hop, rock… et bonne humeur. Têtes d’affiches : Pomme, Naâman, La Femme, Charlotte Adigéry & Bolis Pupul, Tiken Jah Fakoly et Mandragora. Ajoutons le collectif congolais Kokoko !, la rappeuse française Doria et la Belgo-Portugaise Blu Samu, l’Italienne Ada Oda et le showman Chilly Gonzales. www.esperanzah.be
Retour au débutSept week-ends Découverte
Vous ne vibrez qu’au classique ? Les Festivals de Wallonie sont faits pour vous. De juin à octobre, environ 150 concerts et activités sur l’ensemble du territoire de la Wallonie, réunissent un public de plusieurs dizaines de milliers de spectateurs. En particulier, les Festivals de Wallonie ont conçu sept week-ends Dicovery Boxes (dont un spécial kids), à Namur, Saint-Hubert, Stavelot, Liège, Charleroi et en Brabant wallon. Objectif, découvrir de manière originale la musique classique sous toutes ses formes, mais aussi goûter aux produits du terroir, apprendre de nouvelles choses, partir à l’aventure et se détendre. Un week-end de découvertes musicale, patrimoniale, artistique et gourmande, voilà qui est fort tentant ! Chaque box comprend des billets d’entrée pour un concert sélectionné, une nuitée et un petit-déjeuner dans un logement, une visite découverte et/ou gourmande. Où et quand ? A Namur, les 8 et 9 juillet, dans le cadre du Festival musical de Namur. A Saint-Hubert, les 15 et 16 juillet, dans celui du Royal juillet musical, des concerts associant valeurs affirmées du monde musical et talents en devenir. A Stavelot, les 12 et 13 août, lors du Festival de Stavelot dédié à la musique de chambre et qui se déroule principalement dans l’ancienne abbaye magnifiquement restaurée durant lequel tout Stavelot vit au rythme des concerts du matin et du soir. A Liège, les 16 et 17 septembre, au cours des Nuits de Septembre. A Charleroi, les 30 septembre et 1er octobre, pour 2 et pour 4 personnes (2 adultes et 2 enfants) lors du Festival musical du Hainaut. En Brabant wallon, les 6 et 7 octobre, dans le cadre du Festival Musiq3 Brabant wallon. Et pour vous remettre de ces émotions fortes, quoi de mieux que terminer la journée en dégustant quelques délicieux produits du terroir wallon ?
Par Jacqueline Remits.
Retour au début
L’occasion d’en profiter pour découvrir un coin de cette région accueillante aux richesses insoupçonnées et de vivre de nouvelles émotions.
Commençons de manière flamboyante avec Les Ardentes à Liège. Ce festival, 17e du nom, s’impose désormais comme l’un des événements européens majeurs dans le hip-hop et les musiques urbaines. Du 6 au 9 juillet à Rocourt, sur les hauteurs de la Cité Ardente. L’avantage de ce lieu est sa capacité qui permet d’attirer de grands noms, des artistes internationaux venant des Etats-Unis, de Grande-Bretagne, de France, de Belgique, comme Travis Scott, Kendrick Lamar, J Balvin, Playboi Carti… Programmer ce type d’artistes place Les Ardentes en compétition avec les plus grands festivals d’Europe, voire du monde. Egalement au programme, la Franco-Malienne Aya Nakamura, la Belge Lous and the Yakuza dont la carrière a fort décollé en France et que le festival est très heureux d’accueillir à Liège. Et Booba, premier rappeur français à remplir le stade de France et qui vient pour la troisième fois aux Ardentes. « L’objectif est d’avoir chaque année les plus grands noms du rap international », précisent les organisateurs qui attendent 65 000 personnes par jour, dont 45 % d’étrangers, surtout des Français. Parmi les nouveautés, l’agrandissement du camping doté de logements cosy. Un festival européen qui joue désormais dans la cour des grands festivals du monde.
