
Invité par Wallonie-Bruxelles International (WBI) et l’Agence wallonne à l’exportation et aux investissements étrangers (AWEX), il a offert une expérience fascinante aux côtés de Frédéric Mazzella, fondateur de BlaBlaCar et Captain Cause. Professeur de clinique au Centre du Cerveau du CHU de Liège, Directeur de recherches au FNRS et professeur au Centre de recherche CERVO (Université Laval) de Québec, il a accordé un entretien à la Délégation Wallonie-Bruxelles à Paris où il exprime sa passion pour les avancées technologiques et discute des spécificités du cerveau des entrepreneurs. En explorant les intersections entre les neurosciences et les technologies, Steven Laureys partage également ses réflexions sur l'intégration de l'intelligence artificielle dans ses recherches.
Retour au débutComment votre présence à Vivatech s'inscrit-elle dans le cadre de vos recherches sur le cerveau ?
"Je suis très heureux d’être ici. En tant que clinicien, c’est important de rester au courant des dernières technologies. Le salon Vivatech permet de suivre les évolutions et de comprendre les nouvelles possibilités qui aident à mieux comprendre le cerveau et l’esprit humain. Les interfaces cerveau-ordinateur et l’utilisation de l’intelligence artificielle sont essentielles pour faire avancer nos travaux de recherche et leur application clinique. De plus, VivaTech est un lieu idéal pour nouer des collaborations avec des partenaires industriels, ce qui est crucial pour le partenariat entre le monde académique, les start-ups et les technologies. Je crois fermement à ce modèle de collaboration, c’est du win-win."
Retour au débutQuels aspects du fonctionnement du cerveau distinguent un entrepreneur prospère des autres individus ?
" Etudier le cerveau de Frédéric Mazzela le fondateur de BlaBlaCar représente une opportunité exceptionnelle. Depuis quelques années, nous nous efforçons de comprendre l’esprit entrepreneurial, grâce au travail de Frédéric Ooms, chercheur à HEC-ULiège, en collaboration avec des partenaires au Québec, pour mieux accompagner les jeunes entrepreneurs. Nous avons observé des différences dans la structure cérébrale entre les entrepreneurs en série, ceux qui débutent, et les managers. Cela ne signifie pas que nous pouvons prédire qui deviendra entrepreneur, mais comprendre ces différences peut nous aider à mieux les accompagner. La flexibilité cognitive, c'est-à-dire la capacité d'un entrepreneur à s'adapter à une réalité en constante évolution, même en cas de privation de sommeil, est cruciale. Cette flexibilité peut être développée par des techniques telles que la méditation ou l’entraînement de l’attention. C’est pourquoi c’est une chance de pouvoir enregistrer l’activité cérébrale du serial entrepreneur Frédéric Mazzela et de partager ces données avec le grand public.
« La flexibililité cognitive et les habitudes de vie ont un impact sur les performances cognitives et le bien-être mental. »
Retour au débutQuelle pratique ou routine recommandez-vous pour améliorer nos performances cognitives ?
"Il y a une série de conseils de bon sens : nos habitudes de vie impactent notre fonctionnement cognitif et notre bien-être mental. Le sommeil est un facteur crucial, et non une perte de temps. Comme je l’explique dans mon livre 'Le sommeil, c’est bon pour le cerveau' il faut investir dans un sommeil de qualité. La méditation est également importante, même si elle souffre parfois de préjugés. En réalité, les neurosciences ont démontré que nous pouvons entraîner notre attention. Comme un sport. En tant que médecin, je prescris la méditation à mes patients, tout comme je leur prescrit de l’activité physique. Ces divers éléments améliorent nos capacités cognitives, et c’est un message important pour les entrepreneurs et pour tous."
Retour au débutQuelles avancées technologiques présentées à Vivatech vous passionnent le plus en tant que chercheur sur le cerveau et la conscience ?
"Il y a plusieurs technologies intéressantes, notamment celles liées à l’enregistrement de l’activité cérébrale, comme les ‘wearables’ et les montres connectées qui enregistrent la fréquence cardiaque et la température. Ces techniques responsabilisent les citoyens et leur permettant de jouer un rôle plus actif dans leur santé. En tant que médecin, je vois souvent des patients qui cherchent une pilule pour résoudre chaque problème. Je suis convaincu que la médecine de demain donnera un rôle plus central aux citoyens, tant en prévention qu’en traitement curatif. La complémentarité entre une médecine hyper spécialisée et les actions que chacun de nous peut entreprendre est essentielle. Il est fascinant de suivre les évolutions technologiques et l’application de l’intelligence artificielle dans ce domaine, même si je ne crois pas en la notion d’une conscience artificielle. Mais ça, c’est un autre débat."
Mondialement reconnu pour ses nombreux travaux et recherches en neurosciences et en santé mentale, le neurologue belge Steven Laureys, après avoir créé le Coma Science Group et l’unité de recherche GIGA Consciousness à l’université de Liège en tant que directeur de recherche au FNRS, est désormais également titulaire de La nouvelle Chaire d’excellence en recherche du Canada sur la neuroplasticité. Il travaille avec les équipes de recherche du Centre CERVO de l’Université Laval, à Québec, pour comprendre comment notre quotidien peut influencer notre santé mentale. Il a également donné un entretien à la Délégation Wallonie-Bruxelles au Québec pour évoquer les enjeux de cette nouvelle Chaire.
Retour au débutParlez-nous de cette nouvelle Chaire ?
"Ma passion, c’est comprendre ce grand mystère qu’est notre conscience humaine. [Ici], nous sommes au Canada où j’ai reçu une Chaire d’excellence en recherche du Canada sur la neuroplasticité. On utilise des machines, des scanners pour mieux comprendre ce qu’il se passe là-haut entre nos deux oreilles et expliquer les pensées, les perceptions, les émotions, pour traduire cette connaissance vers la clinique."
Retour au débutPourquoi les questions sur la santé cérébrale sont-elles centrales dans vos recherches ?
"Comme neurologue, je suis confronté à des personnes qui ont des blessures ou des maladies au niveau du cerveau. Mon domaine d’expertise est le coma, les états modifiés de conscience et la commotion, [en vue de permettre aux patients d’] investir dans des meilleures habitudes de vie. Tout Cela tourne autour de la neuroplasticité, c’est-à-dire comment change en permanence ces milliers de milliards de connections dans le cerveau."
Retour au débutQuel est l’objectif de cette Chaire et votre rôle ?
"Nous avons, ici, le même environnement qu’à Liège, c’est-à-dire, des patients avec des problèmes neurologiques ou psychiatriques. Et puis, nous avons des machines, comme l’IRM (imagerie par résonance magnétique) qui prend des photos du cerveau, l’électroencéphalogramme, etc. Ma mission est de donner un rôle plus central et actif à chaque patient confronté à une pathologie cérébrale. Chacun de nous peut faire quelque chose [pour limiter les dommages]. L’activité physique a un impact sur le bien-être mental, la méditation qui est une forme de gymnastique mentale, notre alimentation, la qualité de nos relations, de l’environnement de travail, etc."
Retour au débutLa présence d’un chercheur belge dans cette Chaire va-t-elle favoriser les collaborations entre la Belgique et le Canada ?
"La recherche et la collaboration ont, je pense, toujours été notre force à Liège, au niveau interne, local, national et international. Nous avons été très forts pour établir des liens avec les meilleures universités de la planète, aussi bien en Europe, maintenant en Amérique du Nord, où je suis également professeur invité à Harvard, et aussi en Chine. Donc, cela va certainement être une priorité pour le Centre CERVO et l’Université Laval de continuer la collaboration privilégiée avec les équipes de Wallonie-Bruxelles. Le but est de créer une unité mixte internationale, avec des échanges d’étudiants, de doctorants, de professeurs, de données et de projets de recherche. D’ailleurs, nous allons lancer notre premier projet à l’Université de Liège et la HEC-Liège, sur le fonctionnement cérébral des entrepreneurs. Je me réjouis pour les années à venir !"
Sources : articles et interviews menés par Yeleen Luypaert - Délégation Wallonie-Bruxelles à Paris et Victoria Franck - Délégation Wallonie-Bruxelles au Québec.
Retour au débutInvité par Wallonie-Bruxelles International (WBI) et l’Agence wallonne à l’exportation et aux investissements étrangers (AWEX), il a offert une expérience fascinante aux côtés de Frédéric Mazzella, fondateur de BlaBlaCar et Captain Cause. Professeur de clinique au Centre du Cerveau du CHU de Liège, Directeur de recherches au FNRS et professeur au Centre de recherche CERVO (Université Laval) de Québec, il a accordé un entretien à la Délégation Wallonie-Bruxelles à Paris où il exprime sa passion pour les avancées technologiques et discute des spécificités du cerveau des entrepreneurs. En explorant les intersections entre les neurosciences et les technologies, Steven Laureys partage également ses réflexions sur l'intégration de l'intelligence artificielle dans ses recherches.
Retour au débutComment votre présence à Vivatech s'inscrit-elle dans le cadre de vos recherches sur le cerveau ?
"Je suis très heureux d’être ici. En tant que clinicien, c’est important de rester au courant des dernières technologies. Le salon Vivatech permet de suivre les évolutions et de comprendre les nouvelles possibilités qui aident à mieux comprendre le cerveau et l’esprit humain. Les interfaces cerveau-ordinateur et l’utilisation de l’intelligence artificielle sont essentielles pour faire avancer nos travaux de recherche et leur application clinique. De plus, VivaTech est un lieu idéal pour nouer des collaborations avec des partenaires industriels, ce qui est crucial pour le partenariat entre le monde académique, les start-ups et les technologies. Je crois fermement à ce modèle de collaboration, c’est du win-win."
Retour au débutQuels aspects du fonctionnement du cerveau distinguent un entrepreneur prospère des autres individus ?
