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"Close" de Lukas Dhont

Et cette fois, dans les 3 grandes villes du pays : Hanoi, Hue et Hochiminh-ville. Projet abouti grâce aux efforts de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam et de la Délégation de l’Union européenne, organisatrice de cette manifestation, qui dure du 19 mai au 4 juin 2023.

 

Close de Lukas Dhont (105’, 2022), Grand Prix du Jury au Festival de Cannes 2022, Prix du Meilleur Film au Festival du Film de Sydney 2022, l’un des 5 films nommés pour l’Oscar 2023 du Meilleur Film international et beaucoup d’autres récompenses nationales et internationales, ouvrira le Festival du Film européen 2023 dans la capitale vietnamienne.

 

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Synopsis

Léo et Rémi, 13 ans, sont amis depuis toujours. Jusqu'à ce qu'un événement impensable les sépare. Plein d'incompréhension, Léo aborde Sophie, la mère de Rémi. Close est un film sur l'amitié et la responsabilité.

 

Avec : Eden Dambrine, Gustav De Waele, Emilie Dequenne
Drame
Production: Belgique, France, Pays-Bas

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Informations pratiques

  • Entrée gratuite sur invitation
  • Version originale sous-titrée en anglais et en vietnamien
  • Toutes les informations sur le Festival du Film européen
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​Programme

  • 21/5/2023 à 20hOuverture du Festival à Hanoi - Centre national du Cinéma (87 Lang Ha, Ba Dinh)
  • 24/5/2023 à 20hHochiminh-ville - Cinéma Cinestar Quoc Thanh (271 Nguyen Trai, 1er quartier)
  • 27/5/2023 à 20hHue - Cinéma BHD Star (5ème étage, Vincom Plaza, 50A Hung Vuong, Phu Nhuan)

Pour plus d’informations

Le Tuyet Nhung - Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam
Centre DAEHA (5ème étage – # 505)/ 360 Kim Ma, Ba Dinh, Hanoi
Tél : (024) 3 831.52.41 / GSM : 09 04 20 79 89
Courriel : nhungwb@walbruvietnam.org

 

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Et cette fois, dans les 3 grandes villes du pays : Hanoi, Hue et Hochiminh-ville. Projet abouti grâce aux efforts de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam et de la Délégation de l’Union européenne, organisatrice de cette manifestation, qui dure du 19 mai au 4 juin 2023.

 

Close de Lukas Dhont (105’, 2022), Grand Prix du Jury au Festival de Cannes 2022, Prix du Meilleur Film au Festival du Film de Sydney 2022, l’un des 5 films nommés pour l’Oscar 2023 du Meilleur Film international et beaucoup d’autres récompenses nationales et internationales, ouvrira le Festival du Film européen 2023 dans la capitale vietnamienne.

 

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Synopsis

Léo et Rémi, 13 ans, sont amis depuis toujours. Jusqu'à ce qu'un événement impensable les sépare. Plein d'incompréhension, Léo aborde Sophie, la mère de Rémi. Close est un film sur l'amitié et la responsabilité.

 

Avec : Eden Dambrine, Gustav De Waele, Emilie Dequenne
Drame
Production: Belgique, France, Pays-Bas

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Informations pratiques

  • Entrée gratuite sur invitation
  • Version originale sous-titrée en anglais et en vietnamien
  • Toutes les informations sur le Festival du Film européen
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​Programme

  • 21/5/2023 à 20hOuverture du Festival à Hanoi - Centre national du Cinéma (87 Lang Ha, Ba Dinh)
  • 24/5/2023 à 20hHochiminh-ville - Cinéma Cinestar Quoc Thanh (271 Nguyen Trai, 1er quartier)
  • 27/5/2023 à 20hHue - Cinéma BHD Star (5ème étage, Vincom Plaza, 50A Hung Vuong, Phu Nhuan)

Pour plus d’informations

Le Tuyet Nhung - Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam
Centre DAEHA (5ème étage – # 505)/ 360 Kim Ma, Ba Dinh, Hanoi
Tél : (024) 3 831.52.41 / GSM : 09 04 20 79 89
Courriel : nhungwb@walbruvietnam.org

 

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Affiche du film Augure de Baloji © Wrong Men

Le Festival de Cannes est l’un des rendez-vous incontournables du 7ème art international. Chaque année, des milliers de réalisateurs et de réalisatrices, d’acteurs et d’actrices et de professionnelles et professionnels du monde entier se réunissent sur la Croisette.

 

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Un Certain Regard

Le premier long métrage de Baloji, Augure, sera présenté au sein de la prestigieuse sélection officielle Un Certain RegardAugure est un film choral retraçant l’histoire de quatre personnages considérés comme sorcières et sorciers. Ils vont trouver le moyen de s’entraider pour sortir de leur assignation dans une Afrique fantasmagorique.

 

Baloji, artiste pluridisciplinaire né en RDC, a été révélé au début des années 2000 au sein du groupe de hip hop Starflam qui marqué toute une génération. Il a depuis sorti trois albums qui ont tous connu un très beau succès en Belgique comme à l'international. Il y supervise textes et musiques, mais aussi le riche univers visuel de ses créations. Il a notamment signé plusieurs clips dont le splendide Peau de chagrin – Bleu de nuit, extrait de l’album 137 avenue Kaniama.

 

Les infos sur WBImages

 

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Semaine de la Critique

La Semaine de la Critique a quant à elle a retenu pas moins de 2 films de Wallonie-Bruxelles pour cette nouvelle édition: Il pleut dans la maison de Paloma Sermon-Daï (Compétition) et Le syndrome des amours passées de Ann Sirot et Raphaël Balboni (Séance spéciale)

 

Les infos sur WBImages

 

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La Quinzaine des cinéastes

Dans le cadre La Quinzaine des Cinéastes, on retrouve deux productions Wallonie-Bruxelles : L’Autre Laurens de Claude Schmitz et Mambar Pierrette de Rosine Mbakam.

 

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Le Festival de Cannes est l’un des rendez-vous incontournables du 7ème art international. Chaque année, des milliers de réalisateurs et de réalisatrices, d’acteurs et d’actrices et de professionnelles et professionnels du monde entier se réunissent sur la Croisette.

 

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Un Certain Regard

Le premier long métrage de Baloji, Augure, sera présenté au sein de la prestigieuse sélection officielle Un Certain RegardAugure est un film choral retraçant l’histoire de quatre personnages considérés comme sorcières et sorciers. Ils vont trouver le moyen de s’entraider pour sortir de leur assignation dans une Afrique fantasmagorique.

 

Baloji, artiste pluridisciplinaire né en RDC, a été révélé au début des années 2000 au sein du groupe de hip hop Starflam qui marqué toute une génération. Il a depuis sorti trois albums qui ont tous connu un très beau succès en Belgique comme à l'international. Il y supervise textes et musiques, mais aussi le riche univers visuel de ses créations. Il a notamment signé plusieurs clips dont le splendide Peau de chagrin – Bleu de nuit, extrait de l’album 137 avenue Kaniama.

 

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La Semaine de la Critique a quant à elle a retenu pas moins de 2 films de Wallonie-Bruxelles pour cette nouvelle édition: Il pleut dans la maison de Paloma Sermon-Daï (Compétition) et Le syndrome des amours passées de Ann Sirot et Raphaël Balboni (Séance spéciale)

 

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Dans le cadre La Quinzaine des Cinéastes, on retrouve deux productions Wallonie-Bruxelles : L’Autre Laurens de Claude Schmitz et Mambar Pierrette de Rosine Mbakam.

 

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La délégation WBI, AWEX, FIT et hub.brussels lors du Smart City Expo de Barcelone en novembre 2022 © WBI

La Wallonie et la Fédération Wallonie-Bruxelles entendent être à l’écoute de toutes les évolutions en la matière et notamment, au travers du Smart City Institute (HEC ULiège), de permettre un dialogue et une recherche de solution entre les autorités publiques, citoyens, entreprises multinationales et locales, associations, ONG, universités... sur le territoire. 

 

« Avec cette dynamique de Smart City, les différents acteurs peuvent engager un processus de transition durable afin d’assurer la prospérité économique, le bien-être social et le respect des  ressources naturelles sur ce territoire... tout en utilisant les technologies (technologies digitales, ingénierie, technologies hybrides) comme facilitateur » explique Audrey Lebas du Smart City Institute (SCI).


Pour elle, « avec les changements climatiques, les phénomènes d’urbanisation (plus de 75% de la population vivra en ville dans les années à venir...), il y a de nouvelles attentes et les Smart  Cities offrent de nouvelles possibilités. Pour assurer une réelle transition, les démarches et projets doivent être entrepris à différentes échelles de pouvoir : locale, provinciale, régionale. En  pratique, les communes sont intéressées par une variété de thématiques (mobilité, gouvernance, énergie, bien-être…). Les intercommunales de développement économique (Idelux, Spi, Ideta)  jouent aussi un rôle important en tant que référents opérationnels de la Région ».


Pour nourrir ce dialogue, un matériel de qualité existe comme le Guide Pratique de la Smart City : une collection pour guider les communes pas à pas vers une gestion plus durable et  intelligente de leur territoire. A travers cette notion de collection, l’ambition est de fournir, chaque année, un nouveau guide pratique, pour accompagner pas à pas les territoires et alimenter  en continu leurs réflexions. Depuis fin 2022, il existe aussi des carnets didactiques permettant d’approfondir l’un ou l’autre concept abordé dans les guides, mais non développé de façon  détaillée. De plus, le Smart City Institute a aussi développé des modèles tels que le Smart Project Management Model et le Smart City Maturity Model pour soutenir les gestionnaires de projets Smart City.  

