Contexte
Le programme de coopération territoriale européenne Interreg France-Wallonie-Vlaanderen s’inscrit dans une volonté de favoriser les échanges transfrontaliers entre les Régions Hauts-de-France et Grand Est, la Wallonie, la Flandre Occidentale et Orientale.
En Europe, un tiers de la population vit à proximité d’une frontière
Cette simple donnée démographique témoigne de l’enjeu que les territoires transfrontaliers représentent au quotidien.
Véritables laboratoires du processus d’intégration européenne, la Commission européenne leur a consacré dès la fin des années 1980 une initiative communautaire : Interreg.
L’importance accordée à Interreg ne va cesser de croître au fil des ans et en 2014, Interreg obtient le statut d’objectif à part entière de la politique de cohésion.
Le Programme France - Wallonie - Vlaanderen
Ce programme Interreg vise à favoriser les échanges économiques et sociaux entre quatre régions frontalières :
- en France : les Départements du Nord, du Pas de Calais, de l’Aisne, des Ardennes, de l’Oise, de la Somme et de la Marne ;
- en Wallonie : les provinces de Hainaut, de Namur et de Luxembourg ;
- en Flandre : les provinces de Flandre Occidentale et de Flandre Orientale (uniquement les arrondissements de Gent et d’Oudenaarde).
Un enjeu de taille pour ces régions qui représentent 62.000 km² et plus de 11 millions d'habitants !
Pour la période 2021 – 2027, une enveloppe de 268 millions d’euros provenant du Fonds européen de développement régional (FEDER) sera allouée au programme pour soutenir des projets répondant aux 5 thèmes de coopération.
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Pour qui?
Sont éligibles au programme toutes les organisations publiques, privées ou associatives disposant d’un statut juridique, telles que :
- organismes publics et parapublics ;
- collectivités (locales, régionales, etc) ;
- établissements universitaires et scientifiques, y compris les pôles de compétitivité et organismes de recherche ;
- organismes de soutien aux entreprises comme les chambres de commerce, les agences de développement, les bureaux de transfert de technologie, etc ;
- organismes de formation ;
- structures de la société civile (secteur associatif, organismes à but non lucratif) ;
- TPE-PME ;
- etc.
Toute la zone de coopération du programme Interreg France-Wallonie-Vlaanderen est éligible pour cet appel.
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Quelles sont les thématiques pour cet appel?
L’appel à projet concerne les thématiques (priorités) 1 à 4 du programme de coopération.
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Dépôt des projets
La date limite de dépôt de votre micro-projet a été fixée au 15 mai 2024, à 12h00.
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Informations
Les documents relatifs aux micro-projets sont disponibles dès maintenant dans notre boite à outils.
Une F.A.Q est également disponible sur le site.
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Le programme de coopération territoriale européenne Interreg France-Wallonie-Vlaanderen s’inscrit dans une volonté de favoriser les échanges transfrontaliers entre les Régions Hauts-de-France et Grand Est, la Wallonie, la Flandre Occidentale et Orientale.
En Europe, un tiers de la population vit à proximité d’une frontière
Cette simple donnée démographique témoigne de l’enjeu que les territoires transfrontaliers représentent au quotidien.
Véritables laboratoires du processus d’intégration européenne, la Commission européenne leur a consacré dès la fin des années 1980 une initiative communautaire : Interreg.
L’importance accordée à Interreg ne va cesser de croître au fil des ans et en 2014, Interreg obtient le statut d’objectif à part entière de la politique de cohésion.
Le Programme France - Wallonie - Vlaanderen
Ce programme Interreg vise à favoriser les échanges économiques et sociaux entre quatre régions frontalières :
- en France : les Départements du Nord, du Pas de Calais, de l’Aisne, des Ardennes, de l’Oise, de la Somme et de la Marne ;
- en Wallonie : les provinces de Hainaut, de Namur et de Luxembourg ;
- en Flandre : les provinces de Flandre Occidentale et de Flandre Orientale (uniquement les arrondissements de Gent et d’Oudenaarde).
Un enjeu de taille pour ces régions qui représentent 62.000 km² et plus de 11 millions d'habitants !
Pour la période 2021 – 2027, une enveloppe de 268 millions d’euros provenant du Fonds européen de développement régional (FEDER) sera allouée au programme pour soutenir des projets répondant aux 5 thèmes de coopération.
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Pour qui?
Sont éligibles au programme toutes les organisations publiques, privées ou associatives disposant d’un statut juridique, telles que :
- organismes publics et parapublics ;
- collectivités (locales, régionales, etc) ;
- établissements universitaires et scientifiques, y compris les pôles de compétitivité et organismes de recherche ;
- organismes de soutien aux entreprises comme les chambres de commerce, les agences de développement, les bureaux de transfert de technologie, etc ;
- organismes de formation ;
- structures de la société civile (secteur associatif, organismes à but non lucratif) ;
- TPE-PME ;
- etc.
Toute la zone de coopération du programme Interreg France-Wallonie-Vlaanderen est éligible pour cet appel.
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L’appel à projet concerne les thématiques (priorités) 1 à 4 du programme de coopération.
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La date limite de dépôt de votre micro-projet a été fixée au 15 mai 2024, à 12h00.
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Une F.A.Q est également disponible sur le site.
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Si la patience est une vertu, alors la récompense est belle pour le public. Après plus d’un an de rénovation, c’est un tout nouveau complexe muséal qui s’ouvre dans le centre-ville de Mons. En effet, le musée des Beaux-Arts n’est pas seul à avoir subi des travaux d’envergure sur le site.
Il y a aussi, face à lui, le jardin du « Poirier beurré » et la Maison dédiée à l’histoire montoise, autrement dit l’ancien musée Jean Lescarts. Trois espaces entièrement repensés et revalorisés sous le nom de CAP, acronyme pour Culture, Art et Patrimoine. Des valeurs fortes pour un projet qui l’est tout autant puisque tout a été fait pour permettre le dialogue entre chaque entité.
Focus ici sur le musée des Beaux-Arts qui s’apprête à briller à nouveau avec une exposition d’envergure sur Rodin. Une spécialité quand on voit les grands noms qui ont déjà été mis à l’honneur : Vincent Van Gogh (2015), Niki de Saint Phalle (2018), Roy Lichtenstein (2020) ou encore Miro (2022). Un succès énorme juste avant la fermeture : près de 90.000 visiteurs en trois mois pour le peintre espagnol. De quoi augurer le meilleur avec le sculpteur français. Et l’enthousiasme est légitime. Il a fallu trois ans pour monter cette exposition internationale. A la manœuvre, deux femmes : Antoinette Le Normand-Romain (directrice honoraire de l’Institut National d’Histoire de l’Art et spécialiste de Rodin) et Christina Buley-Uribe (historienne de l’art). Une expertise bien nécessaire vu l’œuvre impressionnante de l’artiste.
Mais pourquoi présenter Rodin dans cette ville du Hainaut ? Pourquoi lui ? Au-delà de l’évidence de son talent (il est tout de même considéré comme le père de la sculpture moderne), il y a son parcours. Durant sept ans, l’artiste va vivre en Belgique. Et de son aveu dans ses mémoires, c’est la plus belle période de sa vie. Il faut dire que le royaume offre dans la seconde moitié du dix-neuvième siècle de belles opportunités pour les artistes en devenir. Le jeune pays veut peaufiner sa mythologie nationale avec des statues glorifiant ses héros mais aussi avec d’importants édifices. Un contexte idéal pour Auguste qui débarque à Bruxelles en 1870. Il a alors trente ans et il participe aux travaux de décoration de la Bourse. Débuts marquants : il réalise une frise décorative sur les thèmes de l’industrie, l’agriculture, les arts et les sciences. Le soir, il dort dans une chambre de bonne, loin de sa famille restée en France. Un an plus tard, il installe son atelier à Ixelles dans une rue qui va porter son nom. Le succès est timide mais suffisant pour lui permettre d’envoyer de l’argent à sa femme qui le rejoint avec leur fils de cinq ans.
Déménagement ensuite à Etterbeek avant de louer une maison près de la forêt de Soignes. Rodin devient une figure importante de la scène artistique belge. Il réalise le buste de Beethoven sur la façade du conservatoire de musique ou encore un original du Penseur sur la tombe de Joseph Dillen à Laeken. Mais il n’est pas encore célèbre. Pour ça, il doit terminer un nu grandeur nature qui l’occupe jusqu’en 1877. Son nom : L’Age d’airain. C’est sa première œuvre en bronze et elle est créée en Belgique avant de partir à Paris. De quoi rendre sa présence à l’exposition montoise encore plus symbolique.