" Etudier le cerveau de Frédéric Mazzela le fondateur de BlaBlaCar représente une opportunité exceptionnelle. Depuis quelques années, nous nous efforçons de comprendre l’esprit entrepreneurial, grâce au travail de Frédéric Ooms, chercheur à HEC-ULiège, en collaboration avec des partenaires au Québec, pour mieux accompagner les jeunes entrepreneurs. Nous avons observé des différences dans la structure cérébrale entre les entrepreneurs en série, ceux qui débutent, et les managers. Cela ne signifie pas que nous pouvons prédire qui deviendra entrepreneur, mais comprendre ces différences peut nous aider à mieux les accompagner. La flexibilité cognitive, c'est-à-dire la capacité d'un entrepreneur à s'adapter à une réalité en constante évolution, même en cas de privation de sommeil, est cruciale. Cette flexibilité peut être développée par des techniques telles que la méditation ou l’entraînement de l’attention. C’est pourquoi c’est une chance de pouvoir enregistrer l’activité cérébrale du serial entrepreneur Frédéric Mazzela et de partager ces données avec le grand public.
« La flexibililité cognitive et les habitudes de vie ont un impact sur les performances cognitives et le bien-être mental. »
Retour au débutQuelle pratique ou routine recommandez-vous pour améliorer nos performances cognitives ?
"Il y a une série de conseils de bon sens : nos habitudes de vie impactent notre fonctionnement cognitif et notre bien-être mental. Le sommeil est un facteur crucial, et non une perte de temps. Comme je l’explique dans mon livre 'Le sommeil, c’est bon pour le cerveau' il faut investir dans un sommeil de qualité. La méditation est également importante, même si elle souffre parfois de préjugés. En réalité, les neurosciences ont démontré que nous pouvons entraîner notre attention. Comme un sport. En tant que médecin, je prescris la méditation à mes patients, tout comme je leur prescrit de l’activité physique. Ces divers éléments améliorent nos capacités cognitives, et c’est un message important pour les entrepreneurs et pour tous."
Retour au débutQuelles avancées technologiques présentées à Vivatech vous passionnent le plus en tant que chercheur sur le cerveau et la conscience ?
"Il y a plusieurs technologies intéressantes, notamment celles liées à l’enregistrement de l’activité cérébrale, comme les ‘wearables’ et les montres connectées qui enregistrent la fréquence cardiaque et la température. Ces techniques responsabilisent les citoyens et leur permettant de jouer un rôle plus actif dans leur santé. En tant que médecin, je vois souvent des patients qui cherchent une pilule pour résoudre chaque problème. Je suis convaincu que la médecine de demain donnera un rôle plus central aux citoyens, tant en prévention qu’en traitement curatif. La complémentarité entre une médecine hyper spécialisée et les actions que chacun de nous peut entreprendre est essentielle. Il est fascinant de suivre les évolutions technologiques et l’application de l’intelligence artificielle dans ce domaine, même si je ne crois pas en la notion d’une conscience artificielle. Mais ça, c’est un autre débat."
Mondialement reconnu pour ses nombreux travaux et recherches en neurosciences et en santé mentale, le neurologue belge Steven Laureys, après avoir créé le Coma Science Group et l’unité de recherche GIGA Consciousness à l’université de Liège en tant que directeur de recherche au FNRS, est désormais également titulaire de La nouvelle Chaire d’excellence en recherche du Canada sur la neuroplasticité. Il travaille avec les équipes de recherche du Centre CERVO de l’Université Laval, à Québec, pour comprendre comment notre quotidien peut influencer notre santé mentale. Il a également donné un entretien à la Délégation Wallonie-Bruxelles au Québec pour évoquer les enjeux de cette nouvelle Chaire.
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"Ma passion, c’est comprendre ce grand mystère qu’est notre conscience humaine. [Ici], nous sommes au Canada où j’ai reçu une Chaire d’excellence en recherche du Canada sur la neuroplasticité. On utilise des machines, des scanners pour mieux comprendre ce qu’il se passe là-haut entre nos deux oreilles et expliquer les pensées, les perceptions, les émotions, pour traduire cette connaissance vers la clinique."
Retour au débutPourquoi les questions sur la santé cérébrale sont-elles centrales dans vos recherches ?
"Comme neurologue, je suis confronté à des personnes qui ont des blessures ou des maladies au niveau du cerveau. Mon domaine d’expertise est le coma, les états modifiés de conscience et la commotion, [en vue de permettre aux patients d’] investir dans des meilleures habitudes de vie. Tout Cela tourne autour de la neuroplasticité, c’est-à-dire comment change en permanence ces milliers de milliards de connections dans le cerveau."
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"Nous avons, ici, le même environnement qu’à Liège, c’est-à-dire, des patients avec des problèmes neurologiques ou psychiatriques. Et puis, nous avons des machines, comme l’IRM (imagerie par résonance magnétique) qui prend des photos du cerveau, l’électroencéphalogramme, etc. Ma mission est de donner un rôle plus central et actif à chaque patient confronté à une pathologie cérébrale. Chacun de nous peut faire quelque chose [pour limiter les dommages]. L’activité physique a un impact sur le bien-être mental, la méditation qui est une forme de gymnastique mentale, notre alimentation, la qualité de nos relations, de l’environnement de travail, etc."
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"La recherche et la collaboration ont, je pense, toujours été notre force à Liège, au niveau interne, local, national et international. Nous avons été très forts pour établir des liens avec les meilleures universités de la planète, aussi bien en Europe, maintenant en Amérique du Nord, où je suis également professeur invité à Harvard, et aussi en Chine. Donc, cela va certainement être une priorité pour le Centre CERVO et l’Université Laval de continuer la collaboration privilégiée avec les équipes de Wallonie-Bruxelles. Le but est de créer une unité mixte internationale, avec des échanges d’étudiants, de doctorants, de professeurs, de données et de projets de recherche. D’ailleurs, nous allons lancer notre premier projet à l’Université de Liège et la HEC-Liège, sur le fonctionnement cérébral des entrepreneurs. Je me réjouis pour les années à venir !"
Sources : articles et interviews menés par Yeleen Luypaert - Délégation Wallonie-Bruxelles à Paris et Victoria Franck - Délégation Wallonie-Bruxelles au Québec.
Retour au débutBouton - en savoir plus

Cette mission multisectorielle permet de renforcer les liens entre la Belgique et la Norvège, deux nations qui partagent un engagement profond envers l'innovation et la durabilité. L'accent est mis sur des domaines clés tels que les énergies renouvelables, l'économie circulaire et la bio-ingénierie, des secteurs cruciaux pour la transition vers un avenir plus vert.
Quatre secteurs stratégiques sont mis en avant :
- la transition énergétique ;
- l'économie circulaire ;
- les sciences de la vie ;
- le design.
Lors de cette mission, la Princesse Astrid est accompagnée entre autres par Hadja Lahbib, Ministre des Affaires étrangères, Philippe Henry, Ministre wallon de l'Energie, Pascale Delcomminette, Administratrice générale de WBI, ainsi qu'une importante délégation économique et académique.
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Collaborations avec l’Université d’Oslo : un écosystème d’innovation
L'une des visites marquantes de cette mission est celle de l’Oslo Science City, premier district d'innovation de Norvège, qui facilite les interactions innovantes entre les chercheurs, les startups, les entreprises, les autorités et le secteur public. Son objectif est de contribuer à la création d'emplois à valeur durable. Au total, 8 000 chercheurs, 40 000 étudiants et 300 jeunes entreprises sont associés à cette cité des sciences.
Cette visite permet de mettre en lumière les alliances universitaires européennes, et plus particulièrement le Circle U, initié par l'Université d'Oslo et l'UCLouvain. Cette alliance réunit neuf universités européennes autour de projets de recherche interdisciplinaires et de programmes éducatifs innovants.
Des étudiants et chercheurs norvégiens et belges ont l'opportunité de présenter leur expérience de travail et de recherche dans cet environnement et partageront de nouveaux formats d’apprentissage utilisés pour développer les compétences en matière d’innovation et d'entrepreneuriat.
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Coopération entre la Norvège et la Belgique en matière de traitement du cancer
Les réseaux européens sont particulièrement efficaces dans le domaine de la recherche médicale. L’hôpital universitaire d'Oslo fait partie d’un groupe de travail sur le cancer du sein au sein du réseau européen d'essais cliniques Oncodistinct.
Ce réseau, coordonné en Belgique par l'Institut Jules Bordet, démontre l'engagement commun de la Belgique et de la Norvège dans la recherche sur le cancer, avec pour objectif de fournir les meilleurs traitements possibles aux patients.
Retour au début
L'EpiShuttle : le transport rapide de patients hautement infectieux
Norway Health Tech est un cluster de santé de premier plan en Norvège, dédié à l'innovation et à la collaboration dans le secteur de la santé. Il réunit les entreprises, les chercheurs et les institutions publiques pour promouvoir des solutions innovantes et améliorer les soins aux patients.
Impliqué activement dans le projet Health2B, le cluster a développé EpiShuttle : une unité d'isolement conçue pour le transport rapide et sécurisé de patients hautement infectieux et vulnérables. L'EpiShuttle est déjà utilisé à l'hôpital militaire Reine Astrid de Bruxelles et au SIAMU-Pompiers de Bruxelles, il témoigne donc d'un partenariat solide et d'une relation de confiance entre la Norvège et la Belgique.
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Élégance durable: exposition de design et d'artisanat belge
Du côté artistique, le design et l'artisanat belges sont mis à l'honneur dans une installation exclusive au Design og arkitektur Norway (DOGA), à Oslo. L'exposition "Sustainable Elegance" présentera l'excellence et la créativité de 12 designers et artisans belges qui ouvrent la voie à des pratiques de design éthiques et durables.
