C’est alors que nos championnes passionnées de mode amorcent leur retraite sportive en lançant leur marque lifestyle et sportwear: 4254. Dédiée aux femmes, leurs lignes de vêtements à la fois techniques et fashion se vendent dans douze pays à travers le monde comme aux Pays-Bas, en Ukraine, à Dubaï…
Audacieuses et déterminées, Olivia et Elodie retiennent l’attention des magazines comme Grazia, le Figaro et Vogue. En 2019, ce duo belge de choc se confronte aux acheteurs américains en participant à leur premier salon à New York, berceau du sportswear urbain. « A l’international, quand on dit qu’on est une marque de mode belge, ça a un impact très fort et ça nous permet vraiment d’ouvrir des portes. J’ai appris à avoir cette fierté de la Belgique en dehors des terrains de sport et continuer à en porter hauts les couleurs dans l’univers de la mode » explique Olivia Borlée.
Retour en Belgique où Olivia et Elodie deviennent les figures de proue de l’activewear. Elles deviennent même les visages d’une exposition inaugurée à Hasselt en juin 2021 au Musée de la mode.
Aujourd’hui ? Rien n’arrête les championnes lancées dans le rebranding de leur marque: 4254 devient UNRUN. Leur priorité: rendre la production des vêtements plus écologique, plus éthique. Chaque année 10.000 pièces sont produites en Belgique, en Tunisie et au Portugal. Leurs t-shirts en lycra sont fabriqués à partir de bouteilles en plastique recyclé. Innovante, stylée et design, le succès de la marque est tel qu’une certaine Kim Clijsters décide même de porter leurs tenues en compétition.
« On est super fières… C’est Kim qui nous a contactées pour nous dire qu’elle avait envie de continuer à défendre les couleurs belges sur les terrains mais aussi via la mode et notre marque », confie Olivia.
La jeune athlète Camille Laus, séduite par leur ligne et leur approche, accepte de devenir leur ambassadrice. Grâce à Camille et à d’autres athlètes comme Hanne Claes, UNRUN se retrouve maintenant porté aux Jeux Olympiques. Pour l’heure, Olivia et Elodie travaillent déjà à leur prochaine collection en caressant le rêve de voir un jour, une de leurs ambassadrices gagner une médaille olympique vêtue en UNRUN… « The sky is the limit » conclut en souriant Elodie.
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Les Belges Histoires
WBI, en partenariat avec la RTBF, vous propose de découvrir les portraits de belges francophones qui font rayonner Wallonie-Bruxelles.
Découvrez la série de portraits : https://www.wbi.be/les-belges-histoires
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Wallonie-Bruxelles International vous aide à développer vos projets à l’international avec des formations, des coachings, des missions de prospections, des aides financières…
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C’est alors que nos championnes passionnées de mode amorcent leur retraite sportive en lançant leur marque lifestyle et sportwear: 4254. Dédiée aux femmes, leurs lignes de vêtements à la fois techniques et fashion se vendent dans douze pays à travers le monde comme aux Pays-Bas, en Ukraine, à Dubaï…
Audacieuses et déterminées, Olivia et Elodie retiennent l’attention des magazines comme Grazia, le Figaro et Vogue. En 2019, ce duo belge de choc se confronte aux acheteurs américains en participant à leur premier salon à New York, berceau du sportswear urbain. « A l’international, quand on dit qu’on est une marque de mode belge, ça a un impact très fort et ça nous permet vraiment d’ouvrir des portes. J’ai appris à avoir cette fierté de la Belgique en dehors des terrains de sport et continuer à en porter hauts les couleurs dans l’univers de la mode » explique Olivia Borlée.
Retour en Belgique où Olivia et Elodie deviennent les figures de proue de l’activewear. Elles deviennent même les visages d’une exposition inaugurée à Hasselt en juin 2021 au Musée de la mode.
Aujourd’hui ? Rien n’arrête les championnes lancées dans le rebranding de leur marque: 4254 devient UNRUN. Leur priorité: rendre la production des vêtements plus écologique, plus éthique. Chaque année 10.000 pièces sont produites en Belgique, en Tunisie et au Portugal. Leurs t-shirts en lycra sont fabriqués à partir de bouteilles en plastique recyclé. Innovante, stylée et design, le succès de la marque est tel qu’une certaine Kim Clijsters décide même de porter leurs tenues en compétition.
« On est super fières… C’est Kim qui nous a contactées pour nous dire qu’elle avait envie de continuer à défendre les couleurs belges sur les terrains mais aussi via la mode et notre marque », confie Olivia.