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Des projets concrets et des financements

Cette démarche Smart City a un impact concret partout dans le monde dans le quotidien de la population puisqu’elle propose de répondre aux défis et enjeux auxquels les acteurs publics sont quotidiennement confrontés : mobilité, économie, environnement, population, gouvernance, urbanisme, qualité de vie... Récemment, en novembre dernier, le Smart City Expo de Barcelone a d’ailleurs permis de découvrir quelques solutions concrètes, comme le souligne Sofia Malbec du Service R&I de WBI qui était présente à Barcelone : « Cette dynamique peut apporter des  réponses plus rapides aux besoins des citoyens d’améliorer les services (mobilité, santé...) par le partage des données, l’optimalisation de la gestion du territoire (gain de temps), la stimulation de l’innovation, la création d’un environnement propice pour attirer de nouveaux talents... tout en diminuant l’impact environnemental ».

 

A Barcelone, de nombreuses synergies ont vu le jour : « Beaucoup de participants sont passés par notre stand organisé par l’Awex. Nous avons participé à ce salon avec les universités, qui  étaient très intéressées : elles ont des chercheurs en Smart Cities notamment avec l’UNamur, l’UCLouvain et le Smart City Institute de Liège. Le salon permet évidemment de rencontrer  l’écosystème d’autres pays mais aussi d’autres chercheurs et de participer à des conférences sur des thématiques nouvelles... »


Plusieurs cas concrets ont permis de mieux se rendre compte de l’impact au quotidien pour la population : application pour avoir des villes connectées, informations pour les communes sur les poubelles ou sur la gestion des feux rouges, réflexion sur les passages piétons avec des lumières (vertes ou rouges) qui s’allument par terre pour les gens qui marchent en regardant leur GSM  sans regarder les feux, mais aussi des applications utiles pour la Silver économie pour les personnes âgées...


A Barcelone, la question du financement n’est pas oubliée : « Nous avons aussi pu approfondir nos connaissances en financements publics et privés de projets de Smart Cities. Il y a aussi des  opportunités pour bénéficier de fonds européens pour développer des projets... avec des universités et/ou des entreprises ».


Sofia Malbec évoque quelques projets comme celui « des places de stationnement pour les trottinettes électriques. En Wallonie, des acteurs agissent aussi avec des projets pour développer des  solutions de parking à la demande, qui mettraient en relation les automobilistes avec des gestionnaires de parkings privés. Ils travaillent aussi sur un projet qui tendrait à optimiser l’utilisation  de l’énergie photoélectrique produite à domicile pour la réinjecter le soir dans la voiture ».

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L'impact sur le citoyen

Les communes ont un rôle majeur dans cette dynamique. Sur le terrain, en 2022, de nombreuses communes se sont investies comme Mons, Walhain, Esneux, Couvin, Heron, Gerpinnes, Verviers, Stoumont, Engis. En 2021, Nassogne, Bièvre, Wasseiges, Nivelles, Soumagne, Wellin, Chimie, Chaudfontaine avaient déjà franchi le pas. 


Mais que pensent le citoyen et les communes de tels projets ? Le dernier baromètre du Smart City Institute a permis de prendre le pouls : la Smart City reste aussi toujours principalement associée à la digitalisation de la commune (84%), à l’amélioration de la qualité de vie (63%) et à la participation inclusive des citoyens et des acteurs (60%).


Sur le terrain, les résultats du baromètre montrent que les démarches sont toujours majoritairement initiées au niveau de la commune elle-même et, plus précisément, par ses élus : échevins (31%) et bourgmestres (26%). Quant aux domaines d’application des projets, ceux-ci concernent principalement le Smart Environment (thématique liée au développement urbain durable, à l’optimisation énergétique, à la gestion des déchets et des eaux usées, etc.) et la Smart Governance (thématique liée à la participation inclusive de l’ensemble des acteurs du territoire ainsi qu’à la gouvernance). Sans oublier la dimension Smart People (thématique liée au système éducatif mais également aux télécommunications, à la digitalisation et à l’innovation).

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Les soucis existent

Développer un tel projet n’est évidemment pas toujours évident, comme le montrent les résultats de ce baromètre. Parmi les obstacles rencontrés, on retrouve la difficulté à mobiliser les budgets (50%) et celle liée à l’acquisition de l’expertise nécessaire à la planification, la réalisation et le suivi des projets (49%). Sans surprise, lorsqu’on les interroge sur ce qui pourrait les  aider à mener à bien leurs projets Smart City, les communes wallonnes mettent en évidence le besoin d’obtenir davantage de soutien financier de la part de la Région wallonne, de l’Europe, etc. (76%), mais aussi de disposer d’outils pour former les membres de l’administration (71%).

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Des formations précises

Une amélioration de la sensibilisation à cette problématique est aussi primordiale pour augmenter l’adhésion à ces projets : des programmes de formations continues sont mis sur pied par le  Smart City Institute et sont destinés aux professionnels issus de tous les secteurs (public, privé ou encore académique...) engagés dans une réflexion de transition durable et intelligente ou désireux de l’être.

 

Par Vincent Liévin

 

Cet article est issu de la Revue W+B n°159.

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La Wallonie et la Fédération Wallonie-Bruxelles entendent être à l’écoute de toutes les évolutions en la matière et notamment, au travers du Smart City Institute (HEC ULiège), de permettre un dialogue et une recherche de solution entre les autorités publiques, citoyens, entreprises multinationales et locales, associations, ONG, universités... sur le territoire. 

 

« Avec cette dynamique de Smart City, les différents acteurs peuvent engager un processus de transition durable afin d’assurer la prospérité économique, le bien-être social et le respect des  ressources naturelles sur ce territoire... tout en utilisant les technologies (technologies digitales, ingénierie, technologies hybrides) comme facilitateur » explique Audrey Lebas du Smart City Institute (SCI).


Pour elle, « avec les changements climatiques, les phénomènes d’urbanisation (plus de 75% de la population vivra en ville dans les années à venir...), il y a de nouvelles attentes et les Smart  Cities offrent de nouvelles possibilités. Pour assurer une réelle transition, les démarches et projets doivent être entrepris à différentes échelles de pouvoir : locale, provinciale, régionale. En  pratique, les communes sont intéressées par une variété de thématiques (mobilité, gouvernance, énergie, bien-être…). Les intercommunales de développement économique (Idelux, Spi, Ideta)  jouent aussi un rôle important en tant que référents opérationnels de la Région ».


Pour nourrir ce dialogue, un matériel de qualité existe comme le Guide Pratique de la Smart City : une collection pour guider les communes pas à pas vers une gestion plus durable et  intelligente de leur territoire. A travers cette notion de collection, l’ambition est de fournir, chaque année, un nouveau guide pratique, pour accompagner pas à pas les territoires et alimenter  en continu leurs réflexions. Depuis fin 2022, il existe aussi des carnets didactiques permettant d’approfondir l’un ou l’autre concept abordé dans les guides, mais non développé de façon  détaillée. De plus, le Smart City Institute a aussi développé des modèles tels que le Smart Project Management Model et le Smart City Maturity Model pour soutenir les gestionnaires de projets Smart City.  

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Des projets concrets et des financements

Cette démarche Smart City a un impact concret partout dans le monde dans le quotidien de la population puisqu’elle propose de répondre aux défis et enjeux auxquels les acteurs publics sont quotidiennement confrontés : mobilité, économie, environnement, population, gouvernance, urbanisme, qualité de vie... Récemment, en novembre dernier, le Smart City Expo de Barcelone a d’ailleurs permis de découvrir quelques solutions concrètes, comme le souligne Sofia Malbec du Service R&I de WBI qui était présente à Barcelone : « Cette dynamique peut apporter des  réponses plus rapides aux besoins des citoyens d’améliorer les services (mobilité, santé...) par le partage des données, l’optimalisation de la gestion du territoire (gain de temps), la stimulation de l’innovation, la création d’un environnement propice pour attirer de nouveaux talents... tout en diminuant l’impact environnemental ».

 

A Barcelone, de nombreuses synergies ont vu le jour : « Beaucoup de participants sont passés par notre stand organisé par l’Awex. Nous avons participé à ce salon avec les universités, qui  étaient très intéressées : elles ont des chercheurs en Smart Cities notamment avec l’UNamur, l’UCLouvain et le Smart City Institute de Liège. Le salon permet évidemment de rencontrer  l’écosystème d’autres pays mais aussi d’autres chercheurs et de participer à des conférences sur des thématiques nouvelles... »


Plusieurs cas concrets ont permis de mieux se rendre compte de l’impact au quotidien pour la population : application pour avoir des villes connectées, informations pour les communes sur les poubelles ou sur la gestion des feux rouges, réflexion sur les passages piétons avec des lumières (vertes ou rouges) qui s’allument par terre pour les gens qui marchent en regardant leur GSM  sans regarder les feux, mais aussi des applications utiles pour la Silver économie pour les personnes âgées...


