Aller au contenu principal

20/03/2024

Tissé par des passionnés, soutenu par des curieux enthousiastes, le projet de cette bourse est né d’un désir ancien, partagé par les acteurs circassiens de Wallonie-Bruxelles et du Japon, de développer des liens plus étroits autour des pratiques du cirque.

 

Alors que le UP-FESTIVAL 2024 ouvre ses portes avec 28 spectacles proposés dans 15 lieux et pendant 12 jours à Bruxelles par le foisonnant et infatigable centre UP – Circus & Performing, il paraissait essentiel de revenir sur la genèse d’un tel projet et de partager l’expérience de la première bénéficiaire de cette bourse exploratoire au Japon, Mille Lundt.

Retour au début

Créer un espace d'inspiration

Comme souvent, les projets les plus fous naissent d’envies très simples, pour Michiko Tanaka et Catherine Magis, celles d’étendre un réseau d’artistes au-delà des frontières et d’embrasser plus largement une autre culture.

 

Michiko Tanaka, formée aux arts du cirque en Europe, a créé le Setouchi Circus Factory, premier lieu de Création et de Résidence dédié au Cirque contemporain au Japon où elle tente de développer ce secteur peu reconnu. Habituée des festivals, curieuse des autres pratiques, elle échange régulièrement avec Catherine Magis, Directrice fondatrice et coordinatrice générale de UP – Circus & Performing Arts, Centre scénique de la Fédération Wallonie-Bruxelles, dédié à la Création, l’Accompagnement & la Diffusion du Cirque contemporain.

 

Toutes deux partagent cet élan commun de jeter des ponts entre pays, disciplines et artistes. Elles ont également chacune, créé dans leur pays respectif, un espace de formation, de recherche et de spectacles. Une sorte de laboratoire du cirque contemporain.

 

C’est cet aspect expérimental qu’elles ont envie de partager : Offrir aux artistes un moment consacré à l’exploration de leur discipline par l’immersion et le partage.

 

La formulation du projet se fait à tâtons. Il ne s’agit pas de donner des master class, de monter un spectacle en deux semaines ou de mettre en scène un projet japonais. Mais bien de créer un espace d’inspiration et de donner des impulsions à l’artiste invité comme à ceux qui participent à cet échange.

Retour au début

Une bourse exploratoire

La rencontre avec Wallonie-Bruxelles International (WBI), par l’intermédiaire de Céline Mariage, alors agente de liaison académique et culturelle pour WBI, va permettre la concrétisation de cet ambitieux projet sous la forme d’une bourse exploratoire annuelle à destination des artistes de la Fédération Wallonie-Bruxelles. A l’issue du premier appel, l’artiste Mille Lundt est sélectionnée parmi quinze candidatures.

 

D’origine danoise, Mille Lundt est installée à Bruxelles depuis 2003. Artiste multidisciplinaire, elle travaille à la rencontre des arts du cirque, du visuel, de la performance. Elle utilise dans ses créations plusieurs médias comme la photographie et le son. Ses différentes explorations s’expriment également à travers le documentaire. Elle partage son expérience via des projets externes comme directrice artistique ou consultante. Elle anime régulièrement des ateliers dans diverses disciplines.

 

Ses qualités professionnelles, mais aussi son côté touche à tout, sa capacité à regarder les gens, à partager, son travail sur l’image et le documentaire, ont séduit les professionnels chargés des sélections.

 

Pendant, quatorze jours Mille a rencontré et travaillé avec des artistes associé.e.s à Setouchi Circus Factory, Setagaya Public Theater et Circus Laboratory, à Setouchi et à Tokyo au Japon. Découvertes, discussions, ateliers, créations, Mille a pu échanger avec de nombreux artistes en groupe ou en duo, explorant des univers très différents. Elle nous fait part de son expérience ici.

 

 

UP – Circus & Performing Arts, (anciennement l’Espace Catastrophe, Centre international de Création des Arts du Cirque), est installé sur le site LionCity à Molenbeek-Saint-Jean à Bruxelles. Lieu d’échange autour du cirque contemporain qui s'étend sur 6.700 m² d’espaces ouverts à tous les possibles : Arts urbains, Arts de la Scène, Arts numériques, Multimédia, Magie nouvelle, Théâtre, Danse, cette structure soutient au long terme la formation, la production, l’accompagnement, la rencontre dans les arts du cirque.

 

Setouchi Circus Factory est le premier lieu de Création et de Résidence dédié au Cirque contemporain au Japon. Initié par Michiko Tanaka, Setouchi Circus Factory encourage la recherche & l’exploration circassienne à la croisée des Arts traditionnels japonais & du Cirque contemporain.

 

Setagaya Public Theater est un Centre de Création et de Diffusion multidisciplinaire à Tokyo, ouvert depuis quelques années aux disciplines circassiennes.

 

Circus Laboratory Coucou est un Centre de Création japonais inauguré par Atsumi Sakai pour soutenir des Artistes de Cirque contemporain.

 

Engagées dans un processus de collaboration pluriannuel, UP – Circus & Performing Arts, Setouchi Circus Factory, Setagaya Public Theater et Circus Laboratory, souhaitent intensifier les échanges artistiques entre Wallonie-Bruxelles et le Japon. A la suite du séjour de Mille Lundt, les artistes japonais Takehiro Nagaoka & Kai Taniguchi ont résidé à Bruxelles au centre UP.

 

Ces dialogues formateurs, réfléxifs et nourrissants ouvrent la voix à de nombreuses et nouvelles possibilités d'échanges à long terme entre pays, cultures et pratiques.

 

Plus d'informations sur la Bourse exploratoire au Japon.

Retour au début

Tissé par des passionnés, soutenu par des curieux enthousiastes, le projet de cette bourse est né d’un désir ancien, partagé par les acteurs circassiens de Wallonie-Bruxelles et du Japon, de développer des liens plus étroits autour des pratiques du cirque.

 

Alors que le UP-FESTIVAL 2024 ouvre ses portes avec 28 spectacles proposés dans 15 lieux et pendant 12 jours à Bruxelles par le foisonnant et infatigable centre UP – Circus & Performing, il paraissait essentiel de revenir sur la genèse d’un tel projet et de partager l’expérience de la première bénéficiaire de cette bourse exploratoire au Japon, Mille Lundt.

Retour au début

Créer un espace d'inspiration

Comme souvent, les projets les plus fous naissent d’envies très simples, pour Michiko Tanaka et Catherine Magis, celles d’étendre un réseau d’artistes au-delà des frontières et d’embrasser plus largement une autre culture.

 

Michiko Tanaka, formée aux arts du cirque en Europe, a créé le Setouchi Circus Factory, premier lieu de Création et de Résidence dédié au Cirque contemporain au Japon où elle tente de développer ce secteur peu reconnu. Habituée des festivals, curieuse des autres pratiques, elle échange régulièrement avec Catherine Magis, Directrice fondatrice et coordinatrice générale de UP – Circus & Performing Arts, Centre scénique de la Fédération Wallonie-Bruxelles, dédié à la Création, l’Accompagnement & la Diffusion du Cirque contemporain.

 

Toutes deux partagent cet élan commun de jeter des ponts entre pays, disciplines et artistes. Elles ont également chacune, créé dans leur pays respectif, un espace de formation, de recherche et de spectacles. Une sorte de laboratoire du cirque contemporain.

 

C’est cet aspect expérimental qu’elles ont envie de partager : Offrir aux artistes un moment consacré à l’exploration de leur discipline par l’immersion et le partage.

 

La formulation du projet se fait à tâtons. Il ne s’agit pas de donner des master class, de monter un spectacle en deux semaines ou de mettre en scène un projet japonais. Mais bien de créer un espace d’inspiration et de donner des impulsions à l’artiste invité comme à ceux qui participent à cet échange.

Retour au début

Une bourse exploratoire

La rencontre avec Wallonie-Bruxelles International (WBI), par l’intermédiaire de Céline Mariage, alors agente de liaison académique et culturelle pour WBI, va permettre la concrétisation de cet ambitieux projet sous la forme d’une bourse exploratoire annuelle à destination des artistes de la Fédération Wallonie-Bruxelles. A l’issue du premier appel, l’artiste Mille Lundt est sélectionnée parmi quinze candidatures.

 

D’origine danoise, Mille Lundt est installée à Bruxelles depuis 2003. Artiste multidisciplinaire, elle travaille à la rencontre des arts du cirque, du visuel, de la performance. Elle utilise dans ses créations plusieurs médias comme la photographie et le son. Ses différentes explorations s’expriment également à travers le documentaire. Elle partage son expérience via des projets externes comme directrice artistique ou consultante. Elle anime régulièrement des ateliers dans diverses disciplines.

 

Ses qualités professionnelles, mais aussi son côté touche à tout, sa capacité à regarder les gens, à partager, son travail sur l’image et le documentaire, ont séduit les professionnels chargés des sélections.

 

Pendant, quatorze jours Mille a rencontré et travaillé avec des artistes associé.e.s à Setouchi Circus Factory, Setagaya Public Theater et Circus Laboratory, à Setouchi et à Tokyo au Japon. Découvertes, discussions, ateliers, créations, Mille a pu échanger avec de nombreux artistes en groupe ou en duo, explorant des univers très différents. Elle nous fait part de son expérience ici.