La jeune athlète Camille Laus, séduite par leur ligne et leur approche, accepte de devenir leur ambassadrice. Grâce à Camille et à d’autres athlètes comme Hanne Claes, UNRUN se retrouve maintenant porté aux Jeux Olympiques. Pour l’heure, Olivia et Elodie travaillent déjà à leur prochaine collection en caressant le rêve de voir un jour, une de leurs ambassadrices gagner une médaille olympique vêtue en UNRUN… « The sky is the limit » conclut en souriant Elodie.
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Artiste complète, Doria D compose et écrit ses morceaux. Avec des influences telles que Billie Eilish, Lana Del Rey ou la scène rap francophone avec Nekfeu et Lomepal, la jeune femme s’inspire de ses propres expériences pour écrire ses textes.
Son 1er single, « Dépendance », aborde le sujet des relations amoureuses toxiques. La richesse de Doria D se trouve dans ses contrastes : on ne peut rester indifférent face à ses textes mélancoliques, sa voix rauque et envoûtante et ses mélodies solaires.
A découvrir !
Selon l’OMS, 85% des jeunes entre 12 et 18 ans ne pratiquent pas suffisamment d’activités physiques, ce qui menace leur santé actuelle et future. Un constat alarmant qui a poussé l’entrepreneur Laurent Baijot, co-développeur et concepteur de l’application belge de coaching sportif Formyfit, à décliner son outil dans une version à destination des écoles : formyfit@school.
Un constat alarmant qui a poussé l’entrepreneur Laurent Baijot, co-développeur et concepteur de l’application belge de coaching sportif Formyfit, à décliner son outil dans une version à destination des écoles : formyfit@school.
L’application rencontrait déjà un grand succès auprès de sportifs belges et internationaux mais aussi d’entreprises, de plus en plus nombreuses à se soucier de la santé de leurs employés. Alors pourquoi ne pas l’adapter à un public plus jeune ? En effet, Formyfit est un véritable coach personnel qui non seulement adapte ses entraînements à l’état de forme de son utilisateur mais qui, en plus, l’encourage et l’accompagne vocalement durant ses séances de course.
Pour Laurent Baijot, titulaire d’un master en éducation physique, utiliser Formyfit pour remettre les ados en mouvement semblait une évidence. Il a donc développé son application afin qu’elle soit utilisée en milieu scolaire, en synergie avec l’enseignant en Éducation Physique. Testée dans 7 écoles avant le confinement, l’application a maintenant séduit plus de 60 établissements francophones. Les enseignants y ont vu un moyen d’entretenir à distance la forme physique de leurs élèves en leur donnant des «devoirs» et du côté des jeunes, l’aspect ludique et attrayant de Formyfit séduit.
Car Formyfit, en plus d’être un outil gratuit et accessible, entend bien créer une nouvelle dynamique autour du sport et de la mobilité douce. Les kilomètres parcourus par l’élève lors des entraînements, mais aussi lors des trajets à pied ou à vélo, peuvent être comptabilisés et augmenter son compteur, celui de sa classe ou celui de l’école toute entière. Cela permet la mise en place d’un jeu entre les classes ou les écoles. Une motivation supplémentaire pour adopter de bonnes habitudes, à un âge où prendre soin de sa santé n’est pas forcément la préoccupation première. Alors qu’on se le dise, avec Formyfit@school, courir devient un vrai jeu d’enfant !
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https://www.formyfit.com/business/school
https://www.facebook.com/Formyfit/
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L’application rencontrait déjà un grand succès auprès de sportifs belges et internationaux mais aussi d’entreprises, de plus en plus nombreuses à se soucier de la santé de leurs employés. Alors pourquoi ne pas l’adapter à un public plus jeune ? En effet, Formyfit est un véritable coach personnel qui non seulement adapte ses entraînements à l’état de forme de son utilisateur mais qui, en plus, l’encourage et l’accompagne vocalement durant ses séances de course.
Pour Laurent Baijot, titulaire d’un master en éducation physique, utiliser Formyfit pour remettre les ados en mouvement semblait une évidence. Il a donc développé son application afin qu’elle soit utilisée en milieu scolaire, en synergie avec l’enseignant en Éducation Physique. Testée dans 7 écoles avant le confinement, l’application a maintenant séduit plus de 60 établissements francophones. Les enseignants y ont vu un moyen d’entretenir à distance la forme physique de leurs élèves en leur donnant des «devoirs» et du côté des jeunes, l’aspect ludique et attrayant de Formyfit séduit.
