Aller au contenu principal

(c) WBT-Jean-Luc Flémal-Francofolies de Spa

L’occasion d’en profiter pour découvrir un coin de cette région accueillante aux richesses insoupçonnées et de vivre de nouvelles émotions.

 

Commençons de manière flamboyante avec Les Ardentes à Liège. Ce festival, 17e du nom, s’impose désormais comme l’un des événements européens majeurs dans le hip-hop et les musiques urbaines. Du 6 au 9 juillet à Rocourt, sur les hauteurs de la Cité Ardente. L’avantage de ce lieu est sa capacité qui permet d’attirer de grands noms, des artistes internationaux venant des Etats-Unis, de Grande-Bretagne, de France, de Belgique, comme Travis Scott, Kendrick Lamar, J Balvin, Playboi Carti… Programmer ce type d’artistes place Les Ardentes en compétition avec les plus grands festivals d’Europe, voire du monde. Egalement au programme, la Franco-Malienne Aya Nakamura, la Belge Lous and the Yakuza dont la carrière a fort décollé en France et que le festival est très heureux d’accueillir à Liège. Et Booba, premier rappeur français à remplir le stade de France et qui vient pour la troisième fois aux Ardentes. « L’objectif est d’avoir chaque année les plus grands noms du rap international », précisent les organisateurs qui attendent 65 000 personnes par jour, dont 45 % d’étrangers, surtout des Français. Parmi les nouveautés, l’agrandissement du camping doté de logements cosy. Un festival européen qui joue désormais dans la cour des grands festivals du monde.

Retour au début

Nouvelle scène à Dour

Si vous voulez du métal, du hardcore, c’est à Dour Festival que ça se passe. Du 12 au 16 juillet, hip-hop, soul, métal, r’n’b du monde entier, le festival annonce « la meilleure liste d’artistes électroniques de son histoire » avec, en tête d’affiche, l’artiste coréenne Peggy Gou. D’autres artistes de renommée internationale sont annoncés comme le producteur-compositeur français Pedro Winter, ou encore le compositeur britannique Aphex Twin qui clôturera le festival, 14 ans après son unique passage à Dour. Damso, Orelsan, ou encore Lomepal figurent parmi les grands noms de la liste des rappeurs francophones. Pour cette édition, l’artiste et actrice Janelle Monàe, The Blaze, Phoenix, dEUS ou La Femme forment les têtes d’affiche de la musique « indie ». Lous and The Yakuza se produira également à Dour. Une nouvelle scène, « Le Garage », un espace de 1 000 places dédié aux guitares de tous styles, du rock au métal, de la cold wave au punk hardcore. Le 13 juillet, la scène proposera une journée metal hardcore avec les groupes français Punish Yourself et Tagada Jones, les Américains Attila et le groupe belge de heavy metal Do or Die. Les autres jours du festival sur la même scène une large palette de styles avec, entre autres, le trio néerlandais coldwave Ambassade et les New-yorkais du punk-hardcore Show me the Body.

Retour au début

Retour des animations en ville à Spa

Si, pour vous, la chanson française prime, en particulier dans un cadre enchanteur, direction Les Francofolies de Spa, du 20 au 23 juillet. D’autant que, cette année, ce sera vraiment la fête. Elle marque, en effet, le retour des animations en ville avec des « Bars en folie », des terrasses animées par des artistes, une scène gratuite avec concerts découvertes pendant quatre jours et les Francos juniors pour les enfants et les familles. « On a souhaité investir des moyens et de l’énergie », souligne Yoann Frédéric, le nouveau directeur général du festival. L’identité des Francofolies va bien au-delà des concerts dans le parc Francofou, c’est aussi l’ambiance, conviviale, joyeuse, qui s’empare du centre-ville. » Au total près de 140 concerts se dérouleront dans la cité thermale dans douze lieux avec du beau monde. Jugez plutôt, Juliette Armanet, Mika, Rori, Peet, Roméo Elvis, Soprano, Big Flo & Oli, Loïc Nottet, Mentissa, fête à Cali, Florent Pagny, Kendji Girac, Christophe Willem et Marc Lavoine.

 

Vous cherchez une sortie festive en famille ? Rendez-vous à Esperanzah ! Sa 21e édition, du 27 au 30 juillet, est unique à plus d’un titre. Par son site d’abord. Vous en connaissez beaucoup, vous, des festivals qui se déroulent dans une abbaye ? C’est le cas d’Esperanzah ! à l’abbaye de Floreffe bordée par un méandre de la Sambre. Le festival se différencie aussi par son esprit engagé. Car depuis ses débuts, s’il est un moment de fête, il a à cœur de mettre à l’honneur la citoyenneté, le développement durable et l’égalité des chances. Un festival pour tous, jeunes et moins jeunes, artistes belges et étrangers, dans la diversité culturelle, musique, artistes de rue, cinéma, photographie, théâtre, arts plastiques et visuels. Afro-pop psychédélique, rap, électro, soul, hip-hop, rock… et bonne humeur. Têtes d’affiches : Pomme, Naâman, La Femme, Charlotte Adigéry & Bolis Pupul, Tiken Jah Fakoly et Mandragora. Ajoutons le collectif congolais Kokoko !, la rappeuse française Doria et la Belgo-Portugaise Blu Samu, l’Italienne Ada Oda et le showman Chilly Gonzales. www.esperanzah.be

Retour au début

Sept week-ends Découverte

Vous ne vibrez qu’au classique ? Les Festivals de Wallonie sont faits pour vous. De juin à octobre, environ 150 concerts et activités sur l’ensemble du territoire de la Wallonie, réunissent un public de plusieurs dizaines de milliers de spectateurs. En particulier, les Festivals de Wallonie ont conçu sept week-ends Dicovery Boxes (dont un spécial kids), à Namur, Saint-Hubert, Stavelot, Liège, Charleroi et en Brabant wallon. Objectif, découvrir de manière originale la musique classique sous toutes ses formes, mais aussi goûter aux produits du terroir, apprendre de nouvelles choses, partir à l’aventure et se détendre. Un week-end de découvertes musicale, patrimoniale, artistique et gourmande, voilà qui est fort tentant ! Chaque box comprend des billets d’entrée pour un concert sélectionné, une nuitée et un petit-déjeuner dans un logement, une visite découverte et/ou gourmande. Où et quand ? A Namur, les 8 et 9 juillet, dans le cadre du Festival musical de Namur. A Saint-Hubert, les 15 et 16 juillet, dans celui du Royal juillet musical, des concerts associant valeurs affirmées du monde musical et talents en devenir. A Stavelot, les 12 et 13 août, lors du Festival de Stavelot dédié à la musique de chambre et qui se déroule principalement dans l’ancienne abbaye magnifiquement restaurée durant lequel tout Stavelot vit au rythme des concerts du matin et du soir. A Liège, les 16 et 17 septembre, au cours des Nuits de Septembre. A Charleroi, les 30 septembre et 1er octobre, pour 2 et pour 4 personnes (2 adultes et 2 enfants) lors du Festival musical du Hainaut. En Brabant wallon, les 6 et 7 octobre, dans le cadre du Festival Musiq3 Brabant wallon. Et pour vous remettre de ces émotions fortes, quoi de mieux que terminer la journée en dégustant quelques délicieux produits du terroir wallon ? 