Car le musée des Beaux-Arts va présenter près de deux cents œuvres de collections publiques et privées, parmi lesquelles des plâtres, des aquarelles, des gravures ou encore des marbres dont certains n’ont jamais été vus. Et pour cause : le musée montois a le privilège de voir les plus grands musées européens lui faire des prêts exceptionnels. Il y a les musées royaux de Bruxelles, les musées d’Orsay, du Louvre, des Arts Décoratifs, le Petit Palais et le musée Rodin à Paris ainsi que le Victoria and Albert Museum à Londres. Evénement en vue pour la réouverture. L’exposition, qui bénéficie du soutien financier du Fonds européen de développement régional (FEDER) et de la Wallonie, s’intéressera au style et au traitement du corps par Rodin. Autre point utile à savoir : ses œuvres seront mises en résonnance avec les sculptures de Jacques Du Broeucq (artiste iconique du seizième siècle) qui sont conservées à la collégiale Sainte-Waudru de Mons (qui accueillera d’ailleurs aussi quelques œuvres de Rodin). Il y aura également du contemporain avec les sculptures de la belge Berlinde de Bruyckere. L’occasion de découvrir son regard affuté sur le maître. Et puis, pour finir avec cette approche muséale nouvelle, le monument Les Bourgeois de Calais sera présenté dans le Jardin du Mayeur de l’Hôtel de Ville de Mons.
Culture, art et patrimoine
Quid du CAP alors ? Pour les visiteurs qui ont envie de prolonger le plaisir, un détour par le jardin de six cents mètres carrés et la maison des Collections s’impose. Cette dernière se trouve dans l’ancien musée Jean Lescarts, resté fermé durant de très longues années. C’est dire s’il faut pousser la porte… Là, l’histoire de Mons se dévoile au travers des collections communales. Une belle plongée dans le passé et l’avenir de la ville car c’est bien là l’objectif de ce parcours permanent : valoriser le patrimoine et pousser à la réflexion. Pour respirer et s’inspirer, il y a enfin le jardin du « Poirier beurré » qui est une bonne idée puisqu’il s’impose comme le trait d’union entre le musée des Beaux-Arts et la maison des Collections. A noter, le jardin est en accès libre depuis la rue et s’articule en trois parties : le botanico-historique, le permacole et la guinguette, idéale pour un petit café.
Mais en quoi ce projet muséal est-il prometteur ? Avec le CAP, la Ville de Mons souhaitait offrir au public une expérience citoyenne et participative. Ici, le talent de trois artistes est mis à profit. Le collectif de plasticiens VOID a développé le dispositif sonore du tunnel reliant le musée des Beaux-Arts à la maison des Collections. La designer Lucile Soufflet a fabriqué le mobilier extérieur. Et l’artiste plasticien Raphaël Decoster a réalisé une fresque monumentale depuis la rue Neuve jusqu’au jardin. L’idée globale est d’encourager le citoyen dans sa démarche de curiosité, lui permettre également une meilleure connaissance de l’histoire et une prise de conscience sur l’importance de la culture.
Les infos à retenir
- Le site compte 5.000 m² de superficie
- L’exposition « Rodin, une renaissance moderne » a lieu du 13 avril au 18 août 2024
- Les informations pratiques se trouvent sur www.cap.mons.be
Par Nadia Salmi
Cet article est issu de la Revue W+B n°163.
Si la patience est une vertu, alors la récompense est belle pour le public. Après plus d’un an de rénovation, c’est un tout nouveau complexe muséal qui s’ouvre dans le centre-ville de Mons. En effet, le musée des Beaux-Arts n’est pas seul à avoir subi des travaux d’envergure sur le site.
Il y a aussi, face à lui, le jardin du « Poirier beurré » et la Maison dédiée à l’histoire montoise, autrement dit l’ancien musée Jean Lescarts. Trois espaces entièrement repensés et revalorisés sous le nom de CAP, acronyme pour Culture, Art et Patrimoine. Des valeurs fortes pour un projet qui l’est tout autant puisque tout a été fait pour permettre le dialogue entre chaque entité.
Focus ici sur le musée des Beaux-Arts qui s’apprête à briller à nouveau avec une exposition d’envergure sur Rodin. Une spécialité quand on voit les grands noms qui ont déjà été mis à l’honneur : Vincent Van Gogh (2015), Niki de Saint Phalle (2018), Roy Lichtenstein (2020) ou encore Miro (2022). Un succès énorme juste avant la fermeture : près de 90.000 visiteurs en trois mois pour le peintre espagnol. De quoi augurer le meilleur avec le sculpteur français. Et l’enthousiasme est légitime. Il a fallu trois ans pour monter cette exposition internationale. A la manœuvre, deux femmes : Antoinette Le Normand-Romain (directrice honoraire de l’Institut National d’Histoire de l’Art et spécialiste de Rodin) et Christina Buley-Uribe (historienne de l’art). Une expertise bien nécessaire vu l’œuvre impressionnante de l’artiste.
Mais pourquoi présenter Rodin dans cette ville du Hainaut ? Pourquoi lui ? Au-delà de l’évidence de son talent (il est tout de même considéré comme le père de la sculpture moderne), il y a son parcours. Durant sept ans, l’artiste va vivre en Belgique. Et de son aveu dans ses mémoires, c’est la plus belle période de sa vie. Il faut dire que le royaume offre dans la seconde moitié du dix-neuvième siècle de belles opportunités pour les artistes en devenir. Le jeune pays veut peaufiner sa mythologie nationale avec des statues glorifiant ses héros mais aussi avec d’importants édifices. Un contexte idéal pour Auguste qui débarque à Bruxelles en 1870. Il a alors trente ans et il participe aux travaux de décoration de la Bourse. Débuts marquants : il réalise une frise décorative sur les thèmes de l’industrie, l’agriculture, les arts et les sciences. Le soir, il dort dans une chambre de bonne, loin de sa famille restée en France. Un an plus tard, il installe son atelier à Ixelles dans une rue qui va porter son nom. Le succès est timide mais suffisant pour lui permettre d’envoyer de l’argent à sa femme qui le rejoint avec leur fils de cinq ans.
Déménagement ensuite à Etterbeek avant de louer une maison près de la forêt de Soignes. Rodin devient une figure importante de la scène artistique belge. Il réalise le buste de Beethoven sur la façade du conservatoire de musique ou encore un original du Penseur sur la tombe de Joseph Dillen à Laeken. Mais il n’est pas encore célèbre. Pour ça, il doit terminer un nu grandeur nature qui l’occupe jusqu’en 1877. Son nom : L’Age d’airain. C’est sa première œuvre en bronze et elle est créée en Belgique avant de partir à Paris. De quoi rendre sa présence à l’exposition montoise encore plus symbolique.
Car le musée des Beaux-Arts va présenter près de deux cents œuvres de collections publiques et privées, parmi lesquelles des plâtres, des aquarelles, des gravures ou encore des marbres dont certains n’ont jamais été vus. Et pour cause : le musée montois a le privilège de voir les plus grands musées européens lui faire des prêts exceptionnels. Il y a les musées royaux de Bruxelles, les musées d’Orsay, du Louvre, des Arts Décoratifs, le Petit Palais et le musée Rodin à Paris ainsi que le Victoria and Albert Museum à Londres. Evénement en vue pour la réouverture. L’exposition, qui bénéficie du soutien financier du Fonds européen de développement régional (FEDER) et de la Wallonie, s’intéressera au style et au traitement du corps par Rodin. Autre point utile à savoir : ses œuvres seront mises en résonnance avec les sculptures de Jacques Du Broeucq (artiste iconique du seizième siècle) qui sont conservées à la collégiale Sainte-Waudru de Mons (qui accueillera d’ailleurs aussi quelques œuvres de Rodin). Il y aura également du contemporain avec les sculptures de la belge Berlinde de Bruyckere. L’occasion de découvrir son regard affuté sur le maître. Et puis, pour finir avec cette approche muséale nouvelle, le monument Les Bourgeois de Calais sera présenté dans le Jardin du Mayeur de l’Hôtel de Ville de Mons.
Culture, art et patrimoine
Quid du CAP alors ? Pour les visiteurs qui ont envie de prolonger le plaisir, un détour par le jardin de six cents mètres carrés et la maison des Collections s’impose. Cette dernière se trouve dans l’ancien musée Jean Lescarts, resté fermé durant de très longues années. C’est dire s’il faut pousser la porte… Là, l’histoire de Mons se dévoile au travers des collections communales. Une belle plongée dans le passé et l’avenir de la ville car c’est bien là l’objectif de ce parcours permanent : valoriser le patrimoine et pousser à la réflexion. Pour respirer et s’inspirer, il y a enfin le jardin du « Poirier beurré » qui est une bonne idée puisqu’il s’impose comme le trait d’union entre le musée des Beaux-Arts et la maison des Collections. A noter, le jardin est en accès libre depuis la rue et s’articule en trois parties : le botanico-historique, le permacole et la guinguette, idéale pour un petit café.
