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09/03/2023
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Les Belges Histoires | Maison Éole

A 44 ans, Anne-Sophie Charle décide donc de passer du monde « dur » de la politique à la « légèreté » de l’univers cosmétique. Enfin légèreté, entendons-nous: pour cette fille de pharmacienne, il est hors de question de se lancer sans pouvoir revendiquer une réelle efficacité. Elle sélectionne dans le vignoble des produits à analyser: feuilles, sarments et lie puis les envoie au CeREF Santé, entre autres, afin de découvrir s’ils recèlent des actifs utilisables.  Et c’est le cas: les sarments de la vigne contiennent un polyphénol 5 à 10 fois plus efficace que ce que l’on peut trouver sur le marché cosmétique à l’époque. 

 

Mais les valeurs d’Anne Sophie Charle la poussent plus loin. Les produits, végans et 100% naturels, sont aussi - excepté pour le parfum - 100 % belges: « En tant qu’entrepreneur, on a une responsabilité de valoriser les savoir-faire à côté de chez nous. » Ils sont aussi écoresponsables: « Je voulais inciter le consommateur à consommer la cosmétique autrement. » Quant au packaging, pensé avec le designer Charles Kaisin, il est réutilisable: les flacons en verre sont emballés dans de jolis coffrets en bois qui peuvent être utilisés à d’autres fins. 

 

Anne-Sophie Charle rejoint aussi ses valeurs familiales en choisissant de vendre Maison Éole en pharmacie. Séduits par les recherches scientifiques qui ont présidé à la création des produits, leur efficacité, mais aussi, par leur origine belge, 140 points de vente ont déjà accepté de la distribuer. Nous sommes fin 2022. Maison Éole a déployé ses ailes, on ne peut que lui souhaiter bon vent. 

 

Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de Wallonie-Bruxelles International

 

 

En savoir plus

Le site officiel de Maison Éole

La page Facebook de Maison Éole

 

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Les Belges Histoires - Les talents de Wallonie-Bruxelles

WBI, en partenariat avec la RTBF, vous propose de découvrir les portraits de belges francophones qui font rayonner Wallonie-Bruxelles.

Découvrez la série de portraits :

>> Les Belges Histoires

 

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Nos aides et services

Wallonie-Bruxelles International vous aide à développer vos projets à l’international avec des formations, des coachings, des missions de prospections, des aides financières…

>> Aides & services

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A 44 ans, Anne-Sophie Charle décide donc de passer du monde « dur » de la politique à la « légèreté » de l’univers cosmétique. Enfin légèreté, entendons-nous: pour cette fille de pharmacienne, il est hors de question de se lancer sans pouvoir revendiquer une réelle efficacité. Elle sélectionne dans le vignoble des produits à analyser: feuilles, sarments et lie puis les envoie au CeREF Santé, entre autres, afin de découvrir s’ils recèlent des actifs utilisables.  Et c’est le cas: les sarments de la vigne contiennent un polyphénol 5 à 10 fois plus efficace que ce que l’on peut trouver sur le marché cosmétique à l’époque. 

Mais les valeurs d’Anne Sophie Charle la poussent plus loin. Les produits, végans et 100% naturels, sont aussi - excepté pour le parfum - 100 % belges: « En tant qu’entrepreneur, on a une responsabilité de valoriser les savoir-faire à côté de chez nous. » Ils sont aussi écoresponsables: « Je voulais inciter le consommateur à consommer la cosmétique autrement. » Quant au packaging, pensé avec le designer Charles Kaisin, il est réutilisable: les flacons en verre sont emballés dans de jolis coffrets en bois qui peuvent être utilisés à d’autres fins. 

Anne-Sophie Charle rejoint aussi ses valeurs familiales en choisissant de vendre Maison Éole en pharmacie. Séduits par les recherches scientifiques qui ont présidé à la création des produits, leur efficacité, mais aussi, par leur origine belge, 140 points de vente ont déjà accepté de la distribuer. Nous sommes fin 2022. Maison Éole a déployé ses ailes, on ne peut que lui souhaiter bon vent. 

Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de Wallonie-Bruxelles International

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08/03/2023
 La Citadelle et la Collégiale Notre-Dame de Dinant © WBT – Anibal Trejo
La Citadelle et la Collégiale Notre-Dame de Dinant © WBT – Anibal Trejo

Rencontre avec Pierre Coenegrachts, Directeur général adjoint de VISITWallonia.

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Pouvez-vous nous rappeler brièvement le rôle de VISITWallonia ?

Cela fait 40 ans maintenant que notre organisme met son expertise au service de la promotion du tourisme à l’étranger. Aujourd’hui, nous marquons un virage important. VISITWallonia, cette marque forte, née pendant la période Covid et déjà largement véhiculée via notre site web et de larges campagnes de presse, devient le nouveau nom de l’asbl Wallonie Belgique Tourisme. C’est une évolution marquante pour l’avenir, et ce dans une logique d’appellation unique partagée par de nombreux acteurs du secteur.