Plusieurs rencontres sont également prévues pour approfondir la compréhension du marché norvégien et établir des contacts avec le secteur du design et de l'architecture d'intérieur. L’événement spécialisé « Pitch your design » mettra en valeur le design durable belge et créera des opportunités de réseautage.
Retour au débutCette mission multisectorielle permet de renforcer les liens entre la Belgique et la Norvège, deux nations qui partagent un engagement profond envers l'innovation et la durabilité. L'accent est mis sur des domaines clés tels que les énergies renouvelables, l'économie circulaire et la bio-ingénierie, des secteurs cruciaux pour la transition vers un avenir plus vert.
Quatre secteurs stratégiques sont mis en avant :
- la transition énergétique ;
- l'économie circulaire ;
- les sciences de la vie ;
- le design.
Lors de cette mission, la Princesse Astrid est accompagnée entre autres par Hadja Lahbib, Ministre des Affaires étrangères, Philippe Henry, Ministre wallon de l'Energie, Pascale Delcomminette, Administratrice générale de WBI, ainsi qu'une importante délégation économique et académique.
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Collaborations avec l’Université d’Oslo : un écosystème d’innovation
L'une des visites marquantes de cette mission est celle de l’Oslo Science City, premier district d'innovation de Norvège, qui facilite les interactions innovantes entre les chercheurs, les startups, les entreprises, les autorités et le secteur public. Son objectif est de contribuer à la création d'emplois à valeur durable. Au total, 8 000 chercheurs, 40 000 étudiants et 300 jeunes entreprises sont associés à cette cité des sciences.
Cette visite permet de mettre en lumière les alliances universitaires européennes, et plus particulièrement le Circle U, initié par l'Université d'Oslo et l'UCLouvain. Cette alliance réunit neuf universités européennes autour de projets de recherche interdisciplinaires et de programmes éducatifs innovants.
Des étudiants et chercheurs norvégiens et belges ont l'opportunité de présenter leur expérience de travail et de recherche dans cet environnement et partageront de nouveaux formats d’apprentissage utilisés pour développer les compétences en matière d’innovation et d'entrepreneuriat.
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Coopération entre la Norvège et la Belgique en matière de traitement du cancer
Les réseaux européens sont particulièrement efficaces dans le domaine de la recherche médicale. L’hôpital universitaire d'Oslo fait partie d’un groupe de travail sur le cancer du sein au sein du réseau européen d'essais cliniques Oncodistinct.
Ce réseau, coordonné en Belgique par l'Institut Jules Bordet, démontre l'engagement commun de la Belgique et de la Norvège dans la recherche sur le cancer, avec pour objectif de fournir les meilleurs traitements possibles aux patients.
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L'EpiShuttle : le transport rapide de patients hautement infectieux
Norway Health Tech est un cluster de santé de premier plan en Norvège, dédié à l'innovation et à la collaboration dans le secteur de la santé. Il réunit les entreprises, les chercheurs et les institutions publiques pour promouvoir des solutions innovantes et améliorer les soins aux patients.
Impliqué activement dans le projet Health2B, le cluster a développé EpiShuttle : une unité d'isolement conçue pour le transport rapide et sécurisé de patients hautement infectieux et vulnérables. L'EpiShuttle est déjà utilisé à l'hôpital militaire Reine Astrid de Bruxelles et au SIAMU-Pompiers de Bruxelles, il témoigne donc d'un partenariat solide et d'une relation de confiance entre la Norvège et la Belgique.
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Élégance durable: exposition de design et d'artisanat belge
Du côté artistique, le design et l'artisanat belges sont mis à l'honneur dans une installation exclusive au Design og arkitektur Norway (DOGA), à Oslo. L'exposition "Sustainable Elegance" présentera l'excellence et la créativité de 12 designers et artisans belges qui ouvrent la voie à des pratiques de design éthiques et durables.
Plusieurs rencontres sont également prévues pour approfondir la compréhension du marché norvégien et établir des contacts avec le secteur du design et de l'architecture d'intérieur. L’événement spécialisé « Pitch your design » mettra en valeur le design durable belge et créera des opportunités de réseautage.
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En mai 2023, s’est ouvert une nouvelle période de coopération entre Wallonie-Bruxelles et le Maroc, portant de nouveaux projets jusqu’en 2027. Depuis la signature des premiers accords de coopération en 1999, les échanges et collaborations ne cessent de se multiplier avec ce partenaire incontournable, offrant notamment aux étudiants et jeunes travailleurs des opportunités de mobilité stimulantes.
Le parcours de Firdaousse Arrami en est la preuve tangible. C’est dans le cadre de ces accords, qu’elle a réalisé deux stages à Bruxelles, touchant chacun à la bande dessinée. Des expériences professionnelles complémentaires mais surtout humaines enrichissantes qui ont pu se réaliser grâce au soutien dans un premier temps, de la Délégation Wallonie-Bruxelles à Rabat, premier interlocuteur pour toute personne porteuse d’un projet au Maroc qu’elle souhaite réaliser en Belgique francophone, puis de WBI, force de proposition en matière de financement.
Retour au débutL’enthousiasme, c’est la clé !
Curieuse insatiable, Firdaousse Arrami possède une énergie redoutable quand il s’agit de s’atteler à de nouveaux projets. Forte d’un master en études théâtrales et d’une licence en scénographie, elle dessine pour la bande dessinée, écrit des scénarios, réalise des costumes, développe des projets de films d’animations, dirige la scénographie de pièces de théâtre, anime des ateliers et bien d’autres choses encore.
Wallonie-Bruxelles International l’a rencontrée au premier Salon International du Livre Enfant et Jeunesse à Casablanca où elle animait des ateliers d’initiation à la bande dessinée auprès du jeune public. Sa présence joyeuse nous a convaincu de recueillir son témoignage sur l’expérience qu’elle a vécue en Belgique grâce aux soutiens de WBI.
C’est une rencontre déterminante avec le bédéiste Pierre Lecrenier, lors du Festival du Cinéma d'Animation à Meknès en 2021, qui va la mener jusqu’à Bruxelles.
Retour au débutUn voyage artistique entre le Maroc et la Belgique
La Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Maroc, propose en effet à l’étudiante marocaine une résidence d’artiste à l’Atelier Mille, où travaille l’artiste belge, lieu créé en 2011 par des ami.e.s formés à l’Institut Saint-Luc de Bruxelles.
Durant cette résidence prise en charge par WBI, Firdaousse Arrami travaille sur divers projets, qu’elle présente ensuite lors d'une exposition à l'atelier Mille. Elle y reçoit un accueil très encourageant de la part des visiteurs.
Invitée au Forum de la Bande Dessinée de Tétouan, elle partage alors son travail et rencontre Isabelle Debekker, directrice du Centre belge de la bande dessinée à Bruxelles auprès de laquelle elle sollicite un stage d’un mois pour compléter ses travaux de recherche pour son master en études théâtrales à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de Mohammedia. Difficile de résister à l’enthousiasme rayonnant de Firdaousse Arrami !
C’est ainsi qu’elle revient à Bruxelles, dans un musée mythique où son intérêt se porte alors sur l'adaptation d'une œuvre théâtrale en bande dessinée. L’expérience est si enrichissante pour l’étudiante et le musée que chacun est désireux de la poursuivre et Firdaousse Arrami prolonge son stage d’un mois.
Quand nous la rencontrons à Bruxelles, elle revient du Festival d’Angoulême où son appétit de découvertes l’a menée et s’apprête à retourner au Maroc tracer son avenir, nourri de rencontres, de cultures nouvelles, de projets à dessiner. Elle a tracé son chemin d’ouverture entre la Belgique et le Maroc.
Les programmes de soutien développés par Wallonie-Bruxelles International et ses représentations à l’étranger permettent de lancer des passerelles entre les cultures et les peuples, de renforcer les dialogues et d’ouvrir de nouvelles perspectives d’études, professionnelles, culturelles et humaines.
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En mai 2023, s’est ouvert une nouvelle période de coopération entre Wallonie-Bruxelles et le Maroc, portant de nouveaux projets jusqu’en 2027. Depuis la signature des premiers accords de coopération en 1999, les échanges et collaborations ne cessent de se multiplier avec ce partenaire incontournable, offrant notamment aux étudiants et jeunes travailleurs des opportunités de mobilité stimulantes.
Le parcours de Firdaousse Arrami en est la preuve tangible. C’est dans le cadre de ces accords, qu’elle a réalisé deux stages à Bruxelles, touchant chacun à la bande dessinée. Des expériences professionnelles complémentaires mais surtout humaines enrichissantes qui ont pu se réaliser grâce au soutien dans un premier temps, de la Délégation Wallonie-Bruxelles à Rabat, premier interlocuteur pour toute personne porteuse d’un projet au Maroc qu’elle souhaite réaliser en Belgique francophone, puis de WBI, force de proposition en matière de financement.
Retour au débutL’enthousiasme, c’est la clé !
Curieuse insatiable, Firdaousse Arrami possède une énergie redoutable quand il s’agit de s’atteler à de nouveaux projets. Forte d’un master en études théâtrales et d’une licence en scénographie, elle dessine pour la bande dessinée, écrit des scénarios, réalise des costumes, développe des projets de films d’animations, dirige la scénographie de pièces de théâtre, anime des ateliers et bien d’autres choses encore.
Wallonie-Bruxelles International l’a rencontrée au premier Salon International du Livre Enfant et Jeunesse à Casablanca où elle animait des ateliers d’initiation à la bande dessinée auprès du jeune public. Sa présence joyeuse nous a convaincu de recueillir son témoignage sur l’expérience qu’elle a vécue en Belgique grâce aux soutiens de WBI.
C’est une rencontre déterminante avec le bédéiste Pierre Lecrenier, lors du Festival du Cinéma d'Animation à Meknès en 2021, qui va la mener jusqu’à Bruxelles.