 

Par Jacqueline Remits.

 

Retour au début

L’occasion d’en profiter pour découvrir un coin de cette région accueillante aux richesses insoupçonnées et de vivre de nouvelles émotions.

 

Commençons de manière flamboyante avec Les Ardentes à Liège. Ce festival, 17e du nom, s’impose désormais comme l’un des événements européens majeurs dans le hip-hop et les musiques urbaines. Du 6 au 9 juillet à Rocourt, sur les hauteurs de la Cité Ardente. L’avantage de ce lieu est sa capacité qui permet d’attirer de grands noms, des artistes internationaux venant des Etats-Unis, de Grande-Bretagne, de France, de Belgique, comme Travis Scott, Kendrick Lamar, J Balvin, Playboi Carti… Programmer ce type d’artistes place Les Ardentes en compétition avec les plus grands festivals d’Europe, voire du monde. Egalement au programme, la Franco-Malienne Aya Nakamura, la Belge Lous and the Yakuza dont la carrière a fort décollé en France et que le festival est très heureux d’accueillir à Liège. Et Booba, premier rappeur français à remplir le stade de France et qui vient pour la troisième fois aux Ardentes. « L’objectif est d’avoir chaque année les plus grands noms du rap international », précisent les organisateurs qui attendent 65 000 personnes par jour, dont 45 % d’étrangers, surtout des Français. Parmi les nouveautés, l’agrandissement du camping doté de logements cosy. Un festival européen qui joue désormais dans la cour des grands festivals du monde.

Retour au début

Nouvelle scène à Dour

Si vous voulez du métal, du hardcore, c’est à Dour Festival que ça se passe. Du 12 au 16 juillet, hip-hop, soul, métal, r’n’b du monde entier, le festival annonce « la meilleure liste d’artistes électroniques de son histoire » avec, en tête d’affiche, l’artiste coréenne Peggy Gou. D’autres artistes de renommée internationale sont annoncés comme le producteur-compositeur français Pedro Winter, ou encore le compositeur britannique Aphex Twin qui clôturera le festival, 14 ans après son unique passage à Dour. Damso, Orelsan, ou encore Lomepal figurent parmi les grands noms de la liste des rappeurs francophones. Pour cette édition, l’artiste et actrice Janelle Monàe, The Blaze, Phoenix, dEUS ou La Femme forment les têtes d’affiche de la musique « indie ». Lous and The Yakuza se produira également à Dour. Une nouvelle scène, « Le Garage », un espace de 1 000 places dédié aux guitares de tous styles, du rock au métal, de la cold wave au punk hardcore. Le 13 juillet, la scène proposera une journée metal hardcore avec les groupes français Punish Yourself et Tagada Jones, les Américains Attila et le groupe belge de heavy metal Do or Die. Les autres jours du festival sur la même scène une large palette de styles avec, entre autres, le trio néerlandais coldwave Ambassade et les New-yorkais du punk-hardcore Show me the Body.

Retour au début

Retour des animations en ville à Spa

Si, pour vous, la chanson française prime, en particulier dans un cadre enchanteur, direction Les Francofolies de Spa, du 20 au 23 juillet. D’autant que, cette année, ce sera vraiment la fête. Elle marque, en effet, le retour des animations en ville avec des « Bars en folie », des terrasses animées par des artistes, une scène gratuite avec concerts découvertes pendant quatre jours et les Francos juniors pour les enfants et les familles. « On a souhaité investir des moyens et de l’énergie », souligne Yoann Frédéric, le nouveau directeur général du festival. L’identité des Francofolies va bien au-delà des concerts dans le parc Francofou, c’est aussi l’ambiance, conviviale, joyeuse, qui s’empare du centre-ville. » Au total près de 140 concerts se dérouleront dans la cité thermale dans douze lieux avec du beau monde. Jugez plutôt, Juliette Armanet, Mika, Rori, Peet, Roméo Elvis, Soprano, Big Flo & Oli, Loïc Nottet, Mentissa, fête à Cali, Florent Pagny, Kendji Girac, Christophe Willem et Marc Lavoine.

 

Vous cherchez une sortie festive en famille ? Rendez-vous à Esperanzah ! Sa 21e édition, du 27 au 30 juillet, est unique à plus d’un titre. Par son site d’abord. Vous en connaissez beaucoup, vous, des festivals qui se déroulent dans une abbaye ? C’est le cas d’Esperanzah ! à l’abbaye de Floreffe bordée par un méandre de la Sambre. Le festival se différencie aussi par son esprit engagé. Car depuis ses débuts, s’il est un moment de fête, il a à cœur de mettre à l’honneur la citoyenneté, le développement durable et l’égalité des chances. Un festival pour tous, jeunes et moins jeunes, artistes belges et étrangers, dans la diversité culturelle, musique, artistes de rue, cinéma, photographie, théâtre, arts plastiques et visuels. Afro-pop psychédélique, rap, électro, soul, hip-hop, rock… et bonne humeur. Têtes d’affiches : Pomme, Naâman, La Femme, Charlotte Adigéry & Bolis Pupul, Tiken Jah Fakoly et Mandragora. Ajoutons le collectif congolais Kokoko !, la rappeuse française Doria et la Belgo-Portugaise Blu Samu, l’Italienne Ada Oda et le showman Chilly Gonzales. www.esperanzah.be