Mais en quoi ce projet muséal est-il prometteur ? Avec le CAP, la Ville de Mons souhaitait offrir au public une expérience citoyenne et participative. Ici, le talent de trois artistes est mis à profit. Le collectif de plasticiens VOID a développé le dispositif sonore du tunnel reliant le musée des Beaux-Arts à la maison des Collections. La designer Lucile Soufflet a fabriqué le mobilier extérieur. Et l’artiste plasticien Raphaël Decoster a réalisé une fresque monumentale depuis la rue Neuve jusqu’au jardin. L’idée globale est d’encourager le citoyen dans sa démarche de curiosité, lui permettre également une meilleure connaissance de l’histoire et une prise de conscience sur l’importance de la culture.
Les infos à retenir
- Le site compte 5.000 m² de superficie
- L’exposition « Rodin, une renaissance moderne » a lieu du 13 avril au 18 août 2024
- Les informations pratiques se trouvent sur www.cap.mons.be
Par Nadia Salmi
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Qu’est-ce que cela signifie exactement ? Qu’est-ce que cela implique ? Quels sont les enjeux ? Quels rôles endossent la Wallonie et la Fédération Wallonie-Bruxelles durant ces 6 mois ? Comment les citoyens peuvent-ils concrètement mesurer l’impact des décisions européennes dans leur vie quotidienne ? Nous allons tenter de décrypter tout cela dans ce nouveau numéro de la Revue W+B, tant à travers des explications "théoriques" que par des témoignages et des exemples concrets.
Nous allons également partir à la rencontre de Jeannine Horrion, fondatrice et directrice du Théâtre Épiscène à Avignon et de Igor Dieryck, grand gagnant du dernier Festival de Hyères. Et à la redécouverte du Musée des Beaux-Arts de Mons, qui marque sa réouverture avec une superbe exposition sur Rodin.
Plongeons-nous aussi dans les programmes langues du BIJ, dans les projets de coopération mis en oeuvre sur financement AWAC et dans la participation de l’APEFE à la COP28 ou dans le secteur du gaming wallon, en pleine expansion.
Enfin, découvrons la société PMSweet, pour laquelle son fondateur, Michaël Labro, a reçu le titre de "Manager de l’année" et la société de travail adapté Nos Pilifs, qui participe au projet européen "Change 2 regards".
Au programme
- Dossier : La Présidence belge du Conseil de l'Union européenne : "La Belgique et ses entités fédérées au centre du jeu"
- Culture : La Dame d'Avignon
- Tourisme : Le Musée des Beaux-Arts de Mons s'offre Rodin poyur sa réouverture
- Mode : Igor Dieryck : Les pieds sur Terre et la tête dans les étoiles
- Jeunesse : Les limites de ma langue signifient les limites de mon propre monde
- Coopération au dévelomment : L'APEFE promeut la Grande Muraille Verte lors de la COP28 à Dubaï
- Entreprise : PMSweet, le leader mondial des macarons est liégeois
- Innovation : Avec le gaming, le talent wallon possède une filière de qualité
- Société : Ferme Nos Pilifs, l'inclusion dans le respect de l'environnement
- Survols
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Qu’est-ce que cela signifie exactement ? Qu’est-ce que cela implique ? Quels sont les enjeux ? Quels rôles endossent la Wallonie et la Fédération Wallonie-Bruxelles durant ces 6 mois ? Comment les citoyens peuvent-ils concrètement mesurer l’impact des décisions européennes dans leur vie quotidienne ? Nous allons tenter de décrypter tout cela dans ce nouveau numéro de la Revue W+B, tant à travers des explications "théoriques" que par des témoignages et des exemples concrets.
Nous allons également partir à la rencontre de Jeannine Horrion, fondatrice et directrice du Théâtre Épiscène à Avignon et de Igor Dieryck, grand gagnant du dernier Festival de Hyères. Et à la redécouverte du Musée des Beaux-Arts de Mons, qui marque sa réouverture avec une superbe exposition sur Rodin.
Plongeons-nous aussi dans les programmes langues du BIJ, dans les projets de coopération mis en oeuvre sur financement AWAC et dans la participation de l’APEFE à la COP28 ou dans le secteur du gaming wallon, en pleine expansion.
Enfin, découvrons la société PMSweet, pour laquelle son fondateur, Michaël Labro, a reçu le titre de "Manager de l’année" et la société de travail adapté Nos Pilifs, qui participe au projet européen "Change 2 regards".
Au programme
- Dossier : La Présidence belge du Conseil de l'Union européenne : "La Belgique et ses entités fédérées au centre du jeu"
- Culture : La Dame d'Avignon
- Tourisme : Le Musée des Beaux-Arts de Mons s'offre Rodin poyur sa réouverture
- Mode : Igor Dieryck : Les pieds sur Terre et la tête dans les étoiles
- Jeunesse : Les limites de ma langue signifient les limites de mon propre monde
- Coopération au dévelomment : L'APEFE promeut la Grande Muraille Verte lors de la COP28 à Dubaï
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La Belgique à la tête de l'Europe
Depuis le 1er janvier et jusqu’au 30 juin, la Belgique et ses entités fédérées occupent le siège de la Présidence du Conseil de l’Union européenne. Qu’est-ce que cela signifie exactement ? Qu’est-ce que cela implique ? Quels sont les enjeux ? Quels rôles endossent la Wallonie et la Fédération Wallonie-Bruxelles durant ces 6 mois ? Comment les citoyens peuvent-ils concrètement mesurer l’impact des décisions européennes dans leur vie quotidienne ? Nous allons tenter de décrypter tout cela dans ce nouveau numéro de la Revue W+B, tant à travers des explications "théoriques" que par des témoignages et des exemples concrets.
Nous allons également partir à la rencontre de Jeannine Horrion, fondatrice et directrice du Théâtre Épiscène à Avignon et de Igor Dieryck, grand gagnant du dernier Festival de Hyères. Et à la redécouverte du Musée des Beaux-Arts de Mons, qui marque sa réouverture avec une superbe exposition sur Rodin.
Plongeons-nous aussi dans les programmes langues du BIJ, dans les projets de coopération mis en oeuvre sur financement AWAC et dans la participation de l’APEFE à la COP28 ou dans le secteur du gaming wallon, en pleine expansion.
Enfin, découvrons la société PMSweet, pour laquelle son fondateur, Michaël Labro, a reçu le titre de "Manager de l’année" et la société de travail adapté Nos Pilifs, qui participe au projet européen "Change 2 regards".
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- Culture : La Dame d'Avignon
- Tourisme : Le Musée des Beaux-Arts de Mons s'offre Rodin poyur sa réouverture
- Mode : Igor Dieryck : Les pieds sur Terre et la tête dans les étoiles
- Jeunesse : Les limites de ma langue signifient les limites de mon propre monde
- Coopération au dévelomment : L'APEFE promeut la Grande Muraille Verte lors de la COP28 à Dubaï
- Entreprise : PMSweet, le leader mondial des macarons est liégeois
- Innovation : Avec le gaming, le talent wallon possède une filière de qualité
- Société : Ferme Nos Pilifs, l'inclusion dans le respect de l'environnement
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Cet événement s'est tenu à la Cineteca Nacional de Santiago, qui a réuni les ambassades et institutions francophones (Belgique, Canada, Egypte, France, Haiti, Liban, Maroc, Monaco, Roumanie, Suisse, Vietnam) dont la Représentation Wallonie-Bruxelles au Chili. Parmi les représentants diplomatiques présents, nous citerons Christian de Lannoy, Ambassadeur de Belgique au Chili et Emmanuelle Dienga, représentante Wallonie-Bruxelles.
La Représentation Wallonie-Bruxelles a le plaisir d’organiser, en collaboration avec les ambassades et représentations des pays précédemment cités, diverses activités à Santiago et dans les régions pendant cette période de la Francophonie.
Voici un aperçu du programme :
- Vendredi 22 mars, commence le Cycle de Cinéma de la Francophonie composé de 11 films présentés dans la salle emblématique de la cinémathèque nationale du Chili. Dans ce cadre, le jeudi 28 mars, le film belge L'employée du Mois de Véronique Jadin y sera projeté. Ce film sera également proposé par nos partenaires en région : à Talca à l’université catholique du Maule, à Antofagasta au Cine Esquina Retornable en collaboration avec l’alliance française et à Concepción à l'Alliance Française.