 

Pour rappel, nos marchés prioritaires sont la Belgique francophone et néerlandophone, les Pays-Bas, la France, l’Allemagne, le Royaume Uni et l’Italie. D’autres actions sont menées, sur ces marchés et d’autres, en synergie avec l’Agence Wallonne à l’Exportation (AWEX) et Wallonie-Bruxelles International (WBI). Non seulement nous partageons les mêmes locaux à l’étranger dans plusieurs pays mais nous organisons également des événements ponctuels sur d’autres marchés. A titre d’exemple, nous étions présents ensemble, VISITWallonia, AWEX et WBI, en novembre 2021 sur le Pavillon belge de l’Exposition universelle à Dubaï pour la Semaine wallonne.

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Quelle est votre histoire et quelles sont les évolutions marquantes des politiques et actions menées au fil de ces dernières décennies ?

Notre parcours a été jalonné de grandes étapes qui ont suivi les changements de politique institutionnelle belge. Tout commence en 1982, année de la création de l’Office de Promotion du Tourisme de Wallonie et de Bruxelles (OPT) par la Communauté française. Les missions définies de cette jeune fondation d’utilité publique étaient de s’occuper tant du tourisme de loisirs que du tourisme d’affaires. Nous avions à l’époque des bureaux dans une vingtaine de pays considérés comme des marchés porteurs où nous étions présents conjointement avec la communauté flamande. Nous travaillions alors en lien étroit avec la Sabena, notre compagnie nationale. En 1994, nouvelle étape : la gestion du tourisme francophone est déléguée conjointement à la Région wallonne et à la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles Capitale.

 

Ensuite en 2007, s’opère un changement important avec la création d’une asbl dont l’assemblée générale est largement ouverte au secteur privé. L’idée est de créer des synergies entre opérateurs publics et privés dans un esprit de coopération et d’investissements partagés, avec l’objectif de toucher de nouveaux marchés et publics cibles. C’est l’époque où naissent les Clubs de Promotion qui sont encore bien présents. En 2011, nous changeons de patronyme pour devenir Wallonie Bruxelles Tourisme asbl, nouvelle étape.

 

Enfin, en 2017 (en lien avec la 6e Réforme de l’Etat), nous devenons Wallonie Belgique Tourisme asbl et, si notre siège social demeure à Bruxelles, notre siège opérationnel déménage vers Namur. Aujourd’hui, nos trois régions sont maîtresses de leur promotion touristique et nos campagnes sont principalement orchestrées en fonction de critères économiques, mêmes si les critères culturels sont toujours aussi présents. En effet, le tourisme se révèle être un marché porteur, générateur de plus de 85.000 emplois en Wallonie, majoritairement non délocalisables, et représente près de 4,1 % du Produit Intérieur Brut wallon (PIB).

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Quelles sont actuellement les lignes de force de cette promotion et la stratégie pour renforcer notre image touristique dans et hors de nos frontières ?

Le secteur se professionnalise très rapidement. Nous avons travaillé pour renforcer d’une part l’accueil linguistique, et d’autre part la digitalisation de nos partenaires opérateurs touristiques et la mise en ligne des offres de séjours et d’excursions via le site www.VISITWallonia.be. De nos jours, tout se réserve essentiellement en ligne et le travail de promotion digitale évolue sans cesse. Nous ciblons par exemple aussi les bloggeurs et influenceurs qui sont très suivis, la nature de notre travail change et cela demande aussi beaucoup de souplesse et d’adaptabilité.

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Y a-t-il eu des campagnes de promotion qui vous ont marqué des années 80 jusqu’à aujourd’hui ?

Au départ, les campagnes étaient essentiellement nationales. Par exemple, « Belgium, the surprise package of Europe », une campagne menée avec la Sabena dans les années 80, visait le public anglo- saxon et particulièrement américain intéressé plutôt par un tourisme de city trips ou encore de mémoire. En 2019, nous avons mené une campagne, en coordination avec ETC (European Travel Commission), autour du Slow tourisme en partenariat étroit avec le Grand Est français et le Grand-Duché de Luxembourg. Son fil rouge invitait les publics à prendre le temps de découvrir un autre visage de l’Europe. L’écotourisme continue de progresser et l’offre s’étoffe. Nous avons par exemple participé au développement, en 2021, de l’application « CIRKWI » qui connait un franc succès. Celle- ci reprend une large offre de randonnées pédestres et de circuits à vélo à travers la Wallonie et la Belgique.

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Et demain, comment se profilera la demande ? Quelle évolution voyez-vous apparaître ?

Le travail de promotion se décline déjà davantage autour d’une offre saisonnière, ce qui permet de  découvrir la Wallonie douze mois par an. Les rythmes de congés scolaires et la crise énergétique auront un impact à court et moyen terme et feront évoluer les comportements. Le message que nous souhaitons faire passer est que la Wallonie possède de nombreux atouts. Depuis la crise de la Covid, les publics belges et des pays limitrophes ont redécouvert la richesse de notre patrimoine et les séjours courts à proximité séduisent toujours plus.
Partir en vacances en Wallonie, ce n’est pas un plan B mais un vrai choix assumé !

 

Par Emmanuelle Dejaiffe

 

Cet article est issu de la Revue W+B n°158.
 