Retour au débutNouvelle scène à Dour
Si vous voulez du métal, du hardcore, c’est à Dour Festival que ça se passe. Du 12 au 16 juillet, hip-hop, soul, métal, r’n’b du monde entier, le festival annonce « la meilleure liste d’artistes électroniques de son histoire » avec, en tête d’affiche, l’artiste coréenne Peggy Gou. D’autres artistes de renommée internationale sont annoncés comme le producteur-compositeur français Pedro Winter, ou encore le compositeur britannique Aphex Twin qui clôturera le festival, 14 ans après son unique passage à Dour. Damso, Orelsan, ou encore Lomepal figurent parmi les grands noms de la liste des rappeurs francophones. Pour cette édition, l’artiste et actrice Janelle Monàe, The Blaze, Phoenix, dEUS ou La Femme forment les têtes d’affiche de la musique « indie ». Lous and The Yakuza se produira également à Dour. Une nouvelle scène, « Le Garage », un espace de 1 000 places dédié aux guitares de tous styles, du rock au métal, de la cold wave au punk hardcore. Le 13 juillet, la scène proposera une journée metal hardcore avec les groupes français Punish Yourself et Tagada Jones, les Américains Attila et le groupe belge de heavy metal Do or Die. Les autres jours du festival sur la même scène une large palette de styles avec, entre autres, le trio néerlandais coldwave Ambassade et les New-yorkais du punk-hardcore Show me the Body.
Retour au débutRetour des animations en ville à Spa
Si, pour vous, la chanson française prime, en particulier dans un cadre enchanteur, direction Les Francofolies de Spa, du 20 au 23 juillet. D’autant que, cette année, ce sera vraiment la fête. Elle marque, en effet, le retour des animations en ville avec des « Bars en folie », des terrasses animées par des artistes, une scène gratuite avec concerts découvertes pendant quatre jours et les Francos juniors pour les enfants et les familles. « On a souhaité investir des moyens et de l’énergie », souligne Yoann Frédéric, le nouveau directeur général du festival. L’identité des Francofolies va bien au-delà des concerts dans le parc Francofou, c’est aussi l’ambiance, conviviale, joyeuse, qui s’empare du centre-ville. » Au total près de 140 concerts se dérouleront dans la cité thermale dans douze lieux avec du beau monde. Jugez plutôt, Juliette Armanet, Mika, Rori, Peet, Roméo Elvis, Soprano, Big Flo & Oli, Loïc Nottet, Mentissa, fête à Cali, Florent Pagny, Kendji Girac, Christophe Willem et Marc Lavoine.
Vous cherchez une sortie festive en famille ? Rendez-vous à Esperanzah ! Sa 21e édition, du 27 au 30 juillet, est unique à plus d’un titre. Par son site d’abord. Vous en connaissez beaucoup, vous, des festivals qui se déroulent dans une abbaye ? C’est le cas d’Esperanzah ! à l’abbaye de Floreffe bordée par un méandre de la Sambre. Le festival se différencie aussi par son esprit engagé. Car depuis ses débuts, s’il est un moment de fête, il a à cœur de mettre à l’honneur la citoyenneté, le développement durable et l’égalité des chances. Un festival pour tous, jeunes et moins jeunes, artistes belges et étrangers, dans la diversité culturelle, musique, artistes de rue, cinéma, photographie, théâtre, arts plastiques et visuels. Afro-pop psychédélique, rap, électro, soul, hip-hop, rock… et bonne humeur. Têtes d’affiches : Pomme, Naâman, La Femme, Charlotte Adigéry & Bolis Pupul, Tiken Jah Fakoly et Mandragora. Ajoutons le collectif congolais Kokoko !, la rappeuse française Doria et la Belgo-Portugaise Blu Samu, l’Italienne Ada Oda et le showman Chilly Gonzales. www.esperanzah.be
Retour au débutSept week-ends Découverte