 

 

UP – Circus & Performing Arts, (anciennement l’Espace Catastrophe, Centre international de Création des Arts du Cirque), est installé sur le site LionCity à Molenbeek-Saint-Jean à Bruxelles. Lieu d’échange autour du cirque contemporain qui s'étend sur 6.700 m² d’espaces ouverts à tous les possibles : Arts urbains, Arts de la Scène, Arts numériques, Multimédia, Magie nouvelle, Théâtre, Danse, cette structure soutient au long terme la formation, la production, l’accompagnement, la rencontre dans les arts du cirque.

 

Setouchi Circus Factory est le premier lieu de Création et de Résidence dédié au Cirque contemporain au Japon. Initié par Michiko Tanaka, Setouchi Circus Factory encourage la recherche & l’exploration circassienne à la croisée des Arts traditionnels japonais & du Cirque contemporain.

 

Setagaya Public Theater est un Centre de Création et de Diffusion multidisciplinaire à Tokyo, ouvert depuis quelques années aux disciplines circassiennes.

 

Circus Laboratory Coucou est un Centre de Création japonais inauguré par Atsumi Sakai pour soutenir des Artistes de Cirque contemporain.

 

Engagées dans un processus de collaboration pluriannuel, UP – Circus & Performing Arts, Setouchi Circus Factory, Setagaya Public Theater et Circus Laboratory, souhaitent intensifier les échanges artistiques entre Wallonie-Bruxelles et le Japon. A la suite du séjour de Mille Lundt, les artistes japonais Takehiro Nagaoka & Kai Taniguchi ont résidé à Bruxelles au centre UP.

 

Ces dialogues formateurs, réfléxifs et nourrissants ouvrent la voix à de nombreuses et nouvelles possibilités d'échanges à long terme entre pays, cultures et pratiques.

 

Plus d'informations sur la Bourse exploratoire au Japon.

Retour au début

Bouton - en savoir plus

20/03/2024
© European Union / Fred Guerdin

Dans la perspective des élections européennes et à la veille d’une réunion du Conseil européen, 3500 dirigeants locaux et régionaux de toute l’Europe se sont réunis à Mons en vue de façonner le programme de l’avenir de l’Europe, réaffirmant leur capacité à relever les défis au niveau local.

 

Lors du 10e sommet européen des régions et des villes, qui s’est tenu à Mons et qui a marqué le 30e anniversaire du Comité européen des régions (CdR), les dirigeants locaux et régionaux ont présenté une Déclaration au Premier Ministre Alexander De Croo représentant l’actuelle Présidence du Conseil de l’Union européenne. La « Déclaration de Mons » expose leurs priorités pour une Europe plus forte, plus juste et plus résiliente à l’avenir.

 

Les principales exigences de la Déclaration de Mons sont les suivantes :

  • La stimulation de l’investissement public : des ressources budgétaires renforcées sont nécessaires pour relever les défis actuels et futurs. Les investissements devraient être guidés par le principe consistant à «ne pas nuire à la cohésion » et par la reconnaissance continue de la politique de cohésion comme l’instrument de l’UE le plus important et le plus visible pour réduire les disparités, accroître la compétitivité de l’Union et catalyser une transformation innovante à long terme
  • Des solutions locales pour atteindre les objectifs climatiques : les collectivités locales et régionales devraient avoir un accès direct aux financements de l’UE pour mettre au point des solutions innovantes qui contribuent à la réalisation des objectifs du pacte vert, à la neutralité climatique et à la promotion du développement durable et de la prospérité économique
  • Des réponses aux besoins régionaux : toutes les politiques de l’Union devraient promouvoir l’égalité des chances, lutter contre la pauvreté, préserver l’emploi et garantir l’égalité entre les femmes et les hommes dans l’ensemble des régions, en reconnaissant la diversité de leurs caractéristiques, y compris les régions rurales, urbaines et ultrapériphériques
  • L’élargissement et les réformes de l’UE : les dirigeants régionaux et locaux devraient être associés à la préparation des réformes de l’Union et au processus d’élargissement. La préparation de l’élargissement avec tous les pays candidats devrait s’appuyer sur le principe de partenariat et promouvoir la gouvernance à plusieurs niveaux et la décentralisation
  • La subsidiarité active : le Comité européen des régions devrait jouer un rôle plus important dans la structure institutionnelle de l’UE et dans le processus législatif. Il importe de renforcer le niveau local et régional de la démocratie européenne dans les futures réformes de l’Union par des réformes actives de la subsidiarité

 

Avant l’adoption de la Déclaration de Mons, les dirigeants des groupes politiques du Parlement européen et plusieurs de leurs candidats têtes de liste se sont adressés aux responsables politiques locaux et régionaux lors d’une séance consacrée aux élections européennes. Promouvoir l’engagement démocratique et contribuer à un débat public ouvert sur les défis auxquels l’UE est confrontée et les perspectives qui s’ouvrent à elle représentent les principaux objectifs du CdR pour inciter les citoyens européens à voter.

 

La Déclaration publiée au terme du sommet par les dirigeants locaux et régionaux constituera la position défendue par les régions et les villes auprès des dirigeants des institutions européennes et des chefs d’État et de gouvernement, qui se réuniront à Bruxelles les 21 et 22 mars, ainsi que dans la perspective des élections européennes.

 

Elio Di Rupo, Ministre-président de Wallonie, a souligné : "Nous avons besoin d'une Europe capable de rassembler toutes ses forces et de se mobiliser pour relever les défis actuels ! Et dans ce contexte, les régions, les villes et les autorités locales ont un rôle essentiel à jouer. A travers cette "Déclaration de Mons", nous affirmons notre ambition pour l'avenir de l'Europe : poursuivre la convergence économique et sociale entre les différentes régions d'Europe. C'est le principe même de la cohésion".

 

Vasco Alves Cordeiro, Président du Comité européen des régions, a affirmé : "Plus de 3 500 représentants locaux et régionaux se sont réunis à Mons pour exprimer leur engagement en faveur d'un avenir plus fort, plus équitable et plus résilient pour l'Europe. Les régions et les villes ne sont pas de simples exécutants des politiques de l'UE, nous sommes des acteurs à part entière du projet européen ayant le pouvoir de produire des résultats concrets pour les citoyens. Avec la Déclaration de Mons, nous appelons à un renforcement du rôle du Comité européen des régions dans l'élaboration de l'avenir de l'Europe".


Alexander De Croo, Premier Ministre de la Belgique, a déclaré : "Cette semaine, 27 dirigeants de l'UE échangeront sur la manière d'atteindre une Europe plus forte et plus juste à l'avenir. La Déclaration de Mons offre un signal fort pour un avenir où les régions et les villes font battre le cœur de l'Europe. Si nous sommes aujourd'hui unis dans la diversité, c'est grâce au travail de nos régions et de nos villes, à leur capacité à gérer cette diversité. Qu'il s'agisse du changement climatique ou de la transition numérique, les régions et les municipalités sont celles qui apportent des réponses aux besoins des citoyens et s'attaquent aux fractures. En ce moment, elles sont également décisives pour faire face au populisme et à l'idée que la politique est loin des citoyens, car elles peuvent accroître la transparence des décisions politiques et la proximité".

 

En savoir plus :
Déclaration de Mons
Site web du sommet
Protocole d’accord entre le CdR et le Parlement européen sur les élections européennes

Dans la perspective des élections européennes et à la veille d’une réunion du Conseil européen, 3500 dirigeants locaux et régionaux de toute l’Europe se sont réunis à Mons en vue de façonner le programme de l’avenir de l’Europe, réaffirmant leur capacité à relever les défis au niveau local.

 

Lors du 10e sommet européen des régions et des villes, qui s’est tenu à Mons et qui a marqué le 30e anniversaire du Comité européen des régions (CdR), les dirigeants locaux et régionaux ont présenté une Déclaration au Premier Ministre Alexander De Croo représentant l’actuelle Présidence du Conseil de l’Union européenne. La « Déclaration de Mons » expose leurs priorités pour une Europe plus forte, plus juste et plus résiliente à l’avenir.

 

Les principales exigences de la Déclaration de Mons sont les suivantes :

  • La stimulation de l’investissement public : des ressources budgétaires renforcées sont nécessaires pour relever les défis actuels et futurs. Les investissements devraient être guidés par le principe consistant à «ne pas nuire à la cohésion » et par la reconnaissance continue de la politique de cohésion comme l’instrument de l’UE le plus important et le plus visible pour réduire les disparités, accroître la compétitivité de l’Union et catalyser une transformation innovante à long terme
  • Des solutions locales pour atteindre les objectifs climatiques : les collectivités locales et régionales devraient avoir un accès direct aux financements de l’UE pour mettre au point des solutions innovantes qui contribuent à la réalisation des objectifs du pacte vert, à la neutralité climatique et à la promotion du développement durable et de la prospérité économique
  • Des réponses aux besoins régionaux : toutes les politiques de l’Union devraient promouvoir l’égalité des chances, lutter contre la pauvreté, préserver l’emploi et garantir l’égalité entre les femmes et les hommes dans l’ensemble des régions, en reconnaissant la diversité de leurs caractéristiques, y compris les régions rurales, urbaines et ultrapériphériques
  • L’élargissement et les réformes de l’UE : les dirigeants régionaux et locaux devraient être associés à la préparation des réformes de l’Union et au processus d’élargissement. La préparation de l’élargissement avec tous les pays candidats devrait s’appuyer sur le principe de partenariat et promouvoir la gouvernance à plusieurs niveaux et la décentralisation
  • La subsidiarité active : le Comité européen des régions devrait jouer un rôle plus important dans la structure institutionnelle de l’UE et dans le processus législatif. Il importe de renforcer le niveau local et régional de la démocratie européenne dans les futures réformes de l’Union par des réformes actives de la subsidiarité

 

Avant l’adoption de la Déclaration de Mons, les dirigeants des groupes politiques du Parlement européen et plusieurs de leurs candidats têtes de liste se sont adressés aux responsables politiques locaux et régionaux lors d’une séance consacrée aux élections européennes. Promouvoir l’engagement démocratique et contribuer à un débat public ouvert sur les défis auxquels l’UE est confrontée et les perspectives qui s’ouvrent à elle représentent les principaux objectifs du CdR pour inciter les citoyens européens à voter.