Retour au début

Sept week-ends Découverte

Vous ne vibrez qu’au classique ? Les Festivals de Wallonie sont faits pour vous. De juin à octobre, environ 150 concerts et activités sur l’ensemble du territoire de la Wallonie, réunissent un public de plusieurs dizaines de milliers de spectateurs. En particulier, les Festivals de Wallonie ont conçu sept week-ends Dicovery Boxes (dont un spécial kids), à Namur, Saint-Hubert, Stavelot, Liège, Charleroi et en Brabant wallon. Objectif, découvrir de manière originale la musique classique sous toutes ses formes, mais aussi goûter aux produits du terroir, apprendre de nouvelles choses, partir à l’aventure et se détendre. Un week-end de découvertes musicale, patrimoniale, artistique et gourmande, voilà qui est fort tentant ! Chaque box comprend des billets d’entrée pour un concert sélectionné, une nuitée et un petit-déjeuner dans un logement, une visite découverte et/ou gourmande. Où et quand ? A Namur, les 8 et 9 juillet, dans le cadre du Festival musical de Namur. A Saint-Hubert, les 15 et 16 juillet, dans celui du Royal juillet musical, des concerts associant valeurs affirmées du monde musical et talents en devenir. A Stavelot, les 12 et 13 août, lors du Festival de Stavelot dédié à la musique de chambre et qui se déroule principalement dans l’ancienne abbaye magnifiquement restaurée durant lequel tout Stavelot vit au rythme des concerts du matin et du soir. A Liège, les 16 et 17 septembre, au cours des Nuits de Septembre. A Charleroi, les 30 septembre et 1er octobre, pour 2 et pour 4 personnes (2 adultes et 2 enfants) lors du Festival musical du Hainaut. En Brabant wallon, les 6 et 7 octobre, dans le cadre du Festival Musiq3 Brabant wallon. Et pour vous remettre de ces émotions fortes, quoi de mieux que terminer la journée en dégustant quelques délicieux produits du terroir wallon ? 

 

Par Jacqueline Remits.

 

Retour au début

Bouton - en savoir plus

Des sportifs sénégalais de haut niveau en visite au Centre ADEPS de Louvain-la-Neuve

La délégation était composée de 4 athlètes dont les plus performants actuellement dans leur discipline, à savoir Cheikh Tidiane Diouf (400m), Lassana Marico (110 m haies), Fatoumata Fanta Balde (100 m et 200 m), Amath Faye (saut en longueur et triple saut), de 6 joueuses et joueurs de basket et de 3 athlètes paralympiques. Trois entraineurs les accompagnaient.

 

Ce séjour, organisé et financé par Wallonie-Bruxelles International (WBI) à l’initiative du Ministre-Président de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB), Pierre-Yves Jeholet, aura été l’occasion pour ces athlètes de haut niveau de bénéficier d’un encadrement technique, mais aussi de se mesurer à de jeunes talents de la FWB.

 

Ce projet s’inscrit dans le cadre de la coopération entre Wallonie-Bruxelles et le Sénégal. Il répond également à la volonté de la FWB et de la Wallonie de mieux valoriser leurs infrastructures de haut niveau sur la scène internationale.

 

Ce stage a été possible grâce à l’implication de l’Administration générale du sport de la FWB (ADEPS) et des fédérations concernées en FWB (Ligue francophone d’athlétisme, Association Wallonie-Bruxelles de basket-ball, Ligue francophone Handisport).

 

Au Sénégal, le projet est porté par le Ministère des sports en association avec la Fédération d’athlétisme, la Fédération de basket et la Fédération paralympique.

 

Deux mots à retenir de cette expérience : enthousiasme et rigueur.

 

Le Sénégal s’investit activement dans la préparation de ses athlètes de haut niveau non seulement dans la perspective des prochains Jeux Olympiques de Paris en 2024, mais aussi, et surtout, dans la perspective de l’accueil, à Dakar, des Jeux Olympiques de la Jeunesse à l’été 2026

La délégation était composée de 4 athlètes dont les plus performants actuellement dans leur discipline, à savoir Cheikh Tidiane Diouf (400m), Lassana Marico (110 m haies), Fatoumata Fanta Balde (100 m et 200 m), Amath Faye (saut en longueur et triple saut), de 6 joueuses et joueurs de basket et de 3 athlètes paralympiques. Trois entraineurs les accompagnaient.

 

Ce séjour, organisé et financé par Wallonie-Bruxelles International (WBI) à l’initiative du Ministre-Président de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB), Pierre-Yves Jeholet, aura été l’occasion pour ces athlètes de haut niveau de bénéficier d’un encadrement technique, mais aussi de se mesurer à de jeunes talents de la FWB.

 

Ce projet s’inscrit dans le cadre de la coopération entre Wallonie-Bruxelles et le Sénégal. Il répond également à la volonté de la FWB et de la Wallonie de mieux valoriser leurs infrastructures de haut niveau sur la scène internationale.

 

Ce stage a été possible grâce à l’implication de l’Administration générale du sport de la FWB (ADEPS) et des fédérations concernées en FWB (Ligue francophone d’athlétisme, Association Wallonie-Bruxelles de basket-ball, Ligue francophone Handisport).

 

Au Sénégal, le projet est porté par le Ministère des sports en association avec la Fédération d’athlétisme, la Fédération de basket et la Fédération paralympique.

 

Deux mots à retenir de cette expérience : enthousiasme et rigueur.

 

Le Sénégal s’investit activement dans la préparation de ses athlètes de haut niveau non seulement dans la perspective des prochains Jeux Olympiques de Paris en 2024, mais aussi, et surtout, dans la perspective de l’accueil, à Dakar, des Jeux Olympiques de la Jeunesse à l’été 2026

Bouton - en savoir plus

©️ JIPF

Chaque année, la Journée Internationale des Professeurs de Français (JIPF) permet de valoriser le métier de professeur de français grâce à des activités et des événements qui créent du lien et de la solidarité entre les enseignants, qui peuvent échanger, partager leurs expériences et leurs pratiques de l'enseignement à travers des moments conviviaux.

 

La JIPF a lieu cette année le 23 novembre et la thématique est "Fières et fiers d'enseigner le français !".

 

Chaque pays réunit ses enseignants, ses institutions et toute personne engagée dans l'enseignement du et en français au sein d'un comité national d'organisation. Chaque comité national peut organiser des espaces de débat, de formation, de témoignage.

 

Vous souhaitez vous investir dans cette Journée Internationale des Professeurs de Français et proposer une activité ?

Vous pouvez déposer votre projet pour le 17 septembre 2023 (avec demande de cofinancement) ou le 1er novembre 2023 (sans demande de cofinancement).

 

Retrouvez toutes les modalités de participation ici.

Et tous les détails sur la Journée Internationale des Professeurs de Français ici, ainsi que le mode d'emploi.

 

Pour toute infrmation : contact@fipf.org

 

Chaque année, la Journée Internationale des Professeurs de Français (JIPF) permet de valoriser le métier de professeur de français grâce à des activités et des événements qui créent du lien et de la solidarité entre les enseignants, qui peuvent échanger, partager leurs expériences et leurs pratiques de l'enseignement à travers des moments conviviaux.