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Rencontre avec Pierre Coenegrachts, Directeur général adjoint de VISITWallonia.

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Pouvez-vous nous rappeler brièvement le rôle de VISITWallonia ?

Cela fait 40 ans maintenant que notre organisme met son expertise au service de la promotion du tourisme à l’étranger. Aujourd’hui, nous marquons un virage important. VISITWallonia, cette marque forte, née pendant la période Covid et déjà largement véhiculée via notre site web et de larges campagnes de presse, devient le nouveau nom de l’asbl Wallonie Belgique Tourisme. C’est une évolution marquante pour l’avenir, et ce dans une logique d’appellation unique partagée par de nombreux acteurs du secteur.

 

Pour rappel, nos marchés prioritaires sont la Belgique francophone et néerlandophone, les Pays-Bas, la France, l’Allemagne, le Royaume Uni et l’Italie. D’autres actions sont menées, sur ces marchés et d’autres, en synergie avec l’Agence Wallonne à l’Exportation (AWEX) et Wallonie-Bruxelles International (WBI). Non seulement nous partageons les mêmes locaux à l’étranger dans plusieurs pays mais nous organisons également des événements ponctuels sur d’autres marchés. A titre d’exemple, nous étions présents ensemble, VISITWallonia, AWEX et WBI, en novembre 2021 sur le Pavillon belge de l’Exposition universelle à Dubaï pour la Semaine wallonne.

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Quelle est votre histoire et quelles sont les évolutions marquantes des politiques et actions menées au fil de ces dernières décennies ?

Notre parcours a été jalonné de grandes étapes qui ont suivi les changements de politique institutionnelle belge. Tout commence en 1982, année de la création de l’Office de Promotion du Tourisme de Wallonie et de Bruxelles (OPT) par la Communauté française. Les missions définies de cette jeune fondation d’utilité publique étaient de s’occuper tant du tourisme de loisirs que du tourisme d’affaires. Nous avions à l’époque des bureaux dans une vingtaine de pays considérés comme des marchés porteurs où nous étions présents conjointement avec la communauté flamande. Nous travaillions alors en lien étroit avec la Sabena, notre compagnie nationale. En 1994, nouvelle étape : la gestion du tourisme francophone est déléguée conjointement à la Région wallonne et à la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles Capitale.

 

Ensuite en 2007, s’opère un changement important avec la création d’une asbl dont l’assemblée générale est largement ouverte au secteur privé. L’idée est de créer des synergies entre opérateurs publics et privés dans un esprit de coopération et d’investissements partagés, avec l’objectif de toucher de nouveaux marchés et publics cibles. C’est l’époque où naissent les Clubs de Promotion qui sont encore bien présents. En 2011, nous changeons de patronyme pour devenir Wallonie Bruxelles Tourisme asbl, nouvelle étape.

 

Enfin, en 2017 (en lien avec la 6e Réforme de l’Etat), nous devenons Wallonie Belgique Tourisme asbl et, si notre siège social demeure à Bruxelles, notre siège opérationnel déménage vers Namur. Aujourd’hui, nos trois régions sont maîtresses de leur promotion touristique et nos campagnes sont principalement orchestrées en fonction de critères économiques, mêmes si les critères culturels sont toujours aussi présents. En effet, le tourisme se révèle être un marché porteur, générateur de plus de 85.000 emplois en Wallonie, majoritairement non délocalisables, et représente près de 4,1 % du Produit Intérieur Brut wallon (PIB).

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Quelles sont actuellement les lignes de force de cette promotion et la stratégie pour renforcer notre image touristique dans et hors de nos frontières ?

Le secteur se professionnalise très rapidement. Nous avons travaillé pour renforcer d’une part l’accueil linguistique, et d’autre part la digitalisation de nos partenaires opérateurs touristiques et la mise en ligne des offres de séjours et d’excursions via le site www.VISITWallonia.be. De nos jours, tout se réserve essentiellement en ligne et le travail de promotion digitale évolue sans cesse. Nous ciblons par exemple aussi les bloggeurs et influenceurs qui sont très suivis, la nature de notre travail change et cela demande aussi beaucoup de souplesse et d’adaptabilité.

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Y a-t-il eu des campagnes de promotion qui vous ont marqué des années 80 jusqu’à aujourd’hui ?

Au départ, les campagnes étaient essentiellement nationales. Par exemple, « Belgium, the surprise package of Europe », une campagne menée avec la Sabena dans les années 80, visait le public anglo- saxon et particulièrement américain intéressé plutôt par un tourisme de city trips ou encore de mémoire. En 2019, nous avons mené une campagne, en coordination avec ETC (European Travel Commission), autour du Slow tourisme en partenariat étroit avec le Grand Est français et le Grand-Duché de Luxembourg. Son fil rouge invitait les publics à prendre le temps de découvrir un autre visage de l’Europe. L’écotourisme continue de progresser et l’offre s’étoffe. Nous avons par exemple participé au développement, en 2021, de l’application « CIRKWI » qui connait un franc succès. Celle- ci reprend une large offre de randonnées pédestres et de circuits à vélo à travers la Wallonie et la Belgique.