Vous ne vibrez qu’au classique ? Les Festivals de Wallonie sont faits pour vous. De juin à octobre, environ 150 concerts et activités sur l’ensemble du territoire de la Wallonie, réunissent un public de plusieurs dizaines de milliers de spectateurs. En particulier, les Festivals de Wallonie ont conçu sept week-ends Dicovery Boxes (dont un spécial kids), à Namur, Saint-Hubert, Stavelot, Liège, Charleroi et en Brabant wallon. Objectif, découvrir de manière originale la musique classique sous toutes ses formes, mais aussi goûter aux produits du terroir, apprendre de nouvelles choses, partir à l’aventure et se détendre. Un week-end de découvertes musicale, patrimoniale, artistique et gourmande, voilà qui est fort tentant ! Chaque box comprend des billets d’entrée pour un concert sélectionné, une nuitée et un petit-déjeuner dans un logement, une visite découverte et/ou gourmande. Où et quand ? A Namur, les 8 et 9 juillet, dans le cadre du Festival musical de Namur. A Saint-Hubert, les 15 et 16 juillet, dans celui du Royal juillet musical, des concerts associant valeurs affirmées du monde musical et talents en devenir. A Stavelot, les 12 et 13 août, lors du Festival de Stavelot dédié à la musique de chambre et qui se déroule principalement dans l’ancienne abbaye magnifiquement restaurée durant lequel tout Stavelot vit au rythme des concerts du matin et du soir. A Liège, les 16 et 17 septembre, au cours des Nuits de Septembre. A Charleroi, les 30 septembre et 1er octobre, pour 2 et pour 4 personnes (2 adultes et 2 enfants) lors du Festival musical du Hainaut. En Brabant wallon, les 6 et 7 octobre, dans le cadre du Festival Musiq3 Brabant wallon. Et pour vous remettre de ces émotions fortes, quoi de mieux que terminer la journée en dégustant quelques délicieux produits du terroir wallon ?
Par Jacqueline Remits.
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"Habitando el viento" est une exposition de photographies d’époque qui retrace le périple de six familles belges francophones qui ont quitté la Belgique en 1949 et se sont installées en Patagonie chilienne, à Chile Chico.
Cette exposition a déjà été présentée à Santiago en décembre 2022 et inaugurée à l’occasion de la venue au Chili de Pascale Delcomminette, administratrice générale de Wallonie-Bruxelles International.
L’exposition est présentée au Chili avec l’aide des curatrices Veronica Besnier et Maria Cristina Raty, et a été inaugurée à Valparaíso le 16 juin, en présence des autorités du musée, de l’Ambassadeur de Belgique au Chili Christian de Lannoy, des membres du corps consulaire de Valparaíso dont Ruth Engels, consul honoraire de Belgique et doyenne du corps consulaire, et de l’équipe de la représentation Wallonie-Bruxelles au Chili ainsi que d’une cinquantaine de partenaires de la région.
L’exposition sera visible à Valparaiso jusqu’au 17 juillet et sera par la suite exposée en fin d’année dans la ville de Talca, dans la 7ème région du Chili.
"Habitando el viento" est une exposition de photographies d’époque qui retrace le périple de six familles belges francophones qui ont quitté la Belgique en 1949 et se sont installées en Patagonie chilienne, à Chile Chico.
Cette exposition a déjà été présentée à Santiago en décembre 2022 et inaugurée à l’occasion de la venue au Chili de Pascale Delcomminette, administratrice générale de Wallonie-Bruxelles International.
L’exposition est présentée au Chili avec l’aide des curatrices Veronica Besnier et Maria Cristina Raty, et a été inaugurée à Valparaíso le 16 juin, en présence des autorités du musée, de l’Ambassadeur de Belgique au Chili Christian de Lannoy, des membres du corps consulaire de Valparaíso dont Ruth Engels, consul honoraire de Belgique et doyenne du corps consulaire, et de l’équipe de la représentation Wallonie-Bruxelles au Chili ainsi que d’une cinquantaine de partenaires de la région.