A Barcelone, la question du financement n’est pas oubliée : « Nous avons aussi pu approfondir nos connaissances en financements publics et privés de projets de Smart Cities. Il y a aussi des  opportunités pour bénéficier de fonds européens pour développer des projets... avec des universités et/ou des entreprises ».


Sofia Malbec évoque quelques projets comme celui « des places de stationnement pour les trottinettes électriques. En Wallonie, des acteurs agissent aussi avec des projets pour développer des  solutions de parking à la demande, qui mettraient en relation les automobilistes avec des gestionnaires de parkings privés. Ils travaillent aussi sur un projet qui tendrait à optimiser l’utilisation  de l’énergie photoélectrique produite à domicile pour la réinjecter le soir dans la voiture ».

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L'impact sur le citoyen

Les communes ont un rôle majeur dans cette dynamique. Sur le terrain, en 2022, de nombreuses communes se sont investies comme Mons, Walhain, Esneux, Couvin, Heron, Gerpinnes, Verviers, Stoumont, Engis. En 2021, Nassogne, Bièvre, Wasseiges, Nivelles, Soumagne, Wellin, Chimie, Chaudfontaine avaient déjà franchi le pas. 


Mais que pensent le citoyen et les communes de tels projets ? Le dernier baromètre du Smart City Institute a permis de prendre le pouls : la Smart City reste aussi toujours principalement associée à la digitalisation de la commune (84%), à l’amélioration de la qualité de vie (63%) et à la participation inclusive des citoyens et des acteurs (60%).


Sur le terrain, les résultats du baromètre montrent que les démarches sont toujours majoritairement initiées au niveau de la commune elle-même et, plus précisément, par ses élus : échevins (31%) et bourgmestres (26%). Quant aux domaines d’application des projets, ceux-ci concernent principalement le Smart Environment (thématique liée au développement urbain durable, à l’optimisation énergétique, à la gestion des déchets et des eaux usées, etc.) et la Smart Governance (thématique liée à la participation inclusive de l’ensemble des acteurs du territoire ainsi qu’à la gouvernance). Sans oublier la dimension Smart People (thématique liée au système éducatif mais également aux télécommunications, à la digitalisation et à l’innovation).

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Les soucis existent

Développer un tel projet n’est évidemment pas toujours évident, comme le montrent les résultats de ce baromètre. Parmi les obstacles rencontrés, on retrouve la difficulté à mobiliser les budgets (50%) et celle liée à l’acquisition de l’expertise nécessaire à la planification, la réalisation et le suivi des projets (49%). Sans surprise, lorsqu’on les interroge sur ce qui pourrait les  aider à mener à bien leurs projets Smart City, les communes wallonnes mettent en évidence le besoin d’obtenir davantage de soutien financier de la part de la Région wallonne, de l’Europe, etc. (76%), mais aussi de disposer d’outils pour former les membres de l’administration (71%).

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Des formations précises

Une amélioration de la sensibilisation à cette problématique est aussi primordiale pour augmenter l’adhésion à ces projets : des programmes de formations continues sont mis sur pied par le  Smart City Institute et sont destinés aux professionnels issus de tous les secteurs (public, privé ou encore académique...) engagés dans une réflexion de transition durable et intelligente ou désireux de l’être.

 

Par Vincent Liévin

 

Cet article est issu de la Revue W+B n°159.

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©️Jérôme Van Belle

Depuis la signature des premiers accords de coopérations en 1999, les relations entre Wallonie-Bruxelles et le Royaume du Maroc n’ont cessé de s’intensifier.

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Les fondements de l'action de Wallonie-Bruxelles au Maroc

Première communauté d’origine étrangère en Belgique, la communauté belgo-marocaine a contribué à façonner de manière durable le visage de la Belgique sur le plan démographique, économique, social et culturel. Les belgo-marocains de 2e et 3e générations maintiennent des liens étroits avec le Maroc qui leur dédie de nombreux programmes de soutien socioculturel. Ils représentent un enjeu politique important également en Belgique, avec des personnalités politiques de premier rang.

 

Par ailleurs, l’implication du Maroc sur le continent africain tant au niveau de sa politique de coopération en matière d’économie sociale, de formation des cadres, de soutien aux infrastructures que dans sa diplomatie concernant notamment la gestion des conflits, la consolidation de la paix, le développement, ou encore de son investissement au sein de l’Union africaine et des grands événements africains, en font un partenaire de choix dans le développement de triangulations politiques. Cette implication, associée à une stabilité politique et économique, installe le Maroc comme une porte d’entrée enviable vers l’Afrique.

 

Les nombreuses coopérations dans l’enseignement fondamental avec notamment l’ouverture de deux écoles belges à programmes de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) à Rabat et Casablanca ou le programme d’Ouverture aux Langues et Cultures en FWB mais aussi dans l’enseignement supérieur, ont constitué au fil du temps, un pôle éducatif porteur qui favorise à la fois le dialogue politique et interculturel, une meilleure compréhension de nos sociétés mais aussi le développement de partenariats économiques et industriels en facilitant l’expatriation d’investisseurs wallons et bruxellois au Maroc.

 

Toutes ces raisons et bien d’autres encore (marché culturel émergent, patrimoine et terrains archéologiques prometteurs, …) fondent l’action de Wallonie-Bruxelles au Maroc.

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Une nouvelle période et de nouveaux axes de coopération

Ce mois de mai 2023 ouvre donc la nouvelle session de coopération entre Wallonie-Bruxelles et le Maroc pour cinq nouvelles années (2023-2027).

 

A l’éducation et la culture, présents dès l’origine de cette coopération, viennent aujourd’hui s’ajouter de nouveaux champs d’action tels le sport, l’énergie, la décentralisation et l’évaluation des politiques publiques.

 

Le Maroc étant devenu pour la Wallonie, la Fédération Wallonie-Bruxelles et le Gouvernement bruxellois francophone, un pays partenaire de premier plan, cette nouvelle période de coopération voit ses moyens renforcés.

Le nouveau programme pour la période 2023-2027 s’articule désormais autour de 5 axes thématiques :

  • L’éducation, le sport, l’enseignement supérieur et la recherche scientifique
  • La culture, la jeunesse et la communication
  • L’énergie et le nexus eau-énergie
  • La régionalisation et l’évaluation des politiques publiques
  • L’entreprenariat, la formation professionnelle et la cohésion sociale

Ces 5 priorités s’inscrivent dans la ligne du Nouveau Modèle de Développement (NMD) du Maroc à l’horizon 2035 que Wallonie-Bruxelles entend soutenir et accompagner. C’est à cette fin que sera renforcée la coopération entre les administrations publiques en plus du soutien aux acteurs de la société civile, culturels, académiques et économiques.

 

Ces 5 axes se déclinent en 24 projets mettant notamment en avant la contribution de l’action internationale et la visibilité des institutions de Wallonie-Bruxelles et de ses acteurs à la réalisation des Objectifs de Développement Durable rassemblés dans l’Agenda 2030.

 

Les opérateurs pressentis pour mettre en œuvre ce nouveau programme de travail 2023-2027, sont majoritairement de nouveaux partenaires par rapport à la précédente programmation, ce qui témoigne d’un grand renouvellement et d’une nouvelle mobilisation autour de cette coopération avec le Royaume du Maroc, avec également un nombre important d’opérateurs publics, renforçant l’ancrage institutionnel de la CMP.

 

La signature début mai 2023 d’une Convention de partenariat entre la RTBF et 2M scelle déjà un partenariat inédit entre nos deux pôles audiovisuels publics. Il consacre des collaborations déjà anciennes en matière de coproductions mais aussi l’envie et l’ambition des deux pôles d’innover ensemble au bénéfice de plus larges publics. Ce genre de coopération renforce le dialogue et la compréhension mutuelle de nos concitoyens.

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Quatre régions

D'autre part, Wallonie-Bruxelles concentrera son action sur quatre Régions avec lesquelles nous entretenons des liens historiques et socio-économiques, notamment favorisés par la présence des diasporas : les Régions de l’Oriental, de Tanger-Tétouan-Al-Hoceima, de Rabat-Salé-Kénitra et de Casablanca-Settat.

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Des accords importants aux dimensions multiples

Le nombre des projets ne dit pas tout en regard de l’importance des partenariats publics qui ont été construits entre les services publics de Wallonie-Bruxelles et du Maroc, dans les domaines de l’évaluation des politiques publiques, de l’interculturel et de l’enseignement des langues ainsi que pour la recherche dans les énergies renouvelables et le développement durable.

 

Si le renforcement de structures publiques et de la coopération entre les administrations a déja été évoqué, la dimension sociale est également présente, avec des projets de soutien à la cohésion sociale et à l’autocréation d’emplois.

 

Pour la dimension économique de la ccopération, un accord entre les agences d’investissement et de commerce extérieur vient d'être signé. Enfin la dimension environnementale n'a pas été oubliée, avec le soutien à la résilience des territoires en matière de changement climatique et l’appui à la recherche pour les énergies renouvelables.

 

Des outils de suivi conjoints renforceront davantage la qualité du partenariat au bénéfice des projets et des populations concernées.

 

Tout cela dessine un programme aussi ambitieux que responsable pour les 5 années qui viennent. Après presque 25 ans de coopération, cette 8e CMP vient renforcer les relations bilatérales entre le Maroc et Wallonie-Bruxelles, en vue de développer un partenariat stratégique fort autour de valeurs communes.