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Et demain, comment se profilera la demande ? Quelle évolution voyez-vous apparaître ?

Le travail de promotion se décline déjà davantage autour d’une offre saisonnière, ce qui permet de  découvrir la Wallonie douze mois par an. Les rythmes de congés scolaires et la crise énergétique auront un impact à court et moyen terme et feront évoluer les comportements. Le message que nous souhaitons faire passer est que la Wallonie possède de nombreux atouts. Depuis la crise de la Covid, les publics belges et des pays limitrophes ont redécouvert la richesse de notre patrimoine et les séjours courts à proximité séduisent toujours plus.
Partir en vacances en Wallonie, ce n’est pas un plan B mais un vrai choix assumé !

 

Par Emmanuelle Dejaiffe

 

Cet article est issu de la Revue W+B n°158.
 

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07/03/2023
Journée internationale des Droits des Femmes 2023
Journée internationale des Droits des Femmes 2023

La fin de l’année 2022 a montré encore une fois que le combat mené pour les droits des femmes n’est pas terminé. Partout dans le monde, les femmes sont encore sujettes à des discriminations et à la répression de leurs droits fondamentaux.

 

La situation est préoccupante dans plusieurs pays à travers le monde, comme en Afghanistan, en Iran ou encore aux Etats-Unis où le droit à l’interruption volontaire de grossesse n’est plus garanti dans l’ensemble du pays, mettant à mal le combat mené pour le droit à l’avortement et l’accès aux soins de santé pour les femmes. La Turquie quant à elle a enregistré un chiffre record de féminicides en 2022, au lendemain de sa sortie de la Convention d’Istanbul, premier traité international qui vise à prendre des mesures contraignantes concernant les violences faites aux femmes et à identifier et poursuivre les auteurs de ces violences. Dans ce pays, en moyenne, une femme est tuée chaque jour sous les coups de son conjoint ou de son ex-conjoint. Du côté de l’Amérique latine, un hôpital brésilien a refusé l’avortement à une jeune fille de 11 ans victime de viol, procédure pourtant légale. A la suite d’un combat juridique éprouvant, la fillette a enfin pu avorter, un événement parmi tant d’autres qui témoigne du sexisme institutionnel. La situation est également alarmante en Europe : l’Espagne qui a fait de la lutte contre les violences faites aux femmes une priorité nationale – le seul Etat européen à avoir une juridiction spécialisée dans les violences de genre –, enregistre une forte augmentation des féminicides dans le pays. Ces régressions nous montrent que nous devons poursuivre notre action pour défendre fermement les droits des femmes à travers le monde.

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Pourquoi cette journée ?

La journée internationale des droits des femmes, célébrée le 8 mars ne consiste pas à fêter la femme, vision stéréotypée et erronée encore très présente dans l’espace public, mais à mettre en avant les inégalités, le sexisme, les violences et les discriminations dont les femmes font l’objet et à revendiquer une totale égalité entre femmes et hommes. 

 

Officialisée en 1977 par l’Organisation des Nations unies, la journée internationale des droits des femmes est célébrée dans les quatre coins du monde à cette date. Cette journée permet de porter une attention particulière et de sensibiliser tout un chacun aux inégalités de genre, à la situation des droits des femmes dans le monde ainsi qu’aux discriminations qui touchent les femmes au quotidien. D’après une étude réalisée par Amnesty International en 2020, les femmes et les filles sont surreprésentées parmi les victimes de viols et de violences sexuelles en Belgique. Les femmes sont également beaucoup plus exposées au harcèlement de rue, et, à la violence conjugale, et certaines en meurent. Par ailleurs, c’est également l’occasion de montrer les différentes avancées réalisées en la matière et de mettre en avant les femmes qui luttent pour éliminer les inégalités.

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La situation des droits des femmes en Belgique

Bien que la Belgique soit une bonne élève en matière des droits des femmes, des inégalités existent encore. Parmi celles-ci, on retrouve une inégalité salariale et professionnelle, une inégale répartition des tâches domestiques, le sexisme dans la publicité, les stéréotypes de genre, les violences sexistes et sexuelles encore présentes à l’encontre des femmes… la liste est longue.

Soucieux de la question, les différents Gouvernements belges ont pris diverses mesures à leur niveau. Parmi celles-ci, se trouve le « Plan droits des femmes 2020-2024 » adopté par la Fédération Wallonie-Bruxelles qui vise à renforcer les droits des femmes, sans distinction de genre, sexe, culture, etc.

 

L’objectif de ce plan est de lutter contre les inégalités de genre et de combattre particulièrement les violences faites aux femmes. Il se décline en 4 axes :

  • Lutter contre les violences faites aux femmes
  • Déconstruire les stéréotypes et agir sur les représentations
  • Assurer une meilleure représentation des femmes dans tous les secteurs professionnels et à tous les niveaux dans les instances de décision et postes à responsabilités
  • Faciliter la conciliation vie privée – vie professionnelle

Chacun des axes recouvre diverses mesures. Citons par exemple la lutte contre le sexisme dans la publicité, la prévention des violences gynécologiques et obstétricales ou encore l’accompagnement de la maternité en prison. Par ailleurs, Wallonie-Bruxelles International œuvre au quotidien à une intégration de la notion du genre dans l’ensemble de ses politiques et actions afin de lutter contre toute forme d’inégalité entre femmes et hommes.