L’exposition sera visible à Valparaiso jusqu’au 17 juillet et sera par la suite exposée en fin d’année dans la ville de Talca, dans la 7ème région du Chili.
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Ce long-métrage(2022, 82’), produit par la Belgique et primé lors de festivals prestigieux, sera à l’affiche à l’Institut du Film du Vietnam.
À la suite du succès de la 1ère édition tenue en mars 2022, l’Ambassade du Maroc au Vietnam, la Représentation régionale pour l’Asie et le Pacifique de l’Organisation Internationale de la Francophonie, l’Institut Français du Vietnam et la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam ont le plaisir de réitérer la décentralisation du Festival panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (FESPACO) à Hanoi. 5 œuvres au total seront présentées, du 26 au 30 juin 2023.
Créé en 1969, le plus grand Festival de cinéma africain a lieu tous les deux ans dans la capitale du Burkina Faso.
Retour au débutSynopsis
Amani a 10 ans lorsqu’il est séparé de sa mère Riziki après une nuit traumatique à Kinshasa. Il a 20 ans lorsqu’il arrive à Bruxelles pour la retrouver et poursuivre ses études. Amani est hanté par le passé. Riziki évite d’en parler alors qu’elle vit désormais en couple avec Raphaël. Plus passionné par l’art que par ses études, Amani les délaisse et dérive.
Retour au débutRécompenses
- Afrika Film Festival de Louvain 2022: Prix du Public
- Festival International du Cinéma de Kinshasa 2022:
-Prix du Meilleur Film
-Prix de la Meilleure Réalisation
-Prix de la Meilleure Actrice
- FESPACO 2021: Sélection officielle
- Magritte du Cinéma 2023: Nomination Prix de la Meilleure Actrice
Informations pratiques
Entrée gratuite, 19h30 le vendredi 30/6/2023, Institut du Film du Vietnam, 523 Kim Ma, Hanoi.
Version originale sous-titrée en français et en vietnamien-16+.
Découvrez le trailer de la 2ème décentralisation du FESPACO au Vietnam.
Retour au débutPlus d’informations
Le Tuyet Nhung - Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam
Centre DAEHA (5ème étage – # 505)/ 360 Kim Ma, Ba Dinh, Hanoi
Tél : (024) 3 831.52.41 / GSM : 09 04 20 79 89
Courriel : nhungwb@walbruvietnam.org
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Ce long-métrage(2022, 82’), produit par la Belgique et primé lors de festivals prestigieux, sera à l’affiche à l’Institut du Film du Vietnam.
À la suite du succès de la 1ère édition tenue en mars 2022, l’Ambassade du Maroc au Vietnam, la Représentation régionale pour l’Asie et le Pacifique de l’Organisation Internationale de la Francophonie, l’Institut Français du Vietnam et la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam ont le plaisir de réitérer la décentralisation du Festival panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (FESPACO) à Hanoi. 5 œuvres au total seront présentées, du 26 au 30 juin 2023.
Créé en 1969, le plus grand Festival de cinéma africain a lieu tous les deux ans dans la capitale du Burkina Faso.
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Amani a 10 ans lorsqu’il est séparé de sa mère Riziki après une nuit traumatique à Kinshasa. Il a 20 ans lorsqu’il arrive à Bruxelles pour la retrouver et poursuivre ses études. Amani est hanté par le passé. Riziki évite d’en parler alors qu’elle vit désormais en couple avec Raphaël. Plus passionné par l’art que par ses études, Amani les délaisse et dérive.
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- Afrika Film Festival de Louvain 2022: Prix du Public
- Festival International du Cinéma de Kinshasa 2022:
-Prix du Meilleur Film
-Prix de la Meilleure Réalisation
-Prix de la Meilleure Actrice
- FESPACO 2021: Sélection officielle
- Magritte du Cinéma 2023: Nomination Prix de la Meilleure Actrice
Informations pratiques
Entrée gratuite, 19h30 le vendredi 30/6/2023, Institut du Film du Vietnam, 523 Kim Ma, Hanoi.