 

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Contacts et informations

Retrouvez l’équipe de la Délégation Wallonie-Bruxelles au Maroc sur le site de WBI.

Suivez son actualité sur son site et ses réseaux sociaux :

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Contacts à Bruxelles

 

Fabrice Sprimont

Directeur – Chargé de missions pour le Maroc

Josiane Keuser

 

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Depuis la signature des premiers accords de coopérations en 1999, les relations entre Wallonie-Bruxelles et le Royaume du Maroc n’ont cessé de s’intensifier.

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Les fondements de l'action de Wallonie-Bruxelles au Maroc

Première communauté d’origine étrangère en Belgique, la communauté belgo-marocaine a contribué à façonner de manière durable le visage de la Belgique sur le plan démographique, économique, social et culturel. Les belgo-marocains de 2e et 3e générations maintiennent des liens étroits avec le Maroc qui leur dédie de nombreux programmes de soutien socioculturel. Ils représentent un enjeu politique important également en Belgique, avec des personnalités politiques de premier rang.

 

Par ailleurs, l’implication du Maroc sur le continent africain tant au niveau de sa politique de coopération en matière d’économie sociale, de formation des cadres, de soutien aux infrastructures que dans sa diplomatie concernant notamment la gestion des conflits, la consolidation de la paix, le développement, ou encore de son investissement au sein de l’Union africaine et des grands événements africains, en font un partenaire de choix dans le développement de triangulations politiques. Cette implication, associée à une stabilité politique et économique, installe le Maroc comme une porte d’entrée enviable vers l’Afrique.

 

Les nombreuses coopérations dans l’enseignement fondamental avec notamment l’ouverture de deux écoles belges à programmes de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) à Rabat et Casablanca ou le programme d’Ouverture aux Langues et Cultures en FWB mais aussi dans l’enseignement supérieur, ont constitué au fil du temps, un pôle éducatif porteur qui favorise à la fois le dialogue politique et interculturel, une meilleure compréhension de nos sociétés mais aussi le développement de partenariats économiques et industriels en facilitant l’expatriation d’investisseurs wallons et bruxellois au Maroc.

 

Toutes ces raisons et bien d’autres encore (marché culturel émergent, patrimoine et terrains archéologiques prometteurs, …) fondent l’action de Wallonie-Bruxelles au Maroc.

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Une nouvelle période et de nouveaux axes de coopération

Ce mois de mai 2023 ouvre donc la nouvelle session de coopération entre Wallonie-Bruxelles et le Maroc pour cinq nouvelles années (2023-2027).

 

A l’éducation et la culture, présents dès l’origine de cette coopération, viennent aujourd’hui s’ajouter de nouveaux champs d’action tels le sport, l’énergie, la décentralisation et l’évaluation des politiques publiques.

 

Le Maroc étant devenu pour la Wallonie, la Fédération Wallonie-Bruxelles et le Gouvernement bruxellois francophone, un pays partenaire de premier plan, cette nouvelle période de coopération voit ses moyens renforcés.

Le nouveau programme pour la période 2023-2027 s’articule désormais autour de 5 axes thématiques :

  • L’éducation, le sport, l’enseignement supérieur et la recherche scientifique
  • La culture, la jeunesse et la communication
  • L’énergie et le nexus eau-énergie
  • La régionalisation et l’évaluation des politiques publiques
  • L’entreprenariat, la formation professionnelle et la cohésion sociale

Ces 5 priorités s’inscrivent dans la ligne du Nouveau Modèle de Développement (NMD) du Maroc à l’horizon 2035 que Wallonie-Bruxelles entend soutenir et accompagner. C’est à cette fin que sera renforcée la coopération entre les administrations publiques en plus du soutien aux acteurs de la société civile, culturels, académiques et économiques.

 

Ces 5 axes se déclinent en 24 projets mettant notamment en avant la contribution de l’action internationale et la visibilité des institutions de Wallonie-Bruxelles et de ses acteurs à la réalisation des Objectifs de Développement Durable rassemblés dans l’Agenda 2030.

 

Les opérateurs pressentis pour mettre en œuvre ce nouveau programme de travail 2023-2027, sont majoritairement de nouveaux partenaires par rapport à la précédente programmation, ce qui témoigne d’un grand renouvellement et d’une nouvelle mobilisation autour de cette coopération avec le Royaume du Maroc, avec également un nombre important d’opérateurs publics, renforçant l’ancrage institutionnel de la CMP.

 

La signature début mai 2023 d’une Convention de partenariat entre la RTBF et 2M scelle déjà un partenariat inédit entre nos deux pôles audiovisuels publics. Il consacre des collaborations déjà anciennes en matière de coproductions mais aussi l’envie et l’ambition des deux pôles d’innover ensemble au bénéfice de plus larges publics. Ce genre de coopération renforce le dialogue et la compréhension mutuelle de nos concitoyens.

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Quatre régions

D'autre part, Wallonie-Bruxelles concentrera son action sur quatre Régions avec lesquelles nous entretenons des liens historiques et socio-économiques, notamment favorisés par la présence des diasporas : les Régions de l’Oriental, de Tanger-Tétouan-Al-Hoceima, de Rabat-Salé-Kénitra et de Casablanca-Settat.

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Des accords importants aux dimensions multiples

Le nombre des projets ne dit pas tout en regard de l’importance des partenariats publics qui ont été construits entre les services publics de Wallonie-Bruxelles et du Maroc, dans les domaines de l’évaluation des politiques publiques, de l’interculturel et de l’enseignement des langues ainsi que pour la recherche dans les énergies renouvelables et le développement durable.

 

Si le renforcement de structures publiques et de la coopération entre les administrations a déja été évoqué, la dimension sociale est également présente, avec des projets de soutien à la cohésion sociale et à l’autocréation d’emplois.

 

Pour la dimension économique de la ccopération, un accord entre les agences d’investissement et de commerce extérieur vient d'être signé. Enfin la dimension environnementale n'a pas été oubliée, avec le soutien à la résilience des territoires en matière de changement climatique et l’appui à la recherche pour les énergies renouvelables.

 

Des outils de suivi conjoints renforceront davantage la qualité du partenariat au bénéfice des projets et des populations concernées.

 

Tout cela dessine un programme aussi ambitieux que responsable pour les 5 années qui viennent. Après presque 25 ans de coopération, cette 8e CMP vient renforcer les relations bilatérales entre le Maroc et Wallonie-Bruxelles, en vue de développer un partenariat stratégique fort autour de valeurs communes.

 

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Contacts et informations

Retrouvez l’équipe de la Délégation Wallonie-Bruxelles au Maroc sur le site de WBI.

Suivez son actualité sur son site et ses réseaux sociaux :

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Contacts à Bruxelles

 

Fabrice Sprimont

Directeur – Chargé de missions pour le Maroc

Josiane Keuser

 

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(c) Dany

La Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam, dans le cadre de la Journée européenne et du Village européen 2023, en collaboration avec la Délégation de l’Union européenne au Vietnam, souhaite faire découvrir le 9ème art au grand public de Hanoi, à travers une exposition de planches d’un des plus grands auteurs belges francophones, Dany.

 

Dany, de son vrai nom Daniel Henrotin, est né en 1943 en Wallonie. Entre le succès de sa 1ère série Olivier Rameau en 1968 et celui de ses dizaines albums coquins, Dany voyage dans de nombreux univers, avec aisance, entre l’humour, la poésie et le réalisme.

 

A son palmarès:

  • En 1971: Prix Saint-Michel promotion (jeune humoristique), pour l'ensemble de son œuvre
  • En 2007: Prix Saint-Michel du meilleur dessin pour Sur les traces de Dracula, tome 3: Transylvania
  • En 2011: Grand Prix Diagonale pour l'ensemble de son œuvre
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Informations pratiques

Maison octogonale

Parc Ly Thai To

Rue Dinh Tien Hoang, Hoan Kiem, Hanoi

Vernissage 12 mai 2023 à 20h

Du 12/05/2023 à 20h au 14/05/2023 à 20h

Entrée libre

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Plus d’informations

Le Tuyet Nhung - Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam

Centre DAEHA (5ème étage – # 505)/ 360 Kim Ma, Ba Dinh, Hanoi

Tél : (024) 3 831.52.41 / GSM : 09 04 20 79 89  

Courriel : nhungwb@walbruvietnam.org

 

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La Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam, dans le cadre de la Journée européenne et du Village européen 2023, en collaboration avec la Délégation de l’Union européenne au Vietnam, souhaite faire découvrir le 9ème art au grand public de Hanoi, à travers une exposition de planches d’un des plus grands auteurs belges francophones, Dany.

 

Dany, de son vrai nom Daniel Henrotin, est né en 1943 en Wallonie. Entre le succès de sa 1ère série Olivier Rameau en 1968 et celui de ses dizaines albums coquins, Dany voyage dans de nombreux univers, avec aisance, entre l’humour, la poésie et le réalisme.