 

La Déclaration publiée au terme du sommet par les dirigeants locaux et régionaux constituera la position défendue par les régions et les villes auprès des dirigeants des institutions européennes et des chefs d’État et de gouvernement, qui se réuniront à Bruxelles les 21 et 22 mars, ainsi que dans la perspective des élections européennes.

 

Elio Di Rupo, Ministre-président de Wallonie, a souligné : "Nous avons besoin d'une Europe capable de rassembler toutes ses forces et de se mobiliser pour relever les défis actuels ! Et dans ce contexte, les régions, les villes et les autorités locales ont un rôle essentiel à jouer. A travers cette "Déclaration de Mons", nous affirmons notre ambition pour l'avenir de l'Europe : poursuivre la convergence économique et sociale entre les différentes régions d'Europe. C'est le principe même de la cohésion".

 

Vasco Alves Cordeiro, Président du Comité européen des régions, a affirmé : "Plus de 3 500 représentants locaux et régionaux se sont réunis à Mons pour exprimer leur engagement en faveur d'un avenir plus fort, plus équitable et plus résilient pour l'Europe. Les régions et les villes ne sont pas de simples exécutants des politiques de l'UE, nous sommes des acteurs à part entière du projet européen ayant le pouvoir de produire des résultats concrets pour les citoyens. Avec la Déclaration de Mons, nous appelons à un renforcement du rôle du Comité européen des régions dans l'élaboration de l'avenir de l'Europe".


Alexander De Croo, Premier Ministre de la Belgique, a déclaré : "Cette semaine, 27 dirigeants de l'UE échangeront sur la manière d'atteindre une Europe plus forte et plus juste à l'avenir. La Déclaration de Mons offre un signal fort pour un avenir où les régions et les villes font battre le cœur de l'Europe. Si nous sommes aujourd'hui unis dans la diversité, c'est grâce au travail de nos régions et de nos villes, à leur capacité à gérer cette diversité. Qu'il s'agisse du changement climatique ou de la transition numérique, les régions et les municipalités sont celles qui apportent des réponses aux besoins des citoyens et s'attaquent aux fractures. En ce moment, elles sont également décisives pour faire face au populisme et à l'idée que la politique est loin des citoyens, car elles peuvent accroître la transparence des décisions politiques et la proximité".

 

En savoir plus :
Déclaration de Mons
Site web du sommet
Protocole d’accord entre le CdR et le Parlement européen sur les élections européennes

Bouton - en savoir plus

19/03/2024
Retour au début

DERNIER FILM DE YOLANDE MOREAU À HANOI ET À HO CHI MINH-VILLE À L’OCCASION DU 14ème FESTIVAL DU FILM FRANCOPHONE AU VIETNAM

 

 

La fiancée du poète de Yolande Moreau (2023, 103’) ouvrira la 14ème édition de ce Festival dans les deux grandes villes. Le film a obtenu des prix lors des Festivals internationaux.

Au total, six longs-métrages de fiction de différents pays francophones sont à l’affiche cette année.

 

LA FIANCÉE DU POÈTE

  • Entrée libre        
  • T16
  • Version originale en français, sous-titrée en anglais et en vietnamien
  • 22/03/2024, 19h30 
  • HANOI: Studio national du Film documentaire et scientifique, 465 Hoang Hoa Tham
  • HO CHI MINH-VILLE: DCiné Ben Thanh, 6 Mac Dinh Chi, Quan 1

 

Retour au début

SYNOPSIS

Amoureuse de peinture et de poésie, Mireille s'accommode de son travail de serveuse à la cafétéria des Beaux-Arts de Charleville tout en vivant de petits larcins et de trafic de cartouches de cigarettes. N'ayant pas les moyens d'entretenir la grande maison familiale des bords de Meuse dont elle hérite, Mireille décide de prendre trois locataires. Trois hommes qui vont bouleverser sa routine et la préparer, sans le savoir, au retour du quatrième: son grand amour de jeunesse, le poète.

 

Retour au début

RÉCOMPENSES

Festival du Film francophone d'Angoulême 2023: Prix du Meilleur Scénario

Festival International du Film francophone de Namur 2023: Prix du Public

Festival International du Film Grolandais de Toulouse: Amphore d’Or et Amphore du Peuple

 

Retour au début

Pour plus d’informations:

Le Tuyet Nhung - Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam

Centre DAEHA (5ème étage – # 505)/ 360 Kim Ma, Ba Dinh, Hanoi

Tél : (024) 3 831.52.41 / GSM : 09 04 20 79 89 - Courriel : nhungwb@walbruvietnam.org

Retour au début
Retour au début

DERNIER FILM DE YOLANDE MOREAU À HANOI ET À HO CHI MINH-VILLE À L’OCCASION DU 14ème FESTIVAL DU FILM FRANCOPHONE AU VIETNAM

 

 

La fiancée du poète de Yolande Moreau (2023, 103’) ouvrira la 14ème édition de ce Festival dans les deux grandes villes. Le film a obtenu des prix lors des Festivals internationaux.

Au total, six longs-métrages de fiction de différents pays francophones sont à l’affiche cette année.

 

LA FIANCÉE DU POÈTE

  • Entrée libre        
  • T16
  • Version originale en français, sous-titrée en anglais et en vietnamien
  • 22/03/2024, 19h30 
  • HANOI: Studio national du Film documentaire et scientifique, 465 Hoang Hoa Tham
  • HO CHI MINH-VILLE: DCiné Ben Thanh, 6 Mac Dinh Chi, Quan 1

 

Retour au début

SYNOPSIS

Amoureuse de peinture et de poésie, Mireille s'accommode de son travail de serveuse à la cafétéria des Beaux-Arts de Charleville tout en vivant de petits larcins et de trafic de cartouches de cigarettes. N'ayant pas les moyens d'entretenir la grande maison familiale des bords de Meuse dont elle hérite, Mireille décide de prendre trois locataires. Trois hommes qui vont bouleverser sa routine et la préparer, sans le savoir, au retour du quatrième: son grand amour de jeunesse, le poète.

 

Retour au début

RÉCOMPENSES

Festival du Film francophone d'Angoulême 2023: Prix du Meilleur Scénario

Festival International du Film francophone de Namur 2023: Prix du Public

Festival International du Film Grolandais de Toulouse: Amphore d’Or et Amphore du Peuple

 

Retour au début

Pour plus d’informations:

Le Tuyet Nhung - Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam

Centre DAEHA (5ème étage – # 505)/ 360 Kim Ma, Ba Dinh, Hanoi

Tél : (024) 3 831.52.41 / GSM : 09 04 20 79 89 - Courriel : nhungwb@walbruvietnam.org

Retour au début

Bouton - en savoir plus

18/03/2024
© European Union / Nicolas Lobet PRYZM

Le 10e sommet européen des régions et des villes, organisé conjointement par le Comité européen des régions et la Wallonie et réunissant un grand nombre de représentants régionaux et locaux, a été lancé le 18 mars à Mons. Les séances de cette première journée ont essentiellement porté sur les investissements de l’UE en faveur d’une transition juste, la crise climatique et une croissance inclusive.

 

Vasco Alves Cordeiro, Président du Comité européen des régions (CdR), Elio Di Rupo, Ministre-Président de Wallonie ainsi que plus de 3500 Maires, Conseillers, Ministres régionaux, représentants du Parlement européen, de la Commission européenne, des Gouvernements nationaux et de la société civile, ont débattu, avec des représentants mondiaux, européens et nationaux de premier plan, du rôle des collectivités régionales et locales et des questions transversales auxquelles sont confrontées les organisations locales du monde entier.

 

Ont notamment contribué au débat Roberta Metsola, Présidente du Parlement européen, António Guterres, Secrétaire général de l’Organisation des Nations unies, Fatimetou Abdel Malick, Présidente du conseil régional de Nouakchott et Présidente de la section «Afrique» de l’Organisation mondiale des cités et gouvernements locaux unis, Sérgio Aguiar, Président de l’Union nationale des législateurs d’État (Brésil), Brian Patrick Kennedy, Président de la Conférence nationale des législatures d’État (États-Unis), Rudi Vervoort, Ministre-Président de la Région de Bruxelles-Capitale et Tetiana Yehorova-Lutsenko, Présidente du conseil régional de Kharkiv (Ukraine).

 

À onze semaines des élections européennes et quelques jours avant un Conseil européen crucial, ce sommet est l’occasion idéale pour les régions et les villes de présenter leur vision de l’avenir de l’Europe. Les principales priorités examinées aujourd’hui et visant à bâtir une Europe plus forte, plus juste et plus résiliente seront inscrites dans une déclaration qui sera remise mardi 19 marsà Alexander De Croo, Premier Ministre de la Belgique et représentant la présidence belge du Conseil de l’UE.