Retour au débutUn voyage artistique entre le Maroc et la Belgique
La Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Maroc, propose en effet à l’étudiante marocaine une résidence d’artiste à l’Atelier Mille, où travaille l’artiste belge, lieu créé en 2011 par des ami.e.s formés à l’Institut Saint-Luc de Bruxelles.
Durant cette résidence prise en charge par WBI, Firdaousse Arrami travaille sur divers projets, qu’elle présente ensuite lors d'une exposition à l'atelier Mille. Elle y reçoit un accueil très encourageant de la part des visiteurs.
Invitée au Forum de la Bande Dessinée de Tétouan, elle partage alors son travail et rencontre Isabelle Debekker, directrice du Centre belge de la bande dessinée à Bruxelles auprès de laquelle elle sollicite un stage d’un mois pour compléter ses travaux de recherche pour son master en études théâtrales à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de Mohammedia. Difficile de résister à l’enthousiasme rayonnant de Firdaousse Arrami !
C’est ainsi qu’elle revient à Bruxelles, dans un musée mythique où son intérêt se porte alors sur l'adaptation d'une œuvre théâtrale en bande dessinée. L’expérience est si enrichissante pour l’étudiante et le musée que chacun est désireux de la poursuivre et Firdaousse Arrami prolonge son stage d’un mois.
Quand nous la rencontrons à Bruxelles, elle revient du Festival d’Angoulême où son appétit de découvertes l’a menée et s’apprête à retourner au Maroc tracer son avenir, nourri de rencontres, de cultures nouvelles, de projets à dessiner. Elle a tracé son chemin d’ouverture entre la Belgique et le Maroc.
Les programmes de soutien développés par Wallonie-Bruxelles International et ses représentations à l’étranger permettent de lancer des passerelles entre les cultures et les peuples, de renforcer les dialogues et d’ouvrir de nouvelles perspectives d’études, professionnelles, culturelles et humaines.
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Le 12 juin prochain, à la Bourse de Namur, WALMEET.EU, l’Union des Villes et Communes de Wallonie, le SPW Energie et la Fédération européenne des Agences et des Régions pour l’Energie (FEDARENE), organisent une séance d’information et de sensibilisation à deux initiatives européennes majeures pour les autorités locales et les associations.
Retour au débutA qui s’adresse cette séance ?
Aux autorités locales et régionales et, en ce qui concerne le programme CERV, aux associations de défense des droits de l’homme, ou actives sur l’inclusivité et l’égalité de genre.
Les appels et les objectifs du programme CERV et l’outil ELENA ainsi que les supports disponibles en Wallonie pour aider les bénéficiaires potentiels de ces initiatives européennes seront présentés dans un style clair et accessible.
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Retour au début
Le programme « Citoyens, égalité, droits et valeurs » (CERV)
Le Programme CERV vise à protéger et promouvoir les droits et les valeurs des traités et de la Charte européenne des Droits fondamentaux. CERV soutient des organisations de la société civile, et des autorités locales et régionales qui contribuent à ces objectifs.
CERV a ouvert plusieurs appels à propositions qui se clôtureront en septembre. Des représentants de l’agence exécutive en charge de ce programme viendront exposer le contexte, les attentes et les possibilités offertes par ces appels. CERV sera présenté en matinée de cette journée. https://walmeet.eu/appel-a-propositions-jumelage-de-villes-et-de-commun…
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Retour au début
ELENA
ELENA est le Mécanisme européen d’Assistance technique pour les Projets d’Efficacité énergétique locaux. Il s’agit d’un outil de la Banque européenne d’Investissement (BEI). Il sera présenté dans l’après-midi de cette journée. Il est plus spécifiquement dédié aux autorités locales et régionales. https://walmeet.eu/european-local-energy-assistance-elena/
Un.e représentant.e d’ELENA présentera l’outil, son fonctionnement et sa méthode d’activation. Cette présentation sera complétée par une description des supports offerts notamment par la FEDARENE.
Retour au débutProgramme
- 9h00 – 9h30 Accueil
- 9h30 – 9h45 Introduction
Mme Pascale DELCOMMINETTE, Administratrice générale de Wallonie-Bruxelles International
Mme Michèle BOVERIE, Directrice de l’Union des Villes et des Communes de Wallonie
- 9h45 – 10h15 Les appels CERV en cours : que peuvent y trouver les villes, commune et association de défense des droits humains ? par M. Marco SIOLI, de l’Agence EACEA.
- 10h15 – 10h45 Présentation d’un projet gagnant et échange d’expériences
- 10h45 – 11h00 Pause
- 11h15 – 11h45 Questions – Réponses et commentaires
- 11h45 – 12h00 Conclusion
Mme Michèle BOVERIE
Mme Anne PEETERS, Wallonia Meets EU (WBI)
- 12h00 – 13h30 Lunch
- 13H30 – 13h45 Introduction
M. Jean PAMEL, Inspecteur Général au SPW Territoire, Logement, Patrimoine et Energie
- 13h45 – 14h15 ELENA, the European local Energy Assistance
Mme Louise WHITE, European Investment Bank
- 14h15 – 14h45 Questions – Réponses
- 14h45 – 15h15 Les services proposés par la FEDARENE, Fédération européenne des Agences et des Régions pour l’Energie et l’Environnement, par Mme Elodie BOSSIO, FEDARENE.
- 15h15 – 15h45 Questions – Réponses
- 15h45 – 16h00 Conclusions
Informations
Mercredi 12 juin 2024, de 9h00 à 16h00.
La Bourse – 1 place d’armes – 5000 Namur
Inscription gratuite mais obligatoire.
Contact: info@walmeet.eu
Retour au débutLe 12 juin prochain, à la Bourse de Namur, WALMEET.EU, l’Union des Villes et Communes de Wallonie, le SPW Energie et la Fédération européenne des Agences et des Régions pour l’Energie (FEDARENE), organisent une séance d’information et de sensibilisation à deux initiatives européennes majeures pour les autorités locales et les associations.
Retour au débutA qui s’adresse cette séance ?
Aux autorités locales et régionales et, en ce qui concerne le programme CERV, aux associations de défense des droits de l’homme, ou actives sur l’inclusivité et l’égalité de genre.
Les appels et les objectifs du programme CERV et l’outil ELENA ainsi que les supports disponibles en Wallonie pour aider les bénéficiaires potentiels de ces initiatives européennes seront présentés dans un style clair et accessible.
-
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Le programme « Citoyens, égalité, droits et valeurs » (CERV)
Le Programme CERV vise à protéger et promouvoir les droits et les valeurs des traités et de la Charte européenne des Droits fondamentaux. CERV soutient des organisations de la société civile, et des autorités locales et régionales qui contribuent à ces objectifs.
CERV a ouvert plusieurs appels à propositions qui se clôtureront en septembre. Des représentants de l’agence exécutive en charge de ce programme viendront exposer le contexte, les attentes et les possibilités offertes par ces appels. CERV sera présenté en matinée de cette journée. https://walmeet.eu/appel-a-propositions-jumelage-de-villes-et-de-commun…
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ELENA
ELENA est le Mécanisme européen d’Assistance technique pour les Projets d’Efficacité énergétique locaux. Il s’agit d’un outil de la Banque européenne d’Investissement (BEI). Il sera présenté dans l’après-midi de cette journée. Il est plus spécifiquement dédié aux autorités locales et régionales. https://walmeet.eu/european-local-energy-assistance-elena/
Un.e représentant.e d’ELENA présentera l’outil, son fonctionnement et sa méthode d’activation. Cette présentation sera complétée par une description des supports offerts notamment par la FEDARENE.
Retour au débutProgramme
- 9h00 – 9h30 Accueil
- 9h30 – 9h45 Introduction
Mme Pascale DELCOMMINETTE, Administratrice générale de Wallonie-Bruxelles International
Mme Michèle BOVERIE, Directrice de l’Union des Villes et des Communes de Wallonie
- 9h45 – 10h15 Les appels CERV en cours : que peuvent y trouver les villes, commune et association de défense des droits humains ? par M. Marco SIOLI, de l’Agence EACEA.
- 10h15 – 10h45 Présentation d’un projet gagnant et échange d’expériences
- 10h45 – 11h00 Pause
- 11h15 – 11h45 Questions – Réponses et commentaires
- 11h45 – 12h00 Conclusion
Mme Michèle BOVERIE
Mme Anne PEETERS, Wallonia Meets EU (WBI)
- 12h00 – 13h30 Lunch
- 13H30 – 13h45 Introduction
M. Jean PAMEL, Inspecteur Général au SPW Territoire, Logement, Patrimoine et Energie
- 13h45 – 14h15 ELENA, the European local Energy Assistance
Mme Louise WHITE, European Investment Bank
- 14h15 – 14h45 Questions – Réponses
- 14h45 – 15h15 Les services proposés par la FEDARENE, Fédération européenne des Agences et des Régions pour l’Energie et l’Environnement, par Mme Elodie BOSSIO, FEDARENE.
- 15h15 – 15h45 Questions – Réponses
- 15h45 – 16h00 Conclusions
Informations
Mercredi 12 juin 2024, de 9h00 à 16h00.
La Bourse – 1 place d’armes – 5000 Namur
Inscription gratuite mais obligatoire.
Contact: info@walmeet.eu
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Verviers, le musée des Beaux-Arts et de la Céramique, plongée dans le passé
Fermé durant plus de deux ans à cause des dégâts subis suite aux inondations de juillet 2021, le Musée des Beaux-Arts et de la Céramique de Verviers a rouvert ses portes en janvier dernier. Et il mérite le déplacement. Vous pourrez y admirer un échantillon de peintures européennes anciennes, modernes et contemporaines (du XVe au XXe siècle), de sculptures, gravures, mobiliers, dentelles, pièces archéologiques. Le Musée permet aussi de découvrir l’une des plus importantes et intéressantes collections de céramiques en Belgique. Porcelaines chinoises, productions allemandes ou autrichiennes, services bruxellois, faïences de Delft bleues ou polychromes, grès de Raeren, pièces d’Andenne ou de Strasbourg, ainsi qu’une section de céramiques modernes. Ces merveilles sont présentées dans une nouvelle scénographie en attendant d’admirer l’ensemble des collections dans le futur musée à l’Hôtel de Biolley, un bâtiment classé.