- Samedi 23 mars, ce sera la Grande Foire de la Francophonie avec un panel de stand de produits et artisanat des différents pays francophones. La Représentation Wallonie-Bruxelles proposera trois activités : une immersion dans le monde du chocolat belge, le lancement du Quiz Francophone 2024 et une conférence "Étudier en Belgique francophone".
Également, la Représentation Wallonie-Bruxelles organise la tournée du documentaire Austral, film du réalisateur belge Benjamin Colaux mais filmé entièrement au Chili. Le film sera présenté à Santiago au Centro Arte Alameda le samedi 23 mars, et sera suivi d’une table ronde avec le réalisateur, les protagonistes du film et des experts du monde audiovisuel. Le film sera également proposé en région : à Valdivia à l’Université Australe, à Temuco à l’université de la Frontera et à Punta Arenas au centre culturel municipal.
Enfin, l'événement phare sera la soirée de clôture "Le Jardin de la Photographie", le jeudi 4 avril, organisé à la Résidence de l’Ambassadeur de Belgique. Cette soirée permettra aux participants de réaliser un voyage photographique et gastronomique parmi les différents pays francophones.
Cet événement s'est tenu à la Cineteca Nacional de Santiago, qui a réuni les ambassades et institutions francophones (Belgique, Canada, Egypte, France, Haiti, Liban, Maroc, Monaco, Roumanie, Suisse, Vietnam) dont la Représentation Wallonie-Bruxelles au Chili. Parmi les représentants diplomatiques présents, nous citerons Christian de Lannoy, Ambassadeur de Belgique au Chili et Emmanuelle Dienga, représentante Wallonie-Bruxelles.
La Représentation Wallonie-Bruxelles a le plaisir d’organiser, en collaboration avec les ambassades et représentations des pays précédemment cités, diverses activités à Santiago et dans les régions pendant cette période de la Francophonie.
Voici un aperçu du programme :
- Vendredi 22 mars, commence le Cycle de Cinéma de la Francophonie composé de 11 films présentés dans la salle emblématique de la cinémathèque nationale du Chili. Dans ce cadre, le jeudi 28 mars, le film belge L'employée du Mois de Véronique Jadin y sera projeté. Ce film sera également proposé par nos partenaires en région : à Talca à l’université catholique du Maule, à Antofagasta au Cine Esquina Retornable en collaboration avec l’alliance française et à Concepción à l'Alliance Française.
- Samedi 23 mars, ce sera la Grande Foire de la Francophonie avec un panel de stand de produits et artisanat des différents pays francophones. La Représentation Wallonie-Bruxelles proposera trois activités : une immersion dans le monde du chocolat belge, le lancement du Quiz Francophone 2024 et une conférence "Étudier en Belgique francophone".
Également, la Représentation Wallonie-Bruxelles organise la tournée du documentaire Austral, film du réalisateur belge Benjamin Colaux mais filmé entièrement au Chili. Le film sera présenté à Santiago au Centro Arte Alameda le samedi 23 mars, et sera suivi d’une table ronde avec le réalisateur, les protagonistes du film et des experts du monde audiovisuel. Le film sera également proposé en région : à Valdivia à l’Université Australe, à Temuco à l’université de la Frontera et à Punta Arenas au centre culturel municipal.
Enfin, l'événement phare sera la soirée de clôture "Le Jardin de la Photographie", le jeudi 4 avril, organisé à la Résidence de l’Ambassadeur de Belgique. Cette soirée permettra aux participants de réaliser un voyage photographique et gastronomique parmi les différents pays francophones.
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Programme 2024-2025
Une nouvelle sélection de projets, dans le cadre du programme de coopération scientifique avec l’Académie roumaine, aura lieu prochainement. La date limite d’introduction des dossiers est fixée au 15 juin 2024.
Si vous souhaitez développer un partenariat dans le cadre de ce programme de travail axé sur la recherche fondamentale et s’étendant du 1er janvier 2025 au 1er décembre 2026, pour autant que votre partenaire soit membre de l’Académie roumaine ou que son institution relève de l’Académie roumaine.
Vous trouverez ci-dessous, un formulaire d’introduction de projet, un document décrivant les critères d’interventions de WBI , ainsi qu’une liste de partenaires roumains potentiels. Il est essentiel que les partenaires élaborent conjointement le projet et le déposent de part et d’autre (votre partenaire doit déposer son projet auprès de l’Académie roumaine).
Sur base, notamment, des avis des experts sollicités à cet effet, WBI se prononcera sur l’opportunité d’inscrire les projets dans l’accord de coopération dans les limites des disponibilités budgétaires.
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Contact
Pour toute information complémentaire, veuillez contacter:
- Monsieur Georges Letayf, en charge de la Roumanie : Courriel : g.letayf@wbi.be , tél : 02/421.83.14
- Monsieur Thomas Malengreaux : Courriel : t.malengreaux@wbi.be , tél : 02/421.83.31.
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Programme 2024-2025
Une nouvelle sélection de projets, dans le cadre du programme de coopération scientifique avec l’Académie roumaine, aura lieu prochainement. La date limite d’introduction des dossiers est fixée au 15 juin 2024.
Si vous souhaitez développer un partenariat dans le cadre de ce programme de travail axé sur la recherche fondamentale et s’étendant du 1er janvier 2025 au 1er décembre 2026, pour autant que votre partenaire soit membre de l’Académie roumaine ou que son institution relève de l’Académie roumaine.
Vous trouverez ci-dessous, un formulaire d’introduction de projet, un document décrivant les critères d’interventions de WBI , ainsi qu’une liste de partenaires roumains potentiels. Il est essentiel que les partenaires élaborent conjointement le projet et le déposent de part et d’autre (votre partenaire doit déposer son projet auprès de l’Académie roumaine).
Sur base, notamment, des avis des experts sollicités à cet effet, WBI se prononcera sur l’opportunité d’inscrire les projets dans l’accord de coopération dans les limites des disponibilités budgétaires.
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- Monsieur Georges Letayf, en charge de la Roumanie : Courriel : g.letayf@wbi.be , tél : 02/421.83.14
- Monsieur Thomas Malengreaux : Courriel : t.malengreaux@wbi.be , tél : 02/421.83.31.
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Cette Entente a pour objectif de dynamiser la mobilité étudiante au niveau universitaire entre le Québec et la Fédération Wallonie-Bruxelles et permet aux étudiants belges francophones de bénéficier des droits de scolarité avantageux.
Les étudiants québécois bénéficient pour leur part d’un volume de bourses mensuelles offerts par Wallonie-Bruxelles international pour la réalisation de séjours de maitrise ou de doctorat et postdoctorat.
En renouvelant cette Entente, la Fédération Wallonie-Bruxelles et le Québec confirment les liens forts qui les unissent et leur volonté de poursuivre les échanges visant des retombées mutuelles pour nos étudiants et nos institutions.
Cette Entente a pour objectif de dynamiser la mobilité étudiante au niveau universitaire entre le Québec et la Fédération Wallonie-Bruxelles et permet aux étudiants belges francophones de bénéficier des droits de scolarité avantageux.
Les étudiants québécois bénéficient pour leur part d’un volume de bourses mensuelles offerts par Wallonie-Bruxelles international pour la réalisation de séjours de maitrise ou de doctorat et postdoctorat.
En renouvelant cette Entente, la Fédération Wallonie-Bruxelles et le Québec confirment les liens forts qui les unissent et leur volonté de poursuivre les échanges visant des retombées mutuelles pour nos étudiants et nos institutions.
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Depuis 20 ans, la Représentation de l’OIF auprès de l’Union européenne (RPUE) et Wallonie-Bruxelles International (WBI) coopèrent pour vous offrir le meilleur de la Francophonie lors d’un événement festif ouvert à tous et présentant de nombreux talents belges francophones en écho à la Journée internationale de la Francophonie.
Cette année, les Halles Saint Géry accueillaient ainsi le jeudi 21 mars, une soirée exceptionnelle dédiée notamment aux sports et arts urbains, à l’architecture et à la musique.
Avec plus de 320 millions de francophones dans le monde, la francophonie a en effet des choses à dire et partager. Rassemblés dans l’Organisation internationale de la Francophonie, 88 états et Gouvernements dont la Fédération Wallonie-Bruxelles, 3ème bailleur de fonds en termes absolus de l’ensemble des 8 institutions de la Francophonie, participent à l’avenir de nos sociétés en déployant des actions à forts impacts auprès des populations francophones. Formation, réduction de la faille numérique, développement local social et économique, lutte contre la discrimination, réduction de la pauvreté… Pour cette fête et en hommage aux membres de la francophonie et à la diversité des peuples qu'ils représentent, leurs 88 drapeaux ont ainsi été symboliquement déployés sous les voutes des Halles Saint Géry.