 

Afin de coordonner son action internationale, WBI a choisi une thématique bisannuelle, dans laquelle les actions menées par tous ses agents pourraient s’inscrire. La thématique de l’année 2023-2024 est « La place des femmes dans l’espace public ». Dans cette perspective, WBI a décidé de mettre un coup de projecteur sur la place des femmes dans le sport, amateur et de haut niveau et de donner la parole à trois sportives pour nous parler du sexisme encore trop présent dans le milieu sportif. Par ailleurs, le « Plan droits des femmes 2020-2024 » comprend également plusieurs mesures visant spécifiquement le milieu sportif. Dans ce cadre, nous avons rencontré trois membres du collectif « Balance ton sport ».

 

 

Agathe Duclos et Lorraine Willocx, deux joueuses de rugby amatrices, sont co-fondatrices de la page « Débrief du vestiaire » sur les réseaux sociaux qui met en lumière le sexisme dans le sport. Elles sont par ailleurs membres de « Balance ton sport », un collectif qui réunit plusieurs sportives et sportifs dont l’objectif est de dénoncer les discriminations et les violences sexistes dans le milieu. 

 

Anna Van Bellinghen, sportive professionnelle d’haltérophilie, a représenté à plusieurs reprises la Belgique lors de compétitions internationales, notamment aux jeux olympiques d’été à Tokyo en 2020. Médaillée une multitude de fois aux championnats d’Europe d’haltérophilie, Anna Van Bellinghen est également une sportive engagée dans la lutte féministe. Elle a notamment dénoncé le sexisme présent dans le milieu sportif à travers la lettre ouverte adressée par le collectif « Balance ton sport ». 


 

 

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La fin de l’année 2022 a montré encore une fois que le combat mené pour les droits des femmes n’est pas terminé. Partout dans le monde, les femmes sont encore sujettes à des discriminations et à la répression de leurs droits fondamentaux.

 

La situation est préoccupante dans plusieurs pays à travers le monde, comme en Afghanistan, en Iran ou encore aux Etats-Unis où le droit à l’interruption volontaire de grossesse n’est plus garanti dans l’ensemble du pays, mettant à mal le combat mené pour le droit à l’avortement et l’accès aux soins de santé pour les femmes. La Turquie quant à elle a enregistré un chiffre record de féminicides en 2022, au lendemain de sa sortie de la Convention d’Istanbul, premier traité international qui vise à prendre des mesures contraignantes concernant les violences faites aux femmes et à identifier et poursuivre les auteurs de ces violences. Dans ce pays, en moyenne, une femme est tuée chaque jour sous les coups de son conjoint ou de son ex-conjoint. Du côté de l’Amérique latine, un hôpital brésilien a refusé l’avortement à une jeune fille de 11 ans victime de viol, procédure pourtant légale. A la suite d’un combat juridique éprouvant, la fillette a enfin pu avorter, un événement parmi tant d’autres qui témoigne du sexisme institutionnel. La situation est également alarmante en Europe : l’Espagne qui a fait de la lutte contre les violences faites aux femmes une priorité nationale – le seul Etat européen à avoir une juridiction spécialisée dans les violences de genre –, enregistre une forte augmentation des féminicides dans le pays. Ces régressions nous montrent que nous devons poursuivre notre action pour défendre fermement les droits des femmes à travers le monde.

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Pourquoi cette journée ?

La journée internationale des droits des femmes, célébrée le 8 mars ne consiste pas à fêter la femme, vision stéréotypée et erronée encore très présente dans l’espace public, mais à mettre en avant les inégalités, le sexisme, les violences et les discriminations dont les femmes font l’objet et à revendiquer une totale égalité entre femmes et hommes. 

 

Officialisée en 1977 par l’Organisation des Nations unies, la journée internationale des droits des femmes est célébrée dans les quatre coins du monde à cette date. Cette journée permet de porter une attention particulière et de sensibiliser tout un chacun aux inégalités de genre, à la situation des droits des femmes dans le monde ainsi qu’aux discriminations qui touchent les femmes au quotidien. D’après une étude réalisée par Amnesty International en 2020, les femmes et les filles sont surreprésentées parmi les victimes de viols et de violences sexuelles en Belgique. Les femmes sont également beaucoup plus exposées au harcèlement de rue, et, à la violence conjugale, et certaines en meurent. Par ailleurs, c’est également l’occasion de montrer les différentes avancées réalisées en la matière et de mettre en avant les femmes qui luttent pour éliminer les inégalités.

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La situation des droits des femmes en Belgique

Bien que la Belgique soit une bonne élève en matière des droits des femmes, des inégalités existent encore. Parmi celles-ci, on retrouve une inégalité salariale et professionnelle, une inégale répartition des tâches domestiques, le sexisme dans la publicité, les stéréotypes de genre, les violences sexistes et sexuelles encore présentes à l’encontre des femmes… la liste est longue.