 

La JIPF a lieu cette année le 23 novembre et la thématique est "Fières et fiers d'enseigner le français !".

 

Chaque pays réunit ses enseignants, ses institutions et toute personne engagée dans l'enseignement du et en français au sein d'un comité national d'organisation. Chaque comité national peut organiser des espaces de débat, de formation, de témoignage.

 

Vous souhaitez vous investir dans cette Journée Internationale des Professeurs de Français et proposer une activité ?

Vous pouvez déposer votre projet pour le 17 septembre 2023 (avec demande de cofinancement) ou le 1er novembre 2023 (sans demande de cofinancement).

 

Retrouvez toutes les modalités de participation ici.

Et tous les détails sur la Journée Internationale des Professeurs de Français ici, ainsi que le mode d'emploi.

 

Pour toute infrmation : contact@fipf.org

 

Bouton - en savoir plus

(c) DGWB Chili et Musée Baburizza

"Habitando el viento" est une exposition de photographies d’époque qui retrace le périple de six familles belges francophones qui ont quitté la Belgique en 1949 et se sont installées en Patagonie chilienne, à Chile Chico.

 

Cette exposition a déjà été présentée à Santiago en décembre 2022 et inaugurée à l’occasion de la venue au Chili de Pascale Delcomminette, administratrice générale de Wallonie-Bruxelles International.

 

L’exposition est présentée au Chili avec l’aide des curatrices Veronica Besnier et Maria Cristina Raty, et a été inaugurée à Valparaíso le 16 juin, en présence des autorités du musée, de l’Ambassadeur de Belgique au Chili Christian de Lannoy, des membres du corps consulaire de Valparaíso dont Ruth Engels, consul honoraire de Belgique et doyenne du corps consulaire, et de l’équipe de la représentation Wallonie-Bruxelles au Chili ainsi que d’une cinquantaine de partenaires de la région.

 

L’exposition sera visible à Valparaiso jusqu’au 17 juillet et sera par la suite exposée en fin d’année dans la ville de Talca, dans la 7ème région du Chili.

"Habitando el viento" est une exposition de photographies d’époque qui retrace le périple de six familles belges francophones qui ont quitté la Belgique en 1949 et se sont installées en Patagonie chilienne, à Chile Chico.

 

Cette exposition a déjà été présentée à Santiago en décembre 2022 et inaugurée à l’occasion de la venue au Chili de Pascale Delcomminette, administratrice générale de Wallonie-Bruxelles International.

 

L’exposition est présentée au Chili avec l’aide des curatrices Veronica Besnier et Maria Cristina Raty, et a été inaugurée à Valparaíso le 16 juin, en présence des autorités du musée, de l’Ambassadeur de Belgique au Chili Christian de Lannoy, des membres du corps consulaire de Valparaíso dont Ruth Engels, consul honoraire de Belgique et doyenne du corps consulaire, et de l’équipe de la représentation Wallonie-Bruxelles au Chili ainsi que d’une cinquantaine de partenaires de la région.

 

L’exposition sera visible à Valparaiso jusqu’au 17 juillet et sera par la suite exposée en fin d’année dans la ville de Talca, dans la 7ème région du Chili.

Bouton - en savoir plus

Ce long-métrage(2022, 82’), produit par la Belgique et primé lors de festivals prestigieux, sera à l’affiche à l’Institut du Film du Vietnam.

 

À la suite du succès de la 1ère édition tenue en mars 2022, l’Ambassade du Maroc au Vietnam, la Représentation régionale pour l’Asie et le Pacifique de l’Organisation Internationale de la Francophonie, l’Institut Français du Vietnam et la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam ont le plaisir de réitérer la décentralisation du Festival panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (FESPACO) à Hanoi. 5 œuvres au total seront présentées, du 26 au 30 juin 2023.

 

Créé en 1969, le plus grand Festival de cinéma africain a lieu tous les deux ans dans la capitale du Burkina Faso.

Retour au début

Synopsis

Amani a 10 ans lorsqu’il est séparé de sa mère Riziki après une nuit traumatique à Kinshasa. Il a 20 ans lorsqu’il arrive à Bruxelles pour la retrouver et poursuivre ses études. Amani est hanté par le passé. Riziki évite d’en parler alors qu’elle vit désormais en couple avec Raphaël. Plus passionné par l’art que par ses études, Amani les délaisse et dérive.

Retour au début

Récompenses

  • Afrika Film Festival de Louvain 2022: Prix du Public
  • Festival International du Cinéma de Kinshasa 2022:

-Prix du Meilleur Film

-Prix de la Meilleure Réalisation

-Prix de la Meilleure Actrice

  • FESPACO 2021: Sélection officielle
  • Magritte du Cinéma 2023: Nomination Prix de la Meilleure Actrice
Retour au début

Informations pratiques

Entrée gratuite, 19h30 le vendredi 30/6/2023, Institut du Film du Vietnam, 523 Kim Ma, Hanoi.

Version originale sous-titrée en français et en vietnamien-16+.

Découvrez le trailer de la 2ème décentralisation du FESPACO au Vietnam.

Retour au début

Plus d’informations

Le Tuyet Nhung - Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam

Centre DAEHA (5ème étage – # 505)/ 360 Kim Ma, Ba Dinh, Hanoi

Tél : (024) 3 831.52.41 / GSM : 09 04 20 79 89

Courriel : nhungwb@walbruvietnam.org

 

Retour au début

Ce long-métrage(2022, 82’), produit par la Belgique et primé lors de festivals prestigieux, sera à l’affiche à l’Institut du Film du Vietnam.

 

À la suite du succès de la 1ère édition tenue en mars 2022, l’Ambassade du Maroc au Vietnam, la Représentation régionale pour l’Asie et le Pacifique de l’Organisation Internationale de la Francophonie, l’Institut Français du Vietnam et la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam ont le plaisir de réitérer la décentralisation du Festival panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (FESPACO) à Hanoi. 5 œuvres au total seront présentées, du 26 au 30 juin 2023.

 

Créé en 1969, le plus grand Festival de cinéma africain a lieu tous les deux ans dans la capitale du Burkina Faso.

Retour au début

Synopsis

Amani a 10 ans lorsqu’il est séparé de sa mère Riziki après une nuit traumatique à Kinshasa. Il a 20 ans lorsqu’il arrive à Bruxelles pour la retrouver et poursuivre ses études. Amani est hanté par le passé. Riziki évite d’en parler alors qu’elle vit désormais en couple avec Raphaël. Plus passionné par l’art que par ses études, Amani les délaisse et dérive.