Wallonie-Bruxelles international attribue de son côté, plus de 70 bourses qui permettent à des étudiants d’étudier en français, contribue à l’accès à l’entrepreneuriat notamment féminin, en facilitant la création de microentreprises dans les pays partenaires prioritaires (133 microentreprises créées, dont 70 avec une entrepreneure à leur tête, créant 415 emplois dans 12 pays), développe des projets localement, etc...
Cette fête de la francophonie est donc l’occasion d'honorer les liens et la solidarité qu’une langue est capable de tisser entre les peuples.
A la veille de deux autres événements, célébrant entre autres les valeurs de l’amitié, du respect, de l’égalité et de l’inspiration que sont les Jeux olympiques et paralympiques, il paraissait évident de donner une piste d’expression au sport et plus particulièrement aux sports urbains a également souligné Pascale Delcomminette, Administratrice générale de WBI.
Depuis 2019, la Fédération Wallonie-Bruxelles valorise le sport à l'international à travers de nombreux actions menées en collaboration avec l'ADEPS. Accueil de délégation étrangère dans les infrastructures de pointe, multiplication des contacts à travers le monde pour initier des collaborations mais aussi développement de l'accompagnement des sportifs de haut niveau tant sur les performances que sur l'évolution de carrière avec le "projet de vie".
«En mouvement pour la Francophonie»
M. Mamadou Bamba Hanne, Ambassadeur, représentant de l’Organisation internationale de la Francophonie auprès de l’Union européenne a profité de l'événement pour rappelé l'histoire de la francophonie et la naissance de l'ancêtre de l'organisation à Niamey en 1970. Il a insisté sur l'ancrage contemporain de l'OIF qui s'implique bien au delà de la culture et l'éducation et intervient sur toutes les problématiques actuelles au profit du mieux être des populations et notamment des femmes et des jeunes. A la veille du prochain sommet de la francophonie, il a scandé son slogan "créer, innover et entreprendre en français" rappelant combien le sport en est la parfaite illustration.
Ce 21 mars, les spectateurs ont ainsi assisté aux performances de BMX avec Loan Delannoy, meilleur rider BMX free style belge francophone, parkour avec Maxime Knapen, trial avec Ugo Theunissen, Vice-Champion du Monde Catégorie 13-14 ans, skateboard avec Victor De Neys, trottinette avec Hugo Sinisi, le tout présenté par Maxime Evrard sous le regard du graffeur Benito.
Le breakdance et le hip-hop n’étaient pas en reste avec la Compagnie Final FX qui a représenté la FWB au concours de hip-hop de la 8ème édition des Jeux de la Francophonie à Abidjan en 2017 et le groupe Ruthless qui a remporté la médaille de bronze à la 9ème édition des Jeux de la Francophonie à Kinshasa en 2023.
Le Ministre-Président de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Pierre-Yves Jeholet a de son côté, évoqué l'importance des villes dans la Francophonie et comment des modes d'expressions sportifs ou artistiques ont émergé au coeur foisonnant de Marseille, Kinshasa, Rabat, Tunis ou Bruxelles. Porteur du vif espoir d'accueillir la prochaine compétition de football féminin, il a rappelé les valeurs sportives et s'est prêté au jeu des sauteurs d'obstacles en BMX, parcours et trial avec fair play.
La soirée a fini de vibrer avec des animations de street art et de la musique électro mixé par le DJ haïtien Sébastien Noël.
En l’habillant, aux couleurs des Etats et Gouvernements membres de l’OIF et en présentant l’exposition «Diversité francophone et architecture : des prises de vue autour du monde», les Halles Saint Géry deviennent pendant deux mois, une « maison commune » des francophones.
Une façon de prolonger le regard sur ce lien actif et puissant qui unit les acteurs de la francophonie.
A découvrir jusqu'au 19 mai | Exposition de photos « Diversité francophone et architecture: des prises de vue autour du monde »
Cette exposition met à l’honneur des bâtiments, commémoratifs, administratifs ou sportifs de la seconde moitié du XXème siècle qui illustrent la diversité du monde francophone et la richesse de ses cultures et de ses idées.
Depuis 20 ans, la Représentation de l’OIF auprès de l’Union européenne (RPUE) et Wallonie-Bruxelles International (WBI) coopèrent pour vous offrir le meilleur de la Francophonie lors d’un événement festif ouvert à tous et présentant de nombreux talents belges francophones en écho à la Journée internationale de la Francophonie.
Cette année, les Halles Saint Géry accueillaient ainsi le jeudi 21 mars, une soirée exceptionnelle dédiée notamment aux sports et arts urbains, à l’architecture et à la musique.
Avec plus de 320 millions de francophones dans le monde, la francophonie a en effet des choses à dire et partager. Rassemblés dans l’Organisation internationale de la Francophonie, 88 états et Gouvernements dont la Fédération Wallonie-Bruxelles, 3ème bailleur de fonds en termes absolus de l’ensemble des 8 institutions de la Francophonie, participent à l’avenir de nos sociétés en déployant des actions à forts impacts auprès des populations francophones. Formation, réduction de la faille numérique, développement local social et économique, lutte contre la discrimination, réduction de la pauvreté… Pour cette fête et en hommage aux membres de la francophonie et à la diversité des peuples qu'ils représentent, leurs 88 drapeaux ont ainsi été symboliquement déployés sous les voutes des Halles Saint Géry.
Wallonie-Bruxelles international attribue de son côté, plus de 70 bourses qui permettent à des étudiants d’étudier en français, contribue à l’accès à l’entrepreneuriat notamment féminin, en facilitant la création de microentreprises dans les pays partenaires prioritaires (133 microentreprises créées, dont 70 avec une entrepreneure à leur tête, créant 415 emplois dans 12 pays), développe des projets localement, etc...
Cette fête de la francophonie est donc l’occasion d'honorer les liens et la solidarité qu’une langue est capable de tisser entre les peuples.
A la veille de deux autres événements, célébrant entre autres les valeurs de l’amitié, du respect, de l’égalité et de l’inspiration que sont les Jeux olympiques et paralympiques, il paraissait évident de donner une piste d’expression au sport et plus particulièrement aux sports urbains a également souligné Pascale Delcomminette, Administratrice générale de WBI.
Depuis 2019, la Fédération Wallonie-Bruxelles valorise le sport à l'international à travers de nombreux actions menées en collaboration avec l'ADEPS. Accueil de délégation étrangère dans les infrastructures de pointe, multiplication des contacts à travers le monde pour initier des collaborations mais aussi développement de l'accompagnement des sportifs de haut niveau tant sur les performances que sur l'évolution de carrière avec le "projet de vie".
«En mouvement pour la Francophonie»
M. Mamadou Bamba Hanne, Ambassadeur, représentant de l’Organisation internationale de la Francophonie auprès de l’Union européenne a profité de l'événement pour rappelé l'histoire de la francophonie et la naissance de l'ancêtre de l'organisation à Niamey en 1970. Il a insisté sur l'ancrage contemporain de l'OIF qui s'implique bien au delà de la culture et l'éducation et intervient sur toutes les problématiques actuelles au profit du mieux être des populations et notamment des femmes et des jeunes. A la veille du prochain sommet de la francophonie, il a scandé son slogan "créer, innover et entreprendre en français" rappelant combien le sport en est la parfaite illustration.
Ce 21 mars, les spectateurs ont ainsi assisté aux performances de BMX avec Loan Delannoy, meilleur rider BMX free style belge francophone, parkour avec Maxime Knapen, trial avec Ugo Theunissen, Vice-Champion du Monde Catégorie 13-14 ans, skateboard avec Victor De Neys, trottinette avec Hugo Sinisi, le tout présenté par Maxime Evrard sous le regard du graffeur Benito.
Le breakdance et le hip-hop n’étaient pas en reste avec la Compagnie Final FX qui a représenté la FWB au concours de hip-hop de la 8ème édition des Jeux de la Francophonie à Abidjan en 2017 et le groupe Ruthless qui a remporté la médaille de bronze à la 9ème édition des Jeux de la Francophonie à Kinshasa en 2023.