Soucieux de la question, les différents Gouvernements belges ont pris diverses mesures à leur niveau. Parmi celles-ci, se trouve le « Plan droits des femmes 2020-2024 » adopté par la Fédération Wallonie-Bruxelles qui vise à renforcer les droits des femmes, sans distinction de genre, sexe, culture, etc.

 

L’objectif de ce plan est de lutter contre les inégalités de genre et de combattre particulièrement les violences faites aux femmes. Il se décline en 4 axes :

  • Lutter contre les violences faites aux femmes
  • Déconstruire les stéréotypes et agir sur les représentations
  • Assurer une meilleure représentation des femmes dans tous les secteurs professionnels et à tous les niveaux dans les instances de décision et postes à responsabilités
  • Faciliter la conciliation vie privée – vie professionnelle

Chacun des axes recouvre diverses mesures. Citons par exemple la lutte contre le sexisme dans la publicité, la prévention des violences gynécologiques et obstétricales ou encore l’accompagnement de la maternité en prison. Par ailleurs, Wallonie-Bruxelles International œuvre au quotidien à une intégration de la notion du genre dans l’ensemble de ses politiques et actions afin de lutter contre toute forme d’inégalité entre femmes et hommes.

 

Afin de coordonner son action internationale, WBI a choisi une thématique bisannuelle, dans laquelle les actions menées par tous ses agents pourraient s’inscrire. La thématique de l’année 2023-2024 est « La place des femmes dans l’espace public ». Dans cette perspective, WBI a décidé de mettre un coup de projecteur sur la place des femmes dans le sport, amateur et de haut niveau et de donner la parole à trois sportives pour nous parler du sexisme encore trop présent dans le milieu sportif. Par ailleurs, le « Plan droits des femmes 2020-2024 » comprend également plusieurs mesures visant spécifiquement le milieu sportif. Dans ce cadre, nous avons rencontré trois membres du collectif « Balance ton sport ».

 

 

Agathe Duclos et Lorraine Willocx, deux joueuses de rugby amatrices, sont co-fondatrices de la page « Débrief du vestiaire » sur les réseaux sociaux qui met en lumière le sexisme dans le sport. Elles sont par ailleurs membres de « Balance ton sport », un collectif qui réunit plusieurs sportives et sportifs dont l’objectif est de dénoncer les discriminations et les violences sexistes dans le milieu. 

 

Anna Van Bellinghen, sportive professionnelle d’haltérophilie, a représenté à plusieurs reprises la Belgique lors de compétitions internationales, notamment aux jeux olympiques d’été à Tokyo en 2020. Médaillée une multitude de fois aux championnats d’Europe d’haltérophilie, Anna Van Bellinghen est également une sportive engagée dans la lutte féministe. Elle a notamment dénoncé le sexisme présent dans le milieu sportif à travers la lettre ouverte adressée par le collectif « Balance ton sport ». 


 

 

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20/02/2023
EU's response to the earthquake in Türkiye and Syria©European Union, 2023 (photographe: Begum Iman - CC BY-ND 2.0)
EU's response to the earthquake in Türkiye and Syria©European Union, 2023 (photographe: Begum Iman - CC BY-ND 2.0)

Le Gouvernement wallon a décidé de renforcer son aide humanitaire d’urgence pour venir en aide aux victimes des terribles séismes qui ont frappé la Turquie et la Syrie. Ces derniers jours, le bilan n’a cessé de s’alourdir. Le Gouvernement a dès lors décidé d’apporter un soutien humanitaire plus conséquent. Aux 250.000€ annoncés ce lundi, le Gouvernement ajoute 750.000€. Il mobilise ainsi au total 1 million d’euros.

 

Ce soutien humanitaire se fera au travers du consortium 12-12. Le consortium 12-12 est constitué des sept grandes organisations humanitaires belges (Caritas International, Croix-Rouge, Handicap International, Médecins du Monde, Oxfam, Plan International et UNICEF). L’objectif de ce consortium est de permettre de rassembler via une seule entité l’ensemble des dons des particuliers, pouvoirs publics et entreprises.

 

La semaine dernière, le Gouvernement avait imaginé contribuer à l’opération B-FAST (Belgian First Aid & Support Team). Cette décision avait été prise avant que le consortium 12-12 ne soit, à nouveau, activé. Depuis le 12 février, le consortium 12-12 s’est toutefois réactivé afin d’apporter son soutien à la Turquie et la Syrie. Le Gouvernement a donc décidé de privilégier cette option.

Le Gouvernement wallon a décidé de renforcer son aide humanitaire d’urgence pour venir en aide aux victimes des terribles séismes qui ont frappé la Turquie et la Syrie. Ces derniers jours, le bilan n’a cessé de s’alourdir. Le Gouvernement a dès lors décidé d’apporter un soutien humanitaire plus conséquent. Aux 250.000€ annoncés ce lundi, le Gouvernement ajoute 750.000€. Il mobilise ainsi au total 1 million d’euros.