 

Le 10ème Sommet européen des régions et des villes marque le 30ème anniversaire du Comité européen des régions, l'assemblée politique des représentants locaux et régionaux au sein des institutions européennes. Plus de 3500 représentants locaux et régionaux de 59 pays et des 5 continents se réunissent pour discuter de la réponse infranationale aux défis mondiaux et pour appeler les dirigeants européens à s'assurer que toutes les politiques de l'UE soient ancrées au niveau local et régional, renforçant ainsi la légitimité démocratique et l'efficacité de l'UE.

 

Elio Di Rupo, Ministre-Président de Wallonie et membre du Comité européen des régions, a déclaré : « L’Europe fait aujourd’hui face à de grands bouleversements et de grandes menaces. Aucun Etat, région ou ville, seul, ne peut les relever de manière isolée. Nous sommes appelés à conjuguer toutes nos forces et en tant que pouvoirs locaux et régionaux, nous avons des atouts spécifiques : connaissance très fine du terrain, réactivité et flexibilité, etc. En plus d’être des relais très efficaces des décisions prises à des étages supérieurs, les villes et régions sont de puissants moteurs du changement, de modernisation, des investissements dans l’avenir et la protection des citoyens. Il est donc indispensable de mettre les villes et les régions au cœur du processus de décision européen. »

 

Le Bourgmestre de Mons, Nicolas Martin, a accueilli le Sommet : « Je suis heureux que la Ville de Mons puisse accueillir un évènement de cette ampleur, qui porte notamment sur des thématiques qui me sont chères, celles du développement territorial et économique. En tant qu’élu local, ces rencontres et ces partages d’expériences sont très précieux. »

 

Vasco Alves Cordeiro, Président du Comité européen des régions, a déclaré : « L'Europe n'existe que parce que les villes et les régions la font exister. Ce sommet ne marque pas seulement le 30ème anniversaire du Comité européen des régions, mais c'est aussi le moment où, pour la première fois, des dirigeants locaux et régionaux de tous les continents se réunissent pour discuter des défis mondiaux et proposer une vision pour l'avenir. Plus que jamais, nous montrons que le rôle des régions et des villes est essentiel pour renforcer la démocratie et relever les défis qui affectent la vie des gens dans le monde entier. »

 

Roberta Metsola, Présidente du Parlement européen, a déclaré dans un message vidéo: «Durant la pandémie, nous avons vu à quel point les collectivités locales et régionales sont importantes. Nous l’avons vu lorsque vous avez ouvert vos cœurs et vos foyers aux réfugiés ukrainiens, lorsque vous avez tout mis en œuvre pour fournir des milliers de générateurs électriques en signe d’espoir à l’Ukraine en guerre. Nous le voyons lorsque vous apportez votre soutien aux étudiants Erasmus, aux nouveaux arrivants et aux migrants. Les collectivités locales assurent non seulement le bon fonctionnement de tous les services publics, mais elles donnent également aux gouvernements centraux et aux institutions européennes des conseils sur la manière la plus efficace de protéger nos concitoyens.»

 

Antonio Guterres, Secrétaire général de l’Organisation des Nations unies, a déclaré dans un message vidéo: «Notre monde est confronté à des événements peu réjouissants, des conflits et tensions géopolitiques, à la crise du coût de la vie qui creuse les inégalités en passant par la triple crise planétaire que constituent le changement climatique, la perte de biodiversité et la pollution. Les régions et les villes européennes sont en première ligne pour relever ces défis, et les dirigeants locaux jouent un rôle essentiel pour trouver des solutions à l’échelle mondiale. Nous avons besoin des régions et des villes pour construire des infrastructures résilientes, créer des emplois verts, promouvoir la diversité et nouer des liens sociaux solides au sein des collectivités. Nous avons besoin d’entendre votre voix et de bénéficier de votre participation active concernant des thématiques telles que la paix et la sécurité, la réforme de l’architecture financière mondiale, la gouvernance numérique, et bien d’autres encore.»

 

Le 10e sommet européen des régions et des villes, organisé conjointement par le Comité européen des régions et la Wallonie et réunissant un grand nombre de représentants régionaux et locaux, a été lancé le 18 mars à Mons. Les séances de cette première journée ont essentiellement porté sur les investissements de l’UE en faveur d’une transition juste, la crise climatique et une croissance inclusive.

 

Vasco Alves Cordeiro, Président du Comité européen des régions (CdR), Elio Di Rupo, Ministre-Président de Wallonie ainsi que plus de 3500 Maires, Conseillers, Ministres régionaux, représentants du Parlement européen, de la Commission européenne, des Gouvernements nationaux et de la société civile, ont débattu, avec des représentants mondiaux, européens et nationaux de premier plan, du rôle des collectivités régionales et locales et des questions transversales auxquelles sont confrontées les organisations locales du monde entier.

 

Ont notamment contribué au débat Roberta Metsola, Présidente du Parlement européen, António Guterres, Secrétaire général de l’Organisation des Nations unies, Fatimetou Abdel Malick, Présidente du conseil régional de Nouakchott et Présidente de la section «Afrique» de l’Organisation mondiale des cités et gouvernements locaux unis, Sérgio Aguiar, Président de l’Union nationale des législateurs d’État (Brésil), Brian Patrick Kennedy, Président de la Conférence nationale des législatures d’État (États-Unis), Rudi Vervoort, Ministre-Président de la Région de Bruxelles-Capitale et Tetiana Yehorova-Lutsenko, Présidente du conseil régional de Kharkiv (Ukraine).

 

À onze semaines des élections européennes et quelques jours avant un Conseil européen crucial, ce sommet est l’occasion idéale pour les régions et les villes de présenter leur vision de l’avenir de l’Europe. Les principales priorités examinées aujourd’hui et visant à bâtir une Europe plus forte, plus juste et plus résiliente seront inscrites dans une déclaration qui sera remise mardi 19 marsà Alexander De Croo, Premier Ministre de la Belgique et représentant la présidence belge du Conseil de l’UE.

 

Le 10ème Sommet européen des régions et des villes marque le 30ème anniversaire du Comité européen des régions, l'assemblée politique des représentants locaux et régionaux au sein des institutions européennes. Plus de 3500 représentants locaux et régionaux de 59 pays et des 5 continents se réunissent pour discuter de la réponse infranationale aux défis mondiaux et pour appeler les dirigeants européens à s'assurer que toutes les politiques de l'UE soient ancrées au niveau local et régional, renforçant ainsi la légitimité démocratique et l'efficacité de l'UE.

 

Elio Di Rupo, Ministre-Président de Wallonie et membre du Comité européen des régions, a déclaré : « L’Europe fait aujourd’hui face à de grands bouleversements et de grandes menaces. Aucun Etat, région ou ville, seul, ne peut les relever de manière isolée. Nous sommes appelés à conjuguer toutes nos forces et en tant que pouvoirs locaux et régionaux, nous avons des atouts spécifiques : connaissance très fine du terrain, réactivité et flexibilité, etc. En plus d’être des relais très efficaces des décisions prises à des étages supérieurs, les villes et régions sont de puissants moteurs du changement, de modernisation, des investissements dans l’avenir et la protection des citoyens. Il est donc indispensable de mettre les villes et les régions au cœur du processus de décision européen. »

 

Le Bourgmestre de Mons, Nicolas Martin, a accueilli le Sommet : « Je suis heureux que la Ville de Mons puisse accueillir un évènement de cette ampleur, qui porte notamment sur des thématiques qui me sont chères, celles du développement territorial et économique. En tant qu’élu local, ces rencontres et ces partages d’expériences sont très précieux. »

 

Vasco Alves Cordeiro, Président du Comité européen des régions, a déclaré : « L'Europe n'existe que parce que les villes et les régions la font exister. Ce sommet ne marque pas seulement le 30ème anniversaire du Comité européen des régions, mais c'est aussi le moment où, pour la première fois, des dirigeants locaux et régionaux de tous les continents se réunissent pour discuter des défis mondiaux et proposer une vision pour l'avenir. Plus que jamais, nous montrons que le rôle des régions et des villes est essentiel pour renforcer la démocratie et relever les défis qui affectent la vie des gens dans le monde entier. »

 

Roberta Metsola, Présidente du Parlement européen, a déclaré dans un message vidéo: «Durant la pandémie, nous avons vu à quel point les collectivités locales et régionales sont importantes. Nous l’avons vu lorsque vous avez ouvert vos cœurs et vos foyers aux réfugiés ukrainiens, lorsque vous avez tout mis en œuvre pour fournir des milliers de générateurs électriques en signe d’espoir à l’Ukraine en guerre. Nous le voyons lorsque vous apportez votre soutien aux étudiants Erasmus, aux nouveaux arrivants et aux migrants. Les collectivités locales assurent non seulement le bon fonctionnement de tous les services publics, mais elles donnent également aux gouvernements centraux et aux institutions européennes des conseils sur la manière la plus efficace de protéger nos concitoyens.»

 

Antonio Guterres, Secrétaire général de l’Organisation des Nations unies, a déclaré dans un message vidéo: «Notre monde est confronté à des événements peu réjouissants, des conflits et tensions géopolitiques, à la crise du coût de la vie qui creuse les inégalités en passant par la triple crise planétaire que constituent le changement climatique, la perte de biodiversité et la pollution. Les régions et les villes européennes sont en première ligne pour relever ces défis, et les dirigeants locaux jouent un rôle essentiel pour trouver des solutions à l’échelle mondiale. Nous avons besoin des régions et des villes pour construire des infrastructures résilientes, créer des emplois verts, promouvoir la diversité et nouer des liens sociaux solides au sein des collectivités. Nous avons besoin d’entendre votre voix et de bénéficier de votre participation active concernant des thématiques telles que la paix et la sécurité, la réforme de l’architecture financière mondiale, la gouvernance numérique, et bien d’autres encore.»