Version originale sous-titrée en français et en vietnamien-16+.
Découvrez le trailer de la 2ème décentralisation du FESPACO au Vietnam.
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Le Tuyet Nhung - Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam
Centre DAEHA (5ème étage – # 505)/ 360 Kim Ma, Ba Dinh, Hanoi
Tél : (024) 3 831.52.41 / GSM : 09 04 20 79 89
Courriel : nhungwb@walbruvietnam.org
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« Passerelle des Arts du Feu », est le fruit d’une collaboration étroite entre la Province de Hainaut, Les Cours et Métiers d’Arts du Hainaut et le Gouvernorat de Nabeul en Tunisie avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International sur une période courant de 2019 à 2023.
Il s’agit d’une coopération bilatérale directe entre les institutions de Wallonie-Bruxelles et de la République de Tunisie qui prévoyait la mise en place de différents ateliers liés aux arts du feu (céramique, verrerie, fonderie et ferronnerie) et dont l’objectif est de soutenir la création artistique mais aussi de sensibiliser aux métiers des arts du feu.
A travers ces multiples ateliers, les artistes, formateurs, apprenants du feu, ont créé diverses œuvres et renforcer leurs connaissances techniques. Les fruits de cette création seront exposés dans des musées ou salons afin de poursuivre la sensibilisation du grand public aux arts du feu.
Dans le cadre de la dernière année de ce projet entamé dès 2016, le Centre de la céramique, Keramis à La Louvière a accueilli un ultime atelier consacré à la construction d’un four particulier, le premier du genre en Belgique, mêlant qualités artistiques et optimisation technique.
Résultat d’une collaboration étroite entre Les Cours et Métiers d’Arts du Hainaut, artistes-formateurs-apprenants belges et tunisiens, le four Girel 3 est un four céramique alimenté au bois qui synthétise les recherches de Jean Girel, célèbre céramiste français, depuis plusieurs décennies sur la technologie de la cuisson au bois et ses effets particuliers.
Il a été inauguré ce jeudi 15 juin 2023, en présence des opérateurs du projet, des édiles locaux ainsi que de l’Ambassade de Tunisie.
Keramis - Centre de la Céramique de la Fédération Wallonie-Bruxelles
1 Place des Fours-Bouteilles
7100 La Louvière, Belgique
« Passerelle des Arts du Feu », est le fruit d’une collaboration étroite entre la Province de Hainaut, Les Cours et Métiers d’Arts du Hainaut et le Gouvernorat de Nabeul en Tunisie avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International sur une période courant de 2019 à 2023.
Il s’agit d’une coopération bilatérale directe entre les institutions de Wallonie-Bruxelles et de la République de Tunisie qui prévoyait la mise en place de différents ateliers liés aux arts du feu (céramique, verrerie, fonderie et ferronnerie) et dont l’objectif est de soutenir la création artistique mais aussi de sensibiliser aux métiers des arts du feu.
A travers ces multiples ateliers, les artistes, formateurs, apprenants du feu, ont créé diverses œuvres et renforcer leurs connaissances techniques. Les fruits de cette création seront exposés dans des musées ou salons afin de poursuivre la sensibilisation du grand public aux arts du feu.
Dans le cadre de la dernière année de ce projet entamé dès 2016, le Centre de la céramique, Keramis à La Louvière a accueilli un ultime atelier consacré à la construction d’un four particulier, le premier du genre en Belgique, mêlant qualités artistiques et optimisation technique.
Résultat d’une collaboration étroite entre Les Cours et Métiers d’Arts du Hainaut, artistes-formateurs-apprenants belges et tunisiens, le four Girel 3 est un four céramique alimenté au bois qui synthétise les recherches de Jean Girel, célèbre céramiste français, depuis plusieurs décennies sur la technologie de la cuisson au bois et ses effets particuliers.