 

Ce soutien humanitaire se fera au travers du consortium 12-12. Le consortium 12-12 est constitué des sept grandes organisations humanitaires belges (Caritas International, Croix-Rouge, Handicap International, Médecins du Monde, Oxfam, Plan International et UNICEF). L’objectif de ce consortium est de permettre de rassembler via une seule entité l’ensemble des dons des particuliers, pouvoirs publics et entreprises.

 

La semaine dernière, le Gouvernement avait imaginé contribuer à l’opération B-FAST (Belgian First Aid & Support Team). Cette décision avait été prise avant que le consortium 12-12 ne soit, à nouveau, activé. Depuis le 12 février, le consortium 12-12 s’est toutefois réactivé afin d’apporter son soutien à la Turquie et la Syrie. Le Gouvernement a donc décidé de privilégier cette option.

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13/02/2023

La Journée internationale de la Francophonie se fête officiellement le 20 mars. Mais l'enthousiasme des locuteurs et défenseurs de la langue française déborde pendant tout le mois à travers des concerts, des rencontres, des ateliers, des spectacles, des expositions et de nombreuses conférences.

 

Cette année, « La langue française en fête » se décline sur le thème du temps sous le slogan « Dis-moi dix mots à tous les temps ». 

 

La Fédération Wallonie-Bruxelles avec son service de la Direction de la langue française, propose ainsi un Cahier pédagogique aux enseignant.es, prolongement du Livret des dix mots diffusé dans toute la Francophonie.

 

Il s'agit de sa cinquième édition et nul doute que les élèves, qu’ils soient lecteurs, lectrices débutant·es ou autonomes auront plaisir à en tourner les pages !

 

Chacun des « mots » est prétexte à la découverte d’ouvrages de littérature de jeunesse susceptibles d’intensifier une appropriation participative et inventive de la langue française.

 

Chaque livre illustré fait l’objet d’une fiche mettant en avant :

  • un point de vue, une citation de l’auteur ou de l’autrice ou un résumé ;
  • l’intérêt pédagogique : des apprentissages linguistiques et des thèmes à aborder ;
  • des pistes d’écriture créative: jeux de lettres, de mots et de langue, exercices d’écriture individuelle ou collective, trucs et astuces pour déjouer l’angoisse de la page blanche, etc. ;
  • des informations « Pour aller plus loin » : un focus culture, des ouvrages de référence, des indications sur la disponibilité des auteurs et autrices pour des animations et des ateliers en classe, etc. ;
  • des pictogrammes signalant le public cible ainsi que le pays d’origine de l’auteur ou de l’autrice.

 

Retrouvez le programme complet de la Fête, le Cahier pédagogique et le Livret des dix mots, -dans lequel se retrouvent notamment les diverses définitions et les nouvelles rédigées par deux auteurs belges, Eva Kavian (lambiner) et Aurélien Dony (tictac)-, et bien d'autres outils sur www.lalanguefrancaiseenfete.be 

 

La Journée internationale de la Francophonie se fête officiellement le 20 mars. Mais l'enthousiasme des locuteurs et défenseurs de la langue française déborde pendant tout le mois à travers des concerts, des rencontres, des ateliers, des spectacles, des expositions et de nombreuses conférences.

 

Cette année, « La langue française en fête » se décline sur le thème du temps sous le slogan « Dis-moi dix mots à tous les temps ». 

 

La Fédération Wallonie-Bruxelles avec son service de la Direction de la langue française, propose ainsi un Cahier pédagogique aux enseignant.es, prolongement du Livret des dix mots diffusé dans toute la Francophonie.

 

Il s'agit de sa cinquième édition et nul doute que les élèves, qu’ils soient lecteurs, lectrices débutant·es ou autonomes auront plaisir à en tourner les pages !

 

Chacun des « mots » est prétexte à la découverte d’ouvrages de littérature de jeunesse susceptibles d’intensifier une appropriation participative et inventive de la langue française.

 

Chaque livre illustré fait l’objet d’une fiche mettant en avant :

  • un point de vue, une citation de l’auteur ou de l’autrice ou un résumé ;
  • l’intérêt pédagogique : des apprentissages linguistiques et des thèmes à aborder ;
  • des pistes d’écriture créative: jeux de lettres, de mots et de langue, exercices d’écriture individuelle ou collective, trucs et astuces pour déjouer l’angoisse de la page blanche, etc. ;
  • des informations « Pour aller plus loin » : un focus culture, des ouvrages de référence, des indications sur la disponibilité des auteurs et autrices pour des animations et des ateliers en classe, etc. ;
  • des pictogrammes signalant le public cible ainsi que le pays d’origine de l’auteur ou de l’autrice.