Car Formyfit, en plus d’être un outil gratuit et accessible, entend bien créer une nouvelle dynamique autour du sport et de la mobilité douce. Les kilomètres parcourus par l’élève lors des entraînements, mais aussi lors des trajets à pied ou à vélo, peuvent être comptabilisés et augmenter son compteur, celui de sa classe ou celui de l’école toute entière. Cela permet la mise en place d’un jeu entre les classes ou les écoles. Une motivation supplémentaire pour adopter de bonnes habitudes, à un âge où prendre soin de sa santé n’est pas forcément la préoccupation première. Alors qu’on se le dise, avec Formyfit@school, courir devient un vrai jeu d’enfant !
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Le 25 mars 2021, le service de chirurgie maxillo-faciale des Cliniques Universitaires Saint-Luc à Bruxelles réalise la greffe d’un implant osseux imprimé en 3D sur une patiente. Cette première mondiale voit son succès confirmé quelques semaines après l’intervention lorsque les médecins constatent que le greffon artificiel s’est parfaitement intégré. Ce miracle, on le doit à la persévérance et à la vision futuriste d’un homme : Grégory Nolens.
Cette première mondiale voit son succès confirmé quelques semaines après l’intervention lorsque les médecins constatent que le greffon artificiel s’est parfaitement intégré. Ce miracle, on le doit à la persévérance et à la vision futuriste d’un homme : Grégory Nolens.
Enfant passionné par les récits de science-fiction où la technologie répare les humains, ce docteur en sciences biomédicales de l’Université de Liège fonde, en 2015, la société CERHUM. Après des années de recherche et de développement, soutenu par la Région wallonne, il atteint son but : créer des greffons totalement biocompatibles réalisés à base d’hydroxyapatite, un matériau constitué d’hydroxyde de calcium et de phosphate. En parallèle à ces travaux, Gregory Nolens collabore avec 3D-SIDE, une start-up wallonne qui développe un logiciel de planification d’interventions chirurgicales s’appuyant sur la technologie 3D.
De cette rencontre naît Mybone : un implant imprimé en 3D. Véritable prouesse technologique et médicale, le dispositif Mybone permet de réaliser une impression 3D sur-mesure pour chaque patient mais elle accroit également les performances thérapeutiques. En effet, ce « bout d’os » artificiel est strié de micro-canaux et de porosités permettant à l’os biologique de le reconnaître et de progressivement le recoloniser. « On est dans de la médecine régénérative et par rapport à un greffon artificiel classique, la reconstruction est 5 à 7 fois plus rapide”. Sa composition biocompatible lui permet également d’écarter significativement les risques d’infections ou de rejets. Un confort thérapeutique non négligeable pour le patient.
Avec des résultats post-cliniques très encourageants, les qualités de Mybone lui promettent un bel avenir dans les domaines de la chirurgie dentaire et esthétique, mais Gregory Nolens voit déjà plus loin. Il rêve de créer en 3D des tissus vivants et même des organes fonctionnels, tel un cœur ou un rein qui pourraient ainsi être réimplantés directement sur les patients… Et pourquoi pas ? Comme il le dit lui-même : « si vous avez un rêve, si vous y croyez, persévérez : vous y arriverez! »
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De cette rencontre naît Mybone : un implant imprimé en 3D. Véritable prouesse technologique et médicale, le dispositif Mybone permet de réaliser une impression 3D sur-mesure pour chaque patient mais elle accroit également les performances thérapeutiques. En effet, ce « bout d’os » artificiel est strié de micro-canaux et de porosités permettant à l’os biologique de le reconnaître et de progressivement le recoloniser. « On est dans de la médecine régénérative et par rapport à un greffon artificiel classique, la reconstruction est 5 à 7 fois plus rapide”. Sa composition biocompatible lui permet également d’écarter significativement les risques d’infections ou de rejets. Un confort thérapeutique non négligeable pour le patient.
Avec des résultats post-cliniques très encourageants, les qualités de Mybone lui promettent un bel avenir dans les domaines de la chirurgie dentaire et esthétique, mais Gregory Nolens voit déjà plus loin. Il rêve de créer en 3D des tissus vivants et même des organes fonctionnels, tel un cœur ou un rein qui pourraient ainsi être réimplantés directement sur les patients… Et pourquoi pas ? Comme il le dit lui-même : « si vous avez un rêve, si vous y croyez, persévérez : vous y arriverez! »
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Auteur-compositeur, Aprile propose un univers musical singulier, bercé par la musique anglo-saxonne. Un univers énergique et plein de fraîcheur, dans un style à la fois funk-soul, pop et indé. Un univers rempli d’histoires personnelles, qu’il offre sur son premier album.
A découvrir sur scène, où il déploie tout son talent et embarque avec lui les spectateurs, prêts à entrer dans son monde !
Commencée dans le garage paternel, l’aventure d’Yves Dejardin et de ses créations lumineuses éclaire aujourd’hui le monde. Le parcours d’Art Maker est l’histoire d’un artisan artiste déterminé à réaliser son rêve en Belgique et dans le monde.