 

Bouton - en savoir plus

18/03/2024
détail affiche Ecocide: changer ou disparaître

Dans le cadre de la "Semaine de Films internationaux sur la Nature 2024 au Vietnam", organisée du 21 au 29 mars par Keep Vietnam Clean, la  Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam propose trois projections du documentaire Ecocide: changer ou disparaître! en présence des auteurs du film.

 

D’ici 2050, près d’un quart des espèces animales et végétales auront disparu en raison des activités humaines. Aujourd'hui, l’effondrement de la biodiversité est une urgence planétaire. Elle confronte l'homme à une question fondamentale, celle du droit du vivant. Au fil de rencontres aux quatre coins de la planète, ce film, explorant l’air, l’eau et la terre dévastés retisse des liens oubliés. Il nous rappelle combien chaque forme de vie est essentielle à la survie de toutes. Sous forme d’un procès-fiction sur les crimes d’écocide, il nous confronte aux changements de consciences individuels et collectifs indispensables pour transformer nos sociétés et sauver notre planète.

Programme à Hanoi

En présence de deux auteurs du film: Yvan Jacques Beck  et José Javier Paniagua Garcia

  • Le 21 mars 2024 à 19:30 

Studio national du Film documentaire et scientifique, 465 Hoàng Hoa Thám             

  • Le 25 mars 2024 à 09:30 

Université des Sciences sociales et humaines, 336 Nguyễn Trãi

  • Le 25 mars 2024 à 15:30

British International School, Route Hoa Lan, Vinhomes Riverside, Long Biên

 

Entrée libre

Version originale, sous-titrée en anglais et en vietnamien

 

Pour plus d’informations:

Le Tuyet Nhung - Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam

Centre DAEHA (5ème étage – # 505)/ 360 Kim Ma, Ba Dinh, Hanoi

Tél : (024) 3 831.52.41 / GSM : 09 04 20 79 89 - Courriel : nhungwb@walbruvietnam.org

 

Dans le cadre de la "Semaine de Films internationaux sur la Nature 2024 au Vietnam", organisée du 21 au 29 mars par Keep Vietnam Clean, la  Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam propose trois projections du documentaire Ecocide: changer ou disparaître! en présence des auteurs du film.

 

D’ici 2050, près d’un quart des espèces animales et végétales auront disparu en raison des activités humaines. Aujourd'hui, l’effondrement de la biodiversité est une urgence planétaire. Elle confronte l'homme à une question fondamentale, celle du droit du vivant. Au fil de rencontres aux quatre coins de la planète, ce film, explorant l’air, l’eau et la terre dévastés retisse des liens oubliés. Il nous rappelle combien chaque forme de vie est essentielle à la survie de toutes. Sous forme d’un procès-fiction sur les crimes d’écocide, il nous confronte aux changements de consciences individuels et collectifs indispensables pour transformer nos sociétés et sauver notre planète.

Programme à Hanoi

En présence de deux auteurs du film: Yvan Jacques Beck  et José Javier Paniagua Garcia

  • Le 21 mars 2024 à 19:30 

Studio national du Film documentaire et scientifique, 465 Hoàng Hoa Thám             

  • Le 25 mars 2024 à 09:30 

Université des Sciences sociales et humaines, 336 Nguyễn Trãi

  • Le 25 mars 2024 à 15:30

British International School, Route Hoa Lan, Vinhomes Riverside, Long Biên

 

Entrée libre

Version originale, sous-titrée en anglais et en vietnamien

 

Pour plus d’informations:

Le Tuyet Nhung - Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam

Centre DAEHA (5ème étage – # 505)/ 360 Kim Ma, Ba Dinh, Hanoi

Tél : (024) 3 831.52.41 / GSM : 09 04 20 79 89 - Courriel : nhungwb@walbruvietnam.org

 

Bouton - en savoir plus

14/03/2024

Doowy est un groupe musical francophone basé à Bruxelles, dont le style mêle habilement des influences rétro et modernes. Leur musique est fortement inspirée par la city pop japonaise et la disco des années 70/80, avec des touches contemporaines d'électro pop

Cette combinaison offre une ambiance unique, évoquant la douceur des couchers de soleil à travers des sonorités organiques de batterie et de synthétiseurs analogiques.

06/03/2024
© Belgian Presidency of the Council of the EU 2024 / SPW - A.Coppens

Bien que le logement soit une compétence qui relève des États membres, l’Union européenne peut avoir un rôle à jouer et intervenir sur les questions liées à la matière de différentes façons. Elle peut le faire par l’intermédiaire de la politique de Cohésion économique et sociale, notamment grâce à des fonds pour rénover les bâtiments, ou encore par des mesures qui influencent indirectement la politique du logement, comme des mesures d’actions environnementales, d’aménagement du territoire, de construction durable, etc.

 

Enfin, l’UE peut attirer l’attention de la Commission européenne sur les problématiques liées au logement, et c’est ce qui a été fait durant la conférence ministérielle du 05 mars organisée par la Présidence belge.

 

Retour au début

Un défi à l’échelle de l’Europe

 

L'accessibilité au logement est un défi croissant partout dans l'Union européenne. Si l'on considère les marchés du logement à travers l'UE de 2010 à 2022, les loyers moyens ont augmenté de 19 % et les prix des logements de 47 %. En 2022, près d'une personne sur dix était confrontée à une charge de logement excessive, c'est-à-dire qu'elle vivait dans un ménage où le total des coûts de logement représentait plus de 40 % du revenu disponible total.

 

De plus, comme l’a rappelé le président du Comité économique et social européen (CESE), Oliver Röpke durant la conférence de presse, environ 900 000 personnes sont sans domicile dans l’Union européenne. « L'Europe traverse une crise du logement. Nous devons agir dès maintenant et de manière audacieuse (…) La réponse de l'Europe à cette crise doit être accompagnée d'un financement approprié – à court et à long terme – pour ouvrir la voie vers un logement plus durable, abordable et décent pour tous. »

 

Retour au début

Plus de logements abordables et durables

 

Les logements font partie des premiers émetteurs de pollution, 30% des émissions de gaz à effet de serre proviennent en effet des habitations. Afin de diminuer leur impact sur la planète, de nombreux immeubles doivent être rénovés, ce qui entraîne d’importants coûts publics et privés. Face à ces enjeux financiers colossaux, l’UE doit investir.

 

Durant la réunion, les Ministres ont principalement échangé sur les programmes de rénovation et de construction résiliente, en phase avec le changement climatique, et à propos de la diversification des sources de financement pour la création de logements abordables et sociaux. 

 

À l’issue de ces échanges, les Ministres ont signé la ‘Déclaration de Liège’, qui appelle à un nouveau pacte européen pour le logement abordable et social, ainsi qu’à l’organisation d’un sommet annuel européen dédié. Un des points clefs de cette déclaration est la création d’une plateforme européenne pour soutenir les partenariats visant à mettre fin à l’exclusion en matière logement.

Retour au début

L’accès au logement à l’agenda européen

 

Durant plus de dix ans, il n’y avait plus eu d’événements européens sur la thématique du logement. C’est la France qui, durant sa présidence en 2022, a relancé la dynamique et organisé une conférence à Nice, qui a débouché sur la ‘Déclaration de Nice’ dans laquelle les États membres se sont engagés à faire perdurer les rencontres européennes sur le logement. Les Présidences suivantes ont toutes organisées des événements autour de la matière, et la Déclaration de Liège, signée ce mardi 05 mars 2024, se base sur le travail commencé par la Présidence espagnole à Gijón.

 

Pour le ministre wallon Christophe Collignon, qui a présidé la réunion : « L'accès à un logement abordable et décent est un élément crucial du développement économique et de l'intégration de l'Union européenne. Même dans le cadre d’une compétence nationale qui doit s’exercer au plus près des besoins, l'Union européenne occupe une place essentielle dans la vie de ses citoyens !”

    

Toutes nos actualités en lien avec la Présidence sont à retrouver sur www.wbi.be/eu2024be

 

Retour au début

Bien que le logement soit une compétence qui relève des États membres, l’Union européenne peut avoir un rôle à jouer et intervenir sur les questions liées à la matière de différentes façons. Elle peut le faire par l’intermédiaire de la politique de Cohésion économique et sociale, notamment grâce à des fonds pour rénover les bâtiments, ou encore par des mesures qui influencent indirectement la politique du logement, comme des mesures d’actions environnementales, d’aménagement du territoire, de construction durable, etc.

 

Enfin, l’UE peut attirer l’attention de la Commission européenne sur les problématiques liées au logement, et c’est ce qui a été fait durant la conférence ministérielle du 05 mars organisée par la Présidence belge.

 

Retour au début

Un défi à l’échelle de l’Europe

 

L'accessibilité au logement est un défi croissant partout dans l'Union européenne. Si l'on considère les marchés du logement à travers l'UE de 2010 à 2022, les loyers moyens ont augmenté de 19 % et les prix des logements de 47 %. En 2022, près d'une personne sur dix était confrontée à une charge de logement excessive, c'est-à-dire qu'elle vivait dans un ménage où le total des coûts de logement représentait plus de 40 % du revenu disponible total.