Il a été inauguré ce jeudi 15 juin 2023, en présence des opérateurs du projet, des édiles locaux ainsi que de l’Ambassade de Tunisie.
Keramis - Centre de la Céramique de la Fédération Wallonie-Bruxelles
1 Place des Fours-Bouteilles
7100 La Louvière, Belgique
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Pour sa 75ème édition, le salon institutionnel a regroupé plus de 8 500 délégués académiques désireux de renforcer leurs partenariats internationaux. De nombreux pays et institutions faitières de l’enseignement supérieur y étaient représentés, tels que Campus France, le Ministère de l’Enseignement supérieur du Québec ou encore la Fulbright. Via son stand, Wallonie-Bruxelles Campus a pu promouvoir l’offre d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
La délégation belge francophone ayant participé à cette action de promotion était composée de 14 représentants issus de cinq universités et de trois hautes écoles de la FWB ainsi que de deux représentants de Wallonie-Bruxelles Campus. Lors de cette semaine, ceux-ci ont pu rencontrer des partenaires existants et signer de nouveaux accords avec des établissements d’enseignement supérieur du monde entier.
Enfin, grâce au soutien de WBI et en collaboration avec nos collègues flamands, une réception s’est tenue au sein de la résidence de l’Ambassadeur Jean-Arthur Régibeau. À ses côtés, Aline Franchimont, chargée de communication pour WB Campus et Elien Werbrouck, membre de la délégation flamande à New York ont pris la parole afin de représenter le paysage de l’enseignement supérieur belge. Ils ont ainsi introduit l’invitée de marque, Nicole Elkon, secrétaire adjointe aux échanges professionnels et culturels du Bureau des Affaires éducatives et culturelles des USA.
Agence de promotion de l’enseignement supérieur de la Belgique francophone sur la scène internationale, Wallonie-Bruxelles Campus agit sous la tutelle de Wallonie-Bruxelles international et du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles. WB Campus est au service des étudiants internationaux et des établissements supérieurs de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Suivez son actualité sur https://www.studyinbelgium.be/fr.
Pour sa 75ème édition, le salon institutionnel a regroupé plus de 8 500 délégués académiques désireux de renforcer leurs partenariats internationaux. De nombreux pays et institutions faitières de l’enseignement supérieur y étaient représentés, tels que Campus France, le Ministère de l’Enseignement supérieur du Québec ou encore la Fulbright. Via son stand, Wallonie-Bruxelles Campus a pu promouvoir l’offre d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
La délégation belge francophone ayant participé à cette action de promotion était composée de 14 représentants issus de cinq universités et de trois hautes écoles de la FWB ainsi que de deux représentants de Wallonie-Bruxelles Campus. Lors de cette semaine, ceux-ci ont pu rencontrer des partenaires existants et signer de nouveaux accords avec des établissements d’enseignement supérieur du monde entier.
Enfin, grâce au soutien de WBI et en collaboration avec nos collègues flamands, une réception s’est tenue au sein de la résidence de l’Ambassadeur Jean-Arthur Régibeau. À ses côtés, Aline Franchimont, chargée de communication pour WB Campus et Elien Werbrouck, membre de la délégation flamande à New York ont pris la parole afin de représenter le paysage de l’enseignement supérieur belge. Ils ont ainsi introduit l’invitée de marque, Nicole Elkon, secrétaire adjointe aux échanges professionnels et culturels du Bureau des Affaires éducatives et culturelles des USA.
Agence de promotion de l’enseignement supérieur de la Belgique francophone sur la scène internationale, Wallonie-Bruxelles Campus agit sous la tutelle de Wallonie-Bruxelles international et du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles. WB Campus est au service des étudiants internationaux et des établissements supérieurs de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Suivez son actualité sur https://www.studyinbelgium.be/fr.