Après une carrière professionnelle émaillée de métiers peu épanouissants, Yves Dejardin décide en 2015 de tout plaquer pour lancer une nouvelle activité et vivre sa passion. Il sait ce qu’il veut faire : créer des luminaires. Soutenu et encouragé par son épouse, il se lance afin de créer sa marque Art Maker. Succès oblige, il investit un plus grand atelier pour répondre aux commandes qui, très vite, affluent. Art Maker est aujourd’hui une structure de 3 personnes qui produit une centaine de pièces par mois.
Luminaires, objets d’art aux finitions soignées, fabriquées à la main et sur mesure, selon un procédé de fabrication simple mais original, ses créations sont présentées avec l’aide de Wallonie-Bruxelles Design Mode (WBDM) - une agence satellite de Wallonie-Bruxelles International (WBI) - au prestigieux « Salon Maison& Objet » de Paris. Ses luminaires attirent très vite l’attention d’architectes d’intérieurs et de décorateurs belges et étrangers. Aujourd’hui, on les retrouve de Liège à New York. L’exportation est un élément important pour lui car, comme il le souligne : « En Belgique on est reconnu comme étant extrêmement créatifs, c’est bien de faire rayonner nos savoir-faire et notre créativité à l’étranger. »
Bien sûr, ce succès florissant a attiré l’attention de grandes enseignes de création de luminaires qui lui ont proposé d’éditer ses lampes de façon industrielle, mais il a refusé.
Sa démarche créative est artisanale, locale (tant dans l’ancrage liégeois de l’atelier que dans le choix des essences de bois travaillées) et à taille humaine. C’est son souhait et sa fierté : il aime rencontrer ses clients et pas une seule lampe ne sort de l’atelier sans qu’il y ait mis la main. Sa quête de perfection, son envie de créer des pièces exclusives continuent de le porter. Yves Dejardin a bel et bien fait de son rêve un métier.
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https://www.facebook.com/ArtMaker.be/
https://www.instagram.com/designartmaker/
https://www.pinterest.com/artmakerbelgium/_created/
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L’aventure d’Yves Dujardin vous inspire ? Vous souhaiteriez bénéficier d’un soutien dans votre domaine?
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Après une carrière professionnelle émaillée de métiers peu épanouissants, Yves Dejardin décide en 2015 de tout plaquer pour lancer une nouvelle activité et vivre sa passion. Il sait ce qu’il veut faire : créer des luminaires. Soutenu et encouragé par son épouse, il se lance afin de créer sa marque Art Maker. Succès oblige, il investit un plus grand atelier pour répondre aux commandes qui, très vite, affluent. Art Maker est aujourd’hui une structure de 3 personnes qui produit une centaine de pièces par mois.
Luminaires, objets d’art aux finitions soignées, fabriquées à la main et sur mesure, selon un procédé de fabrication simple mais original, ses créations sont présentées avec l’aide de Wallonie-Bruxelles Design Mode (WBDM) - une agence satellite de Wallonie-Bruxelles International (WBI) - au prestigieux « Salon Maison& Objet » de Paris. Ses luminaires attirent très vite l’attention d’architectes d’intérieurs et de décorateurs belges et étrangers. Aujourd’hui, on les retrouve de Liège à New York. L’exportation est un élément important pour lui car, comme il le souligne : « En Belgique on est reconnu comme étant extrêmement créatifs, c’est bien de faire rayonner nos savoir-faire et notre créativité à l’étranger. »
Bien sûr, ce succès florissant a attiré l’attention de grandes enseignes de création de luminaires qui lui ont proposé d’éditer ses lampes de façon industrielle, mais il a refusé.
Sa démarche créative est artisanale, locale (tant dans l’ancrage liégeois de l’atelier que dans le choix des essences de bois travaillées) et à taille humaine. C’est son souhait et sa fierté : il aime rencontrer ses clients et pas une seule lampe ne sort de l’atelier sans qu’il y ait mis la main. Sa quête de perfection, son envie de créer des pièces exclusives continuent de le porter. Yves Dejardin a bel et bien fait de son rêve un métier.
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Charlotte Foret, alias Charles, c’est un son pop rock plutôt sombre. Dans ces nuages noirs, une voix extraordinaire, d’une maturité impressionnante pour son jeune âge, ressort comme un point lumineux à suivre pour trouver son chemin. Cet univers très personnel et assumé nous embarque dans des expériences vécues dont on retient le message positif que la jeune chanteuse veut faire passer.
Le public ne s’y trompe pas, réservant à chaque fois un accueil plus qu’enthousiaste à la jeune femme qui dévoile peu à peu son univers.