 

A son palmarès:

  • En 1971: Prix Saint-Michel promotion (jeune humoristique), pour l'ensemble de son œuvre
  • En 2007: Prix Saint-Michel du meilleur dessin pour Sur les traces de Dracula, tome 3: Transylvania
  • En 2011: Grand Prix Diagonale pour l'ensemble de son œuvre
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Informations pratiques

Maison octogonale

Parc Ly Thai To

Rue Dinh Tien Hoang, Hoan Kiem, Hanoi

Vernissage 12 mai 2023 à 20h

Du 12/05/2023 à 20h au 14/05/2023 à 20h

Entrée libre

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Plus d’informations

Le Tuyet Nhung - Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam

Centre DAEHA (5ème étage – # 505)/ 360 Kim Ma, Ba Dinh, Hanoi

Tél : (024) 3 831.52.41 / GSM : 09 04 20 79 89  

Courriel : nhungwb@walbruvietnam.org

 

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© Fotolia

Les dispositifs sont mis en œuvre, d’une part, par le Programme de cofinancement de projets d'éducation à la citoyenneté mondiale et aux objectifs de développement durable et, d'autre part, par le Programme de cofinancement de projets de partenariat pour le développement durable (Nouveau projet ou Cofinancement principal DGD et/ou UE).

 

Les objectifs visés ont le soutien de projets de partenariat pour la coopération internationale dans les pays suivants: Bénin, Burkina Faso, République démocratique du Congo, Maroc, Palestine, Rwanda, Sénégal, Tunisie et, pour les projets d’éducation à la citoyenneté mondiale et aux objectifs de développement durable, Wallonie-Bruxelles.

 

Découvrez les dispositifs en détail:

 

La date limite de remise des candidatures est le 10 juillet 2023.

Les dispositifs sont mis en œuvre, d’une part, par le Programme de cofinancement de projets d'éducation à la citoyenneté mondiale et aux objectifs de développement durable et, d'autre part, par le Programme de cofinancement de projets de partenariat pour le développement durable (Nouveau projet ou Cofinancement principal DGD et/ou UE).

 

Les objectifs visés ont le soutien de projets de partenariat pour la coopération internationale dans les pays suivants: Bénin, Burkina Faso, République démocratique du Congo, Maroc, Palestine, Rwanda, Sénégal, Tunisie et, pour les projets d’éducation à la citoyenneté mondiale et aux objectifs de développement durable, Wallonie-Bruxelles.

 

Découvrez les dispositifs en détail:

 

La date limite de remise des candidatures est le 10 juillet 2023.

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Manon Dausort (c) Christian Du Brulle

Manon Dausort aurait pu être vétérinaire, mais c’est vers les sciences de l’ingénieur qu’elle s’est dirigée. Désormais doctorante à l’UCLouvain, elle participait en février dernier à la vaste mission équine organisée en Scandinavie par le service Recherche et Innovation de WBI.

 

Une mission centrée sur le cheval, étonnant, pour une ingénieure civile spécialisée en génie biomédical? « Pas vraiment », dit-elle. « Je fais de l’équitation depuis plus de 15 ans. Mais la raison qui m’a amenée ici se situe du côté de l’imagerie médicale et de l’intelligence artificielle ».

 

« Lors de mes études, j’ai travaillé sur les micro-changements qui se produisaient dans le cerveau de patients alcooliques lorsqu’ils observaient de courtes périodes d’abstinence. Pour détecter ces évolutions, une technologie d’imagerie médicale non invasive a été utilisée ».

 

« Quand les patients entraient à l’hôpital, nous leur faisions passer un examen d’IRM structurelle (dite "de diffusion"). Ils étaient soumis à un second examen de ce genre à leur sortie, quelques jours plus tard. Ceci afin de mettre en évidence une éventuelle récupération de leur fonction cérébrale, de leur matière blanche, mais aussi de la connectivité dans le cerveau ».

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Du cerveau aux tumeurs malignes

Depuis l’an dernier, dans le cadre de son doctorat réalisé au PiLAB (Pixels and Interactions) du Pr Benoît Macq (UCLouvain), et sous l’égide du Trail Institute, elle utilise les mêmes outils, mais les applique cette fois aux tumeurs. Et ce, afin de mieux caractériser les cellules cancéreuses et de suivre leur évolution dans le temps.

 

« Pour le moment, je me concentre sur une revue de la littérature sur le sujet. J’analyse également le fonctionnement des outils de dépistage utilisés afin de déterminer leurs faiblesses, leurs limites. Dans le même temps, au laboratoire, nous tentons d’améliorer les performances de l’IRM de diffusion utilisée pour l’imagerie de la matière blanche, dans la perspective de la rendre tout aussi efficace pour des examens d’autres organes. En particulier pour le dépistage du cancer du sein ».

 

Pourquoi se concentrer sur le cancer du sein? « On sait que le dépistage par mammographie livre de bons résultats », reprend-elle. « En cas de suspicion, une biopsie est effectuée. Un tel examen invasif est difficile pour les patientes, notamment psychologiquement. En améliorant les examens par imagerie médicale, par exemple en utilisant l’IRM de diffusion, notre but est de mieux détecter et caractériser les éventuelles tumeurs suspectes afin de limiter la nécessité d’une biopsie. Nous souhaitons développer un outil complémentaire, qui sera au service des médecins ».

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Une détection plus précoce

« Les médecins basent leur diagnostic sur un examen visuel des mammographies. Ils disposent aussi d’un outil de classification. À partir d’un certain seuil, ils décident de réaliser une biopsie. L’outil que nous souhaitons développer passe par un modèle plus neutre, plus impartial. L’idée est d’améliorer les outils de prévention, y compris très tôt en cas de développement d’une tumeur, dès l’apparition de quelques cellules malignes, avant qu’elles ne forment une certaine masse ».

 

« En théorie, ce que nous souhaitons développer pourrait s’appliquer à n’importe quelle partie du corps », poursuit Manon Dausort. « Le choix du sein s’explique par le fait que l’examen préventif par mammographie se base sur une technique de radiographie. Notre outil, l’imagerie par IRM de diffusion, se base sur l’utilisation d’un champ magnétique, pas un rayonnement ionisant ».

 

Son projet de doctorat se base sur une technologie d’imagerie médicale, mais aussi sur l’analyse de données réalisée grâce à l’intelligence artificielle. Quel lien dès lors avec le cheval, qui était au centre des échanges organisés en Suède? « Tout simplement parce que les technologies sur lesquelles je travaille pourraient aussi trouver des applications dans le domaine vétérinaire, et notamment équin », dit-elle, en guise de conclusion.

 

Cet article a été rédigé par Christian Du Brulle pour la plateforme Daily Science, avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International.

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Manon Dausort aurait pu être vétérinaire, mais c’est vers les sciences de l’ingénieur qu’elle s’est dirigée. Désormais doctorante à l’UCLouvain, elle participait en février dernier à la vaste mission équine organisée en Scandinavie par le service Recherche et Innovation de WBI.

 

Une mission centrée sur le cheval, étonnant, pour une ingénieure civile spécialisée en génie biomédical? « Pas vraiment », dit-elle. « Je fais de l’équitation depuis plus de 15 ans. Mais la raison qui m’a amenée ici se situe du côté de l’imagerie médicale et de l’intelligence artificielle ».

 

« Lors de mes études, j’ai travaillé sur les micro-changements qui se produisaient dans le cerveau de patients alcooliques lorsqu’ils observaient de courtes périodes d’abstinence. Pour détecter ces évolutions, une technologie d’imagerie médicale non invasive a été utilisée ».

 

« Quand les patients entraient à l’hôpital, nous leur faisions passer un examen d’IRM structurelle (dite "de diffusion"). Ils étaient soumis à un second examen de ce genre à leur sortie, quelques jours plus tard. Ceci afin de mettre en évidence une éventuelle récupération de leur fonction cérébrale, de leur matière blanche, mais aussi de la connectivité dans le cerveau ».

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Du cerveau aux tumeurs malignes

Depuis l’an dernier, dans le cadre de son doctorat réalisé au PiLAB (Pixels and Interactions) du Pr Benoît Macq (UCLouvain), et sous l’égide du Trail Institute, elle utilise les mêmes outils, mais les applique cette fois aux tumeurs. Et ce, afin de mieux caractériser les cellules cancéreuses et de suivre leur évolution dans le temps.

 

« Pour le moment, je me concentre sur une revue de la littérature sur le sujet. J’analyse également le fonctionnement des outils de dépistage utilisés afin de déterminer leurs faiblesses, leurs limites. Dans le même temps, au laboratoire, nous tentons d’améliorer les performances de l’IRM de diffusion utilisée pour l’imagerie de la matière blanche, dans la perspective de la rendre tout aussi efficace pour des examens d’autres organes. En particulier pour le dépistage du cancer du sein ».

 

Pourquoi se concentrer sur le cancer du sein? « On sait que le dépistage par mammographie livre de bons résultats », reprend-elle. « En cas de suspicion, une biopsie est effectuée. Un tel examen invasif est difficile pour les patientes, notamment psychologiquement. En améliorant les examens par imagerie médicale, par exemple en utilisant l’IRM de diffusion, notre but est de mieux détecter et caractériser les éventuelles tumeurs suspectes afin de limiter la nécessité d’une biopsie. Nous souhaitons développer un outil complémentaire, qui sera au service des médecins ».

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Une détection plus précoce

« Les médecins basent leur diagnostic sur un examen visuel des mammographies. Ils disposent aussi d’un outil de classification. À partir d’un certain seuil, ils décident de réaliser une biopsie. L’outil que nous souhaitons développer passe par un modèle plus neutre, plus impartial. L’idée est d’améliorer les outils de prévention, y compris très tôt en cas de développement d’une tumeur, dès l’apparition de quelques cellules malignes, avant qu’elles ne forment une certaine masse ».