Ancienne cité lainière à l’apogée de sa puissance industrielle et de sa richesse à la fin du XIXe siècle, Verviers a conservé de son glorieux passé de nombreuses œuvres d’art acquises par de riches industriels rassemblant des collections à l’aune de leur fortune, parfois avec les précieux conseils de Jean-Simon Renier, peintre, historien et collectionneur. En 1884, celui-ci a fondé le Musée des Beaux-Arts et de la Céramique dans l’ancien « Hôpital nouveau » et fait don à la Ville de Verviers de gravures, peintures, céramiques et sculptures. Grâce à ses amitiés, peu de temps après sa mort, l’institution s’est enrichie de legs extraordinaires par leur importance et leur qualité. Ces dons, complétant ceux de l’artiste, permettent de découvrir un véritable panorama de la peinture européenne, en plus de la collection de céramiques. Nombreux sont les visiteurs qui se déplacent pour admirer cet ensemble très complet. L’art moderne n’est pas oublié. Des salles sont consacrées à l’Ecole intimiste verviétoise, des peintres qui ont représenté villages et coins de nature de la région, dont notamment l’un de ses plus célèbres représentants, Maurice Pirenne.
Au Musée de Verviers, on peut aussi se distraire en famille. Et quoi de plus amusant que d’arpenter un musée en jouant ? Avec le jeu de société « Qui est-ce »®, parents et grands-parents sont invités à faire découvrir à leurs enfants et petits-enfants les collections de peintures, sculptures et céramiques. Revisitant ce fameux jeu, le musée propose une partie en duel ou en équipe. Munis d’un plateau reprenant les visages de 25 personnages emblématiques du musée, chaque joueur doit découvrir, par des questions-réponses, le personnage-mystère de son adversaire. La partie terminée, les enfants partent à la recherche de leur personnage caché dans les tableaux et céramiques. Un petit livret leur permet d’en apprendre un peu plus sur l’œuvre exposée. Une visite du musée ludique et surprenante. Et le premier dimanche du mois, l’entrée est gratuite !
Envie d’une balade en famille? Partez sur les traces de Maurice Pirenne. Il y a cent ans, ce peintre reconnu a arpenté son Verviers natal et réalisé près de 600 pastels de coins charmants. Muni d’un plan et d’un carnet ludique et didactique, partez à la découverte de la Cité lainière d’antan.
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La Venntrilogie, itinéraire pédestre de l’année
Besoin de prendre l’air ? A proximité de la région verviétoise, les Cantons de l’Est ont tout pour vous séduire en matière de balades. Certaines d’entre elles ont même été primées. C’est le cas de la Venntrilogie. Ce nouveau sentier de randonnée permet d’explorer la région d’Eupen, une partie des Hautes Fagnes et la vallée de la Warche entre Malmedy et Butgenbach. Cette année, la Venntrilogie a été désignée « Wandelroute van het Jaar » (itinéraire pédestre de l’année), dans le cadre du salon outdoor « Fiets- en Wandelbeurs » à Gand. Chaque année, ce prix récompense les plus beaux sentiers de grande randonnée du Benelux. Un autre itinéraire, la Vennbahn, avait déjà remporté ce prix en 2014. Avant ce titre, la qualité de la Venntrilogie avait déjà été certifiée en 2023 par le prestigieux label « Leading Quality Trails – Best of Europe » de la Fédération européenne de la randonnée pédestre.
Ce parcours est le meilleur moyen pour les amoureux de la nature et les randonneurs de découvrir la richesse des Cantons de l’Est. Inauguré en août 2023, il mène du site des Trois-Frontières (Belgique, Pays-Bas, Allemagne), près de La Calamine, jusqu’à Butgenbach, sur 109 kilomètres. Sa particularité ? Il relie les trois paysages emblématiques des Fagnes, vous dévoilant la nature la plus surprenante des Cantons de l’Est : le paysage de bocages et de haies au nord, les tourbières des Hautes Fagnes au centre et le paysage de forêts et de lacs au sud.
Découpé en six étapes, ce sentier vous emmène véritablement en voyage de découverte. C’est dans la Fagne du nord, pas loin d’Eupen, que commence l’aventure. Vous passerez d’une prairie à l’autre grâce aux multiples échaliers qui émaillent le tracé.
Etape 1 : Trois-Frontières-Eynatten (23,5 km). Entre des forêts gracieuses, des bocages pittoresques et des vergers, découvrez des collines verdoyantes.
Etape 2 : Eynatten-Eupen (18,9 km). Sur la deuxième étape, vous marchez entre les villages, à travers champs et vous franchissez la forêt des Ducs pour rejoindre Eupen.
Les Hautes Fagnes et leurs plateaux typiques de pure nature entre Eupen et Malmedy vous plongent dans la préhistoire, un no man’s land qui conserve encore aujourd’hui tout son mystère.
Etape 3 : Eupen-Botrange (24,8 km). La plus longue étape de votre aventure vous fait monter en douceur jusqu’au toit de la Belgique. Ce tracé vous montre toute la diversité des paysages fagnards, de la vallée de la Helle aux immenses étendues arides de la Fagne wallonne.
Etape 4 : Botrange-Malmedy (19,9 km). Il est temps de mettre vos mollets à l’épreuve dans la descente, du point culminant de la Belgique jusqu’à Malmedy. Reliez ainsi les classiques de la randonnée, la cascade du Baychon ou le canyon du Trôs Marèt.
Dans la Fagne du sud, là où la nature rencontre le folklore au rythme de la Warche, la région la plus ardennaise, l’eau est le fil conducteur des balades.
Etape 5 : Malmedy-Robertville (10,6 km). Vous traversez la vallée de la Warche, découvrez le point de vue époustouflant sur la vallée et admirez le célèbre château de Reinhardstein.
Etape 6 : Robertville-Butgenbach (11,9 km). Afin de terminer en douceur, la dernière étape vous emmène dans les paysages bucoliques, la Warche sous toutes ses expressions, longeant le lac de Robertville et le remontant ensuite.
Vous l’avez compris, la Venntrilogie est une randonnée qui vous emmène à la découverte des Cantons de l’Est, cette région à l’intersection de trois cultures. Muni du Guide de randonnée officiel, laissez-vous porter par les légendes et destins des héros, imaginaires ou réels. Vous y trouverez les différentes histoires autour de ces six étapes. Enfin, pour un repos bien mérité, vous trouverez facilement, parmi une offre diversifiée, l’hébergement qui répond le mieux à vos attentes.
Par Jacqueline Remits
Retour au débutVerviers, le musée des Beaux-Arts et de la Céramique, plongée dans le passé
Fermé durant plus de deux ans à cause des dégâts subis suite aux inondations de juillet 2021, le Musée des Beaux-Arts et de la Céramique de Verviers a rouvert ses portes en janvier dernier. Et il mérite le déplacement. Vous pourrez y admirer un échantillon de peintures européennes anciennes, modernes et contemporaines (du XVe au XXe siècle), de sculptures, gravures, mobiliers, dentelles, pièces archéologiques. Le Musée permet aussi de découvrir l’une des plus importantes et intéressantes collections de céramiques en Belgique. Porcelaines chinoises, productions allemandes ou autrichiennes, services bruxellois, faïences de Delft bleues ou polychromes, grès de Raeren, pièces d’Andenne ou de Strasbourg, ainsi qu’une section de céramiques modernes. Ces merveilles sont présentées dans une nouvelle scénographie en attendant d’admirer l’ensemble des collections dans le futur musée à l’Hôtel de Biolley, un bâtiment classé.
Ancienne cité lainière à l’apogée de sa puissance industrielle et de sa richesse à la fin du XIXe siècle, Verviers a conservé de son glorieux passé de nombreuses œuvres d’art acquises par de riches industriels rassemblant des collections à l’aune de leur fortune, parfois avec les précieux conseils de Jean-Simon Renier, peintre, historien et collectionneur. En 1884, celui-ci a fondé le Musée des Beaux-Arts et de la Céramique dans l’ancien « Hôpital nouveau » et fait don à la Ville de Verviers de gravures, peintures, céramiques et sculptures. Grâce à ses amitiés, peu de temps après sa mort, l’institution s’est enrichie de legs extraordinaires par leur importance et leur qualité. Ces dons, complétant ceux de l’artiste, permettent de découvrir un véritable panorama de la peinture européenne, en plus de la collection de céramiques. Nombreux sont les visiteurs qui se déplacent pour admirer cet ensemble très complet. L’art moderne n’est pas oublié. Des salles sont consacrées à l’Ecole intimiste verviétoise, des peintres qui ont représenté villages et coins de nature de la région, dont notamment l’un de ses plus célèbres représentants, Maurice Pirenne.
Au Musée de Verviers, on peut aussi se distraire en famille. Et quoi de plus amusant que d’arpenter un musée en jouant ? Avec le jeu de société « Qui est-ce »®, parents et grands-parents sont invités à faire découvrir à leurs enfants et petits-enfants les collections de peintures, sculptures et céramiques. Revisitant ce fameux jeu, le musée propose une partie en duel ou en équipe. Munis d’un plateau reprenant les visages de 25 personnages emblématiques du musée, chaque joueur doit découvrir, par des questions-réponses, le personnage-mystère de son adversaire. La partie terminée, les enfants partent à la recherche de leur personnage caché dans les tableaux et céramiques. Un petit livret leur permet d’en apprendre un peu plus sur l’œuvre exposée. Une visite du musée ludique et surprenante. Et le premier dimanche du mois, l’entrée est gratuite !