 

De plus, comme l’a rappelé le président du Comité économique et social européen (CESE), Oliver Röpke durant la conférence de presse, environ 900 000 personnes sont sans domicile dans l’Union européenne. « L'Europe traverse une crise du logement. Nous devons agir dès maintenant et de manière audacieuse (…) La réponse de l'Europe à cette crise doit être accompagnée d'un financement approprié – à court et à long terme – pour ouvrir la voie vers un logement plus durable, abordable et décent pour tous. »

 

Retour au début

Plus de logements abordables et durables

 

Les logements font partie des premiers émetteurs de pollution, 30% des émissions de gaz à effet de serre proviennent en effet des habitations. Afin de diminuer leur impact sur la planète, de nombreux immeubles doivent être rénovés, ce qui entraîne d’importants coûts publics et privés. Face à ces enjeux financiers colossaux, l’UE doit investir.

 

Durant la réunion, les Ministres ont principalement échangé sur les programmes de rénovation et de construction résiliente, en phase avec le changement climatique, et à propos de la diversification des sources de financement pour la création de logements abordables et sociaux. 

 

À l’issue de ces échanges, les Ministres ont signé la ‘Déclaration de Liège’, qui appelle à un nouveau pacte européen pour le logement abordable et social, ainsi qu’à l’organisation d’un sommet annuel européen dédié. Un des points clefs de cette déclaration est la création d’une plateforme européenne pour soutenir les partenariats visant à mettre fin à l’exclusion en matière logement.

Retour au début

L’accès au logement à l’agenda européen

 

Durant plus de dix ans, il n’y avait plus eu d’événements européens sur la thématique du logement. C’est la France qui, durant sa présidence en 2022, a relancé la dynamique et organisé une conférence à Nice, qui a débouché sur la ‘Déclaration de Nice’ dans laquelle les États membres se sont engagés à faire perdurer les rencontres européennes sur le logement. Les Présidences suivantes ont toutes organisées des événements autour de la matière, et la Déclaration de Liège, signée ce mardi 05 mars 2024, se base sur le travail commencé par la Présidence espagnole à Gijón.

 

Pour le ministre wallon Christophe Collignon, qui a présidé la réunion : « L'accès à un logement abordable et décent est un élément crucial du développement économique et de l'intégration de l'Union européenne. Même dans le cadre d’une compétence nationale qui doit s’exercer au plus près des besoins, l'Union européenne occupe une place essentielle dans la vie de ses citoyens !”

    

Toutes nos actualités en lien avec la Présidence sont à retrouver sur www.wbi.be/eu2024be

 

Retour au début

Bouton - en savoir plus

01/03/2024
Exposition d'étudiants d'écoles d'art belges au Palais d'Egmont © Belgian Presidency of the Council of the European Union / Julien Nizet

Ces jeudi 29 février et vendredi 1er mars 2024, les Ministres européens en charge de l’enseignement supérieur se sont réunis au Palais d’Egmont, à Bruxelles, afin de se pencher sur un thème porteur d’intégration européenne : la mobilité diplômante des étudiants.

La mobilité étudiante représente l'un des projets les plus fédérateurs pour l'Union européenne et ses citoyens. Le programme Erasmus+, projet le plus visible et connu, offre des opportunités de développement personnel et répond aux besoins évolutifs des étudiants pour accroître leurs compétences.

 

La Présidence belge a souhaité ouvrir le dialogue pour permettre à chaque pays de s'exprimer sur les politiques de soutien à la mobilité étudiante, ainsi que sur les défis qu'ils rencontrent. Durant la réunion informelle, les États membres ont partagé des bonnes pratiques et ont exprimé leur volonté de renforcer les alliances européennes afin d’accroître l'attractivité de l'UE sur la scène internationale.

Retour au début

Objectifs de croissance et d'accessibilité

 

Durant la conférence de presse, la Directrice générale pour l’Education de la Commission européenne, Pia Ahrenkilde Hansen, a souligné l’importance de rendre les mobilités Erasmus+ toujours plus accessibles, inclusives, mais aussi durables. Elle a également souligné le succès du programme, qui permet chaque année à un nombre toujours plus grand de jeunes d’étudier à l’étranger.

 

A l’heure actuelle, environ 15% des étudiants européens font l’expérience d’une mobilité. La Commission souhaite fixer des objectifs ambitieux dans son prochain ‘Paquet sur l’enseignement supérieur’ et porter la mobilité des étudiants à 25% d’ici la fin de la décennie. La Commission va travailler sur sa nouvelle recommandation dans les prochaines semaines, afin qu’elle puisse être discutée lors du Conseil formel qui se déroulera en mai.

Retour au début

Les mobilités, source de créativité

 

Dans une des salles principales de l’historique Palais d’Egmont, une exposition a pris vie durant les deux journées de la réunion informelle. Les Ministres européens ont pu découvrir les œuvres d’étudiants de trois écoles d’art belge : L’Académie Royale des Beaux-Arts, La Cambre et L’ESA le75. Les créations étaient le fruit de leurs expériences en matière de mobilité étudiante et tissaient des liens entre apprentissage, langage, histoire et interculturalité. Les pièces ont été présentées par les étudiants eux-mêmes lors d’une session d’inauguration.

 

Retour au début

Simplification de la reconnaissance des niveaux de diplôme 

Depuis 2015, la Belgique et ses partenaires du Benelux, rejoins par les pays Baltes (Estonie, Lettonie et Lituanie) en 2019, se sont engagés dans un processus de reconnaissance automatique des niveaux de diplôme d’enseignement supérieur. Françoise Bertieaux, Ministre communautaire belge de l’enseignement supérieur, a profité de l’événement pour annoncer que le Traité portant sur cette reconnaissance des niveaux a récemment été ratifié par les Pays-Bas, qui viennent compléter la liste des pays l’ayant entériné dans leur législation nationale.

 

Ce Traité prendra pleinement effet à partir du 1er mai prochain, et permettra à de nombreux étudiants européens de ne pas devoir entamer des démarches administratives pour la reconnaissance du niveau de leur diplôme.

 

Toutes nos actualités en lien avec la Présidence sont à retrouver sur www.wbi.be/eu2024be

Retour au début

Ces jeudi 29 février et vendredi 1er mars 2024, les Ministres européens en charge de l’enseignement supérieur se sont réunis au Palais d’Egmont, à Bruxelles, afin de se pencher sur un thème porteur d’intégration européenne : la mobilité diplômante des étudiants.

La mobilité étudiante représente l'un des projets les plus fédérateurs pour l'Union européenne et ses citoyens. Le programme Erasmus+, projet le plus visible et connu, offre des opportunités de développement personnel et répond aux besoins évolutifs des étudiants pour accroître leurs compétences.

 

La Présidence belge a souhaité ouvrir le dialogue pour permettre à chaque pays de s'exprimer sur les politiques de soutien à la mobilité étudiante, ainsi que sur les défis qu'ils rencontrent. Durant la réunion informelle, les États membres ont partagé des bonnes pratiques et ont exprimé leur volonté de renforcer les alliances européennes afin d’accroître l'attractivité de l'UE sur la scène internationale.

Retour au début

Objectifs de croissance et d'accessibilité

 

Durant la conférence de presse, la Directrice générale pour l’Education de la Commission européenne, Pia Ahrenkilde Hansen, a souligné l’importance de rendre les mobilités Erasmus+ toujours plus accessibles, inclusives, mais aussi durables. Elle a également souligné le succès du programme, qui permet chaque année à un nombre toujours plus grand de jeunes d’étudier à l’étranger.

 

A l’heure actuelle, environ 15% des étudiants européens font l’expérience d’une mobilité. La Commission souhaite fixer des objectifs ambitieux dans son prochain ‘Paquet sur l’enseignement supérieur’ et porter la mobilité des étudiants à 25% d’ici la fin de la décennie. La Commission va travailler sur sa nouvelle recommandation dans les prochaines semaines, afin qu’elle puisse être discutée lors du Conseil formel qui se déroulera en mai.

Retour au début

Les mobilités, source de créativité

 

Dans une des salles principales de l’historique Palais d’Egmont, une exposition a pris vie durant les deux journées de la réunion informelle. Les Ministres européens ont pu découvrir les œuvres d’étudiants de trois écoles d’art belge : L’Académie Royale des Beaux-Arts, La Cambre et L’ESA le75. Les créations étaient le fruit de leurs expériences en matière de mobilité étudiante et tissaient des liens entre apprentissage, langage, histoire et interculturalité. Les pièces ont été présentées par les étudiants eux-mêmes lors d’une session d’inauguration.

 

Retour au début

Simplification de la reconnaissance des niveaux de diplôme 

Depuis 2015, la Belgique et ses partenaires du Benelux, rejoins par les pays Baltes (Estonie, Lettonie et Lituanie) en 2019, se sont engagés dans un processus de reconnaissance automatique des niveaux de diplôme d’enseignement supérieur. Françoise Bertieaux, Ministre communautaire belge de l’enseignement supérieur, a profité de l’événement pour annoncer que le Traité portant sur cette reconnaissance des niveaux a récemment été ratifié par les Pays-Bas, qui viennent compléter la liste des pays l’ayant entériné dans leur législation nationale.