 

« En théorie, ce que nous souhaitons développer pourrait s’appliquer à n’importe quelle partie du corps », poursuit Manon Dausort. « Le choix du sein s’explique par le fait que l’examen préventif par mammographie se base sur une technique de radiographie. Notre outil, l’imagerie par IRM de diffusion, se base sur l’utilisation d’un champ magnétique, pas un rayonnement ionisant ».

 

Son projet de doctorat se base sur une technologie d’imagerie médicale, mais aussi sur l’analyse de données réalisée grâce à l’intelligence artificielle. Quel lien dès lors avec le cheval, qui était au centre des échanges organisés en Suède? « Tout simplement parce que les technologies sur lesquelles je travaille pourraient aussi trouver des applications dans le domaine vétérinaire, et notamment équin », dit-elle, en guise de conclusion.

 

Cet article a été rédigé par Christian Du Brulle pour la plateforme Daily Science, avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International.

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Drapeau Inclusif LGBTQIA+

L'année 2022 nous a néanmoins montré que les personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, transgenres ou intersexes font encore l’objet de discriminations basées sur leur orientation sexuelle, leur identité de genre, leur expression de genre, ou encore parce qu’elles présentent des variations corporelles qui se situent en dehors d’une norme sexuée binaire. Insultes, harcèlement de rue, inégalités à l’emploi, difficultés dans l’accès aux soins de santé, la liste est longue. Ces inégalités sont préjudiciables et peuvent même mettre la vie des personnes concernées en danger.

 

La situation dans le monde est préoccupante et même quelque peu alarmante. Par exemple, en Pologne, où les valeurs européennes sont en péril suite à une érosion de l’Etat de droit, les droits des personnes LGBTQIA+ sont en danger. Dans le pays, certaines autorités régionales et municipales ont déclaré être libres d’idéologies LGBT depuis 2019 mettant en place des mesures visant à invisibiliser cette communauté. Ailleurs dans le monde, la situation n’est pas réjouissante. Un autre exemple, au Salvador, les personnes transgenres sont sujettes à de fortes discriminations notamment dues à la non-reconnaissance légale de leur genre. Une autre illustration est la 22e édition de la coupe du monde de football au Qatar a également été le triste théâtre de discriminations LGBTQIA+. Rappelons que ce pays autorise les thérapies de conversion et criminalise les relations homosexuelles. Malgré une lente évolution sur la question, 68 pays dans le monde répriment toujours l’homosexualité à ce jour.

 

Aujourd’hui, la représentation des personnes LGBTQIA+ reste sensible, c’est pourquoi il est important de continuer à informer et à sensibiliser contre toute forme de discrimination à leur égard, ce qui est l’objectif de la journée internationale de ce mercredi 17 mai contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie. Cette date marque également le 33e anniversaire de la sortie de l’homosexualité de la liste des maladies mentales de l’Organisation mondiale de la Santé.

 

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La situation en Belgique

 

Notre pays est un bon élève en matière des droits des personnes LGBTQIA+. Selon ILGA Europe – International Lesbian and Gay Association – qui mène des travaux de sensibilisation auprès des institutions européennes, la Belgique figure à la 2eme place de la carte arc-en-ciel. Celle-ci énumère les pays d’Europe selon le respect de certains critères basés sur les droits des personnes LGBTQIA+. Au premier rang, on retrouve Malte, cet État insulaire du sud de l’Europe où l’on recense le moins d’inégalités et de discriminations envers les personnes LGBTQIA+.

 

Toutefois, même en Belgique, malgré une évolution en la matière, les personnes LGBTQIA+ font encore l’objet de discriminations, insultes et actes à caractère homophobe. En 2021, le Centre interfédéral pour l’égalité des chances (UNIA) a ouvert 176 dossiers liés à des discriminations basées sur l’orientation sexuelle en Belgique.

 

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La Belgique fête les 20 ans du mariage pour tous

 

Cette année est particulière parce qu’elle marque les 20 ans de la légalisation autorisant le mariage entre personnes de même sexe en Belgique. La question du mariage pour les couples homosexuels apparait dans les années 1990 mais il faudra attendre le 30 janvier 2003 pour que la Belgique devienne le deuxième pays au monde à légaliser l’union des couples homosexuels. Par ailleurs, avant la mise en place du mariage pour tous, la Belgique avait légalisé la cohabitation légale pour les couples homosexuels dès 1998.

 

Depuis 20 ans, approximativement 1000 mariages sont célébrés chaque année à travers le Royaume, selon l’office belge de statistique, Statbel. En comparaison avec les couples hétérosexuels, les chiffres montrent un plus faible pourcentage de divorces au sein des mariages homosexuels.

 

Afin de connaitre l’évolution des droits des personnes LGBTQIA+ en Belgique, voici une ligne du temps des principales mesures prises sur la question :  

 

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Mesures mises en place

 

En Belgique, il est interdit de discriminer quiconque sur base de son orientation sexuelle selon la loi anti-discrimination du 10 mai 2007. Les crimes et délits homophobes sont punis sévèrement dans notre pays. En effet, le code pénal prévoit que le caractère homophobe d’un acte de violence soit considéré comme une circonstance aggravante. Celle-ci accompagne également les crimes et délits basés sur des considérations racistes, linguistiques, culturelles, etc.

 

En 2012, Ihsan Jarfi, un homme de 32 ans est sauvagement assassiné dans la région de Liège parce qu’il était homosexuel. Pour la première fois, un assassinat est qualifié d’homophobe par la justice belge. Dès lors, la Belgique décide de prendre des mesures plus sévères :  désormais, une personne qui commet un crime ou un délit homophobe peut être condamné à la réclusion criminelle à perpétuité.

 

En mai 2021, le « Plan Fédéral pour une Belgique LGBTQI+friendly » a été adopté. Ce plan met en avant 133 mesures proposées par 10 ministres du gouvernement fédéral afin de protéger et soutenir les publics LGBTQI+. Parmi ces mesures, citons des soins de santé adéquats, le renforcement de la sécurité ou encore la formation de professionnelles et professionnels afin de lutter contre les discriminations à l’égard d’individus en raison de leur orientation sexuelle ou de genre.

 

Au niveau régional, la Wallonie qui s’est déclaré « Zone de liberté pour les personnes LGBTQIA+ » a adopté le « Plan wallon d’inclusion des personnes LGBTQIA+ 2022-2024 ». Ce plan définit 5 objectifs principaux :

 

  • Mener une politique intégrée et soutenir la recherche sur les thématiques LGBTQIA+ ;
  • Lutter contre les discriminations à l’égard des personnes LGBTQIA+ ;
  • Favoriser l’inclusion des personnes LGBTQIA+ ;
  • Promouvoir une approche inclusive de la santé en faveur des personnes LGBTQIA+ ;
  • Défendre les droits des personnes LGBTQIA+ à travers le monde.

Chacun des objectifs recouvre diverses mesures. Celles-ci sont au nombre de 16 et concernent notamment une augmentation des montants alloués aux Maisons Arc-en-ciel, une meilleure prise en charge des personnes LGBTQIA+ par les professionnels et professionnelles de la santé, ou encore un accueil adapté pour les personnes LGBTQIA+ issues de l’immigration.

 

Bien que la Belgique soit pionnière en matière des droits des personnes LGBTQIA+, il reste encore des modifications et évolutions à apporter à la question. Par exemple, la loi du 25 juin 2017 permet aux personnes transgenres de modifier la mention du sexe et leur prénom sur leur acte de naissance, sans devoir répondre à des conditions médicales préalables. Toutefois, cette loi qui constitue une belle avancée en la matière impose une binarité du genre.

 

En ce qui concerne les dons de sang pour les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, la Chambre des représentants a approuvé une proposition de loi modifiant la période d’abstinence de 12 mois à 4 mois. Cette loi, qui sera effective dès le 1er juillet 2023 constitue une évolution sur la question des donneurs de sang homosexuels mais n’est toutefois pas à la hauteur. En effet, alors que les personnes hétérosexuelles se voient imposer un délai d’attente uniquement dans le cas où elles auraient eu des comportements potentiellement à risque, les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes se voient imposer dans tous les cas un délai d’abstinence de quatre mois. Cette condition basée sur l’orientation sexuelle est discriminante pour les personnes homosexuelles et les raisons d’exclusion sont considérées comme non justifiées par plusieurs instances européennes et internationales. La prochaine étape débattue par les politiques est de supprimer tout délai d’attente avec une période d’abstinence de 4 mois pour toute personne ayant eu un comportement à risque, indépendamment de son orientation sexuelle. Chez nos voisins européens, tels que la France et les Pays-Bas ou encore d’autres pays comme les Etats-Unis et le Canada, cette condition a totalement disparu. Désormais, un homme homosexuel peut faire un don de sang selon les mêmes règles que les autres personnes.

 

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Prisme – Fédération Wallonne LGBTQIA+

 

Cette année, Wallonie-Bruxelles International a voulu mettre un coup de projecteur sur une association militante, la fédération wallonne Prisme. Celle-ci est une coupole chapeautant l’ensemble des Maisons Arc-en-Ciel de Wallonie – relais locaux pour les personnes LGBTQIA+ – ainsi que toutes les associations œuvrant pour les droits des personnes LGBTQIA+ en Wallonie.  