Le Ministre-Président de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Pierre-Yves Jeholet a de son côté, évoqué l'importance des villes dans la Francophonie et comment des modes d'expressions sportifs ou artistiques ont émergé au coeur foisonnant de Marseille, Kinshasa, Rabat, Tunis ou Bruxelles. Porteur du vif espoir d'accueillir la prochaine compétition de football féminin, il a rappelé les valeurs sportives et s'est prêté au jeu des sauteurs d'obstacles en BMX, parcours et trial avec fair play.
La soirée a fini de vibrer avec des animations de street art et de la musique électro mixé par le DJ haïtien Sébastien Noël.
En l’habillant, aux couleurs des Etats et Gouvernements membres de l’OIF et en présentant l’exposition «Diversité francophone et architecture : des prises de vue autour du monde», les Halles Saint Géry deviennent pendant deux mois, une « maison commune » des francophones.
Une façon de prolonger le regard sur ce lien actif et puissant qui unit les acteurs de la francophonie.
A découvrir jusqu'au 19 mai | Exposition de photos « Diversité francophone et architecture: des prises de vue autour du monde »
Cette exposition met à l’honneur des bâtiments, commémoratifs, administratifs ou sportifs de la seconde moitié du XXème siècle qui illustrent la diversité du monde francophone et la richesse de ses cultures et de ses idées.
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Le SXSW : Un carrefour mondial de créativité et d'innovation
Chaque année, South by Southwest (SXSW) se distingue comme une référence incontournable, réunissant une multitude d'acteurs éminents dans les domaines de l'art, de la technologie et des affaires.
Artistes en quête de reconnaissance, pionniers de l'ingénierie, passionnés, figures éminentes, jeunes pousses ambitieuses et entreprises de renom convergent lors de cet événement emblématique. Au sein de cette effervescence, des conférences de haut vol abordant les thèmes de la technologie, de la culture et de l'innovation captivent l'attention, favorisant les échanges, les émerveillements et la reconnaissance.
Avec plus de 400 000 participants, SXSW investit 735 espaces d'exposition et propose plus de 2100 conférences, sous le regard attentif de 4000 médias internationaux. Avec la représentation de 106 pays et territoires, l'événement s'est imposé comme un véritable carrefour mondial de la créativité, enrichissant l'écosystème global de l'innovation.
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Une délégation francophone bien représentée
WBI et l'AWEX ont emmené une délégation francophone, composée d’une trentaine de représentants du secteur des industries culturelles et créatives de Wallonie-Bruxelles et constituée d’universités, hubs créatifs, associations, cluster, start-up, entreprises et fonds d’investissements dans les domaines tels que la réalité virtuelle et augmentée, l’intelligence artificielle, le digital, le transmédia, les musictech.
Pour le côté académique, étaient présents le Media Innovation & Intelligibility Lab de l’UCLouvain avec son directeur Sebastien Nahon, également porteur de l’Initiative d'innovation stratégique Human Interaction Technology Transfer et Salvatore Bordonaro, l’UMONS avec Matei Mancas, chercheur impliqué entre autres dans l'Initiative d'innovation stratégique TRAIL, liée à l'intelligence artificielle, l’UNamur avec Bruno Duma, Vice-Président du Namur Digital Institute.
Plusieurs acteurs du secteur des industries créatives et de l'écosystème digital ont également répondu présent: le Cluster TWIST (Technologies Wallonnes de l'image, du son et du texte), le KIKK Festival, Lab.Davanac, le Festival Stereopsia qui met en avant l'eXtended Reality, l'association européenne fédérant les acteurs de la XR XR4Europe, le hub créatif liégeois La Grand Poste, le fond d’investissement Leansquare, ainsi que les deux projets Lauréat de Startech 2022 et 2023, concours qui récompense un projet technologique innovant développé par des étudiant.e.s ingénieur.e.s: Pyroplast et PEACH.
La participation de nos opérateurs au festival texan leurs permet de s’incorporer et de participer à un incroyable réseau d’opportunités. La forte concentration de professionnels du secteur est bénéfique à tous les représentants de la délégation en rendant possible un très large réseautage global et sectoriel, en permettant le développement de leurs réseaux et en favorisant de possibles partenariats/collaborations.
Le festival offre également la possibilité pour nos opérateurs d’effectuer un important travail de veille scientifique et technologique et d’indentification de tendances et projets. Il en va aussi de la visibilité de notre écosystème créatif et institutions/structures à l’international.
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Au programme de cette mission : visibilité de notre écosystème créatif
SXSW est un lieu idéal pour créer des liens entre notre écosystème innovant et ceux d'autres pays/régions. Au cours de la mission et dans le cadre du programme réalisé par les équipes de l’AWEX et WBI, la délégation Wallonie-Bruxelles a pu participer à de nombreuses rencontres et événements de réseautage avec des délégations/acteurs internationaux (à Innovation Bridge Europe et la Maison de l’Europe et avec les délégations canadienne, québécoise, néerlandaise, française, berlinoise) et se rendre à de nombreuses conférences, panels dans le cadre du festival.
Plusieurs activités ont été organisés avec les acteurs locaux afin de promouvoir notre écosystème innovant et les initiatives/projets des membres de la délégation :
- Une visite à l'Université du Texas a permis à la délégation de rencontrer des représentants de l'institution, établissant ainsi des contacts précieux. De plus, une visite guidée de l'université a été proposée aux startech présentes, offrant une occasion unique d'explorer les synergies potentielles avec cette institution renommée.
- La délégation s'est également rendue à Capital Factory, un incubateur et fonds d'investissement de premier plan. Les participant.e.s ont eu l'opportunité de présenter leurs projets et de tisser des liens au sein de ce vaste réseau.
- Une rencontre a eu lieu avec les représentants Culture et Musique de la ville d'Austin. Des discussions fructueuses ont eu lieu sur les bonnes pratiques en matière de politiques culturelles et d'économie créative. Cette session a été l'occasion idéale d'échanger des idées et de créer des opportunités de collaboration entre nos écosystèmes respectifs.
Deux événements de networking ont également rythmé le calendrier de la délégation belge :
- Le 8 mars, l'AWEX et WBI ont orchestré une soirée belge de réseautage qui a réuni plus de 150 participants. Cette rencontre a été honorée par la présence de délégations internationales venues des États-Unis, du Québec, des Pays-Bas et de la France, et a été rehaussée par la présence de l'Ambassadeur Filip Vanden Bulcke - Consul général de Belgique à New York.
- Le 10 mars, le traditionnel Belgian Happy Hour a offert un moment de convivialité aux contacts internationaux noués par nos participant.e.s tout au long du festival. Cet événement a été l'occasion de renforcer les liens et les partenariats dans une ambiance détendue.
Lancement officiel de Wake !
Lors de la mission, le nouveau label de la communauté de la créativité digitale en Wallonie a été lancé : wake! - belgian tech & creative biodiversity (by Digital Wallonia).
Notre région compte d'innombrables talents dans le domaine de la créativité digitale qui constituent la biodiversité d'un secteur effervescent dont la vivacité s'exprime par le nombre d'événements, d'entreprises, d'initiatives, de réseaux et de lieux qui stimulent l'entrepreneuriat et la créativité.
La créativité digitale désigne l'utilisation des technologies numériques pour créer des entreprises, des œuvres artistiques, des contenus multimédias, des expériences interactives et des solutions innovantes. Codage créatif, création musicale et audiovisuelle, art visuel avec IA générative, conception et développement de jeux vidéo, de sites web, d'applications mobiles, innovation en matière de design graphique, et bien d'autres choses encore.
wake ! est une initiative qui rassemble les acteurs de cet écosystème si particulier : du festival KIKK à Namur à Wallifornia music tech et La Grand Poste au cœur du quartier créatif de Liège, des hubs de jeux vidéo urbains animés par Walga à Quai 10 et Mediafaktory à Charleroi, de Click à Mons au hub XR4Europe à Liège avec son festival Stereopsia à Bruxelles et son parcours culturel XR4Heritage : une liste non exhaustive d'acteurs et de plateformes d'expression pour les créateurs digitaux wallons sur l'ensemble du territoire.
Pour en savoir plus : https://kikk-residency.squarespace.com/en/projects/wake
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Le SXSW : Un carrefour mondial de créativité et d'innovation
Chaque année, South by Southwest (SXSW) se distingue comme une référence incontournable, réunissant une multitude d'acteurs éminents dans les domaines de l'art, de la technologie et des affaires.
Artistes en quête de reconnaissance, pionniers de l'ingénierie, passionnés, figures éminentes, jeunes pousses ambitieuses et entreprises de renom convergent lors de cet événement emblématique. Au sein de cette effervescence, des conférences de haut vol abordant les thèmes de la technologie, de la culture et de l'innovation captivent l'attention, favorisant les échanges, les émerveillements et la reconnaissance.