 

Ce Traité prendra pleinement effet à partir du 1er mai prochain, et permettra à de nombreux étudiants européens de ne pas devoir entamer des démarches administratives pour la reconnaissance du niveau de leur diplôme.

 

Toutes nos actualités en lien avec la Présidence sont à retrouver sur www.wbi.be/eu2024be

Retour au début

Bouton - en savoir plus

29/02/2024
Extrait données essentielles in https://www.unwomen.org/fr/get-involved/international-womens-day (c) ONU Femmes

La journée du 8 mars est devenue un marronnier comme un autre. Chaque année, nous parlons des femmes, de leurs droits, des combats passés, actuels et à venir. Chaque 8 mars, les journaux, les institutions, le politique et même les collègues expriment leur soutien aux femmes, montrant le chemin parcouru et le rude avenir encore à construire.

 

Chaque année, nous lisons les mêmes témoignages et les mêmes chiffres qui révèlent les mêmes différences de traitement. Nous participons à des débats où les écarts et les difficultés que rencontrent les femmes sont expertisés. Quelques semaines avant le 8 mars, la panique gagne les rédactions : que pourrait-on encore écrire qui n’a déjà été écrit, révéler qui n’a déjà été expliqué, prouver qui n’a déjà été martelé des centaines de fois ?

Retour au début

Et si on démontrait l’intérêt stratégique d’investir en faveur des femmes ?

Selon ONU femmes, plus les femmes ont la possibilité de travailler et d'être autonommes financièrement, plus l'économie prospère. L'organisation le démontre à travers quelques faits et chiffres édifiants sur les avantages de l’autonomisation économique des femmes.

 

  • Si le taux d’emploi rémunéré des femmes était le même que celui des hommes, le produit intérieur brut (PIB) des États-Unis augmenterait de 9 pour cent, celui de la zone euro de 13 pour cent et celui du Japon, de 16 pour cent.
  • Dans 15 grandes économies en développement, le revenu par habitant augmenterait de 14 pour cent d'ici 2020 et de 20 pour cent d'ici 2030.
  • Si l'on éradiquait toute forme de discrimination envers les travailleuses et les cadres de sexe féminin, la productivité des travailleurs pourrait faire un bond de 40 pour cent.
  • Si le taux d'emploi des femmes se maintient à son niveau actuel, l'Europe peut s'attendre à un déficit de 24 millions de travailleurs d'ici 2040. Par contre, s'il rejoint le taux d'emploi des hommes, le manque de travailleurs n'atteindra plus que les 3 millions.
  • Une analyse des entreprises du classement Fortune 500 a montré que le rendement total offert aux actionnaires était supérieur de 34 pour cent dans les entreprises occupant le plus grand pourcentage de femmes dans des fonctions de management.
  • On a pu constater dans différents pays que l'augmentation de la part des revenus du ménage gérée par les femmes influence les dépenses d'une façon bénéfique pour les enfants, qu'il s'agisse de revenus propres ou de transferts d'argent.
  • L'analyse de données de 219 pays couvrant la période 1970-2009 a montré que la mortalité infantile était réduite de 9,5 pour cent pour chaque année de scolarisation supplémentaire des femmes en âge de procréer. Entre 1970 et 1990, 4,2 millions d'enfants ont dû leur survie à une meilleure éducation des femmes.

Investir en faveur des femmes est un impératif pour les droits humains et la clé de voûte d’une société inclusive. Les progrès en faveur des femmes profitent à tous.

 

Plus de 342 millions de femmes et de filles risquent de passer sous le seuil de pauvreté d'ici à 2030, en conséquence des différentes catastrophes subies ces dernières années (pandémie, conflits, bouleversements climatiques et économiques). Parallèlement, 75% des pays réduiront leurs dépenses publiques d’ici 2025. Cette austérité entraîne des conséquences négatives sur la situation des femmes ; les services publics essentiels et la protection sociale s’en trouvant diminués.

 

En exacerbant la pauvreté, les inégalités et la dégradation de l’environnement, le système économique actuel affecte de façon disproportionnée les femmes et les groupes marginalisés. Choisir des modèles économiques alternatifs permettrait de passer à une économie verte et une société de soins donnant une place réelle aux femmes.

 

Ces quelques faits associés aux chiffres de croissance potentielle qu’offre un mode plus égalitaire et inclusif à l’égard des femmes devraient encourager les plus réfractaires à se mobiliser plus qu'un jour par an, pour donner une place juste et viable aux femmes.

 

 

Retour au début

Des exemples d’actions de Wallonie-Bruxelles International qui investissent en faveur des femmes

  • Depuis 2022, la Fédération Wallonie-Bruxelles soutient le Haut-Commissariat aux droits de l’Homme et son Bureau Conjoint des Nations Unies aux Droits de l’Homme en République Démocratique du Congo, dans la mise en œuvre de leur programme de protection et de promotion des droits humains, dont une partie est dédiée à la lutte contre les violences basées sur le genre et les violences sexuelles.
  • Au Maroc, le programme « Min Ajliki »,  mis en œuvre par l’APEFE Wallonie-Bruxelles, soutient l’entreprenariat des femmes. Depuis son lancement en 2013, le programme a contribué à soutenir plus de 85000 femmes à travers des séances de sensibilisation, des ateliers de formation ainsi qu’un accompagnement en création d’entreprises. Au total, 46 incubateurs ont été mis en place dans diverses régions du Maroc en particulier à Casablanca, à Tanger et à Meknes.  En incluant son volet employabilité, le programme a contribué à générer plus de 10 000 emplois.

https://www.wbi.be/fr/news/news-item/min-ajliki-nouveau-dispositif-daccompagnement-lauto-emploi-au-maroc

  • La Délégation générale Wallonie-bruxelles au Chili promeut différents projets développés par des femmes tels que le festival de cinéma FEMCINE fait par des femmes ou la participation au groupe des femmes diplomates. Cette année, nous célébrons la Journée internationale des droits des femmes avec l’exposition Mujeres de la photographe belge Céline Chariot, composée de 34 portraits de femmes présentant une diversité de trajectoires, d’expériences et de profils. L’exposition a également permis la mise en place d’un workshop de collage féministe avec la photographe.
  • La Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Sénégal accueillait le 13 décembre 2023, Simplon Sénégal et l’OIF pour une activité de réseautage dans le cadre du projet « D-CLIC, formez-vous au numérique ». Ce dispositif d’accompagnement à l’insertion professionnelle des jeunes a formé en 2022, 1300 jeunes dont 51% de femmes dans 10 pays.

https://www.wbi.be/fr/news/news-item/senegal-reseautage-insertion-professionnelle-grace-au-programme-clic-pro-loif

  • La Fédération Wallonie-Bruxelles et la Wallonie contribuent à travers des financements aux efforts déployés par les institutions de la francophonie visant à réduire les inégalités entre les femmes et les hommes. Lors du XVIIIe Sommet de la Francophonie qui s’est tenu à Djerba, auquel participait la FWB, quatre champs d’action prioritaires ont été pointés comme cruciaux : l’éducation, la formation à l’emploi, le cadre juridique et la représentation politique.

https://www.wbi.be/fr/news/news-item/journee-mondiale-lentrepreneuriat-…

  • Wallonie-Bruxelles International, à travers son programme de coopération avec la RDC soutient l'autonomisation des femmes congolaises en favorisant entrepreneuriat local, notamment dans le secteur de l'Agroalimentaire. Des programmes d'accompagnement des femmes, de l'idée à la création d'entreprises, sont mis en œuvre en collaboration avec des structures locales telles que les incubateurs. Après ce processus, ces femmes réussissent à créer légalement leurs petites entreprises qui proposent sur les marchés locaux des produits qui répondent aux besoins de consommation des populations.

Dans la région du Sud-Kivu, WBI a également soutenu un projet s’intéressant au renforcement de la capacité de gestion des associations féminines de la région avec des micro-projets contribuant à générer des revenus pour les femmes.

https://www.wbi.be/fr/news/news-item/journee-internationale-femmes-rurales-eclairage-leur-role-crucial-societe

  • En mars 2020, l'UNESCO lançait la Coalition mondiale pour l’éducation visant à répondre aux conséquences de la crise de la COVID. La FWB s'est engagée alors auprès de l'Unesco à soutenir le retour des filles à l’école dans 4 pays africains, Bénin, Mali, Nigéria et Sénégal. Malgré la fermeture des écoles due à la COVID-19, Fatouma, une élève malienne a pu poursuivre sa scolarité grâce à ce programme de sensibilisation.

https://www.wbi.be/fr/news/news-item/mali-fatouma-retourne-lecole-grace…

  • Au Nigéria, ce sont les filles des zones rurales et les plus pauvres de la société qui constituent l’écrasante majorité des enfants non scolarisés, en particulier dans le nord du pays. La campagne de l’UNESCO Les filles au premier plan a été déployée avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International en particulier dans les zones où l’abandon scolaire des filles est le plus élevé et leur rescolarisation la plus faible.

https://www.wbi.be/fr/news/news-item/nigeria-gloria-etudiante-plaide-au…

  • Au Sénégal, notre coopération comporte un important volet visant à encourager l’entreprenariat féminin. Un programme a ainsi pour but de développer le leadership féminin à travers les métiers des arts visuels. Cette initiative s’adresse avant tout à des jeunes femmes résidant dans des zones enclavées qui n’ont pas souvent accès à un cursus d’enseignement supérieur de qualité.