 

La fédération permet une concertation et une coordination entre les différentes Maisons Arc-en-Ciel et les associations, représente les intérêts des personnes LGBTQIA+ auprès des instances politiques et mène un travail de plaidoyer à l’égard du grand public. En Wallonie, il existe 7 Maisons Arc-en-Ciel situées à Ottignies, Charleroi, Liège, Namur, Mons, Verviers et à Virton. Ces Maisons Arc-en-Ciel sont des endroits bienveillants pour les personnes LGBTQIA+ qui peuvent s’y rendre afin d’avoir des informations, mais également pour avoir une aide juridique, sociale ou psychologique. Par ailleurs, ces Maisons sont des espaces d’accueil pour les différentes associations LGBTQIA+ actives localement.

 

Plusieurs projets sont également mis en place par la Fédération, dont le projet GrIS, qui consiste à organiser l’intervention de personnes gays, lesbiennes, bi dans les écoles afin de démystifier les stéréotypes à l’égard des personnes LGBTQIA+. L’année dernière, Prisme a également élaboré une plateforme web informative (AIR) à destination des personnes migrantes LGBTQIA+ ainsi qu’un site web (PraTIQ) qui centralise des informations concernant les communautés Trans, Inter et Queer. Quant au projet KLIQ, il propose des interventions ainsi que des formations à destination de publics divers, tels que les employeurs et employeuses du secteur privé mais également du secteur public.

 

Par ailleurs, la fédération voudrait intensifier son travail de sensibilisation et de déconstruction des préjugés notamment grâce à la formation de personnels encadrants dans les centres d’accueils pour les demandeurs et demandeuses d’asile et la créations d’outils visant à aider le personnel médical à mieux accueillir et prendre en charge les personnes LGBTQIA+.

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 


 

 

 

 

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L'année 2022 nous a néanmoins montré que les personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, transgenres ou intersexes font encore l’objet de discriminations basées sur leur orientation sexuelle, leur identité de genre, leur expression de genre, ou encore parce qu’elles présentent des variations corporelles qui se situent en dehors d’une norme sexuée binaire. Insultes, harcèlement de rue, inégalités à l’emploi, difficultés dans l’accès aux soins de santé, la liste est longue. Ces inégalités sont préjudiciables et peuvent même mettre la vie des personnes concernées en danger.

 

La situation dans le monde est préoccupante et même quelque peu alarmante. Par exemple, en Pologne, où les valeurs européennes sont en péril suite à une érosion de l’Etat de droit, les droits des personnes LGBTQIA+ sont en danger. Dans le pays, certaines autorités régionales et municipales ont déclaré être libres d’idéologies LGBT depuis 2019 mettant en place des mesures visant à invisibiliser cette communauté. Ailleurs dans le monde, la situation n’est pas réjouissante. Un autre exemple, au Salvador, les personnes transgenres sont sujettes à de fortes discriminations notamment dues à la non-reconnaissance légale de leur genre. Une autre illustration est la 22e édition de la coupe du monde de football au Qatar a également été le triste théâtre de discriminations LGBTQIA+. Rappelons que ce pays autorise les thérapies de conversion et criminalise les relations homosexuelles. Malgré une lente évolution sur la question, 68 pays dans le monde répriment toujours l’homosexualité à ce jour.

 

Aujourd’hui, la représentation des personnes LGBTQIA+ reste sensible, c’est pourquoi il est important de continuer à informer et à sensibiliser contre toute forme de discrimination à leur égard, ce qui est l’objectif de la journée internationale de ce mercredi 17 mai contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie. Cette date marque également le 33e anniversaire de la sortie de l’homosexualité de la liste des maladies mentales de l’Organisation mondiale de la Santé.

 

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La situation en Belgique

 

Notre pays est un bon élève en matière des droits des personnes LGBTQIA+. Selon ILGA Europe – International Lesbian and Gay Association – qui mène des travaux de sensibilisation auprès des institutions européennes, la Belgique figure à la 2eme place de la carte arc-en-ciel. Celle-ci énumère les pays d’Europe selon le respect de certains critères basés sur les droits des personnes LGBTQIA+. Au premier rang, on retrouve Malte, cet État insulaire du sud de l’Europe où l’on recense le moins d’inégalités et de discriminations envers les personnes LGBTQIA+.

 

Toutefois, même en Belgique, malgré une évolution en la matière, les personnes LGBTQIA+ font encore l’objet de discriminations, insultes et actes à caractère homophobe. En 2021, le Centre interfédéral pour l’égalité des chances (UNIA) a ouvert 176 dossiers liés à des discriminations basées sur l’orientation sexuelle en Belgique.

 

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La Belgique fête les 20 ans du mariage pour tous

 

Cette année est particulière parce qu’elle marque les 20 ans de la légalisation autorisant le mariage entre personnes de même sexe en Belgique. La question du mariage pour les couples homosexuels apparait dans les années 1990 mais il faudra attendre le 30 janvier 2003 pour que la Belgique devienne le deuxième pays au monde à légaliser l’union des couples homosexuels. Par ailleurs, avant la mise en place du mariage pour tous, la Belgique avait légalisé la cohabitation légale pour les couples homosexuels dès 1998.

 

Depuis 20 ans, approximativement 1000 mariages sont célébrés chaque année à travers le Royaume, selon l’office belge de statistique, Statbel. En comparaison avec les couples hétérosexuels, les chiffres montrent un plus faible pourcentage de divorces au sein des mariages homosexuels.

 

Afin de connaitre l’évolution des droits des personnes LGBTQIA+ en Belgique, voici une ligne du temps des principales mesures prises sur la question :  

 

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Mesures mises en place

 

En Belgique, il est interdit de discriminer quiconque sur base de son orientation sexuelle selon la loi anti-discrimination du 10 mai 2007. Les crimes et délits homophobes sont punis sévèrement dans notre pays. En effet, le code pénal prévoit que le caractère homophobe d’un acte de violence soit considéré comme une circonstance aggravante. Celle-ci accompagne également les crimes et délits basés sur des considérations racistes, linguistiques, culturelles, etc.

 

En 2012, Ihsan Jarfi, un homme de 32 ans est sauvagement assassiné dans la région de Liège parce qu’il était homosexuel. Pour la première fois, un assassinat est qualifié d’homophobe par la justice belge. Dès lors, la Belgique décide de prendre des mesures plus sévères :  désormais, une personne qui commet un crime ou un délit homophobe peut être condamné à la réclusion criminelle à perpétuité.

 

En mai 2021, le « Plan Fédéral pour une Belgique LGBTQI+friendly » a été adopté. Ce plan met en avant 133 mesures proposées par 10 ministres du gouvernement fédéral afin de protéger et soutenir les publics LGBTQI+. Parmi ces mesures, citons des soins de santé adéquats, le renforcement de la sécurité ou encore la formation de professionnelles et professionnels afin de lutter contre les discriminations à l’égard d’individus en raison de leur orientation sexuelle ou de genre.

 

Au niveau régional, la Wallonie qui s’est déclaré « Zone de liberté pour les personnes LGBTQIA+ » a adopté le « Plan wallon d’inclusion des personnes LGBTQIA+ 2022-2024 ». Ce plan définit 5 objectifs principaux :

 

  • Mener une politique intégrée et soutenir la recherche sur les thématiques LGBTQIA+ ;
  • Lutter contre les discriminations à l’égard des personnes LGBTQIA+ ;
  • Favoriser l’inclusion des personnes LGBTQIA+ ;
  • Promouvoir une approche inclusive de la santé en faveur des personnes LGBTQIA+ ;
  • Défendre les droits des personnes LGBTQIA+ à travers le monde.

Chacun des objectifs recouvre diverses mesures. Celles-ci sont au nombre de 16 et concernent notamment une augmentation des montants alloués aux Maisons Arc-en-ciel, une meilleure prise en charge des personnes LGBTQIA+ par les professionnels et professionnelles de la santé, ou encore un accueil adapté pour les personnes LGBTQIA+ issues de l’immigration.

 

Bien que la Belgique soit pionnière en matière des droits des personnes LGBTQIA+, il reste encore des modifications et évolutions à apporter à la question. Par exemple, la loi du 25 juin 2017 permet aux personnes transgenres de modifier la mention du sexe et leur prénom sur leur acte de naissance, sans devoir répondre à des conditions médicales préalables. Toutefois, cette loi qui constitue une belle avancée en la matière impose une binarité du genre.

 

En ce qui concerne les dons de sang pour les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, la Chambre des représentants a approuvé une proposition de loi modifiant la période d’abstinence de 12 mois à 4 mois. Cette loi, qui sera effective dès le 1er juillet 2023 constitue une évolution sur la question des donneurs de sang homosexuels mais n’est toutefois pas à la hauteur. En effet, alors que les personnes hétérosexuelles se voient imposer un délai d’attente uniquement dans le cas où elles auraient eu des comportements potentiellement à risque, les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes se voient imposer dans tous les cas un délai d’abstinence de quatre mois. Cette condition basée sur l’orientation sexuelle est discriminante pour les personnes homosexuelles et les raisons d’exclusion sont considérées comme non justifiées par plusieurs instances européennes et internationales. La prochaine étape débattue par les politiques est de supprimer tout délai d’attente avec une période d’abstinence de 4 mois pour toute personne ayant eu un comportement à risque, indépendamment de son orientation sexuelle. Chez nos voisins européens, tels que la France et les Pays-Bas ou encore d’autres pays comme les Etats-Unis et le Canada, cette condition a totalement disparu. Désormais, un homme homosexuel peut faire un don de sang selon les mêmes règles que les autres personnes.