Avec plus de 400 000 participants, SXSW investit 735 espaces d'exposition et propose plus de 2100 conférences, sous le regard attentif de 4000 médias internationaux. Avec la représentation de 106 pays et territoires, l'événement s'est imposé comme un véritable carrefour mondial de la créativité, enrichissant l'écosystème global de l'innovation.
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Une délégation francophone bien représentée
WBI et l'AWEX ont emmené une délégation francophone, composée d’une trentaine de représentants du secteur des industries culturelles et créatives de Wallonie-Bruxelles et constituée d’universités, hubs créatifs, associations, cluster, start-up, entreprises et fonds d’investissements dans les domaines tels que la réalité virtuelle et augmentée, l’intelligence artificielle, le digital, le transmédia, les musictech.
Pour le côté académique, étaient présents le Media Innovation & Intelligibility Lab de l’UCLouvain avec son directeur Sebastien Nahon, également porteur de l’Initiative d'innovation stratégique Human Interaction Technology Transfer et Salvatore Bordonaro, l’UMONS avec Matei Mancas, chercheur impliqué entre autres dans l'Initiative d'innovation stratégique TRAIL, liée à l'intelligence artificielle, l’UNamur avec Bruno Duma, Vice-Président du Namur Digital Institute.
Plusieurs acteurs du secteur des industries créatives et de l'écosystème digital ont également répondu présent: le Cluster TWIST (Technologies Wallonnes de l'image, du son et du texte), le KIKK Festival, Lab.Davanac, le Festival Stereopsia qui met en avant l'eXtended Reality, l'association européenne fédérant les acteurs de la XR XR4Europe, le hub créatif liégeois La Grand Poste, le fond d’investissement Leansquare, ainsi que les deux projets Lauréat de Startech 2022 et 2023, concours qui récompense un projet technologique innovant développé par des étudiant.e.s ingénieur.e.s: Pyroplast et PEACH.
La participation de nos opérateurs au festival texan leurs permet de s’incorporer et de participer à un incroyable réseau d’opportunités. La forte concentration de professionnels du secteur est bénéfique à tous les représentants de la délégation en rendant possible un très large réseautage global et sectoriel, en permettant le développement de leurs réseaux et en favorisant de possibles partenariats/collaborations.
Le festival offre également la possibilité pour nos opérateurs d’effectuer un important travail de veille scientifique et technologique et d’indentification de tendances et projets. Il en va aussi de la visibilité de notre écosystème créatif et institutions/structures à l’international.
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Au programme de cette mission : visibilité de notre écosystème créatif
SXSW est un lieu idéal pour créer des liens entre notre écosystème innovant et ceux d'autres pays/régions. Au cours de la mission et dans le cadre du programme réalisé par les équipes de l’AWEX et WBI, la délégation Wallonie-Bruxelles a pu participer à de nombreuses rencontres et événements de réseautage avec des délégations/acteurs internationaux (à Innovation Bridge Europe et la Maison de l’Europe et avec les délégations canadienne, québécoise, néerlandaise, française, berlinoise) et se rendre à de nombreuses conférences, panels dans le cadre du festival.
Plusieurs activités ont été organisés avec les acteurs locaux afin de promouvoir notre écosystème innovant et les initiatives/projets des membres de la délégation :
- Une visite à l'Université du Texas a permis à la délégation de rencontrer des représentants de l'institution, établissant ainsi des contacts précieux. De plus, une visite guidée de l'université a été proposée aux startech présentes, offrant une occasion unique d'explorer les synergies potentielles avec cette institution renommée.
- La délégation s'est également rendue à Capital Factory, un incubateur et fonds d'investissement de premier plan. Les participant.e.s ont eu l'opportunité de présenter leurs projets et de tisser des liens au sein de ce vaste réseau.
- Une rencontre a eu lieu avec les représentants Culture et Musique de la ville d'Austin. Des discussions fructueuses ont eu lieu sur les bonnes pratiques en matière de politiques culturelles et d'économie créative. Cette session a été l'occasion idéale d'échanger des idées et de créer des opportunités de collaboration entre nos écosystèmes respectifs.
Deux événements de networking ont également rythmé le calendrier de la délégation belge :
- Le 8 mars, l'AWEX et WBI ont orchestré une soirée belge de réseautage qui a réuni plus de 150 participants. Cette rencontre a été honorée par la présence de délégations internationales venues des États-Unis, du Québec, des Pays-Bas et de la France, et a été rehaussée par la présence de l'Ambassadeur Filip Vanden Bulcke - Consul général de Belgique à New York.
- Le 10 mars, le traditionnel Belgian Happy Hour a offert un moment de convivialité aux contacts internationaux noués par nos participant.e.s tout au long du festival. Cet événement a été l'occasion de renforcer les liens et les partenariats dans une ambiance détendue.
Lancement officiel de Wake !
Lors de la mission, le nouveau label de la communauté de la créativité digitale en Wallonie a été lancé : wake! - belgian tech & creative biodiversity (by Digital Wallonia).
Notre région compte d'innombrables talents dans le domaine de la créativité digitale qui constituent la biodiversité d'un secteur effervescent dont la vivacité s'exprime par le nombre d'événements, d'entreprises, d'initiatives, de réseaux et de lieux qui stimulent l'entrepreneuriat et la créativité.
La créativité digitale désigne l'utilisation des technologies numériques pour créer des entreprises, des œuvres artistiques, des contenus multimédias, des expériences interactives et des solutions innovantes. Codage créatif, création musicale et audiovisuelle, art visuel avec IA générative, conception et développement de jeux vidéo, de sites web, d'applications mobiles, innovation en matière de design graphique, et bien d'autres choses encore.
wake ! est une initiative qui rassemble les acteurs de cet écosystème si particulier : du festival KIKK à Namur à Wallifornia music tech et La Grand Poste au cœur du quartier créatif de Liège, des hubs de jeux vidéo urbains animés par Walga à Quai 10 et Mediafaktory à Charleroi, de Click à Mons au hub XR4Europe à Liège avec son festival Stereopsia à Bruxelles et son parcours culturel XR4Heritage : une liste non exhaustive d'acteurs et de plateformes d'expression pour les créateurs digitaux wallons sur l'ensemble du territoire.
Pour en savoir plus : https://kikk-residency.squarespace.com/en/projects/wake
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Tissé par des passionnés, soutenu par des curieux enthousiastes, le projet de cette bourse est né d’un désir ancien, partagé par les acteurs circassiens de Wallonie-Bruxelles et du Japon, de développer des liens plus étroits autour des pratiques du cirque.
Alors que le UP-FESTIVAL 2024 ouvre ses portes avec 28 spectacles proposés dans 15 lieux et pendant 12 jours à Bruxelles par le foisonnant et infatigable centre UP – Circus & Performing, il paraissait essentiel de revenir sur la genèse d’un tel projet et de partager l’expérience de la première bénéficiaire de cette bourse exploratoire au Japon, Mille Lundt.
Retour au débutCréer un espace d'inspiration
Comme souvent, les projets les plus fous naissent d’envies très simples, pour Michiko Tanaka et Catherine Magis, celles d’étendre un réseau d’artistes au-delà des frontières et d’embrasser plus largement une autre culture.
Michiko Tanaka, formée aux arts du cirque en Europe, a créé le Setouchi Circus Factory, premier lieu de Création et de Résidence dédié au Cirque contemporain au Japon où elle tente de développer ce secteur peu reconnu. Habituée des festivals, curieuse des autres pratiques, elle échange régulièrement avec Catherine Magis, Directrice fondatrice et coordinatrice générale de UP – Circus & Performing Arts, Centre scénique de la Fédération Wallonie-Bruxelles, dédié à la Création, l’Accompagnement & la Diffusion du Cirque contemporain.
Toutes deux partagent cet élan commun de jeter des ponts entre pays, disciplines et artistes. Elles ont également chacune, créé dans leur pays respectif, un espace de formation, de recherche et de spectacles. Une sorte de laboratoire du cirque contemporain.
C’est cet aspect expérimental qu’elles ont envie de partager : Offrir aux artistes un moment consacré à l’exploration de leur discipline par l’immersion et le partage.
La formulation du projet se fait à tâtons. Il ne s’agit pas de donner des master class, de monter un spectacle en deux semaines ou de mettre en scène un projet japonais. Mais bien de créer un espace d’inspiration et de donner des impulsions à l’artiste invité comme à ceux qui participent à cet échange.