    Ce 8 mars 2024, la Délégation générale Wallonie-Bruxelles à Dakar accueillera un concert de l’artiste féministe sénégalaise Agsila. Un grand moment à retrouver sur la chaine Youtube de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Sénégal.

 

 

Source ONU Femmes

 

Retour au début

La journée du 8 mars est devenue un marronnier comme un autre. Chaque année, nous parlons des femmes, de leurs droits, des combats passés, actuels et à venir. Chaque 8 mars, les journaux, les institutions, le politique et même les collègues expriment leur soutien aux femmes, montrant le chemin parcouru et le rude avenir encore à construire.

 

Chaque année, nous lisons les mêmes témoignages et les mêmes chiffres qui révèlent les mêmes différences de traitement. Nous participons à des débats où les écarts et les difficultés que rencontrent les femmes sont expertisés. Quelques semaines avant le 8 mars, la panique gagne les rédactions : que pourrait-on encore écrire qui n’a déjà été écrit, révéler qui n’a déjà été expliqué, prouver qui n’a déjà été martelé des centaines de fois ?

Retour au début

Et si on démontrait l’intérêt stratégique d’investir en faveur des femmes ?

Selon ONU femmes, plus les femmes ont la possibilité de travailler et d'être autonommes financièrement, plus l'économie prospère. L'organisation le démontre à travers quelques faits et chiffres édifiants sur les avantages de l’autonomisation économique des femmes.

 

  • Si le taux d’emploi rémunéré des femmes était le même que celui des hommes, le produit intérieur brut (PIB) des États-Unis augmenterait de 9 pour cent, celui de la zone euro de 13 pour cent et celui du Japon, de 16 pour cent.
  • Dans 15 grandes économies en développement, le revenu par habitant augmenterait de 14 pour cent d'ici 2020 et de 20 pour cent d'ici 2030.
  • Si l'on éradiquait toute forme de discrimination envers les travailleuses et les cadres de sexe féminin, la productivité des travailleurs pourrait faire un bond de 40 pour cent.
  • Si le taux d'emploi des femmes se maintient à son niveau actuel, l'Europe peut s'attendre à un déficit de 24 millions de travailleurs d'ici 2040. Par contre, s'il rejoint le taux d'emploi des hommes, le manque de travailleurs n'atteindra plus que les 3 millions.
  • Une analyse des entreprises du classement Fortune 500 a montré que le rendement total offert aux actionnaires était supérieur de 34 pour cent dans les entreprises occupant le plus grand pourcentage de femmes dans des fonctions de management.
  • On a pu constater dans différents pays que l'augmentation de la part des revenus du ménage gérée par les femmes influence les dépenses d'une façon bénéfique pour les enfants, qu'il s'agisse de revenus propres ou de transferts d'argent.
  • L'analyse de données de 219 pays couvrant la période 1970-2009 a montré que la mortalité infantile était réduite de 9,5 pour cent pour chaque année de scolarisation supplémentaire des femmes en âge de procréer. Entre 1970 et 1990, 4,2 millions d'enfants ont dû leur survie à une meilleure éducation des femmes.

Investir en faveur des femmes est un impératif pour les droits humains et la clé de voûte d’une société inclusive. Les progrès en faveur des femmes profitent à tous.

 

Plus de 342 millions de femmes et de filles risquent de passer sous le seuil de pauvreté d'ici à 2030, en conséquence des différentes catastrophes subies ces dernières années (pandémie, conflits, bouleversements climatiques et économiques). Parallèlement, 75% des pays réduiront leurs dépenses publiques d’ici 2025. Cette austérité entraîne des conséquences négatives sur la situation des femmes ; les services publics essentiels et la protection sociale s’en trouvant diminués.

 

En exacerbant la pauvreté, les inégalités et la dégradation de l’environnement, le système économique actuel affecte de façon disproportionnée les femmes et les groupes marginalisés. Choisir des modèles économiques alternatifs permettrait de passer à une économie verte et une société de soins donnant une place réelle aux femmes.

 

Ces quelques faits associés aux chiffres de croissance potentielle qu’offre un mode plus égalitaire et inclusif à l’égard des femmes devraient encourager les plus réfractaires à se mobiliser plus qu'un jour par an, pour donner une place juste et viable aux femmes.

 

 

Retour au début

Des exemples d’actions de Wallonie-Bruxelles International qui investissent en faveur des femmes

  • Depuis 2022, la Fédération Wallonie-Bruxelles soutient le Haut-Commissariat aux droits de l’Homme et son Bureau Conjoint des Nations Unies aux Droits de l’Homme en République Démocratique du Congo, dans la mise en œuvre de leur programme de protection et de promotion des droits humains, dont une partie est dédiée à la lutte contre les violences basées sur le genre et les violences sexuelles.
  • Au Maroc, le programme « Min Ajliki »,  mis en œuvre par l’APEFE Wallonie-Bruxelles, soutient l’entreprenariat des femmes. Depuis son lancement en 2013, le programme a contribué à soutenir plus de 85000 femmes à travers des séances de sensibilisation, des ateliers de formation ainsi qu’un accompagnement en création d’entreprises. Au total, 46 incubateurs ont été mis en place dans diverses régions du Maroc en particulier à Casablanca, à Tanger et à Meknes.  En incluant son volet employabilité, le programme a contribué à générer plus de 10 000 emplois.

https://www.wbi.be/fr/news/news-item/min-ajliki-nouveau-dispositif-daccompagnement-lauto-emploi-au-maroc

  • La Délégation générale Wallonie-bruxelles au Chili promeut différents projets développés par des femmes tels que le festival de cinéma FEMCINE fait par des femmes ou la participation au groupe des femmes diplomates. Cette année, nous célébrons la Journée internationale des droits des femmes avec l’exposition Mujeres de la photographe belge Céline Chariot, composée de 34 portraits de femmes présentant une diversité de trajectoires, d’expériences et de profils. L’exposition a également permis la mise en place d’un workshop de collage féministe avec la photographe.
  • La Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Sénégal accueillait le 13 décembre 2023, Simplon Sénégal et l’OIF pour une activité de réseautage dans le cadre du projet « D-CLIC, formez-vous au numérique ». Ce dispositif d’accompagnement à l’insertion professionnelle des jeunes a formé en 2022, 1300 jeunes dont 51% de femmes dans 10 pays.

https://www.wbi.be/fr/news/news-item/senegal-reseautage-insertion-professionnelle-grace-au-programme-clic-pro-loif

  • La Fédération Wallonie-Bruxelles et la Wallonie contribuent à travers des financements aux efforts déployés par les institutions de la francophonie visant à réduire les inégalités entre les femmes et les hommes. Lors du XVIIIe Sommet de la Francophonie qui s’est tenu à Djerba, auquel participait la FWB, quatre champs d’action prioritaires ont été pointés comme cruciaux : l’éducation, la formation à l’emploi, le cadre juridique et la représentation politique.

https://www.wbi.be/fr/news/news-item/journee-mondiale-lentrepreneuriat-…

  • Wallonie-Bruxelles International, à travers son programme de coopération avec la RDC soutient l'autonomisation des femmes congolaises en favorisant entrepreneuriat local, notamment dans le secteur de l'Agroalimentaire. Des programmes d'accompagnement des femmes, de l'idée à la création d'entreprises, sont mis en œuvre en collaboration avec des structures locales telles que les incubateurs. Après ce processus, ces femmes réussissent à créer légalement leurs petites entreprises qui proposent sur les marchés locaux des produits qui répondent aux besoins de consommation des populations.

Dans la région du Sud-Kivu, WBI a également soutenu un projet s’intéressant au renforcement de la capacité de gestion des associations féminines de la région avec des micro-projets contribuant à générer des revenus pour les femmes.

https://www.wbi.be/fr/news/news-item/journee-internationale-femmes-rurales-eclairage-leur-role-crucial-societe

  • En mars 2020, l'UNESCO lançait la Coalition mondiale pour l’éducation visant à répondre aux conséquences de la crise de la COVID. La FWB s'est engagée alors auprès de l'Unesco à soutenir le retour des filles à l’école dans 4 pays africains, Bénin, Mali, Nigéria et Sénégal. Malgré la fermeture des écoles due à la COVID-19, Fatouma, une élève malienne a pu poursuivre sa scolarité grâce à ce programme de sensibilisation.

https://www.wbi.be/fr/news/news-item/mali-fatouma-retourne-lecole-grace…

  • Au Nigéria, ce sont les filles des zones rurales et les plus pauvres de la société qui constituent l’écrasante majorité des enfants non scolarisés, en particulier dans le nord du pays. La campagne de l’UNESCO Les filles au premier plan a été déployée avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International en particulier dans les zones où l’abandon scolaire des filles est le plus élevé et leur rescolarisation la plus faible.

https://www.wbi.be/fr/news/news-item/nigeria-gloria-etudiante-plaide-au…

  • Au Sénégal, notre coopération comporte un important volet visant à encourager l’entreprenariat féminin. Un programme a ainsi pour but de développer le leadership féminin à travers les métiers des arts visuels. Cette initiative s’adresse avant tout à des jeunes femmes résidant dans des zones enclavées qui n’ont pas souvent accès à un cursus d’enseignement supérieur de qualité.

    Ce 8 mars 2024, la Délégation générale Wallonie-Bruxelles à Dakar accueillera un concert de l’artiste féministe sénégalaise Agsila. Un grand moment à retrouver sur la chaine Youtube de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Sénégal.

 

 

Source ONU Femmes

 

Retour au début

Bouton - en savoir plus

S'abonner à