Retour au début

Récompenses

  • Afrika Film Festival de Louvain 2022: Prix du Public
  • Festival International du Cinéma de Kinshasa 2022:

-Prix du Meilleur Film

-Prix de la Meilleure Réalisation

-Prix de la Meilleure Actrice

  • FESPACO 2021: Sélection officielle
  • Magritte du Cinéma 2023: Nomination Prix de la Meilleure Actrice
Retour au début

Informations pratiques

Entrée gratuite, 19h30 le vendredi 30/6/2023, Institut du Film du Vietnam, 523 Kim Ma, Hanoi.

Version originale sous-titrée en français et en vietnamien-16+.

Découvrez le trailer de la 2ème décentralisation du FESPACO au Vietnam.

Retour au début

Plus d’informations

Le Tuyet Nhung - Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam

Centre DAEHA (5ème étage – # 505)/ 360 Kim Ma, Ba Dinh, Hanoi

Tél : (024) 3 831.52.41 / GSM : 09 04 20 79 89

Courriel : nhungwb@walbruvietnam.org

 

Retour au début

Documents liés

Bouton - en savoir plus

(c) WBI

« Passerelle des Arts du Feu », est le fruit d’une collaboration étroite entre la Province de Hainaut, Les Cours et Métiers d’Arts du Hainaut et le Gouvernorat de Nabeul en Tunisie avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International sur une période courant de 2019 à 2023.

 

Il s’agit d’une coopération bilatérale directe entre les institutions de Wallonie-Bruxelles et de la République de Tunisie qui prévoyait la mise en place de différents ateliers liés aux arts du feu (céramique, verrerie, fonderie et ferronnerie) et dont l’objectif est de soutenir la création artistique mais aussi de sensibiliser aux métiers des arts du feu.

 

A travers ces multiples ateliers, les artistes, formateurs, apprenants du feu, ont créé diverses œuvres et renforcer leurs connaissances techniques. Les fruits de cette création seront exposés dans des musées ou salons afin de poursuivre la sensibilisation du grand public aux arts du feu.

 

Dans le cadre de la dernière année de ce projet entamé dès 2016, le Centre de la céramique, Keramis à La Louvière a accueilli un ultime atelier consacré à la construction d’un four particulier, le premier du genre en Belgique, mêlant qualités artistiques et optimisation technique.

 

Résultat d’une collaboration étroite entre Les Cours et Métiers d’Arts du Hainaut, artistes-formateurs-apprenants belges et tunisiens, le four Girel 3 est un four céramique alimenté au bois qui synthétise les recherches de Jean Girel, célèbre céramiste français, depuis plusieurs décennies sur la technologie de la cuisson au bois et ses effets particuliers.

 

Il a été inauguré ce jeudi 15 juin 2023, en présence des opérateurs du projet, des édiles locaux ainsi que de l’Ambassade de Tunisie.

 

Keramis - Centre de la Céramique de la Fédération Wallonie-Bruxelles

1 Place des Fours-Bouteilles

7100 La Louvière, Belgique

 

 

« Passerelle des Arts du Feu », est le fruit d’une collaboration étroite entre la Province de Hainaut, Les Cours et Métiers d’Arts du Hainaut et le Gouvernorat de Nabeul en Tunisie avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International sur une période courant de 2019 à 2023.

 

Il s’agit d’une coopération bilatérale directe entre les institutions de Wallonie-Bruxelles et de la République de Tunisie qui prévoyait la mise en place de différents ateliers liés aux arts du feu (céramique, verrerie, fonderie et ferronnerie) et dont l’objectif est de soutenir la création artistique mais aussi de sensibiliser aux métiers des arts du feu.

 

A travers ces multiples ateliers, les artistes, formateurs, apprenants du feu, ont créé diverses œuvres et renforcer leurs connaissances techniques. Les fruits de cette création seront exposés dans des musées ou salons afin de poursuivre la sensibilisation du grand public aux arts du feu.

 

Dans le cadre de la dernière année de ce projet entamé dès 2016, le Centre de la céramique, Keramis à La Louvière a accueilli un ultime atelier consacré à la construction d’un four particulier, le premier du genre en Belgique, mêlant qualités artistiques et optimisation technique.

 

Résultat d’une collaboration étroite entre Les Cours et Métiers d’Arts du Hainaut, artistes-formateurs-apprenants belges et tunisiens, le four Girel 3 est un four céramique alimenté au bois qui synthétise les recherches de Jean Girel, célèbre céramiste français, depuis plusieurs décennies sur la technologie de la cuisson au bois et ses effets particuliers.

 

Il a été inauguré ce jeudi 15 juin 2023, en présence des opérateurs du projet, des édiles locaux ainsi que de l’Ambassade de Tunisie.

 

Keramis - Centre de la Céramique de la Fédération Wallonie-Bruxelles

1 Place des Fours-Bouteilles

7100 La Louvière, Belgique

 

 

Bouton - en savoir plus

(c) WBCampus

Pour sa 75ème édition, le salon institutionnel a regroupé plus de 8 500 délégués académiques désireux de renforcer leurs partenariats internationaux. De nombreux pays et institutions faitières de l’enseignement supérieur y étaient représentés, tels que Campus France, le Ministère de l’Enseignement supérieur du Québec ou encore la Fulbright. Via son stand, Wallonie-Bruxelles Campus a pu promouvoir l’offre d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

 

La délégation belge francophone ayant participé à cette action de promotion était composée de 14 représentants issus de cinq universités et de trois hautes écoles de la FWB ainsi que de deux représentants de Wallonie-Bruxelles Campus. Lors de cette semaine, ceux-ci ont pu rencontrer des partenaires existants et signer de nouveaux accords avec des établissements d’enseignement supérieur du monde entier.

 

Enfin, grâce au soutien de WBI et en collaboration avec nos collègues flamands, une réception s’est tenue au sein de la résidence de l’Ambassadeur Jean-Arthur Régibeau. À ses côtés, Aline Franchimont, chargée de communication pour WB Campus et Elien Werbrouck, membre de la délégation flamande à New York ont pris la parole afin de représenter le paysage de l’enseignement supérieur belge. Ils ont ainsi introduit l’invitée de marque, Nicole Elkon, secrétaire adjointe aux échanges professionnels et culturels du Bureau des Affaires éducatives et culturelles des USA.

 

Agence de promotion de l’enseignement supérieur de la Belgique francophone sur la scène internationale, Wallonie-Bruxelles Campus agit sous la tutelle de Wallonie-Bruxelles international et du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles. WB Campus est au service des étudiants internationaux et des établissements supérieurs de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Suivez son actualité sur https://www.studyinbelgium.be/fr.