Envie d’une balade en famille? Partez sur les traces de Maurice Pirenne. Il y a cent ans, ce peintre reconnu a arpenté son Verviers natal et réalisé près de 600 pastels de coins charmants. Muni d’un plan et d’un carnet ludique et didactique, partez à la découverte de la Cité lainière d’antan.
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La Venntrilogie, itinéraire pédestre de l’année
Besoin de prendre l’air ? A proximité de la région verviétoise, les Cantons de l’Est ont tout pour vous séduire en matière de balades. Certaines d’entre elles ont même été primées. C’est le cas de la Venntrilogie. Ce nouveau sentier de randonnée permet d’explorer la région d’Eupen, une partie des Hautes Fagnes et la vallée de la Warche entre Malmedy et Butgenbach. Cette année, la Venntrilogie a été désignée « Wandelroute van het Jaar » (itinéraire pédestre de l’année), dans le cadre du salon outdoor « Fiets- en Wandelbeurs » à Gand. Chaque année, ce prix récompense les plus beaux sentiers de grande randonnée du Benelux. Un autre itinéraire, la Vennbahn, avait déjà remporté ce prix en 2014. Avant ce titre, la qualité de la Venntrilogie avait déjà été certifiée en 2023 par le prestigieux label « Leading Quality Trails – Best of Europe » de la Fédération européenne de la randonnée pédestre.
Ce parcours est le meilleur moyen pour les amoureux de la nature et les randonneurs de découvrir la richesse des Cantons de l’Est. Inauguré en août 2023, il mène du site des Trois-Frontières (Belgique, Pays-Bas, Allemagne), près de La Calamine, jusqu’à Butgenbach, sur 109 kilomètres. Sa particularité ? Il relie les trois paysages emblématiques des Fagnes, vous dévoilant la nature la plus surprenante des Cantons de l’Est : le paysage de bocages et de haies au nord, les tourbières des Hautes Fagnes au centre et le paysage de forêts et de lacs au sud.
Découpé en six étapes, ce sentier vous emmène véritablement en voyage de découverte. C’est dans la Fagne du nord, pas loin d’Eupen, que commence l’aventure. Vous passerez d’une prairie à l’autre grâce aux multiples échaliers qui émaillent le tracé.
Etape 1 : Trois-Frontières-Eynatten (23,5 km). Entre des forêts gracieuses, des bocages pittoresques et des vergers, découvrez des collines verdoyantes.
Etape 2 : Eynatten-Eupen (18,9 km). Sur la deuxième étape, vous marchez entre les villages, à travers champs et vous franchissez la forêt des Ducs pour rejoindre Eupen.
Les Hautes Fagnes et leurs plateaux typiques de pure nature entre Eupen et Malmedy vous plongent dans la préhistoire, un no man’s land qui conserve encore aujourd’hui tout son mystère.
Etape 3 : Eupen-Botrange (24,8 km). La plus longue étape de votre aventure vous fait monter en douceur jusqu’au toit de la Belgique. Ce tracé vous montre toute la diversité des paysages fagnards, de la vallée de la Helle aux immenses étendues arides de la Fagne wallonne.
Etape 4 : Botrange-Malmedy (19,9 km). Il est temps de mettre vos mollets à l’épreuve dans la descente, du point culminant de la Belgique jusqu’à Malmedy. Reliez ainsi les classiques de la randonnée, la cascade du Baychon ou le canyon du Trôs Marèt.
Dans la Fagne du sud, là où la nature rencontre le folklore au rythme de la Warche, la région la plus ardennaise, l’eau est le fil conducteur des balades.
Etape 5 : Malmedy-Robertville (10,6 km). Vous traversez la vallée de la Warche, découvrez le point de vue époustouflant sur la vallée et admirez le célèbre château de Reinhardstein.
Etape 6 : Robertville-Butgenbach (11,9 km). Afin de terminer en douceur, la dernière étape vous emmène dans les paysages bucoliques, la Warche sous toutes ses expressions, longeant le lac de Robertville et le remontant ensuite.
Vous l’avez compris, la Venntrilogie est une randonnée qui vous emmène à la découverte des Cantons de l’Est, cette région à l’intersection de trois cultures. Muni du Guide de randonnée officiel, laissez-vous porter par les légendes et destins des héros, imaginaires ou réels. Vous y trouverez les différentes histoires autour de ces six étapes. Enfin, pour un repos bien mérité, vous trouverez facilement, parmi une offre diversifiée, l’hébergement qui répond le mieux à vos attentes.
Par Jacqueline Remits
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Le 8 avril 2024, au sein de l’hémicycle du Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles (PFWB), responsables politiques, académiques, experts, étudiants et citoyens investis se sont réunis pour aborder les défis et les opportunités du multilinguisme à notre époque.
La journée-conférence, organisée par la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) dans le cadre le Présidence belge du Conseil de l’UE, avait pour but de pérenniser la réflexion entamée par la Présidence française à propos du multilinguisme et de la diversité linguistique dans l’Union européenne.
Tout au long de la journée, les participants ont questionné diverses facettes de la thématique durant quatre tables rondes. Les deux premières ont examiné la place du multilinguisme dans nos sociétés, notamment au sein même des institutions européennes, et les deux suivantes ont abordé les enjeux liés à l'intelligence artificielle, ainsi que les politiques éducatives visant à promouvoir le multilinguisme auprès de la jeunesse européenne.
De ces échanges d’idées est née une brochure, synthétisant les conversations et les recommandations émises par les orateurs. Celle-ci est consultable via ce lien.
Retour au débutL’Europe, unie dans sa diversité
D’horizons et parcours variés, les panélistes ont parlé d’une seule voix pour rappeler que les langues ne se limitent pas à des mots : elles sont porteuses de valeurs, d'idéologies et d'émotions. Apprendre une nouvelle langue permet de découvrir une nouvelle réalité, d'acquérir des connaissances tangibles et immatérielles telles que la culture et la perception du monde. Chaque langue est le reflet d'une culture unique.
Les orateurs se sont également accordés sur l’importance de favoriser l’usage de la langue maternelle, que ce soit dans le cadre professionnel ou privé, mais qu’il est aussi primordial d’encourager et de faciliter l’apprentissage d’autres langues.
Parallèlement, les invités ont mis en avant le rôle de la langue comme levier permettant de partager ses opinions et de contribuer au débat d’idées. La diversité linguistique au sein de l’UE est de ce fait essentielle, si nous voulons préserver une démocratie vivante et plurielle.
Retour au débutPistes et recommandations
Les interventions, débats et diverses questions ont amené les invités à émettre des recommandations concrètes.
Les participants ont insisté sur le fait qu’il est essentiel de développer et de renforcer les programmes de mobilité tels qu’Erasmus +, afin de rendre l'apprentissage des langues attractif et accessible à tous. En outre, il a été suggéré de repenser les méthodes d'enseignement des langues à l'école, et de favoriser les échanges d'élèves et de professeurs au-delà des frontières linguistiques.
Plusieurs intervenants ont également souligné l’importance de personnaliser l’apprentissage des langues, afin que chacun puisse utiliser la méthode qui lui convient le mieux (activités ludiques, possibilités offertes par l’IA…). Enfin, il a été recommandé d'encourager des initiatives visant à développer des solutions linguistiques européennes diversifiées et éthiques, accessibles au plus grand nombre.
Pour découvrir l’ensemble des recommandations nées de ces échanges, nous vous invitons à consulter la brochure ci-dessous ou à la télécharger au bas de cette page.
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Le 8 avril 2024, au sein de l’hémicycle du Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles (PFWB), responsables politiques, académiques, experts, étudiants et citoyens investis se sont réunis pour aborder les défis et les opportunités du multilinguisme à notre époque.
La journée-conférence, organisée par la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) dans le cadre le Présidence belge du Conseil de l’UE, avait pour but de pérenniser la réflexion entamée par la Présidence française à propos du multilinguisme et de la diversité linguistique dans l’Union européenne.
Tout au long de la journée, les participants ont questionné diverses facettes de la thématique durant quatre tables rondes. Les deux premières ont examiné la place du multilinguisme dans nos sociétés, notamment au sein même des institutions européennes, et les deux suivantes ont abordé les enjeux liés à l'intelligence artificielle, ainsi que les politiques éducatives visant à promouvoir le multilinguisme auprès de la jeunesse européenne.
De ces échanges d’idées est née une brochure, synthétisant les conversations et les recommandations émises par les orateurs. Celle-ci est consultable via ce lien.
Retour au débutL’Europe, unie dans sa diversité
D’horizons et parcours variés, les panélistes ont parlé d’une seule voix pour rappeler que les langues ne se limitent pas à des mots : elles sont porteuses de valeurs, d'idéologies et d'émotions. Apprendre une nouvelle langue permet de découvrir une nouvelle réalité, d'acquérir des connaissances tangibles et immatérielles telles que la culture et la perception du monde. Chaque langue est le reflet d'une culture unique.
Les orateurs se sont également accordés sur l’importance de favoriser l’usage de la langue maternelle, que ce soit dans le cadre professionnel ou privé, mais qu’il est aussi primordial d’encourager et de faciliter l’apprentissage d’autres langues.
Parallèlement, les invités ont mis en avant le rôle de la langue comme levier permettant de partager ses opinions et de contribuer au débat d’idées. La diversité linguistique au sein de l’UE est de ce fait essentielle, si nous voulons préserver une démocratie vivante et plurielle.
Retour au débutPistes et recommandations
Les interventions, débats et diverses questions ont amené les invités à émettre des recommandations concrètes.
Les participants ont insisté sur le fait qu’il est essentiel de développer et de renforcer les programmes de mobilité tels qu’Erasmus +, afin de rendre l'apprentissage des langues attractif et accessible à tous. En outre, il a été suggéré de repenser les méthodes d'enseignement des langues à l'école, et de favoriser les échanges d'élèves et de professeurs au-delà des frontières linguistiques.