 

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Prisme – Fédération Wallonne LGBTQIA+

 

Cette année, Wallonie-Bruxelles International a voulu mettre un coup de projecteur sur une association militante, la fédération wallonne Prisme. Celle-ci est une coupole chapeautant l’ensemble des Maisons Arc-en-Ciel de Wallonie – relais locaux pour les personnes LGBTQIA+ – ainsi que toutes les associations œuvrant pour les droits des personnes LGBTQIA+ en Wallonie.  

 

La fédération permet une concertation et une coordination entre les différentes Maisons Arc-en-Ciel et les associations, représente les intérêts des personnes LGBTQIA+ auprès des instances politiques et mène un travail de plaidoyer à l’égard du grand public. En Wallonie, il existe 7 Maisons Arc-en-Ciel situées à Ottignies, Charleroi, Liège, Namur, Mons, Verviers et à Virton. Ces Maisons Arc-en-Ciel sont des endroits bienveillants pour les personnes LGBTQIA+ qui peuvent s’y rendre afin d’avoir des informations, mais également pour avoir une aide juridique, sociale ou psychologique. Par ailleurs, ces Maisons sont des espaces d’accueil pour les différentes associations LGBTQIA+ actives localement.

 

Plusieurs projets sont également mis en place par la Fédération, dont le projet GrIS, qui consiste à organiser l’intervention de personnes gays, lesbiennes, bi dans les écoles afin de démystifier les stéréotypes à l’égard des personnes LGBTQIA+. L’année dernière, Prisme a également élaboré une plateforme web informative (AIR) à destination des personnes migrantes LGBTQIA+ ainsi qu’un site web (PraTIQ) qui centralise des informations concernant les communautés Trans, Inter et Queer. Quant au projet KLIQ, il propose des interventions ainsi que des formations à destination de publics divers, tels que les employeurs et employeuses du secteur privé mais également du secteur public.

 

Par ailleurs, la fédération voudrait intensifier son travail de sensibilisation et de déconstruction des préjugés notamment grâce à la formation de personnels encadrants dans les centres d’accueils pour les demandeurs et demandeuses d’asile et la créations d’outils visant à aider le personnel médical à mieux accueillir et prendre en charge les personnes LGBTQIA+.

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 


 

 

 

 

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Cette année, dans le cadre des Journées de Littératures européennes 2023 à Hanoi organisées par les membres du réseau EUNIC Vietnam, la Délégation s’ancre à deux activités: concours de dessins réservé aux élèves avec thème « Les aventures de Tintin au Vietnam » et rencontre à l’occasion du lancement de la publication en vietnamien du nouveau roman d’Amélie Nothomb Premier sang.

 

Une cinquantaine de jeunes vietnamiens, collégiens pour la plupart, ont participé au concours « Les aventures de Tintin au Vietnam » et cinq meilleurs ouvrages seront récompensés le dimanche 14 mai 2023. Ces dessins seront exposés pendant une semaine (du 14 au 21 mai 2023) dans les locaux de la Maison d’Edition Kim Dong, éditeur de référence pour les jeunes lecteurs vietnamiens.
  

La Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam a le grand honneur cette année d’accompagner la Société par actions de Culture et de Communications de Nha Nam pour présenter aux lecteurs vietnamiens le 30ème roman d’Amélie Nothomb, l’autrice belge francophone de renommée internationale. Premier sang a remporté le Prix Renaudot en 2021 et figure sur la liste « Les 100 livres de l’année » du magazine littéraire prestigieux Lire.
 

La rencontre en vietnamien et en français aura lieu le samedi 13 mai, du 10h à 11h30, dans la Rue du Livre 19/12 à Hanoi. L’entrée est libre.

 

Notons que la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam collabore depuis plus de 20 ans avec les éditeurs vietnamiens pour publier en vietnamien des ouvrages de littérature belge francophone, pour organiser des échanges littéraires, des ateliers de travail avec les professionnels vietnamiens ou encore des expositions des planches des bédéistes belges francophones et des couvertures de livres traduits en vietnamien.

 

Pour plus d’informations

 

Le Tuyet Nhung - Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam
Centre DAEHA (5ème étage – # 505)/ 360 Kim Ma, Ba Dinh, Hanoi
Tél : (024) 3 831.52.41 / GSM : 09 04 20 79 89 Courriel : nhungwb@walbruvietnam.org
 

Cette année, dans le cadre des Journées de Littératures européennes 2023 à Hanoi organisées par les membres du réseau EUNIC Vietnam, la Délégation s’ancre à deux activités: concours de dessins réservé aux élèves avec thème « Les aventures de Tintin au Vietnam » et rencontre à l’occasion du lancement de la publication en vietnamien du nouveau roman d’Amélie Nothomb Premier sang.

 

Une cinquantaine de jeunes vietnamiens, collégiens pour la plupart, ont participé au concours « Les aventures de Tintin au Vietnam » et cinq meilleurs ouvrages seront récompensés le dimanche 14 mai 2023. Ces dessins seront exposés pendant une semaine (du 14 au 21 mai 2023) dans les locaux de la Maison d’Edition Kim Dong, éditeur de référence pour les jeunes lecteurs vietnamiens.
  

La Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam a le grand honneur cette année d’accompagner la Société par actions de Culture et de Communications de Nha Nam pour présenter aux lecteurs vietnamiens le 30ème roman d’Amélie Nothomb, l’autrice belge francophone de renommée internationale. Premier sang a remporté le Prix Renaudot en 2021 et figure sur la liste « Les 100 livres de l’année » du magazine littéraire prestigieux Lire.
 

La rencontre en vietnamien et en français aura lieu le samedi 13 mai, du 10h à 11h30, dans la Rue du Livre 19/12 à Hanoi. L’entrée est libre.

 

Notons que la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam collabore depuis plus de 20 ans avec les éditeurs vietnamiens pour publier en vietnamien des ouvrages de littérature belge francophone, pour organiser des échanges littéraires, des ateliers de travail avec les professionnels vietnamiens ou encore des expositions des planches des bédéistes belges francophones et des couvertures de livres traduits en vietnamien.

 

Pour plus d’informations

 

Le Tuyet Nhung - Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam
Centre DAEHA (5ème étage – # 505)/ 360 Kim Ma, Ba Dinh, Hanoi
Tél : (024) 3 831.52.41 / GSM : 09 04 20 79 89 Courriel : nhungwb@walbruvietnam.org
 

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Le Festival international du cinéma francophone en Acadie (FICFA) est un festival généraliste de films issus des pays de la Francophonie. Par sa programmation diversifiée, alliant films grand public et films d'auteurs, regroupant fiction, documentaire et animation en court, moyen et long métrage, le festival souhaite présenter un panorama de la production cinématographique francophone récente et il encourage la participation de productions indépendantes.

 

La 37ème édition du festival aura lieu du 16 au 24 novembre 2023 à Moncton et Dieppe au Nouveau-Brunswick (Canada).

 

Les soumissions sont attendues pour le 4 août 2023 au plus tard.

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Conditions d'admission

  • Seules sont admissibles les œuvres issues de pays ou de régions membres de la Francophonie (selon Organisation Internationale de la Francophonie)
  • L’oeuvre doit avoir été produite au plus tôt en 2022 et ne pas être sortie en salle avant décembre 2022
  • L’oeuvre ne doit pas avoir été diffusée à la télévision au Canada
  • Les séries télévisées ou toutes oeuvres conçues à des fins télévisuelles ne sont pas admissibles
  • Les films disponibles pour visionnement public en ligne (VOD) ne sont pas admissibles
  • Les films dont les dialogues sont plus de 50% en anglais ne sont pas admissibles
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Modalités d'inscription

  • 15$ CAD + taxe pour les courts métrages (moins de 45 minutes)
  • 30$ CAD + taxe pour les longs métrages (plus de 45 minutes)

Toutes les infos et le lien pour soumettre votre film ici.

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Le Festival international du cinéma francophone en Acadie (FICFA) est un festival généraliste de films issus des pays de la Francophonie. Par sa programmation diversifiée, alliant films grand public et films d'auteurs, regroupant fiction, documentaire et animation en court, moyen et long métrage, le festival souhaite présenter un panorama de la production cinématographique francophone récente et il encourage la participation de productions indépendantes.

 

La 37ème édition du festival aura lieu du 16 au 24 novembre 2023 à Moncton et Dieppe au Nouveau-Brunswick (Canada).

 

Les soumissions sont attendues pour le 4 août 2023 au plus tard.

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  • Seules sont admissibles les œuvres issues de pays ou de régions membres de la Francophonie (selon Organisation Internationale de la Francophonie)
  • L’oeuvre doit avoir été produite au plus tôt en 2022 et ne pas être sortie en salle avant décembre 2022
  • L’oeuvre ne doit pas avoir été diffusée à la télévision au Canada
  • Les séries télévisées ou toutes oeuvres conçues à des fins télévisuelles ne sont pas admissibles
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