 

 

 

Pour sa 75ème édition, le salon institutionnel a regroupé plus de 8 500 délégués académiques désireux de renforcer leurs partenariats internationaux. De nombreux pays et institutions faitières de l’enseignement supérieur y étaient représentés, tels que Campus France, le Ministère de l’Enseignement supérieur du Québec ou encore la Fulbright. Via son stand, Wallonie-Bruxelles Campus a pu promouvoir l’offre d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

 

La délégation belge francophone ayant participé à cette action de promotion était composée de 14 représentants issus de cinq universités et de trois hautes écoles de la FWB ainsi que de deux représentants de Wallonie-Bruxelles Campus. Lors de cette semaine, ceux-ci ont pu rencontrer des partenaires existants et signer de nouveaux accords avec des établissements d’enseignement supérieur du monde entier.

 

Enfin, grâce au soutien de WBI et en collaboration avec nos collègues flamands, une réception s’est tenue au sein de la résidence de l’Ambassadeur Jean-Arthur Régibeau. À ses côtés, Aline Franchimont, chargée de communication pour WB Campus et Elien Werbrouck, membre de la délégation flamande à New York ont pris la parole afin de représenter le paysage de l’enseignement supérieur belge. Ils ont ainsi introduit l’invitée de marque, Nicole Elkon, secrétaire adjointe aux échanges professionnels et culturels du Bureau des Affaires éducatives et culturelles des USA.

 

Agence de promotion de l’enseignement supérieur de la Belgique francophone sur la scène internationale, Wallonie-Bruxelles Campus agit sous la tutelle de Wallonie-Bruxelles international et du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles. WB Campus est au service des étudiants internationaux et des établissements supérieurs de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Suivez son actualité sur https://www.studyinbelgium.be/fr.

 

 

 

Bouton - en savoir plus

(c) Aurélie William Levaux et Cellule architecture

Construire, c’est collaborer avec la terre : c’est mettre une marque humaine sur un paysage qui en sera modifié à jamais ; c’est contribuer aussi à ce lent changement qui est la vie des villes… J’ai beaucoup reconstruit : c’est collaborer avec le temps sous son aspect de passé, en saisir ou en modifier l’esprit, lui servir de relais vers un plus long avenir ; c’est retrouver sous les pierres le secret des sources.

Marguerite Yourcenar, Mémoires d’Hadrien.

 

Le spectre du dérèglement climatique et de ses implications sociales, économiques et écologiques hante la planète. La question énergétique, la sécheresse, les inondations et autres catastrophes climatiques nous confrontent aux enjeux de la gouvernance et plus spécifiquement, au manque d’intérêt des politiques en matière d’architecture et d’aménagement du territoire. Pour tenter de changer le cours de cette situation, toute intervention spatiale sur notre environnement, quelle que soit son échelle, se doit de répondre aux enjeux de la transition environnementale, sociétale et économique en intégrant les dimensions publiques, collectives et privées.

 

Dans cette optique, l’ouvrage Architectures Wallonie-Bruxelles Inventaires # 4 a choisi de valoriser une centaine d’approches spatiales (projets ou actions), réalisées en Belgique francophone et à l’international ces trois dernières années, capables d’initier cette transition.

 

Il propose dans un manifeste en 29 points de participer à l’écriture d’un nouveau récit qui vise la régénération de notre territoire et par conséquent, de notre planète.

 

Le regard d’experts dans les domaines de l’architecture, de l’urbanisme, du paysage et de la sociologie dresse sur cette base quelques pistes de réflexions selon six thématiques: la nouvelle ruralité, la frugalité dans les modes de construction, la gouvernance, la ré-appropriation, le rôle des espaces ouverts et enfin, la mutation des pratiques architecturales en lien avec l’évolution des usages. Concrètement, 33 propositions qui possèdent chacune la capacité d’inspirer sont mises en avant dans l’ouvrage.

 

A ces réflexions, s’ajoute le travail d’illustration incisif de l’artiste Aurélie William Levaux.

 

Initiée en 2010, la collection Architectures Wallonie-Bruxelles Inventaires # Inventories a pour objectif de dresser tous les trois ans un portrait des architectures contemporaines en Wallonie et à Bruxelles. Cette collection illustre l’engagement des pouvoirs publics et des maîtres d’ouvrages privés dans la recherche d’une architecture en phase avec son temps et qui participe à l’amélioration du cadre de vie. Une édition de la Cellule architecture, réalisée par l’Institut culturel d’architecture Wallonie-Bruxelles (ICA-WB) et soutenue à l’export par l’agence Wallonie-Bruxelles Architectures (WBA).

A découvrir

Architectures Wallonie-Bruxelles Inventaires # 4 2020-2023

Sous la direction de Audrey Contesse

Éditeur: Fédération Wallonie-Bruxelles - Cellule architecture

Auteur.rices:

Mathieu Berger, Martina Barcelloni Corte, Oana Bogdan, Christophe Catsaros, Pierre Chabard, Yasmina Choueiri, Audrey Contesse, Carla Frick-Cloupet, Nicolas Hemeleers, Pauline Lefebvre, Norbert Nelles, Anne Norman, Daniela Perrotti, Ward Verbakel, Bernard Wittevrongel

Carte des projets

Liste des projets

 

Sources de l’article WBA et ICAWB.

 

 

 

Construire, c’est collaborer avec la terre : c’est mettre une marque humaine sur un paysage qui en sera modifié à jamais ; c’est contribuer aussi à ce lent changement qui est la vie des villes… J’ai beaucoup reconstruit : c’est collaborer avec le temps sous son aspect de passé, en saisir ou en modifier l’esprit, lui servir de relais vers un plus long avenir ; c’est retrouver sous les pierres le secret des sources.

Marguerite Yourcenar, Mémoires d’Hadrien.

 

Le spectre du dérèglement climatique et de ses implications sociales, économiques et écologiques hante la planète. La question énergétique, la sécheresse, les inondations et autres catastrophes climatiques nous confrontent aux enjeux de la gouvernance et plus spécifiquement, au manque d’intérêt des politiques en matière d’architecture et d’aménagement du territoire. Pour tenter de changer le cours de cette situation, toute intervention spatiale sur notre environnement, quelle que soit son échelle, se doit de répondre aux enjeux de la transition environnementale, sociétale et économique en intégrant les dimensions publiques, collectives et privées.

 

Dans cette optique, l’ouvrage Architectures Wallonie-Bruxelles Inventaires # 4 a choisi de valoriser une centaine d’approches spatiales (projets ou actions), réalisées en Belgique francophone et à l’international ces trois dernières années, capables d’initier cette transition.