Plusieurs intervenants ont également souligné l’importance de personnaliser l’apprentissage des langues, afin que chacun puisse utiliser la méthode qui lui convient le mieux (activités ludiques, possibilités offertes par l’IA…). Enfin, il a été recommandé d'encourager des initiatives visant à développer des solutions linguistiques européennes diversifiées et éthiques, accessibles au plus grand nombre.
Pour découvrir l’ensemble des recommandations nées de ces échanges, nous vous invitons à consulter la brochure ci-dessous ou à la télécharger au bas de cette page.
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Le multilinguisme au 21ème siècle : compte-rendu d’une journée-conférence inspirante et prospective
Le 8 avril 2024, au sein de l’hémicycle du Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles (PFWB), responsables politiques, académiques, experts, étudiants et citoyens investis se sont réunis pour aborder les défis et les opportunités du multilinguisme à notre époque.
Plus d'infos: Le multilinguisme au 21ème siècle
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Dans ce cadre, la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam a le grand plaisir de faire découvrir DOUBLE IMPRO à Hue (suite à l’invitation du Festival de Hue) et à Hanoi (suite à l’invitation de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam).
Fondé en 2020, le groupe persiste dans la philosophie de l’improvisation et de l’interaction avec le public. Un tel partage et échange confectionne ainsi une expérience vivante et unique pour chaque fois sur scène.
Ce mois de juin 2024, les quatre artistes de DOUBLE IMPRO offriront la performance intitulée Conversation aux spectateurs de deux villes.
Les danseurs se rencontrent sur scène comme s’ils se rencontraient pour la première fois, et à travers leurs mouvements, ils tissent une conversation physique. Chaque mouvement, chaque pas, chaque geste est une réponse à ce que propose l'autre danseur, créant ainsi une harmonie dynamique entre les différentes expressions artistiques. Les danseurs partagent non seulement leurs compétences techniques mais aussi leur vulnérabilité, leurs expériences et leurs émotions, créant ainsi un dialogue profond et captivant avec le public. Conversation célèbre la diversité, l'interconnexion et le pouvoir de la communication non verbale à travers la danse.
Retour au débutHue
Performances à l’occasion du Festival international des arts de Hue
- 9 juin 2024 - 19:30 – 20:15
- 10 juin 2024 - 20:45 – 21:30
Place Quoc hoc, Ville de Hue
Retour au débutHanoi
Performance avec 3 groupes de Hip Hop vietnamiens invités par la Délégation
- 23 juin 2024 - 20:00 – 21:30
Théâtre de la Jeunesse du Vietnam, 11 Ngo Thi Nham, Hai Ba Trung
Entrée gratuite à Hue et entrée sur invitation à Hanoi
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Plus d’informations
Le Tuyet Nhung - Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam
Centre DAEHA (5ème étage – # 505)/ 360 Kim Ma, Ba Dinh, Hanoi
Tél : (024) 3 831.52.41 / GSM : 09 04 20 79 89 - Courriel : nhungwb@walbruvietnam.org
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Dans ce cadre, la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam a le grand plaisir de faire découvrir DOUBLE IMPRO à Hue (suite à l’invitation du Festival de Hue) et à Hanoi (suite à l’invitation de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam).
Fondé en 2020, le groupe persiste dans la philosophie de l’improvisation et de l’interaction avec le public. Un tel partage et échange confectionne ainsi une expérience vivante et unique pour chaque fois sur scène.
Ce mois de juin 2024, les quatre artistes de DOUBLE IMPRO offriront la performance intitulée Conversation aux spectateurs de deux villes.
Les danseurs se rencontrent sur scène comme s’ils se rencontraient pour la première fois, et à travers leurs mouvements, ils tissent une conversation physique. Chaque mouvement, chaque pas, chaque geste est une réponse à ce que propose l'autre danseur, créant ainsi une harmonie dynamique entre les différentes expressions artistiques. Les danseurs partagent non seulement leurs compétences techniques mais aussi leur vulnérabilité, leurs expériences et leurs émotions, créant ainsi un dialogue profond et captivant avec le public. Conversation célèbre la diversité, l'interconnexion et le pouvoir de la communication non verbale à travers la danse.
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Performances à l’occasion du Festival international des arts de Hue
- 9 juin 2024 - 19:30 – 20:15
- 10 juin 2024 - 20:45 – 21:30
Place Quoc hoc, Ville de Hue
Retour au débutHanoi
Performance avec 3 groupes de Hip Hop vietnamiens invités par la Délégation
- 23 juin 2024 - 20:00 – 21:30
Théâtre de la Jeunesse du Vietnam, 11 Ngo Thi Nham, Hai Ba Trung
Entrée gratuite à Hue et entrée sur invitation à Hanoi
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Plus d’informations
Le Tuyet Nhung - Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Vietnam
Centre DAEHA (5ème étage – # 505)/ 360 Kim Ma, Ba Dinh, Hanoi
Tél : (024) 3 831.52.41 / GSM : 09 04 20 79 89 - Courriel : nhungwb@walbruvietnam.org
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La mission du Délégué général Jean-François Pakula (juridiction Sénégal, Burkina Faso, Bénin) et de Stéphane Carlier, chef de service à la DCBD, à Cotonou, au début du mois de novembre 2023, a permis de déterminer les orientation de la stratégie pour la coopération bilatérale 2024-2028 en identifiant les principes de coopération ainsi que les secteurs d’intervention prioritaires, en accord avec les interlocuteurs béninois (Ministère des Affaires étrangères (MAE) et Ministère de l’Économie et des Finances (MEF) en charge de la coopération internationale depuis avril 2023).
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Une stratégie d’alignement, de cohérence
Le choix des secteurs stratégiques reflète une démarche d’alignement des objectifs et de cohérence des moyens. Ce choix rencontre les Objectifs de Développement Durable (ODD) de manière générale, les objectifs développés par le programme d’action gouvernementale II (PAG2) du Gouvernement du Bénin, et les Notes de Politique Internationale du Gouvernement wallon et du Gouvernement de la FWB (2019-2024). Notons aussi la prise en compte des acquis de la programmation précédente et des priorités émises par le Ministère des Affaires étrangères, le Ministère en charge de la Coopération internationale et les Ministères sectoriels béninois.
Retour au début5 axes d’une coopération à vocation structurante
1. Développement économique des MPME
Dans le cadre de la transformation structurelle de son économie, le Bénin a mis l’accent sur la promotion et le développement des micro, petites et moyennes entreprises (MPME), créatrices de richesses et d’emplois. À cette fin, le Gouvernement a créé l’Agence de Développement des PME (ADPME) qui, en tant que guichet unique des MPME, a pour vocation de fédérer l’ensemble des interventions de l’État au profit des MPME.
2. Culture : Industries Culturelles et Créatives (ICC)
Le Bénin dispose d’un important patrimoine culturel avec des savoir-faire artistiques reconnus, créateurs d’emplois et de richesses. Ces potentialités se déploieront davantage grâce à la stratégie de développement du secteur culturel et des Industries Culturelles et Créatives (ICC) basée sur la structuration des opérateurs culturels, l’identification des filières porteuses, la professionnalisation et la mise en réseaux des acteurs. La structuration de ces filières offrira des débouchés économiques et renforcera l’accès des populations au patrimoine et aux produits culturels et créatifs.
3. Tourisme
Le Bénin dispose de nombreuses ressources touristiques qui offrent des perspectives intéressantes en matière de développement, mais qui demandent à être valorisées. À côté des efforts entrepris par le Gouvernement, notamment au niveau des infrastructures, la poursuite de l’amélioration de la qualité des services touristiques par des formations et des échanges de bonnes pratiques contribueront à faire de ce secteur une filière porteuse de développement, créatrice d’emplois, de richesses et de rayonnement international du Bénin.
4. Aide à la jeunesse - Intégration socioéconomique des personnes vulnérables - Sport
Cette préoccupation incite à rechercher des solutions et des pratiques innovantes pour la protection des populations vulnérables, la promotion du genre comme l’intégration des filles à l’école, l’intégration socioéconomique des femmes et des personnes porteuses de handicaps, ou encore la protection et la réinsertion des mineurs en danger.
5. Garantir un accès universel à l’eau potable
Au-delà des objectifs spécifiques visant à contribuer à assurer la couverture en eau potable pour tous d’ici à 2030, à garantir la disponibilité d’une eau potable de qualité de façon continue et durable et à assurer une gestion intégrée des ressources en eau dans un contexte de bonne gouvernance du secteur, l’amplification du volet « eau agricole » permettra de contribuer à une amélioration du revenu des exploitants et des performances agricoles.
Retour au début2024 une année spéciale pour la coopération entre Wallonie-Bruxelles et le Bénin
L’accord de coopération entre la Région wallonne, la Communauté française de Belgique, la COCOF et la République du Bénin a été signé le 28 janvier 1999.
2024 marque donc les 25 ans de cet accord mais également les 40 ans du premier accord de coopération du 7 février 1984, signé alors entre la République du Bénin et le Gouvernement de la Communauté française de Belgique. Le Bénin a en effet reconnu dès 1984 l’organisation fédérale de la Belgique en signant un accord de coopération avec la Communauté française de Belgique, dont c’était d’ailleurs le premier accord international. Cela a constitué le précédent politique et diplomatique qui a permis à nos entités fédérées francophones de signer des accords avec d’autres États.