 

Retrouvez le programme complet de la Fête, le Cahier pédagogique et le Livret des dix mots, -dans lequel se retrouvent notamment les diverses définitions et les nouvelles rédigées par deux auteurs belges, Eva Kavian (lambiner) et Aurélien Dony (tictac)-, et bien d'autres outils sur www.lalanguefrancaiseenfete.be 

 

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13/02/2023
EU's response to the earthquake in Türkiye and Syria | EU Civil Protection and Humanitarian Aid (CC BY-ND 2.0)
EU's response to the earthquake in Türkiye and Syria | EU Civil Protection and Humanitarian Aid (CC BY-ND 2.0)

Le Gouvernement wallon a décidé d’octroyer une aide humanitaire d’urgence pour venir en aide aux victimes des terribles séismes qui ont frappé la Turquie et la Syrie ces derniers jours. Les besoins en aide humanitaire dans la région sont urgents, c’est pourquoi la Belgique a décidé de mobiliser en Turquie, B-FAST (Belgian First Aid & Support Team), le dispositif interdépartemental qui organise l’envoi des secours d’urgence belges à l’étranger.

 

Pour apporter son soutien à cette opération humanitaire, le Gouvernement wallon a dégagé un montant de 250.000€ à destination de B-FAST afin de renforcer l’assistance médicale nécessaire à la population locale.

 

Par ailleurs, le Gouvernement a également demandé de renforcer le soutien psychosocial apporté aux familles des victimes turques installées en Wallonie. La Ministre de la Santé a mobilisé l’ensemble des services de santé mentale de proximité afin qu’ils proposent une aide spécifique aux familles et aux personnes qui en ont besoin.

 

Le Gouvernement wallon a décidé d’octroyer une aide humanitaire d’urgence pour venir en aide aux victimes des terribles séismes qui ont frappé la Turquie et la Syrie ces derniers jours. Les besoins en aide humanitaire dans la région sont urgents, c’est pourquoi la Belgique a décidé de mobiliser en Turquie, B-FAST (Belgian First Aid & Support Team), le dispositif interdépartemental qui organise l’envoi des secours d’urgence belges à l’étranger.

 

Pour apporter son soutien à cette opération humanitaire, le Gouvernement wallon a dégagé un montant de 250.000€ à destination de B-FAST afin de renforcer l’assistance médicale nécessaire à la population locale.

 

Par ailleurs, le Gouvernement a également demandé de renforcer le soutien psychosocial apporté aux familles des victimes turques installées en Wallonie. La Ministre de la Santé a mobilisé l’ensemble des services de santé mentale de proximité afin qu’ils proposent une aide spécifique aux familles et aux personnes qui en ont besoin.

 

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08/02/2023
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Les Belges Histoires | Adeline Dieudonné

Résultat : des textes réalistes qui touchent le cœur des lecteurs. Comme l’a prouvé son premier roman, La Vraie Vie, un succès qui est venu bousculer la vie de son autrice et celle de plus de 300.000 lecteurs dans plus de 22 langues !

Paru en 2018, La Vraie Vie**, roman initiatique, efficace et brutal rafle une myriade de prix (prix FNAC, prix Renaudot des lycéens, prix Rossel et prix Filigranes en Belgique, Prix Goncourt, choix de la Belgique et choix de l’Italie, Grand Prix des lectrices de ELLE en 2019.)

Résultat : des textes réalistes qui touchent le cœur des lecteurs. Comme l’a prouvé son premier roman, La Vraie Vie, un succès qui est venu bousculer la vie de son autrice et celle de plus de 300.000 lecteurs dans plus de 22 langues !

Paru en 2018, La Vraie Vie**, roman initiatique, efficace et brutal rafle une myriade de prix (prix FNAC, prix Renaudot des lycéens, prix Rossel et prix Filigranes en Belgique, Prix Goncourt, choix de la Belgique et choix de l’Italie, Grand Prix des lectrices de ELLE en 2019.)

Ce succès, Adeline Dieudonné ne l’avait pas prévu, il la sidère et la réjouit encore. Certes, elle avait déjà remporté le Grand Prix du concours de la Fédération Wallonie-Bruxelles pour sa première nouvelle, Amarula et publié d’autres textes aux éditions Lamiroy, comme sa pièce: Bonobo Moussaka, mais malgré ces réussites, elle continue à se questionner sur sa capacité à écrire. Bien qu’entre-temps soit déjà sorti Kérosène** qui a reçu le Manneken Prix en 2021. 

En attendant, La Vraie Vie* continue de combler son autrice. Adapté au théâtre en 2021 dans une mise en scène de Georges Lini et joué par Adeline, de retour sur scène pour l’occasion*, le roman fait également l’objet d’un travail de scénarisation pour le cinéma mené à 4 mains avec la complicité de Thomas Gunzig

De son écriture, Thierry Belfroid dit qu’elle est reconnaissable, car « trash, puissante et sans gêne ». L’autrice n’aurait peur de rien, souhaitons-lui de continuer ainsi à tracer bravement sa route de planches et de papier. 

Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de Wallonie-Bruxelles International

* La Vraie Vie, à voir en mars au Centre Culturel d'Uccle
** La Vraie Vie et Kérosène sont édités par L’Iconoclaste

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Le site officiel d'Adeline Dieudonné

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Les Belges Histoires - Les talents de Wallonie-Bruxelles

WBI, en partenariat avec la RTBF, vous propose de découvrir les portraits de belges francophones qui font rayonner Wallonie-Bruxelles.

Découvrez la série de portraits :

>> Les Belges Histoires

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