 

Il propose dans un manifeste en 29 points de participer à l’écriture d’un nouveau récit qui vise la régénération de notre territoire et par conséquent, de notre planète.

 

Le regard d’experts dans les domaines de l’architecture, de l’urbanisme, du paysage et de la sociologie dresse sur cette base quelques pistes de réflexions selon six thématiques: la nouvelle ruralité, la frugalité dans les modes de construction, la gouvernance, la ré-appropriation, le rôle des espaces ouverts et enfin, la mutation des pratiques architecturales en lien avec l’évolution des usages. Concrètement, 33 propositions qui possèdent chacune la capacité d’inspirer sont mises en avant dans l’ouvrage.

 

A ces réflexions, s’ajoute le travail d’illustration incisif de l’artiste Aurélie William Levaux.

 

Initiée en 2010, la collection Architectures Wallonie-Bruxelles Inventaires # Inventories a pour objectif de dresser tous les trois ans un portrait des architectures contemporaines en Wallonie et à Bruxelles. Cette collection illustre l’engagement des pouvoirs publics et des maîtres d’ouvrages privés dans la recherche d’une architecture en phase avec son temps et qui participe à l’amélioration du cadre de vie. Une édition de la Cellule architecture, réalisée par l’Institut culturel d’architecture Wallonie-Bruxelles (ICA-WB) et soutenue à l’export par l’agence Wallonie-Bruxelles Architectures (WBA).

A découvrir

Architectures Wallonie-Bruxelles Inventaires # 4 2020-2023

Sous la direction de Audrey Contesse

Éditeur: Fédération Wallonie-Bruxelles - Cellule architecture

Auteur.rices:

Mathieu Berger, Martina Barcelloni Corte, Oana Bogdan, Christophe Catsaros, Pierre Chabard, Yasmina Choueiri, Audrey Contesse, Carla Frick-Cloupet, Nicolas Hemeleers, Pauline Lefebvre, Norbert Nelles, Anne Norman, Daniela Perrotti, Ward Verbakel, Bernard Wittevrongel

Carte des projets

Liste des projets

 

Sources de l’article WBA et ICAWB.

 

 

 

Bouton - en savoir plus

Source : Daily Science

On connaît l’hippothérapie, cette méthode qui met en contact un patient et un équidé dans un but thérapeutique. En Fédération Wallonie-Bruxelles, un certificat universitaire dans ce domaine a déjà été proposé par la Faculté de psychologie et des sciences de l’éducation de l’UCLouvain. À l’Université Libre de Bruxelles, Lucy de Selliers explore désormais une facette de cette relation entre l’être humain et le cheval. Dans le cadre de sa thèse de doctorat, entamée l’an dernier grâce à une bourse de la Fondation Prince Laurent, elle s’intéresse aux effets sur la santé des interactions tactiles entre les femmes et le cheval.

 

Pourquoi seulement les femmes ? « Parce l’équitation est un sport très féminin », explique-t-elle. « Mais aussi parce que dans le cadre de cette recherche, se concentrer sur les femmes permet d’éviter de dédoubler notre échantillon, à cause de différences hormonales entre les sexes ».

 

Des hormones et des dosages d’hormones, il en est effectivement question dans sa recherche supervisée par la Professeure de neurophysiologie et de neurosciences cognitives Claude Tomberg, en Faculté de médecine (ULB). D’autres biomarqueurs seront également pris en compte par Lucy de Selliers. Pour mieux cerner les effets bénéfiques d’un contact tactile entre un être humain et un cheval, elle espère pouvoir soumettre trois fois 48 participantes et autant de chevaux, recrutés à Bruxelles, mais aussi, voire principalement, en Wallonie, à ses batteries de tests.

 

Pourquoi trois fois 48 volontaires ? Parce qu’outre son protocole de recherche lié à de véritables interactions tactiles (de type caresse) entre l’humain et l’animal, elle entend doubler ses résultats avec un échantillon où le cheval sera remplacé par une simple couverture, de telle sorte que les récepteurs tactiles de la main de la personne soient activés comme dans l’interaction avec l’animal, mais sans l’aspect émotionnel lié à la présence de l’animal. Ceci lui permettra d’analyser spécifiquement les voies nerveuses impliquées. Le troisième groupe étant un groupe contrôle, sans interactions tactiles directes avec l’animal.

Retour au début

Deux axes de recherche

« Ma recherche s’articule autour de deux axes principaux », expliquait Lucy de Selliers lors de la mission équine organisée en Scandinavie par le Service Recherche et Innovation de Wallonie-Bruxelles International. Une mission mise sur pied par l’Agent de Liaison Scientifique de WBI en Suède, le Dr Henri Sprimont, vétérinaire.

 

« Nous allons, d’une part, analyser l’impact émotionnel de l’interaction ; et d’autre part, nous allons investiguer si le bien-être rapporté empiriquement par les personnes lors de ces interactions améliore le fonctionnement du cerveau ».

 

« Pour l’aspect émotionnel, nous allons analyser les comportements et les expressions faciales des deux protagonistes, la propriétaire et son cheval. En parallèle, nous allons analyser une série de biomarqueurs physiologiques mesurés simultanément chez la personne et chez l’animal. Il s’agit de l’activité cardiaque enregistrée via des ceintures thoraciques adaptées à chaque espèce. Nous allons également réaliser des prélèvements de salive chez chacun de ces duos pour en retirer de précieuses informations sur le dosage de certaines hormones: le cortisol, hormone du stress, et l’ocytocine, l’hormone du bien-être ».

 

Bien entendu, les volontaires auront aussi à répondre à divers questionnaires lors de ces séances: biologiques et psychologiques. Et ce, à différents moments pendant le protocole, avant et après les contacts tactiles avec le cheval.

 

Pour le fonctionnement cérébral, Lucy de Selliers enregistrera des activités cérébrales (de type EEG) évoquées par une stimulation tactile et les comparera avant et après l’interaction avec le cheval, afin d’explorer si notre cerveau traite plus efficacement et plus rapidement les informations sensorielles après interaction.

Retour au début

Surveillance des micro-expressions faciales

« Au cours de cette étude, nous formons l’hypothèse d’une diminution du stress, tant chez l’animal que chez l’être humain suite aux interactions tactiles », souligne la doctorante. « Ce qui pourrait aussi se déceler grâce à l’analyse des signes physiques chez le cheval. Ses micro-expressions faciales et le clignement spontané des yeux sont de bons biomarqueurs comportementaux pour étudier son état mental ».