Retour au débutUne bourse exploratoire
La rencontre avec Wallonie-Bruxelles International (WBI), par l’intermédiaire de Céline Mariage, alors agente de liaison académique et culturelle pour WBI, va permettre la concrétisation de cet ambitieux projet sous la forme d’une bourse exploratoire annuelle à destination des artistes de la Fédération Wallonie-Bruxelles. A l’issue du premier appel, l’artiste Mille Lundt est sélectionnée parmi quinze candidatures.
D’origine danoise, Mille Lundt est installée à Bruxelles depuis 2003. Artiste multidisciplinaire, elle travaille à la rencontre des arts du cirque, du visuel, de la performance. Elle utilise dans ses créations plusieurs médias comme la photographie et le son. Ses différentes explorations s’expriment également à travers le documentaire. Elle partage son expérience via des projets externes comme directrice artistique ou consultante. Elle anime régulièrement des ateliers dans diverses disciplines.
Ses qualités professionnelles, mais aussi son côté touche à tout, sa capacité à regarder les gens, à partager, son travail sur l’image et le documentaire, ont séduit les professionnels chargés des sélections.
Pendant, quatorze jours Mille a rencontré et travaillé avec des artistes associé.e.s à Setouchi Circus Factory, Setagaya Public Theater et Circus Laboratory, à Setouchi et à Tokyo au Japon. Découvertes, discussions, ateliers, créations, Mille a pu échanger avec de nombreux artistes en groupe ou en duo, explorant des univers très différents. Elle nous fait part de son expérience ici.
UP – Circus & Performing Arts, (anciennement l’Espace Catastrophe, Centre international de Création des Arts du Cirque), est installé sur le site LionCity à Molenbeek-Saint-Jean à Bruxelles. Lieu d’échange autour du cirque contemporain qui s'étend sur 6.700 m² d’espaces ouverts à tous les possibles : Arts urbains, Arts de la Scène, Arts numériques, Multimédia, Magie nouvelle, Théâtre, Danse, cette structure soutient au long terme la formation, la production, l’accompagnement, la rencontre dans les arts du cirque.
Setouchi Circus Factory est le premier lieu de Création et de Résidence dédié au Cirque contemporain au Japon. Initié par Michiko Tanaka, Setouchi Circus Factory encourage la recherche & l’exploration circassienne à la croisée des Arts traditionnels japonais & du Cirque contemporain.
Setagaya Public Theater est un Centre de Création et de Diffusion multidisciplinaire à Tokyo, ouvert depuis quelques années aux disciplines circassiennes.
Circus Laboratory Coucou est un Centre de Création japonais inauguré par Atsumi Sakai pour soutenir des Artistes de Cirque contemporain.
Engagées dans un processus de collaboration pluriannuel, UP – Circus & Performing Arts, Setouchi Circus Factory, Setagaya Public Theater et Circus Laboratory, souhaitent intensifier les échanges artistiques entre Wallonie-Bruxelles et le Japon. A la suite du séjour de Mille Lundt, les artistes japonais Takehiro Nagaoka & Kai Taniguchi ont résidé à Bruxelles au centre UP.
Ces dialogues formateurs, réfléxifs et nourrissants ouvrent la voix à de nombreuses et nouvelles possibilités d'échanges à long terme entre pays, cultures et pratiques.
Plus d'informations sur la Bourse exploratoire au Japon.
Retour au débutTissé par des passionnés, soutenu par des curieux enthousiastes, le projet de cette bourse est né d’un désir ancien, partagé par les acteurs circassiens de Wallonie-Bruxelles et du Japon, de développer des liens plus étroits autour des pratiques du cirque.
Alors que le UP-FESTIVAL 2024 ouvre ses portes avec 28 spectacles proposés dans 15 lieux et pendant 12 jours à Bruxelles par le foisonnant et infatigable centre UP – Circus & Performing, il paraissait essentiel de revenir sur la genèse d’un tel projet et de partager l’expérience de la première bénéficiaire de cette bourse exploratoire au Japon, Mille Lundt.
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Comme souvent, les projets les plus fous naissent d’envies très simples, pour Michiko Tanaka et Catherine Magis, celles d’étendre un réseau d’artistes au-delà des frontières et d’embrasser plus largement une autre culture.
Michiko Tanaka, formée aux arts du cirque en Europe, a créé le Setouchi Circus Factory, premier lieu de Création et de Résidence dédié au Cirque contemporain au Japon où elle tente de développer ce secteur peu reconnu. Habituée des festivals, curieuse des autres pratiques, elle échange régulièrement avec Catherine Magis, Directrice fondatrice et coordinatrice générale de UP – Circus & Performing Arts, Centre scénique de la Fédération Wallonie-Bruxelles, dédié à la Création, l’Accompagnement & la Diffusion du Cirque contemporain.
Toutes deux partagent cet élan commun de jeter des ponts entre pays, disciplines et artistes. Elles ont également chacune, créé dans leur pays respectif, un espace de formation, de recherche et de spectacles. Une sorte de laboratoire du cirque contemporain.
C’est cet aspect expérimental qu’elles ont envie de partager : Offrir aux artistes un moment consacré à l’exploration de leur discipline par l’immersion et le partage.
La formulation du projet se fait à tâtons. Il ne s’agit pas de donner des master class, de monter un spectacle en deux semaines ou de mettre en scène un projet japonais. Mais bien de créer un espace d’inspiration et de donner des impulsions à l’artiste invité comme à ceux qui participent à cet échange.
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La rencontre avec Wallonie-Bruxelles International (WBI), par l’intermédiaire de Céline Mariage, alors agente de liaison académique et culturelle pour WBI, va permettre la concrétisation de cet ambitieux projet sous la forme d’une bourse exploratoire annuelle à destination des artistes de la Fédération Wallonie-Bruxelles. A l’issue du premier appel, l’artiste Mille Lundt est sélectionnée parmi quinze candidatures.
D’origine danoise, Mille Lundt est installée à Bruxelles depuis 2003. Artiste multidisciplinaire, elle travaille à la rencontre des arts du cirque, du visuel, de la performance. Elle utilise dans ses créations plusieurs médias comme la photographie et le son. Ses différentes explorations s’expriment également à travers le documentaire. Elle partage son expérience via des projets externes comme directrice artistique ou consultante. Elle anime régulièrement des ateliers dans diverses disciplines.
Ses qualités professionnelles, mais aussi son côté touche à tout, sa capacité à regarder les gens, à partager, son travail sur l’image et le documentaire, ont séduit les professionnels chargés des sélections.
Pendant, quatorze jours Mille a rencontré et travaillé avec des artistes associé.e.s à Setouchi Circus Factory, Setagaya Public Theater et Circus Laboratory, à Setouchi et à Tokyo au Japon. Découvertes, discussions, ateliers, créations, Mille a pu échanger avec de nombreux artistes en groupe ou en duo, explorant des univers très différents. Elle nous fait part de son expérience ici.
UP – Circus & Performing Arts, (anciennement l’Espace Catastrophe, Centre international de Création des Arts du Cirque), est installé sur le site LionCity à Molenbeek-Saint-Jean à Bruxelles. Lieu d’échange autour du cirque contemporain qui s'étend sur 6.700 m² d’espaces ouverts à tous les possibles : Arts urbains, Arts de la Scène, Arts numériques, Multimédia, Magie nouvelle, Théâtre, Danse, cette structure soutient au long terme la formation, la production, l’accompagnement, la rencontre dans les arts du cirque.
Setouchi Circus Factory est le premier lieu de Création et de Résidence dédié au Cirque contemporain au Japon. Initié par Michiko Tanaka, Setouchi Circus Factory encourage la recherche & l’exploration circassienne à la croisée des Arts traditionnels japonais & du Cirque contemporain.
Setagaya Public Theater est un Centre de Création et de Diffusion multidisciplinaire à Tokyo, ouvert depuis quelques années aux disciplines circassiennes.
Circus Laboratory Coucou est un Centre de Création japonais inauguré par Atsumi Sakai pour soutenir des Artistes de Cirque contemporain.
Engagées dans un processus de collaboration pluriannuel, UP – Circus & Performing Arts, Setouchi Circus Factory, Setagaya Public Theater et Circus Laboratory, souhaitent intensifier les échanges artistiques entre Wallonie-Bruxelles et le Japon. A la suite du séjour de Mille Lundt, les artistes japonais Takehiro Nagaoka & Kai Taniguchi ont résidé à Bruxelles au centre UP.
Ces dialogues formateurs, réfléxifs et nourrissants ouvrent la voix à de nombreuses et nouvelles possibilités d'échanges à long terme entre pays, cultures et pratiques.
Plus d'informations sur la Bourse exploratoire au Japon.
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