Retour au débutPerspectives
Une mission économique et commerciale de l’AWEX sera programmée du 2 au 9 novembre 2024. Cette mission rencontrera également les domaines stratégiques prioritaires du PAG II et s’articulera autour des secteurs suivants :
- Economie verte (eau, environnement, énergie)
- Infrastructures et transport
- Numérique et ICC
Découvrir les relations entre Wallonie-Bruxelles et le Bénin : Fiche Pays Bénin
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La mission du Délégué général Jean-François Pakula (juridiction Sénégal, Burkina Faso, Bénin) et de Stéphane Carlier, chef de service à la DCBD, à Cotonou, au début du mois de novembre 2023, a permis de déterminer les orientation de la stratégie pour la coopération bilatérale 2024-2028 en identifiant les principes de coopération ainsi que les secteurs d’intervention prioritaires, en accord avec les interlocuteurs béninois (Ministère des Affaires étrangères (MAE) et Ministère de l’Économie et des Finances (MEF) en charge de la coopération internationale depuis avril 2023).
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Une stratégie d’alignement, de cohérence
Le choix des secteurs stratégiques reflète une démarche d’alignement des objectifs et de cohérence des moyens. Ce choix rencontre les Objectifs de Développement Durable (ODD) de manière générale, les objectifs développés par le programme d’action gouvernementale II (PAG2) du Gouvernement du Bénin, et les Notes de Politique Internationale du Gouvernement wallon et du Gouvernement de la FWB (2019-2024). Notons aussi la prise en compte des acquis de la programmation précédente et des priorités émises par le Ministère des Affaires étrangères, le Ministère en charge de la Coopération internationale et les Ministères sectoriels béninois.
Retour au début5 axes d’une coopération à vocation structurante
1. Développement économique des MPME
Dans le cadre de la transformation structurelle de son économie, le Bénin a mis l’accent sur la promotion et le développement des micro, petites et moyennes entreprises (MPME), créatrices de richesses et d’emplois. À cette fin, le Gouvernement a créé l’Agence de Développement des PME (ADPME) qui, en tant que guichet unique des MPME, a pour vocation de fédérer l’ensemble des interventions de l’État au profit des MPME.
2. Culture : Industries Culturelles et Créatives (ICC)
Le Bénin dispose d’un important patrimoine culturel avec des savoir-faire artistiques reconnus, créateurs d’emplois et de richesses. Ces potentialités se déploieront davantage grâce à la stratégie de développement du secteur culturel et des Industries Culturelles et Créatives (ICC) basée sur la structuration des opérateurs culturels, l’identification des filières porteuses, la professionnalisation et la mise en réseaux des acteurs. La structuration de ces filières offrira des débouchés économiques et renforcera l’accès des populations au patrimoine et aux produits culturels et créatifs.
3. Tourisme
Le Bénin dispose de nombreuses ressources touristiques qui offrent des perspectives intéressantes en matière de développement, mais qui demandent à être valorisées. À côté des efforts entrepris par le Gouvernement, notamment au niveau des infrastructures, la poursuite de l’amélioration de la qualité des services touristiques par des formations et des échanges de bonnes pratiques contribueront à faire de ce secteur une filière porteuse de développement, créatrice d’emplois, de richesses et de rayonnement international du Bénin.
4. Aide à la jeunesse - Intégration socioéconomique des personnes vulnérables - Sport
Cette préoccupation incite à rechercher des solutions et des pratiques innovantes pour la protection des populations vulnérables, la promotion du genre comme l’intégration des filles à l’école, l’intégration socioéconomique des femmes et des personnes porteuses de handicaps, ou encore la protection et la réinsertion des mineurs en danger.
5. Garantir un accès universel à l’eau potable
Au-delà des objectifs spécifiques visant à contribuer à assurer la couverture en eau potable pour tous d’ici à 2030, à garantir la disponibilité d’une eau potable de qualité de façon continue et durable et à assurer une gestion intégrée des ressources en eau dans un contexte de bonne gouvernance du secteur, l’amplification du volet « eau agricole » permettra de contribuer à une amélioration du revenu des exploitants et des performances agricoles.
Retour au début2024 une année spéciale pour la coopération entre Wallonie-Bruxelles et le Bénin
L’accord de coopération entre la Région wallonne, la Communauté française de Belgique, la COCOF et la République du Bénin a été signé le 28 janvier 1999.
2024 marque donc les 25 ans de cet accord mais également les 40 ans du premier accord de coopération du 7 février 1984, signé alors entre la République du Bénin et le Gouvernement de la Communauté française de Belgique. Le Bénin a en effet reconnu dès 1984 l’organisation fédérale de la Belgique en signant un accord de coopération avec la Communauté française de Belgique, dont c’était d’ailleurs le premier accord international. Cela a constitué le précédent politique et diplomatique qui a permis à nos entités fédérées francophones de signer des accords avec d’autres États.
Retour au débutPerspectives
Une mission économique et commerciale de l’AWEX sera programmée du 2 au 9 novembre 2024. Cette mission rencontrera également les domaines stratégiques prioritaires du PAG II et s’articulera autour des secteurs suivants :
- Economie verte (eau, environnement, énergie)
- Infrastructures et transport
- Numérique et ICC
Découvrir les relations entre Wallonie-Bruxelles et le Bénin : Fiche Pays Bénin
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2024 est une année charnière pour notre démocratie. Avec des élections à tous les niveaux de pouvoirs en Belgique, et un renouvellement de l’hémicycle du Parlement européen, cette année sera déterminante pour les cinq* ans à venir. (*six, pour les communes et provinces).
Une nouveauté marquante : les jeunes âgés de 16 et 17 ans auront le droit de vote pour les élections européennes, qui tombent à la fin de la Présidence belge du Conseil de l’UE. Pour certains jeunes, le chemin vers les urnes est clair. Pour d’autres, c’est le brouillard complet, notamment car ils ne disposent pas d’informations pertinentes et fiables. Tous les contenus informatifs existent, cependant ils sont dispersés, ce qui peut empêcher les jeunes et les professionnel·le·s de l’éducation de s’informer et d’informer sur ces enjeux.
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Toutes les ressources pour saisir les élections
C’est sur base de ce constat que le Forum des jeunes, en collaboration avec des organisations du secteur de la jeunesse et de l'éducation permanente, a entrepris de répertorier sur un seul site toutes les ressources disponibles en Fédération Wallonie-Bruxelles.
Ce guide complet, Ressourcesélections.be, a pour but d’informer les jeunes sur la démocratie et la procédure de vote en Belgique, afin qu’ils comprennent tous les enjeux des élections prochaines. Chaque section renvoie vers un site, ou un fichier, qui explique de façon accessible le ‘qui, pourquoi, pour qui, et comment’ des élections, ainsi que le fonctionnement du système politique belge. Un volet est dédié aux élections européennes et au vote à partir de 16 ans.
Le Bureau International Jeunesse (BIJ) a également compilé dans un article différents outils permettant aux acteurs du secteur de la jeunesse d’informer et d’encourager les jeunes à participer aux élections, mais également des ressources permettant comprendre le fonctionnement de l’Union européenne.
Retour au débutZoom sur l’UE
Afin que les résidents des pays membre de l’Union européenne puissent comprendre leur rôle et pleinement s’approprier les élections à venir, les institutions ont développé différentes plateformes didactiques :
- Parlement EU - Comment voter pour les élections européennes ?
Cette plateforme a été mise en place par le bureau de liaison du Parlement européen et explique comment et pour qui les Belges peuvent voter lors des élections.
- Walk the talk EU - Tout savoir sur la politique européenne
Ce site permet de comprendre comment fonctionne la politique européenne et renseigne les programmes de chaque groupe politique au niveau européen. Il permet également de savoir dans quel groupe politique se retrouvent les député.e.s européen.ne.s des différents partis politiques belges.
2024 est une année charnière pour notre démocratie. Avec des élections à tous les niveaux de pouvoirs en Belgique, et un renouvellement de l’hémicycle du Parlement européen, cette année sera déterminante pour les cinq* ans à venir. (*six, pour les communes et provinces).
Une nouveauté marquante : les jeunes âgés de 16 et 17 ans auront le droit de vote pour les élections européennes, qui tombent à la fin de la Présidence belge du Conseil de l’UE. Pour certains jeunes, le chemin vers les urnes est clair. Pour d’autres, c’est le brouillard complet, notamment car ils ne disposent pas d’informations pertinentes et fiables. Tous les contenus informatifs existent, cependant ils sont dispersés, ce qui peut empêcher les jeunes et les professionnel·le·s de l’éducation de s’informer et d’informer sur ces enjeux.
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Toutes les ressources pour saisir les élections
C’est sur base de ce constat que le Forum des jeunes, en collaboration avec des organisations du secteur de la jeunesse et de l'éducation permanente, a entrepris de répertorier sur un seul site toutes les ressources disponibles en Fédération Wallonie-Bruxelles.
Ce guide complet, Ressourcesélections.be, a pour but d’informer les jeunes sur la démocratie et la procédure de vote en Belgique, afin qu’ils comprennent tous les enjeux des élections prochaines. Chaque section renvoie vers un site, ou un fichier, qui explique de façon accessible le ‘qui, pourquoi, pour qui, et comment’ des élections, ainsi que le fonctionnement du système politique belge. Un volet est dédié aux élections européennes et au vote à partir de 16 ans.
Le Bureau International Jeunesse (BIJ) a également compilé dans un article différents outils permettant aux acteurs du secteur de la jeunesse d’informer et d’encourager les jeunes à participer aux élections, mais également des ressources permettant comprendre le fonctionnement de l’Union européenne.
Retour au débutZoom sur l’UE
Afin que les résidents des pays membre de l’Union européenne puissent comprendre leur rôle et pleinement s’approprier les élections à venir, les institutions ont développé différentes plateformes didactiques :
- Parlement EU - Comment voter pour les élections européennes ?
Cette plateforme a été mise en place par le bureau de liaison du Parlement européen et explique comment et pour qui les Belges peuvent voter lors des élections.
- Walk the talk EU - Tout savoir sur la politique européenne
Ce site permet de comprendre comment fonctionne la politique européenne et renseigne les programmes de chaque groupe politique au niveau européen. Il permet également de savoir dans quel groupe politique se retrouvent les député.e.s européen.ne.s des différents partis politiques belges.