 

Lors de ces expériences, tout sera filmé afin de capter un maximum d’informations comportementales.

 

À Göteborg (Suède), une équipe de chercheurs travaille sur les fibres tactiles. Elles jouent ici un rôle important. Mesurer leur activité au bout des doigts de la cavalière apportera encore plus d’informations à la chercheuse sur les interactions.

 

« Au final, nous espérons pouvoir montrer une évolution vers des états émotionnels positifs chez l’être humain comme chez l’animal après des interactions tactiles », résume Lucy de Selliers. « De quoi apporter des éléments de compréhension des mécanismes à l’œuvre dans le cadre des séances d’hippothérapie. Nous travaillons ici avec des personnes en bonne santé. Mais nos résultats pourraient ensuite intéresser les hippothérapeutes ».

 

« Parallèlement, nos travaux devraient éclairer davantage sur le type de tempérament des chevaux qui pourrait le mieux convenir pour les séances de médiation animale et d’hippothérapie », conclut-elle.

 

Retrouvez l'ensemble des articles de Christian Du Brulle sur la plateforme Daily Science, avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International.

 

Retour au début

On connaît l’hippothérapie, cette méthode qui met en contact un patient et un équidé dans un but thérapeutique. En Fédération Wallonie-Bruxelles, un certificat universitaire dans ce domaine a déjà été proposé par la Faculté de psychologie et des sciences de l’éducation de l’UCLouvain. À l’Université Libre de Bruxelles, Lucy de Selliers explore désormais une facette de cette relation entre l’être humain et le cheval. Dans le cadre de sa thèse de doctorat, entamée l’an dernier grâce à une bourse de la Fondation Prince Laurent, elle s’intéresse aux effets sur la santé des interactions tactiles entre les femmes et le cheval.

 

Pourquoi seulement les femmes ? « Parce l’équitation est un sport très féminin », explique-t-elle. « Mais aussi parce que dans le cadre de cette recherche, se concentrer sur les femmes permet d’éviter de dédoubler notre échantillon, à cause de différences hormonales entre les sexes ».

 

Des hormones et des dosages d’hormones, il en est effectivement question dans sa recherche supervisée par la Professeure de neurophysiologie et de neurosciences cognitives Claude Tomberg, en Faculté de médecine (ULB). D’autres biomarqueurs seront également pris en compte par Lucy de Selliers. Pour mieux cerner les effets bénéfiques d’un contact tactile entre un être humain et un cheval, elle espère pouvoir soumettre trois fois 48 participantes et autant de chevaux, recrutés à Bruxelles, mais aussi, voire principalement, en Wallonie, à ses batteries de tests.

 

Pourquoi trois fois 48 volontaires ? Parce qu’outre son protocole de recherche lié à de véritables interactions tactiles (de type caresse) entre l’humain et l’animal, elle entend doubler ses résultats avec un échantillon où le cheval sera remplacé par une simple couverture, de telle sorte que les récepteurs tactiles de la main de la personne soient activés comme dans l’interaction avec l’animal, mais sans l’aspect émotionnel lié à la présence de l’animal. Ceci lui permettra d’analyser spécifiquement les voies nerveuses impliquées. Le troisième groupe étant un groupe contrôle, sans interactions tactiles directes avec l’animal.

Retour au début

Deux axes de recherche

« Ma recherche s’articule autour de deux axes principaux », expliquait Lucy de Selliers lors de la mission équine organisée en Scandinavie par le Service Recherche et Innovation de Wallonie-Bruxelles International. Une mission mise sur pied par l’Agent de Liaison Scientifique de WBI en Suède, le Dr Henri Sprimont, vétérinaire.

 

« Nous allons, d’une part, analyser l’impact émotionnel de l’interaction ; et d’autre part, nous allons investiguer si le bien-être rapporté empiriquement par les personnes lors de ces interactions améliore le fonctionnement du cerveau ».

 

« Pour l’aspect émotionnel, nous allons analyser les comportements et les expressions faciales des deux protagonistes, la propriétaire et son cheval. En parallèle, nous allons analyser une série de biomarqueurs physiologiques mesurés simultanément chez la personne et chez l’animal. Il s’agit de l’activité cardiaque enregistrée via des ceintures thoraciques adaptées à chaque espèce. Nous allons également réaliser des prélèvements de salive chez chacun de ces duos pour en retirer de précieuses informations sur le dosage de certaines hormones: le cortisol, hormone du stress, et l’ocytocine, l’hormone du bien-être ».

 

Bien entendu, les volontaires auront aussi à répondre à divers questionnaires lors de ces séances: biologiques et psychologiques. Et ce, à différents moments pendant le protocole, avant et après les contacts tactiles avec le cheval.

 

Pour le fonctionnement cérébral, Lucy de Selliers enregistrera des activités cérébrales (de type EEG) évoquées par une stimulation tactile et les comparera avant et après l’interaction avec le cheval, afin d’explorer si notre cerveau traite plus efficacement et plus rapidement les informations sensorielles après interaction.

Retour au début

Surveillance des micro-expressions faciales

« Au cours de cette étude, nous formons l’hypothèse d’une diminution du stress, tant chez l’animal que chez l’être humain suite aux interactions tactiles », souligne la doctorante. « Ce qui pourrait aussi se déceler grâce à l’analyse des signes physiques chez le cheval. Ses micro-expressions faciales et le clignement spontané des yeux sont de bons biomarqueurs comportementaux pour étudier son état mental ».

 

Lors de ces expériences, tout sera filmé afin de capter un maximum d’informations comportementales.

 

À Göteborg (Suède), une équipe de chercheurs travaille sur les fibres tactiles. Elles jouent ici un rôle important. Mesurer leur activité au bout des doigts de la cavalière apportera encore plus d’informations à la chercheuse sur les interactions.

 

« Au final, nous espérons pouvoir montrer une évolution vers des états émotionnels positifs chez l’être humain comme chez l’animal après des interactions tactiles », résume Lucy de Selliers. « De quoi apporter des éléments de compréhension des mécanismes à l’œuvre dans le cadre des séances d’hippothérapie. Nous travaillons ici avec des personnes en bonne santé. Mais nos résultats pourraient ensuite intéresser les hippothérapeutes ».

 

« Parallèlement, nos travaux devraient éclairer davantage sur le type de tempérament des chevaux qui pourrait le mieux convenir pour les séances de médiation animale et d’hippothérapie », conclut-elle.

 

Retrouvez l'ensemble des articles de Christian Du Brulle sur la plateforme Daily Science, avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International.

 

Retour au début

Bouton - en savoir plus

S'abonner à